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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Jésus ce qu'il faut comprendre

 

De plus en plus de personnes ont de fausses informations sur les premiers siècles du christianisme, certaines personnes croient à tort que le christianisme est une invention de IV siècle et que seul Rome était Chrétienne.

Ce dossier a pour but de clarifier ses fausses opinions

 

 

Histoire du christianisme

 

 

An 1 - La date de naissance de Jésus-Christ, au 25 décembre précédant l'an 1, a été fixée au début du VIe siècle par le moine Denys le Petit. Cette date est remise en question par la majorité des historiens qui retiennent comme la plus vraisemblable la naissance à la fin du règne d'Hérode Ier le Grand (avant l'an 4 av. J.-C.)

Étant donné que les deux nativités canoniques dans l'Évangile de Matthieu (Mt 2:1) et l'Évangile de Luc (Lc 1 : 5-31) font référence à la mort du roi Hérode (Lc 2:19 et Mt 2:15), et du recensement de Quirinius (Luc 2:2), les biblistes et les historiens  pensent que Jésus est né entre l'an 7 et 4 avant JC

 Date de naissance de Jésus (Wikipédia)

Jesus-le-Sermon-de-la-Montagne-par-Carl-Heinrich-Bloch--189.jpg

 

An 30 ou 33 -  Crucifixion de Jésus (30 ans ou 33 ans ?)

Trois jours plus tard, c'est sa  Résurrection, quarante jours après, le Christ s’élève au ciel (l’Ascension)

 

Les preuves de l'existence (lien 2) de Jésus, dès le  1ᵉʳ siècle, sont confirmées par des sources Chrétiennes, mais aussi  païennes.  

Jésus était Juif  comme Marie, Joseph, les 12 apôtres, Paul  ainsi que tous les premiers chrétiens.  À sa naissance, le christianisme était une doctrine juive

 

Matthieu 28.19 "Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit"

Luc 24.47-48 "Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour, et qu'en son Nom le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. De cela, vous êtes témoins.

 

Après le départ du Christ, les apôtres (dont Jacques le juste le frère de Jésus) fondent la première Église à Jérusalem  et poursuivent ardemment la diffusion du message évangélique. La diffusion se fait oralement dans un premier temps (comme le livre des Actes en témoigne).

Les membres de la communauté de Jérusalem sont essentiellement des Juifs appelés les   Galiléens  ou les nazôréens (nazaréens), un mot tiré du nom de Nazareth, la ville natale de Jésus.

 

 

 

Vers l'an 35 - La première appellation de chrétiens « christianoi » qui veut dire « disciple du Christ » est donné aux disciples,  à Antioche (dans l'actuelle Turquie) en Syrie romaine.

 

Actes 11:26 (..)  Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens.

 

Notes : La référence la plus ancienne connue pour le terme « christianisme » se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche aux Magnésiens à la fin du Ier siècle

 

 

Vers l'an 38 - Voyage de Paul de Tarse  vers l'Asie Mineure, il se rend dans les villes d’Antioche, de Pisidie, de Lystres et de Derbé. Il fonde avec Pierre les premières communautés chrétiennes

Fondation de l'Église d'Antioche par les apôtres Pierre et Paul .

Saint Pierre restat évêque de cette ville jusqu'à son départ pour Rome vers 53. Évode (un païen converti au christianisme) devint son successeur, pour être à son tour remplacé, autour de l'an 68, par Ignace d'Antioche.

Liste des patriarches d'Antioche

 

 

 

Vers l'an 42 - Fondation de l'Église d'Alexandrie en Egypte attribué à l'évangéliste Marc (réacteur de l'évangile qui porte son nom) disciple et proche des apôtres Pierre et Paul

 

Papyrus-Rylands-date-de-150.jpg

Papyrus découvert en Egypte, datant entre 125 et 150 après J-C (fragment du chapitre 18 de l'Évangile de Jean écrit en grec ancien)

 

 

Vers  50 et 53, deux autres voyages suivront pour Paul de Tarse. Il parcourra les routes d’Asie Mineure et de Grèce, de Macédoine, de Corinthe, et de Rome, où il fondera de nouvelles communautés pour transmettre le message du Christ.

Les voyages de Paul

Carte-voyages-saint-Paul.jpg

 

An 50 - 1er concile de Jérusalem

Les débats tournent sur les païens (non Juif) qui se sont convertis récemment à la religion chrétienne
Les débats peuvent être ainsi résumés : la foi en Jésus était-elle suffisante pour être sauvée ou devait-on en plus observer les règles traditionnelles du judaïsme (comme la circoncision et la nourriture casher) : Lien 2

 

An 51 - Lorsque dans  la société romaine, les premiers chrétiens convertis apparaissent, ils ne sont d'abord pas distingués des juifs, le christianisme est d'abord considéré comme une « secte juive » et comme d'autres sectes (les adeptes d'Attis) elle est mal vue par la culture romaine.

 

 

An 64 - C'est Le grand incendie de Rome où sont accusés les Chrétiens (preuve de l'existence du Christianisme au 1er siècle)

incendie-de-Rome-64-.jpg

 

L'historien romain Tacite (né en 58, mort en 120) nous fait le récit de cet épisode :

« La prudence humaine avait ordonné tout ce qui dépend de ses conseils : on songea bientôt à fléchir les dieux, et l'on ouvrit les Livres Sibyllins. D'après ce qu'on y lut, des prières furent adressées à Vulcain, à Cérès et à Proserpine : des dames romaines implorèrent Junon, premièrement au Capitole, puis au bord de la mer la plus voisine, où l'on puisa de l'eau pour faire des aspersions sur les murs du temple et la statue de la déesse ; enfin les femmes présentement mariées célébrèrent des sellisternes et des veillées religieuses. Mais aucun moyen humain, ni largesses impériales, ni cérémonies expiatoires ne faisaient taire le cri public qui accusait Néron d'avoir ordonné l'incendie. Pour apaiser ces rumeurs, il offrit d'autres coupables, et fit souffrir les tortures les plus raffinées à une classe d'hommes détestés pour leurs abominations et que le vulgaire appelait chrétiens. Ce nom leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Pontius Pilatus. Réprimée un instant, cette exécrable superstition se débordait de nouveau, non seulement dans la Judée, où elle avait sa source, mais dans Rome même, où tout ce que le monde enferme d'infamies et d'horreurs afflue et trouve des partisans. On saisit d'abord ceux qui avouaient leur secte ; et, sur leurs révélations, une infinité d'autres, qui furent bien moins convaincus d'incendie que de haine pour le genre humain. On fit de leurs supplices un divertissement : les uns, couverts de peaux de bêtes, périssaient dévorés par des chiens ; d'autres mouraient sur des croix, ou bien ils étaient enduits de matières inflammables, et, quand le jour cessait de luire, on les brûlait en place de flambeaux. »

 

 

Suétone (vers 121) mentionne cette persécution au milieu d’une liste de mesures prises par Néron :

             « On lui prêtait l'intention d'immortaliser son nom en renommant Rome Neropolis. Il était important pour Néron d'offrir un autre objet à cette suspicion. Il choisit pour cible une secte juive, celle des chrétiens. Il ordonna que les chrétiens soient jetés aux lions dans les arènes, alors que d'autres étaient crucifiés en grand nombre et brûlés vifs comme des torches. »

Lire :  La persécution des chrétiens sous Néron

 

 

An 64 -  Suite aux persécutions des Chrétiens , Paul et Pierre sont exécutés à Rome

 

Pierre-ou-Simon-Pierre-l-apotre-et-le-premier-pape-.jpg

 

Pierre  l'apôtre et premier  évêque de Rome,  martyrisé à Rome, crucifié la tête en bas. Il fut inhumé là où se trouve aujourd’hui la basilique Saint-Pierre, à Rome.

Des fouilles ont été effectuées au XXe siècle dans les Grottes du Vatican, elles ont mis en évidence une tombe qui contenait les ossements d'un individu de sexe masculin âgé de 60 à 70 ans,  la conclusion des analyses fait penser que les ossements sont bien ceux de Pierre (voir lien)

  1.  Les ossements ont été conservés dans un tissu précieux de couleur pourpre, et brodé de fil d'or : un tel tissu ne peut avoir servi qu'à envelopper les restes d'un personnage illustre  ;
  2. Aucun os des pieds n'a été retrouvé : cela pourrait indiquer qu'on a coupé ceux du défunt (ce qui était commun aux suppliciés qui mouraient la tête en bas) ;
  3. Les rotules étaient abîmées comme peuvent l'être celles de pêcheurs qui poussent leur bateau à la mer.

 

Paul-de-Tarse-par-Rembrandt.jpg

Paul de Tarse

 

Une tradition chrétienne attribue( depuis le IVe siècle )  à Paul de Tarse un tombeau situé au-dessous de l'autel  de l'actuelle basilique Saint-Paul-hors-les-Murs au sud de Rome. Des fouilles récentes y ont été effectuées  ( en 2005 )
« Un sarcophage pouvant contenir les reliques de l’apôtre Paul a été identifié dans la basilique romaine de basilique Saint-Paul-hors-les-Murs


basilique-Saint-Paul-1748-.jpg

( Comme pour la tombe de  saint Pierre,c'est l’empereur Constantin qui entreprit  au début du IVe siècle de faire construire une basilique pour abriter la tombe.)

 

La Tombe de Saint-PaulSous le maître-autel actuel, une plaque de marbre du IVe siècle, visible depuis toujours, porte l’inscription Paulo apostolo mart (Paul apôtre martyr).

  • Le 28 juin 2009, le pape Benoît XVI a confirmé qu'un sondage a été effectué dans le sarcophage de pierre. Une petite perforation a été pratiquée afin d'introduire une sonde, grâce à laquelle ont été relevées des traces d'un tissu précieux en lin coloré de pourpre, laminé d'or fin, d'un tissu de couleur bleu avec des filaments de lin. On a aussi relevé la présence de grains d'encens rouge, de substances protéiques et calcaires et de fragments d'os, qui ont été soumis à l'examen du carbone 14 effectué ( par des experts ignorant leur provenance ). Ceux-ci ont conclu qu'il s'agissait d'ossements appartenant à « une personne ayant vécu entre le 1er et le 2e siècle ».( Lien 1 ; 2 et  3  )

 

 

An 90 ou 95 Jean écrit l'Apocalypse qui est la Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée ( pas précisé dans cette vidéo )

Les 7 églises d'Asie Mineure  nommées dans l'Apocalypse , sont encore une preuve de l'existence du Christianisme dans ce premier siècle.

 

An 112 -   Trajan établit les principes de la persécution chrétienne.(lien 1 - 2 - 3)  Il explique qu’il n’est pas nécessaire d’enquêter pour découvrir les chrétiens, mais qu’il faut néanmoins condamner ceux qui font l’objet de dénonciations régulières. Ces derniers peuvent toutefois être acquittés s’ils abandonnent publiquement leur religion. Relativement modérée sous l’empereur Trajan, la persécution à l’encontre des chrétiens prendra davantage d’ampleur à la fin du siècle.

 

Les historiens catholiques comptent Dix persécutions générales subies par la religion chrétienne, sous les empereurs  : Néron, 66-68; - Domitien, 93; - Trajan, 107; - Marc-Aurèle, 164;  - Septime-Sévère, 199-204, - Maximin, 235; - Decius, 250 ; - Valerius, 257- 258; - Aurélien, 273-275, Dioclétien et Maximien, 303-311. 

 

An 144 - Marcion est exclu par Pie Ier , de l'Eglise. Le point de désaccord principal repose sur le rejet par Marcion des textes de l'Ancien Testament au motif que le Dieu de l'Ancien Testament ne peut être celui du Nouveau Testament.

 

C'est à cette période que les chrétiens vont  "rassembler" les écrits de tout ce qui touche au christianisme pour en faire le nouveau testament, ils choisiront bien sûr les textes les plus anciens de préférence écrit par les personnes ayant connu le Christ ou les apôtres (Le Tanakh  est gardée sous le nom d'Ancien Testament)

Les évangiles apocryphes sont écartés.

 


Il y a quatre critères pour le choix des textes du Nouveau Testament

  1. Choisir les textes les plus anciens

  2. Les textes devront avoir été écrits par un apôtre ou un compagnon des apôtres

  3. Les textes devront être catholiques qui se traduit  du grec par  "universel "

  4. Les textes devront être orthodoxes qui se traduit par  " bon enseignement "

 

 

Le Nouveau Testament est divisé en quatre parties : les Évangiles, les Actes des Apôtres, les Épîtres et l'Apocalypse. Les quatre Évangiles rapportent la "Bonne Nouvelle" (du grec euangelion), la vie et l'enseignement de Jésus, les quatre Évangiles  sont.

 

  1. L'Évangile de Matthieu. Matthieu, un percepteur d'impôts, devenue apôtre. Son évangile s'adresse à des juifs convertis et veut démontrer que le Christ est bien le Messie que le peuple juif attend, il a été rédigé en Syrie vers 60-85

  2. L'Évangile de Marc. Marc, disciple de l'apôtre Pierre, s'adresse aux chrétiens d'origine grecque et païenne. Il aurait été rédigé à Rome vers 60-70,

  3.  L'Évangile de Luc. Luc né à Antioche et disciple de Paul. Il a été composé à Rome vers 80 (Luc est aussi le rédacteur des Actes des Apôtres - source )

  4. L'Évangile de Jean, un apôtre, a été écrit entre 60 et l'an 95, probablement à Éphèse (l'actuelle Turquie) en Asie Mineure.

 

Irénée de Lyon (deuxième siècle), dans son livre  Contre les hérésies, décrit très sobrement la formation des quatre évangiles : « Ainsi Matthieu publia-t-il chez les Hébreux, dans leur propre langue, une forme écrite d'évangile (c-a-d qu'à l’origine, il existait un évangile écrit en Hébreu - voir source Q), à l'époque  où Pierre et Paul évangélisaient Rome et y fondaient l'Église (donc entre 53 et 68). Après la mort de ces derniers, Marc, le disciple et l'interprète de Pierre, nous transmit lui aussi par écrit ce que prêchait Pierre. De son côté, Luc, le compagnon de Paul, consigna en un livre l'évangile que prêchait celui-ci. Puis Jean, le disciple du Seigneur, celui-là même qui avait reposé sur sa poitrine, publia lui aussi l'évangile tandis qu'il séjournait à Éphèse en Asie. » (Préliminaire - Comment,  par  les  apôtres,  l'Église  a reçu  l'Évangile - lien Pdf page 90).

 

 

 

Vers l'an 150 (pendant le IIᵉ siècle )- l’Église d'Antioche répand le christianisme en Mésopotamie (Irak) et en Perse (Iran) où il se heurte à la religion nationale.

 

 

 

An 177 - Sous l’empereur Marc Aurèle, les chrétiens de Lugdunum, (Lyon de nos jours), sont férocement persécutés, voir : Les martyrs de Lyon

C’est à Lyon qu’est attestée la première communauté chrétienne de Gaule (France) Saint Pothin qui fut le premier évêque de Lyon et le premier évêque de toute la Gaule. Suivie d'Irénée de Lyon   entre 177 et 202.

Puis suivent les Évêques de Reims

v.260 : saint Sixte (1er évêque)

v.280 : saint Sinice (2e), († 286)

voir la liste

 

 

 

An 251-252-256- Quatre Conciles ont eu lieu à Carthage (Tunisie ), le quatrième concile regroupe 84 évêques de l’Église chrétienne d’Afrique, ce qui confirme l'importance de l'implantation du christianisme dans cette région

( Voir Christianisme au Maghreb  et  liste de saints chrétiens d'Afrique du Nord )

 

pape-saint-victor.jpg

  Saint Victor I , était Berbère

(Afrique du Nord). Il fut le 14e

  évêque de Rome de 189 à 199 

 

 

 

 

 

 

 

 

An 312 - Après la bataille du pont Milvius, l’Empereur romain Constantin Ier et Lucinius se concertent et décident de rétablir la liberté de culte. En promulguant l’édit de Milan, l’Empereur met un terme à plusieurs siècles de persécutions à l’encontre des chrétiens. Désormais tolérés au sein de l’Empire, ces derniers pourront récupérer leurs lieux de culte et leurs biens (Source)

La Conversion de Constantin

 

 

An 324- Constantin transforme la cité grecque de Byzance (Istanbul de nos jours)  en une « Nouvelle Rome », à laquelle il donne son nom, Constantinople. Il l'inaugure après douze ans de travaux, en 330.

 

 

Le Concile de Nicée

 

An 325 - L’Empereur Constantin convoque le tout  premier concile œcuménique qui ce tien à Nicée (Turquie actuelle). Il eut pour objectif principal de définir l'orthodoxie de la foi, suite à la controverse soulevée par Arius sur la nature du Christ, toutes les communautés chrétiennes sont représentées, soit 250 à 300 participants, des prêtres et des évêques sont réunis , venant principalement d'orient et d'occident.

 

An 326 - Constantin et sa mère sainte Hélène,  vont en pèlerinage à Jérusalem, ils font détruisent les sanctuaires païens établis sur les lieux saints et établissent des basiliques sur le site du Saint-Sépulcre et de la Nativité à Bethléem.


An 337 - Constantin Iᵉʳ, qui donna un nouveau souffle au christianisme, se fait baptiser à l’orée de sa mort. Étant le tout premier empereur romain de foi chrétienne, Constantin participe sans conteste à l’expansion de l’Église en Orient, comme en Occident.(source)

 

 

An 361 à 363 - l’empereur Julien  tente en vain de rétablir le paganisme (les dieux romains), alors qu'il avait été élevé dans la religion chrétienne

 

 

Le 28 février 380, le Christianisme devient religion de l'état sous l'Enpereur  Théodose Ier

 

230 ans plus tard  (en  610 ap J-C) , l'Occident et l'Orient étaient Chrétiennes…

 

" Mais il était dit que chaque victoire de la croix serait suivie d'un nouveau combat, et que l'antique serpent écrasé par l'étendard du salut relèverait la tête après chaque défaite. Un homme (..) essaya d'arrêter la croix dans sa marche triomphale. A cet effet, il prit quelques lambeaux de la Bible, arracha quelques feuillets de l'Évangile et, y mêlant ses rêveries, il en fit le Coran. Puis, comme symbole de l'opposition à la croix, il adopta le croissant et, enfin, à la place du glaive spirituel de la parole, il mit le glaive matériel qui frappe et qui égorge. Voilà son œuvre : le Coran, avec le croissant pour signe et le cimeterre pour garde "...

"Jamais peut-être la croix n'avait rencontré d'adversaire plus formidable. Qu'était-ce, en effet, que le mahométisme en face de la croix ? C'était la glorification de la volupté, le déchaînement de toutes les passions brutales, l'empire de la chair substitué au règne de l'esprit, les convoitises sensuelles transportées jusque dans le monde futur. Et cependant, malgré l'appât qu'offrait à des instincts grossiers cette religion toute pétrie de sang et de boue, en dépit de la complicité qu’elle rencontrait dans les bas-fonds de la nature humaine, l'étendard du sensualisme a reculé devant le drapeau du sacrifice ; et tandis que le croissant apparaît comme le symbole de la décrépitude et de l'abrutissement, la croix est restée, pour les nations rangées autour d'elle, le signe de la grandeur, de la force et de la vie" (Mgr. Charles-Émile Freppel (1827-1891), évêque d’Angers)

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D
Bonjour. Merci pour votre chronologie très bien faite. Des recoupements avec les traditions des églises d'orient donnent à penser que l'évangélisation est encore plus rapide que ce qu'on aurait pu penser. Egalement que les évangiles (ou plutôt évangéliaires) sont composés très tôt (en quelques années à peine) pour l'instruction des nouveaux disciples. Luc (8 mois) et Actes (4 mois) pour les non juifs, Mathieu (8 mois) et Marc (4 mois) pour les juifs. La lecture (et l'apprentissage par coeur) évangéliaire se fait soit de Octobre à Paque, soit de Paque à Octobre. Chaque chapitre évangéliaire est ordonné de manière à coller avec la paracha de la semaine, lecture juive synagogale. Ces églises que l'on nomme assez rapidement "d'orient" sont en fait la trace vivante des premières communautés chrétiennes. La survivance de l'araméen, langue du Christ, de Marie et des apôtres, langue parlée en l'an 30 de l'Espagne jusqu'en Chine nous dit comment en quelques années Jacques était évangélisateur en Espagne et Thomas en Chine. La diaspora juive dans le monde entier des 10 tribus perdues toutes araméophones avait préparé le réseau linguistique parfait pour cela, au moins trois fois plus vaste que celui parlant grec.<br /> Cela sert aussi à comprendre les déviances et l'émergence de ce qui deviendra peu à peu l'islam.<br /> Que pensez vous de cette série de vidéos?<br /> https://www.youtube.com/watch?v=yOc2geFJp_g
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3
Merci pour le lien, je visionnerais la vidéo lorsque j’aurais du temps libre <br /> Par contre c'est Marc et Luc qui écrivent pour les non-juif et Matthieu pour les juifs convertie
K
Non c'est vraiment n'importe quoi l'auteur de cet article n'a aucune connaissance. <br /> Deja le christiannisme la religion de la trinité tel qu'on la connait etait apparu vers le 3é siecle à Antioche. Jesus paix sur lui n'a pas apporté une nouvelle religion mais sur ordre de Dieu a repris la religion des précédetns prophètes avec une nouvelle loi et l'Evangile. <br /> Les vrais enseignement de Jesus sur l'Unicité de Dieu ont vite disparus. <br /> <br /> Vérifiez vos sources et etudiez au lieu de se baser sur des sources ignorants qui n'engendrent que de l'ignorance
Répondre
P
Monsieur, cesser de bavarder et, si vous en avez, montrez les preuves de toutes ces ânneries que vous dites. Quel culot! Accepteriez vous des leçons sur l'Islam? Allors, occupez vous de vos affaires et laissez les chrétiens s'occuper de leur histoire. Vous dites, soit de bétises, soit des mensonges. Jésus a dit qu'il n'était pas venu abolir la loi de Moïse mais pour l'accomplir. C'est vrai, il n'a pas fondé une religion, il a donné sa vie sur la croix en expiation de mes péchés. En plus, il est ressuscité le troisème jour et il es monté au ciel quelques jours avant la fête de Shavuot (Pentecôte).<br /> <br /> Votres prohête (faux, bien sûr) qu'est-ce qu'il a fait hormis voler, tuer et inciter à la haine et au crime?
3
Mes sources ne viennent pas du Coran, mon cher !<br /> Mes sources sont vérités et sur sur-vérifier. Le christianisme a toujours cru en un Jésus/Dieu et les apôtres ont toujours su qui il était . Les preuves sont ici si tu c'est lire bien sûr !<br /> <br /> http://www.troisiemeguerremondiale.net/2014/10/jesus-est-il-dieu.html
P
Non seulement ces "preuves" n'en sont pas, mais elles donnent force aux arguments contestant l'historicité des faits narrés tant dans l'ancien testament que dans le nouveau, où le mythe chrétien a<br /> été monté de toutes pièces (litteralement parlant: pièces forgées, corrigées ou détruites) à partir de mythes antérieurs, juifs, païens, persans, grecs, etc... en touts points identiques (fils de<br /> Dieu, naissance d'une vierge, supplice et mort, résurection, jugement dernier, etc...et idem pour ceux de la Torah, déluge, enfant sauvé des eaux, alliance, messie, etc...), compilés tardivement et<br /> attribués de façon arbitraires à des auteurs dont l'existance est plus que douteuse... et tout ceci dans la but d'endoctriner les sujet d'un empire romain qui faiblissant par les armes trouva plus<br /> salutaire d'instrumentaliser en le doctrinisant un christianisme qui ne tire pas son nom du christ (puisqu'il n'a jamais existé) mais d'un certain chrestus, fondateur d'une secte égyptienne...<br /> Évidemment, cela ne retire rien à la foi de chacun en un dieu quelqu'il soit... mais nous parlons ici de faits historiques...
Répondre
P
Allors, si je comprends bien, les juifs sont bien bêtes! On les a massacrés pendant des siècles parce qu'ils avaient tué le Christ et eux, ignares, ne savaient pas que ce Jésus n'a jamais existé! Les pauvres!<br /> <br /> Heureusement nous pouvons nous illustrer en lisant votre magnifique apportation à l'histoire universelle!<br /> <br /> Bien entendu, aucune preuve n'est apportée de tout ce que vous dites, et on ne saurait comment expliquer que l'empire romain s'intéresse à une religion juive et, en plus, invente un personnage et une histoire...
3
<br /> <br /> Là ! je ne rentrerais pas dans un débat avec vous, voyer ce forum j'en ai déjà discuté<br /> <br /> <br /> http://www.onnouscachetout.com/forum/topic/22215-christianisme-jesus-christ-ce-quil-faut-comprendre/page-2<br /> <br /> <br /> Mon speudo est Childebrand<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />