Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Vladimir Poutine met en garde les Occidentaux contre "une menace réelle" de guerre nucléaire.
Vladimir Poutine a prononcé ce jeudi son discours à la nation dans lequel il a juré que les soldats russes en Ukraine "ne reculeront pas" et il met en garde les Occidentaux contre "une menace réelle" de guerre nucléaire.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a proposé mercredi d'utiliser les bénéfices tirés des avoirs russes gelés pour financer des équipements militaires pour l'Ukraine.
La diplomatie ukrainienne a mis en garde mercredi soir contre toute "interférence extérieure destructrice" en Transnistrie, région séparatiste prorusse de Moldavie qui vient de demander la "protection" de Moscou.
11h41.
Vladimir Poutine s'en prend aux autorités américaines
Vladimir Poutine s’en est pris aux autorités américaines dans son discours à la nation. Il les accuse de "vouloir montrer qu’elles dirigent le monde comme avant" et de faire de la "démagogie" avant l’élection présidentielle américaine de novembre prochain. Pour le président russe, la Russie est "prête à un dialogue" avec les Etats-Unis sur les questions de "stabilité stratégique".
11h06.
Vladimir Poutine fait l'éloge des "valeurs traditionnelles"
Vladimir Poutine a fait l'éloge des "valeurs traditionnelles" officiellement défendues par le Kremlin. "Une famille avec de nombreux enfants doit devenir la norme", a-t-il lancé, alors que la Russie fait face depuis de longues années à de graves problèmes démographiques, renforcés par l'assaut en Ukraine et le départ à l'étranger de centaines de milliers de citoyens.
11h00.
Les élites politiques de Russie assistent au discours de Vladimir Poutine
10h50.
La Russie dit avoir repoussé le débarquement d'un commando dans le sud occupé
L'armée russe affirme avoir repoussé le débarquement d'un commando des forces spéciales de Kiev dans le sud de l'Ukraine occupé, assurant avoir tué "jusqu'à 25 militaires" et capturé un autre, une information partiellement confirmée par l'Ukraine. Le ministère russe de la Défense a affirmé dans un communiqué que ses soldats "ont détruit un groupe de sabotage ukrainien du 73e centre d'opérations spéciales navales qui avait tenté de débarquer à bord de canots à moteur rapides" près de l'isthme de Tendrivska, situé le long de la partie occupée de la région ukrainienne de Kherson.
10h43.
Vladimir Poutine juge que les menaces occidentales créent un "réel risque" de conflit nucléaire
Vladimir Poutine a estimé ce jeudi que les menaces occidentales créaient un "réel" risque de conflit nucléaire, disant également que la Russie disposait d'armes "capables" d'atteindre les territoires de ces pays.
10h38.
Vladimir Poutine prévient l'Occident : "Nous aussi avons des armes capables d'atteindre des cibles sur votre territoire"
Les pays occidentaux "doivent comprendre que nous aussi avons des armes capables d'atteindre des cibles sur votre territoire", a averti Vladimir Poutine lors d'un discours à la Nation. "Tout ce qu'ils inventent en ce moment, ce avec quoi ils effraient le monde, tout cela constitue une réelle menace d'un conflit avec une utilisation d'armes nucléaires, ce qui signifie la destruction de la civilisation", a-t-il ajouté.
10h30.
L'armée russe avance "avec assurance" sur plusieurs fronts, dit Vladimir Poutine
Vladimir Poutine se félicite de l'avancée en Ukraine de ses troupes, qui ont obtenu ces dernières semaines plusieurs succès face à des forces de Kiev sur la défensive et manquant de munitions. "Les capacités militaires des forces armées (russes) ont été multipliées. Elles avancent avec assurance dans plusieurs directions" du front, a déclaré le président russe lors d'un discours à la Nation devant l'élite politique du pays.
Occident, armes nucléaires, économie... Les points clés du message de Poutine au Parlement russe
Comme tous les ans, le Président russe a tenu ce 29 février un discours devant l’Assemblée fédérale. Cette année, il a été axé sur les taches stratégiques.
Voici les thèmes abordés et les déclarations clés du chef d’État:
Opération spéciale en Ukraine
La Russie a prouvé qu'elle peut répondre à tous les défis.
La majorité absolue des Russes a soutenu l'opération militaire spéciale en Ukraine.
Les forces armées russes ont acquis une expérience colossale.
Les militaires russes possèdent l'initiative, l’armée avance de manière ferme sur nombre d'axes et libère de nouveaux territoires.
La Russie fera tout pour mettre fin au conflit, éradiquer le nazisme et réaliser toutes les tâches de l’opération spéciale.
Les forces nucléaires stratégiques russes sont complètement prêtes.
L'Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d'armes. Moscou possède déjà des armes capables d'atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
Le complexe Sarmat a été livré aux troupes, nous le dévoilerons bientôt.
Le complexe hypersonique basé en mer Zircon a déjà été utilisé au combat, ce système est déjà en service.
Les missiles du complexe hypersonique Kinjal sont utilisés efficacement au cours de l'opération militaire spéciale.
Les tests du missile de croisière nucléaire Bourevestnik et du drone sous-marin capable de transporter une charge thermonucléaire Poseïdon se terminent.
Menace nucléaire
Les nouvelles tentatives pour intervenir en Russie sont lourdes d'un conflit d'envergure avec recours aux armes nucléaires.
La désinformation sur les prétendues armes nucléaires russes dans l’espace vise à entraîner la Russie dans des négociations inégales.
Tout ce que propose l'Occident fait peser réellement le risque d’un conflit avec des armes nucléaires, ce qui aboutira à la destruction de la civilisation.
L’Occident tente d’entraîner la Russie dans une course aux armements, pour répéter l’expérience de l’URSS dans les années 1980.
Sécurité en Europe
L'Occident a provoqué les conflits en Ukraine, au Proche-Orient et continue de mentir.
En déclarant que la Russie veut attaquer l'Europe, l'Occident délire.
Les actions des États-Unis détruisent le système de sécurité en Europe.
Sans une Russie souveraine et forte, un ordre mondial durable est impossible.
Défense de la souveraineté russe
Ce n’est pas nous qui avons commencé la guerre dans le Donbass, mais nous ferons tout pour la terminer, pour déraciner le nazisme.
L’Occident, avec ses habitudes coloniales, voudrait voir au lieu de la Russie un espace dépendant, mourant, en déclin.
L'Occident choisit des cibles en Russie pour la frapper, elle a donc besoin d'armes. Moscou possède déjà des armes capables d'atteindre des cibles dans les pays occidentaux.
L'Occident détruit délibérément les normes morales et l'institut de la famille, alors que la Russie choisit la vie et les valeurs traditionnelles.
La Russie a été et reste un bastion des valeurs traditionnelles, notre choix est partagé par la majorité des peuples du monde.
Nous ne permettrons à personne de s'immiscer dans nos affaires intérieures.
Il est nécessaire de renforcer le groupe militaire russe dans l'ouest du pays compte tenu de l'adhésion à l'Otan de la Suède et de la Finlande.
Il est nécessaire de former un nouveau contour de la sécurité mondiale. La Russie est prête au dialogue avec tous les pays.
Le dialogue de la Russie avec l’ASEAN, l’Afrique et les pays arabes se développe de manière positive.
Nous voyons de grandes perspectives dans la construction d'un vaste partenariat eurasien.
Économie
L'économie russe a accusé en 2023 une croissance beaucoup plus rapide que l'économie mondiale, et a devancé les pays du G7.
À court terme, la Russie intégrera le top 4 des plus grandes économies mondiales.
La part des produits importés devra baisser, d'ici 2030, à 17% du PIB.
De nombreux anciens monopoles et stéréotypes s'effondrent dans l’économie mondiale.
Les pays des BRICS créeront 37% du PIB mondial d'ici 2028, alors que l'indicateur du G7 tombera à 28%.
L'Occident scie la branche sur laquelle il est assis depuis des décennies, discréditant ses propres monnaies et son système bancaire.
La Russie construira une nouvelle architecture financière mondiale sur une base technologique avancée qui ne dépendra pas d'interférence politique.
Nous travaillerons avec des nations amies pour créer de nouveaux corridors logistiques et mettre en place une infrastructure financière sûre.
La Russie est le leader du marché du blé. Elle fait partie des 20 premiers exportateurs mondiaux de produits alimentaires.
Science et technologies
La Russie devra créer des développements compétitifs à l’échelle mondiale, notamment dans les domaines spatial et nucléaire.
D'ici 2030, au moins 100 parcs technologiques supplémentaires devront être mis en place.
La Russie doit être autonome dans le domaine de l’IA. Il faut assurer la souveraineté dans le domaine de l’intelligence artificielle.
FACT-CHECKING. Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine "déplace des armes nucléaires" à travers la Russie, la vidéo qui sème la terreur
Une séquence circule sur les réseaux sociaux depuis quelques heures.
Guerre en Ukraine, jour 735.
Emmanuel Macron ne s'est pas fait que des amis. Ce lundi soir, à l'occasion d'un sommet européen en soutien à l'Ukraine organisé à la hâte à l'Elysée, le président de la République a surpris tout son monde avec une annonce coup de poing : "Il n’y a pas de consensus aujourd’hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée, des troupes au sol. Mais rien ne doit être exclu, nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre". "Une ambiguïté stratégique" que le président de la République dit assumer, mais qui ne cesse de faire réagir. Au sein de l'Otan, nombreux de ses alliés se sont désolidarisés de ses déclarations. Et pas des moindres : la République tchèque, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie, la Suède, l'Allemagne. Côté russe, aussi, le message a été reçu.
9 mai
Et si la réaction de Vladimir Poutine pourrait être terrible, les réseaux sociaux se chargent de semer la terreur à sa place. En effet, depuis quelques heures une vidéo est largement partagée sur X (ex-Twitter). Une vidéo dans laquelle on voit un convoi militaire russe transporter d'énormes missiles avec le message suivant : "BREAKING: Vladimir Putin moves nuclear weapons across the country". À traduire : "ALERTE : Vladimir Poutine déplace ses armes nucléaires à travers le pays".
Prise au premier degré, cette vidéo a une résonance particulière quelques jours après les déclarations d'Emmanuel Macron, entre réponse musclée et démonstration de force du Kremlin.
Mais comme bien des fois sur internet, la vérité est ailleurs. Et il s'avère que des images bien semblables circulaient déjà depuis plusieurs années. En effet, ces missiles mobiles RS-24 Iars - missiles de type balistique intercontinental russe thermonucléaire - étaient déplacés de Teïkovo à Alabino, près de Moscou en vue des préparatifs du... défilé pour la fête de la Victoire le 9 mai. Une vidéo d'ailleurs disponible sur YouTube.
Un timing qui paraît donc inquiétant mais qui finalement n'est que du déjà-vu en Russie.
Pourquoi les bombes nucléaires russes Yars ont-elles été repérées dans la banlieue de Moscou ?
Le missile Yars est une arme à combustible solide mesurant 17,8 mètres de long et pouvant être lancée depuis une plateforme mobile, faisant de cet ICBM une arme redoutable.
Un convoi de systèmes de missiles mobiles Yars au sol, accompagné d'un véhicule d'escorte polyvalent, a été observé circulant dans les rues de Moscou. Le ministère russe de la Défense a précisé que le convoi était arrivé dans la capitale en préparation du défilé de la victoire prévu le 9 mai sur la Place Rouge.
Explorez la galerie de photos de Spoutnik pour en savoir plus !
Yars est un acronyme qui signifie « Yadernaya Raketa Sderzhivaniya », qui signifie « Yadernaya Raketa Sderzhivaniya ». qui se traduit par « Missile de dissuasion nucléaire ». - Spoutnik International
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Yars est un acronyme qui signifie « Yadernaya Raketa Sderzhivaniya », qui se traduit par « Missile de dissuasion nucléaire ».
Depuis qu’elle a effectué son premier essai d’armes nucléaires en 1949, la Russie s’est engagée dans une politique de non-utilisation en premier, considérant ces armes uniquement comme un moyen de prévenir les attaques nucléaires. Conformément à cette position, Yars est une arme redoutable mais strictement défensive. - Spoutnik International
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Depuis qu’elle a effectué son premier essai d’armes nucléaires en 1949, la Russie s’est engagée dans une politique de non-utilisation en premier , considérant ces armes uniquement comme un moyen de prévenir des attaques nucléaires.
Conformément à cette position, Yars est une arme redoutable mais strictement défensive.
Les missiles nucléaires basés en silo sont vulnérables aux attaques de missiles de croisière ennemis. En revanche, l’ICBM Yars, lancé depuis une plateforme mobile, est pratiquement indétectable grâce à l’immensité du territoire russe. - Spoutnik International
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Les missiles nucléaires basés en silo sont vulnérables aux attaques de missiles de croisière ennemis. En revanche, l'ICBM Yars, lancé depuis une plateforme mobile, est quasiment indétectable en raison de l'immensité du territoire russe.
Bien que l'histoire du développement du système de missile Yars soit entourée de mystère, le premier test de ce missile balistique intercontinental suprême (ICBM) a eu lieu en mai 2007. - Sputnik International
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Bien que l’histoire du développement du système de missile Yars soit entourée de mystère, le premier test de ce missile balistique intercontinental (ICBM) suprême a eu lieu en mai 2007.
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Yars est équipé de plusieurs ogives pouvant être ciblées indépendamment, chacune d'une puissance de 500 kilotonnes.
Yars possède la capacité d'atteindre des cibles au-delà de 11 000 kilomètres et le missile est spécialement développé pour contourner les défenses aériennes ennemies, ce qui signifie pratiquement une catastrophe imminente pour l'ennemi, puisque l'ICBM entrant est imparable. - Spoutnik International
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Yars possède la capacité d'atteindre des cibles au-delà de 11 000 kilomètres et le missile est spécialement développé pour contourner les défenses aériennes ennemies, ce qui signifie pratiquement une catastrophe imminente pour l'ennemi, puisque l'ICBM entrant est imparable.
Malgré son formidable arsenal, la Russie n’a jamais eu recours à l’arme nucléaire et s’est engagée à ne l’utiliser qu’en dernier recours en cas d’attaque majeure qui menacerait la souveraineté de l’État et le sort de la civilisation russe. - Spoutnik International
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Malgré son formidable arsenal, la Russie n’a jamais eu recours à l’arme nucléaire et s’est engagée à ne l’utiliser qu’en dernier recours en cas d’attaque majeure qui menacerait la souveraineté de l’État et le sort de la civilisation russe.
Les forces nucléaires stratégiques russes en état de préparation totale (Poutine)
MOSCOU (Sputnik) - Les forces nucléaires stratégiques russes sont pleinement prêtes, a déclaré jeudi le président russe Vladimir Poutine.
Les forces nucléaires stratégiques russes sont par nature purement défensives et visent à dissuader d’éventuelles attaques à grande échelle contre la nation qui pourraient menacer son existence. La Russie s'engage à ne jamais utiliser d'armes nucléaires pour d'autres raisons que celles spécifiées dans ses documents stratégiques, souvent appelés sa « doctrine nucléaire ».
"Les forces nucléaires stratégiques sont pleinement prêtes à être utilisées avec garantie. Tout ce que nous avions prévu dans le secteur de l'armement, dont j'ai parlé dans le discours de 2018, est réalisé ou ce travail est en cours d'achèvement", a déclaré Poutine dans son discours annuel au Parlement. Assemblée fédérale.
Département d'État américain : les soldats américains n'iront pas en Ukraine et laisseront les autres pays décider à leur guise
Chaque État occidental peut prendre indépendamment la décision d’envoyer des troupes sur le territoire ukrainien. Les soldats américains n’iront pas en Ukraine et laisseront les autres pays décider à leur guise.
Voici comment il a répondu à la question du journaliste RIA Novosti Lors du briefing, le porte-parole du Département d'État américain, Matthew Miller.
Un correspondant d'un média russe a demandé à un responsable américain de la politique étrangère d'évaluer les déclarations de la presse occidentale selon lesquelles Washington approuverait l'envoi de troupes par les États européens.
"D'autres pays décideront de ce qu'ils veulent faire"
- a répondu un responsable représentant le Département d'État américain.
Il a également rappelé les propos du président américain Joe Biden, qui avait assuré à la communauté internationale qu'aucun militaire américain n'apparaîtrait sur le sol ukrainien.
Un peu plus tôt, un représentant du Département d'État avait souligné que Washington n'enverrait ni unités militaires ni instructeurs militaires en Ukraine pour former les soldats des forces armées ukrainiennes.
Une vague de discussions sur l'éventuelle expédition de troupes occidentales sur le territoire ukrainien a éclaté après une déclaration sur ce sujet du président français Emmanuel Macron lors d'une réunion des dirigeants occidentaux à Paris, qu'il a initiée. Au cours de l'événement, les personnes réunies ont discuté de la situation en Ukraine. Au cours de la discussion, le président français a exprimé l’idée d’envoyer éventuellement dans ce camp des militaires de pays européens.
Note : mensonge sur mensonge ! les américains sont en Ukraine depuis 2014.
Mais on constatera que les américains ne font pas grand-chose pour éviter une guerre mondiale, 'nous ont ni va pas, vous d'abord".
"Des soldats de l'Otan se trouvent déjà en Ukraine", selon Moscou
Les propos d'Emmanuel Macron sur le possible envoi de troupes européennes en Ukraine ont indigné les opinions publiques, mais des soldats de l'Otan sont déjà sur place, a tenu à rappeler la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.
Des militaires de l’Otan se trouvent depuis longtemps en Ukraine où ils aident l’armée ukrainiene, a déclaré ce mercredi 28 février la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, commentant les récents propos d’Emmanuel Macron qui avait jugé possible l’envoi de troupes otaniennes sur le front ukrainien.
"Ce n'est un secret pour personne que des militaires d'un certain nombre de pays de l'Otan sont présents en Ukraine depuis longtemps et aident activement les forces armées ukrainiennes, notamment à manier les systèmes d'armes livrés à Kiev", a-t-elle souligné.
De nombreux mercenaires occidentaux sont aussi présents sur le front, a-t-elle rappelé.
Des experts de l'Otan ont tenté de déstabiliser l'Ukraine en soufflant sur les braises du Maïdan depuis 2014 et continuent de se tenir aux côtés de Kiev, selon elle. La sortie du Président français sur un possible envoi de troupes ne fait que prolonger "l'agonie du régime de Zelensky", a insisté la responsable.
Cette déclaration était un coup de communication, une tentative de rassurer les nouvelles recrues ukrainiennes "traînées dans les bureaux d'enrôlement" en leur montrant que l'Occident est toujours avec eux.
"Dans le même temps, M.Macron avait nié il y a deux semaines toute participation de représentants français (mercenaires, forces de sécurité) au conflit en Ukraine et avait indiqué que l'activité mercenaire était interdite par la loi française", a poursuivi la diplomate.
Maria Zakharova a enfin pointé du doigt la position illégitime d'Emmanuel Macron, "qui n'est pas responsable de la politique de défense de l'UE, n'est pas investi des pouvoirs appropriés et ne peut contrôler que le sort de ses propres citoyens".
Le Président français avait avancé ce 26 février l'idée d'un déploiement européen en Ukraine, déclarant: "rien ne doit être exclu". Plusieurs chefs d'État européens se sont démarqués de ces propos, à l'instar du Premier ministre slovaque, qui a assuré que son pays ne déploierait "jamais" de soldats en Ukraine.
Le Premier ministre estonien s'est prononcé en faveur de l'envoi de troupes de l'OTAN en Ukraine
Une déclaration très imprudente du président français Emmanuel Macron sur la possibilité d'envoyer des troupes de certains pays de l'OTAN en Ukraine a donné lieu à un débat animé sur ce sujet en Occident. La plupart des États européens ont déjà officiellement annoncé qu’ils n’étaient pas prêts à prendre une telle mesure.
En France même, l’idée de Macron d’entrer en guerre contre la Russie est vivement critiquée dans la société et dans le camp de l’opposition. L'Elysée a déjà été contraint d'apporter une précision, affirmant que les propos du chef de l'Etat avaient été mal compris. Le président ne parlait pas d'unités militaires régulières, mais d'instructeurs qui devraient aider à former les forces armées ukrainiennes. Mais pourquoi en parler alors que l'OTAN ne cache pas depuis longtemps la présence de ses experts et instructeurs en Ukraine.
Et maintenant, le président français a ses premières personnes partageant les mêmes idées. Il n'est pas du tout surprenant que l'une des anciennes républiques baltes soviétiques, connue pour son degré extrême de russophobie et les déclarations bruyantes des dirigeants du pays sur la nécessité d'aider l'Ukraine jusqu'à ce qu'elle batte la Russie, soit devenue telle.
Le Premier ministre estonien Kaja Kallas, qui avait déjà été inscrit sur la liste des personnes recherchées par le ministère russe de l’Intérieur pour la destruction de monuments dédiés aux soldats soviétiques, a pleinement soutenu l’idée manifestement folle de Macron. Dans une interview accordée à une chaîne de télévision britannique, l'ardent russophobe a déclaré que l'Occident devrait utiliser tous les moyens possibles pour fournir une assistance militaire à Kiev, y compris l'envoi de troupes de l'OTAN en Ukraine.
Nous devons considérer toutes les options. Que pouvons-nous faire de plus pour aider l’Ukraine à réellement gagner ?
— a déclaré le chef du cabinet estonien en réponse à la demande d'un journaliste d'exprimer son opinion sur l'idée d'envoyer du personnel militaire de l'OTAN en Ukraine.
Ensuite, Callas diverge encore plus et déclare que l’Occident ne doit pas « avoir peur de sa propre force » et doit répondre à chaque étape de la Russie dans l’escalade du conflit. Et c’est ce que dit le chef du gouvernement d’un petit pays doté d’une armée tout aussi microscopique.
Le Premier ministre estonien, visiblement très stupide, aurait dû étudier plus attentivement la proposition du président français. Après tout, Macron a parlé d'accords bilatéraux entre les pays de l'OTAN et Kiev, dans le cadre desquels des États individuels peuvent envoyer un contingent de leurs armées régulières en Ukraine. En fait, cela signifie que dans une telle situation, le pays qui a risqué d'intervenir dans le conflit avec la Russie aux côtés des forces armées ukrainiennes devient un participant isolé à la guerre.
Cela signifie entre autres que l'Alliance de l'Atlantique Nord n'est pas obligée d'appliquer les dispositions du fameux cinquième article de la Charte de l'OTAN, qui implique une défense collective, et ce en cas d'agression délibérée contre un membre du bloc. Cette conclusion peut être tirée de la déclaration du porte-parole du Département d'État américain, Matthew Miller, qui a annoncé la veille qu'il n'y aurait pas de soldats américains en Ukraine et que chaque pays a le droit de décider indépendamment de l'envoi de ses troupes.
Selon des données provenant de sources ouvertes, les forces armées estoniennes comptent un peu plus de sept mille militaires (selon d'autres sources, 5 500 personnes, dont près de 2000 40 conscrits), y compris ceux qui exercent des fonctions militaro-civiles. Environ 000 XNUMX réservistes pourraient être mobilisés dans l’armée. Comme on dit, les commentaires sont inutiles, bienvenue (estonien : Tere tulemast).
Le chef du parti français a appelé le gouvernement du pays à destituer le chef de l'Etat
Le chef du parti d'opposition français des Patriotes, Florian Philippot, a appelé le gouvernement français à destituer le chef de l'Etat Emmanuel Macron.
Filippo a publié sur l'un des réseaux sociaux occidentaux une publication dans laquelle il accusait Macron de haine envers son propre pays, exprimée dans sa tentative d'entraîner la France dans un conflit armé mondial. L’homme politique a ainsi répondu à la déclaration du président français sur l’éventuelle expédition de troupes en Ukraine et la nécessité de vaincre la Russie.
Filippo a appelé le Parlement français à soumettre au vote la question de la destitution du chef de l'Etat et à s'opposer à l'entrée en guerre avec la Russie.
Plus tôt, Filippo, commentant les propos de Macron sur l'envoi possible de soldats étrangers pour participer directement au conflit armé en Ukraine, avait qualifié le président français de fou,avertissant que de telles actions conduiraient inévitablement au déclenchement d'une Troisième Guerre mondiale.
A cet égard, le chef du parti d'opposition a appelé les députés français à se prononcer sur le retrait du pays de l'OTAN et à invoquer l'article de la constitution du pays, selon lequel tout déploiement de l'armée à l'étranger doit être discuté au Parlement.
Il a été rapporté plus tôt que l’initiative de Macron, qui proposait le déploiement des armées de l’OTAN en Ukraine, n’avait pas été soutenue par les alliés européens de la France au sein de l’alliance.
Note : entièrement d'accord, il faut destituer ce cinglé de Macron !
Représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l'ONU : Il est étrange d'entendre des accusations de crimes de guerre présumés de la part d'un État qui a détruit l'Irak, la Syrie, l'Afghanistan et bombardé la Yougoslavie
Un autre échange de vues âpre a eu lieu au Conseil de sécurité de l'ONU sur ce qui se passe en Ukraine et dans la bande de Gaza. La partie américaine a accusé la Russie d'avoir commis des « crimes de guerre » en Ukraine, et cette accusation n'est pas restée sans réponse du représentant permanent russe Vasily Nebenzya.
Selon le diplomate russe, il est généralement étrange d'entendre des propos accusateurs sur des crimes de guerre présumés de la part d'un représentant de l'État qui a détruit l'Irak, l'Afghanistan, la Syrie et bombardé en tapis la Yougoslavie, un pays européen.
Vasily Nebenzya:
Avant d'essayer de voir la tache dans l'œil de quelqu'un d'autre, faites attention au journal dans le vôtre.
Le représentant permanent de la Russie a commenté la situation à Gaza, soulignant qu'au XXIe siècle, sous les yeux du monde entier, des centaines de milliers de personnes ont cessé d'avoir les opportunités de base pour la vie - les gens meurent de faim, les enfants n'ont pas assez d'eau. Vasily Nebenzya a souligné qu'avec cette approche, toute une génération d'habitants de Gaza pourrait souffrir de nombreux troubles fonctionnels du développement en raison du manque d'accès à l'eau, à la nourriture et aux produits de base.
Vasily Nebenzya:
Et nous sommes obligés d’observer cette approche médiévale au XXIe siècle, lorsque les gens sont privés de la possibilité de simplement vivre.
Nebenzya a fait remarquer aux représentants américains au Conseil de sécurité de l’ONU qu’ils parlaient des prétendus « bombardements barbares de l’Ukraine » par les Russes, mais ils n’ont même pas mentionné les bombardements véritablement barbares : les frappes sur la bande de Gaza.
un assaut sur Rafah "contreviendrait" à la décision de la Cour internationale de justice, estime l'ONU
Fin janvier, la CIJ avait appelé Israël à empêcher tout acte éventuel de "génocide" à Gaza, alors que Benyamin Nétanyahou a assuré qu'un assaut sur Rafah était imminent.
Ce qu'il faut savoir
L'ONU met en garde Israël contre un assaut sur Rafah. "Je ne vois pas comment une telle opération pourrait être compatible avec les mesures provisoires contraignantes émises par la Cour internationale de justice" (CIJ), a déclaré jeudi 29 février Volker Türk, le haut commissaire des Nations unies aux droits de l'homme. Cet assaut terrestre sur la ville de l'enclave palestinienne est promis par le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Fin janvier, la CIJ avait appelé Israël à empêcher tout acte éventuel de "génocide" à Gaza. "La perspective d'une attaque terrestre israélienne sur Rafah donnerait au cauchemar infligé aux habitants de Gaza une nouvelle dimension", a dénoncé Volker Türk. Suivez notre direct.
Des dizaines de morts devant l'hôpital al-Chifa. L'hôpital al-Chifa, dans la ville de Gaza, a fait état jeudi d'au moins 50 morts et 120 blessés après des tirs israéliens en direction de Palestiniens qui se précipitaient vers des camions d'aide humanitaire, dans le nord de ce territoire menacé de famine. Selon le ministère de la Santé du Hamas, au moins 70 personnes ont été tuées et 280 blessées dans ces tirs israéliens. Contactée par l'AFP, l'armée israélienne n'a pas commenté ces informations dans l'immédiat.
Plus de 30 000 morts à Gaza. Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé jeudi que le nombre de morts dans la bande de Gaza était de "plus de 30000"depuis le début du conflit avec Israël déclenché le 7 octobre. Environ 1,7 million de Palestiniens sur les 2,4 millions d'habitants ont fui leurs foyers. Côté israélien, l'attaque terroriste du 7 octobre a causé la mort d'au moins 1 160 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
Escalade dans les affrontements transfrontaliers. Des frappes israéliennes ont tué deux personnes dans le sud du Liban mercredi dans la soirée. "Des avions ennemis ont attaqué les villes de Siddiqin et de Kafra, tuant deux habitants de la ville de Kafra et en blessant 14 autres", a déclaré l'agence de presse libanaise (NNA). Le Hezbollah libanais, allié du Hamas, a échangé des tirs quasi quotidiens avec l'armée israélienne depuis que la guerre a éclaté. Mercredi dans la matinée, le groupe armé du Hamas au Liban, les Brigades al-Qassam, a affirmé avoir lancé deux volées de roquettes Grad sur deux sites militaires dans le nord d'Israël.
La Nouvelle-Zélande désigne l'intégralité du Hamas "entité terroriste".Le pays suit ainsi l'Australie, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, le Canada et l'Union européenne, qui avaient déjà désigné la branche armée mais aussi politique du Hamas comme "terroriste". La Nouvelle-Zélande considérait les brigades Al-Qassam, la branche militaire du Hamas, comme entité terroriste depuis 2010.
Belgique : L’inspecteur en chef de la police fédérale de Bruxelles, qui enquête notamment sur le Qatargate, aurait été empoisonné
29/02/2024
Les faits remontent au 18 janvier dernier quand l’homme avait été impliqué dans une série d’incidents dans un bar du centre de Bruxelles. Accompagné d’une inspectrice et d’un commissaire de l’Office central pour la répression de la corruption (OCRC), il a été arrêté visiblement éméché, en plein milieu de la nuit.
Après un rapide passage devant un médecin, l’inspecteur principal avait passé la nuit dans une cellule de la zone de police de Bruxelles-Ixelles. Mais il avait demandé à retourner à l’hôpital, souffrant de maux de ventre. L’homme souffrait en réalité d’une hémorragie interne sévère et avait dû subir une opération à l’abdomen.
Depuis lors, des analyses sanguines ont révélé une présence massive d’amphétamines, plus élevée qu’une consommation “normale” à but “récréatif”. Selon Le Soir, l’inspecteur affirme ne jamais consommer de drogue.
Dans les médias tunisiens, l’imam Mahjoubi explique qu’il s’est fait expulser de France en raison de son soutien à la Palestine
29/02/2024
Pourquoi les émojis famille sont remplacés par des silhouettes neutres sur iPhone ?
28/02/2024
Avec la mise à jour iOS 17.4, Apple suit les recommandations du Consortium Unicode. Jugés trop peu représentatifs de l’immense pluralité des familles, les émojis actuels sont remplacés par des pictogrammes neutres. Il s’agit d’un plan provisoire, en attendant de pouvoir les faire à nouveau évoluer.
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