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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 26 aout 2022

 

 

Comme tout les jeudis,  je publie un nouveau quatrain

 

C 5 - Q 54

Du pont Exine, & la grand Tartarie,
Vn Roy sera qui viendra voir la Gaule,
Transpercera Alane & l'Armenie,
Et dedans Bisance lairra sanglante gaule

 

De la mer Noire, & de la grande Tartarie (Russie ou chine) ,
Un Roi sera qui viendra voir la France,

Transpercera L'Ossétie du nard & l’Arménie,
Et dedans la Turquie laissera une sanglante marque

 

 

Le problème avec ce quatrain c'est que la Tartarie peut aussi bien désigner la Russie que la Chine (n'hésitez pas à cliquer sur les liens orange du quatrain).

Qui est ce roi qui va venir voir la France Poutine ou Xi Jinping ! Le dernier vers laisse penser que ce roi  fera une guerre sanglante contre la Turquie (il a donc plus de probabilité que se soit Poutine)

Je posterais jeudi prochain, un quatrain qui démontre que la Russie sera avec le grand monarque chrétien pour défendre l’Europe contre les musulmans, malgré qu'au début de cette guerre la Russie marchera avec les musulmans

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : TotalEnergies va céder sa participation dans un champ gazier russe à son partenaire Novatek…

 

L’ESSENTIEL

  • Au centre de toutes les inquiétudes en raison de bombardements dont s’accusent mutuellement Russes et Ukrainiens, la centrale de Zaporojie s’est trouvée « totalement déconnectée » du réseau jeudi après des dommages sur les lignes électriques causés par des incendies, a annoncé la compagnie d’Etat ukrainienne Energoatom.
  • Le président russe Vladimir Poutine a signé le même jour un décret ordonnant d’augmenter de 10 % (+ 137.000 soldats) le nombre des militaires que compte l’armée, en pleine offensive contre l’Ukraine et sur fond de tensions croissantes avec les pays occidentaux.
  • L’Ukraine a dénoncé jeudi le bombardement russe d’une gare qui a provoqué la veille selon elle la mort d’au moins 25 civils, Moscou affirmant de son côté avoir visé un train militaire et tué plus de 200 soldats.

 

15h40 : Le groupe français TotalEnergies annonce céder sa participation dans un champ gazier russe à son partenaire Novatek

 

13h45 : La centrale nucléaire de Zaporojie raccordée au réseau

La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, la plus grande d'Europe, sous occupation russe et dont le site a subi des bombardements, a été rebranchée au réseau électrique vendredi après une déconnexion la veille, a annoncé l'opérateur ukrainien Energoatom. 

«Un des réacteurs de la centrale de Zaporojie arrêtés la veille a été reconnecté au réseau électrique aujourd'hui» vendredi à 14H04, a annoncé Energoatom sur Telegram, tout en assurant que ses systèmes de sécurité fonctionnaient normalement.

 

13h00 : « Le nucléaire civil ne doit pas être un instrument de guerre », plaide Emmanuel Macron

Emmanuel Macron a appelé vendredi à ce que le « nucléaire civil » ne soit pas « un instrument de guerre », après les bombardements qui ont endommagé la gigantesque centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l’Ukraine.

« La guerre en aucun cas ne doit porter atteinte à la sûreté nucléaire du pays, de la sous-région et de nous tous. Le nucléaire civil doit être totalement protégé », a insisté le président français lors de déclarations à la presse en marge d’un déplacement à Alger.

 

Note :  j'en profite pour publiez cette vidéo vérité 

 

 

11h30 : La Turquie minimise la mise en garde de Washington sur son commerce avec la Russie

Les entreprises turques ne devraient pas s’inquiéter du risque de sanctions américaines concernant le commerce avec la Russie, a affirmé vendredi le ministre des Finances turc après une mise en garde de Washinton aux organisations patronales turques.

« La lettre [du Trésor américain] envoyée aux cercles d’affaires turcs ne devraient pas susciter d’inquiétude », a tweeté Nurettin Nebati, « nos milieux d’affaires devraient ressentir la puissance de l’Etat à leurs côtés. »

 

10h50 : Flambée tarifaire de l’énergie au Royaume-Uni en pleine crise du coût de la vie

Les tarifs réglementés de l’énergie vont augmenter de 80 % à partir d’octobre au Royaume-Uni et les factures de gaz et électricité pourraient augmenter encore « considérablement » l’an prochain en pleine crise du coût de la vie.

« La hausse reflète la progression continue des cours mondiaux de gros du gaz, démarrée avec les déconfinements post-pandémie, et ont été poussés à des niveaux record quand la Russie a lentement interrompu ses approvisionnements de gaz à l’Europe », argumente l’Ofgem.

DIRECT

 

 

 

 

Inflation : le bouclier tarifaire de l'énergie va augmenter de 80% au Royaume-Uni

  • Les prix du gaz et de l'électricité ont flambé au Royaume-Uni depuis le début de la guerre en Ukraine.
    Les prix du gaz et de l'électricité ont flambé au Royaume-Uni depuis le début de la guerre en Ukraine. Pixabay

Plus de la moitié des foyers britanniques devraient se retrouver en "précarité énergétique" et sont sous la menace d'un "hiver dramatique et catastrophique".

Les Britanniques vont constater l'ampleur de la crise énergétique qui les attend l'hiver prochain avec l'annonce attendue vendredi d'un possible relèvement de 80% du bouclier tarifaire, une décision du régulateur qui va accentuer la pression sur le gouvernement pour aider des millions de foyers.

Déjà en hausse à la suite de la crise sanitaire du coronavirus, les prix du gaz et de l'électricité ont flambé depuis le début de la guerre en Ukraine et sous l'effet de la décision de la Russie de réduire ses exportations de gaz vers l'Europe.

L'inflation en Grande-Bretagne a atteint un pic en quatre décennies. Cette hausse des prix se reflète dans les factures des consommateurs britanniques à travers un bouclier tarifaire calculé chaque trimestre.

Destiné à empêcher les fournisseurs d'énergie d'effectuer des surprofits, ce bouclier est désormais le prix plancher disponible pour 24 millions de foyers.

A lire aussi : Pouvoir d'achat : pas d'amélioration sur le front de l'inflation "avant début 2023", prévient Bruno Le Maire

Une facture énergétique annuelle de plus de 4.000 euros

D'après les estimations des analystes de Cornwall Insight, le bouclier en vigueur à compter du 1er octobre va connaître une hausse de 80%, portant la facture énergétique annuelle des Britanniques à une moyenne de 3.554 livres (4.216,70 euros environ).

"Sans une aide supplémentaire du gouvernement, plus de la moitié des foyers britanniques devraient se retrouver en précarité énergétique", a déclaré mercredi le directeur de clientèle de la branche britannique d'EDF, Philippe Commaret, ajoutant que les consommateurs étaient sous la menace d'un "hiver dramatique et catastrophique".

Être en précarité énergétique signifie utiliser plus de 10% de ses revenus pour payer les factures énergétiques. La hausse des coûts de l'énergie, qui se répercute dans un éventail de produits tels que les biens alimentaires et les billets de voyage, devrait amplifier une crise du pouvoir d'achat en Grande-Bretagne, alors que la Banque centrale d'Angleterre a prévenu des risques d'une récession longue 

 
 

 

 

39 % des Français de 18 à 25 ans ont au moins un membre de leur famille concerné par la guerre d’Algérie : pour Libé, certains d’entre eux racontent leurs espoirs d’une vérité apaisée

Ilyès (1) n’a jamais connu la guerre. Pourtant, elle a toujours fait partie de son intimité, des lettres de généraux accrochées sur les murs du salon jusqu’aux fusils oubliés dans les recoins de la maison de ses aïeux. Les récits familiaux sur la période de «libération» de l’Algérie ont bercé son enfance, puis son adolescence. «C’est un peu comme un tableau que tu vois tous les jours… Tu n’y prêtes même plus attention, mais au fond de toi, tu sais qu’il est là», décrit le Franco-Algérien de 26 ans, qui vit aujourd’hui à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Lorsqu’il évoque son rapport à cette guerre, il se remémore les «séquelles psychologiques» de son grand-père, ancien combattant de la libération nationale, retenu en captivité pendant plusieurs années par l’armée française. «La nuit, dès qu’il fermait l’œil, il se mettait à hurler. En tant qu’enfants et petits-enfants, on a dû apprendre à vivre avec ça.»

« On ne m’a pas tout dit d’un coup »

La période coloniale et la guerre d’Algérie (1954-1962) ont laissé des traces durables au sein de la société algérienne, mais aussi française. Environ 39% des jeunes Français de 18 à 25 ans ont aujourd’hui un membre de leur famille concerné par cette histoire, selon les estimations de Paul Max Morin (2), chercheur au Centre de recherches politiques de Sciences Po. Sur la base d’une enquête menée auprès de 3 000 jeunes et d’une centaine d’entretiens avec des petits-enfants d’appelés, de pieds-noirs, de harkis, de juifs d’Algérie, de militants au Front de libération nationale (FLN) et à l’Organisation armée secrète, l’enseignant décrit la manière dont la nouvelle génération interprète, négocie et utilise cet héritage au quotidien : «La plupart d’entre eux savent finalement assez peu de choses sur ce passé. C’est encore plus le cas dans les familles de Français d’origine algérienne, au sein desquelles on a très peu relaté ces événements, en raison de l’humiliation subie lors de la guerre, du racisme ou des barrières de la langue. Deux catégories de jeunes ont développé un plus grand intérêt pour cette histoire : les descendants et les politisés, que ce soit à droite ou à gauche.»

[…]

 

Libération

 

 

Le TA de Paris suspend l’expulsion du prédicateur islamiste marocain Hassan Iquioussen, fiché S, Darmanin fait appel devant le Conseil d’Etat (Màj : L’audience est levée, décision rendue la semaine prochaine)

TA : Tribunal administratif 

26/08/2022

L’audience est levée, décision rendue la semaine prochaine.


Live tweet à dérouler :

En direct du Conseil d’État qui se penche aujourd’hui sur la demande d’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen. Il y a quelques semaines, le tribunal administratif avait suspendu l’arrêté d’expulsion le visant. Gérald Darmanin avait déposé un recours qui est examiné aujourd’hui.



09/08/2022

Islam : Tareq Oubrou, imam de Bordeaux et beau-frère d’Hassan Iquioussen, dénonce un « discours qui produit du séparatisme mental » et cela même chez les « imams les plus classiques »

 


07/08/2022

Fiché S depuis 18 mois, ses propos antisémites tenus en 2022 n’ont pas été versés à la procédure

[…]

Un signalement inédit émanant d’un policier de Valenciennes et datant du 3 mai 2022, non versé à la procédure, n’avait fait que conforter cette position. Le brigadier-chef y racontait sa visite au domicile d’Hassan Iquioussen pour lui notifier l’arrêté préfectoral d’expulsion. Au cours d’une discussion qualifiée de courtoise et sans animosité, ce dernier avait cependant affirmé que « le lobby sioniste voulait sa peau depuis 2004 ».

 

Selon une source proche du dossier, l’imam était aussi fiché S depuis environ dix-huit mois. Il avait en outre été condamné pour un abattage rituel irrégulier.

Le TA (tribunal administratif) a toutefois entendu les contre-exemples présentés par l’avocate de l’imam dans lesquels celui-ci récusait notamment toute haine des juifs. « Il ne ressort pas des pièces du dossier qu’il aurait réitéré des propos antisémites postérieurement à 2014 », indique ainsi le tribunal. Il lui apparaît en dernier ressort qu’une mesure d’expulsion d’Hassan Iquioussen, alors qu’il est né en France et y réside avec ses cinq enfants, serait « une atteinte grave et manifestement disproportionnée à son droit à mener une vie privée et familiale normale ».

Le JDD

 

Un professeur de lettres en banlieue parisienne témoigne anonymement de la percée du salafisme à l’école, une idéologie totalitaire qui, depuis une dizaine d’années, vient perturber ses cours

[…]

 

D’où vient ce malaise, selon vous ?

En banlieue parisienne, la plupart des lycées sont des établissements de relégation. Le premier problème est celui de la mixité territoriale : il n’y a pas de brassage. Dans mes classes de Première, par exemple, tous les élèves sont d’origine immigrée. Ils se sentent oubliés, abandonnés par la République et, en réaction, ils se jettent dans le salafisme. Ils sont en quête de sens et ils le trouvent dans cette religion englobante, qui a réponse à tout, ou presque. Les Frères musulmans font du prosélytisme, certaines municipalités s’avèrent complaisantes. Et la conversion à l’islam est facile, rapide. Résultat ? Depuis une dizaine d’années, l’école, qui est le reflet de la société, est devenue perméable à cette fièvre religieuse. L’abaya – un voile couvrant l’ensemble du corps, à l’exception du visage, des mains et des pieds – y a fait son apparition. Les jeunes filles sont de plus en plus nombreuses à s’en vêtir et même, parfois, à enfiler cagoules et gants, à la saoudienne, à la sortie de l’établissement. Ces tenues n’existaient pas il y a quinze ans.

Au quotidien, comment se traduit cette percée islamiste ?

Ce sont de petits signes qui, additionnés les uns aux autres, révèlent un climat préoccupant. Comme cette altercation entre deux élèves à laquelle j’ai assisté, l’une reprochant à l’autre d’avoir apporté des fraises Tagada en cours. Les bonbons n’étaient pas halal, car ils contenaient de la gélatine de porc… Ou cette mère, qui a refusé que sa fille retire ses gants en classe de chimie. Ce sont aussi ces adolescents qui, après avoir lu un texte du penseur Condorcet, ont lancé, bravaches : « L’éducation, ce n’est pas pour les filles ! » C’est cet élève qui, après avoir visionné un reportage sur les mariages forcés en Inde, explique que « les femmes sont sur Terre pour obéir aux hommes », et la classe ne bronche pas. Ou bien encore ces deux jeunes filles qui se présentent, recouvertes d’un voile intégral, pour une sortie scolaire au musée. Quand je leur demande de le retirer, aucun signe religieux ostentatoire n’étant autorisé, je me retrouve accusé de « racisme contre l’islam ».

Vous décrivez aussi la défiance des élèves vis-à-vis de l’apprentissage…

Oui, c’est un phénomène récent, qui s’explique par la poussée religieuse autant que par la concurrence des réseaux sociaux. Certains élèves croient plus facilement ce qu’ils voient passer sur Facebook ou TikTok que ce qui est écrit dans un manuel scolaire, ou dans un article de presse, quelles que soient la notoriété et la légitimité du média. En classe, ils opposent leur vérité au savoir scientifique. Certains sujets se révèlent inflammables, notamment en sciences. Quand vous donnez un cours sur la reproduction sexuée ou l’astronomie, vous vous retrouvez en butte avec leur foi. Un jour, j’ai distribué à ma classe un texte d’Emmanuel Kant, « Qu’est-ce que les Lumières ? » Le philosophe y rappelle que la Terre tourne autour du soleil, et non l’inverse. La semaine suivante, une élève est revenue brandir le Coran en citant un passage dans lequel il est écrit que la Terre, au centre de tout, est en concurrence avec le soleil. Je lui ai rétorqué que la foi n’exclut pas la raison, mais elle est repartie, vexée et en colère. Parfois, le découragement me guette.

[…]

 

Le Parisien

 

 

Canada: le Québec franchira aisément la barre des 100.000 immigrés en 2022, un record qui va à l’inverse des promesses des gouvernants

En prendre moins, mais en prendre soin. Tel était le slogan répété, jour après jour, durant la dernière campagne électorale victorieuse de François Legault.

Pourtant, dans les faits, c’est un tout autre scénario qui a déboulé sur le Québec au cours des quatre dernières années.

[…]

Depuis l’arrivée au pouvoir du chef caquiste, le nombre de personnes arrivées dans le cadre du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET) a rapidement explosé. Entre 2017 et 2019, ce nombre a même doublé […]

En cumulant les résidents permanents et les temporaires, la barre des 100 000 immigrants – hors étudiants étrangers – sera donc aisément franchie cette année.

Et ce décompte ne prend pas en compte, non plus, le nombre de travailleurs venant dans le cadre du Programme de mobilité internationale (PMI). Ce programme permet aux employeurs – selon les professions – de réaliser des embauches sans avoir à fournir une longue, coûteuse et pénible évaluation des impacts sur le marché du travail (EIMT).

[…]

Outre la baisse du nombre d’immigrants, le gouvernement Legault avait un autre cheval de bataille : améliorer le taux de francisation.

[…]

À ce jour, ne pas connaître la langue française n’est pas rédhibitoire pour immigrer au Québec. Le gouvernement a même ouvert la porte à une réduction de ces exigences pour permettre plus facilement à des “talents” – selon les mots utilisés par Nadine Girault – d’arriver dans la province.

Pour la première fois, un programme d’immigration, avec quelques centaines de places, a aussi été créé. Celui-ci est réservé aux non-francophones travaillant dans certains secteurs recherchés, avec des hauts salaires.

[…]

Radio-Canada

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