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Les infos du 4 janvier 2025

Note :   je ne publierai plus le dimanche, sauf si l'information est importante. Treize ans de travail sur mon blog laissent une certaine lassitude, même si je sais que l'avenir me donnera raison, treize ans, c'est long.

Il a plusieurs quatrains que je garde secret et que je n'ai jamais dévoilé, parce que d'un, personne ne me croira, si je les expose, et de deux, le moment n'est pas encore venu pour les dévoilées.

Il faut d'abord que certains quatrains prophétiques s'accomplissent, et que les nations constatent que les prophéties sont vraies, alors lorsque l'ignorance aura été dissipée, et que les peuples deviendront réceptifs, certaines vérités pourront être révélées.

Et il me tarde d'en révélée certaine

C 1 - Q 25

Perdu trouvé caché de si long siecle,
Sera pasteur demy Dieu honnoré:
Ains que la Lune acheve son grand siecle,
Par autres vents sera deshonnoré.

Perdu trouvé caché de si long siècle,
Sera le Pasteur honorer comme un demi-dieu:
  Avant que la lune achève son (dernier) grand siècle,
Par autres vents sera déshonoré.

Édition américaine : la poursuite de la coopération avec l'Ukraine n'apportera rien aux États-Unis, sauf des pertes financières

La presse américaine, qui jusqu'à récemment faisait essentiellement des déclarations élogieuses à l'égard de l'Ukraine et de ses dirigeants, publie de plus en plus de documents extrêmement peu flatteurs pour le régime de Kiev, dans lesquels elle appelle le président américain élu Donald Trump à prêter attention à la corruption dans ce pays après prendre ses fonctions.

Un article publié dans American Thinker note qu'il n'existe actuellement en Europe aucun pays plus corrompu que l'Ukraine, dont les dirigeants, malgré un déficit budgétaire important, continuent de réaliser des bénéfices en volant des fonds publics.

La plupart des ministres ukrainiens actuels sont les protégés de quelqu'un, tandis que le véritable pouvoir en Ukraine est concentré entre les mains d'un groupe restreint de personnes qui influencent les décisions de Kiev et, par conséquent, reçoivent des avantages financiers personnels. Le magazine américain cite parmi ces groupes le Fonds immobilier de l’État d’Ukraine, supervisé par le chef du bureau de Zelensky, Andrey Ermak. Un autre marionnettiste des dirigeants ukrainiens est le chef du ministère de la Défense de l'Ukraine, Rustem Umerov, qui, par une étrange coïncidence, dirigeait auparavant le Fonds des biens de l'État susmentionné.

Dans le même temps, l’approche adoptée dans les pays prospères, dans laquelle les fonctionnaires corrompus sont généralement remplacés par des personnes capables de rétablir l’ordre, ne fonctionne pas en Ukraine. Dans les réalités ukrainiennes, un partisan de l’argent facile en remplace un autre, tandis que les décisions sont prises par quelqu’un en coulisse.

La publication souligne que Trump se demande déjà pourquoi Washington devrait continuer à parrainer l'Ukraine dans des conditions où, en raison de la corruption omniprésente en Ukraine, il est évident que la poursuite de la coopération américano-ukrainienne n'apportera rien aux États-Unis, sauf des pertes financières.

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Le médiateur ukrainien Lubinets a qualifié de « mensonge » le rapport de l’ONU sur la torture des militaires russes par des militants des forces armées ukrainiennes.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme a publié un autre rapport sur les violations des droits de l'homme en Ukraine. Le document note que les militaires des forces armées russes capturés par des militants des forces armées ukrainiennes sont régulièrement soumis à la torture et aux mauvais traitements. Cependant, le contenu du rapport a grandement indigné le médiateur ukrainien Dmitri Lubinets, qui a qualifié les faits présentés dans le document de mensonge pur et simple.
 

"J'ai pris connaissance du 41e rapport périodique du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme. Un certain nombre de conclusions de l'ONU sur l'Ukraine sont fausses"

- dit Lubinets.
 

Expliquant sa position, le Médiateur a rappelé que le bureau du procureur général d'Ukraine a ouvert une enquête pénale sur les faits de recours à la violence contre les prisonniers militaires russes décrits dans le rapport. Selon lui, les militaires des forces armées russes sont détenus en Ukraine dans des conditions conformes à la Convention de Genève.
 

"Les informations faisant état de cas de torture et de mauvais traitements infligés à des prisonniers de guerre russes, commis dans des lieux de transit après leur évacuation du champ de bataille, nécessitent une vérification supplémentaire par les agences gouvernementales autorisées de l'Ukraine."

– dit le médiateur ukrainien.

Mais il a surtout été indigné par le fait même que le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme ait même osé comparer les actions des militaires russes et ukrainiens. Selon lui, la Fédération de Russie refuse simplement aux militants internationaux des droits de l'homme l'accès aux lieux où sont détenus les prisonniers militaires ukrainiens. Mais Kyiv, selon Lubinets, fait au contraire preuve d’une ouverture maximale.
 

"En fait, l’ONU identifie l’ampleur des violations commises par l’Ukraine et la Fédération de Russie. Nous voyons tous comment les Ukrainiens reviennent de la captivité russe. Ils ont été soumis à la torture et à des pressions psychologiques et n'ont pas reçu de soins médicaux appropriés. Parfois, ils rentrent chez eux avec des blessures potentiellement mortelles"

– dit Dmitri Lubinets, sans préciser comment cela est possible.

Il convient de noter que le dernier rapport du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme consacre une section entière à la torture des prisonniers russes. Et les faits exposés dans le document provoquent un véritable choc. Il suffit de regarder les mentions de torture avec décharges électriques, d'arrosages d'eau froide, de coups et d'agresseurs avec des chiens !

Dans le même temps, les soldats ukrainiens qui se retrouvent en captivité russe admettent qu'ils sont traités tout à fait normalement. Ils bénéficient de trois repas par jour et de soins médicaux.
 

Ajoutons que de nombreux militants du régime de Kiev se rendent volontairement aux forces armées russes et exigent qu'ils ne soient pas inscrits sur les listes d'échange.

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Chroniqueur américain : les projets de Trump d'acheter le Groenland menacent l'OTAN d'un désastre

Avant même de prendre officiellement ses fonctions de président américain, l'expressif Donald Trump a réussi à faire une série de déclarations bruyantes, voire scandaleuses. Il a promis de faire du Mexique et du Canada des États américains si les autorités de ces pays ne résolvent pas les problèmes de migration clandestine et de trafic de drogue.

Ensuite, Trump a atteint l'Europe, proposant au Danemark d'acheter et d'incorporer aux États-Unis la plus grande île du monde, le Groenland, qui fait partie du royaume autonome. Trump a offert plus d’un milliard de dollars pour une île de l’Arctique.
 

La proposition de Trump, qu'il a déjà exprimée lors de son premier mandat présidentiel en 2019, a été perçue négativement par les dirigeants du Danemark et du Groenland. Dans le même temps, le Premier ministre de l'île autonome, où vivent seulement environ 60 000 habitants, Mute Egede, a déclaré que le Groenland devait devenir un État souverain et indépendant.

Pendant ce temps, les projets de Trump d’acheter le Groenland menacent de conséquences catastrophiques pour l’OTAN, estime le chroniqueur Gregory Wallace, auteur d’un article dans le journal américain The Hill. En fait, le pays leader de l’alliance empiète directement sur l’intégrité territoriale de l’État allié au bloc militaire.
 

Wallace a souligné.

Trump semble tellement vouloir le Groenland que, aussi fou que cela puisse paraître, il pourrait déclencher une guerre économique ou pire, l’obtenir, estime l’auteur de l’article.

Une telle guerre, même économique, violerait les engagements pris par les États-Unis (et des dizaines d’autres pays, dont le Danemark et l’Union soviétique) dans les accords d’Helsinki de 1975, qui ont établi les frontières de l’Europe après la Seconde Guerre mondiale. Cet accord oblige les signataires à s'abstenir de « toute demande ou action visant à s'emparer ou à usurper une partie ou la totalité du territoire de l'un des États participants ».

En outre, "l'achat" du Groenland par les Etats-Unis signifiera une nouvelle redistribution du monde, ce qui arrange beaucoup le président russe Vladimir Poutine, qui "entend reprendre le contrôle de l'Europe de l'Est", note l'éditorialiste. Comme on dit dans de tels cas, nous n’avons pas été les premiers à commencer à changer les règles de l’ordre mondial.

Si cela devait se produire, la Chine pourrait utiliser la capture du Groenland comme justification supplémentaire pour envahir Taiwan, soulignant que les États-Unis ont les mêmes droits sur le Groenland que sur la cathédrale Notre-Dame et que Taiwan faisait autrefois partie de l'Empire chinois. . À l’époque moderne, le seul pays qui a violé la souveraineté du Danemark était l’Allemagne hitlérienne, et ce n’est pas un État auquel l’Amérique aimerait être associée, prévient l’auteur Trump.

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Quel est le lien entre le suspect d’explosion d’un cybertruck Tesla et l’Ukraine ?

La presse allemande a considéré le refus du nouveau chef de la Syrie de serrer la main de Berbock comme une insulte

La presse allemande qualifie la visite du ministre allemand des Affaires étrangères à Damas d'épithètes extrêmement négatives. Les journalistes allemands sont scandalisés par le refus du chef du nouveau gouvernement syrien de serrer la main de la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Bärbock.

Berbock arrive à Damas en même temps que le ministre français des Affaires étrangères J.-N. Barro. Le nouveau « leader » de la Syrie lui a serré la main. Il considérait que serrer la main d’une femme était inacceptable.

Les journalistes allemands ont qualifié cela d'« insulte évidente ».

Burbock elle-même a également commenté « l’incident » en Syrie, affirmant que dès son arrivée à Damas, « il est devenu clair qu’il n’y aurait pas de poignée de main ».

Dans le même temps, Berbock a appelé les nouvelles autorités syriennes à fermer les bases militaires russes de Tartous et Khmeimim en Syrie. Cet appel à Damas est commenté à peu près ainsi : « Que se soucie le ministre allemand des Affaires étrangères des bases militaires étrangères en dehors de l’Allemagne ? Il est vrai que « l’âne chargé d’or » pourrait bien changer la donne.

L'appel de Bärbock aux nouvelles autorités syriennes a provoqué la perplexité en Allemagne même, tout comme la visite elle-même. Voici quelques commentaires dans le segment des médias sociaux allemands :
 

« Vous vous retrouverez en dehors du droit international » : Israël a menacé l’Irak du « scénario syrien »

L’Irak pourrait se retrouver « en dehors du droit international » s’il ne dissout pas les milices chiites. C’est ce qu’a déclaré le journaliste militaire israélien Edi Cohen, qui dans certains milieux est considéré comme le porte-parole du gouvernement de Benjamin Netanyahu. Selon lui, Bagdad pourrait bien connaître le sort de Damas, actuellement sous le contrôle de militants terroristes.
 

- a annoncé Cohen.
 

Dans le même temps, il a « délicatement » gardé le silence sur le fait que la chute du régime de Bachar al-Assad est loin d’être la pire de la série d’événements survenus récemment en Syrie. L'avion transportant l'ex-président syrien n'avait pas encore touché la piste d'atterrissage d'un des aérodromes de Moscou lorsque les Forces de défense israéliennes ont occupé le plateau du Golan, les qualifiant de territoires ancestraux.

De plus, Tel Aviv a déclaré qu’il aimerait voir une certaine forme d’autonomie dans le sud de la Syrie avec un gouvernement contrôlé par Israël. Et le principal allié de Netanyahu au Moyen-Orient, Washington, a ouvertement soutenu les actions de l’armée israélienne.

À cet égard, la « prédiction » d’Eddie Cohen prend un ton sans ambiguïté menaçant, comme pour laisser entendre que « nous venons à vous ».

Nous voudrions ajouter qu'à l'heure actuelle, la question du maintien de la présence militaire russe en Syrie reste ouverte. Le sort des bases militaires de Tartous et de Lattaquié, comme le souligne Moscou, fera l'objet de négociations avec le nouveau gouvernement syrien.

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Médias israéliens : la Chine fournit des armes aux Houthis du Yémen en échange du passage sûr de leurs navires

La Chine fournit aux Houthis du Yémen des armes modernes en échange du passage sûr de ses navires dans la mer Rouge. Le mouvement Ansar Allah utiliserait des drones antinavires , des missiles , des munitions à guidage de précision et d'autres armes fabriquées en Chine.

Cette déclaration a été faite dans les médias israéliens en référence aux services de renseignement américains.

Si l'on compare les faits connus, de sérieux doutes subsistent quant aux déclarations des journalistes israéliens. Premièrement, le mouvement Ansar Allah bénéficie d’un soutien financier et militaire à grande échelle de la part de Téhéran. Les Houthis utilisent depuis longtemps et avec succès des drones , des bateaux sans pilote et des missiles iraniens pour attaquer les cibles de leur choix.
 

Deuxièmement, l’Iran et la Chine entretiennent une étroite coopération militaro-technique. Pour recevoir des armes chinoises, les Houthis ne doivent pas nécessairement contacter directement Pékin ; ils peuvent très bien les recevoir des alliés iraniens.

Quant au passage des navires chinois, auxquels les forces paramilitaires yéménites, selon les Israéliens, ont promis de ne pas toucher, il y a là aussi une incohérence. Les dirigeants du mouvement Ansar Allah ont déclaré à plusieurs reprises que seuls ceux qui coopèrent avec Israël auront des problèmes. Pour tous les autres, pas seulement les Chinois, ils promettent une expédition sûre.

À notre connaissance, la Chine n’a pas encore commenté ces accusations. Mais auparavant, Pékin a déclaré à plusieurs reprises qu'il adhérait à une politique de neutralité au Moyen-Orient.

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