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Info du 27 décembre
Nigeria : la veille de Noël, les djihadistes de Boko Haram ont attaqué un village majoritairement chrétien, où ils ont tué au moins 11 personnes, brûlé une église et enlevé un prêtre
Condamnés à la peine capitale en Iran pour s’être convertis au christianisme, ils sollicitent l’asile en France, qui leur est à ce jour refusé
Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort : “Un durcissement de l’islam a rendu difficile la cohabitation, des communautés religieuses, dans des cités, ont été obligées de partir”
Apostasie, école… : comment les courants islamistes ont sabordé “la charte des valeurs” de l’islam voulue par Macron
Belfort (90) : un jeune musulman agressé après la publication des photos de son repas de Noël, “Sale fils de blanc, je vais te montrer ce qu’est un vrai rebeu” (MAJ)
Trump, Johnson, Netanyahou (et même Erdogan)... Tous ont souhaité un “joyeux Noël”, sauf... Macron
Samedi 26 décembre au matin, le chef de l’Etat ne s’était exprimé ni sur son compte personnel ni sur celui de l’Élysée.
Il n’a plus aucun symptôme du Covid-19, c’est l’Elysée qui l’a annoncé le 24 décembre au soir. Emmanuel Macron a donc pu quitter la Lanterne où il était isolé depuis sept jours pour passer les fêtes de fin d’année dans le palais présidentiel. Mais cela n’a visiblement pas incité le chef de l’Etat à souhaiter un « joyeux Noël » aux Français. Comme l’ont remarqué de nombreux observateurs sur les réseaux sociaux, Emmanuel Macron est un des seuls présidents parmi les grandes puissances à avoir dérogé à la règle. Ce samedi 26 décembre au matin, aucun message ne figurait ni sur le compte officiel de l’Elysée, ni sur le sien, autant sur Facebook que sur Twitter.
Le naufrage de la Ligue des droits de l’homme (LDH), devenue une alliée des promoteurs de l’islamisme
Le directeur du “Journal de Saint-Denis” démissionne et dénonce la gauche identitaire (MàJ)
26/12/2020
Yann Lalande, rédacteur en chef du JSD, le journal de la ville de Saint-Denis, a répondu aux questions du Point autour de sujets terriblement d’actualité : valeurs républicaines et liberté d’expression.
Si je n’ai pas ouvert un robinet d’eau tiède, je pense avoir écrit un texte mesuré. Je prends soin de distinguer musulmans et islamistes et je rappelle le nécessaire besoin d’exigence vis-à-vis de la République. Certains de mes collègues y ont vu un texte, « va-t’en guerre, qui appelle à la vengeance » et stigmatise les musulmans. Ils regrettaient également que je ne dénonce que le racisme et pas l’islamophobie – terminologie fumeuse que je me refuse d’employer – et que je ne rappelle pas que la République française, « c’est aussi le colonialisme et l’esclavagisme ». Un membre de la rédaction, qui par ailleurs semble ne guère accorder de crédit aux valeurs universalistes, est même allé jusqu’à réduire l’assassinat de Samuel Paty à un fait divers. Par ailleurs, ces propos ont été tenus non sans agressivité. […]
Ce n’était pas la première fois que le problème se faisait jour au sein de la rédaction. Le ton était déjà monté autour des questions de laïcité et d’islamisme. Une collègue journaliste s’était vue qualifiée de « raciste » en conférence de rédaction, pour avoir critiqué certaines pratiques religieuses. Certains collègues très prompts à dénoncer la stigmatisation de Saint-Denis et d’une partie de sa population, l’étaient beaucoup moins au moment de s’intéresser aux pressions islamistes. Pour trancher une question de droit sur un sujet impliquant des membres de l’Observatoire dionysien de la laïcité, un journaliste a sollicité l’expertise du… Collectif contre l’islamophobie en France [CCIF, qui a été dissous, NDLR]. […]
Quels ont été les réactions et les soutiens autour de vous ?
J’ai reçu beaucoup de témoignages de soutien. Publics ou privés. De tous horizons. Localement, mais pas seulement. De nombreux enseignants en particulier. […]
Paris : les migrants reviennent boulevard de la Chapelle comme il y a six ans
Port-Vendres (66) : un ressortissant algérien condamné pour trafic de migrants
Lyon : un homme tenant dans un bus des propos menaçants sur «le président Macron et les Français en général» interpellé par le Raid
En Libye, la Turquie menace de répondre à toute attaque de ses forces par le maréchal Haftar
La Turquie répondra à toute attaque de l’homme fort de l’est de la Libye, le maréchal Khalifa Haftar, contre ses forces présentes dans ce pays en guerre, a déclaré le ministre turc de la défense, Hulusi Akar, lors d’une visite à Tripoli, samedi 26 décembre.
« Le criminel de guerre, le meurtrier qu’est Haftar et ses forces doivent savoir qu’ils seront considérés comme des cibles légitimes en cas d’attaque contre les forces turques », qui soutiennent le gouvernement d’union nationale (GNA) dans le conflit en Libye, a dit M. Akar. « S’ils franchissent ce pas, ils ne pourront trouver aucun endroit pour fuir. […] Tout le monde devrait revenir à la raison », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse, deux jours après des déclarations belliqueuses du maréchal à l’encontre d’Ankara.
LIRE AUSSI: La menace en 2021 d’une offensive majeure de la Turquie en Irak
Vaccination Covid-19 : si vous voulez comprendre pourquoi les Français sont si méfiants
Vaccination contre le Covid-19 : les cinq articles à lire, alors que la campagne débute ce dimanche en France
[…]Si vous voulez comprendre pourquoi les Français sont si méfiants
Au pays de Louis Pasteur, le vaccin n’est plus en odeur de sainteté. Seul un Français sur deux aurait l’intention de passer par la case piqûre, selon un sondage réalisé en novembre par Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro. Cette méfiance apparaît nettement supérieure aux niveaux observés à l’étranger : avec 54% de personnes qui disent avoir l’intention de se faire vacciner, la France figure en dernière position d’un groupe de 15 pays étudiés dans un autre sondage par Ipsos en octobre, loin derrière la Corée du Sud, la Chine et l’Inde, qui dépassent les 80%.
>> Vaccins : pourquoi sommes-nous si méfiants ?
[…]Si vous cherchez à savoir comment les vaccins seront contrôlés une fois mis sur le marché
En matière de pharmacovigilance, plusieurs défis de taille vont devoir être relevés en 2021 : préciser l’efficacité et les risques des vaccins, ainsi que répondre aux craintes des Français. Pour lever les doutes, les systèmes de surveillance vaccinale seront renforcés, a fait savoir l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. L’objectif est de confirmer le bénéfice recherché : diminuer le nombre d’hospitalisations et de morts liés à l’épidémie.
Il faudra également “identifier les éventuels effets indésirables qui n’auraient pas été observés lors des essais cliniques”. Pour cela, les rouages de contrôle se préparent à faire face à de nombreuses inconnues.
>> Covid-19 : comment les vaccins vont être scrutés après leur mise sur le marché en France
[…]L’article dans son intégralité sur France Info
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