Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
10 mars 2012 Face à l'impatience israélienne, Barack Obama cherche à gagner du temps pour éviter une intervention militaire de Tsahal en Iran. Dans cette guerre des nerfs, Téhéran joue également la montre...
mpêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire et éviter qu’Israël ne frappe les installations nucléaires iraniennes. Tels sont les deux écueils entre lesquels Barack Obama doit naviguer au cours des prochains mois. Et cette navigation s’avère de plus en plus délicate au fur et à mesure que s’approche l’échéance de l’élection présidentielle américaine, en novembre prochain.
De toute évidence, Barack Obama n’a obtenu aucune assurance de Benjamin Netanyahou lors de leur entretien à la Maison blanche, lundi 5 mars. Le Premier ministre israélien ne veut pas se lier les mains et veut rester libre de sa décision. Les hauts responsables américains qui se sont succédé ces dernières semaines à Jérusalem ont le sentiment que la décision de frapper l’Iran n’a pas encore été prise. Le sera-t-elle? Les observateurs estiment qu’Israël agira quand ses dirigeants auront le sentiment que l’Iran a franchi un seuil technique qui lui donne la possibilité d’acquérir l’arme nucléaire. Au-delà de ce seuil, ce serait trop tard.
Du côté américain, on estime que ce moment n’est pas encore venu et qu’il reste du temps pour la diplomatie, comme l’a dit Barack Obama. En dépit de quelques nuances, les services de renseignement pensent que l’Iran a encore besoin de plusieurs années avant d’être en mesure de produire une arme nucléaire. Lire la suite
Les Etats-Unis se dotent d'une bombe surpuissante
09 mars 2012
L'armée américaine dispose d'une bombe de 13,5 tonnes capable de perforer 65 mètres de béton avant d'exploser et de détruire des installations enfouies profondément sous terre comme celles que possèderait l'Iran pour mener à bien son programme nucléaire.
Le général Herbert Carlisle, chef d'état-major adjoint de l'armée de l'air américaine, a indiqué jeudi que cette arme disponible depuis l'an passé fait désormais partie de l'arsenal militaire pour des frappes éventuelles contre des pays comme l'Iran.
«Cet obus à très forte puissance de pénétration est une arme formidable. Nous continuons à travailler à son amélioration», a dit le général Carlisle. «Il dispose d'une grande capacité maintenant et nous continuons de l'améliorer. Il fait partie de notre arsenal et il constitue une option si nous en avons besoin dans ce type de scénario».
Le Pentagone planche sur des options militaires si les sanctions et la diplomatie se révèlent insuffisantes pour empêcher Téhéran de chercher à se doter de l'arme atomique.
Dans un entretien publié jeudi, le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, a indiqué que les Etats-Unis planchaient «depuis longtemps» sur la question du programme nucléaire iranien.
PS : 348 centrifugeuses fonctionnent dans le site souterrain de Fordo en Iran , elles sont entérées jusqu’à 300 pieds
( 80 mètres voire plus) au cœur de la roche.
Iran : Netanyahu offre à Obama un texte biblique hébraïque lourd de sens
08 mars 2012
Ce lundi 5 mars, le Premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu et le Président américain, Barack Obama se sont rencontrés à la Maison Blanche. Leurs discussions ont été dominées par un point central : l’Iran et son développement d’un arsenal nucléaire. La rencontre s’est terminée par la remise d’un cadeau du Premier ministre israélien, qui n’a pas été choisi au hasard.
(..) Pour Israël, l’Iran menace la sécurité et l’existence même de l’Etat hébreu : il faut donc envisager une attaque militaire préventive, et ce, de manière assez rapide.
Du côté américain, on préfère d’abord les sanctions afin de dissuader Téhéran. Il faut tenter de résoudre le problème de manière diplomatique et par des menaces, l’intervention militaire étant le dernier ressort envisagé. Le gouvernement israélien ne constate aucun résultat actuel, mais les Etats-Unis estiment que la solution des sanctions est toujours possible, et c’est aussi une question de temps.(..)
Le cadeau de Netanyahu : le Livre d’Esther
A la fin de la rencontre, Netanyahu a remis au Président américain un cadeau lourd de sens : le livre d’Esther, rouleau biblique hébraïque.
Il relate l’histoire d’une princesse juive, Esther, qui est parvenue à déjouer le plan du vizir perse Haman. Ce complot consistait à exterminer les juifs de Perse. La fête juive du Pourim qui a eu lieu ce mercredi 7 mars commémore cet événement.
Vu le contexte actuel, le parallèle est évident. D’ailleurs, en remettant son présent, le Premier Ministre israélien aurait ajouté : «A cette époque-là aussi, ils voulaient nous faire disparaître».
Nucléaire iranien: six négociateurs tentent d'aplanir leurs différences
07 mars 2012
Les cinq membres du Conseil de sécurité de l'ONU et l'Allemagne ont trouvé un terrain d'entente, mercredi, sur la façon de négocier avec l'Iran au sujet de son programme nucléaire, après de longues discussions qui montrent toute la difficulté de présenter un front uni dans ce dossier.
Les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne voulaient présenter une déclaration commune condamnant l'Iran pour avoir défié les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU lui enjoignant d'abandonner ses activités nucléaires et de coopérer avec l'AIÉA.
Mais un haut diplomate occidental a déclaré à l'Associated Press sous le couvert de l'anonymat que la Russie et la Chine, qui jugent les sanctions occidentales contre-productives, avaient demandé que la déclaration adopte un ton plus modéré.
(..) Mardi, la chef de la diplomatie de l'Union européenne, Catherine Ashton, a annoncé que les six pays avaient accepté de reprendre les négociations avec l'Iran à une date et un lieu qui restent à déterminer.
Mais le scepticisme de certains pays occidentaux face à la volonté réelle de Téhéran de négocier jette des doutes sur l'issue de ces négociations.
Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a affirmé mercredi qu'il n'était pas convaincu que l'Iran soit prêt à abandonner son programme nucléaire.
Nucléaire iranien: Pékin ne souhaite pas que Téhéran se dote de l'arme atomique
06 mars 2012
L'Iran ne doit pas se doter de l'arme atomique mais rien ne l'empêche de développer la filière nucléaire à des fins énergétiques, a répété mardi le ministre chinois des Affaires étrangères.
«Nous sommes opposés à ce que des pays du Moyen-Orient, Iran y compris, développent et possèdent des armes nucléaires», a déclaré Yang Jiechi, qui s'adressait à la presse en marge de la session annuelle du Congrès du peuple.
Le chef de la diplomatie a en outre exprimé à nouveau l'hostilité de Pékin à l'égard des sanctions unilatérales et a plaidé pour la reprise des discussions entre Téhéran et le groupe «5+1», qui réunit les membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France) et l'Allemagne.
l'AIEA autorisée à se rendre sur le site de Parchin
06 mars 2012
L'Iran a annoncé mardi qu'elle laissera des experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) visiter son complexe militaire de Parchin, selon ce que rapporte l'agence de presse Isna.
« Comme Parchin est un site militaire et que son accès implique une longue procédure, les visites ne peuvent pas y être fréquemment autorisées [...] Nous laisserons l'AIEA s'y rendre une fois de plus », a expliqué la République islamiste, par voie de communiqué.
Ce complexe est soupçonné par l'AIEA d'abriter des installations souterraines secrètes utilisées pour le programme nucléaire iranien, ce que le régime dément.
Dans un rapport rendu public en 2011, l'agence onusienne affirme que l'Iran s'est doté à Parchin de vastes installations destinées à faire des expériences à l'aide d'explosifs, qui constituent des « indications fortes » d'un programme d'armement potentiel.
Lors de leur dernière mission d'observation en Iran, les experts de l'AIEA s'étaient vu refuser l'accès au site de Parchin par les autorités. L'agence onusienne avait alors rapidement reconnu son échec dans sa nouvelle tentative d'enquêter sur les démarches de Téhéran.
Mitt Romney, candidat à l'investiture du parti républicain pour la présidentielle américaine, a assuré que l'Iran se doterait de l'arme nucléaire si Barack Obama était réélu en novembre. Hier, à la veille d'une rencontre entre le président américain et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu où le nucléaire iranien devait être au centre des discussions, M. Romney a déclaré : "Si Barack Obama est réélu, l'Iran disposera de l'arme nucléaire, et le monde changera si tel est le cas".
Iran : prêt à "utiliser la force", Obama veut privilégier la solution diplomatique
04 mars 2012
Le président américain a appelé Téhéran, dimanche, à résoudre la crise sur son programme nucléaire par le biais de discussions. Mais "toutes les options restent sur la table" pour empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire, y compris "une action militaire", a-t-il affirmé, soutenant ainsi la position israélienne.
Le conseil de l'AIEA confronté à l'impasse du nucléaire iranien
03 mars 2012
VIENNE - Le programme nucléaire iranien -- strictement civil, comme l'affirme l'Iran, ou aussi à visée militaire, comme le suspectent les Occidentaux -- va de nouveau accaparer le conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), contraint de réagir d'une façon ou d'une autre à l'absence de progrès dans le dossier.
Les Etats occidentaux jugent que le conseil, qui se réunit du 5 au 9 mars, doit de nouveau frapper fort, dans la limite de ses moyens, face à ce qu'ils considèrent comme un refus persistant de Téhéran de coopérer pour lever le doute sur la nature de son programme nucléaire, selon des sources diplomatiques à Vienne, siège de l'agence onusienne.
(..)En novembre, l'AIEA avait publié un rapport très critique -- le plus sévère après plus de huit ans d'enquête de l'agence en Iran -- confortant les soupçons des Occidentaux et d'Israël sur une dimension militaire du programme nucléaire iranien. Téhéran avait de nouveau rejeté l'assertion.
Barack Obama dit ne pas "bluffer" sur l'option militaire en Iran
02 mars 2012
A trois jours d'un entretien avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Barack Obama se dit prêt, le cas échéant, à recourir à l'option militaire pour empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire, tout en mettant en garde contre une action unilatérale israélienne.
Estimant qu'un Iran nucléarisé serait inacceptable, le président américain déclare dans une interview à la revue Atlantic Monthly: "Je pense que le gouvernement israélien reconnaît qu'en tant que président des Etats-Unis, je ne bluffe pas."
"Je pense que les gouvernements tant iranien qu'israélien savent que lorsque les Etats-Unis déclarent que la possession par l'Iran d'une arme atomique est inacceptable, nous sommes sérieux."
Barack Obama répète que "toutes les options sont sur la table" en ajoutant explicitement que cela inclut un "élément militaire".
(..) Barack Obama explique que la perspective d'un Iran nucléarisé entraînerait une course aux armements au Moyen-Orient "très dangereuse pour le monde".
Dans le même temps, le président américain juge qu'une action militaire unilatérale des Israéliens aurait des "conséquences potentielles non voulues".
(.. ) A Ottawa, où il a rencontré vendredi son homologue canadien Stephen Harper, Benjamin Netanyahu a déclaré que son pays se réservait le droit de se défendre tout seul face à l'Iran.
Pour Netanyahu, la communauté internationale ne devrait pas autoriser la République islamique "à chercher sans relâche à acquérir des armes nucléaires".
"S'agissant d'Israël, comme tout pays souverain, nous nous réservons le droit de nous défendre contre un pays qui appelle et travaille à notre destruction", a-t-il dit lors d'une conférence de presse. Lire la suite
VITRIFIER L’IRAN…
29 fevrier 2012
Parmi tous les dangers qui guettent Israél et parmi tous les ennemis qui œuvrent à sa destruction ou en rêvent, l’Iran est certainement le péril le plus menaçant. Sa volonté désormais avérée même pour les sceptiques d’acquérir le nucléaire militaire, impose à Israël et à ce qui reste éventuellement du monde civilisé, une action défensive et préventive.
Certains théoriciens voudraient nous faire croire que l’équilibre de la terreur permet d’éviter toute confrontation. C’était peut être le cas d’une certaine façon entre l’Occident et le bloc soviétique où l’équilibre créé par des armes de destruction massive était dissuasif pour les deux parties. Cette logique n’est pas applicable pour un pays musulman où n’existe aucune rationalité et où l’esprit d’analyse est embué par une religion-idéologie de conquête et de guerre.
Les musulmans peuvent trouver dans l’islam la volonté de devenir tous des martyrs et de déclencher une destruction catastrophique qui sera une « guerre sainte ».Ils peuvent estimer, et d’ailleurs ils en sont persuadés, que la mort de centaines de milliers de « shahid » pour prix de la destruction d’Israël reste une opération viable. Une fois disparu le rempart que représente Israël pour la défense d’un occident émasculé et inconscient, l’invasion de l’islam pourra régler le sort de l’Europe anciennement judéo-chrétienne.
(..) L’Europe continuera à pondre des déclarations creuses, inutiles et surtout inefficaces, Obama continuera de tout faire pour freiner Israël et permettre ce qui pourrait être son véritable dessein de doter l’Islam d’une puissance nucléaire.
Le peuple juif, dans sa partie consciente, sait le tribut payé pour ne pas avoir cru de suite aux menaces à son encontre. ( .. )
Ne pas croire aux imprécations de l’Adolf de Téhéran ne pas écouter la traduction de ses discours, ignorer ses promesses et ses menaces, oublier les foules en délire dans les rues iraniennes vociférant contre Israël et l’Occident, risque de nous mener au désastre.
(..)La presse ne cesse de décrire les difficultés que représenterait une attaque aérienne israélienne pour détruire l’infrastructure nucléaire iranienne. Un nombre impressionnant d’avions de chasse et de bombardiers, le ravitaillement en vol, les bombes capables de percer les bunkers enfouis au plus profond, les radars et la défense anti-aérienne, les réactions des alliés iraniens dans la région ! Tout cela sans oublier les dizaines et centaines de milliers de missiles, roquettes et obus aux mains des terroristes du Hezbollah, du Hamas et de l’OLP.
Tout cela sans discourir sur la cinquième colonne et ces arabes qui se jucheront sur les toits pour espérer voir pleuvoir les obus sur Israël.
PS : Quelle plaisir de lire enfin un article des plus réaliste , mes félicitation a Jacques Kupfer
J'ai posté un message sur leur site en espérant qu'il sera publier
SOMMET NUCLÉAIRE
Iran et Corée du Nord au centre des discussion
Les représentants de 53 pays, dont Barack Obama, se réunissent demain à Séoul pour un sommet consacré à l'énergie, l'armement et au terrorisme nucléaires, mais les ambitions atomiques de Pyongyang et de Téhéran devraient dominer les discussions informelles. La Corée du Nord veut lancer mi-avril un satellite d'observation à usage civil, un projet dénoncé par les Etats-Unis et leurs alliés comme un tir déguisé de missile, en infraction aux résolutions de l'ONU qui interdisent à Pyongyang de procéder à des essais nucléaires ou balistiques. Séoul a accusé son voisin du Nord de chercher, avec ce tir, à mettre au point un missile à tête nucléaire.
Attaquer l'Iran serait la plus grosse erreur de l'histoire des Etats-Unis
Le 23 mars 2012
Ce serait la plus grosse erreur jamais commise au cours de l'histoire des Etats-Unis que d'attaquer l'Iran, a déclaré jeudi l'ancien dirigeant cubain Fidel Castro, cité par le quotidien officiel Granma.
Dans un article intitulé "Les chemins qui mènent au désastre", l'homme d'Etat à la retraite a déclaré qu'il ne faisait "aucun doute" que les Etats-Unis commettraient "la pire erreur de leur histoire" s'ils décidaient d'attaquer l'Iran en coordination avec Israël.
Le gouvernement de Washington "se trompe s'il croit que les hommes et les femmes qui composent les forces armées iraniennes (...), connus pour leurs principes religieux et leurs traditions de combat, se rendront sans réagir", a écrit M. Castro.
(..) Castro a cité un reportage rapportant la mise au point par les Etats-Unis d'une nouvelle bombe conventionnelle de 13,6 tonnes, qui serait en mesure de traverser les bunkers de protection.
Obama, le nucléaire iranien et la notion de containment
Le 23 mars 2012
J'en parle hier avec un expert américain, proche des Républicains, bien informé des questions stratégiques, qui professe un avis quelque peu différent. Pour lui, personne ne parle aujourd'hui de containment, mais il est évident que cette option reste évidemment dans les cartes. Pour lui, des frappes militaires seraient tout simplement "catastrophiques" car elles ne parviendraient jamais à détruire le potentiel iranien et qu'elles scelleraient l'union sacrée de toute la nation iranienne derrière un régime actuellement extrêmement fragilisé et détesté par la jeunesse. Ce serait "dévastateur" dit-il, persuadé que l'administration américaine ne soutiendra pas un tel scénario. Il parle d'"enfantillages" pour qualifier les déclarations tonitruantes du candidat conservateur Rick Santorum sur la nécessité de frappes militaires et explique qu'à son avis, les Israéliens eux-mêmes ne seront jamais assez fous pour aller frapper un pays, qui aurait alors toute légitimité pour les frapper en retour. Leur rhétorique actuelle consisterait à faire monter la pression sur les Occidentaux, pour que ceux-ci accentuent à leur tour leur pression sur les Iraniens
Le ministre turc de l'Énergie Taner Yildiz a affirmé aujourd'hui que des négociations étaient en cours pour obtenir que la Turquie soit exemptée des sanctions de son allié américain visant son voisin iranien. "Des discussions sont menées actuellement au niveau des entreprises", a-t-il indiqué, cité par l'agence de presse Anatolie.
Les Etats-Unis ont annoncé hier qu'ils allaient exempter 11 pays, dont dix pays européens et le Japon, des nouvelles sanctions lancées contre l'Iran dans le cadre de la pression exercée sur le programme nucléaire controversé de Téhéran. Mais la Turquie, important client en pétrole et en gaz de l'Iran, ne figure pas parmi ces pays. "Le fait que la Turquie ne soit pas dans la liste ne veut pas dire qu'elle n'y sera jamais", a estimé le ministre turc.
30% de ses approvisionnements
Les Etats-Unis et l'Union européenne ont imposé des sanctions pétrolières contre l'Iran mais la Turquie, qui entretient de bons rapports avec la République islamique, fait valoir que le problème nucléaire de l'Iran doit être résolu par des moyens diplomatiques et non par des sanctions.
La Turquie a annoncé qu'elle ne se considèrait pas comme liée par des sanctions prises unilatéralement ou en groupe, mais seulement par celles imposées par le Conseil de sécurité de l'ONU. Le pays importe son pétrole de différents pays, notamment la Russie et l'Azerbaïdjan, mais sa source d'approvisionnement la plus importante demeure l'Iran (30%).
Israël - Défense : une suprématie militaire en danger
La Syrie entraine le Hezbollah à l'utilisation d'armes anti-aériennes qui pourraient menacer la suprématie aérienne israélienne.
Selon un responsable de l'armée israélienne de la région nord, plusieurs centaines de membres du Hezbollah s'initieraient en effet au maniement de missiles sol-air.
Selon plusieurs commentateurs militaires, un certain nombre de développement pourraient ainsi modifier l'équilibre régional des forces.
Le premier serait le transfert d'une grande quantité de ces missiles à technologie avancée, le second le transfert d'armes chimiques et biologiques.
"La possibilité d'une escalade avec le Liban est importante et le Hezbollah continue à renforcer son arsenal d'armes de longue portée qui peuvent modifier la réalité sur le champ de bataille" commente cet officier supérieur qui ajoute que cela "pourrait modifier totalement la capacité de représailles israéliennes".
A plusieurs reprises dans le passé, Israël avait envisagé de bombarder les convois d'armes en provenance de Syrie, à destination du Hezbollah au Liban.
Ces livraisons d'armes ont débuté bien avant les émeutes en Syrie, mais elles se sont accélérées avec la montée de la révolte de la population syrienne; une intensification en quantité d'armes livrées, mais également dans leur nature : ainsi des drones, des missiles sol-mer auraient également été livrés à la milice chiite.
Le Hezbollah disposerait désormais de plusieurs centaines de missiles longue portée, dont des scuds et des M600.
Il y a deux mois, le quotidien Haaretz publiait une note de responsables israéliens de la Défense au sujet d'armes chimiques transférées au Hezbollah.
Selon eux, Assad garderait ces armes jusqu'au dernier moment mais en cas de chute de son régime, les transfèrerait au Hezbollah – selon les experts israéliens, le régime syrien ne survivrait pas à l'année 2012.
Pour Amir Heshel, qui commande l'armée de l'air israélienne, "la principale crainte est la constitution de vastes caches d'armes chimiques et biologiques, et de capacités stratégiques qui arriveraient en Syrie, via l'Europe de l'est".
Sans oublier l'Iran qui continue à "inonder" son allié syrien d'armes et de matériels militaires.
IRAN - Israël reconnait pour la première fois l'efficacité des sanctions
Le 19 mars 2012
Pour la première fois, des responsables israéliens reconnaissent l'efficacité des sanctions prises contre l'Iran, en particulier après la décision de bloquer l'accès au système SWIFT.
Ainsi, le ministre israélien des Finances, Youval Steinitz, estime que la décision de SWIFT (une société de droit belge qui gère l'ensemble des transactions électroniques entre les banques) d'empêcher l'Iran d'utiliser son système de transfert électronique de fonds les opérations internationales, constitue un coup terrible qui pourrait potentiellement conduire à l'effondrement de l'économie iranienne.
SWIFT est la plus grande compagnie du monde de systèmes de paiement électronique.
Le samedi 17 mars, elle a pris la décision de placer 30 banques iraniennes sur la liste noire de l'UE, soutenant ainsi les sanctions économiques. De l'aveu même de SWIFT, le mouvement est "extraordinaire et sans précédent".
Selon Steinitz, cette décision rend impossible le transfert de milliards de dollars vers l'Iran pour ses transactions pétrolières.
(..) Selon Shalom, Israël est satisfait de la décision de SWIFT et a estimé que d'ici quelques semaines, l'impact sur l'économie iranienne sera évident.
"Dans le monde d'aujourd'hui, tout se fait par transferts électroniques internationaux. Que vont-ils faire maintenant? Transporter des valises avec de l'or?" a-t-il commenté.
PS : Si je mets cette info c'est parce que l'Iran pourrait bien se servir de la cause palestinienne
( si ses troubles s'étendaient sur les autres territoires palestinnien ) , cela deviendrai dangereux
C 03 . Q 12
Par la tumeur de Heb, Po,Tag Timbre, & Rosne
Et par l'estang Leman & Aretin.
Les deux grands chefs & citez de Garonne,
Prins, mortz noyez: Partir humain butin.
Et au lac Léman ( Suisse ) & Arètin ( habitant d'Arezzo Toscane en Italie )
Les deux grands chefs des villes de la Garonne ( Bordeaux et Toulouse )
Pris , morts , noyez . Ils feront partis du butin humain
Quatrain de Nostradamus
Israël accuse l'Iran d'être responsable de l'escalade des violencesà Gaza
Le 15 mars 2012
Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a accusé mercredi l'Iran d'être responsable de la récente escalade des violences à Gaza, affirmant que la République islamique finance les milices dans cette bande côtière et qu'Israël ne tolèrera pas les terroristes soutenus par un régime iranien doté de l'arme nucléaire.
S'exprimant devant le Parlement de la Knesset, M. Nétanyahou a également critiqué ceux qui ont soutenu le désengagement de Gaza en 2005, lequel a, selon lui, conduit à la mainmise de l'Iran sur ce territoire et aux violences qui se sont ensuivies, rapporte le quotidien Haaretz.
"Dès qu'on en est sorti, l'Iran y est entré", a déclaré le chef de gouvernement.
Par ailleurs, M. Nétanyahou a reproché au parti Kadima d'avoir laissé entrer l'Iran dans cette bande côtière.
Un conflit Israël/Iran pourrait être une étape vers la 3e Guerre mondiale
Le 12 mars 2012
De la réaction du Hamas dans la bande de Gaza à l'embrasement des banlieues occidentales, en passant par l'intervention forcée de la France, le journaliste et écrivain Laurent Artur du Plessis imagine le scénario du pire que pourrait entraîner une frappe d'Israël sur les installations nucléaires iraniennes.
En Iran, les mollahs fondamentalistes reprennent les rênes
Le 12 mars 2012
Le premier tour des élections législatives iraniennes a été largement occulté dans les médias par la présidentielle russe. Elles risquent cependant d'être d'une importance capitale et de confirmer le dicton qui affirme « qu'il vaut toujours mieux garder le diable que l'on connait ». En effet, alors même qu'Israël accentue ses pressions sur Obama pour obtenir un feu vert pour des actions militaires contre l'Iran, les extrémistes iraniens s'imposent au Parlement. Les ultras conservateurs, qui considèrent le président comme peu sûr religieusement et trop modéré vis-à-vis de l'étranger, ont entamé une offensive, qui devrait pousser la bête noire de l'Occident vers la sortie, après une période de marginalisation. Un "méchant" serait donc vite remplacé par de plus affreux, car, dans le paysage politique iranien, les "réformateurs" ne comptent plus pour le moment. Le résultat du premier tour des législatives est assez clair, même si en Iran rien ne l'est jamais.
Afghanistan : la question du retrait prématuré des troupes revient au premier plan
Le 12 mars 2012
La tension est remontée d'un cran en Afghanistan au lendemain du massacre de 16 civils, dont des femmes et des enfants, par un soldat américain. Ce lundi matin, les talibans on ainsi juré de venger les victimes de ce militaire du contingent américain de la force internationale de l'Otan. Dimanche, un peu avant l'aube il a abattu les occupants de trois maisons de villages des alentours de sa base de la province de Kandahar avant de brûler leurs corps.
Ce nouvel incident qui révèle une fois de plus la situation explosive du pays, intervient alors qu'un sondage réalisé pour la télévision ABC News et le Washington Post révèle que 60 % des américains estiment que la guerre en Afghanistan n'en vaut pas la peine. Une proportion quasi similaire de personnes interrogées se disent dans le même temps partisan d'un retrait prématuré des troupes américaines sur place.
La question du retrait prématuré de la force internationale du pays est aussi présent dans la campagne présidentielle en France et notamment dans celle de François Hollande. Ce dernier, dans la matinée de dimanche avait livré sa conception de la défense s'il était élu en mai. Et confirmé ses choix pour un retrait accéléré des troupes françaises d'Afghanistan et sa volonté de retirer d'ici « fin 2012 » ( Lire la suite )
Massacre en Afghanistan : les talibans promettent de se venger
Le 11 mars 2012
Très tôt dimanche matin, un soldat américain est sorti de sa base et a massacré seize civils afghans, dont des enfants, des femmes et des personnes âgées.
Les talibans ont juré, lundi 12 mars, de venger le massacre de 16 civils afghans, dont des femmes et des enfants, perpétré la veille par un soldat américain dans le sud de l'Afghanistan, promettant de redoubler leurs attaques contre les "sauvages américains malades mentaux".
Les talibans "vont se venger chacun des martyrs tués sauvagement par les envahisseurs", lit-on sur le site internet des insurgés islamistes à l'évocation du carnage de dimanche.
"La majeure partie des victimes sont des enfants innocents, des femmes et des vieillards, massacrés par les barbares américains qui ont volé leur vie précieuse sans merci et maculé leurs mains de leur sang", disent encore les talibans dans leur communiqué.( Lire la suite )
Le Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem Al-Thani, a déclaré que son pays, qui accueille le commandement central des forces américaines dans le Golfe, s'opposerait à toute attaque militaire contre l'Iran. "Les Iraniens et les Américains savent que le Qatar est opposé à toute action militaire contre l'Iran", a-t-il affirmé dans un entretien avec la chaîne qatarie Al-Jazeera, qui en a diffusé des extraits mercredi.
Cheikh Hamad, également ministre des Affaires étrangères, a affirmé que son pays n'autoriserait pas que son territoire soit utilisé pour une attaque contre l'Iran. "Nous n'accepterons, et cela est très clair, aucun acte d'agression contre l'Iran à partir du Qatar", a-t-il répété.
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, à la tête d'une délégation de haut niveau, est arrivé mercredi à Téhéran, capitale iranienne, pour une visite de deux jours, a rapporté l'agence de presse officielle IRNA.
M. Erdogan, qui a participé au Sommet de Séoul sur la sécurité nucléaire, a quitté récemment la Corée du Sud pour se rendre en Iran.
Lors de son séjour en Iran, il devrait s'entretenir avec le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, le Premier Vice-président, Mohammad-Reza Rahimi, et le président du Parlement, Ali Larijani, sur les relations bilatérales, la situation au Moyen-Orient et le programme nucléaire controversé de l'Iran, selon l'agence IRNA.
Une nouvelle session de pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies plus l'Allemagne (G5+1) sera organisée le 13 avril, ont rapporté les médias lundi. Cependant, le lieu de la tenue de ces pourparlers n'a pas encore été révélé.
L'Iran et la Turquie espèrent que la ville turque d'Istanbul accueillera l'organisation de ces pourparlers.
Après plus d'un an d'impasse, Téhéran a répondu à la mi-février à la lettre de la chef de la diplomatie étrangère de l'Union européenne, Catherine Ashton, en faveur de la reprise des pourparlers nucléaires.
Mme Ashton a réagi plus tard à la proposition de l'Iran, disant que le G5+1 a accepté de relancer les pourparlers nucléaires avec l'Iran.
Les pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et le G5+1 à Istanbul en janvier 2011 n'ont pas pu parvenir à un accord car Téhéran a rejeté toute idée de suspendre l'enrichissement en uranium en échange d'avantages commerciaux et technologiques, comme l'ont demandé plusieurs résolutions du Conseil de sécurité adoptées depuis 2006.
L’Iran et le Hezbollah accusés de soutenir les rebelles au Yémen
Le 26 mars 2012
L’ambassadeur des États-Unis en poste à Sanaa, Gerald Feierstein, a déclaré dans un entretien avec le quotidien panarabe al-Hayat que l’Iran et le Hezbollah soutiennent les rebelles chiites au Yémen du Nord et les sécessionnistes au Sud.
"Les Iraniens ont l’intention de déstabiliser la situation et d’entraver la transition politique au Yémen", a lancé le diplomate. "Téhéran fait beaucoup d’efforts pour établir des liens au Yémen, surtout avec les sécessionnistes du sud mais également du nord de ce pays", a-t-il ajouté.
Afghanistan : le président iranien exige un départ de l'Otan
Le 26 mars 2012
Dans une intervention lors d'une conférence sur la sécurité régionale organisée au Tadjikistan, Mahmoud Ahmadinejad a sommé les Etats-Unis et l'Otan de retirer leurs troupes
d'Afghanistan "le plus vite possible".
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