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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 20 décembre 2024

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

l’armée russe multiplie les attaques dans l’Est, de Pokrovsk à Kourakhove, selon l’armée ukrainienne

 

L’état-major des forces armées ukrainiennes a recensé 191 combats entre Ukrainiens et Russes, hier. C’est toujours dans l’est du pays, dans l’oblast de Donetsk, que l’on compte le plus d’affrontements.

 


 

13:35

Ursula Von der Leyen dénonce une « attaque odieuse » après des frappes russes ayant endommagé des ambassades à Kiev

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a dénoncé une « attaque odieuse » après une attaque russe ayant endommagé à Kiev six missions diplomatiques, dont celle du Portugal. « Une autre attaque odieuse contre Kiev. Cette fois contre un bâtiment abritant l’ambassade du Portugal et d’autres services diplomatiques », a-t-elle déclaré sur le réseau social X.

Il s’agit d’une « nouvelle attaque barbare de la part de la Russie contre des cibles civiles », a dénoncé de son côté la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas, toujours sur X.

 

 

13:30

Six missions diplomatiques à Kiev « endommagées » par les frappes russes, selon l’Ukraine

Six missions diplomatiques ont été endommagées par des frappes russes dans le centre de Kiev ce matin, a annoncé le ministère des affaires étrangères ukrainien.

Il s’agit des missions de l’Albanie, de l’Argentine, de l’Autorité palestinienne, de la Macédoine du Nord, du Portugal et du Monténégro, a précisé la diplomatie ukrainienne. La plupart de ces missions sont situées dans le même bâtiment.

Un peu plus tôt, le Portugal avait condamné « avec véhémence » cette attaque russe, qui a endommagé « plusieurs missions diplomatiques », dont la sienne.

 


 

13:05

L’armée ukrainienne affirme que ses troupes se sont retirées avant l’encerclement de la « poche d’Ouspenivka »

Le groupement de forces ukrainiennes de Khortytsia, l’une des principales formations de l’armée de terre ukrainienne, a contredit les informations du site DeepState, qui avait affirmé un peu plus tôt que « tout le monde n’[avait] pas pu sortir » avant l’encerclement définitif par les forces russes de la « poche d’Ouspenivka (🚩) », située au sud de la ville de Kourakhove (🚩), dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.

Dans un message publié sur Telegram, le groupement de forces ukrainiennes de Khortytsia affirme que « cette information n’est pas vraie », et que « les unités militaires ont effectué les manœuvres nécessaires pour éviter l’encerclement et continuer à accomplir des tâches opérationnelles sur la ligne Kourakhove-Kostiantynopolske ».

 


 

11:01

La Russie continue de multiplier les attaques dans l’est de l’Ukraine

L’état-major des forces armées ukrainiennes a recensé 191 combats entre Ukrainiens et Russes, hier. C’est toujours dans l’est du pays, dans l’oblast de Donetsk, que l’on compte le plus d’affrontements.

L’état-major ukrainien affirme ainsi qu’en direction de Pokrovsk (🚩), cible depuis des semaines des forces armées russes, les Ukrainiens ont repoussé 32 assauts dans des localités situées alentour.

Un peu plus au sud, vers Kourakhove (🚩), ce sont 18 attaques russes qui ont été repoussées, selon les Ukrainiens. Ce matin, Deep State annonçait, par ailleurs, qu’un peu plus à l’ouest les Russes « poursuivent sans relâche les opérations d’assaut » à partir de Stary Terni (🚩) « en direction de Shevchenko (🚩) et Andriivka (🚩».

Les Russes ont également multiplié les attaques en direction de Vremivka (🚩), les Ukrainiens en recensant 23.

Les Ukrainiens ont également compté 17 attaques, plus au nord, en direction de la ville de Lyman (🚩), près de Sloviansk.

 



 

10:12

La « poche d’Ouspenivka » s’est refermée sans que tous les Ukrainiens puissent en sortir, affirme Deepstate

La semaine dernière, le site DeepStateMap, qui cartographie la ligne de front, à partir d’informations en source ouverte, s’inquiétait de la situation dans la « poche d’Ouspenivka », dans l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.

Les localités d’Ielizavetivka (🚩), de Vessely Haï (🚩), Romanivka (🚩) et Hannivka (🚩) étaient alors en cours d’encerclement par les forces russes, lesquelles tentent de percer la « poche » de toutes parts et que la localité d’Ouspenivka (🚩) jouait un rôle-clé pour empêcher que cette « poche » se referme complètement.

Ce matin, DeepState annonce que la poche s’est définitivement refermée après que les forces russes ont pris les localités d’Ouspenivka et de Troudove, un peu plus au sud. Sur son compte Telegram, Deepstate affirme également que « malheureusement, tout le monde n’a pas pu en sortir », avant de critiquer vertement les « responsables de cette erreur », qui l’auront « sur leur conscience » pour « le restant de leurs jours ».

Cette poche se trouve légèrement au sud de Kourakhove (🚩), localité en direction de laquelle les forces russes poussent depuis plusieurs semaines. Hier, la Russie a affirmé avoir saisi Zelenivka, à quelques kilomètres à l’ouest, et Novy Komar, un village situé à une vingtaine de kilomètres en direction du sud-ouest.

 

 

09:44

La Russie dit avoir attaqué Kiev « en réponse » à une attaque ukrainienne utilisant des missiles occidentaux

L’armée russe a affirmé avoir attaqué Kiev « en réponse » à une attaque ukrainienne menée mercredi contre une usine russe à l’aide de missiles occidentaux.

« Une frappe groupée a été menée ce matin avec des armes de précision à longue portée contre le centre de contrôle [des services spéciaux ukrainiens] SBU, le bureau d’études Loutch, établi à Kiev, qui conçoit et fabrique des systèmes de missiles Neptune », a déclaré l’armée russe dans un communiqué relayé sur Telegram, assurant que « toutes les cibles [avaient] été touchées ».

 

 

06:44 Urgent

Fortes explosions entendues à Kiev après une alerte aux missiles balistiques, au moins deux blessés

De fortes explosions ont retenti à Kiev vendredi matin après une série d’alertes aériennes aux missiles balistiques tirés de Russie vers le territoire ukrainien, a constaté une journaliste de l’Agence France-Presse. Une fumée épaisse s’élevait au-dessus de la capitale ukrainienne.

Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, a fait état d’au moins deux blessés à la suite de ces explosions survenues au lendemain de la séance de questions-réponses annuelle du président russe, Vladimir Poutine, lequel a rejeté toute trêve.

DIRECT

 

 

 

 

La Russie frappe le fabricant d'armes « stratégique » ukrainien en représailles : pourquoi est-ce important ?

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 decembre 2024

MOSCOU (Sputnik) - Les forces armées russes ont lancé une frappe massive avec des armes à longue portée en réponse au bombardement par Kiev de l'usine chimique Kamensky, dans la région russe de Rostov, a annoncé vendredi le ministère russe de la Défense.

Jeudi, le ministère a annoncé que Kiev avait lancé une frappe contre l'usine chimique Kamensky, dans la région de Rostov, à l'aide de six missiles ATACMS et de quatre missiles de croisière Storm Shadow.

"En réponse aux actions du régime de Kiev, soutenu par les conservateurs occidentaux, une frappe massive avec des armes de précision à longue portée a été menée ce matin contre le poste de commandement des services de sécurité ukrainiens, le bureau d'études de Kiev "Luch". qui conçoit et fabrique les systèmes de missiles Neptune, les missiles de croisière au sol MLRS Vilkha, ainsi que la position du système de missiles anti-aériens Patriot", a indiqué le ministère dans un communiqué.

Tous les objectifs de la frappe ont été atteints et tous les objets ont été touchés, indique le communiqué.

 

La Russie frappe le centre de coordination du SBU ukrainien en représailles au bombardement d’une usine chimique

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 decembre 2024

Les forces russes avaient auparavant riposté à l'attaque ATACMS de Kiev contre l'aérodrome militaire de Taganrog en bombardant massivement les infrastructures énergétiques ukrainiennes, ce qui avait entraîné des pannes de courant dans toute l'Ukraine.

L'armée russe a lancé une frappe de haute précision contre Luch, un concepteur d'armes basé à Kiev, entre autres cibles, en réponse à une récente attaque avec des missiles de fabrication occidentale sur la région de Rostov. Regardons de plus près le Luch.

Un fragment de l’héritage soviétique appartient désormais à Kiev

Elle a été créée dans l’ex-Union soviétique en 1965 dans le but de concevoir des munitions guidées ;

Après l'effondrement de l'URSS en 1991, le Luch a été remis au ministère ukrainien de la Défense ;

Le bureau est mentionné dans les médias locaux comme une entreprise scientifique et de production du complexe militaro-industriel ukrainien, qui revêt « une importance stratégique pour l'économie et la sécurité du pays » ;

 

L'une des armureries stratégiques du régime de Kiev

Le Luch conçoit et fabrique des projectiles pour les systèmes de fusées à lancement multiple Olkha ;

Elle produit également les systèmes de missiles anti-navires Neptune ;

En outre, le bureau participe aux travaux de recherche et de développement sur la création de missiles guidés antichar, de systèmes de missiles terrestres, aériens et maritimes, de missiles guidés par air, de missiles guidés antiaériens, d'armes anti-mines et torpilles, ainsi que des systèmes de contrôle de missiles et d'autres armes guidées, ainsi que des simulateurs de systèmes de missiles antichar.

Spoutnik

 

 

 

 

 

L'invincible Oreshnik russe a laissé l'Ouest dans la poussière

(ancien analyste du ministère de la Défense)

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 20 decembre 2024

Le missile balistique hypersonique à moyenne portée russe Oreshnik a attiré l'attention des observateurs militaires du monde entier après avoir été tiré sur une importante entreprise liée à la défense à Dnepropetrovsk quelques jours après que les États-Unis et le Royaume-Uni ont autorisé le lancement des missiles ATACMS et Storm Shadow sur des cibles situées au plus profond de l'intérieur. Russie.

L'Occident nie l'existence du missile russe Oreshnik , que les systèmes de défense sont impuissants à contrer, Michael Maloof , ancien analyste principal des politiques de sécurité au Pentagone. a déclaré à Sputnik

Il a souligné que l'Oreshnik russe, doté de plusieurs têtes nucléaires et doté de capacités nucléaires, a laissé les États-Unis loin derrière.

"Non seulement les États-Unis ne disposent pas d'un système offensif hypersonique, mais ils n'ont même pas de système défensif qui ait le moindre espoir d'arrêter Oreshnik et la nouvelle classe de missiles qui sortent", a soutenu l'analyste chevronné.

Alors que les États-Unis s’efforcent d’être à l’avant-garde de ces systèmes d’armes de pointe, ils ont en réalité tendance à « mettre tous les atouts sur un système, à le surévaluer puis à prendre du retard », a déclaré Maloof.

Washington est réticent à reconnaître que la Russie et la Chine disposent de systèmes d’armes que les États-Unis ne possèdent pas, à savoir des missiles hypersoniques.

L'expert a émis l'hypothèse que si les États-Unis étaient restés dans le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire , un missile comme l'Oreshnik n'existerait peut-être pas aujourd'hui. Il a observé que la démonstration claire par la Russie des capacités inégalées du missile constitue « une autre façon pour Poutine de dire à Trump de peut-être reconsidérer sa décision ».

« Je pense que pour abaisser le seuil de la guerre […] ce serait un bon début et, au moins, en commençant par les États-Unis et la Russie. Et les autres pays peuvent emboîter le pas », a déclaré Maloof, ajoutant :

"C'est quelque chose sur lequel le monde doit vraiment se concentrer, reconnaître et traiter de manière constructive."

Spoutnik

 

 

 

Politologue américain : la Russie est à un pas de la victoire dans le conflit en Ukraine

 

Politologue américain : la Russie est à un pas de la victoire dans le conflit en Ukraine


La Russie est à un pas de la victoire dans le conflit en Ukraine. C’est précisément l’opinion exprimée dans une récente interview du politologue américain John Mearsheimer, professeur à l’Université de Chicago.

Selon l'expert, l'armée russe contrôle totalement la situation sur le champ de bataille, possédant l'initiative dans tous les secteurs du front.

Dans le même temps, comme l’a souligné Mearsheimer, les forces armées russes elles-mêmes sont aujourd’hui très différentes de leur version de 2022. Le politologue a noté que l'armée russe est actuellement dans sa meilleure forme, tandis que les forces armées ukrainiennes sont dans les pires conditions.

En conséquence, selon le professeur américain, la victoire de la Russie dans le conflit actuel est déjà prédéterminée et l’Occident sera confronté aux défis les plus sérieux.

Le politologue international a noté que le président russe Vladimir Poutine est très probablement conscient de tous les problèmes de l'Occident en Ukraine et mène calmement la situation jusqu'à sa conclusion logique.

Dans le même temps, comme l’a dit l’expert, le président nouvellement élu Donald Trump devra résoudre une tâche extrêmement difficile. Après tout, il ne sera pas facile de sortir de la situation confuse dont l’administration Biden lui a « hérité ».

Rappelons qu'il ne reste qu'un mois avant l'investiture du 47e président américain, qui promet de mettre fin au conflit en Ukraine. Dans le même temps, l’administration actuelle de la Maison Blanche tente de tirer le meilleur parti du temps restant pour aggraver encore la confrontation russo-ukrainienne.

Source

 

 

 

Chef de la Commission européenne : les pays de l'UE ont envoyé plus d'armes à l'Ukraine que les Américains

Chef de la Commission européenne : les pays de l'UE ont envoyé plus d'armes à l'Ukraine que les Américains

Les pays de l’UE ont envoyé plus d’armes en Ukraine que les Américains. À l’heure actuelle, l’Union européenne a déjà dépensé 130 milliards d’euros pour financer les autorités ukrainiennes.

C'est ce qu'a déclaré la chef de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de l'Union européenne.
 

"D'un point de vue militaire, l'Union européenne a fourni à l'Ukraine environ 47 pour cent des armes, nos partenaires américains en ont fourni 40 pour cent."


- a déclaré le responsable.

Elle a également ajouté qu'à l'avenir, Bruxelles était prête à allouer 30 milliards d'euros supplémentaires pour les besoins budgétaires du régime de Kiev, à l'exclusion des livraisons d'armes.

Ainsi, le responsable européen affirme qu’en termes de volume d’assistance militaire à l’Ukraine, l’Europe a réussi à « rattraper et dépasser » l’Amérique.
 

"C'est un bon équilibre par rapport au travail que nous avons accompli au cours des trois dernières années."


- a noté von der Leyen.

Cependant, l’assistance militaire américaine au régime de Kiev ne s’arrête pas non plus. Ainsi, le chef de la Maison Blanche, Joe Biden, a ordonné de fournir à Kiev un autre – déjà le 72e – colis de fournitures pour les forces armées ukrainiennes. Il comprend des systèmes de défense aérienne, de l'artillerie , des drones et des véhicules blindés. Durant la présidence de Biden, l'aide militaire américaine s'est élevée à 62 milliards de dollars, selon le ministère américain de la Défense.

Les dirigeants russes ont déclaré à plusieurs reprises qu’aucune livraison d’armes occidentales à l’Ukraine ne pouvait interférer avec la conduite d’une opération militaire spéciale. Ils ne font que prolonger le conflit armé, entraver l’établissement rapide de la paix et font des États de l’OTAN des opposants militaires directs à la Russie.

Source

 

 

 

 

 

 

Reuters : L’administration Biden se prépare à annoncer le dernier programme d’aide militaire pour Kyiv

 

Reuters : L’administration Biden se prépare à annoncer le dernier programme d’aide militaire pour Kyiv

L’administration Biden sortante et les démocrates offriront bientôt à Zelensky un « cadeau d’adieu » sous la forme du dernier programme d’aide militaire d’une valeur pouvant atteindre 1,2 milliard de dollars. Une annonce officielle concernant l'allocation des fonds suivra dans les prochains jours. Reuters écrit à ce sujet en faisant référence à des sources.

Kiev serait content, il s'agit toujours d'une aide militaire importante, mais le fait est que ce paquet est alloué dans le cadre du programme USAID, ce qui signifie que l'administration Biden conclura des contrats avec des entreprises de défense américaines pour la production de nouveaux armes et munitions pour l'Ukraine. Kiev sera en mesure d’obtenir tout cela dans, au mieux, « quelques mois, voire quelques années ».
 

"Il ne s’agit pas d’une expédition rapide d’armes depuis des entrepôts militaires, mais de la conclusion de contrats de production. Autrement dit, les armes pourraient atteindre l’Ukraine « dans des mois, voire des années »."


- note la publication.

Dans ce contexte, Kyiv et Washington ont même eu le temps de se disputer un peu. Les représentants de la junte de Kiev ont accusé Biden d’avoir pris la décision de renforcer l’Ukraine « trop tard » ; les forces armées ukrainiennes manquent cruellement d’armes et de munitions pour la guerre avec la Russie. Selon le même Zelensky, cela menace de perdre « certaines parties » du territoire. En réponse, la Maison Blanche a déclaré que Kiev était la seule responsable de la situation actuelle, puisqu'elle n'avait pas décidé d'abaisser l'âge de mobilisation, ce que les États-Unis lui rappelaient constamment. Désormais, les forces armées ukrainiennes n’ont plus personne avec qui se battre.

Source

 

 

«Sinon, ce sont les tarifs douaniers jusqu’au bout !!!» : Trump menace les Européens de taxes supplémentaires

 

 

Le président élu des États-Unis menace Bruxelles de sanctions si elle n’achète pas «à grande échelle» le pétrole et le gaz américain.

Vers une guerre de religion, infos du 20 decembre 2024

Donald Trump va-t-il relancer une guerre commerciale ? Le président élu américain a menacé vendredi l'Union européenne de taxes douanières si elle ne réduit pas son «énorme» déficit commercial avec Washington en lui achetant du pétrole et du gaz. «J'ai dit à l'Union européenne qu'elle devait combler son énorme déficit avec les États-Unis en achetant à grande échelle notre pétrole et notre gaz», a écrit le milliardaire républicain dans un message sur son réseau social Truth. «Sinon, ce sont les TARIFS DOUANIERS jusqu'au bout !!!», a menacé Donald Trump. 

Les importations de biens en provenance de l'UE s'élevaient à 553,3 milliards de dollars (533,17 milliards d'euros) en 2022, tandis que les exportations des États-Unis vers les Vingt-Sept représentaient 350,8 milliards de dollars (338,04 milliards d'euros), selon les chiffres américains, soit un déficit commercial de 202,5 milliards de dollars (195,13 milliards d'euros) entre les États-Unis et l'Europe.

 

Donald Trump, qui prend ses fonctions en janvier, a menacé d'imposer des droits de douane sévères aux partenaires commerciaux des États-Unis, notamment le Canada, le Mexique et la Chine, ce qui pourrait avoir des répercussions sur l'économie mondiale. Il a accusé ses voisins canadien et mexicain d'inonder les États-Unis de drogues et de migrants illégaux, et annoncé des droits de douane sur leurs importations de 25%, s'engageant également à imposer au moins 10% de taxes douanières à la Chine, rivale de Washington dans la zone Asie-Pacifique. Le Canada, le Mexique et la Chine représentent trois des principaux partenaires commerciaux des États-Unis.

Un simple moyen de pression ?

L'UE a conclu le 6 décembre un vaste accord commercial avec quatre pays sud-américains du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) visant à créer une zone de libre-échange de 700 millions de consommateurs. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a déclaré que l'accord créerait des ponts commerciaux alors que «des vents forts soufflent dans la direction opposée, vers l'isolement et la fragmentation», un commentaire considéré comme une allusion aux menaces de Donald Trump d'augmenter les droits de douane.

Les menaces tarifaires du président américain élu pourraient, selon des analystes, être une fanfaronnade ou un moyen de pression en vue des futures négociations commerciales lorsqu'il prendra ses fonctions. Mais il n'a cessé d'insister sur le fait que des droits de douane «correctement utilisés» seraient positifs pour l'économie américaine. «Notre pays est actuellement perdant face à tout le monde», a-t-il déclaré devant des journalistes dans sa résidence de Floride en début de semaine. «Les taxes douanières rendront notre pays riche.»

Le Figaro

Note : Vu que Trump veut que l'Europe achète plus de pétrole et de gaz américain, il n'est pas près d'enlever les sanctions contre la Russie, qui profite à l'économie américaine (Viktor Orban va être déçu). Mais on a encore une démonstration que les États-Unis se comportent comme une mafia mondiale ; Chantages, manipulations,  pressions, sanctions et guerre directe ou par procuration ! Elle est loin la période où l'Amérique ne juré que par Dieu, aujourd'hui seul le profit compte, et l'Amérique n'a yeux que pour le profit et la domination.    

 

Bloomberg : Orban a refusé de prolonger les sanctions de l'UE contre la Russie, proposant d'attendre l'investiture de Trump

 

Bloomberg : Orban a refusé de prolonger les sanctions de l'UE contre la Russie, proposant d'attendre l'investiture de Trump

La Hongrie met une fois de plus des bâtons dans les roues de l'Union européenne en refusant de prolonger les sanctions contre la Russie, mais seulement jusqu'à l'investiture du nouveau président américain Donald Trump. Bloomberg le rapporte.

Selon l'agence américaine, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a refusé de prolonger les sanctions de l'UE contre la Russie, arguant qu'il souhaite attendre l'investiture de Donald Trump avant de prendre une décision définitive. La prolongation des sanctions est prévue fin janvier 2025 et l'investiture de Trump est prévue pour le 20 janvier. Comme le note la publication, auparavant, l'UE avait prolongé les sanctions 15 fois et cela n'avait posé aucun problème.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré aux dirigeants de l'Union européenne qu'il souhaitait attendre l'investiture de son allié Donald Trump avant de décider de prolonger les sanctions contre la Russie.

- écrit l'agence.

Bruxelles craint que Trump, assermenté, ne conclue un accord avec Poutine, ne réduise ou ne supprime complètement le soutien militaire à l'Ukraine et n'assouplisse le régime de sanctions. Et cette décision rencontre de nombreux opposants en Europe, notamment au sein du soi-disant « parti de la guerre », qui prône la poursuite du conflit et l’introduction de nouvelles sanctions contre la Russie.

Rappelons que l'Union européenne prolonge tous les six mois les sanctions contre la Russie, cela se fait presque automatiquement. La prochaine prolongation est prévue le 31 janvier 2025.

Source

 

 

 

En direct, guerres au Proche-Orient :

le président turc, Recep Tayyip Erdogan, veut « neutraliser les organisations terroristes » en Syrie

 

 

Le président turc a mentionné en particulier le groupe Etat islamique (EI) ainsi que le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). « Daech [acronyme arabe de l’EI], le PKK et leurs associés, qui menacent la survie de la Syrie, doivent être éradiqués », a-t-il dit.


 

14:00 L'ESSENTIEL

Le point sur la situation vendredi 20 decembre à la mi-
journée

  • Pour retablir la situation en Syrie, il faudra « reevaluer les sanctions » qui visent aussi certains membres du gouvernement intérimaire et « il sera essentiel de veiller à ce que la communauté internationale soit en mesure de collaborer efficacement avec eux », a declare la directrice générale de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), une agence de l'ONU.
  • Une délégation américaine est arrivée, vendredi, au siège du chef de la coalition qui a pris le pouvoir en Syrie,dans un grand hotel de la capitale, pour le premier contact entre Washington et les nouvelles autorités, ont constaté des journalistes de l'Agence France-Presse (AFP).
  • Deux journalistes turcs ont été tués dans le nord de la Syrie, où ils couvraient des affrontements entre des combattants, soutenus d'un côte par la Turquie et de l'autre par les Etats-Unis, ont annonce vendredi une association de journalistes turcs et une ONG.
  • Le ministère de la sante de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, a annonce vendredi un nouveau bilan de 45 206 morts dans ce territoire palestinien depuis le début de la guerre avec Israël, il y a plus de quatorze mois.
  • Le gouvernement suédois a annoncé vendredi qu'il réduisait son aide à l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), après le vote de lois israéliennes interdisant ses activités en Israël et Jérusalem-Est.
 
 
 
 
11:22

Recep Tayyip Erdogan appelle à « neutraliser les organisations terroristes » en Syrie

Le président turc a mentionné en particulier le groupe Etat islamique (EI) ainsi que le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). « Il est temps de neutraliser les organisations terroristes présentes en Syrie », a déclaré M. Erdogan à la presse, lors de son retour d’un sommet au Caire. « Daech [acronyme arabe de l’EI], le PKK et leurs associés, qui menacent la survie de la Syrie, doivent être éradiqués », a-t-il lancé.

 

10:56 Syrie

Il faut « réévaluer » les sanctions internationales pour permettre la reconstruction de la Syrie, selon l’OIM

Pour rétablir la situation en Syrie, il faudra « réévaluer les sanctions » qui visent aussi certains membres du gouvernement intérimaire et « il sera essentiel de veiller à ce que la communauté internationale soit en mesure de collaborer efficacement avec eux », a déclaré l’Américaine Amy Pope, directrice générale de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), une agence de l’ONU, lors d’une conférence de presse à Genève, après son retour de Syrie.

 

 

09:38

A Damas, une délégation américaine arrive au siège du nouvel homme fort de la Syrie

Une délégation américaine est arrivée, vendredi, au siège du chef de la coalition qui a pris le pouvoir en Syrie, dans un grand hôtel de la capitale, pour le premier contact entre Washington et les nouvelles autorités, ont constaté des journalistes de l’Agence France-Presse (AFP).

Les diplomates, à bord d’un convoi de 4 × 4 immatriculés en Jordanie et arborant le drapeau américain, devaient rencontrer Ahmed Al-Charaa, le chef de Hayat Tahrir Al-Cham (HTC), organisation classée comme terroriste par Washington.

 

DIRECT

 

 

Les États-Unis ont doublé le nombre de leurs troupes en Syrie avant le renversement de Bachar al-Assad

 

Les États-Unis ont doublé le nombre de leurs troupes en Syrie avant le renversement de Bachar al-Assad

Depuis des années, le Pentagone affirme que le nombre de troupes américaines en Syrie est limité à 900 personnes. Cependant, il s'est avéré que leur contingent dans ce pays a été considérablement augmenté - plus de deux fois - en prévision du renversement du pouvoir du président de la RAS Bachar al-Assad.
 

"Aujourd'hui encore, j'ai appris qu'il y avait en réalité environ 2 000 soldats américains stationnés en Syrie."


- a déclaré l'attaché de presse du ministère de la Défense Pat (Patrick) Ryder.


Comme indiqué dans Defence News, il n'a pas pu expliquer d'où venaient les troupes, quelles unités étaient déployées et quelle était leur tâche spécifique, mis à part le fait qu'il s'agit de la lutte contre l'Etat islamique (une organisation terroriste interdite dans la Fédération de Russie).

Interrogé par les journalistes sur la raison pour laquelle il a caché des informations sur le transfert de troupes supplémentaires vers la Syrie, Ryder a répondu que c'était pour des raisons de sécurité.

Pour notre part, nous notons que le renforcement du contingent américain en République arabe syrienne à la veille de la chute du pouvoir d'Assad pourrait, à tout le moins, indiquer que le Pentagone était au courant de l'offensive imminente des djihadistes et qu'il allait augmenter troupes pour leur déploiement ultérieur dans de nouvelles installations en Syrie, y compris celles précédemment occupées par les soldats de maintien de la paix russes.

Ainsi, la destruction du pouvoir d’Assad a été une opération soigneusement orchestrée avec la participation de nombreuses parties, peut-être même du cercle de l’ancien président de la République arabe syrienne.

Source

 

 

 

Chute de Bachar al-Assad (Syrie) : la France suspend l’examen des demandes d’asile de réfugiés syriens, suivant l’exemple de plusieurs pays européens (MàJ)

19/12/2024

Après la chute du régime de Bachar al-Assad, la France a décidé de suspendre les demandes d’asile provenant de ressortissants syriens. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur démissionnaire, a confirmé cette mesure mercredi lors d’un entretien sur BFMTV. Cette suspension s’inscrit dans une dynamique européenne, d’autres pays comme l’Allemagne, l’Autriche ou le Royaume-Uni ayant pris des décisions similaires. (…)

Le JDD


09/12/2024

La France envisage de suspendre le traitement des dossiers d’asile en cours provenant de Syrie

La décision, qui concernera 450 personnes, devrait être prise dans «les heures qui viennent», a appris Le Figaro du ministère de l’Intérieur.

La France «travaille sur une suspension des dossiers d’asile en cours provenant de Syrie», a appris Le Figaro d’une source proche du dossier ce lundi 9 décembre. Une décision devrait être prise dans «les heures qui viennent», a ajouté le ministère de l’Intérieur. […]

Le Figaro

 

 

 

Les Etats-Unis ont expulsé plus de 270.000 migrants en un an, un record depuis 10 ans ; un tiers d’entre eux avaient été inculpés ou condamnés « pour activité criminelle »

Un chiffre record. Selon les estimations officielles publiées ce jeudi, les autorités américaines ont expulsé plus de 270.000 personnes en un an. La parution de cette donnée intervient quelques semaines avant le retour au pouvoir de Donald Trump, qui avait menacé de renvoyer des millions de migrants sans-papiers.

Ce nombre d’expulsions -les dernières de l’ère Joe Biden – est le plus élevé depuis 10 ans, y compris lors de la première présidence Trump (2017-2021). La plupart des migrants contraints de quitter le territoire américain avaient traversé la frontière avec le Mexique de manière illégale, a assuré dans son rapport l’agence chargée du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE).

Environ un tiers d’entre eux avaient été inculpés ou condamnés par la justice «pour activité criminelle», a indiqué le texte. Ces estimations couvrent la période allant de début octobre 2023 à fin septembre 2024.

[…]

 

CNews

 

 

Emmanuel Macron : “Le problème des urgences dans ce pays, c’est que c’est rempli de Mamadou

La Fièvre, cette série qui a intoxiqué Emmanuel Macron et ses conseillers

L’une de ses autres promesses, c’était celle d’une « société ouverte ». Le 1er avril 2017, il saluait Marseille ainsi : « Les Arméniens, les Comoriens, les Italiens, les Algériens, les Marocains, les Tunisiens, les Maliens, les Sénégalais, les Ivoiriens, j’en vois des tas d’autres, que je n’ai pas cités, mais je vois quoi ? Des Marseillais, je vois des Français ! » Alors, quand fin 2019, devant ses troupes, le président parle de l’immigration comme d’un « problème » et d’un « défi qui fait peur », beaucoup de ses soutiens se sentent floués. « On croirait revivre le film La Traversée de Paris, de Claude Autant-Lara, avec la fameuse réplique de Jean Gabin : “Salauds de pauvres” », lit-on dans une tribune publiée dans Le Monde. L’auteur n’est pas n’importe qui : l’historien François Dosse, le prof de Sciences Po du jeune Macron, l’homme qui l’a mis en relation avec le philosophe Paul Ricœur et qui, en 2017, avouait avoir pour lui « les yeux de Chimène ». En retour, il reçoit un courrier de sept pages à l’encre bleue d’un président furieux de cette « drôle de méthode ». Lui seul a le droit de trahir l’autre.

L’immigration, c’est le sujet sur lequel planchent Emmanuel Macron, Alexis Kohler et le ministre de la santé d’alors, Aurélien Rousseau, un jour d’automne 2023. Lors d’une réunion à l’Elysée, ils évoquent l’hôpital public et l’aide médicale d’Etat aux étrangers en situation irrégulière, que la droite veut supprimer.

« Le problème des urgences dans ce pays, c’est que c’est rempli de Mamadou,lance le chef de l’Etat.

– Non, ce n’est pas le premier problème de l’hôpital, nuance le ministre de la santé.

– Si, si. Vas-y, tu vas voir ! »

Comme souvent, Alexis Kohler tente de polir les certitudes présidentielles, mais pas assez pour éviter une dose de « préférence nationale » dans l’attribution des allocations familiales, avant la censure par le Conseil constitutionnel.

« Les Français ne veulent pas de la gauche »

Le 9 juin, lorsqu’il dissout l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron n’a pas compris que la gauche sociale-démocrate, qu’il avait détournée de son cours, va s’unir et revenir dans son lit d’origine. Le 7 juillet, les Français portent en tête des élections législatives les gauches alliées dans un Nouveau Front populaire. Mais pas question de donner trop d’importance à ces Lucie Castets, ces Marine Tondelier, ces « cocottes », comme il les appelle en petit comité. Fin août, le président livre son diagnostic au cours d’une réunion : « Les Français ne veulent pas de la gauche. » Pour lui, ils veulent moins d’écologie et moins d’immigrés.

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Note : et qui les a fait entrer en France ! ! Mamacon

 

 

 

Xavier Niel traité de “salopard” et d'”enculé”, BFMTV sous pression pour un documentaire dérangeant… : les méthodes racailleuses de Rachida Dati pour étouffer les enquêtes la visant

Selon Médiapart, Rachida Dati, ancienne ministre de la Culture, fait face à de nombreuses accusations concernant des pressions et insultes visant des journalistes et des patrons de presse enquêtant sur ses affaires judiciaires. De Xavier Niel à Denis Olivennes, plusieurs personnalités des médias ont témoigné de ses méthodes qualifiées de “violentes” et “intimidantes”.


Xavier Niel traité de “salopard” et d’ “enculé”

Xavier Niel, actionnaire de L’Obs, a révélé avoir été insulté par Rachida Dati après la publication d’articles critiques la concernant. Furieuse, l’ancienne ministre aurait également tenté de bloquer un projet philanthropique qu’il finançait, en représailles.


“Minable”, “raté” : Denis Olivennes ciblé par des messages WhatsApp

Denis Olivennes, ancien directeur général de Libération, a été la cible de messages particulièrement agressifs de Rachida Dati via WhatsApp. Elle l’a traité de “minable” et de “raté”, tout en tentant à plusieurs reprises de faire annuler des enquêtes sur ses affaires menées par le journal.


Pressions sur les journalistes d’investigation

Les journalistes Laurent Léger (Libération) et Clément Lacombe (Le Nouvel Obs) ont enquêté sur les affaires Dati, notamment sur ses rémunérations suspectes, ses contrats avec Renault-Nissan, et ses liens avec l’Azerbaïdjan. En retour, ils ont fait face à des attaques personnelles et des accusations infondées de collusion politique.


BFMTV sous pression pour un documentaire dérangeant

Un documentaire intitulé “Rachida Dati, l’insubmersible”, diffusé sur BFMTV, a été au cœur d’une polémique. Selon des journalistes, la ministre aurait tenté d’empêcher sa diffusion en sollicitant des dirigeants de la chaîne. Le documentaire a finalement été diffusé après des tensions internes.


Tentatives de blocage et financement judiciaire suspect

Dati aurait également tenté d’utiliser des fonds publics pour financer ses frais judiciaires dans les nombreux procès qu’elle a intentés contre les médias. Cette tentative a été rejetée par le Conseil de Paris. Ses actions ont été dénoncées par plusieurs rédactions comme une atteinte à la liberté de la presse.


Réactions de Rachida Dati

Interrogée sur ces accusations, Rachida Dati nie avoir insulté quiconque et dénonce des enquêtes “à charge”. Elle accuse les journalistes de collusions avec ses adversaires politiques et affirme avoir toujours refusé “les compromissions”.


Une atteinte à l’indépendance des médias ?

Ces pressions et attaques, venant d’une ministre chargée des relations entre l’État et les médias, ont suscité de vives réactions dans les rédactions concernées. Dov Alfon, directeur de publication de Libération, dénonce une tentative de “contournement du système démocratique”.

Cette affaire soulève des questions majeures sur le respect de la liberté de la presse et l’utilisation des moyens de l’État pour influencer l’information.

 

 

Le Perreux-sur-Marne (94) : une femme qui aidait un SDF retrouvée ligotée en pleine rue, après avoir été violée chez elle

 

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