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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 21 septembre 2023

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Charles III insiste sur la « détermination inébranlable » de Londres et Paris à soutenir Kiev...

 

L’ESSENTIEL

  • Conscient du risque de lassitude de la part du grand allié américain, Volodymyr Zelensky va tenter ce jeudi, à Washington, de convaincre les Etats-Unis de l’aider à passer « la ligne d’arrivée » face à la Russie, si possible avec de nouvelles armes puissantes.
  • Le président ukrainien a directement interpellé la Russie lors d’une session exceptionnelle mercredi du Conseil de sécurité de l’ONU, dénonçant l' « agression criminelle » de Moscou et « le blocage » de l’instance onusienne en raison du droit de veto russe.
  • La Pologne a annoncé mercredi soir qu’elle ne transférait « plus aucun armement à l’Ukraine », à un moment clé de la contre-offensive contre la Russie. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki n’a par contre pas indiqué quand son pays avait cessé d’en fournir, ni si cela avait un lien avec le conflit sur les céréales ukrainiennes, dont Varsovie a interdit les importations pour protéger les intérêts de ses agriculteurs.

 

 

13h10 : L’aide pour la défense aérienne « une priorité » annonce Zelensky à son arrivée à Washington

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé jeudi être arrivé à Washington, où il doit s’entretenir avec son homologue américain Joe Biden et des représentants politiques, assurant vouloir faire de l’aide à la défense aérienne « une priorité » de ces discussions.

« Olena (son épouse, N.D.L.R.) et moi sommes arrivés à Washington », a écrit le président ukrainien sur X (ex-Twitter). « Lors de mes réunions, la défense aérienne sera l’une des principales priorités », a-t-il ajouté, dénonçant « une nouvelle attaque massive de missiles » russes sur l’Ukraine « la nuit dernière ».

 

13h05 : L’Ukraine affirme avoir frappé un aérodrome militaire russe en Crimée

L’armée ukrainienne a affirmé jeudi avoir frappé un aérodrome militaire russe près de la ville de Saky, en Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou. « Les forces de la défense ukrainienne ont effectué une frappe combinée contre un aérodrome militaire des occupants près de la ville de Saky », a indiqué le centre des communications de l’armée sur Telegram.

 

11h47 : Charles III assure de la « détermination inébranlable » de Londres et Paris à soutenir l’Ukraine

Le roi Charles III a assuré jeudi de la « détermination inébranlable » du Royaume-Uni et de la France à voir l’Ukraine « triompher », dans un discours prononcé devant le Sénat français. « Ensemble, nous sommes inébranlables dans notre détermination que l’Ukraine triomphera et que nos libertés si chères l’emporteront », a déclaré le roi en français, en dénonçant l'« agression injustifiée sur notre Continent » de l’Ukraine par la Russie.

 

11h35 : La Pologne n’assure que les livraisons d’armes « convenues antérieurement » avec Kiev

La Pologne n’assure que les livraisons d’armes « convenues antérieurement » avec Kiev, a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement, au lendemain des déclarations de Varsovie sur l’arrêt de ces livraisons et en plein conflit sur les céréales entre les deux pays. « La Pologne réalise uniquement les livraisons de munitions et d’armements convenues antérieurement. Y compris celles résultant des contrats signés avec l’Ukraine », a déclaré Piotr Müller à l’agence PAP.

 

10h44 : La Chine veut renforcer sa coopération avec la Russie

Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, en visite en Russie, a déclaré au président Vladimir Poutine que Pékin et Moscou devaient travailler à renforcer leur coopération face à une « situation internationale complexe », ont rapporté jeudi les médias d’Etat chinois. « Le monde évolue rapidement vers la multipolarité », a observé Wang Yi lors d’une réunion avec Vladimir Poutine à Saint-Pétersbourg, au cours de laquelle le dirigeant russe a accepté une invitation à se rendre en Chine le mois prochain.

« Les deux parties doivent renforcer leur coopération stratégique multilatérale, protéger leurs droits et intérêts légitimes et déployer de nouveaux efforts pour promouvoir l’ordre international en faveur de l’équité et de la justice », a ajouté le chef de la diplomatie chinoise. « Nos positions coïncident concernant l’émergence d’un monde multipolaire », a répondu Vladimir Poutine, selon un communiqué du Kremlin.

 

09h32 : Kiev met en garde contre « des mois difficiles à venir » après l'attaque « massive » russe

L'Ukraine a mis en garde jeudi contre « des mois difficiles à venir » après l'attaque « massive » de missiles russe dans la nuit ayant visé plusieurs villes du pays et tué au moins deux personnes à Kherson (sud), selon les autorités.

« Des mois difficiles nous attendent: la Russie va continuer d'attaquer les installations énergétiques et essentielles » ukrainiennes, a prévenu le chef ajoint de l'administration présidentielle, Oleksiï Kouleba sur Telegram. La proximité de l'automne fait craindre aux autorités que Moscou ne relance une campagne de frappes pour plonger la population civile dans le noir et le froid, comme à l'hiver 2022.

 

HIER

19h08 : Le Premier ministre arménien a évoqué la situation au Karabakh avec Poutine

Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a évoqué mercredi le Nagorny Karabakh au téléphone avec le président russe Vladimir Poutine, plus de 24 heures après le début de l'offensive azerbaïdjanaise dans cette enclave séparatiste.

« Le Premier ministre Nikol Pachinian a eu une conversation téléphonique avec le président russe Vladimir Poutine. Ils ont discuté de la situation dans le Nagorny-Karabakh », a indiqué sur Facebook la porte-parole de Nikol Pachinian, Nazeli Baghdassarian.

DIRECT

 

 

 

Les trois objectifs de Zelensky aux États-Unis

 

par Alexandre Lemoine

Volodymyr Zelensky a entamé une grande tournée américaine. Le 19 septembre, il a pris la parole à l’Assemblée générale de l’ONU, puis le 21 septembre, il rencontrera le président américain Joe Biden. Le président ukrainien ne prendra pas la parole depuis la tribune du Congrès, seule une visite au Capitole et des discussions avec de «petits groupes» de membres du Congrès sont prévues. 

Premier objectif : convaincre les déçus et persuader les indécis 

À l’ONU, il semblerait assez facile pour Zelensky de tenir un discours. Tout ce dont il a besoin, ce sont ses talents d’acteur, dont il dispose en abondance. 

Son voyage, une fois de plus, a pour but de persuader les pays indécis. En particulier, le Brésil, dont le président, Luiz Inacio Lula da Silva, Zelensky souhaite rencontrer en marge. 

De plus, il semble qu’il ait l’intention, à travers des discours publics et des discussions en coulisses, d’insuffler de la confiance dans les politiciens de certains pays. Ceux qui ont précédemment fourni une aide financière massive à l’Ukraine dans l’espoir que, en un an ou un an et demi, l’Ukraine pourrait infliger une série de défaites militaires sensibles à la Russie. 

Mais les faits sont tels que l’Ukraine n’a pas réussi à infliger de défaite à la Russie. «De grands espoirs reposaient sur la contre-offensive, et l’Ukraine n’a pas satisfait ces attentes». 

La situation pourrait fondamentalement changer, par exemple, si les complexes industriels militaires des pays occidentaux passaient en mode de mobilisation. Mais cela aurait dû être fait il y a environ un an pour que ces complexes puissent produire beaucoup plus d’armes et de munitions par rapport au niveau actuel. Alors, l’Ukraine aurait eu une chance. 

Cependant, une telle manœuvre de Zelensky semblera peu convaincante, surtout sachant qu’il y a beaucoup de pays à l’ONU qui perçoivent le comportement des autorités actuelles de l’Ukraine comme provocateur et irresponsable. Par conséquent, Zelensky ne recevra certainement rien de plus que des applaudissements rituels ici. 

Deuxième objectif : demander de l’argent 

L’objectif principal du président ukrainien n’est pas la partie onusienne de la tournée mais américaine, les rencontres avec les sénateurs et Biden. La visite de Zelensky à Washington «a lieu à un moment critique pour son alliance avec les États-Unis», souligne le média américain The Hill. «Les leaders républicains au Congrès ont des opinions divergentes sur la manière de fournir davantage d’aide militaire et humanitaire à ce pays», note la publication. 

Les États-Unis ont déjà alloué environ 113 milliards de dollars à l’Ukraine, et Biden demande 24 milliards de plus pour le prochain exercice fiscal. Cependant, les membres du Congrès sont réticents à satisfaire cette demande. Le fait est que les républicains veulent canaliser toute l’aide à l’Ukraine à travers un projet de loi distinct, plutôt que de l’adopter en bloc avec d’autres questions gouvernementales urgentes. 

Si cette approche est adoptée, elle retardera sans aucun doute la procédure d’adoption de la loi allouant des fonds à Kiev, ce que souhaitent les républicains, dont les électeurs sont extrêmement sceptiques quant à la poursuite du soutien à l’Ukraine. 

«De plus en plus de législateurs républicains remettent en question l’aide américaine supplémentaire à la lumière de la lente et infructueuse contre-offensive de Kiev», écrit Fox News

Pour obtenir des fonds de ses tuteurs occidentaux, Zelensky doit accomplir toute une série de tâches. 

Premièrement, prouver que ces fonds ne seront pas détournés. 

Deuxièmement, Zelensky doit prouver que cet argent sera pour les États-Unis un investissement et non une charité. Il doit montrer un semblant de succès. Ces succès seront les légères avancées des troupes ukrainiennes, ainsi que les frappes en territoire russe. 

Enfin, troisièmement, dans son jeu d’acteur Zelensky ne doit pas être grossier. «Au cours de son voyage aux États-Unis, Zelensky demandera plus d’aide et remerciera tout le monde», est convaincu le New York Times

Biden laisse aussi entendre qu’il ne faut pas être insolent. «J’espère que nous ne soulèverons plus la question de savoir si l’Ukraine est attendue à l’Otan. Elle y entrera certainement… Tout cela est une question de quelques mois», cite CBS News le président américain. 

Troisième objectif : éviter toute allusion aux négociations de paix 

Ces «quelques mois» peuvent être interprétés de différentes manières. Ils peuvent être vus comme une tentative de retarder la discussion sur l’intégration à l’OTAN pendant un certain temps, pour ensuite la retarder à nouveau. Ou ils peuvent être perçus comme un signal à Moscou que les États-Unis sont prêts à l’escalade, un signal qui fait partie de la stratégie actuelle de l’administration américaine pour sortir du conflit ukrainien. 

Ils doivent prolonger l’agonie de Kiev pendant un an. Pour que Biden ne soit pas accusé d’une deuxième défaite consécutive des États-Unis après l’Afghanistan. Et pour mener des pourparlers avec Moscou, une volonté de tels pourparlers de la part de la Russie est nécessaire. Cependant, aucune volonté n’est visible en ce sens. 

Pour forcer la Russie à des négociations sur le gel du conflit, les États-Unis doivent, d’une part, convaincre Moscou de leur disposition à l’escalade. Et d’autre part, faire en sorte que Zelensky au moins montre à la Russie sa volonté de faire certaines concessions. 

Cependant, les chances de pousser la Russie dans un piège des négociations sont minimes. Avant tout en raison de l’obstination de Zelensky lui-même. Pour des raisons politiques internes, il refuse même de parler de négociations, ce qu’il a de nouveau confirmé dans une interview citée par CBS News. Il est important pour Zelensky d’éviter autant que possible de discuter de ce sujet.

source : Observateur Continental

 

 

 

L'Occident est entièrement responsable de l'effondrement de l'Ukraine, selon Lavrov

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 septembre 2023

Les seuls auteurs du chaos qui règne en Ukraine sont les pays occidentaux, qui esquivent un dialogue sérieux. Leur comportement accroît le risque d’un conflit global, a affirmé le ministre russe des Affaires étrangères lors du Conseil de sécurité de l’Onu sur la question ukrainienne.

La responsabilité de l’effondrement de l’Ukraine et de l’incitation à la guerre civile dans le pays incombe directement à l’Occident, a déclaré ce 20 septembre Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères lors du Conseil de sécurité de l’Onu.

Il a expliqué que les États-Unis et leurs alliés s'ingéraient clairement dans les affaires de l'Ukraine depuis l'effondrement de l'URSS, et que les faits de leur "ingénierie" de la crise dans ce pays étaient connus.

"Depuis l'effondrement de l'URSS et la formation d'États indépendants à sa place, les États-Unis et leurs alliés s'immiscent de manière flagrante dans les affaires intérieures de l'Ukraine. Comme l'a admis publiquement et même fièrement la vice-secrétaire d'État américaine Victoria Nuland à la fin de l'année 2013, Washington a dépensé 5 milliards de dollars pour entretenir à Kiev des politiciens obéissant à l'Occident", a souligné le chef de la diplomatie russe au cours d'une réunion de cette instance en marge de l'Assemblée générale de l'Onu à New York.

Tous les rouages de l'ingénierie de la crise ukrainienne sont connus depuis longtemps, mais "ils essaient de les faire taire par tous les moyens possibles, d'annuler toute l'histoire jusqu'en 2014", a-t-il ajouté.

Actuellement, le soutien occidental au régime de Kiev après les référendums en Crimée et dans le Donbass représente une violation du principe de l’autodétermination.

Menace d'un grand conflit

Compte tenu de la situation actuelle en Ukraine, les risques d'un conflit global augmentent, poursuit le chef de la diplomatie russe.

"C'est précisément pour les arrêter et orienter les événements dans une direction pacifique que la Russie a insisté et insiste toujours pour que toutes les dispositions de la Charte de l'Onu soient respectées et appliquées non pas de manière sélective, mais dans leur intégralité et dans leur interdépendance, y compris les principes d'égalité souveraine des peuples ", a ajouté le ministre.

L'Occident fuit les débats de fond

Selon M.Lavrov, les pays occidentaux évitent une conversation de fond sur les causes du conflit en Ukraine parce qu'ils n'ont pas d'arguments pour un dialogue honnête.

Aujourd'hui, dans la rhétorique de nos adversaires, nous n'entendons que des slogans: "invasion, agression, annexion". Pas un mot sur les causes profondes du problème, sur le fait que, depuis de nombreuses années, ils nourrissent un régime ouvertement nazi qui réécrit ouvertement les résultats de la Seconde Guerre mondiale et l'histoire de son propre peuple.

 

"L'Occident évite une conversation de fond fondée sur les faits et le respect de toutes les exigences de la Charte [des Nations unies, ndlr]. Apparemment, il n'a pas d'arguments pour un dialogue honnête", a-t-il souligné.

En outre, la crise actuelle aurait pu être évitée si l’Otan avait accepté les propositions de coopération de l'Organisation du traité de sécurité collective, a indiqué le ministre.

La semaine de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations unies se déroule à New York du 19 au 26 septembre. La délégation russe est dirigée par le ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Lavrov

Spoutnik

 

Note:  un discours réaliste et honnête, contrairement aux politiciens de l'Otan

 

 

Les exercices de l’OTAN près des frontières russes augmentent le risque d’escalade, prévient Moscou

 

MOSCOU (Sputnik) - En raison des manœuvres de l'OTAN à proximité des frontières russes, les risques d'incidents involontaires et les possibilités d'aggravation de la situation risquent de se multiplier, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères à Spoutnik.

"Nous tenons à souligner qu'en raison des manœuvres de l'alliance à proximité immédiate de nos frontières nationales, de notre espace aérien et maritime, le risque d'incidents involontaires et d'aggravation de la situation se multiplie", a averti le ministère .

"Le risque que de tels cas dégénèrent involontairement en conflit armé est extrêmement élevé étant donné les conditions actuelles d'escalade incessante des tensions au sein de l'OTAN", a ajouté le ministère.

À propos des objectifs des exercices du défenseur inébranlable de l'OTAN

L'OTAN ne cache pas qu'elle mène des actions visant à repousser les "attaques" russes au cours de ses exercices militaires, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères à Spoutnik.

Vers une guerre de religion, infos du 21 septembre 2023

"L'exercice Steadfast Defender de l'OTAN prévu au printemps 2024, selon les données disponibles, couvrira le territoire de plusieurs pays européens. Il est prévu qu'il impliquera plus de 40 000 soldats", a indiqué le ministère.

L'exercice, comme toutes les autres manœuvres de la série Defender, implique le déploiement de troupes et d'équipements américains en Europe et l'élaboration de la logistique de telles actions, a indiqué le ministère.

"L'OTAN n'a cessé d'augmenter l'ampleur de ses exercices au cours des dernières décennies. Ils sont devenus de plus en plus provocateurs et agressifs et se déroulent intentionnellement principalement près des frontières de la Russie", a déclaré le ministère .

Les données du ministère indiquent que le nombre de militaires et d'équipements impliqués augmente chaque année, "pratiquant systématiquement des actions au titre de l'article 5 du Traité de Washington sur la défense collective", a noté le ministère des Affaires étrangères.

"Dans le même temps, si auparavant les légendes sur de telles manœuvres de l'alliance concernaient un ennemi 'imaginaire' à l'Est, désormais les membres de l'OTAN ne se cachent plus : ils pratiquent des actions pour repousser une attaque de la Russie", a déclaré le ministère . ajoutant que l'OTAN parle de ""scénarios réalistes" pour l'utilisation des forces de l'OTAN".

Le ministère des Affaires étrangères a rappelé que la Russie avait proposé à plusieurs reprises au bloc diverses initiatives visant à désamorcer la situation et à abandonner les mesures provocatrices, et qu'elle avait volontairement déplacé ses exercices à l'intérieur du pays.

"En réponse, les membres de l'OTAN, tout en affirmant du bout des lèvres qu'ils ne recherchent pas la confrontation avec notre pays, poursuivent leur 'démonstration de force' littéralement à nos portes", a déclaré l'agence diplomatique .

Spoutnik

 

 

 

 

Un homme politique polonais révèle pourquoi Varsovie a changé de ton sur l'Ukraine

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 21 septembre 2023

Après avoir été l'un des plus fervents soutiens de l'Ukraine depuis l'escalade du conflit l'année dernière, la Pologne a désormais changé de ton dans le dialogue avec le régime de Kiev sur ce qui semble être un différend commercial.

Les relations entre Varsovie et Kiev se sont récemment détériorées après que les autorités polonaises, ainsi que leurs homologues hongrois et slovaques, ont décidé de restreindre les importations de céréales ukrainiennes bon marché dans le but de protéger les agriculteurs locaux.

Kiev a rapidement riposté en déposant une plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce contre les trois pays et a même menacé de bloquer certaines importations agricoles en provenance de Pologne et de Hongrie si l'embargo sur les céréales ukrainiennes n'était pas levée.

De nombreux hommes politiques polonais de premier plan ne semblent pas amusés par cette tournure des événements, le ministre polonais de la Défense, Marius Blaszczak, insistant sur le fait que Varsovie protège essentiellement les agriculteurs polonais des stratagèmes des « oligarques ukrainiens » qui veulent vendre des céréales ukrainiennes en Pologne.

L'homme politique polonais et commentateur indépendant Konrad Rekas a cependant fait valoir que la rhétorique de Varsovie tourne autour des prochaines élections législatives, « que le parti Droit et Justice au pouvoir perdrait s'il continuait à soutenir Kiev sans réserve ».

"Bien entendu, l'Ukraine n'a pas l'intention de faciliter les jeux internes de ses alliés polonais, sachant parfaitement qu'elle recevra tout ce qu'elle exigera du prochain gouvernement polonais, quel que soit le parti qui formera le gouvernement", a déclaré Rekas à Sputnik.

Il a affirmé que le conflit entre l'Ukraine et la Pologne n'était pas vraiment lié à la question des exportations de céréales ukrainiennes ou à la prétendue intention de Varsovie d'occuper certains territoires ukrainiens et qu'il était peu probable qu'il affecte le cours du conflit ukrainien.

«La Pologne restera une plaque tournante de l’aide militaire occidentale au régime de Kiev. Les Polonais continueront à payer des millions pour la réinstallation des Ukrainiens en Pologne », a supposé Rekas.

Depuis l’escalade du conflit ukrainien en février 2022, la Pologne a fourni de grandes quantités de matériel militaire au régime de Kiev, notamment des chars de combat et des avions de combat, et a aidé à accueillir des dizaines de milliers de réfugiés ukrainiens sur le sol polonais.

Cependant, cette semaine, le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a annoncé que son pays se concentrait désormais sur l'armement moderne et ne transférait plus d'armements à Kiev, tandis que le secrétaire de presse du gouvernement polonais, Piotr Muller, a déclaré que Varsovie n'avait apparemment pas l'intention de continuer à soutenir les réfugiés ukrainiens. en Pologne l'année prochaine.

Ces déclarations précèdent les élections législatives polonaises prévues le 15 octobre, et il reste difficile de savoir si les politiciens polonais tiendront leurs promesses ou s'il s'agit simplement d'une tentative d'influencer les électeurs.

Pendant ce temps, la Slovaquie, autre soutien important du régime de Kiev, pourrait changer sa position sur le conflit ukrainien après les élections du 30 septembre dans le pays.

L'ancien Premier ministre slovaque Robert Fico, dont le parti social-démocrate Smer (Direction) domine les récents sondages, a déjà déclaré que la Slovaquie n'enverrait plus "d'armes ni de munitions à l'Ukraine" si son parti faisait partie d'un nouveau gouvernement.

Spoutnik

 

 

 

Guerre en Ukraine : après Wagner, le général russe Sergueï Sourovikine chargé par Vladimir Poutine de créer une nouvelle milice

 

  • Il devrait être chargé par Vladimir Poutine de créer une nouvelle milice avec des anciens membres du groupe Wagner.
    Il devrait être chargé par Vladimir Poutine de créer une nouvelle milice avec des anciens membres du groupe Wagner. SPUTNIK POOL - MIKHAEL KLIMENTYEV/SPUTNIK/KREMLIN POOL / POOL

Alors qu'il avait disparu après la tentative de coup d'Etat du groupe Wagner, en Russie, le général russe Sergueï Sourovikine est finalement réapparu. Il devrait être chargé de former une nouvelle milice. 

Il a été l'un des principaux commandants lors de l'intervention militaire de la Russie en Ukraine. Sergueï Sourovikine, dit "le boucher syrien" a fait sa réapparition en Algérie, à l'occasion d'une visite officielle, comme en atteste une publication sur le compte Facebook de la grande mosquée d'Oran, trois mois après la rébellion du groupe Wagner.

Si la raison de son retour n'a pas été officiellement dévoilée, selon RTL, il semblerait que Vladimir Poutine soit derrière tout ça puisqu'il devrait charger Sergueï Sourovikine de former une nouvelle milice. Une organisation paramilitaire qui serait composée avec des anciens membres du groupe Wagner.

Limogé pour sa proximité avec le groupe Wagner

Pour rappel, Sergueï Sourovikine avait été limogé de son poste de commandant en chef des forces aérospatiales, avait annoncé l'agence de presse d'Etat Ria Novosti. Il était également comme connu pour "sa brutalité" et son côté "impitoyable, avec peu de respect pour la vie humaine". Il était jugé proche du groupe Wagner, mais il n'avait pas soutenu la tentative de coup d'Etat. Ce dernier avait d'ailleurs appelé les membres à "arrêter et à rentrer dans leurs casernes avant qu'il ne soit trop tard".

En 2020, l'ONG Human Rights Watch l'avait accusé "d'être l'un de ceux qui ont pu assumer la responsabilité" d'attaques sur des zones résidentielles, des écoles et des hôpitaux. Enfin, en 1991, il avait pris part à la tentative de coup d'Etat échouée.

Source

 

 

 

Seyyed Ebrahim Raisi, président de l’Iran, dénonce à l’assemblée générale de l’ONU : « L’islamophobie et l’apartheid culturel des pays occidentaux, citant des mesures qualifiées d’indignes telles que l’interdiction du hijab dans les écoles »

Vers une guerre de religion, infos du 21 septembre 2023

19 septembre 2023

Iran (République islamique d’) Son Excellence Seyyed Ebrahim Raisi Président

Résume

M. SAIED EBRAHIM RAÏSSI, Président de la République islamique d’Iran, a rappelé que depuis sa dernière intervention, le monde fait face à des bouleversements historiques.  Dans ce contexte, il a insisté sur la nécessité de poursuivre des idéaux de justice, de vérité et de raison en respectant des valeurs inaliénables qui trouvent leurs sources dans le Coran, dont il a brandi un exemplaire.

Tout en soulignant que le Coran proscrivait toute forme de violence, M. Raïssi a dénoncé l’islamophobie et l’apartheid culturel des minorités ayant cours dans les pays occidentaux, citant des mesures qualifiées d’indignes telles que l’interdiction du hijab dans les écoles ou le fait de brûler le Coran au nom de la liberté d’expression. Dénonçant le mensonge de l’Occident, il a exhorté l’ONU à mettre en place un cadre approprié pour garantir le respect de l’ensemble des religions.  Après avoir dénoncé une guerre menée contre la famille, le chef d’État a aussi appelé à un mouvement mondial qui permette un réengagement de l’institution de la famille, incarnée par le mariage entre un homme et une femme.

M. Raïssi s’est félicité d’avoir lancé un nouveau chapitre des relations constructives avec les pays voisins de l’Iran en intégrant des mécanismes régionaux tels que l’organisation de coopération de Shangaï et le Corridor économique Nord-Est.  Plaidant en faveur d’un accroissement de la coopération régionale, il a appelé à la mise en place d’un ordre mondial juste et équitable en abandonnant l’arrogance au profit de la coopération régionale.  Il a invité la Palestine, la République arabe syrienne, le Yémen et l’Afghanistan à prendre part à ce processus.  Il a également insisté sur la détermination de son pays à lutter contre les effets des changements climatique en mettant à profit les capacités nationales de production d’énergies renouvelables.

En matière de sécurité, M. Raïssi s’est félicité de la politique de « bon voisinage » entreprise par son pays et visant notamment à empêcher l’ingérence étrangère du Caucase au golfe Persique.  Toute présence étrangère ne contribuera à aucune solution, mais constituera un problème en soi, a-t-il affirmé.  Indiquant que cette initiative devait s’accompagner d’une coopération économique, il a salué le travail entrepris par son prédécesseur en matière de lutte contre le terrorisme et rappelé qu’il s’agissait là d’une priorité régionale. Accusant le « régime d’occupation à Jérusalem » d’être à l’origine de violence dans la région, il a appelé à mettre fin à « 70 ans d’occupation des terres palestiniennes ». Concernant la guerre en Ukraine, il a affirmé que l’Iran n’appuyait aucune guerre et s’est dit en faveur de toutes mesures politiques visant à mettre fin à ce conflit.

M. Raïssi a affirmé que le Plan d’action global commun constituait une réponse inappropriée aux engagements de son pays dans le cadre de la résolution 2231 (2015) du Conseil de sécurité.  Il a exhorté les États-Unis à s’expliquer de manière transparente et trouver une solution pérenne.  Il a également mis en cause la position des pays européens.

Le Président a répété que, depuis 20 ans, l’Iran cherche à faire valoir le droit de son peuple à l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire.  Après avoir déploré le non-respect du Traité sur la non-prolifération par les États-Unis, il a assuré que les sanctions que ces derniers imposent à l’Iran n’avaient pas procuré les résultats négatifs escomptés. Invitant les États-Unis à adopter une trajectoire différente, il a conclu en affirmant: « Nous représentons l’avenir, les autres représentent le passé. » 

ONU

 

Note : il a plus de mosquée en France que d'église en Iran, Arabie Saoudite et Algérie réunie, mais ces terroristes religieux nous traitent d'islamophobes, parce qu'on refuse l'islamisation de notre pays 

 

 

« Accueillir et intégrer les personnes réfugiées en milieu rural » : le gouvernement sort un “mode d’emploi” pour “revitaliser” nos campagnes (MàJ : Édito de Mathieu Bock-Côté)

 

20/09/2023

Cnews

 

Jean-Marie Fardeau, délégué national d’une association (Vox Public) mise en avant dans ce document, est notamment à l’origine d’une tribune anti-RN en janvier 2023. Ne pas trouver le RN “fréquentable” est, selon lui, un “acte de résistance”.

 

Note ; ils islamisent tout le territoire français avec des migrants musulmans ! Dans toute l'histoire de France, notre pays n'a connu de telles traitres. Les politiciens remplacent des Français par des noirs et des arabes musulmans, qui se multiplieront et construiront des mosquées dans tous les coins de France

 

L’hôtel “Ibis Style” de Menton (06) réquisitionné pour accueillir des mineurs isolés de Lampedusa : “Ce n’est pas notre métier que de nous occuper de dizaines de migrants !” (MàJ)

La préfecture des Alpes-Maritimes a réquisitionné cinquante places dans un hôtel proche de la frontière, afin d’y accueillir des mineurs isolés. Le gérant de cet hôtel qui s’est exprime sur CNews, exprime son désarroi face à cette décision, expliquant que loger et s’occuper de dizaines de migrants, ce n’est pas son métier ! 

La réquisition de l’hôtel “Ibis Style” de Menton sur le front de mer, n’a selon la préfecture, “pour le moment pas été utilisé et ne le sera qu’en cas de besoin effectif. Des discussions se poursuivent afin d’identifier des solutions alternatives pour étoffer le dispositif d’hébergement du Conseil départemental sans recourir à une réquisition.”

L’établissement est en plein centre de la ville, à quelques centaines de mètres de la frontière :

C’est le budget du département des Alpes-Maritimes qui finance. Le préfet le précise d’ailleurs explicitement dans son arrêté : « Le conseil départemental des Alpes-Maritimes assumera toutes les charges induites par cette occupation ».

Et ce sont des sommes très élevées qui sont en jeu : en 2023, le département annonce qu’il va consacrer 28 millions d’euros à la prise en charge des mineurs non accompagnés C’est 37 fois plus qu’il y a 7 ans.

JMM.com

 

 

Sondage Elabe : 65% des Français opposés à l’accueil des migrants de Lampedusa aussi bien en France que dans l’UE ; près de 40% estiment que c’est une “menace pour notre identité”

Après l’arrivée d’au moins 8500 migrants sur l’île italienne de Lampedusa, 65% des Français sont opposés à leur accueil aussi bien en France que dans l’Union européenne, a révélé le dernier sondage “L’Opinion en direct” réalisé par Elabe pour BFMTV.

Les deux raisons les plus évoquées par les sondés pour ne pas accueillir ces migrants en France sont “le manque de moyens économiques” pour le faire (88%), devant “la menace pour notre identité/culture” (37%). Ceux qui y sont favorables invoquent majoritairement “l’humanité et le devoir d’accueil de la France” (90% d’entre eux) et, dans une moindre mesure, le “besoin de migrants pour notre économie” (32%). (…)

BFMTV

 

 

 

Mort de Philippe Monguillot : 15 ans de réclusion requis (MàJ)

 

21/09/23

Le 10 juillet 2020, Philippe Monguillot, chauffeur de bus de 59 ans, rendait son dernier souffle au centre hospitalier de Bayonne. Trois ans plus tard, au dernier jour du procès de son agression mortelle, le ministère public a réclamé 15 ans de réclusion criminelle à l’encontre de Wyssem M. et de Maxime G., les deux accusés dans cette affaire qui avait bouleversé l’opinion publique.

Le Figaro

15/09/23

FAITS DIVERS – C’est un drame qui avait beaucoup fait parler, en pleine réouverture du pays après des semaines de confinement. En juillet 2020, des milliers de personnes avaient défilé à Bayonne après la mort d’un chauffeur de bus, roué de coups par des passagers qui refusaient de porter un masque anti-Covid. Ses deux agresseurs présumés comparaissent à partir de ce vendredi 15 septembre devant la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques.

Ce 5 juillet 2020, Philippe Monguillot, 59 ans, marié et père de trois filles majeures, avait été frappé par deux passagers dans le bus qu’il conduisait, après avoir porté un coup de tête à l’un d’eux. Laissé en état de mort cérébrale à côté de son véhicule, il avait succombé après cinq jours de coma à l’hôpital.

La qualification de « meurtre aggravé » écartée

Trois ans plus tard, les deux accusés principaux, âgés de 25 ans, déjà condamnés dans le passé pour d’autres faits, sont jugés pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». En état de récidive légale (l’un d’eux était en liberté conditionnelle depuis moins de trois mois le jour de son arrestation), ils sont écroués depuis les faits, aggravés par le statut de la victime, chargée d’une mission de service public. Ils encourent une peine de 20 ans d’emprisonnement.

(…) Huff Post

 

 

La présence du Syndicat de la magistrature à la marche contre les «violences policières» samedi fait polémique (MàJ)

 


Le Syndicat de la magistrature a répondu à l’appel de la marche unitaire contre les «violences policières», le racisme systémique et pour les libertés publique, prévue ce 23 septembre. Pour plusieurs syndicats de police, cette manifestation devrait être interdite.

www.cnews.fr


 

Liste : Marche pour la justice

 

Note; Cela démontre bien que la justice de nos jours est de gauche et donc collaboratrice. La France comme l'Europe est gangréné par les islamo collabos, vivement le grand ménage 

 

" La moisson, c'est la fin du monde ; et les moissonneurs, ce sont les anges. De même donc qu'on enlève l'ivraie et qu'on la consume au feu, de même en sera-t-il à la fin du monde : Le Fils de l'homme (Jésus) enverra ses anges, qui ramasseront de son Royaume (c'est-à-dire des pays chrétiens) tous les scandales et tous les fauteurs d' l'iniquité (iniquité, les péchés, les actes contraires à la religion, à la morale, le débordement des vices) et les jetteront dans la fournaise ardente ..." Matthieu 13.38-42 

 

 

 

Visite du Pape François à Marseille : « Je vais à Marseille, je ne vais pas en France. » (MàJ : le Pape a demandé à se rendre les quartiers nord, casse-tête sécuritaire)

Pape aux JMJ : « Je vais à Marseille, je ne vais pas en France », rappelle François

21/09/23

Non inscrite au programme officiel, l’escapade papale va-t-elle s’organiser ? «L’agenda est très serré», a répondu, en forme de dénégation, l’entourage du cardinal Aveline. Il y a quelques jours, l’archevêque de Marseille a promis, lui, «quelques surprises». La fugue de François ne ferait que compliquer le gigantesque casse-tête des forces de l’ordre, déjà sur les dents depuis des semaines pour assurer la sécurité papale. Du temps où il était archevêque de Buenos Aires, le pape François se rendait régulièrement dans les villas, les bidonvillesde la mégalopole argentine gangrenées par la pauvreté et le trafic de drogue.

Libération


4/08/23

Dans une interview publiée vendredi 4 août par l’hebdomadaire espagnol Vida Nueva, François s’exprime sur ses futurs voyages, et la priorité qu’il donne aux « petits » pays européens. Il détaille ce qu’il appelle son « offensive de paix » dans le contexte de la guerre entre l’Ukraine et la Russie.

À l’occasion de sa venue à Lisbonne et Fatima au Portugal, le pape François a accordé un long entretien vendredi 4 août à la revue espagnole Vida Nueva. Interrogé par les journalistes ibériques sur le fait de jamais avoir visité l’Espagne, il leur rappelle que son voyage à Marseille – prévu les 22 et 23 septembre prochains – ne peut pas être considéré comme une visite en France.

« Si je vais bien à Marseille, je ne vais pas en France », insiste François. « Je n’irai dans aucun grand pays d’Europe avant d’avoir terminé les petits. J’ai commencé par l’Albanie et, bien que je sois allé à Strasbourg, je ne suis pas allé en France. »

www.la-croix.com

 

Note ! le pape des musulmans veut rendre visite à la racaille de Marseille !  Peut-être qu'il va leur proposait de leur faire une mosquée, pour les rendre plus aimables

 

 

Birmingham (GB) : pour Mathieu Bock-Côté “la force du hijab”, 1ère sculpture au monde célébrant les femmes portant le foulard islamique, est “plantée à la manière d’un geste de conquête” (MàJ)

 

20/09/2023


19/09/2023

Birmingham (GB) : “la force du hijab”, première sculpture au monde célébrant les femmes portant le foulard islamique, sera installée le mois prochain au sein d’un quartier à forte majorité musulmane

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