Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Xi prévient les États-Unis de "ne pas jouer avec le feu"
Le Président chinois a prévenu son homologue américain Joe Biden lors d'un sommet virtuel qu'oeuvrer à l'indépendance de Taïwan revenait à "jouer avec le feu".
"Les autorités taïwanaises ont tenté à plusieurs reprises de s'appuyer sur les États-Unis pour l'indépendance et certains aux États-Unis tentent d'utiliser Taïwan pour contrôler la Chine", a fait remarquer l'homme de fort de Pékin.
"C'est une tendance très dangereuse qui revient à jouer avec le feu", a-t-il dit, selon des propos rapportés par le ministère chinois des Affaires étrangères.
Les passes d'armes se sont multipliées ces dernières semaines entre Pékin et Washington sur le sort de l'île, qui jouit d'un système démocratique et dispose d'un gouvernement, d'une monnaie et d'une armée propres.
Le territoire n'a toutefois pas proclamé d'indépendance formelle et continue à s'appeler officiellement "République de Chine". Le pouvoir communiste à Pékin menace de recourir à la force si tel était le cas.
"Si les séparatistes à Taïwan (...) franchissent la ligne rouge nous devrons prendre des mesures décisives", a assuré le Président Xi.
Tir de missile antisatellite: la Russie se veut rassurante
Après le tir de missile russe dans l'espace, une avalanche de réactions outrées s'est abattue sur la Russie. Venues du camp occidental, ces critiques pointent « l'irresponsabilité » de Moscou, qui aurait mis en danger l’équipage de la Station spatiale internationale. Mais la Russie assume ce tir et rejette des critiques qu'elle qualifie d'infondées et d'hypocrites, plusieurs pays dont les États-Unis ayant déjà procédé par le passé à ce gendre de tir.
Un test couronné de succès : c'est ainsi que la Russie qualifie le tir de missile qui suscite la fureur des pays occidentaux. Certes, Moscou a reconnu, ce mardi 16 novembre, avoir effectué ce tir d'essai contre un vieux satellite soviétique en orbite, confirmant les accusations de Washington. Mais de soutenir que cela ne pose aucun risque pour l'ISS, ni aujourd’hui ni à l'avenir. Le ministère de la Défense ajoute que Washington le « sait pertinemment » et dénonce l'hypocrisie du camp occidental.
« L'équipage de l'ISS travaille conformément au plan de vol. Les paramètres orbitaux sont dans la zone dite verte. Le reste des questions ne relève pas de Roscosmos ». C’est même ainsi que l’agence spatiale russe a réagi après que le département d’État américain a accusé la Russie d’avoir procédé à un essai d’arme antisatellite qui aurait généré plus de 1 500 nouveaux débris spatiaux, rapporte notre correspondant à Moscou, Jean-Didier Revoin. Des débris potentiellement dangereux pour la Station spatiale internationale, mais aussi pour un grand nombre de satellites.
« Déclarer que la Fédération de Russie crée des risques pour l'exploitation à des fins civiles de l'espace est pour le moins hypocrite. Il n'y a aucun fait en ce sens », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
Après le tir présumé, les sept occupants de la Station spatiale internationale ont été contraints de se réfugier temporairement dans leur vaisseau afin de se préparer à une évacuation d’urgence potentielle. Cet incident relance la question de la militarisation de l’espace, qui pourrait transformer le cosmos en véritable champ de bataille pour les grandes puissances.
Jusqu’à présent, Moscou disait lutter contre toute tentative de militarisation de l’espace. Cependant, la fureur des pays occidentaux doublée du dédain manifesté par Moscou, témoignent d’une tension accrue dans un domaine, le domaine spatial, qui est pourtant l’un des derniers où fonctionne encore la coopération issue de la fin de la guerre froide.
Le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg, a dénoncé, mardi à Bruxelles, comme « un acte irresponsable » la destruction de ce satellite. La ministre française des Armées, Florence Parly, a dénoncé de son côté sur Twitter les « saccageurs de l'espace ». « L'espace est un bien commun [...]. Les saccageurs de l'espace ont une responsabilité accablante en générant des débris qui polluent et mettent nos astronautes et satellites en danger », a-t-elle écrit.
Tensions avec l'Azerbaïdjan : l'Arménie conclut une trêve après la "médiation" de la Russie
L’Église d’Angleterre accusée de « naïveté » pour avoir protégé le kamikaze de Liverpool, qui s’était converti au christianisme pour éviter l’expulsion. Ce serait une pratique courante parmi les migrants(MàJ)
17/11/2021
L’Église d’Angleterre a été qualifiée de “désespérément naïve”, après qu’il a été révélé que le kamikaze de Liverpool s’était converti au christianisme pour éviter l’expulsion.
L’Église d’Angleterre a fait l’objet de critiques, y compris de la part du ministère de l’Intérieur, à la suite d’informations selon lesquelles des demandeurs d’asile se seraient convertis au christianisme dans le cadre d’un programme de conversion de cinq semaines afin d’éviter d’être expulsés.
Le journal affirme que le ministère de l’Intérieur estime désormais que la conversion est une “pratique courante” parmi ceux qui tentent de contourner et d’exploiter les règles de l’asile.
Faire partie de la communauté chrétienne permet à un demandeur d’asile de se dire persécuté s’il devait retourner dans son pays d’origine.
Cette conversion peut également être utilisée comme preuve pour suggérer qu’un demandeur d’asile a réussi à s’intégrer dans la société occidentale.
Sam Ashworth-Hayes, directeur d’études à la Henry Jackson Society, basée à Londres, a ajouté : “Nous savons que les gens sont prêts à mentir pour obtenir l’asile, jusqu’à simuler des conversions religieuses. (…) Alors que le ministère de l’Intérieur doit débusquer les faux convertis qui demandent l’asile, l’Église d’Angleterre a fait preuve d’une naïveté désespérante en acceptant tant de convertis issus de l’immigration et en leur offrant si facilement un soutien dans leurs demandes d’asile.”
Aujourd’hui, il est apparu que le terroriste a été autorisé à rester au Royaume-Uni pendant sept ans malgré l’échec de plusieurs demandes d’asile et son arrestation pour avoir “brandi” un “grand couteau” en public, avant de trouver Jésus et de faire à nouveau appel en 2017.
Il a fait appel à chaque fois que le ministère de l’Intérieur a rejeté sa demande de résidence permanente parce que les autorités pensaient qu’il mentait sur le fait qu’il était syrien et qu’il prétendait s’être converti de l’islam au christianisme uniquement pour améliorer son dossier.
Le terroriste présumé qui s’est fait exploser devant l’hôpital pour femmes de Liverpool ce week-end a été nommé Emad al-Swealmeen, 32 ans.
On dit qu’il s’est converti au christianisme après avoir déménagé au Royaume-Uni du Moyen-Orient et a ensuite été brièvement accueilli par les volontaires chrétiens Malcolm et Elizabeth Hitchcott à Liverpool.
Hitchcott a déclaré au journal: « Il est venu pour la première fois à la cathédrale en août 2015 et voulait se convertir au christianisme. Il a suivi un cours Alpha, qui explique la foi chrétienne, et l’a terminé en novembre de la même année. Cela lui a permis de prendre une décision éclairée et il est passé de l’islam au christianisme et a été confirmé comme chrétien au moins en mars 2017, juste avant de venir vivre avec nous. Il était démuni à ce moment-là et nous l’avons accueilli. »
Des photos publiées sur le profil Facebook de Hitchcott montraient le suspect souriant et posant aux côtés du couple lors d’une promenade quelques années auparavant, y compris une photo montrant al-Swealmeen lors d’un service à la cathédrale anglicane de Liverpool.
S’adressant à la BBC, Elizabeth Hitchcott a déclaré: « Nous sommes tellement, tellement tristes. Nous l’aimions, c’était un gars adorable », ajoutant qu’elle et son mari étaient « très » choqués par l’incident.
[…]
Les détectives ont déclaré qu’il s’agissait d’une attaque terroriste, mais ont déclaré que le motif n’était pas clair.
Un kamikaze qui est mort à l’intérieur d’un taxi alors qu’il explosait devant un hôpital de Liverpool était un demandeur d’asile syrien qui s’est converti au christianisme et a été arrêté une fois pour avoir porté un couteau.
Enzo Almeni, 32 ans, aurait souffert de problèmes de santé mentale et a été interné vers 2014 après avoir été arrêté pour avoir brandi un couteau dans le centre de Liverpool, selon des amis.
Il est arrivé au Royaume-Uni il y a plusieurs années et vivait principalement à Liverpool, où il était soutenu par des bénévoles chrétiens d’un réseau d’églises qui aident les demandeurs d’asile, a-t-on compris.
Le nom de naissance d’Almeni est Emad Jamil Al-Swealmeen et il aurait passé une grande partie de sa vie en Irak, d’où sa mère était originaire. Ce passionné de course automobile a changé son prénom en Enzo en l’honneur du fondateur de Ferrari, Enzo Ferrari, et pour paraître moins musulman et plus occidental, dans l’espoir que cela facilite sa demande d’asile.
Enzo Almeni s’est converti au christianisme dans la cathédrale anglicane de Liverpool en mars 2017, l’endroit même où il a demandé à M. Perry de le conduire, et que l’on soupçonne d’être sa cible initiale. Mais la circulation et les fermetures de routes ont fait qu’Almeni n’a pas pu se rendre à la cathédrale où s’étaient rassemblés 1.200 militaires, anciens combattants et familles de soldats morts au combat.
La police a déclaré qu’il avait été déclaré comme un incident terroriste et que quatre hommes avaient été arrêtés en vertu de la loi sur le terrorisme.
Les policiers pensent qu’Al Swealmeen vivait dans une maison de Sutcliffe Street, dans le quartier de Kensington à Liverpool, où des policiers antiterroristes avaient effectué des descentes plus tôt.
La police a déclaré qu’il avait récemment loué une adresse sur Rutland Avenue, près de Sefton Park dans la ville, qui a également été fouillée par des policiers.
« Nous nous concentrons sur l’adresse de l’avenue Rutland où nous avons continué à récupérer des objets importants », a déclaré Andrew Meeks, de la Police antiterroriste du Nord-Ouest.
« Toute information que le public peut avoir sur Al Swealmeen, aussi petite soit-elle, peut nous être d’une grande aide. »
Commission d’enquête sur les migrations : l’aile gauche de LREM veut ouvrir davantage de voies légales pour entrer sur le territoire européen
17/11/2021
La députée Sonia Krimi (LREM) a rendu ce mardi 16 novembre le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur les migrations. Elle recommande de réformer la politique menée par l’État à Calais, rompre avec une approche sécuritaire de l’immigration et développer davantage de voies légales pour entrer sur le territoire européen.
« Nous sommes à la dérive. Collectivement », écrit le député Sébastien Nado, en ouverture du rapport d’enquête sur les migrations dont il a présidé la rédaction. Cet ancien membre de l’aile gauche de La République en Marche (LREM) donne le ton de ce rapport, publié ce mardi 16 novembre, qui entend répondre de manière « pragmatique et humaine » à la surenchère de propositions sur l’immigration formulées en pleine campagne présidentielle. « Les migrations sont un phénomène constant mais limité » et « la réalité de l’immigration en France déformée par le débat public » considèrent les membres de la commission d’enquête, dont la rapporteure est Sonia Krimi, membre de l’aile gauche de LREM.
(…)
La commission préconise aussi de « créer des voies de migration légale pour fluidifier les déplacements et réduire le pouvoir des mafias de passeurs ». Les auteurs de ce rapport d’enquête constatent qu’il « est quasiment impossible d’imaginer un parcours d’émigration légale vers l’Europe et donc vers la France. Il ne reste que l’option du détournement des procédures de l’asile », écrivent-ils. Ils appellent donc à envisager le fait d’ouvrir des voies légales de migration qui « soient discutées et acceptées par l’opinion publique à la suite d’une discussion au Parlement ». (…)
Alexandre del Valle : « Depuis 2012, 92,5% des terroristes qui sont passés à l’acte en France sont soit des étrangers, soit des Français qui ont une autre nationalité »
17/11/2021
Nice : un policier encerclé et roué de coups alors qu’il tentait d’interpeller un dealer dans le quartier des Moulins
16/11/2021
Deux policiers ont été blessés à Nice (Alpes-Maritimes) dimanche lors d’interventions successives dans le quartier des Moulins. L’un des fonctionnaires a été frappé par plusieurs hommes alors qu’il tentait d’interpeller un dealer présumé. Un second individu a mordu un policier lors de son arrestation, peu après. Un troisième suspect a été arrêté.
(…) En voyant les forces de l’ordre arriver, le suspect a pris la fuite en courant. Il a été rattrapé par l’un des fonctionnaires mais ce dernier s’est retrouvé encerclé par un groupe d’individus venus empêcher l’interpellation décrit une source policière. Le dealer présumé s’est rebellé et a frappé l’agent, qui a aussi reçu des coups de poing et de pied de la part d’un autre homme. Un troisième individu était avec un chien qu’il aurait tenté de lancer sur l’agent esseulé.
Les autres policiers sont alors arrivés et ont utilisé une grenade lacrymogène pour faire fuir le groupe d’agresseurs. Le policier roué de coups présentait des contusions mais n’a été que légèrement blessé. Il a déposé plainte.
Il mord un policier lors de son interpellation
Des renforts ont été demandés pour tenter de retrouver les auteurs de cette agression ainsi que le dealer présumé. Un peu plus tard, les forces de l’ordre ont repéré un auteur présumé des violences qui s’est rebellé lors de son interpellation, mordant à la main un policier qui a été blessé. Il a été placé en garde à vue.
La mairie de Paris rachète 6,7M€ un immeuble du Marais afin de sauver le Tango, une boîte de nuit fréquentée depuis 1997 par les communautés LGBTQI+
17/11/2021
Lorsque le propriétaire du Tango à Paris annonçait à TÊTU, début janvier 2021, qu’il entendait vendre l’immeuble abritant la “boîte à frissons” historique de la nuit gay, c’est une part de la vie LGBTQI+ de la capitale qui menaçait de mettre la clef sous la porte. “Nous allons tout faire pour le sauver”, avait alors promis à TÊTU Frédéric Hocquard, adjoint de la maire de Paris en charge du tourisme et de la vie nocturne.
Eh bien, “c’est décidé, nous allons acquérir l’immeuble abritant le Tango”, nous glissait mi-septembre Ariel Weil, le maire de Paris Centre, l’arrondissement où se trouve l’établissement. “La vente a été signée début septembre”, confirme à TÊTU l’adjoint en charge du logement, Ian Brossat. Selon nos informations, le montant du rachat s’est chiffré à 6,7 millions d’euros. (…)
(Le Tango offrait) pour beaucoup de jeunes et moins jeunes LGBTQI+, une atmosphère aux antipodes d’autres boîtes plus in mais plus impressionnantes, un point d’entrée accueillant de la communauté “où tu peux aller voir le DJ pour qu’il passe Alizée ou Lorie”, nous résumait encore Adrien, un habitué. Surtout, tout le monde y est accueilli, gays, bis, lesbiennes et trans, des bears aux twinks, des créatifs parisiens aux étudiants Erasmus, mais aussi les potes hétéros plus ou moins curieux (attention, pas trop en même temps, l’endroit n’est pas si grand) et les “filles à pédés”. Ainsi que, bien sûr, les drag queens qui s’y produisent régulièrement en shows exubérants et bon enfant.
Dans le projet de la Ville, huit logements sociaux doivent être créés dans les 343 mètres carrés des étages pour être confiés au bailleur social Élogie. Quant au rez-de-chaussée, le Tango pourrait y rouvrir dès décembre, si tout se passe bien.
GÉRALD DARMANIN a dissous son association - Jean-Eudes Gannat
Les pronoms « iel » et « ielle » consacrés par le Petit Robert (MàJ : Un député LREM soutenu par Blanquer dénonce le « wokisme » et écrit à l’Académie française)
Le pronom « iel » — toute personne absente des réseaux sociaux n’en aura probablement jamais entendu parler — a fait son entrée dans le dictionnaire Le Robert. Une nouvelle victoire pour cette « écriture inclusive » qui ronge à petit feu la langue française.
Une nouvelle définition est apparue dans le dictionnaire : « iel ». Définition : « Pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre ». C’est désormais acté : les divagations « inclusives » font leur entrée dans le dictionnaire. En l’occurrence, il s’agit du site du Robert , l’un des principaux dictionnaires en usage et véritable référence en matière de vocabulaire et d’évolution de la langue. Voilà donc que l’écriture inclusive est confortée dans son usage et que sa forme la plus délirante est inscrite noire sur blanc.
Cette nouvelle façon d’écrire ne cesse de progresser, à petits pas. Théoriquement marginale – d’après ses défenseurs –, elle est couramment utilisée par les administrations de certaines universités (Toulouse, Lille…), de certaines municipalité (PS et EELV essentiellement), par des partis politiques (EELV, LFI), des syndicats (CGT), mais aussi des médias (Libération ou Mediapart l’autorisent, notamment dans leurs tribunes). Le gouvernement l’a quant à lui banni en partie de sa communication depuis qu’Édouard Philippe a tranché la question en février 2019. (…)
"Les S-400 seront utilisés au bon endroit et au bon moment", précise Ankara
Rappelant que l’achat par Ankara des systèmes de missiles sol-air S-400 n’a pas été fait à la sourdine, le ministère turc de la Défense a cependant souligné son droit souverain à les utiliser "au bon endroit et au bon moment".
Achetés par la Turquie en 2017, les systèmes de missiles sol-air S-400 ont été testés en octobre 2020 avec succès dans la province de Sinop. Ils n’ont cependant toujours pas été mis en service officiellement pour l’heure. Le ministère turc de la Défense a précisé ce point devant les députés le 16 novembre.
"Vous demandez où sont les S-400 maintenant. Est-ce qu’une attaque aérienne a eu lieu au cours de laquelle nous n'avons pas utilisé les S-400? Tout le monde doit savoir que les S-400 seront utilisés au bon endroit et au bon moment", a déclaré le ministre de la Défense Hulusi Akar.
Il a ajouté qu'Ankara avait déclaré à plusieurs reprises être prêt à clarifier les prétentions américaines sur les S-400, censés servir de systèmes de défense, et qui seraient utilisés par la Turquie de la même manière que les S-300 en service dans d'autres pays de l’Otan.
S-400: la pomme de la discorde entre Washington et Ankara
La Turquie a acheté à la Russie quatre divisions de systèmes de défense antiaérienne S-400 pour une valeur de 2,5 milliards de dollars. Le 23 octobre 2019, le fournisseur d’armes a annoncé avoir rempli son contrat plus tôt que prévu, ayant livré tous les éléments des systèmes, y compris les missiles. Mi-octobre 2020, la Turquie a effectué avec succès des essais de missiles S-400 sur son territoire.
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