Nous ne sommes plus qu'a quelques heures des résultats des élections présidentielles américaines
Je vais être enfin fixé sur le bien fondé des prophéties de Vanga
D’après Vanga, Obama devrait gagner ces élections puisque la troisième Guerre Mondiale débutera avec un président noir américain aux commendes de ce pays
Depuis plusieurs mois il existe de grande tension entre Israël et l'Iran, c'est les élections qui ont évité ( Obama risqué de ne pas pouvoir renouveler son mandat en cas de nouveau conflit) la guerre jusqu’à maintenant mais une fois les élections passées, il n'ira plus aucun obstacle à ce futur annoncer par Vanga
Je rappelle ici, ce que j'avais prévue ( dès le 11 janvier 2011 ) pour les élections françaises
J'avais annoncé la victoire de Français Hollande par rapport à ce quatrain de Nostradamus
C 05 - Q96
Sur le milieu du grand monde, la rose
Pour nouveaux faicts sang public espandu
A dire vray on aura bouche close,
Lors au besoing viendra tard l'attendu.
Dans le milieu des bourgeois, les socialistes
À cause de nouveaux accords ( avec des parties musulmans comme l'UOIF pour avoir leurs voix et gagné les élections )
le sang public sera répandu ( futur guerre de religion)
À dire la vérité on aura bouche close,
Alors dans le besoin ( les socialistes seront incapables de gérer cette guerre), arrivera tard l'attendu ( le nouveau leader)
La première partie du quatrain c'est donc réalisé, la rose au pouvoir , François Hollande
Le deuxième fait référence a la façon qu'il a gagné les élections, on en a parler sur le forum Bivouac, des Mosquée ont lancé des appels aux votes pour la gauche , on a vu à sa victoire les drapeaux des pays musulmans à Paris( pour le passage du sang public répandu cela viendra malheureusement avec la future guerre )
93% de musulmans ont voté en faveur de François...
'À dire la vérité on aura bouché close ', on a des exemples tous les jours, la critique de l’Islam est interdite en France mais la critique du christianisme est totalement légale
Voir aussi l'acharnement médiatique sur Génération identitaire
Netanyahu "prêt, s'il le faut" à déclencher une attaque contre l'Iran
Le Premier ministre israëlien monte le ton contre l'Iran et son programme nucléaire. Dans une interview télévisée, Benjamin Netanyahu s'est déclaré "prêt, s'il le faut" à déclencher une attaque contre les sites nucléaires de son voisin.
"Je suis bien sûr prêt, s'il le faut, à presser sur le bouton" pour lancer une attaque contre les installations nucléaires de l'Iran, a déclaré Benjamin Netanyahu à la chaîne 2 de la télévision israélienne, en parlant d'une attaque conventionnelle et non nucléaire.
Le programme nucléaire iranien inquiète Israël et les pays occidentaux, qui redoutent malgré les démentis de Téhéran qu'il dissimule un volet militaire, ce que l'Etat hébreu considère comme une menace pour sa propre existence.
"S'il n'y a pas d'autre moyen, Israël est prêt à agir"
Le Premier ministre répondait à la journaliste Ilana Dayan qui lui avait demandé: "Etes-vous vraiment prêt à presser sur le bouton '" pour attaquer l'Iran. "J'espère que ce ne sera pas le cas. En fin de compte, la responsabilité repose sur le Premier ministre, et tant que je serai Premier ministre, l'Iran n'aura pas l'arme nucléaire. S'il n'y a pas d'autre moyen, Israël est prêt à agir", a-t-il répondu. M. Netanyahu a toutefois souligné qu'il "ne se jetait pas dans la guerre".
"Si on peut régler la question (du nucléaire iranien) par des pressions internationales, tant mieux (...) Mais nous sommes sérieux. Ce ne sont pas des faux semblants", a insisté M. Netanyahu dans cette émission.
Le Premier ministre a expliqué qu'à la suite de ses mises en garde, "le président (Barack) Obama a formellement reconnu à Israël le droit à l'autodéfense, et le président (François) Hollande aussi". M. Netanyahu a effectué la semaine dernière une visite en France où il a rencontré pour la première fois le chef de l'Etat.
Projet d'attaque abandonné par les Etats-Unis
M. Barak, qui a été interviewé par la chaîne, a affirmé que le chef d'état-major avait répondu à M. Netanyahu que l'armée n'était pas prête car elle ne disposait pas des moyens opérationnels de lancer une attaque contre l'Iran. Selon M. Barak, la décision d'élever le niveau d'alerte "ne signifiait pas nécessairement une guerre". Finalement, le projet d'attaque a été abandonné.
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« stupide »
Mais le site du quotidien Haaretz rapporte que le général Ashkenazi, après avoir quitté ses fonctions, avait affirmé que l'armée était prête pour une attaque, mais qu'il était convaincu qu'une telle option constituerait une « erreur stratégique ».
Pour sa part, Meïr Dagan a publiquement qualifié de « stupide » l'idée d'une attaque contre l'Iran, après avoir quitté le Mossad.
Le dossier du nucléaire iranien occupe largement la politique étrangère d'Israël depuis plusieurs mois.
M. Nétanayhou a tenté à de nombreuses reprises de convaincre ses alliés américains de le soutenir dans une éventuelle attaque contre l'Iran, mais l'administration américaine a montré des réticences.( source )
L'AIEA critique encore une fois l'Iran
Le 05 nov 2012
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) critique pour la nième fois « le manque de coopération » des autorités iraniennes au sujet de son programme nucléaire.
« L'Iran ne fournit pas la coopération nécessaire », par conséquent l'AIEA « ne peut pas conclure que tout le matériel nucléaire en Iran est utilisé dans des activités pacifiques », a écrit le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano, dans son rapport transmis à l'ONU.
Il a souligné que « le dialogue s'est intensifié entre l'AIEA et l'Iran cette année, mais il n'a abouti à aucun résultat concret pour l'instant », rappelant que son organisation avait « demandé des clarifications » en 2011, mais que Téhéran avait fait la sourde oreille.
Autres inquiétudes de l'AIEA
M. Amano s'est déclaré « très inquiet à propos du programme nucléaire de la Corée du Nord ». L'AIEA n'avait pas pu procéder à des inspections dans ce pays depuis 2009.
L’Église catholique dénonce la prise de pouvoir total par les Frères Musulmans en Égypte
Le 25 nov 2012
Légalement élu, le Président égyptien Mohamed Morsi, qui est le faux-nez des Frères Musulmans, vient d’un trait de plume de changer par décret la Constitution en plaçant sa fonction présidentielle hors d’atteinte de tout tribunal y compris de la Cour suprême : il vient de se déclarer dictateur. Les Frères Musulmans disposent aujourd’hui de tous les pouvoirs en Égypte : « L’Égypte est en grand danger. Les Frères Musulmans contrôlent désormais tous les pouvoirs : le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Personne n’est en mesure de les arrêter », vient de déclarer le Père Rafic Greiche, porte-parole de la Conférence épiscopale catholique d’Égypte. Il a dénoncé les derniers amendements constitutionnels signés par le Président Morsi, « une initiative qui donne aux Frères Musulmans et aux salafistes la mainmise sur le pouvoir ». Pour lui, les Frères Musulmans poursuivent méthodiquement leur plan pour établir la charia dans toute l’Égypte. Il s’agit, au bout du compte, de chasser les chrétiens d’Égypte ou de les réduire à un statut de dhimmis. Cela pourra sembler à certains exotique et loin de chez nous. Il serait temps de se réveiller. Voyez ci-dessous ce qui s’est passé hier en Belgique et qui se passera demain chez nous dans le Nord Pas-de-Calais et ailleurs…
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Israël maintient des mesures de sécurité sévères
Le 24 nov 2012
Israël maintenait samedi des mesures de sécurité sévères au lendemain de la mort d'un Palestinien tué par l'armée israélienne dans la bande de Gaza, premier test pour la trêve entre Israël et le Hamas au pouvoir dans l'enclave palestinienne.
L'accès de la mosquée Al-Aqsa de Jérusalem, troisième lieu saint de l'Islam, a été notamment interdit aux Palestiniens de moins de 40 ans.
Un porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri, a dénoncé "une première violation israélienne de la trêve" entrée en vigueur mercredi à 19h00 GMT, précisant que l'Egypte, médiateur de l'accord, en serait saisie.
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La Russie préoccupée par le déploiement prévu de missiles Patriot de l'OTAN en Turquie
La Russie s'est déclaré préoccupée par le déploiement prévu de systèmes de défense antiaérienne de l'OTAN sur la frontière turque avec la Syrie, a déclaré vendredi le ministère russe des Affaires étrangères.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov "a réaffirmé l'inquiétude de la Russie sur le plan de renforcer le potentiel militaire dans la région" et a réitéré la proposition d'établir une hotline entre Ankara et Damas pour éviter les incidents", indique déclaration du ministère russe des Affaires étrangères.
M. Lavrov a fait cette remarque lors d'un entretien téléphonique avec le secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen.
Rasmussen, qui a appelé M. Lavrov, a informé ce dernier de la demande de la Turquie pour que des missiles Patriot soient déployés sur son territoire, affirmant que ce plan est "de nature défensive".
Mercredi, la Turquie a demandé à l'OTAN de déployer des missiles Patriot sur son territoire avec la Syrie. Pour la Russie, la militarisation de la frontière entre la Syrie et la Turquie est "un signal inquiétant", appelant la Turquie à ne pas rendre la situation dangereuse.
Bachar Al-Assad reçoit le chef du Parlement iranien
Le 23 nov 2012
Le président du Parlement iranien Ali Larijani a mis en garde vendredi 23 novembre l'opposition syrienne ainsi que le Qatar et l'Arabie saoudite contre toute action "aventuriste" en Syrie, où rebelles islamistes et combattants kurdes se préparaient à une guerre ouverte dans le nord du pays.
Autre allié du régime, Moscou a critiqué la décision turque d'installer des missiles antiaériens Patriot à sa frontière avec la Syrie, mais Ankara a répliqué en soulignant leur caractère "purement défensif"."Plus on accumule d'armes, plus elles risquent d'être utilisées", a estimé le ministre des affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
Ce vendredi, les adversaires de Bachar Al-Assad s'apprêtaient à manifester sur le thème de "l'heure de la victoire approche", après les récents succès des insurgés dans l'est et le nord.
LE QATAR ET L'ARABIE SAOUDITE DANS LE VISEUR IRANIEN
A Damas, M. Larijani, qui a rencontré Bachar Al-Assad, s'en est pris sans les nommer au Qatar et à l'Arabie saoudite, principaux soutiens et bailleurs de fonds de l'opposition. "La Syrie joue un rôle important dans le soutien à la résistance, mais certains dans la région veulent mener des actions aventuristes pour causer des problème à la Syrie", a-t-il dit aux journalistes.
"Mais, a-t-il ajouté, l'Iran apprécie toujours le rôle d'avant-garde joué par la Syrie dans le soutien à la résistance", terme qui définit l'opposition à Israël et aux Etats-Unis.
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Syrie: L'Otan va étudier la demande de missiles faite par la Turquie
Le 22.11.12 à 10h48
La Turquie a officiellement demandé à l'Otan de lui fournir des missiles Patriot destinés à être déployés à la frontière syrienne, a annoncé mercredi l'Alliance atlantique.
«Un tel déploiement accroîtrait les capacités de défense de la Turquie pour défendre la population et le territoire turcs», dit dans un communiqué le secrétaire général de l'organisation, Anders Fogh Rasmussen. «Cela contribuerait à la désescalade de la crise le long de la frontière sud-est de l'Otan», ajoute-t-il, en précisant que l'Alliance atlantique allait discuter «sans délai» de la requête turque.
Mardi, le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, avait indiqué que les pays de l'Otan susceptibles de fournir ces missiles -Etats-Unis, Pays-Bas et Allemagne- avaient donné leur accord de principe. Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a dit avoir donné consigne à l'ambassadeur d'Allemagne auprès de l'Otan d'accepter cette demande. Mais il a toutefois souligné que l'envoi de missiles venant d'Allemagne devrait faire l'objet d'un vote au Bundestag.
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L’installation prochaine de missiles de l’Otan en Turquie fait débat
La décision de l’Otan de livrer des missiles antimissiles ou sol-air Patriot à la Turquie n’est pas encore prise, mais elle ne semble guère faire de doute. En Turquie, on annonce déjà la date de leur installation à la frontière avec la Syrie : ce serait le 12 décembre prochain. Même si cette idée ne fait pas plaisir à tout le monde.
Avec notre correspondant à Istanbul, Jérôme Bastion
Comme en réponse à la mise en garde à peine voilée de Moscou, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a fortement insisté, depuis le Pakistan où il est en déplacement, sur le caractère purement défensif de ce déploiement de missiles à la frontière, qui est « une simple mesure de précaution » .
Mais l’opposition social-démocrate du CHP conteste elle aussi ce choix stratégique, dénonçant une militarisation qui mène sur le sentier de la guerre, alors que le gouvernement vantait il y a quelques années sa politique de « zéro problème » avec ses voisins.
Quant à la formation parlementaire ultranationaliste, elle critique, elle, l’arrivée sur le territoire turc d’armement étranger pour défendre la nation turque, comme si le pays n’était pas capable de se défendre tout seul.
Avant l’arrivée des missiles, pour en déterminer l’emplacement, une mission d’inspection devrait visiter la zone dès la semaine prochaine, et ensuite une équipe de 150 à 200 militaires sera à pied d’œuvre pour manipuler ces engins. Et là aussi, il y a débat, car les Turcs n’aiment guère voir des soldats étrangers stationner sur leur sol. Le chef du gouvernement a tenu à préciser qu’ils n’auraient pas de pouvoir décisionnaire, mais que ce sont les Turcs qui décideront de déclencher d’éventuels tirs de missiles.
Source
Iran: De la terre déplacée sur le site militaire de Parchin
L'Iran a déplacé de la terre sur un site militaire que des experts internationaux veulent inspecter, ont déclaré des diplomates occidentaux ce mercredi en invoquant de nouvelles images satellite renforçant leurs soupçons de nettoyage du site.
Selon eux, les images, présentées lors d'une réunion à huis clos entre États membres de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), suggèrent que Téhéran continue d'essayer de cacher des traces de toute activité nucléaire illicite.
Une info qui date d'aout 2012 mais importante puisqu’elle démontre que l'Iran agis partout dans le monde
L'iran ouvre un bureau en Afghanistan

L'Iran a accru son soutien aux talibans en permettant aux militants d'ouvrir un bureau dans le pays tout en tenant compte de la fourniture de surface-air missiles, selon des responsables afghans et occidentaux.
En aidant les talibans, l'Iran vise à faire dérailler une décennie de «partenariat stratégique» signé entre l'Afghanistan et l'Amérique en Avril. Téhéran aurait également la possibilité d'agitation violence en Afghanistan en représailles à une attaque américaine sur ses installations nucléaires.
Un membre du Taliban "Shura", ou conseil de gouvernement, a été autorisé à mettre en place un bureau en mai dans la ville iranienne de Zahedan orientale. Deux mois plus tard, l'interception de communications montre des membres de la Force Qods du Corps des gardiens de la révolution iranienne de discuter des plans pour envoyer surface-air missiles en Afghanistan, bien qu'il n'y ait aucune preuve de ces armes fait d'être expédiés.
Si elles ont été donnés aux talibans, cela marquerait une escalade significative du soutien iranien. Le régime iranien chiite était un ennemi du régime taliban sunnites lorsque celui-ci a jugé plus de l'Afghanistan entre 1996 et 2001. Lorsque les talibans ont capturé la ville de Mazar-i-Sharif en 1998, ils ont assassiné neuf diplomates iraniens.
Cependant les Etats-Unis était maintenant considérée comme «le plus grand ennemi» d'un responsable occidental à Kaboul a déclaré au Wall Street Journal. "L'Iran est prêt à mettre de côté l'idéologie et mettre de côté des valeurs profondément enracinées religieuses pour leur but ultime: l'accélération du départ des forces américaines d'Afghanistan", at-il dit.
Commandants de l'OTAN affirment que l'Iran a longtemps fourni des armes légères et de formation pour les talibans. William Hague, ministre des Affaires étrangères, l'an dernier s'est plaint à Téhéran après soldats britanniques SAS ont saisi un convoi transportant des roquettes de fabrication iranienne de 122 mm destinés aux talibans.
Un accord sur une trêve malgré un attentat
Le 22 nov 2012
L'Égypte a annoncé, hier, un accord de cessez-le-feu pour mettre un terme à une semaine de confrontation armée entre Israël et le Hamas. Plus tôt, un attentat à Tel-Aviv faisait pourtant craindre une poursuite des hostilités.
La trêve entre Israël et le Hamas palestinien a été annoncée, hier, par le ministre égyptien des Affaires étrangères, Mohammed Kamel Amr. Le cessez-le-feu est entré en vigueur à 20h (heure française). À Jérusalem, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé avoir accepté de «donner une chance» à la proposition égyptienne après avoir parlé avec le président américain, Barack Obama. Ce dernier l'a remercié d'avoir accepté. Pressé par les Occidentaux d'aider à obtenir une trêve, le président égyptien Mohamed Morsi a mené depuis plusieurs jours une médiation pour faire cesser les hostilités. Le président égyptien, élu en juin, est membre des Frères musulmans, un mouvement dont est issu le Hamas au pouvoir à Gaza. Mais il est aussi à la tête d'un pays lié depuis 1979 par un traité de paix avec Israël, et qui a une longue expérience de médiation avec l'État hébreu voisin. Une délégation du Hamas était auCaire, hier, dans le cadre des négociations. La capitale égyptienne a d'ailleurs été la plaque tournante des efforts diplomatiques avec la visite, notamment, de la secrétaire d'État américaine, Hillary Clinton, et du secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon.
L'Iran déclare avoir fourni au Hamas sa technologie de fabrication de missiles
Le 21 nov 2012
L'Iran a fourni aux combattants du Hamas à Gaza la technologie nécessaire à la production propre de missiles à longue portée, sans livraisons directes, a déclaré le général Mohammad Ali Jafari, à la tête des Gardiens de la révolution.
D'après ses propos rapportés mercredi par l'agence de presse semi-officielle ISNA, l'Iran a offert ces capacités à Gaza pour que les missiles soient produits "rapidement".
Jusqu'à présent, l'Iran niait avoir livré directement des missiles Fajr-5 au Hamas. Ce sont ces missiles qui ont été envoyés près de Tel Aviv et de Jérusalem.
Le groupe P5+1 prépare un nouveau dialogue avec l'Iran
Le 21 nov 2012
Des diplomates des six pays habilités à négocier avec l'Iran sur son programme nucléaires doivent se réunir mercredi à Bruxelles pour élaborer le calendrier et la nature d'une nouvelle série de discussions avec Téhéran.
Les diplomates du groupe dit P5+1, qui rassemble, l'Allemagne, la Chine, la France, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la Russie, disposent d'une marge de manoeuvre agrandie par la réélection le 6 novembre du président américain Barack Obama, qui a levé les incertitudes sur la position de Washington.
La perspective d'une frappe menée sur l'Iran par l'aviation israélienne, occupée depuis une semaine par une offensive sur les Palestiniens de la bande de Gaza, semble par ailleurs peu probable avant les élections législatives prévues le 22 janvier dans l'Etat hébreu.
Gaza: les armes utilisée viennent d'Iran
Le 20 nov 2012
Le chef du Jihad islamique, Ramadan Abdallah Chellah, a reconnu aujourd'hui sur Al-Jazeera que les groupes palestiniens de la bande de Gaza utilisaient des armes iraniennes dans les attaques contre Israël, qui mène depuis mercredi dernier une nouvelle offensive contre Gaza.
"Les armes de la résistance aujourd'hui en Palestine, face à cette agression et cette arrogance israéliennes, sont essentiellement d'origine iranienne: ce sont des armes iraniennes ou acquises par un financement iranien", a déclaré Ramadan Chellah, connu pour être un proche de la République islamique, dans un entretien diffusé par la chaîne de télévision Al-Jazeera.
"Tout le monde le sait. Ce n'est pas un secret", a-t-il encore dit, sans préciser le type d'armes iraniennes dont disposent les groupes armés de la bande de Gaza ou par quel moyen ces armes ont été livrées.
Le président israélien Shimon Pérès a accusé hier l'Iran d'encourager le mouvement palestinien Hamas à continuer à bombarder Israël plutôt que de rechercher un cessez-le-feu, et de lui avoir livré des missiles Fajr-5 lancés contre l'Etat hébreu au cours des derniers jours.Malgré les divergences avec l'Iran, allié du régime de Damas, au sujet de la crise syrienne, "nous sommes à 100% avec l'Iran" concernant la question palestinienne, a indiqué le chef du Jihad islamique. Cependant, a-t-il ajouté, "il n'est pas logique que l'armement de la résistance à Gaza reste l'apanage de l'Iran (...). Nous voulons des armes de tous les Arabes, qui doivent (nous) ouvrir leurs stocks avant qu'il ne se rouille".
Aujourd'hui, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast a salué "la ferme réponse de la population de Gaza", d'où partent des roquettes et missiles contre Israël, sans démentir ni confirmer explicitement que certains de ces engins aient été livrés par Téhéran. "Ce qui est important, c'est que les Palestiniens aient des armes pour se défendre", a-t-il répondu à une question sur les accusations israéliennes. "La question de savoir qui fabrique le Fajr-5 relève des experts militaires", et "comment ils ont été livrés aux Palestiniens doit être demandé aux responsables du renseignement israéliens", a ajouté le porte-parole iranien dans une formulation ambiguë.
Le missile Fajr-5, de fabrication iranienne, a une portée de 75 km, supérieure à celle des roquettes artisanales généralement utilisées par le Hamas. Le président de la commission de défense du Parlement iranien, Allaeddine Boroujerdi, avait démenti samedi que l'Iran ait livré des Fajr-5 au Hamas, sans indiquer comment ces armes étaient parvenues à Gaza.
Israël. Les efforts diplomatiques n'ont pas ralenti les hostilités
Les hostilités entre Israël et les groupes armés palestiniens de la bande de Gaza se sont accrues, hier. Les tirs de roquettes palestiniens ont tué un militaire et un civil israéliens. Au moins 26Palestiniens ont également trouvé la mort à la suite des bombardements israéliens sur Gaza. Ces décès interviennent alors que d'intenses efforts diplomatiques étaient en cours dans la région pour tenter d'éviter une offensive terrestre et parvenir à une trêve. Depuis LeCaire, avant de se rendre à Jérusalem, le Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon a appelé toutes les parties à «cesser le feu immédiatement». De même, le président égyptien, Mohamed Morsi, a «espéré» qu'une trêve surviendrait rapidement. Mais hier soir, le Hamas, au pouvoir à Gaza, a appelé les groupes armés palestiniens à «continuer à riposter aux crimes israéliens». De son côté, l'aviation israélienne a largué des tracts sur plusieurs quartiers de la ville de Gaza exhortant les habitants à évacuer «immédiatement» leurs domiciles. Le message ne précise pas les raisons de la demande d'évacuation, mais garantit la sécurité à tous ceux qui s'y plieront.
Le programme nucléaire iranien n'est pas affecté par les sanctions selon l'AIEA

Le 20 nov 2012
Les sanctions internationales contre l'Iran sont sans effet sur la poursuite de son programme nucléaire controversé, a estimé mardi à Paris le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AEIA), le Japonais Yukiya Amano.
"Nous surveillons les activités des sites nucléaires en Iran et ne voyons aucun effet", a-t-il dit à des journalistes. "Par exemple, leur production d'uranium enrichi à 5 et 20% se poursuit à un rythme plutôt constant", a ajouté Yukiya Amano.
Le patron de l'AIEA, qui a rencontré lundi le président français François Hollande, a aussi dit qu'il était "très difficile de prévoir" d'éventuels progrès lors des prochaines discussions entre son agence et l'Iran, prévues le 13 décembre à Téhéran.
"Si l'AIEA adopte une approche rationnelle dans les discussions (avec l'Iran) un accord est possible rapidement (...) et s'il y a des inquiétudes, elles peuvent être levées par des entretiens techniques et juridiques", a affirmé mardi de son côté le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast lors de son point de presse hebdomadaire.
Analyse des prophéties de Daniel
Shimon Peres accuse l'Iran d'inciter à la violence à Gaza
Le 20 nov 2012
- Israël examine une proposition de trêve
L'Etat hébreu examine une proposition de trêve avec le Hamas faite par l'Egypte. Le forum des neufs principaux ministres du gouvernement de Benjamin Netanyahu s'est réuni pour étudier cette option ou celle d'une offensive terrestre à Gaza, selon la radio publique. Toujours d'après cette même source, Israël souhaite qu'une trêve de 24 à 48 heures soit observée afin que les parties puissent élaborer un cessez-le-feu durable. Dans ce cadre, Israël pourrait envisager d'alléger son blocus de la bande de Gaza.
- Washington s'oppose à une déclaration du Conseil de sécurité
Les Etats-Unis ne donneront pas leur aval à un texte du Conseil de sécurité des Nations unies, qui risquerait selon eux de saper les efforts entrepris pour obtenir un cessez-le-feu. La Russie, pour qui Washington fait obstruction, a réagi en menaçant de soumettre au vote une résolution en faveur d'un cessez-le-feu immédiat si aucun accord n'est trouvé d'ici à mardi 15h, heure française. Un tel vote obligerait les Etats-Unis à utiliser leur droit de veto. Lundi, dans un entretien téléphonique avec le président égyptien Mohamed Morsi, Barack Obama a demandé que le Hamas cesse ses tirs de roquettes sur Israël, motif sur lequel s'est appuyé l'Etat hébreu pour lancer son offensive. Or c'est aussi ce point qui pose problème : la déclaration actuellement examinée par le Conseil de sécurité ne mentionne pas ces attaques faites par le Hamas.
Shimon Peres accuse l'Iran d'inciter à la violence à Gaza
Le 19 nov 2012
Le président israélien Shimon Peres a accusé lundi l'Iran d'encourager les Palestiniens à poursuivre leurs tirs de roquettes sur Israël plutôt qu'à négocier un cessez-le-feu.
Les Iraniens «essaient encore d'encourager le Hamas à continuer les tirs, les bombardements, ils essaient de leur envoyer des armes», accuse M. Peres dans un entretien à la télévision CNN.
«Nous n'allons pas faire une guerre à l'Iran. Mais nous essayons d'empêcher l'acheminement de missiles à longue portée que l'Iran envoie au Hamas», ajoute le président israélien.
Fabius au Proche-Orient : " la guerre doit être évitée et peut être évitée "
16h25: Obama juge «préférable» d'éviter une offensive terrestre
L'art de l'euphémisme. Après avoir insisté sur le droit de l'Etat hébreu à se défendre, Barack Obama a précisé qu'il serait toutefois «préférable» d'éviter une offensive terrestre de la bande de Gaza par l'armée israélienne.
13h46: Le secrétaire général de la Ligue arabe se rendra mardi à la tête d'une délégation ministérielle à Gaza
«Une délégation ministérielle dirigée par le secrétaire général Nabil al-Arabi se rendra à Gaza mardi», a déclaré à l'AFP un responsable de la Ligue arabe.La décision d'envoyer cette mission avait été prise samedi soir lors d'une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères au Caire «pour affirmer la solidarité avec les Palestiniens» selon l'AFP.
EN DIRECT
La stratégie du Hamas à Gaza
L'Iran veut envoyer des armes aux Palestiniens
Les pays de la région doivent envoyer des armes aux Palestiniens pour combattre Israël, déclare le président du Parlement iranien, Ali Larijani.
Le 18 nov 2012
Les pays de la région doivent envoyer des armes aux Palestiniens pour combattre Israël, déclare dimanche 18 novembre le président du Parlement iranien, Ali Larijani, cité par l'agence officielle Irna.
"Les actions politiques de certains pays de la région sont utiles mais pas suffisantes. Aujourd'hui, on attend d'eux qu'ils envoient une aide militaire" aux Palestiniens, affirme Ali Larijani.
"Les Etats-Unis et l'Occident envoient des armes au régime sioniste. Pourquoi dès lors ne faudrait-il pas envoyer des armes à la Palestine?", ajoute-t-il.
Il assure également que certains pays de la région ont "commis une erreur stratégique en provoquant un conflit interne en Syrie par l'envoi d'armes" aux groupes rebelles syriens.
"On attend de certains pays de la région qu'ils changent leur comportement et qu'au lieu d'encourager un conflit entre deux groupes musulmans en Syrie, ils envoient ces armes en Palestine pour combattre le régime sioniste", insiste-t-il, en visant implicitement les pays du Golfe et la Turquie.
L'Iran, qui soutient les mouvements islamistes palestiniens, ne reconnaît pas Israël et affirme régulièrement que l'Etat hébreu est voué à disparaître. Téhéran est le principal allié régional de la Syrie et dénonce régulièrement le soutien de certains pays occidentaux et arabes aux rebelles syriens
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