Iran : « Toute attaque contre nos sites nucléaires déclenchera la 3ème guerre mondiale ! »
Le 15 avril 2013
L'ambassadeur de la République islamique d’Iran à Paris, Ali Ahani, a déclaré que « toute attaque israélienne menée contre le sol iranien ou contre ses installations nucléaires est un acte dangereux et fou, en raison de ses conséquences dévastatrices parce qu’elle provoquera une recrudescence de violence et conduira à une troisième guerre mondiale ».
Le diplomate iranien a déclaré que « la coopération de l'Iran avec l'AIEA tient à l'engagement de l'Iran à afficher une transparence dans son programme nucléaire, mais les pays occidentaux exercent des pressions sur l'Iran ». En ce qui concerne l'enrichissement d'uranium, l'ambassadeur a souligné que « la production de combustible nucléaire est très importante pour l'Iran parce que la République islamique ne veut pas dépendre des importations de combustible nucléaire. Celles-ci étant soumises à l'humeur politique internationale, Téhéran est déterminé à renforcer son indépendance et son autonomie. »
VIDEOS. La Corée du Nord menace, les Etats-Unis prêts à négocier
Jour J en Corée du Nord ,qui célèbre ce lundi le 101e anniversaire de la naissance de son fondateur, Kim Il-sung, alors que la tension a atteint son comble dans la région. Le ministère sud-coréen de la Défense est en alerte en cas de tir de missile par le Nord, à l'occasion du «Jour du soleil», anniversaire de la naissance du "Grand Leader", né le 15 avril 1912 et mort en 1994 «On ne pense pas que la Corée du Nord ait tiré un missile à l'occasion du Jour du soleil», déclarait toutefois ce lundi matin un porte-parole du ministère.
Grande parade militaire à Pyongyang
A Pyongyang, l'actuel dirigeant Kim Jong-Un s'est rendu lundi au mausolée où reposent les corps embaumés des deux précédents leaders du pays: celui de son père, Kim Jong-Il, et de son grand-père, le fondateur du régime Kim Il-Sung. Une parade militaire était attendue dans la capitale. l.e régime nord-coréen pourrait, comme il l'a déjà fait dans le passé, marquer l'événement par un essai de missile, Un tir qui constituerait «une énorme erreur», a affirmé le secrétaire d'Etat américain John Kerry, actuellement en visite dans la région.
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La Corée du Nord a refusé de négocier
Pyongyang a rejeté la proposition de Séoul à entamer des négociations sur la reprise de fonctionnement de la zone industrielle de Kaesong.
Selon le gouvernement nord-coréen, la proposition de la Corée du Sud représente « un coup ruse destiné à dissimuler les politiques de confrontation du Sud et d'induire en erreur quant à sa responsabilité dans la crise ».
Jusqu'à récemment, 123 petites entreprises sud-coréennes ont fonctionné dans la zone industrielle de Kaesong. Environ 850 Sud-Coréens et 54 000 habitants de la Corée du Nord ont y travaillaient.
Pékin et Washington s'allient pour dénucléariser la Corée du Nord
Le Monde.fr avec AFP | 12.04.2013 à 13h37 • Mis à jour le 13.04.2013 à 20h15
"S'attaquer au problème nucléaire en Corée sert les intérêts de toutes les parties", a déclaré M. Yang, en promettant que Pékin travaillerait dans ce but avec d'autres pays, dont les Etats-Unis. "La Chine et les Etats-Unis doivent ensemble prendre des mesures pour parvenir à l'objectif de la dénucléarisation de la péninsule coréenne", a acquiescé M. Kerry.
Après une étape à Séoul, où il a réaffirmé le soutien de Washington à son allié sud-coréen, John Kerry s'est rendu à Pékin pour convaincre les autorités chinoises de hausser le ton sans délai face à la Corée du Nord. Il a souligné "l'énorme potentiel" de la Chine pour aider à apaiser Pyongyang.
En visite à Pékin vendredi, le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré que les dirigeants chinois étaient "très préoccupés" par le comportement de leur allié nord-coréen. "Les Chinois nous ont dit aussi qu'ils faisaient le maximum d'efforts pour que la tension soit réduite", a-t-il ajouté.
PYONGYANG "N'A PAS ENCORE DÉMONTRÉ" SA CAPACITÉ NUCLÉAIRE
Plus tôt dans la journée, la présidence américaine a infirmé la déclaration d'un parlementaire républicain. Ce dernier avait cité un rapport du renseignement militaire américain, selon lequel la Corée du Nord disposerait de la capacité de miniaturiser une arme nucléaire et de la monter sur un missile balistique. "Il est inexact de suggérer que le régime nord-coréen a complètement testé, mis au point ou démontré ce type de capacités nucléaires", a corrigé la Maison Blanche.
COREE DU NORD. Des rampes de lancement pointées vers le ciel ?
Un éventuel tir de missile pourrait survenir autour du 15 avril, jour de la naissance du fondateur de la République démocratique populaire de Corée.
La Corée du Nord a déplacé ses missiles à maintes reprises ces derniers jours, dans le dessein de compliquer la tâche des services de renseignement étrangers et de "fatiguer" les agents chargés de la surveillance des rampes, rapporte jeudi 11 avril l'agence de presse sud-coréenne Yonhap.
Une ou deux rampes de lancement du Musudan sont par ailleurs orientées vers le ciel, indiquent des médias japonais qui citent un responsable du ministère nippon de la Défense. Mais il pourrait là encore s'agir d'un leurre.
Interrogé sur les capacités balistiques de la Corée du Nord, le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, juge de son côté qu'après "plusieurs essais réussis de tirs de missiles", "nous devons envisager le pire". L'armée américaine n'abattra le ou les missiles lancés par Pyongyang que si ceux-ci constituent une menace pour le Japon, la Corée du Sud ou pour le territoire américain, a de son côté prévenu mardi le commandant des forces américaines en Asie-Pacifique, l'amiral Sam Locklear.
"Cela ne nous prend pas longtemps pour déterminer où il se dirige et où il va tomber", a expliqué l'amiral devant les sénateurs de la commission des Forces armées à Washington, précisant qu'il "ne recommandait pas" d'abattre un missile qui ne présentait pas de menace.
Deux missiles Musudan déployés
Ignorant les mises en garde de son voisin et allié chinois, Pyongyang a déployé la semaine passée sur sa côte orientale deux missiles Musudan, d'une portée théorique de 4.000 kilomètres, soit la capacité d'atteindre la Corée du Sud, le Japon et même l'île américaine de Guam, où des exercices d'urgence ont été menés jeudi dans la perspective d'une frappe nord-coréenne.
L'éventuel tir de missile pourrait survenir autour du 15 avril, jour de la naissance du fondateur de la République démocratique populaire de Corée, ou coïncider avec la visite à Séoul prévue vendredi du secrétaire d'Etat américain John Kerry et du secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen.
Selon une source gouvernementale sud-coréenne, Pyongyang pourrait tirer plusieurs projectiles, des mouvements de véhicules lanceurs transportant des Scud (d'une portée de quelques centaines de kilomètres) et des Rodong (d'une portée d'un peu plus de 1.000 kilomètres) ayant en effet été détectés.
Corée du Nord: Washington somme Pyongyang d'arrêter de "jouer avec le feu"
Le 11 avril 2013
Les États-Unis ont sommé la Corée du Nord d'arrêter de "jouer avec le feu" et de renoncer au tir de missile qu'elle semble vouloir effectuer au mépris des sanctions internationales et au risque de mettre le feu aux poudres sur la péninsule coréenne. Le japon, lui, est en état d'alerte.
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Corée du Nord : une rampe de lancement dressée vers le ciel
Le Point.fr à 08:03 - Le 11 avril 2013
Un responsable du ministère japonais de la Défense a vu dans ce geste le signe de l'imminence d'un tir, mais il pourrait tout autant s'agir d'un leurre.
Une ou deux rampes de lancement de missile de moyenne portée Musudan sont orientées vers le ciel en Corée du Nord, ce qui pourrait indiquer l'imminence d'un tir, ont indiqué jeudi des médias japonais citant un responsable du ministère nippon de la Défense. Il pourrait toutefois s'agir d'un leurre, ont ajouté ces chaînes de télévision nippones sur la foi de la même source, précisant que ces observations avaient été faites par satellite. Contacté par l'AFP, le ministère japon
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Corée du Nord : nouveaux préparatifs de tir de missile et d'essai nucléaire
Le 09 avril 2013
Deux mois après le précédent essai nucléaire qui lui avait valu une nouvelle série de sanctions internationales, la Corée du Nord s'apprête à un second test. «Il y a bien des signes» d'une activité inhabituelle autour du principal site d'essai nucléaire nord-coréen, a déclaré le ministre sud-coréen de la Réunification, Ryoo Kihl-Jae, à une commission parlementaire.
Selon le quotidien JoongAng Ilbo, citant une source officielle sud-coréenne, des mouvements de même nature que ceux observés avant le troisième essai atomique nord-coréen le 12 février dernier ont été détectés autour du site de Punggye-ri. «Nous surveillons de près la situation qui ressemble énormément à ce que nous avons vu avant le troisième essai», a déclaré cette source sud-coréenne.
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La Corée du Nord «glisse vers une ligne dangereuse»
Le 10 avril 2013
La Corée du Nord «glisse vers une ligne dangereuse» en multipliant les déclarations belliqueuses contre les Etats-Unis et la Corée du Sud, a déclaré mercredi le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel.
«Par sa rhétorique guerrière, par ses actes, la Corée du Nord est en train de glisser toujours plus près d'une ligne dangereuse», a dit le numéro un du Pentagone à Washington lors d'une conférence de presse consacrée au budget de son ministère pour 2014. «Ces actes et ces déclarations ne contribuent pas à apaiser une situation instable», a-t-il ajouté.
Prié de dire si les citoyens américains devaient s'inquiéter des menaces nord-coréennes, Chuck Hagel a répondu que les Etats-Unis étaient en mesure, le cas échéant, de défendre leurs ressortissants et ceux des pays alliés.
Pyongyang demande aux étrangers d'évacuer la Corée du Sud
Le 09 avril 2013
Plus tôt dans la matinée, deux lanceurs de missiles Patriot ont été installés au ministère de la défense japonais au cœur de Tokyo, afin d'intercepter un éventuel missile nord-coréen, a-t-on appris auprès du ministère. D'après la presse japonaise, des missiles similaires vont être déployés sur deux autres sites aux alentours de la capitale nippone.
Des batteries d'intercepteurs seront aussi installées sur l'île d'Okinawa, dans le sud du Japon, a annoncé lundi le ministre de la défense, Itsunori Onodera. Lors d'une émission de télévision, il a précisé qu'Okinawa était "l'endroit le plus approprié pour répondre à toute urgence", ajoutant que des Patriot pourraient désormais être déployés sur cette île "de façon permanente".
Les forces d'autodéfense – nom de l'armée japonaise – ont été autorisées à détruire tout missile nord-coréen qui menacerait le territoire nippon, a indiqué lundi un porte-parole du ministère. Outre les batteries de Patriot, Tokyo a déployé des destroyers équipés du système d'interception Aegis en mer du Japon (appelée mer de l'Est par les Coréens), a précisé ce responsable.
La Corée du Nord a transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d'un dispositif de tir, selon Séoul, qui redoute que Pyongyang ne procède à un essai dans les jours à venir. Le Musudan aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, une capacité suffisante pour atteindre la Corée du Sud ou le Japon.
by lemondefr
Devant l’importance des informations de ses derniers jours, j'ai décidé d'avancer mon programme des traductions des prophéties de Nostradamus, enfin de ne pas être devancé par l'actualité , voici quelques quatrains sur la Corée du Nord ( depuis des années je suis persuadé que la Corée du Nord sera dans cette future guerre mondiale , elle entrainera la Chine avec elle et les pays musulmans s’attaqueront à l’Europe)
Nostradamus prophéties guerre mondiale Corée du nord
Nucléaire iranien: Israël met de nouveau la pression sur les grandes puissances
Le 7 avril 2013
Le ministre israélien des Affaires stratégiques a demandé ce dimanche aux grandes puissances de fixer une date limite pour persuader l'Iran de cesser son programme d'enrichissement nucléaire au lendemain de l'échec d'une nouvelle série de négociations avec Téhéran.
Les pourparlers entre l'Iran et les grandes puissances sur le programme nucléaire controversé de Téhéran se sont une nouvelle fois terminés sans avancée notoire samedi au Kazakhstan au terme de deux jours de discussions intensives. «Les sanctions ne suffisent pas; les discussions ne suffisent pas. Le temps est venu de placer devant les Iraniens une menace militaire ou une forme de ligne rouge, une ligne rouge sans équivoque, de la part du monde entier, des Etats-unis et de l'Occident (...) de façon à obtenir des résultats», a déclaré Yuval Steinitz, le ministre des Affaires stratégiques, à la radio de l'armée.
La «ligne rouge» de Netanyahou
Ce proche du premier ministre Benyamin Netanyahou estime qu'il faudra agir d'ici «quelques semaines, un mois» si l'Iran ne cesse pas son programme d'enrichissement. Benyamin Netanyahou avait déjà parlé d'une «ligne rouge», devant l'Assemblée générale des Nations unies en septembre dernier, qu'il voyait à la mi-2013, mais, en privé, plusieurs responsables israéliens ont affirmé que cette date avait été reportée, peut-être indéfiniment.
(...)
«Nous avons déjà dit auparavant que la façon dont ces discussions sont menées est un stratagème pour gagner du temps. Tout en parlant, les Iraniens se dirigent en souriant vers la bombe en enrichissant l'uranium. Notre position est très claire sur le sujet. Le monde commence à comprendre», a déclaré le ministre. «Ce qui se passe en Corée nous démontre à tous (..) l'urgence d'arrêter l'activité nucléaire iranienne», déclare le ministre.
«D'une certaine façon, la Corée du Nord a été autorisée par la communauté internationale à obtenir l'arme nucléaire et elle menace de l'utiliser contre la Corée du Sud, le Japon et même les Etats-Unis. Imaginez ce qui pourrait arriver d'ici deux ou trois ans non seulement à Israël mais à l'Europe, aux Etats-Unis et au monde entier, si le régime fanatique et extrémiste à Téhéran obtenait l'arme nucléaire», a-t-il ajouté.
La Corée du Nord demande aux ambassades d'évacuer
Le 6 avril 2013
L'annonce sonne comme une nouvelle menace. La Corée du Nord s'est déclarée vendredi incapable de garantir la sécurité des ambassades étrangères sur son sol à partir du 10 avril en cas de conflit.
La Grande-Bratgne a été la première à réagir et a assuré ne pas avoir "de projet immédiat" d'évacuation de ses ressortissants diplomatiques à Pyongyang. Londres confirme néanmoins consulter "ses partenaires internationaux" sur la situation dans le pays.
Vers 21 heures, Paris a déclaré prendre "la situation au sérieux" et demande "instamment" à Pyongyang "de s'abstenir de toute nouvelle provocation" mais "n'envisage pas" d'évacuer les Français sur place.
Doit-on prendre la Corée du Nord au sérieux ?
La Corée du Nord conseille à la Russie d'évacuer son ambassade
Le 5 avril 2013
La Corée du Nord a proposé vendredi à la Russie d'"envisager" l'évacuation de son ambassade, a déclaré le porte-parole de l'ambassade russe à Pyongyang. "Un représentant du ministère nord-coréen des Affaires étrangères a proposé le 5 avril à la partie russe d'examiner la question de l'évacuation des collaborateurs de l'ambassade russe", a déclaré le porte-parole, Denis Samsonov, cité par les agences russes.
Le diplomate a ajouté que la Russie avait reçu cette proposition "ainsi que les autres ambassades à Pyongyang compte tenu de l'aggravation de la situation sur la péninsule coréenne". "La Russie a pris note de cette proposition et pour l'instant nous sommes au stade de la prise de décision", a ajouté Denis Samsonov. "Il ne se passe rien d'extraordinaire, l'ambassade travaille comme d'habitude", a-t-il souligné. "Je peux vous assurer que la situation est en ce moment absolument calme à Pyongyang. On n'observe aucune tension. C'est un jour férié qui ne présage rien d'extraordinaire", a conclu le diplomate.
La Corée du Nord a transporté un deuxième missile de moyenne portée sur sa côte orientale et l'a hissé sur un lance-missiles mobile, a affirmé l'agence sud-coréenne Yonhap, ( voir lien ) alimentant les craintes d'un tir imminent qui aggraverait une situation déjà explosive. Le transport de missiles est le dernier geste en date de Pyongyang, qui multiplie les menaces apocalyptiques depuis quelques semaines, furieux du nouveau train de sanctions pris par l'ONU après un nouvel essai nucléaire conduit début février.
Où va la Corée du Nord ?
Le 4 avril 2013
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, se dit très préoccupé par la surenchère verbale de la Corée du Nord. Pyongyang vient d'approuver un projet d'opérations militaires contre les Etats-Unis y compris d'éventuelles frappes nucléaires. Que cherche Kim Jong-un ?
Le ton est encore monté d'un cran entre la Corée du nord et les Etats-Unis. L'armée nord-coréenne a annoncé qu'elle avait reçu l'approbation finale pour déclencher d'éventuelles frappes nucléaires contre les Etats-Unis. En réponse Washington a demandé à la Corée du nord de cesser ses menaces et va déployer une nouvelle batterie antimissile.
"Le fondement du régime coréen est de se maintenir au pouvoir", explique Dorian Malovic, journaliste et écrivain, chef du service "Asie" à La Croix et spécialiste de la Chine. La Corée veut un traité de paix, des relations diplomatiques avec les Etats-Unis, et elle l'exprime en montrant qu'elle dispose de l'arme nucléaire et que l'on ne peut pas l'attaquer.
"Pour survivre, les écoliers coréens apprennent que la seule façon de se défendre est d'avoir le nucléaire. Depuis le lancement de la fusée nord-coréenne en décembre 2012 et depuis le troisième essai nucléaire en février 2013, la spirale est montée très vite, très intensément, très haut."
La Corée du Nord menace les Etats-Unis de frappes nucléaires
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