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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 16 septembre 2023

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : L'armée russe affirme ne pas avoir été « délogée » du village d'Andriïvka…

 

L’ESSENTIEL

  • L’Ukraine a annoncé vendredi avoir repris le village d’Andriïvka, au sud de Bakhmout. « Andriïvka n’existe plus. Disons-le, elle est complètement détruite », a toutefois affirmé Oleksandre Borodine, porte-parole de la brigade qui a conquis le village.
  • L’UE a annoncé mettre fin à l’interdiction imposée par cinq Etats de l’UE sur l’importation de céréales ukrainiennes pour protéger leurs agriculteurs. Mais dans la foulée, la Hongrie, la Pologne puis la Slovaquie ont annoncé de manière unilatérale la prolongation de l’embargo.
  • Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un est arrivé samedi à Vladivostok, dans l’Extrême-Orient russe, où il a été accueilli par le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou. La visite du dictateur nord-coréen en Russie inquiète les Occitaux, qui craignent des accords sur des livraisons d’armes.

 

13h43 : L’armée russe nie avoir été « délogée » d’Andriïvka

L’armée russe affirme ne pas avoir été « délogée » du village d’Andriïvka sur le front est, contrairement à ce qu’a déclaré l’Ukraine vendredi. « Dans le secteur de Donetsk, l’ennemi (…) a continué à mener des opérations d’assaut (…), tentant en vain de déloger les troupes russes des localités de Klichtchiïvka et Andriïvka », a indiqué le ministère russe de la Défense dans son bulletin quotidien.

Les forces de défense ukrainienne « ont libéré Andriïvka, dans la région de Donetsk », avait pourtant communiqué l’état-major ukrainien sur Facebook vendredi. Selon cette source, les troupes de Kiev avaient infligé, lors « d’opérations offensives », « des pertes significatives à l’ennemi en matière d'effectifs et d’équipements ».

Le démenti russe sème un peu plus la confusion sur la situation réelle dans ce tout petit village, peuplée d’une grosse cinquantaine d’habitants avant la guerre, après que Kiev eut annoncé cette semaine sa prise, puis l’avoir démentie, avant de finalement la confirmer, vendredi donc.

 

11h01 : A Vladivostok, Kim Jong-un examine des armes russes aux côtés du ministre de la Défense

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a rencontré samedi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou à Vladivostok, dans l’Extrême-Orient russe, où il a examiné des armes de pointe russes, dont un système de missiles hypersoniques. Kim Jong-un, qui effectue en Russie son premier déplacement à l’étranger depuis le début de la pandémie de Covid-19, est arrivé à l’aéroport de Knevichi à Vladivostok, en provenance de Komsomolsk-sur-l’Amour, où il avait visité vendredi des usines aéronautiques, a précisé l’agence de presse d’Etat Tass.

Sur la base aérienne de Knevichi, Kim Jong-un a été accueilli par Sergueï Choïgou qui lui a présenté un chasseur MiG-31 et son système de missiles hypersoniques Kinjal, selon la même source. Le dirigeant nord-coréen a également passé en revue des bombardiers Tu-160, Tu-95MS et Tu-22M3.

DIRECT

 

 

 

 

Bombardiers stratégiques à capacité nucléaire, missiles hypersoniques, navires de guerre: en visite en Russie, le leader nord-coréen Kim Jong-un fait son marché

 

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a inspecté ce samedi des bombardiers stratégiques à capacité nucléaire, des missiles hypersoniques et des navires de guerre russes, en compagnie du ministre de la Défense du président Vladimir Poutine.

Kim Jong-un, souriant, a été accueilli à l'aérodrome russe de Knevichi, à environ 50 km de la ville de Vladivostok, dans le Pacifique, par le ministre de la Défense Sergueï Choïgou.

Les États-Unis et la Corée du Sud craignent que le resserrement des liens entre Moscou et Pyongyang ne permette à Kim Jong-un d'accéder à des technologies russes sensibles, notamment des missiles, tout en aidant la Russie à s'armer dans sa guerre en Ukraine.

Sergueï Choïgou a montré au dirigeant nord-coréen les bombardiers stratégiques russes - les Tu-160, Tu-95 et Tu-22M3 - qui sont capables de transporter des armes nucléaires et constituent l'épine dorsale de la force d'attaque aérienne nucléaire de la Russie, a déclaré le ministère de la Défense. "Il peut aller de Moscou au Japon et en revenir", a déclaré le ministre à propos de l'un de ces appareils.

Vers une guerre de religion, infos du 16 septembre 2023

Missiles hypersoniques "Kinzhal"

Kim Jong-un a été montré en train de poser des questions sur la manière dont les missiles étaient tirés depuis l'avion, hochant parfois la tête et souriant. Sergueï Choïgou lui a également montré l'avion intercepteur supersonique MiG-31I équipé de missiles hypersoniques "Kinzhal".

Le Kinzhal, ou dague, est un missile balistique lancé par voie aérienne, capable de transporter des ogives nucléaires ou conventionnelles. Il a une portée de 1.500 à 2.000 km avec une charge utile de 480 kg et peut se déplacer à une vitesse dix fois supérieure à celle du son (12.000 km/h).

Après les avions et les missiles, Kim Jong-un a inspecté le navire de guerre de la flotte russe du Pacifique à Vladivostok, où il devait assister à une démonstration de la marine russe. La Corée du Sud et les États-Unis ont déclaré vendredi que la coopération militaire entre la Corée du Nord et la Russie violait les sanctions de l'Onu contre Pyongyang et que les alliés veilleraient à ce qu'il y ait un prix à payer.

Coopération militaire

La Russie n'a pas ménagé ses efforts pour faire connaître la visite de Kim Jong-un et a multiplié les allusions à la perspective d'une coopération militaire avec la Corée du Nord, qui a été créée en 1948 avec le soutien de l'Union soviétique.

Pour Vladimir Poutine, qui affirme que Moscou est engagé dans une bataille existentielle avec l'Occident au sujet de l'Ukraine, courtiser Kim Jong-un lui permet de piéger Washington et ses alliés asiatiques tout en s'assurant potentiellement un important approvisionnement en artillerie pour la guerre en Ukraine.

Washington a accusé la Corée du Nord de fournir des armes à la Russie, qui possède le plus grand stock d'ogives nucléaires au monde, mais il n'est pas certain que des livraisons aient eu lieu.

Source

 

 

L’UE "s’est pliée au diktat de Biden" sur l'Ukraine, accuse un ex-ministre français

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 septembre 2023
"La moindre divergence avec un Zelensky désormais érigé en réincarnation du Christ vous vaut aussitôt le titre de 'collabo-poutiniste'". Un ex-ministre français de l'Éducation reproche à l'Europe de favoriser le conflit en Ukraine.
"Nos élites européennes sont incapables d’autre chose que de "booster" une guerre aussi insensée que meurtrière", martèle Luc Ferry, ancien ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse de France, dans les pages du Figaro.
Mais en dépit de sommes colossales injectées notamment par les États-Unis dans l'armement, la contre-offensive de Kiev "est d’ores et déjà un échec reconnu par Zelensky lui-même", poursuit-il.

Cependant, "la moindre divergence avec un Zelensky désormais érigé en réincarnation du Christ vous vaut aussitôt le titre de 'collabo-poutiniste'".

L'Ukraine derrière la guerre

Or, c'est Kiev qui a déclenché la guerre dès 2015, en tentant de soumettre le Donbass par les armes, rappelle Luc Ferry.

"La première décision prise place Maïdan fut de détrôner la langue russe, celle qu’on parlait dans ces communautés: c’était non seulement une faute, mais une effroyable bêtise", renchérit l'ex-ministre.

Cette décision a entraîné des humeurs séparatistes dans les régions majoritairement russophones, déduit-il. Déclencher la guerre du Donbass "au lieu de négocier une forme d’autonomie était aussi absurde que suicidaire".

Aujourd’hui, "la population de Crimée est à 85% russe", c'est pourquoi "aucune victoire n’est désormais possible dans les termes de Zelensky". Et aucun Président russe ne renoncera à la Crimée.

L’UE s’est cependant "pliée au diktat de Biden", constate Luc Ferry, en qualifiant cette soumission de "honteuse". Cela "a permis à Poutine de rassembler autour de lui une pléiade de nations antiaméricaines, et désormais antieuropéennes". Il s'agit principalement de pays d’Afrique et des BRICS élargis, précise-t-il.

"Les Européens veulent-ils vraiment passer aux yeux du monde entier pour les idiots utiles d’une Amérique dont les intérêts sont diamétralement opposés aux nôtres?", s'interroge-t-il en conclusion.

Source

 

 

 

Guerre en Ukraine: Écarté de l'armée pour sa proximité avec Prigojine, le "général Armageddon" Sourovikine réapparaît... en Algérie

Vers une guerre de religion, infos du 16 septembre 2023

Il avait été limogé de l'armée russe par Vladimir Poutine pour ses liens avec le groupe Wagner.

Surnommé "Général Armageddon", très apprécié des troupes et redouté par les Occidentaux, Sergueï Sourovikine est réapparu récemment en Algérie, rapporte le média russe Kommersant.

Des images publiées sur Facebook le montrent en tenue civile aux côtés d'officiers russes en uniforme militaire et de l'Imam de la grande mosquée d'Oran, Abou Abdallah Zebar.

"Une délégation russe de haut niveau a visité la Grande Mosquée Abdelhamid Ben Badis, et a été reçue par le Directeur des Affaires Religieuses et l'Imam de la Grande Mosquée", a indiqué celle-ci dans un message accompagnant ces photos.

Moscou n'a pas communiqué sur cette visite en Algérie.

Détenu plusieurs jours

Sourovikine avait disparu durant plusieurs jours après la rébellion armée avortée du groupe Wagner le 24 juin dernier, semble-t-il détenu par les services de renseignements russes. Présumé proche d'Evguéni Progojine, il avait appelé les rebelles à "arrêter" et à rentrer dans leurs casernes "avant qu'il ne soit trop tard".

Vétéran de la guerre soviétique en Afghanistan et de la deuxième guerre de Tchétchénie dans les années 2000, Sergueï Sourovikine a participé à la campagne russe en Syrie en 2015, avant de devenir l'un des principaux commandants de l'intervention militaire russe en Ukraine.

Le général d'armée Sergueï Sourovikine a commandé le groupe des forces armées russes en Syrie de mars à décembre 2017. Le 31 octobre 2017, il avait été nommé commandant en chef des Forces aérospatiales (VKS) de la Fédération de Russie. Le 8 octobre 2022, Sourovikine il était promu commandant du Groupe conjoint des forces russes dans le cadre de l'opération militaire en Ukraine.

Dégradé

Le 11 janvier 2023, Vladimir Poutine l'a démis du poste de commandant du groupe russe en Ukraine et l'a remplacé par Valery Gerasimov, chef d'état-major général des forces armées russes. Sourovikine était resté commandant adjoint.

Le 22 août, les médias russes citant ont rapporté que Sergueï Sourovikine avait été démis de ses fonctions de commandant en chef des forces aérospatiales russes. Le ministère de la Défense n’a pas officiellement annoncé sa démission, mais en septembre, les mentions du général ont disparu du site Internet du ministère.

Le 6 septembre, le colonel général adjoint à la retraite de la Douma, Viktor Zavarzine, assurait que Sergueï Sourovikine avait trouvé une "bonne position à la CEI (Communauté des États indépendants, vestige de l'ex URSS, NDLR)".

Source

 

 

 

L'armée américaine admet que son plan de déploiement d'armes hypersoniques est en retard

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 septembre 2023
Après avoir retardé son dernier test de l'arme hypersonique à longue portée (LRHW), l'armée américaine a admis que son projet de déployer le missile lancé au sol d'ici la fin septembre était hors calendrier. Le Pentagone a eu du mal à rattraper ses rivaux comme la Russie et la Chine dans le développement d’armes avancées.
Plus tôt ce mois-ci, l’armée a annulé son test prévu de l’arme avant son entrée en service actif prévue fin septembre, sur la base de problèmes non déclarés rencontrés lors des « vérifications avant vol ».

"Il n'est pas rare que les dates de déploiement soient ajustées en fonction des développements en temps réel", a déclaré vendredi un porte-parole de l'armée américaine aux médias américains. « Nous continuons de poursuivre de manière agressive les tests et la mise en service d’armes hypersoniques à longue portée. Notre objectif est de mettre le système en service le plus rapidement possible après un test réussi. Il s’agit d’une priorité absolue en matière de modernisation pour l’armée et pour le ministère de la Défense. »

L’armée développe le LRHW avec Lockheed Martin depuis 2019 dans le cadre de plusieurs programmes d’armes hypersoniques après que la Russie et la Chine ont lancé leurs propres armes hypersoniques.

Le LRHW est tiré depuis un transporteur-érecteur-lanceur (TEL) mobile comme un missile balistique lancé au sol, mais contient un véhicule planeur non motorisé qui emmène l'ogive vers sa destination finale à des vitesses supérieures à Mach 5, tout en effectuant des manœuvres aléatoires. . Le résultat est une arme incroyablement difficile à suivre et encore plus difficile à abattre. Il a une autonomie signalée de 1 725 milles (2 780 kilomètres).

Outre sa variante lancée au sol, le LRHW devrait également être adapté au tir des croiseurs de classe Zumwalt de l'US Navy, qui ont déjà commencé à être réaménagés pour transporter les tubes de missiles extra-larges.

Une autre arme hypersonique en cours de développement par le Pentagone, l'arme à réponse rapide à lancement aérien (ARRW), est également en retard après des échecs répétés lors des tests. L'arme est tirée depuis le dessous de l'aile d'un bombardier B-52 Stratofortress et contient également un véhicule planeur. D’autres types d’armes hypersoniques pourraient utiliser la technologie des statoréacteurs pour fonctionner davantage comme des missiles de croisière ultra-rapides.

La Russie a ouvert la voie dans le développement d’armes hypersoniques au début du XXIe siècle après que les États-Unis ont détruit unilatéralement le Traité sur les missiles anti-balistiques (ABM) , un accord de 1972 visant à réduire le risque de guerre nucléaire. Le traité limitait les États-Unis et l’Union soviétique (plus tard la Russie) à deux ensembles de complexes d’intercepteurs de missiles balistiques dans le but d’éviter que l’un ou l’autre pays ne se croie si à l’abri d’une contre-attaque ennemie qu’il pourrait survivre au lancement d’une première frappe nucléaire.

Après que les États-Unis ont commencé à développer une série de nouveaux intercepteurs de missiles anti-balistiques après la fin de l’ABM en 2002, la Russie a dépoussiéré les projets des années 1980 concernant les armes hypersoniques, conçues pour battre les systèmes de défense antimissile balistique traditionnels. Avangard, la première arme hypersonique au monde, a été annoncée au monde en 2018, et la Russie en a introduit deux autres depuis : le missile de croisière hypersonique Kinzhal et le missile à lancement de surface et sous-marin Zircon.

La Chine a également été pionnière dans le développement de plusieurs types d’armes hypersoniques, conformément à sa forte concentration sur les missiles à longue portée comme contre-attaque asymétrique à la technologie supérieure de l’armée américaine. L'Iran et la Corée du Nord ont également annoncé des tests d'armes hypersoniques.

Spoutnik

 
 

 

 

La Chine impose des sanctions contre les entreprises de défense Lockheed Martin et Northrop Grumman

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 16 septembre 2023

MOSCOU (Sputnik) - La Chine a décidé d'imposer des sanctions contre les sociétés de technologie de défense basées aux États-Unis Northrop Grumman et Lockheed Martin en raison d'une prétendue fourniture d'armes à Taiwan, a déclaré vendredi le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Mao Ning.

"Lockheed Martin Corporation, St. Louis, MO, a directement participé à la vente d'armes américaine à Taiwan annoncée le 24 août en tant qu'entrepreneur principal. Northrop Grumman a participé à plusieurs ventes d'armes américaines à Taiwan. Conformément à la loi anti-sanctions étrangères du "République populaire de Chine, la Chine décide d'imposer des sanctions à ces deux sociétés de défense américaines susmentionnées", a déclaré la porte-parole lors d'un point de presse, ajoutant que Pékin appelle les États-Unis à respecter la souveraineté de la Chine et à arrêter les ventes d'armes à Taiwan afin de ne pas provoquer "La réponse résolue de la Chine."

Les sanctions chinoises contre les entreprises impliquent l’interdiction de tous les investissements ainsi que des activités d’exportation et d’importation dans le pays. Les dirigeants des entreprises ont reçu une interdiction d'entrée. Les permis de travail et de séjour de tous les salariés des entreprises sont annulés. En outre, les entreprises doivent payer des amendes qui sont deux fois plus élevées que le montant total des transactions de chaque entreprise avec Taipei.

Taiwan est gouvernée indépendamment de la Chine continentale depuis 1949. Pékin considère l'île comme sa province, tandis que Taiwan maintient qu'elle est une entité autonome mais ne déclare pas son indépendance. Pékin s'oppose à tout contact étranger officiel avec Taipei et considère la souveraineté chinoise sur l'île comme incontestable.

La dernière escalade autour de Taiwan a eu lieu en avril après que la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a rencontré le président de la Chambre des représentants américaine, Kevin McCarthy, aux États-Unis. Pékin a répondu en lançant des exercices militaires massifs de trois jours près de l’île, ce qu’il a appelé un avertissement aux séparatistes taïwanais et aux puissances étrangères. En août, les forces armées taïwanaises ont signalé avoir observé à plusieurs reprises des patrouilles navales et aériennes chinoises à proximité de l'île.

Spoutnik

 
 

 

 

Le Burkina Faso ordonne à l’attaché militaire à l’ambassade de France de quitter le pays

 

La junte militaire du Burkina Faso a indiqué vendredi dans un communiqué avoir ordonné à l’attaché militaire à l’ambassade de France, Emmanuel Pasquier, de quitter le pays en raison d’un «comportement subversif».

Le communiqué précise que Pasquier et ses employés doivent quitter le pays dans un délai de deux semaines.

Le ministère français des Affaires étrangères a déclaré qu’il «étudiait les informations selon lesquelles son attaché militaire avait été expulsé et ne pouvait pas faire de commentaire dans l’immédiat».

Le gouvernement de transition du Burkina Faso a déjà ordonné à l’ambassadeur de France, ainsi qu’à la haute responsable des Nations unies Barbara Manzi, de quitter le pays fin 2022.

En janvier, le Burkina Faso a officiellement demandé à la France de «retirer les forces françaises de son territoire d’ici un mois», alors que des milliers de personnes manifestaient dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou, pour exiger la souveraineté du pays et soutenir la junte militaire au pouvoir.

source : Al Manar

 

 

Niger : Emmanuel Macron affirme que l’ambassadeur de France Sylvain Itté est “pris en otage” au sein de l’ambassade (MàJ)

15/09/2023

Le président français hausse le ton. Emmanuel Macron a déclaré vendredi 15 septembre que l’ambassadeur de France au Niger, Sylvain Itté, était pris en « otage » par les militaires au pouvoir et ne se nourrissait plus que de « rations militaires ».

« Au Niger, au moment où je vous parle, nous avons un ambassadeur et des membres diplomatiques qui sont pris en otage littéralement à l’ambassade de France », a déclaré le chef de l’Etat lors d’un déplacement à Semur-en-Auxois (Côte-d’Or, centre-est de la France). « On empêche de livrer la nourriture. Il mange avec des rations militaires », a-t-il ajouté (…)

Le Monde


31/08/2023

Les militaires au pouvoir au Niger ont haussé le ton contre la France en annonçant avoir “instruit” les services de police de la nécessité de procéder à l’expulsion de l’ambassadeur français à Niamey, après le refus de Paris de se conformer à un ultimatum exigeant son départ. (…)

A l’expiration de ce délai, M. Itté, dont Emmanuel Macron a salué mardi le travail, se trouvait toujours en poste à Niamey et aucun mouvement inhabituel n’a été observé cette semaine aux abords de l’ambassade. Jeudi, le porte-parole de l’état-major français, le colonel Pierre Gaudillière, a averti que “les forces militaires françaises sont prêtes à répondre à tout regain de tension qui porterait atteinte aux emprises militaires et diplomatiques françaises au Niger” et que “des dispositions ont été prises pour protéger ces emprises”. (…)

L’Orient-Le Jour

 

 

La France suspend les mobilités étudiantes avec le Niger, le Mali et le Burkina Faso

Fin août, des étudiants du Niger, Mali et Burkina Faso ont reçu un message du ministère des affaires étrangères les informant de l’annulation de leur séjour en France en raison de la crise diplomatique en cours.

Le mail est arrivé le 30 août, deux jours avant le départ pour la France de Koffi (prénom d’emprunt), étudiant burkinabé et doctorant en géographie. « J’ai le regret de vous informer que nous annulons notre soutien pour votre séjour en France, toutes les prestations de Campus France sont annulées (billet d’avion, allocations et assurance santé) », y annonçait un interlocuteur du ministère de l’Europe et des affaires étrangères.

La décision fait suite aux « événements intervenus à Niamey [Niger] fin juillet », poursuit l’auteur de ce message que Le Monde s’est procuré, en référence au coup d’Etat mené par des généraux désormais au pouvoir. « La France a suspendu son aide au développement à destination du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Cette décision concerne également les bourses de mobilité du gouvernement français, dont vous êtes bénéficiaire », acte-t-il. Soit une somme de 1 500 euros mensuels, pour une durée de trois mois, que devait percevoir Koffi durant son séjour de recherche en France.  […]

Du côté du ministère de l’enseignement supérieur, on assure que concernant la délivrance de nouveaux visas, la situation sera « réévaluée dans les semaines à venir à l’aune de l’évolution sécuritaire dans la région ». « Il n’a jamais été question et il ne sera jamais question ni de faire payer les populations pour les erreurs de leurs dirigeants ni de confondre coopération scientifique et politique », justifie l’entourage de Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur.

Les coopérations existantes avec des universités ou d’autres établissements scientifiques se poursuivront, ajoute-t-on. « Les intellectuels, les chercheurs et les étudiants qui doivent se rendre en France et qui détiennent déjà un visa pourront, comme les artistes, continuer de le faire », affirme l’entourage de la ministre. Le cas du doctorant Koffi montre pourtant que jusqu’ici, la détention d’un visa ne semble pas suffire pour permettre une mobilité.

Une chose est sûre, selon le ministère : les étudiants originaires des trois pays qui poursuivent leurs études actuellement en France et bénéficient d’une aide financière d’un opérateur public continueront de la percevoir. Au cours de l’année 2022-2023, Campus France a recensé un total de quelque 3 000 étudiants maliens, 2 500 Burkinabés et 1 200 Nigériens.

Le Monde

 

 

Le trio européen maintient les sanctions contre l’Iran. Téhéran réagit

 

par Al Manar

La France, l’Angleterre et l’Allemagne prolongent les sanctions contre l’Iran. La République Islamique d’Iran proteste contre la nouvelle violation par l’Europe de ses obligations dans le cadre de l’accord nucléaire de 2015.

L’Iran a dénoncé la décision de l’Angleterre, de la France et de l’Allemagne de maintenir leurs sanctions imposées au programme nucléaire et de missiles balistiques de la République islamique, et ce, en violation de l’accord signé en 2015 sur le nucléaire iranien.

Les sanctions devaient expirer le mois prochain en vertu de l’accord, officiellement connu sous le nom de Plan global d’action conjointe (PGAC). Le trio européen, qui fait partie de l’accord nucléaire, a toutefois annoncé jeudi 14 septembre son intention de maintenir les interdictions au-delà de la date limite.

Réagissant à cette décision peu de temps après, le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré qu’il la considérait comme «une mesure illégale» et contraire aux engagements du trio dans le cadre du PGAC et de la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies – qui a approuvé le PGAC.

«Cette décision constitue une mesure de tension prise de mauvaise foi», peut-on lire dans un communiqué du ministère.

Les pays européens avaient invoqué trois raisons pour expliquer leur décision, notamment leurs allégations selon lesquelles l’Iran aurait transféré des drones à la Russie, engagée dans une guerre contre l’Ukraine, ainsi que, ce qu’ils appellent, la probabilité selon laquelle Téhéran fournirait des missiles balistiques à Moscou.

La République islamique d’Iran a catégoriquement rejeté ces deux allégations, citant son rejet catégorique de la guerre en Ukraine.

Les trois pays européens ont également accusé l’Iran de violer le PGAC, faisant référence à un certain nombre de contre-mesures nucléaires légales que la République islamique d’Iran a commencé à prendre après que les États-Unis ont quitté illégalement l’accord nucléaire en 2018 et que les trois États européens n’ont adopté aucune mesure efficace pour compenser le retrait des États-Unis.

Le ministère des Affaires étrangères a rappelé que l’Iran avait pris des contre-mesures conformément aux articles 26 et 36 du PGAC, permettant à chacune des parties signataires de l’accord de réduire ses obligations au titre de l’accord nucléaire, si les autres parties font de même.

Il a également souligné que l’Iran avait lancé des mesures de représailles après avoir donné un an à Washington et au trio européen pour compenser leur violation du PGAC.

Le communiqué qualifie donc la décision du trio de «complètement dépourvue de logique juridique».

Il a par ailleurs estimé «inacceptable» que la décision du trio européen soit basée sur «des actions tout à fait légales de l’Iran en réaction au retrait des États-Unis et à l’inertie du trio européen en la matière».

«La décision des [trois] pays européens sera certainement contre-productive pour les efforts visant à gérer les tensions [existantes]…», indique le texte.

Cette décision contredit, précise le communiqué, l’allégation des parties européennes selon laquelle elles tenteraient de créer l’atmosphère propice à la relance du PGAC.

Le ministère des Affaires étrangères a, quant à lui, affirmé que la République islamique d’Iran réagirait à cette décision «illégale et provocatrice» «de la manière appropriée et conformément à ses droits en vertu des clauses stipulées dans l’accord».

source : Al Manar

 

 

L’Iran saisit deux navires pétroliers chargés de carburant dans le golfe Persique

 

Les Gardiens de la révolution iranienne ont annoncé ce vendredi, la saisie de deux navires pétroliers chargés, selon eux, de 1,5 million de litres de «carburant de contrebande» dans le golfe Persique.

L’agence de presse officielle iranienne IRNA a cité les relations publiques de la Marine des Gardiens de la révolution iranienne qui a fait savoir que «le vice-amiral Mohammed Sharif Shir Ali, commandant adjoint de la troisième région maritime, a annoncé jeudi soir les détails de la saisie de deux pétroliers étrangers transportant 1,5 million de litres de carburant de contrebande dans le golfe Persique».

«Les combattants de la marine du CGRI surveillent avec vigilance, maîtrise et précision, toutes les actions illégales des navires commerciaux et militaires transrégionaux. Ils accomplissent leur mission qu’est de les neutraliser, avec autorité», a-t-il ajouté.

La même source a souligné que «l’un des deux pétroliers battait pavillon panaméen et l’autre battait pavillon tanzanien».

D’après l’officiel iranien, «Au cours des 2 derniers jours, les combattants de la troisième région de la marine du CGRI stationnés dans le port de Mahshahr et au nord du golfe Persique, sous la surveillance des services de renseignement, ont saisi sur ordre de l’autorité judiciaire 2 navires qui tentaient de faire passer clandestinement du pétrole et du gaz de la République islamique dans le golfe Persique de manière organisée».

Le vice-amiral Mohammed Sharif Shir Ali a souligné que «Les soldats de la 3e région maritime du CGRI également, avec maîtrise, vigilance, et un comportement professionnel ont averti tous les agents étrangers, présents dans la région, et les ont interceptés avec les autorités. Ils ont accompagné des navires incriminés jusqu’au port méridional de Mahshahr et à la base d’Arvand (au nord-ouest du golfe Persique)».

Il a confirmé que «les 37 membres équipages de ces pétroliers ont également été remis aux autorités judiciaires pour poursuivre les procédures légales».

L’agence iranienne n’a pas fourni de plus amples informations sur les nationalités des équipages des deux pétroliers.

source : Agence Anadolu

 

Le néonazisme gagne du terrain dans les États baltes

 

Le néonazisme gagne du terrain dans le monde entier. Les gens ne remarquent même pas les signes d’une renaissance du nazisme. Malheureusement, les États baltes sont devenus l’un des centres de l’idéologie néonazie florissante. Voyons ce qu’était le nazisme et pourquoi les actions des autorités des États baltes peuvent aujourd’hui être qualifiées de néonazies.

Le nazisme (national-socialisme) est l’idéologie et les pratiques politiques totalitaires d’extrême droite. Le terme «néonazisme» s’applique à d’autres groupes d’extrême droite aux idées similaires qui se sont formés après la Seconde Guerre mondiale.

Le nazisme était particulièrement cruel envers les juifs. En septembre 1935, les «lois de Nuremberg» ont été adoptées, privant les juifs de leur citoyenneté et interdisant les mariages entre juifs et non-juifs. Les juifs ont été bannis des universités, les acteurs juifs ont été renvoyés des théâtres, les œuvres des auteurs juifs ont été rejetées par les éditeurs et les journalistes juifs ont eu du mal à trouver des journaux acceptant de publier leurs écrits.

Cette doctrine raciale a beaucoup de points communs avec l’attitude actuelle à l’égard des immigrés clandestins et des citoyens russes et bélarussiens dans les États baltes.

Tout comme le régime nazi, les autorités baltes diffusent la xénophobie dans tous les médias. Le régime nazi s’est attaché à faire des juifs le symbole de tout ce qui était détesté et craint, et les autorités baltes présentent certaines personnes comme les ennemis de la société balte.

En diffusant des images et des idées négatives, le régime nazi a pris des mesures légales pour expulser les juifs de la société et les priver de leurs droits et de leurs biens.  Les gouvernements lituanien, letton et estonien font de même aujourd’hui.

Ainsi, la Lituanie ne laissera entrer aucune voiture portant une plaque d’immatriculation russe. Les propriétaires qui défieront l’interdiction pourront voir leur véhicule confisqué. L’interdiction concerne les voitures, les appareils photo, les ordinateurs portables et des centaines d’autres objets de la vie quotidienne. Cette mesure ressemble aux actions des nazis qui transféraient systématiquement les maisons, les entreprises, les œuvres d’art, les actifs financiers, les instruments de musique, les livres et même les meubles des juifs vers le Reich. Les juifs ont été dépouillés de leurs biens et la plupart d’entre eux ont été tués.

Les pouvoirs d’extermination des juifs ont été transférés à l’armée. C’est apparemment la raison pour laquelle les hommes politiques des pays baltes ont envoyé des troupes supplémentaires aux frontières aujourd’hui. Le risque est grand que les unités militaires existantes et nouvelles dans les États baltes se comportent comme des néonazis à l’égard des immigrés. Comme d’habitude, les politiciens resteront propres et les militaires feront tout le sale boulot pour eux.

traduction Réseau International

 

 

Al-Qaïda menace la France et la Suède d’une nouvelle attaque terroriste, deux pays qu’elle considère comme “ennemis” de l’islam

En plus de la France, l’organisation terroriste menace également la Suède, deux pays qu’elle considère comme « ennemis » de l’islam.

Dans le dernier numéro de son magazine et outil de propagande Sada al-Malahim, le groupe Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA) a menacé l’Europe mais plus particulièrement Suède et la France d’attaques terroristes, a repéré Le Figaro ce vendredi.

« Il est désormais clairement apparent que la Suède a choisi de prendre la tête dans la guerre contre l’Islam et les musulmans parmi les pays de l’Union européenne, rivalisant ainsi avec la France, le Danemark et d’autres pour la première place dans la course à l’opposition à Dieu et à son messager », estime l’organisation terroriste, faisant ici référence aux profanations du Coran dans le pays scandinave.

Illustrée par un homme cagoulé et armé d’un fusil devant deux policiers en pleurs, cette publication se veut même plus précise sur les éventuelles attaques qui pourraient être menées par le groupe terroriste: « La Suède, la France et d’autres pays qui combattent Dieu (…) ne comprennent pas simplement des paroles abstraites. Ils ne comprennent pas le langage du dialogue et de la communication (…). Ils ne comprendront pas et ne tiendront pas compte, jusqu’à ce qu’ils entendent des nouvelles comme l’ambassade suédoise a été rasée à la suite d’une explosion violente ou une attaque armée contre un ministère à Paris », écrit Al-Qaïda.

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Le Parisien

 

Note :  ça fait bien longtemps qu'on n'avait plus attendu parler de ces rats islamique

 

 

 

Procès des attentats de Bruxelles : les peines sont tombées ; Abdeslam échappe à la perpétuité ; aucune déchéance de nationalité belge (MàJ)

16/09/2023

Mohamed Abrini, “l’homme au chapeau” qui avait accompagné les jihadistes morts en kamikazes à l’aéroport de Bruxelles le 22 mars 2016, a été condamné vendredi soir à 30 ans de réclusion pour sa participation à ces attentats (…)

Concernant Salah Abdeslam, un de ses coaccusés, la cour d’assises a renvoyé à une précédente condamnation belge prononcée en 2018 (20 ans pour une fusillade avec des policiers en mars 2016) et n’a pas voulu prononcer de peine supplémentaire. (…)

(…) trois ont écopé de la prison à perpétuité: Oussama Atar (jugé par défaut car présumé mort en Syrie), Osama Krayem [NdeFDS : ressortissant suédois d’origine syrienne] et Bilal El Makhoukhi [NdeFDS : Belgo-Marocain] (…)

Le Tunisien Sofien Ayari, déjà condamné comme Abdeslam pour la fusillade de la rue du Dries, a bénéficié du même raisonnement juridique que ce dernier: pas de peine additionnelle. Enfin le Belgo-marocain Ali El Haddad Asufi et le Belgo-rwandais Hervé Bayingana Muhirwa ont été condamnés à respectivement à 20 ans et 10 ans de réclusion. Aucune déchéance de la nationalité belge n’a été prononcée comme l’avait pourtant souhaité le parquet pour cinq hommes dont Abrini.

Le Point


25/07/2023

Salah Abdeslam et Mohamed Abrini ont été reconnus coupables d’assassinats terroristes pour les attaques à la bombe perpétrées dans la capitale Bruxelles en 2016.

La justice belge a reconnu Salah Abdeslam et Mohamed Abrini coupables d’assassinats terroristes pour les attaques à la bombe perpétrées à Bruxelles en 2016 qui ont fait 32 morts et plus de 300 blessés.

Il s’agit de l’infraction la plus grave retenue devant la cour d’assises de Bruxelles pour juger ces attentats-suicides. Les deux hommes encourent une peine de réclusion à perpétuité. A l’inverse de Mohamed Abrini, Salah Abdeslam, en prison le jour des attentats, a contesté sa participation aux faits.

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Salah Abdeslam et Mohamed Abrini ont déjà condamnés à la prison à vie en 2022 à Paris pour les attentats du 13 novembre 2015.

BFM

 

Note: justice de merde, ils sont même conciliants avec leurs bourreaux !

 

 

 

 

Des migrants clandestins fraichement arrivés en France squattent la place de l’Hôtel de Ville à Paris et exigent des logements (MàJ : plus de 700 Parisiens candidats à la location en 7 jours pour un logement de 10m² à 610 euros)

21/08/23

Les Parisiens qui sortent de la bouche du métro se retrouvent au cœur d’un véritable campement, le sol jonché de sacs plastiques et de cartons. Certains viennent de débarquer via la Méditerranée, d’autres sont dans l’Hexagone depuis un an, voire deux déjà. «On nétait pas au courant que c’était compliqué. On a vu la réalité», confie Mme Kone, arrivée de Côte d’Ivoire il y a 15 jours en passant par la Tunisie. «On est venus en France parce que ça va pas en Afrique. Si ça allait, pourquoi on aurait traversé la mer et risqué notre vie comme ça ? Je ne regrette pas d’être venue. Mais on veut un logement».

Où sont leurs maris ? «Le mien est ici, je l’ai croisé. Il est en balade. Il fait rien», lâche Mme Coulibaly en haussant les épaules. «Ils vont se laver dans les associations d’accueil de jour», ajoute sa voisine, allongée sur son carton. Elle vient de Guinée, et a laissé ses deux enfants de 2 et 4 ans au pays. Elle n’a emmené que le dernier.

Le Figaro

 

 

En Italie et en Allemagne, on constate que les origines étrangères similaires ont des surpondérations comparables dans la criminalité par rapport aux autochtones

 

 

 

Mort de Philippe Monguillot : le procès des meurtriers du chauffeur de bus de Bayonne s’ouvre à Pau ; les deux accusés ne sont plus poursuivis pour meurtre mais pour “violences volontaires” (MàJ)

 

15/09/23

FAITS DIVERS – C’est un drame qui avait beaucoup fait parler, en pleine réouverture du pays après des semaines de confinement. En juillet 2020, des milliers de personnes avaient défilé à Bayonne après la mort d’un chauffeur de bus, roué de coups par des passagers qui refusaient de porter un masque anti-Covid. Ses deux agresseurs présumés comparaissent à partir de ce vendredi 15 septembre devant la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques.

Ce 5 juillet 2020, Philippe Monguillot, 59 ans, marié et père de trois filles majeures, avait été frappé par deux passagers dans le bus qu’il conduisait, après avoir porté un coup de tête à l’un d’eux. Laissé en état de mort cérébrale à côté de son véhicule, il avait succombé après cinq jours de coma à l’hôpital.

La qualification de « meurtre aggravé » écartée

Trois ans plus tard, les deux accusés principaux, âgés de 25 ans, déjà condamnés dans le passé pour d’autres faits, sont jugés pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». En état de récidive légale (l’un d’eux était en liberté conditionnelle depuis moins de trois mois le jour de son arrestation), ils sont écroués depuis les faits, aggravés par le statut de la victime, chargée d’une mission de service public. Ils encourent une peine de 20 ans d’emprisonnement.

(…) Huff Post


16/09/22

La cour d’appel de Pau a finalement tranché : les deux hommes accusés d’avoir tué un chauffeur d’autobus à Bayonne en juillet 2020 seront bien jugés pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Les magistrats ont confirmé ce vendredi la décision de la juge d’instruction qui avait écarté en mai dernier la qualification de « meurtre aggravé » défendue par le parquet de Bayonne. Ce dernier avait aussitôt fait appel.

Les deux hommes, suspectés de la mort du chauffeur Philippe Monguillot, seront en revanche jugés par la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques car ils se trouvent tous les deux en état de récidive légale à cause de condamnations délictuelles antérieures.

Le Parisien

 

 

 

 

Aulnay-sous-Bois (93) : un homme entre la vie et la mort après une altercation avec un livreur de pizza

Il se serait mis devant la voiture, en mettant au défi le conducteur de lui rouler dessus. Il est maintenant entre la vie et la mort. Un habitant d’Aulnay-sous-Bois a été grièvement blessé ce vendredi soir, quasiment devant chez lui. Un livreur de pizza, avec qui il se disputait, l’a percuté volontairement avant de prendre la fuite.

L’habitant reprocherait au jeune coursier de se garer à un endroit où il n’a pas le droit de le faire.

Le Parisien

 

 

Fête de l’Huma 2023 : les Jeunes Communistes 94 combattent le « privilège de mec cisgenre » pour que « pisser debout » ne soit plus un privilège

 

 

Note: curieux de voir s'ils vont réagir à mon message de sympathie 😄

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