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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 17 novembre 2021

 

 

Xi prévient les États-Unis de "ne pas jouer avec le feu"

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 novembre 2021

 

Le Président chinois a prévenu son homologue américain Joe Biden lors d'un sommet virtuel qu'oeuvrer à l'indépendance de Taïwan revenait à "jouer avec le feu".

"Les autorités taïwanaises ont tenté à plusieurs reprises de s'appuyer sur les États-Unis pour l'indépendance et certains aux États-Unis tentent d'utiliser Taïwan pour contrôler la Chine", a fait remarquer l'homme de fort de Pékin.

 

"C'est une tendance très dangereuse qui revient à jouer avec le feu", a-t-il dit, selon des propos rapportés par le ministère chinois des Affaires étrangères.

 

Les passes d'armes se sont multipliées ces dernières semaines entre Pékin et Washington sur le sort de l'île, qui jouit d'un système démocratique et dispose d'un gouvernement, d'une monnaie et d'une armée propres.

 

Le territoire n'a toutefois pas proclamé d'indépendance formelle et continue à s'appeler officiellement "République de Chine". Le pouvoir communiste à Pékin menace de recourir à la force si tel était le cas.

 

"Si les séparatistes à Taïwan (...) franchissent la ligne rouge nous devrons prendre des mesures décisives", a assuré le Président Xi.

Source

 
 

LIRE AUSSI : Vers un boycott des JO de Pékin par Biden et la diplomatie américaine?

 

 

Tir de missile antisatellite: la Russie se veut rassurante

 

Après le tir de missile russe dans l'espace, une avalanche de réactions outrées s'est abattue sur la Russie. Venues du camp occidental, ces critiques pointent « l'irresponsabilité » de Moscou, qui aurait mis en danger l’équipage de la Station spatiale internationale. Mais la Russie assume ce tir et rejette des critiques qu'elle qualifie d'infondées et d'hypocrites, plusieurs pays dont les États-Unis ayant déjà procédé par le passé à ce gendre de tir.

Pour l’agence spatiale russe, tout fonctionne bien à bord de la Station spatiale internationale (ISS).

Pour l’agence spatiale russe, tout fonctionne bien à bord de la Station spatiale internationale (ISS). - NASA/AFP/File

 

Un test couronné de succès : c'est ainsi que la Russie qualifie le tir de missile qui suscite la fureur des pays occidentaux. Certes, Moscou a reconnu, ce mardi 16 novembre, avoir effectué ce tir d'essai contre un vieux satellite soviétique en orbite, confirmant les accusations de Washington. Mais de soutenir que cela ne pose aucun risque pour l'ISS, ni aujourd’hui ni à l'avenir. Le ministère de la Défense ajoute que Washington le « sait pertinemment » et dénonce l'hypocrisie du camp occidental.

« L'équipage de l'ISS travaille conformément au plan de vol. Les paramètres orbitaux sont dans la zone dite verte. Le reste des questions ne relève pas de Roscosmos ». C’est même ainsi que l’agence spatiale russe a réagi après que le département d’État américain a accusé la Russie d’avoir procédé à un essai d’arme antisatellite qui aurait généré plus de 1 500 nouveaux débris spatiaux, rapporte notre correspondant à Moscou, Jean-Didier Revoin. Des débris potentiellement dangereux pour la Station spatiale internationale, mais aussi pour un grand nombre de satellites.

« Déclarer que la Fédération de Russie crée des risques pour l'exploitation à des fins civiles de l'espace est pour le moins hypocrite. Il n'y a aucun fait en ce sens », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

Après le tir présumé, les sept occupants de la Station spatiale internationale ont été contraints de se réfugier temporairement dans leur vaisseau afin de se préparer à une évacuation d’urgence potentielle. Cet incident relance la question de la militarisation de l’espace, qui pourrait transformer le cosmos en véritable champ de bataille pour les grandes puissances.

► À lire aussi : Les États-Unis condamnent un « dangereux » tir de missile antisatellite par la Russie

Jusqu’à présent, Moscou disait lutter contre toute tentative de militarisation de l’espace. Cependant, la fureur des pays occidentaux doublée du dédain manifesté par Moscou, témoignent d’une tension accrue dans un domaine, le domaine spatial, qui est pourtant l’un des derniers où fonctionne encore la coopération issue de la fin de la guerre froide.

Le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg, a dénoncé, mardi à Bruxelles, comme « un acte irresponsable » la destruction de ce satellite. La ministre française des Armées, Florence Parly, a dénoncé de son côté sur Twitter les « saccageurs de l'espace ». « L'espace est un bien commun [...]. Les saccageurs de l'espace ont une responsabilité accablante en générant des débris qui polluent et mettent nos astronautes et satellites en danger », a-t-elle écrit.

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Tensions avec l'Azerbaïdjan : l'Arménie conclut une trêve après la "médiation" de la Russie

 

 

 

 

L’Église d’Angleterre accusée de « naïveté » pour avoir protégé le kamikaze de Liverpool, qui s’était converti au christianisme pour éviter l’expulsion. Ce serait une pratique courante parmi les migrants (MàJ)

 

 

Commission d’enquête sur les migrations : l’aile gauche de LREM veut ouvrir davantage de voies légales pour entrer sur le territoire européen

 

 

Alexandre del Valle : « Depuis 2012, 92,5% des terroristes qui sont passés à l’acte en France sont soit des étrangers, soit des Français qui ont une autre nationalité »

 

 

Nice : un policier encerclé et roué de coups alors qu’il tentait d’interpeller un dealer dans le quartier des Moulins

 

 

La mairie de Paris rachète 6,7M€ un immeuble du Marais afin de sauver le Tango, une boîte de nuit fréquentée depuis 1997 par les communautés LGBTQI+

 

 

 

GÉRALD DARMANIN a dissous son association - Jean-Eudes Gannat

 

 

 

 

Les pronoms « iel​​​ » et « ielle​​​ » consacrés par le Petit Robert (MàJ : Un député LREM soutenu par Blanquer dénonce le « wokisme » et écrit à l’Académie française)

 

13/11/2021

iel – Définitions, synonymes, conjugaison, exemples | Dico en ligne Le Robert

Le pronom « iel » — toute personne absente des réseaux sociaux n’en aura probablement jamais entendu parler — a fait son entrée dans le dictionnaire Le Robert. Une nouvelle victoire pour cette « écriture inclusive » qui ronge à petit feu la langue française.

 

Une nouvelle définition est apparue dans le dictionnaire : « iel ». Définition : « Pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre ». C’est désormais acté : les divagations « inclusives » font leur entrée dans le dictionnaire. En l’occurrence, il s’agit du site du Robert , l’un des principaux dictionnaires en usage et véritable référence en matière de vocabulaire et d’évolution de la langue. Voilà donc que l’écriture inclusive est confortée dans son usage et que sa forme la plus délirante est inscrite noire sur blanc.

Cette nouvelle façon d’écrire ne cesse de progresser, à petits pas. Théoriquement marginale – d’après ses défenseurs –, elle est couramment utilisée par les administrations de certaines universités (Toulouse, Lille…), de certaines municipalité (PS et EELV essentiellement), par des partis politiques (EELV, LFI), des syndicats (CGT), mais aussi des médias (Libération ou Mediapart l’autorisent, notamment dans leurs tribunes). Le gouvernement l’a quant à lui banni en partie de sa communication depuis qu’Édouard Philippe a tranché la question en février 2019. (…)

Front Populaire

 

 

"Les S-400 seront utilisés au bon endroit et au bon moment", précise Ankara

 

Rappelant que l’achat par Ankara des systèmes de missiles sol-air S-400 n’a pas été fait à la sourdine, le ministère turc de la Défense a cependant souligné son droit souverain à les utiliser "au bon endroit et au bon moment".

Achetés par la Turquie en 2017, les systèmes de missiles sol-air S-400 ont été testés en octobre 2020 avec succès dans la province de Sinop. Ils n’ont cependant toujours pas été mis en service officiellement pour l’heure. Le ministère turc de la Défense a précisé ce point devant les députés le 16 novembre.

 

"Vous demandez où sont les S-400 maintenant. Est-ce qu’une attaque aérienne a eu lieu au cours de laquelle nous n'avons pas utilisé les S-400? Tout le monde doit savoir que les S-400 seront utilisés au bon endroit et au bon moment", a déclaré le ministre de la Défense Hulusi Akar.

S-400: la pomme de la discorde entre Washington et Ankara

La Turquie a acheté à la Russie quatre divisions de systèmes de défense antiaérienne S-400 pour une valeur de 2,5 milliards de dollars. Le 23 octobre 2019, le fournisseur d’armes a annoncé avoir rempli son contrat plus tôt que prévu, ayant livré tous les éléments des systèmes, y compris les missiles. Mi-octobre 2020, la Turquie a effectué avec succès des essais de missiles S-400 sur son territoire.

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