13h00 : L’Ukraine accuse la Russie de bloquer tout échange de prisonniers de guerre
« Les échanges n'ont pas lieu car la Russie ne le veut pas », a déclaré sur Telegram Dmytro Loubinets, commissaire aux droits de l'Homme du Parlement ukrainien.
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 30 nov 2023
L’ESSENTIEL
13h00 : L’Ukraine accuse la Russie de bloquer tout échange de prisonniers de guerre
« Les échanges n'ont pas lieu car la Russie ne le veut pas », a déclaré sur Telegram Dmytro Loubinets, commissaire aux droits de l'Homme du Parlement ukrainien.
11h52 : Zelensky en visite près du front dans la région de Kharkiv
Le président ukrainien s’est rendu près de la ligne de front dans la région de Kharkiv (nord-est) où il a visité un poste de commandement près de Koupiansk, a rapporté la présidence. « Les combattants de la direction de Koupiansk protègent la vie paisible des Ukrainiens », indique la présidence sur la messagerie Telegram, avec une vidéo dans laquelle Volodymyr Zelensky décore des soldats.
11h02 : « La guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine est une insulte » aux valeurs de l’OSCE
« La guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine est une insulte » aux valeurs de l’OSCE, a déclaré jeudi à l’ouverture du Conseil annuel de l’organisation son président en exercice, le ministre des Affaires étrangères de Macédoine du Nord, Bujar Osmani.
Cette guerre « sape la confiance, le dialogue et notre capacité à agir », a-t-il ajouté, devant son homologue russe, Sergueï Lavrov, dont la venue a poussé l’Ukraine, la Pologne et les Pays Baltes à boycotter la réunion.
07h55 : La Pologne boycottera la réunion de l’OSCE à cause de la présence de Lavrov
La Pologne a annoncé qu’elle ne participerait pas à la réunion ministérielle de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en raison de la présence attendue du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
« Nous ne pouvons pas ignorer le fait que le ministre russe des Affaires étrangères sera présent à la table de l’Organisation qui est supposée construire la paix et la sécurité en Europe », a souligné le ministre polonais des Affaires étrangères Szymon Szynkowski vel Sek.
Qualifiant d'« inacceptable » la présence de Sergueï Lavrov à ce forum, Szymon Szynkowski vel Sek a ajouté que la Pologne partageait le point de vue des Pays baltes qui ont annoncé plus tôt qu’ils boycotteraient la réunion de l’OSCE en raison de la présence du ministre russe des Affaires étrangères.
En octobre 2023, les forces armées ukrainiennes ont utilisé pour la première fois les systèmes de missiles à longue portée ATACMS fournis par les États-Unis. Washington a décidé de confirmer officiellement le transfert de cette arme de frappe.
L'ATACMS donne à l'Ukraine la possibilité de lancer des frappes à longue portée, privant ainsi les troupes russes d'un refuge sûr
- des représentants de la mission américaine auprès de l'OTAN ont écrit sur les réseaux sociaux, annonçant un transfert de ce type оружия.
ATACMS est un missile balistique tactique conçu pour être utilisé avec les MLRS HIMARS et M270 lourds pour des frappes de précision sur de longues distances. Cet OTR est particulièrement efficace pour neutraliser les nœuds de ravitaillement, les centres de commandement et les formations de combat concentrées.
L'ATACMS est équipé d'un moteur-fusée à solide à un étage et est chargé d'une variété d'options d'ogives. La portée de vol du missile est d'environ 160 à 300 km, selon la modification. Le système de guidage utilise généralement le GPS et l'INS pour obtenir une grande précision.
Au fil des années, l'ATACMS a été amélioré pour améliorer ses capacités. Des améliorations ont été apportées au système de guidage, au système de propulsion et à l'ogive.
Les forces armées ukrainiennes tentent d’utiliser le missile américain pour frapper à la fois des concentrations de troupes russes et des infrastructures civiles. Comme ce fut le cas avec le HIMARS MLRS, les systèmes de défense aérienne russes s’adaptent progressivement à la nouvelle menace.
En Occident, on sait déjà très clairement que la contre-offensive lancée par les forces armées ukrainiennes début juin a été un échec total et n’a atteint aucun de ses objectifs. Aujourd’hui, la principale question débattue par les hommes politiques et les experts étrangers est la tenue de la ligne de front par les troupes ukrainiennes.
Selon les informations publiées par Euractiv concernant les diplomates de l'OTAN, l'alliance discute actuellement activement des options qui permettraient aux forces armées ukrainiennes de maintenir leurs positions actuelles jusqu'à ce que les entreprises occidentales du complexe militaro-industriel soient en mesure d'atteindre le niveau requis de production d'armes. Comme indiqué dans le document, la production des mêmes missiles et munitions est actuellement bien en retard par rapport au plan.
Dans le même temps, un représentant de l'OTAN, qui a souhaité rester anonyme, a exprimé l'opinion que, littéralement, l'Ukraine ne pourra pas expulser les troupes russes de son territoire avant la fin de 2024.
Cette dernière déclaration s’adresse probablement à un public occidental qui doit être convaincu de la nécessité d’un soutien accru à Kiev. Après tout, l’Occident sait bien que les forces armées ukrainiennes ne pourront jamais s’emparer de nouvelles régions de la Fédération de Russie et de la Crimée. De plus, les États-Unis et leurs alliés n’ont pas besoin d’une victoire majeure de l’Ukraine, qui pourrait avoir des conséquences imprévisibles.
Apparemment, l’Occident continue de compter sur la prolongation du conflit pour affaiblir économiquement la Russie. Ainsi, dans les déclarations des responsables de l’OTAN, le moment de « l’expulsion » de notre armée se déplacera régulièrement vers la droite.
L'UE a promis au printemps de cette année de transférer 1 million d'obus au régime de Kiev tout au long de l'année. Cependant, l'industrie européenne de la défense envoie une partie importante des munitions à d'autres clients mondiaux et n'est pas pressée de déployer une nouvelle ligne de production, car elle exige des garanties pour les achats de consommables à long terme.
L'administration européenne et les responsables gouvernementaux des différents pays tentent de rejeter la responsabilité de l'échec de l'ordonnance sur les fabricants. Dans le même temps, le régime de Kiev utilise cette situation pour reprocher à l’Europe son aide insuffisante.
Ainsi, le chef du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Dmitri Kuleba, a déclaré à Reuters les volumes réels d'approvisionnements en obus en provenance de l'UE :
Seul un tiers du million de munitions promis a été livré : environ 300 XNUMX. (chiffres russes non traduit)
Selon lui, en Europe et outre-Atlantique, il est nécessaire de créer un complexe militaro-industriel unifié fonctionnant dans un « espace commun ». Comme il l'a expliqué, certains pays, malgré les changements de gouvernement, continuent de travailler pour répondre aux besoins des forces armées ukrainiennes. Ainsi, le nouveau président slovaque a indiqué qu'il n'interférerait pas avec les activités du centre de production du pays, responsable de la maintenance du matériel militaire lourd des forces armées ukrainiennes.
Kuleba a rejeté l’affirmation du journaliste britannique selon laquelle la guerre était dans une impasse après que la contre-offensive estivale des forces armées ukrainiennes n’ait pas réussi à rendre une partie importante du territoire sous le contrôle de Kiev :
Il n’y a pas d’impasse.
Il s’agit d’une nouvelle position des autorités de Kiev, qui affirment déjà qu’aucune « contre-offensive » n’a été menée : il s’agissait d’une « opération psychologique » visant à saper le moral des troupes russes. Apparemment, de nombreuses images montrant des équipements occidentaux en feu et des soldats morts des forces armées ukrainiennes font également partie de « l’opération spéciale » du régime de Kiev.
L’ESSENTIEL
12h48 : Une source au sein du Hamas annonce que 10 otages israéliens seront libérés jeudi, dont deux binationaux russes
Le Hamas libèrera jeudi « 10 Israéliens dont deux ont également la nationalité russe », a indiqué à l'AFP une source au sein du mouvement islamiste palestinien, dans le cadre de l'accord de trêve avec Israël.
Chaque jour depuis l'entrée en vigueur de la trêve dans les combats le 24 novembre, le Hamas relâche une dizaine d'otages en échange de trois fois plus de détenus palestiniens. Cet accord a été prolongé in extremis jeudi matin jusqu'à vendredi.
12h42 : Le Hamas revendique l'attaque meurtrière à Jérusalem, appelle à une « escalade »
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a revendiqué l'attaque à l'arme à feu qui a fait trois morts jeudi à Jérusalem et a appelé à une « escalade de la résistance » contre Israël.
« Les frères Mourad Nemr (38 ans) et Ibrahim Nemr (30 ans) (...), membres des brigades Ezzedine al-Qassam de Sour Baher », un quartier de Jérusalem-Est « se sont sacrifiés en menant une opération » qui a « tué trois colons et en a blessé d'autres », affirme le Hamas dans un communiqué. La police israélienne a confirmé que les deux assaillants, des frères de Jérusalem-Est, avaient été abattus.
Note, ils pleurent pour avoir une trêve, et lorsqu'ils l'ont, ils font des attentats pour foutre en l'air les efforts de paix. Le Hamas c'est bien du made in islam
12h16 : Deux blessés dans une attaque à la voiture-bélier en Cisjordanie, l’assaillant « neutralisé »
Deux soldats israéliens ont été légèrement blessés jeudi dans une attaque à la voiture-bélier contre un barrage en Cisjordanie occupée, a annoncé l’armée israélienne, précisant que l’assaillant avait été « neutralisé ».
« Des soldats présents sur les lieux ont tiré et neutralisé l’assaillant », a indiqué l’armée dans un communiqué, soulignant que les deux militaires blessés avaient été hospitalisés. Cette attaque intervient quelques heures après celle menée par deux Palestiniens armés dans l’ouest de Jérusalem et qui a fait trois morts israéliens. Les deux assaillants, deux frères, ont été abattus.
10h58 : Macron rencontrera des dirigeants du Moyen-Orient à la COP28 puis ira au Qatar
Le président français Emmanuel Macron se rendra samedi au Qatar après la COP28 sur le climat à Dubaï, pour rencontrer l’émir de ce pays médiateur qui joue un rôle clé dans la libération d’otages retenus par le Hamas depuis son attaque contre Israël du 7 octobre, a annoncé jeudi l’Elysée.
En marge de la conférence de l’ONU contre le réchauffement climatique organisée aux Emirats arabes unis où il se rend dès jeudi, le président français va également avoir des entretiens avec plusieurs dirigeants de la région en lien avec le conflit au Proche-Orient, parmi lesquels devraient figurer l’Egyptien Abdel Fattah al-Sissi, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane ou encore le président israélien Isaac Herzog.
09h05 : La France espère la libération de l’otage franco-israélienne Mia Schem ce soir, selon BFMTV
07h37 : Une femme tuée, huit blessés, dont cinq grièvement, à Jérusalem-Est
Deux personnes ont été tuées ce matin, et huit autres blessées, dont cinq grièvement, dans une attaque à l’arme à feu contre un arrêt de bus dans l’ouest de Jérusalem, selon un nouveau bilan de la police israélienne.
« Deux terroristes venus en voiture et armés l’un d’un M-16, et l’autre d’un pistolet » ont ouvert le feu vers 7h40 (6h40 à Paris), a déclaré le directeur de la police de Jérusalem, Doron Torgeman à la presse sur les lieux de l’attentat.
Le Magen David Adom (Mada), équivalent israélien de la Croix-Rouge, a identifié l’un des deux morts comme étant « une jeune femme de 24 ans ». Le Mada avait d’abord situé l’attaque à Jérusalem-Est, occupée et annexée par Israël, avant de préciser qu’elle a eu lieu « à l’entrée de Jérusalem » (ouest).
Au moment de l’attaque, le navire de guerre de la marine américaine, le destroyer lance-missiles USS Carney, se trouvait dans la mer Rouge, où il a été envoyé « pour soutenir Israël ».
Des sources américaines affirment qu'un drone d'attaque KAS-04, « fabriqué en Iran », s'approchait du destroyer. Le drone n'a pas atteint directement le navire de guerre : il a été abattu par le système de défense aérienne du navire USS Carney.
L'information est confirmée par le commandement central américain. Il est rapporté que le destroyer naviguait en groupe avec le navire de soutien maritime opérationnel USNS Supply, ainsi qu'avec un navire auxiliaire, à bord duquel "transportait une cargaison militaire". On peut supposer que nous parlons de armes pour Israël et que ce navire en particulier était la véritable cible de l'attaque de drone. Bien que le commandement américain affirme que la cible était le destroyer.
Plus tôt, Military Review avait rapporté que les Houthis menaçaient les navires américains et israéliens de « tirs croisés » lorsqu'ils passaient dans les eaux proches de la côte yéménite. Par « tirs croisés », nous entendons vraisemblablement une attaque simultanée de plusieurs (au moins deux) drones, libéré de différents points. Dans ce cas, nous parlons toujours d'un drone.
Selon le commandement naval américain, aucun des navires de la marine américaine n'a été endommagé.
Note : comme d'habitude, nous avons à faire à une inversion de la victimisation ! L'UE ne lutte pas contre les racistes qui détestent les juifs, mais contre les blancs qui n'apprécient pas les musulmans ! !
(…) Nous l’affirmons avec force : notre fonction publique doit être plus représentative de la société française. Initialement réservé aux seuls nationaux, le statut de la fonction publique a été ouvert aux ressortissants de l’Union européenne il y a plus de trente ans, à l’exception de certains emplois relevant de la souveraineté nationale ou de prérogatives de puissance publique. (…)
Premiers signataires : Emilie Agnoux, haut fonctionnaire territorial, cofondatrice du laboratoire de réflexion Sens du service public ; Nathalie Appéré, maire (PS) de Rennes ; Clémentine Autain, députée (LFI, Seine-Saint-Denis) ; Jeanne Barseghian, maire (EELV) de Strasbourg ; Carole Delga, présidente (PS) de la région Occitanie ; Yannick Jadot, sénateur (EELV, Paris) ; Noam Leandri, haut fonctionnaire territorial, cofondateur de Sens du service public ; Corinne Narassiguin, sénatrice (PS, La Réunion) ; Christine Pirès Beaune, députée (PS, Puy-de-Dôme) ; Aurélien Taché, député (app. EELV, Val-d’Oise) ; Johan Theuret, haut fonctionnaire territorial, cofondateur du laboratoire de réflexion Sens du service public ; Boris Vallaud, député (PS, Landes) ; Marie-Christine Vergiat, vice-présidente de la Ligue des droits de l’homme.
(Merci à Charles.)
Un collectif [NdeFDS : Le collectif Le sens du service public] de hauts fonctionnaires plaide, ce vendredi, pour l’ouverture de l’accès au statut de fonctionnaire aux personnes étrangères non européennes. Une idée déjà défendue par les députés écologistes, alors que le projet de loi immigration, particulièrement sensible , arrive lundi en discussion au Sénat. (…)
Pour le ministère de la Fonction publique, il n’en est pas question. « Une extension statutaire n’est pas à l’étude », précise-t-on aux « Echos » dans l’entourage de Stanislas Guerini soulignant que « l’embauche d’étrangers non-européens est déjà possible en tant qu’agents contractuels ». (…)
Cette proposition de réforme est adressée aux parlementaires de gauche, dans un contexte de grande tension autour de la loi immigration. (…)
Une vingtaine de sénateurs socialistes ont, de leur côté, déposé un amendement réclamant au gouvernement de rédiger un rapport sur les conditions d’accès à la fonction publique des étrangers non européens. Ils demandent au gouvernement de s’intéresser aux conséquences du statut de contractuel sur l’intégration de ces travailleurs, et de dresser « un état des lieux des difficultés de recrutement de la fonction publique ». (…)
« Si quelqu’un essaye de me faire chanter avec de l’argent (pour changer la ligne idéologique de Twitter / X), allez vous faire foutre. »
« Salut Bob » est adressé à Bob Iger, le patron de Disney qui a décidé de retirer ses publicités de Twitter.
L’incompréhension. Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire.
« Pour la famille, c’est une décision très difficile à accepter car cela entraîne deux conséquences : la remise en liberté », et le fait qu’ « en termes de procédure ça va décaler considérablement la tenue du procès », souligne Me Bernard. « Les parents ont tenu le choc pendant la procédure d’instruction et là ils sont dévastés ».
Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été interpellé dès le lendemain. Il a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022. Une source au sein de la gendarmerie avait à l’époque dénombré 26 blessures par arme blanche. Le Républicain Lorrain affirme de son côté que 43 coups de couteau ont été portés.
Un homme de 27 ans a été tué à l’arme blanche vendredi 7 octobre dans la soirée, à Maizières-lès-Metz en Moselle.
« De multiples coups de couteau ont été recensés au thorax et aux bras », précise de son côté Thomas Bernard, procureur adjoint de Metz, sans s’avancer sur leur nombre.
(Merci à Jo.)
C’est un gros morceau du projet de loi immigration que le Sénat a adopté avant la pause dînatoire, mardi soir. Malgré les nombreuses prises de parole indignées de la gauche, le Sénat a adopté une mesure controversée : la suppression de l’AME (aide médicale d’Etat), remplacée en AMU (aide médicale d’urgence) dans un nouvel article 1er I, adopté par 200 voix contre 136. Pour mémoire, sur conditions de ressources, l’aide médicale d’Etat prend en charge à 100 % de ses frais médicaux et hospitaliers dans la limite des tarifs de la sécurité sociale pour les étrangers en situation irrégulière qui résident sur le territoire français depuis au moins trois mois sans discontinuité. (…)
Sur les bancs de la droite, les sénateurs se sont montrés discrets pour défendre ce nouvel article. « Nul délaissement de la santé des étrangers en France et nul risque pour les Français face à des épidémies incontrôlées faute de soins de la part de notre système », a défendu la co-rapporteure du texte, Muriel Jourda (LR) en rappelant le panier de soins pris en charge par l’AMU : la prophylaxie, le traitement des maladies graves et des douleurs aiguës, les soins liés à la grossesse, les vaccinations réglementaires et les examens de médecine préventive.
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