Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : La France envisage de nouvelles livraisons d'armements à l'Ukraine...
L'ESSENTIEL
La capture dimanche par l'armée ukrainienne de la ville de Lyman, un important noeud ferroviaire dans la région de Donetsk (est) annexée par Moscou, pose un grave problème aux forces russes, sur la défensive et obligées d'établir une nouvelle ligne de front.
Le dirigeants de l'Union européenne et leurs homologues du continent vont se réunir jeudi et vendredi à Prague pour discuter des réponses aux conséquences dramatiques de la guerre russe en Ukraine, selon le président du Conseil européen Charles Michel.
Les députés font leur rentrée dans l'hémicycle lundi avec un débat sur la situation en Ukraine, plus tendue que jamais après la revendication par Moscou de l'annexion de quatre régions. A 16 heures, la Première ministre Elisabeth Borne devrait ouvrir la discussion. La cheffe de la diplomatie Catherine Colonna pourrait également intervenir, selon son entourage.
15h21 : Le Parlement russe ratifie la loi sur l’annexion de quatre régions ukrainiennes
Les députés russes ont approuvé lundi à l’unanimité la loi sur l’annexion de quatre régions ukrainiennes, une décision qui avait déjà été approuvée par le président Vladimir Poutine et suscité une pluie de condamnations internationales.
Les députés de la Douma, chambre basse du Parlement, ont tous voté en faveur de l’annexion des régions de Donetsk et de Lougansk (est de l’Ukraine), ainsi que de celles de Kherson et de Zaporojie (sud), selon la retransmission en direct de la cérémonie du vote à la télévision russe.
Ni abstention ni vote contre n’ont été enregistrés.
14h24 : Le gaz a cessé de s’échapper de Nord Stream 1, mais pas de Nord Stream 2
Les bouillonnements provoqués par les fuites de gaz ont cessé au-dessus du gazoduc endommagé Nord Stream 1, mais pas de Nord Stream 2, ont annoncé les gardes-côtes suédois lundi après un survol des deux conduites victimes d’un sabotage présumé en mer Baltique.
L’opérateur des gazoducs sous-marins reliant la Russie à l’Allemagne, Nord Stream AG, avait annoncé samedi la fin des fuites sur Nord Stream 2, sur la base d’une pression insuffisante pour s’échapper du gazoduc.
13h32 : Sergueï Lavrov parle de « génocide » devant la Douma
« Nous défendons nos frontières, notre patrie, notre peuple, du génocide organisé par les descendants des collaborateurs des nazis, qui servent maintenant leur maître outre-Atlantique. Les États-Unis ont subordonné tout l’Occident pour transformer l’Ukraine en instrument de guerre contre la Russie. De la même façon, Hitler avait armé tous les pays de l’Europe pour attaquer l’Union soviétique », affirme le ministre des Affaires étrangères russe.
11h42 : La Russie va « consulter » la population pour établir les frontières des régions annexées dans le sud
Moscou va « consulter » la population pour établir les frontières des régions annexées de Kherson et de Zaporojie, dans le sud de l’Ukraine, a indiqué lundi à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
« Nous allons continuer à consulter la population de ces régions », a-t-il déclaré, interrogé pour savoir si la Russie annexait la totalité de ces régions ou uniquement les parties qu’elle occupe.
11h19 : La France envisage de nouvelles livraisons d’armements à l’Ukraine
La France envisage de nouvelles livraisons de matériels militaires à l’Ukraine, notamment 6 à 12 canons Caesar prélevés sur une commande destinée au Danemark, a-t-on appris lundi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde. L’opération, en discussions entre les trois gouvernements, n’est pas finalisée à ce stade, selon cette source.
Paris a déjà livré 18 exemplaires de ce canon de 155 mm monté sur camion, amputant de près d’un quart le parc de l’armée de Terre française.
Ces canons supplémentaires produits par Nexter seraient prélevés sur une commande de 19 Caesar passée en 2017 par le Danemark, selon Le Monde. Les Caesar destinés au Danemark sont équipés d’une cabine blindée et de huit roues, quand les modèles équipant l’armée française, plus légers car non blindés, n’ont que six roues. Ils emportent également davantage d’obus (30 contre 18), qui peuvent être tirés à 40 kilomètres.
07h09 : L'armée russe embarrassée par la perte de Lyman, un carrefour logistique vital
La capture dimanche par l'armée ukrainienne de la ville de Lyman, un important noeud ferroviaire dans la région de Donetsk (est) annexée par Moscou, pose un grave problème aux forces russes, sur la défensive et obligées d'établir une nouvelle ligne de front. Dans l'est de la région de Kharkiv (nord-est), le réseau ferroviaire converge à un endroit vers la gare de Koupiansk Vouzloviï, pour ensuite descendre au sud vers Svatové, dans la région de Lougansk, annexée par la Russie.
Pendant les six mois d'occupation russe, les trains ont acheminé par ces rails des approvisionnements aux troupes de Moscou stationnées plus au sud, faisant de cette gare un carrefour logistique vital pour les opérations militaires russes. Mais la donne a changé ces derniers jours. La contre-offensive ukrainienne a permis à Kiev de reprendre de larges pans de territoires dans la région, forçant les Russes au repli.
La gare de Koupiansk Vouzloviï, quoique fortement endommagée, est désormais entre les mains de l'armée ukrainienne.
Note: a l’heure où Macron continue à dépouiller l'armée française, je vous poste un article du 30 septembre dernier qui démontre qu'en cas de conflit de grande intensité la France ne tiendrait pas (parce que notre armé a été petit a petit démanteler par les politiciens)
Armement : pourquoi la France ne serait pas capable de faire face à une guerre
30/09/2022
La guerre en Ukraine a mis en évidence les carences de la France en matière d’armement. Le chef de l’État pousse les industriels à produire plus vite, mais cette incitation aura du mal à être suivie de faits.
"C’est très simple, si on n’a pas envoyé beaucoup d’armes à l’Ukraine, c’est avant tout parce qu’on était à l’os !" Le constat dressé par l’ancien député Les Républicains de 1993 à 2022 François Cornut-Gentille, ancien rapporteur du budget défense à la commission du budget de l’Assemblée nationale, a de quoi inquiéter. La France s’est en effet retrouvée embarrassée lorsque la guerre en Ukraine a débuté. Qu’envoyer sur place alors qu’elle peine déjà à équiper ses propres soldats ?
25% de nos canons Caesar sont en Ukraine
Difficile de savoir exactement ce que nous avons livré. Contrairement à d’autres pays comme les États-Unis, la liste des équipements français est classée secret-défense. Le président de la République et le gouvernement ont cependant livré quelques informations. Emmanuel Macron a évoqué l’envoi de 18 canons Caesar, une arme qui permet de frapper des cibles à près de 40km. À cela s’ajoutent des missiles anti-char et des véhicules blindés livrés l’été dernier. Des équipements destinés aux soldats ukrainiens sont aussi régulièrement acheminés (casques, gilets pare-balles…).
Au total, la sénatrice Hélène Conway-Mouret, secrétaire de la commission défense au Sénat, évalue l’aide française en Ukraine à quatre milliards d’euros, aide humanitaire comprise. Bien plus donc, à priori, que les 100 millions d’euros avancés par l’ancienne ministre des Armées Florence Parly au mois d’avril 2022.
250 avions contre 700 il y a 30 ans
Problème pour l’armée française : ces armes ont été prélevées sur un stock déjà limité. Les 18 canons Caesar livrés représentent près de 25% du parc français. Certes, la France dispose d’un modèle d’armée dit "complet", à l’inverse de certains de nos voisins, nous avons conservé un panel global d’équipements dans les trois corps d’armées (terre, air, marine), "mais cette armée complète s’est heurtée à des coupes dans les budgets de la défense depuis la fin de la guerre froide", relève Elie Tenenbaum, directeur du centre des études de sécurité à l’IFRI. À partir des années 90, on se rend compte que notre appareil militaire ne correspond plus à un environnement pacifié.
"On paye le prix de ce que Laurent Fabius appelait 'toucher les dividendes de la paix'. On a dépensé moins et réduit les équipements car le spectre de la guerre s’était éloigné."
Elie Tenenbaum, directeur du centre des études de sécurité à l’IFRI
à franceinfo
Résultat : "Alors qu’on avait 1 350 chars de bataille en 1991, on en a 220 aujourd’hui. On avait 700 avions en 1991, et aujourd’hui moins de 250." Et les budgets de la défense qui représentaient 4% du PIB à la fin de la guerre froide, sont descendus à 1% sous le mandat de Nicolas Sarkozy. Tandis que l’armée a réduit ses effectifs de 30% depuis les années 90.
Dans le même temps, la France serait passée à côté d’évolutions technologiques notables. "On a raté le virage des drones, regrette l’ancien député François Cornut-Gentille. Ça n’intéressait ni l’armée, ni les industriels. On a cru que c’était des joujoux alors que ça change la physionomie du champ de bataille"
Or, pendant que la France – et les Européens dans leur globalité – réduisaient leurs dépenses de défense, d’autres grandes puissances comme la Chine, la Russie ou les États-Unis continuaient d’investir.
Incapable de faire face à un conflit majeur
L’annexion de la Crimée par la Russie fera l’effet d’un électrochoc. "Avant cela, c’était assez confortable pour les pays européens de se reposer sur les investissements américains pour leur défense, explique le général Jean-Paul Paloméros, ancien commandeur en chef de l’OTAN. Outre-Atlantique, on n’a eu de cesse de réclamer aux Européens de prendre leur part du fardeau. Mais ça a pris du temps."
Devant la menace Russe, l’OTAN fixe un objectif pour les pays européens : faire remonter la part de leurs dépenses de défense à 2% du PIB. Jean-Paul Paloméros conseillera le candidat Emmanuel Macron pour son projet de défense en 2017. Et le président nouvellement élu suivra ses préconisations en augmentant les budgets, d’abord de 1,7 milliard par an de 2017 à 2022, puis de 3 milliards par an jusqu’en 2025. Avec pour objectif d’atteindre 50 milliards au final, soit 2% du PIB.
Évolution du budget du ministère français des armées entre 2009 et 2022. (Ministère des armées - L’Express)
Si cet argent a remis l’armée à flot, il n’a cependant pas permis d’augmenter ses moyens. Selon Elie Tenenbaum, "la loi de programmation de 2017 ne se traduit pas par une remontée capacitaire. On modernise, mais on n’a pas de choses en plus dans notre arsenal". Certes, l’armée de terre a développé le programme Scorpion pour ses véhicules de combat, la Marine a vu le remplacement d’un sous-marin nucléaire, et l’armée de l’air a acquis quelques Rafale, mais ces remplacements restent cosmétiques.
Le député européen Arnaud Danjean avait prévenu de ces carences dans la revue stratégique de 2017 qui a servi de base à la loi de programmation militaire. "Des mentions de la guerre qui se rapproche de l’Europe figurent dès l’introduction. On ne parlait pas de guerre de haute intensité mais de conflits interétatiques. On évoquait des risques d’escalade engageant des puissances globales comme la Russie. On a alors appelé à une montée en puissance de l’appareil de défense français pour faire face à l’intégralité de ces menaces."
Mais cette mise en garde est arrivée trop tard, car la France aujourd’hui ne saurait se défendre seule dans un conflit de haute intensité. Pour le député LR Jean-Louis Thiériot, qui a écrit un rapport parlementaire sur ce sujet, "nous n’avons pas la capacité de tenir dans la durée. Au mieux au bout de quelques semaines, nous serions en difficulté."
L’aviation de chasse réduite à néant en cinq jours
Deux exercices de simulation de conflits internationaux l’ont confirmé en 2021. Le premier, baptisé Warfighter, organisé avec les Américains et les Britanniques concernait l’armée de terre. Et le second, Polaris 21, la Marine et l’aviation. Ces exercices interarmées ont mis en évidence les limites des forces françaises.
"Warfighter a montré qu’en une semaine d’affrontements de haute intensité, la France aurait 800 à 1 000 hommes tués ou blessés, et plus aucune munition."
Jean-Louis Thiériot, député LR
à franceinfo
Le compte rendu de la commission de la défense nationale des forces armées daté du 16 février 2022 fait lui état de 400 marins disparus au cours de l’opération Polaris 21. Il précise qu'"en une quinzaine de minutes d’un premier combat, deux frégates avaient été envoyées par le fond et deux autres étaient neutralisées, soit entre 200 et 400 marins tués ou disparus." Ce même rapport indique que si l’on extrapolait les pertes lors des derniers conflits aériens (la guerre de Kippour et la guerre des Malouines), "il est manifeste que l’aviation de chasse française pourrait être réduite à néant en cinq jours".
Schéma des forces en jeu lors de l’exercice Polaris 21 (dont la France en bleu) le 18/11/21. (Dossier de presse Polaris 21, Ministère des armées)
Si ces exercices ont montré de fortes carences, la France rappelle malgré tout qu'elle dispose de l'arme de dissuasion nucléaire et qu'elle pourrait avoir le dessus en cas de guerre. "C'est la clé de voûte de notre défense"rappelle le chercheur à l'Ifri Elie Tenenbaum."Toute notre puissance tient là-dessus", ose même une source militaire. Mais il faudra à nouveau investir pour renforcer cette arme de dissuasion qui permet à la France de rester dans le gotha des grandes puissances. Pour l'instant.
Mettre la pression sur les industriels
Compte tenu de ces carences, et alors que la guerre est aux portes de l’Europe, la France a décidé de changer de braquet. L’exécutif a d’abord pris une décision inédite : stopper la loi de programmation en cours et la remplacer par une nouvelle qui sera examinée en Conseil des ministres durant les premières semaines de 2023. L’objectif est clair : maintenir et accentuer l’effort budgétaire jusqu’en 2030. Si certains parlementaires approuvent, des experts, comme Olivier Schmitt, professeur de relations internationales au centre d’études sur la guerre de Copenhague, se montrent réservés.
"Le risque c’est de mettre la charrue avant les bœufs. De tirer des conclusions rapides de ce qui se passe en Ukraine, et en déduire ce que doit être notre format d’armées"
Olivier Schmitt, professeur de relations internationales au centre d’études sur la guerre de Copenhague
à franceinfo
"Or il y a quelques semaines, je pense que pas grand monde ne s’attendait à une percée ukrainienne sur le front, poursuit le professeur. C’est comme si on demandait à un planificateur de défense de tirer des leçons de la Seconde Guerre mondiale après les huit premiers mois du conflit."
Il n’empêche. Le chef de l’État a voulu aller vite. En juin 2022, lors du salon international de défense Eurosatory, il déclare que "nous entrons dans une économie de guerre. Une économie dans laquelle il faudra aller plus vite, notamment pour les industriels." Mais cette injonction a semé le trouble. "Il faut avoir en tête qu’entre le moment où on passe la commande et celui où on reçoit les matériels, le temps est long, relate le député LR Jean-Louis Thiériot.Pour un obus de 155, entre la commande et la livraison il faut compter un an. Pour un missile trois ans. Et un Rafale quatre ans."
"On ne produit pas des armes comme on produit des aspirateurs", relève la sénatrice socialiste Hélène Conway-Mouret. Une remontée en cadence prendra du temps a, pour sa part, expliqué devant les députés le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier : "Si certains peuvent croire qu’on monte une cadence d’avion de combat en un mois, ce n’est pas possible. On ne peut pas dire qu’il n’y a pas la guerre et qu’on profite des dividendes de la paix et d’un coup dire aux industriels, garde à vous, augmentez vos cadences."
Autre obstacle à cette montée en puissance : les commandes du secteur de l’armement proviennent principalement de l’étranger, des marchés extrêmement lucratifs. La France est le 3e exportateur mondial d’armes, derrière les États-Unis et la Russie. Et il sera compliqué de mener de front cette production et une augmentation de la production française.
Emmanuel Macron serre la main d’Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, lors du salon de défense Eurosatory le 13 juin 2022, à Villepinte. (EPA/Ludovic Marin - MAXPPP)
D’autant plus que le prix de l’énergie flambe actuellement, avec des factures de gaz multipliées parfois par 8, et des matières premières qui viennent aussi à manquer. Or, "l’aluminium et l’acier peuvent représenter jusqu’à 60% du coût de petits navires, a récemment précisé aux députés, le PDG de Naval Group, Pierre-Éric Pommellet. On assiste à un marché qui est devenu fou, avec des hausses de prix considérables. On demande à nos entreprises d’accepter dans les heures une commande 60, 80 ou 100% au-dessus du prix moyen."
Note : il a beaucoup de choses que ces journalistes n'ont pas prit en compte
1 l’ennemie est déjà en France, sur notre territoire et ils sont + de 10 millions (en 1940 les allemands étaient 3,3 millions - a l’extérieur)
2 l’ennemie est aussi dans nos armées et nos hôpitaux
3 notre arsenal nucléaire pourrait être mis à mal par une puissance étrangère, elle aussi nucléaire
4 "notre" "président" est un clown qui n’aura jamais les couilles d'utiliser l'arme nucléaire, surtout parce qu'il ne comprendra pas le danger qui vient, et qu'il croira être à la hauteur pour y faire face sans recourir a l'arme nucléaire
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Jérôme Watel raconte l’agression ultraviolente dont a été victime son père, Jean-Baptiste, 92 ans, le 9 septembre porte de la Villette (XIXe). Le vieil homme a été suivi jusqu’à chez eux, avant d’être frappé à plusieurs reprises et dépouillé par une consommatrice de crack.
[…]
Lorsqu’il franchit la première grille d’accès à la résidence de son fils, Jean-Baptiste ne prête pas attention à cette toxicomane au crack qui se tient à côté des ascenseurs. Une fois devant le second sas d’accès aux villas, le nonagénaire ne remarque pas non plus que cette femme transgenre s’engouffre derrière lui et le suit discrètement, à une vingtaine de mètres de distance. Arrivé devant son immeuble, Jean-Baptiste pénètre dans le patio, puis s’engage dans le hall de son immeuble. La toxicomane aussi.
[…]
La mise en cause précise s’être ensuite débarrassée du portefeuille, qui ne sera jamais retrouvé. Elle reconnaît en outre être la propriétaire de deux vêtements qui ont été retrouvés sur la scène de l’agression. Le 19 septembre, ce transgenre de 24 ans, de sexe masculin, est présenté à un juge d’instruction, et mis en examen le jour même « des chefs d’usage de stupéfiants et vol avec violences avec ITT de plus de huit jours », nous indique le parquet de Paris. Elle est placée dans la foulée en détention provisoire.
L’agresseur a été interpellé et placé en détention provisoire. Le nonagénaire a été hospitalisé.
Une sordide affaire qui n’avait pas encore été révélée. Un homme de 92 ans a été violemment agressé par un toxicomane il y a quelques semaines, dans le 19e arrondissement de Paris, aux abords du camp de «crackeux» du square Forceval, a appris Le Figaro de source bien informée ce vendredi 23 septembre. Projeté au sol et roué de coups, nous indique-t-on, il a été hospitalisé et serait aujourd’hui «entre la vie et la mort».
Les faits remontent au 9 septembre dernier. Après avoir rendu visite à son fils, domicilié dans le quartier du square Forceval, un nonagénaire est suivi par un individu encapuchonné. Alors que l’homme de 92 ans s’apprête à rentrer chez lui, l’individu suspect force le passage de son hall d’immeuble, empoigne le vieil homme et le projette violemment au sol. Il le frappe sur l’ensemble du corps, et s’empare de son argent et de ses papiers.
Mais l’agresseur ne s’était pas rendu compte des caméras de vidéosurveillance devant l’immeuble. Lorsque le fils de la victime dépose plainte au nom de son père le 12 septembre, les enquêteurs du service de l’accueil et de l’investigation de proximité (SAIP) du 19e arrondissement s’emparent du dossier, analysent les vidéos enregistrées, et en tirent une description de l’individu, reconnaissable par sa démarche «féminine» – qui a d’ailleurs trompé le nonagénaire, persuadé que son agresseur était une femme.
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