Israël vs Iran: Le drone de la Guerre Psychologique! Nouvel épisode. Enquête.
le 30 oct 2012
Israël vs Iran: L’impitoyable univers de la guerre psychologique, une arme hors catégorie. Nouvel épisode avec le drone de la discorde. A-t-il filmé des bases secrètes? Full story.
Cette fois ce sont les iraniens qui sont à la relance. Téhéran -sans rien montrer- affirme posséder des clichés de bases secrètes, zones militaires interdites, et manoeuvres (traditionnelles ) conjointes israélo-américianes. prises par un drone lancé du Liban par le Hezbollah et abattu par un F16 de la chasse israélienne. C’est un parlementaire iranien chef de la commission de la Défense qui l’affirme, -sans rien monter-
Résumé des épisodes précédents
Le drone est lancé le mois dernier, par le Hezbollah, qui le clame haut et fort. Un engin reproduit selon Hassan Nasrallah, le chef du mouvement religieux, politique et militaire chiite libanais à partir d’éléments et de plans fournis par l’allié stratégique Téhéran, avant de décoller du Liban-Sud, ni vu, ni connu, au nez et à la barbe des hommes de la FINUL n’ayant rien détecté dans une vaste zone ou ou le Hezbollah concentre son arsenal militaire secret.
L’Iran fournit ensuite l’appui-feu dans la guerre psychologiques (cf enquêtes précédentes) allant jusqu’à dire que le fameux drone de la discorde n’est rien moins qu’une réplique du drone de l’US Army RQ170, « sentinel » qui s’était abîmé en territoire perse en 2011. Et dont les experts du spatial et de la balistique de l’armée iranienne s’étaient vantés d’avoir réussi à « craquer » les codes secrets, la data-base, les logiciels ultra-sophistiqués du drone, avant de se l’approprier, le repeindre , le remettre en fonction, et même de réussir à le le cloner pour lancer une nouvelle génération de drone « made In Iran ». Impossible avaient alors rétorqué les américains sûrs de leur supériorité totale dans cette technologie, et de la protection de leurs systèmes. Reste que curieusement, le système d’auto-destruction du drone n’avait pas été actionné, ou fonctionné…
Selon des informations que personne ne conteste, Le drone du Hezbollah pro-iranien a pénétré en profondeur l’espace aérien israélien, en venant de la mer: puis en passant au dessus de la bande de Gaza: 50 kilomètres de survol avant d’être détruit par unF16, qui avait du s’y reprendre à deux fois, lâchant deux missiles « panther » pour détruire l’engin ennemi. Alors qu’il s’approchait dangereusement des installations nucléaires stratégiques de Dimona situé en plein désert du Negev. Installations construites à l’époque avec l’aide du gouvernement français, et de ses ingénieurs spécialisés. Le drone n’était qu’à une trentaine de kilomètres de Dimona lorsque le F16, lancé aux trousses d’un engin volant à faible vitesse, l’a détruit en plein vol.
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Israël: Une frappe contre l'Iran soulagerait la région, assure Netanyahou
Le 30 oct 2012
Benjamin Netanyahou se dit convaincu qu'une éventuelle frappe israélienne contre l'Iran, si elle était nécessaire pour empêcher Téhéran de se doter de l'arme nucléaire, générerait un «sentiment de soulagement» dans la région.
Le Premier ministre israélien, qui sera mercredi et jeudi en France pour y rencontrer notamment François Hollande, affirme dans une interview à Paris Match à paraître mercredi que les Iraniens ont accéléré leurs activités d'enrichissement d'uranium «dans des proportions telles qu'ils pourront se doter non pas d'une bombe atomique mais de plusieurs». «Israël se réserve le droit de se défendre seul, par lui-même, de toute menace», dit-il dans cet entretien.
«Je crois qu'un grand sentiment de soulagement étreindrait la région»
«Je ne vais pas vous raconter le film, ce que nous ferions ou ne ferions pas», ajoute-t-il. «Mais, cinq minutes après, contrairement à ce qu'imaginent les sceptiques, je crois qu'un grand sentiment de soulagement étreindrait la région.» «L'Iran n'est pas populaire dans le monde arabe, loin de là. Et certains régimes voisins, ainsi que leurs concitoyens, ont bien compris qu'un Iran nucléaire serait un danger pour eux, pas seulement pour Israël», poursuit Benjamin Netanyahou.
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Le Soudan nie tout rôle de l'Iran dans son usine d'armes de Yarmouk
KHARTOUM (AFP) - Le Soudan a nié lundi que l'Iran soit impliqué dans son usine d'armes de Yarmouk, qui a subi la semaine dernière des explosions et un incendie attribués par Khartoum à une attaque israélienne.
"Le ministère des Affaires étrangères confirme ce que tout le monde sait: l'Iran n'a pas besoin de fabriquer des armes au Soudan, pour l'Iran ou ses alliés", a indiqué le ministère dans un communiqué démentant "toute relation entre la fabrication d'armes au Soudan et tout partenaire étranger".
Dans la nuit du 23 au 24 octobre, l'usine de Yarmouk a été touchée par une série d'explosions suivie d'un incendie. Selon Khartoum, Israël était derrière cette attaque qui a fait quatre morts et dans laquelle quatre avions furtifs ont été impliqués.
L'Etat hébreu s'est refusé à tout commentaire sur les accusations des autorités soudanaises, mais des responsables israéliens ont accusé Khartoum de servir de base de transit pour les armes iraniennes à destination du Hamas dans la bande de Gaza.( lire la suite)
Israël : alerte rouge sur Dimona
Infos ( désolé du retard ) du 18 oct 2012
Un drone iranien à proximité de la centrale nucléaire israélienne ? C’est peut-être le premier acte d’une guerre annoncée…
La guerre israélo-iranienne a peut-être commencé le 6 octobre, à 10 heures du matin, quand l’armée de l’air israélienne a repéré, observé et détruit un drone de petite taille au-dessus de Hébron, en Cisjordanie, à moins de 40 kilomètres de la centrale nucléaire de Dimona. Un “engin non identifié”, selon l’état-major israélien.
À part Israël, un seul pays du Moyen-Orient a mis au point des drones militaires opérationnels : l’Iran. Téhéran n’a pas revendiqué l’incursion du 6 octobre, mais la télévision saoudienne Al-Arabiya a attribué à des chefs militaires iraniens des propos qui équivalent à une revendication officieuse. L’Iran peut théoriquement envoyer un drone à partir de son territoire : le Shahed 129 aurait une portée de 2 000 kilomètres. Téhéran dispose aussi d’une base avancée : le Liban, avec son allié le Hezbollah. Ce qui lui permet de déployer des drones de plus faible portée, mais tout aussi efficaces.
En 2006, pendant la seconde guerre du Liban, un drone iranien chargé d’explosifs avait été dirigé vers Tel-Aviv, avant d’être détruit quelques instants après son lancement. En 2010, un autre drone avait survolé Dimona avant d’être abattu.
Aujourd’hui, le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, affirme que son organisation dispose d’engins capables de mener des opérations “dévastatrices” en Israël. Notamment un bombardement de Dimona.
Cette “escalade” des chiites libanais reflète celle de leur suzerain iranien. Depuis peu, Téhéran retourne contre Israël l’argument de la guerre préventive. Jérusalem a toujours affirmé qu’il avait le droit de préserver ses intérêts vitaux en détruisant préventivement le potentiel nucléaire iranien. L’Iran dit que cette doctrine constitue elle-même une agression. Il a donc le droit d’attaquer le dispositif israélien.
Gesticulation ou mobilisation réelle ? Le “syndrome d’octobre” – la tentation d’agir à la veille de la présidentielle américaine du 6 novembre – semble peser sur l’Iran comme sur Israël ou les États-Unis. Ce syndrome serait d’autant plus net à Téhéran qu’une victoire du républicain Mitt Romney augmenterait la probabilité d’une action conjointe américano-israélienne contre l’Iran.
L’industrie militaire iranienne est l’aboutissement d’une longue passion. Mohamed Reza, le dernier chah, avait alphabétisé son pays, créé des industries civiles et militaires, acheté des équipements et des technologies à l’étranger, mis en place des politiques d’autosuffisance dans tous les domaines et posé les premiers jalons en vue d’un armement nucléaire.
La République islamique, à partir de 1979, a poursuivi et amplifié ces efforts sans couper totalement avec la haute technologie occidentale : 1,5 million d’expatriés ou d’enfants d’expatriés iraniens vivent aux États-Unis, notamment en Californie, “terre sainte” de l’informatique. Bon nombre de ces Persans de l’extérieur travaillent pour des sociétés élaborant des systèmes ou des logiciels. Certains d’entre eux ont été persuadés de mettre leurs connaissances au service de la République islamique, par nationalisme, pour des motifs vénaux ou à la suite de pressions exercées sur leur famille restée en Iran.
L’Iran s’est doté d’un potentiel nucléaire et d’un arsenal balistique très complet, avec l’aide de pays communistes ou postcommunistes (Corée du Nord, Russie). Il dispose de plusieurs milliers d’engins portant de 30 à 8 000 kilomètres. Plusieurs missiles de portée intermédiaire ont en outre été entièrement conçus et construits en Iran même.
Le Fajr-3 (plus de 1 000 kilomètres) est un engin “intelligent”, capable de déjouer des missiles d’interception. Les missiles Ashura et Sajil, encore au stade expérimental, d’un niveau technologique élevé, peuvent être déployés et atteindre leur cible en très peu de temps.
Uzi Ruben, ancien directeur de l’Organisation israélienne de missiles balistiques (Imdo), précise : « Le Sajil ne ressemble en rien aux missiles nordcoréens, russes, chinois ou pakistanais… Il révèle un bond en avant des Iraniens en matière de missiles… Et confirme qu’ils sont en voie de se doter de missiles balistiques intercontinentaux. » Les drones complètent le dispositif. Ils renforcent la menace pour les Israéliens – et les Américains. C’est l’alerte rouge. Michel Gurfinkiel ( source )
Notes : Que ce drone et était détruit au-dessus d'Hébron est troublant
qu'est-ce que l'Iran prépare ?, Nostradamus parle d'Hebron deux fois ( voir page d'accueil ) comme point de départ de cette future guerre ?
Barack Obama : "Tant que je serai président, l'Iran n'aura pas l'arme nucléaire"
Barack Obama a assuré que l'Iran n'aurait pas l'arme nucléaire tant qu'il sera président, lundi, lors du troisième débat face au républicain Mitt Romney qui a promis de durcir les sanctions face à Téhéran.(..) Barack Obama a rappelé que l'objectif était d'empêcher l'Iran de disposer de la bombe atomique par le biais de "sanctions écrasantes" qui, selon lui, "fonctionnent".(...) Avec la chute de la production de pétrole, l'effondrement du cours de sa monnaie, "l'économie (iranienne) est en ruine", selon Barack Obama. "La raison pour laquelle nous avons provoqué cela est parce qu'un Iran nucléaire est une menace pour notre sécurité nationale et une menace pour celle d'Israël. Nous ne pouvons permettre qu'il y ait une course à l'arme nucléaire dans la région la plus instable du monde", a-t-il justifié
Si, malgré les sanctions, Téhéran ne renonce pas à son programme nucléaire controversé, le président américain a rappelé que "toutes les options (étaient) sur la table". "Mon désaccord avec le gouverneur Romney est que, pendant cette campagne, il a souvent dit que nous devrions envisager une action militaire préventive. Je pense que c'est une erreur", a-t-il affirmé.
Le candidat républicain a, de son côté, plaidé pour un renforcement des sanctions et pour isoler l'Iran sur le plan diplomatique. "Je ferai en sorte que ses diplomates soient traités dans le monde comme les parias qu'ils sont, de la même façon que nous avons traité les diplomates sud-africains au temps de l'apartheid", a promis Mitt Romney. S'agissant d'une action militaire contre l'Iran, le républicain a soutenu qu'il s'agissait d'une option "qu'on ne doit envisager qu'en dernier ressort si toutes les autres voies ont été tentées".
Libye, Iran, Afghanistan... les sujets brûlants du dernier débat Romney-Obama
Le 22 oct 2012
Il s'agira de leur dernière confrontation avant le scrutin. Lundi 22 octobre, Barack Obama et Mitt Romney se retrouveront pour leur troisième débat télévisé afin d'évoquer la politique étrangère(..)
(..)L'Iran sera également un des principaux sujets de discussion. Au cours du week-end, le New York Times a évoqué un accord entre Washington et Téhéran pour des négociations directes sur son programme nucléaire qui ne pourraient commencer qu'après le 6 novembre, ce que la Maison Blanche et le gouvernement iranien ont démenti.
Un Frère musulman appelle à reprendre Jérusalem
LE CAIRE, Égypte – Une sortie virulente contre les juifs par le chef des Frères musulmans égyptiens vient cimenter l’un des plus importants défis diplomatiques auxquels devra faire face le nouveau président Mohammed Morsi, alors qu’il tente d’équilibrer l’opinion populaire et le besoin d’établir des relations en matière de sécurité avec Israël.
Le chef suprême des Frères musulmans, Mohammed Badie, a appelé cette semaine l’ensemble des musulmans à défendre Jérusalem, déclarant que les «sionistes ne connaissaient que l’usage de la force». Il a ajouté que les juifs répandaient la «corruption», avaient massacré des musulmans et profané des sites religieux.
La rhétorique de M. Badie est allée bien au-delà des critiques féroces d’Israël et de ses politiques, qui sont courantes en Égypte. Il a plutôt provoqué des frictions encore plus vives entre le plus puissant groupe politique égyptien et son voisin juif. Cela augmentera sans doute la pression sur M. Morsi, afin qu’il s’implique davantage que son prédécesseur dans le dossier israélo-palestinien.
Nouvelles sanctions contre l'Iran : l'UE durcit le ton
Réunis au Luxembourg, les 27 doivent adopter un nouveau train de sanctions contre l'Iran. C'est un durcissement de la politique de l'union européenne : après un embargo sur le pétrole iranien, les restrictions vont concerner les secteurs bancaire, industriel et maritime de la République islamique.
L'Iran serait sur le point de déverser du pétrole dans le détroit d'Ormuz
Le 16 oct 2012
Les services de renseignement occidentaux soupçonnent l’Iran de planifier un déversement de pétrole délibéré dans le détroit d’Ormuz, selon une information délivrée par le magazine allemand « Der Spiegel »
L'Iran chercherait à se venger des sanctions occidentales
L’Iran envisage secrètement de déverser du pétrole dans le détroit d’Ormuz pour se venger des sanctions occidentales, selon Der Spiegel. L’hebdomadaire allemand prétend avoir parlé à des sources de renseignement occidentales qui disent avoir obtenu le rapport classifié de l’Iran sur l’opération, qui pourrait causer un désastre environnemental.
Nom de code: « Eau trouble »
Sous le nom de code « eau trouble », le plan prévoirait le pilotage d’un superpétrolier iranien, capable de transporter des centaines de milliers de barils de pétrole sur un rocher.
Selon Der Spiegel, « l'objectif du plan semble être de contaminer le détroit de façon à fermer temporairement l’importante route maritime pour les pétroliers internationaux, punissant ainsi les pays arabes qui sont hostiles à l'Iran, et forçant l'Occident à rejoindre l'Iran pour une opération de nettoyage à grand échelle - qui pourrait exiger la suspension temporaire des sanctions contre Téhéran ».
La proposition a été élaborée par les chefs des Gardiens de la révolution et de la Marine iranienne, mais il appartient au guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, de juger s’il y a lieu de la mettre en œuvre, indique l’hebdomadaire.
L’Iran a déjà menacé de fermer le détroit d’Ormuz, à travers lequel passe près d’un cinquième des transits de pétrole mondiaux.
Les États-Unis et l'Union européenne ripostent aux attaques de l'Iran
Cela a incité les États-Unis à renforcer leur présence militaire dans le golfe persique, ainsi qu'à envoyer des hélicoptères, des drones sous-marins et des navires de déminage afin de dissuader l’Iran de mettre en place cette tactique.( lire la suite )
Khamenei assure que son pays sortira vainqueur des conspirations et des ruses
Le 13 oct 2012
L'ayatollah Ali Khamenei a assuré samedi dans un discours que son pays sortirait vainqueur des "conspirations" et des "ruses" lancées par ses "ennemis", qu'elles soient sous forme de "sanctions", d'"attaque militaire" ou de "guerre douce".
"Nous ne devons pas négliger l'ennemi. L'ennemi entre par différentes voies. Un jour, il est question de sanctions. Un autre jour, il est question d'attaque militaire. Et un autre jour, il est question de guerre douce", a dit le guide suprême iranien dans un discours dans le nord-est de l'Iran selon la télévision officielle.
"Nous devons être vigilants", a-t-il ajouté. Mais "nos ennemis échoueront dans toutes leurs conspirations et leurs ruses", a-t-il assuré. "Beaucoup de politiques (...) aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et dans d'autres pays (...) ont employé toute leur puissance et leurs desseins avec l'hypothèse qu'ils pourraient mettre à genoux la République islamique et la nation iranienne. Ils sont partis et même leurs noms sont oubliés mais la nation iranienne est présente par la grâce de Dieu", a encore déclaré Khamenei.( lire la suite )
Un ancien haut-fonctionnaire américain affirme que Washington soupçonne des pirates informatiques iraniens, probablement soutenus le régime, d’être responsables des récentes cyber-attaques contre des groupes pétroliers et gaziers dans le golfe Arabo-persique. Il pourrait s’agir représailles à la dernière série de sanctions prises par les États-Unis contre l’Iran. source
Les sanctions contre l'Iran se retourneront contre l'Occident
Le 12 oct 2012
Le ministre iranien des finances Shamseddin Hosseini a déclaré vendredi à Tokyo que les sanctions économiques contre son pays se retourneraient contre les puissances occidentales.
Les sanctions imposées à l'Iran, n'affectent pas que l'économie iranienne, elles touchent aussi d'autres pays ainsi que des compagnies étrangères, a déclaré Shamseddine Hosseini lors d'une conférence de presse en marge du sommet annuel du FMI et de la Banque mondiale dans la capitale japonaise.
Par exemple, la Turquie est devenu un de nos importants partenaires commerciaux à la place de l'Allemagne, tandis que la Chine pourrait prendre la part de marché qui est celle du Japon, a-t-il détaillé devant les journalistes à l'ambassade iranienne à Tokyo.
Ceux qui imposent des sanctions doivent en payer le prix, a-t-il encore lancé.
L'Iran est soumis à des sanctions de l'ONU renforcées par des sanctions pétrolières et bancaires américaines et européennes. L'objectif est de le priver de ses revenus pétroliers dans le but de le pousser à cesser ses activités nucléaires soupçonnées, malgré les démentis de Téhéran, de comprendre un volet militaire.
C'est comme une colonisation froide, ou une guerre économique, a commenté Shamseddin Hosseini qui a réaffirmé que l'Iran a ses propres ressources et son économie est assez considérable avec du potentiel.
Concernant la monnaie iranienne, qui s'était effondrée début octobre face au dollar, le ministre des finances a indiqué que les autorités monétaires du pays avaient pris les mesures nécessaires pour arrêter la baisse du rial.
L'UE s'apprête à interdire les importations de gaz iraninen
Le 04 oct 2012
L'Union européenne s'apprête à interdire les importations de gaz naturel iranien dans le cadre des pressions déjà exercées sur la République islamique pour l'amener à suspendre son programme nucléaire, rapportent des diplomates ce jeudi.
Un lot de sanctions contre l'Iran est en préparatif en vue d'une adoption lors de la rencontre des chefs de la diplomatie européenne le 15 octobre, à Luxembourg. Un accord préliminaire a été conclu mercredi soir pour interdire les importations de gaz, et d'autres mesures financières et énergétiques sont envisagées, selon trois diplomates européens.
«Il y a un accord sur le gaz», a déclaré l'un d'eux sous le sceau de l'anonymat. «Les grands pays le soutiennent, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, la France», a indiqué un autre diplomate. Les gouvernements européens et les Etats-Unis cherchent de nouveaux moyens d'accentuer leur pression sur Téhéran au sujet de son programme nucléaire après l'échec diplomatique enregistré cette année. Téhéran dément nourrir des ambitions militaires.
Notes : Nous sommes le 3 octobre 2012, les élections Américaines auront lieu le 6 novembre, si je me fi aux prophéties de Vanga , c'est donc Obama qui va gagner ces élections, la guerre commencerait vers novembre, plus sûr vers décembre
“La situation en Iran va encore se détériorer” voir video euronews
L'ambassade de France à Téhéran attaquée
Le 02 oct 2012
L'ambassade de France à Téhéran a été attaquée mardi par des dizaines de manifestants iraniens en colère contre le film islamophobe "Innocence of Muslims" (innocence des musulmans) produit aux Etats-Unis et les caricatures de Mahomet publiées récemment dans l'hebdomadaire français "Charlie Hebdo".
Des vendeurs et des habitants du quartier ont raconté que les manifestants avaient cassé une guérite de police à l'extérieur de l'ambassade et un panneau d'information sur le mur de l'ambassade.
D'après des témoins, environ 30 manifestants ont été arrêtés à l'issue des événements.
Selon la télévision d'Etat, plusieurs manifestations ont eu lieu mardi dans le pays, mais celle qui s'est tenue devant l'ambassade de France n'a pas été mentionnée.
Le film, dont un extrait de 14 minutes a été diffusé sur YouTube, a déclenché de vives protestations dans le monde musulman. Ces violences ont fait au moins une cinquantaine de morts, dont l'ambassadeur des Etats-Unis en Libye, Christopher Stevens, depuis le 11 septembre.
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