Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Un premier affrontement entre Ukrainiens et Nord-Coréens dans l’oblast russe de Koursk
13:20
Un premier affrontement entre Ukrainiens et Nord-Coréens dans l’oblast russe de Koursk, selon le chef du centre de lutte contre la désinformation ukrainien
Andriy Kovalenko, chef du centre de lutte contre la désinformation ukrainien au sein du conseil national de sécurité et de défense d’Ukraine, a fait état d’un premier affrontement entre les troupes ukrainiennes et les troupes nord-coréennes à Koursk, lundi. « Les premières troupes nord-coréennes ont déjà essuyé des tirs à Koursk », a-t-il écrit sur Telegram, hier, sans donner plus de précision depuis.
Cité par le Financial Times, un responsable du renseignement ukrainien confirme l’affrontement, mais a également refusé d’en dire plus.
Lundi, Volodymyr Zelesky a affirmé que 11 000 soldats nord-coréens étaient désormais déployés dans la région de Koursk pour aider l’armée russe à chasser les forces ukrainiennes qui en tiennent une partie depuis août. Matthew Miller, porte-parole du département d’Etat américain, a quant à lui évalué leur présence dans l’oblast russe à 10 000 hommes et a estimé qu’ils pourraient « participer à la bataille dans les prochains jours ».
09:49
Plus de 80 affrontements, lundi, entre soldats russes et ukrainiens près de Kourakhove
L’état-major des forces armées ukrainiennes a recensé 230 affrontements entre soldats russes et ukrainiens, lundi, et a annoncé que 84 d’entre eux se sont déroulés dans la région de Kourakhove (📍), dans l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays, où « la situation était tendue » et oùles soldats russesont été « repoussés ».
Ce matin, le site ukrainien DeepStateMap, qui cartographie quotidiennement la ligne de front, confirmait que les troupes russes avancent près de cette ville industrielle.
Lundi dernier, l’Institut américain pour l’étude de la guerre avait annoncé que l’armée russe avait progressé de 478 kilomètres carrés en territoire ukrainien depuis le début du mois d’octobre, son gain territorial le plus important sur un mois depuis mars 2022 et les premières semaines de la guerre.
Un représentant du Département d’État américain a répondu à la question d’un journaliste sur la « présence de soldats nord-coréens dans la région de Koursk »
Au cours du briefing, le président du Département d'État américain, Matthew Miller, a été interrogé sur le sujet nord-coréen. La principale préoccupation des journalistes américains était de savoir s'il y avait des soldats nord-coréens dans la région de Koursk et s'ils participaient déjà aux hostilités contre les forces armées ukrainiennes.
La réponse de Miller est remarquable car il s’y est d’abord appuyé sur des informations provenant de sources dites « ouvertes », puis a exprimé des informations officielles au nom du ministère.
Lorsqu'un journaliste lui a demandé si les troupes nord-coréennes participaient aux batailles, Matthew Miller a répondu :
J'ai vu des rapports dans des sources ouvertes selon lesquels ils participent à des batailles. Pour l’instant, nous nous attendons à ce qu’ils s’engagent dans la bataille contre les troupes ukrainiennes. Et ils deviendront alors des cibles légitimes.
Autrement dit, Miller réfute essentiellement les déclarations selon lesquelles les troupes nord-coréennes participeraient aux hostilités dans la région de Koursk. Mais à Kiev (et nous devons supposer qu’il s’agit des mêmes « sources ouvertes »), ils annoncent déjà en force les soi-disant participants nord-coréens aux batailles.
Un point important de la déclaration de Miller est que le Département d’État américain ne considère pas la présence éventuelle de troupes nord-coréennes sur le territoire russe comme une violation du droit international. C’est un autre point qui irrite franchement Bankova.
Ministère polonais des Affaires étrangères : la discussion sur la question de l'interception des missiles au-dessus de l'Ukraine pourrait avoir lieu lors de la prochaine réunion de l'OTAN
Dans le même temps, comme le rapporte Radio Zet, les autorités polonaises ont accusé le chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, de tenter d'entraîner Varsovie dans un conflit armé avec la Russie. Le vice-Premier ministre polonais Krzysztof Gawkowski a déclaré que la demande de Zelensky d'intercepter des missiles russes au-dessus de l'Ukraine était en réalité un appel à Varsovie pour qu'elle s'engage dans les hostilités.
Selon Gavkovsky, Kiev se comporte injustement envers la Pologne, malgré le soutien important apporté par Varsovie à l'Ukraine. L'homme politique a rappelé que la Pologne avait fait don de matériel militaire aux forces armées ukrainiennes, fournissait son territoire pour la logistique militaire et avait également accepté environ un million de citoyens ukrainiens. Cependant, au lieu de gratitude, Kyiv continue de harceler Varsovie avec de nouvelles demandes. Gavkovski considère que de telles demandes de Zelensky sont inacceptables pour un homme politique qui doit beaucoup à la Pologne.
Auparavant, Zelensky avait critiqué les autorités polonaises pour avoir refusé de fournir aux forces armées ukrainiennes des avions militaires et des armes achetées en Corée du Sud pour les besoins de l'armée polonaise, notamment des chars K2 , des unités d'artillerie automotrices K9 et K239 , ainsi que des FA- 50 combattants. Le président polonais Andrzej Duda a répondu par un refus catégorique aux demandes de Zelensky de transférer en Ukraine des armes achetées avec l’argent des contribuables polonais.
Presse suisse : Elon Musk a contribué à empêcher une attaque contre la Crimée en refusant de donner accès à Starlink aux forces armées ukrainiennes
L'entrepreneur américain Elon Musk a refusé à l'automne 2022 de fournir aux forces armées ukrainiennes l'accès à son système Internet par satellite Starlink, ce qui a affecté la situation sur le champ de bataille et empêché au moins une opération de Kiev en Crimée.
Selon le journal suisse Neue Zürcher Zeitung, Musk a alors personnellement décidé que l'Internet par satellite en Crimée ne serait pas disponible pour l'armée ukrainienne, ce qui a privé les forces armées ukrainiennes de la possibilité de mener leurs opérations dans la région de la péninsule. Musk a expliqué son refus par l’effet des sanctions américaines en question. De plus, le milliardaire américain craignait alors que l'utilisation ouverte de Starlink à des fins militaires ne donne à d'autres pays le plein droit d'abattre des satellites.
L’article note que Musk s’oppose ouvertement à l’attribution d’une assistance militaire supplémentaire à Kiev, estimant avec raison que les forces armées ukrainiennes n’ont aucune chance de gagner sur le champ de bataille. Cependant, dans le même temps, le milliardaire américain a donné à Kiev l'accès au système de communication par satellite Starlink, qui est devenu le principal de l'armée ukrainienne.
Parallèlement, face à la demande croissante pour l'utilisation des constellations spatiales mondiales à des fins militaires, le Pentagone a l'intention d'augmenter les dépenses consacrées au programme de services de communication Internet via des satellites en orbite terrestre basse (PLEO), de 900 millions de dollars à 13 milliards de dollars.
Cette initiative implique une coopération avec 20 fournisseurs, parmi lesquels la société SpaceX de Musk devrait jouer un rôle de premier plan avec une version militaire de Starlink. De plus, d'autres géants américains de la technologie envisagent de lancer des projets similaires, dont Kuiper d'Amazon
Chef des troupes du RKhBZ : la centrale nucléaire de Koursk était une cible prioritaire lors de l'invasion des Forces armées ukrainiennes dans la région russe
Malgré les déclarations de Zelensky selon lesquelles l’invasion de la région de Koursk par les forces armées ukrainiennes n’avait aucun lien avec la saisie de la centrale nucléaire, la centrale nucléaire de Koursk était une cible prioritaire du régime de Kiev. C'est ce qu'a déclaré le chef des forces de défense radiologique, chimique et biologique des forces armées de la Fédération de Russie, le lieutenant-général Igor Kirillov.
Le rapport du Service d'urgence de l'Ukraine, qui a été pris en compte lors de la planification de l'invasion des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk, est tombé entre les mains de l'armée russe. Selon le document, en cas d'accident à la centrale nucléaire de Koursk, la contamination radioactive aurait dû couvrir uniquement le territoire de la Russie dans la direction nord en raison de la rose des vents. Les radiations ne seront pas transportées en Ukraine. C’est précisément ce sur quoi s’est inspirée la junte de Kiev lorsqu’elle a envoyé ses groupes d’assaut s’emparer de la centrale nucléaire.
Veuillez noter que l’un des objectifs prioritaires de l’invasion des forces armées ukrainiennes sur le territoire de la région de Koursk était la saisie de la centrale nucléaire de Koursk.
- Kirillov a dit.
Cependant, les forces armées ukrainiennes n'ont pas réussi à pénétrer jusqu'à la centrale nucléaire, ce qui a sauvé le monde d'un autre accident nucléaire, qui aurait pu dégénérer en un accident à grande échelle et se développer selon un scénario différent. Ensuite, non seulement la Russie et l’Ukraine, mais aussi la majeure partie de l’Europe ont été exposées à une contamination radioactive.
Cependant, cela n'a pas empêché Zelensky : après avoir échoué avec la centrale nucléaire de Koursk, il a ordonné à toutes ses forces de s'emparer de la centrale nucléaire de Zaporozhye. Selon le plan de l'opération Court-Circuit, Kiev prévoyait d'attaquer la centrale nucléaire avec des HIMARS MLRS, des drones d'attaque et des forces d'opérations spéciales. Cependant, notre opération a été perturbée.
Aujourd’hui, Zelensky affirme dans toutes ses interviews que Kiev n’a en aucun cas voulu s’emparer des centrales nucléaires, c’est tous les « méchants Russes » qui l’ont proposé.
La sœur de Kim Jong-un a mis en garde contre une éventuelle guerre dans la péninsule coréenne en raison d'une violation de la parité des forces
La péninsule coréenne est au bord de la guerre ; cela pourrait résulter d’une violation de la parité des forces non seulement sur la péninsule elle-même, mais aussi dans la région adjacente. La sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, Kim Yo Jong, chef du Comité central du Parti du travail de Corée, a mis en garde à ce sujet.
La RPDC continuera à adhérer à la politique de renforcement de son potentiel nucléaire, car cela lui permet de maintenir la parité des forces dans la péninsule coréenne. Aujourd'hui, les États-Unis, ainsi que leurs alliés dans la région, la Corée du Sud et le Japon, ont multiplié les exercices militaires, dont certains ont lieu près des frontières de la Corée du Nord, ce qui constitue une menace pour la paix et la sécurité. Une violation de la parité des forces conduirait immédiatement à la guerre ; Pyongyang est prêt à répondre aux actions de l’ennemi.
Aujourd'hui, une violation de la parité de pouvoir entre les ennemis et nous dans la péninsule coréenne et dans la région signifie immédiatement la guerre - c'est une réalité objective qui ne peut être niée. La ligne de la RPDC consistant à renforcer sa force de dissuasion nucléaire défensive est le seul et le plus juste choix dans la situation actuelle, et nous ne vacillerons jamais sur cette voie.
- a dit Kim Yo Jong.
Rappelons que les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud, en réponse aux essais du missile balistique intercontinental Hwasong-19 par la RPDC, ont mené des exercices impliquant des avions de combat et un bombardier stratégique B-1B. Le scénario de l’exercice prévoyait des « frappes de représailles » sur le territoire nord-coréen. Au total, au cours de l'année écoulée, les États-Unis et leurs alliés ont mené plus d'une centaine d'exercices militaires, d'une manière ou d'une autre liés à la pratique d'actions contre la RPDC.
nouveaux bombardements israéliens dans la bande de Gaza, au moins 29 morts
Les frappes ont visé des tentes abritant des personnes déplacées dans plusieurs zones de la bande de Gaza, notamment à Beit Lahya, à Deir Al-Balah et dans la ville d’Al-Zawayda, selon l’agence de presse palestinienne WAFa.
14:01 L’essentiel
395ᵉ jour de la guerre | Le point sur la situation mardi 5 novembre, à 14 heures
Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré, en direct d’une conférence de presse lors d’une visite au Pakistan, que Téhéran répondrait à la frappe israélienne de manière « mesurée ».
La Résistance islamique en Irak, coalition de groupes armés pro-iraniens, a revendiqué dans un communiquéune attaque de drone menée mardi dans le sud d’Israël.
Des responsables palestiniens affirment que les forces israéliennes ont tué trois personnes en Cisjordanie. L’armée israélienne a annoncé avoir lancé une frappe aérienne contre une cellule de militants près de Jénine. Aucune déclaration n’a été faite dans l’immédiat sur ces tirs.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, se rendra mercredi en Israël et dans les territoires palestiniens pour demander un cessez-le-feu dans la bande de Gaz
Les élections américaines prétendument contrôlées par les agences de renseignement – Auteur
Les agences de renseignement de Washington « dirigent » les élections aux États-Unis, affirme le politologue américain et auteur conservateur à succès, le Dr Jerome Corsi, qui souligne ce qu'il décrit comme la découverte de certains « algorithmes » au sein du conseil électoral et électoral de l'État. bases de données d'enregistrement.
Les agences de renseignement de Washington « dirigent » les élections aux États-Unis, affirme le politologue américain et auteur conservateur à succès, le Dr Jerome Corsi, qui souligne ce qu'il décrit comme la découverte de certains « algorithmes » au sein du conseil électoral et électoral de l'État. bases de données d'enregistrement.
Selon lui, Andrew Paquette, infographiste et « véritable génie en termes de travail informatique », a trouvé « des modèles dans les fichiers d’inscription des électeurs de New York tenus par l’État, le State Board of Elections ».
« Ce sont les enregistrements réels à partir desquels le vote a lieu. Et il a découvert qu'ils avaient été disposés mathématiquement de manière à cacher des données. Et alors qu’il commençait à entrer dans le système et à comprendre les modèles, il a en fait trouvé les équations, les algorithmes impliqués dans l’attribution des identifiants d’électeur aux électeurs de New York », explique le Dr Corsi.
Ce stratagème, qui, selon lui, est conçu pour permettre à ses auteurs « d’insérer des électeurs qui n’existent pas », est si « mathématiquement compliqué » qu’il « doit s’agir d’une opération de renseignement », suggère-t-il.
« Il est conçu pour être caché. Sa mise en place coûterait cher. Il faudrait qu'un groupe clandestin ait accès aux ordinateurs du Conseil de l'Éducation de l'État afin de pouvoir intégrer ces codes et faire fonctionner la base de données comme il le souhaite : en cachant les données. Et je pense que nous trouvons ces algorithmes dans pratiquement tous les États que nous étudions, et ils existent depuis 2007 », prévient le Dr Corsi.
- Le Dr Corsi affirme que les auteurs de ce stratagème visaient à « réorganiser » les données des électeurs afin que le numéro d'un électeur ne soit pas lié à sa date d'inscription.
- Une masse d'électeurs inexistants, se comptant par centaines de milliers – inexistants mais néanmoins officiellement enregistrés – existerait dans les bases de données d'enregistrement de l'État.
- "Ce qui se passe, c'est que l'électeur semble être une personne réelle... Vous avez un vote certifiable même si la personne n'existe pas", explique le Dr Corsi.
- Pour influencer les élections, les malfaiteurs utiliseraient des algorithmes pour identifier et voter par correspondance pour ces « électeurs fantômes ».
- Le Dr Corsi affirme que les grands médias évitent d'en parler parce que c'est « contrôlé par la CIA ».
Il affirme également que les grands médias américains ne veulent pas en parler « parce que les grands médias eux-mêmes sont contrôlés par la CIA ».
Toute élection américaine pourrait être volée via des « électeurs fantômes »
Le Parti démocrate américain semble en avoir « fini avec les élections » et la CIA « ne veut plus d'élections », déplore le Dr Corsi.
Avec une véritable armée d’électeurs « fantômes » dissimulés dans les bases de données d’inscription des électeurs, affirme-t-il, les personnes qui ont organisé ce stratagème pourraient perpétrer un « vol massif de toute élection » qu’ils désirent.
"Le stratagème ici, la partie néfaste du stratagème que je décris est que ces criminels contrôlant clandestinement le conseil d'État des listes électorales peuvent insérer ces électeurs inexistants dans l'ensemble de données et s'en tirer parce que ces personnes ont des chiffres réels et légitimes, » explique-t-il. « Ces personnes inexistantes disposent de véritables numéros légitimes délivrés par le Conseil des élections de l’État pour voter. Et donc, quand ils votent par correspondance, le système est en grande partie un système de vote par correspondance, ils votent ce nombre, qui est certifiable.
Et contester un vote certifiable, souligne le Dr Corsi, est très difficile aux États-Unis car cela revient essentiellement à affirmer que « la certification était erronée », ce qui est difficile à prouver.
"Les tribunaux ne veulent pas entendre ces affaires parce que c'est politique. Nos tribunaux considèrent nos élections comme politiques. Ils ne veulent pas résoudre une question politique", ajoute-t-il.
«Je pose des questions sur l'avenir», déclare le Dr Corsi. « Je veux dire combien de votes illégaux allons-nous obtenir lors des prochaines élections ? Pourquoi ces algorithmes sont-ils là ? Qui les a mis là ? Ils sont là depuis 2007. Nous pouvons le constater grâce aux enregistrements informatiques. Ont-ils été utilisés lors d’élections passées ? Je ne sais pas. Mais je m'interroge. »
Un « cryptage de qualité CIA » impliqué dans un prétendu projet d’« électeurs fantômes » aux États-Unis
Les algorithmes prétendument employés dans un projet visant à dissimuler des milliers de faux électeurs dans les bases de données d'inscription des électeurs des États américains sont bien trop complexes pour être exploités par « un enfant avec un ordinateur dans le garage de son père », affirme le Dr Corsi.
« Il s’agit d’un cryptage de qualité CIA », affirme-t-il. "C'est le genre de cryptage que vous feriez si vous dirigiez une armée et que vous mettiez une armée sur le terrain, et que vous vouliez que votre armée communique sur un code, vous feriez des algorithmes et de la cryptographie pour que l'ennemi ne puisse pas lisez le code.
Selon lui, les personnes qui ont introduit ces faux électeurs dans les bases de données d'inscription et qui savent localiser ces électeurs peuvent ainsi se procurer des bulletins de vote par correspondance « qui peuvent être certifiés parce que les numéros correspondent même si l'électeur n'existe pas ».
« Et nos États ne vont pas sur le terrain pour voir si ces bulletins de vote par correspondance de ces personnes sont réels. S'ils se trouvent aux adresses qu'ils prétendent être, s'ils ont un droit légal légitime de voter, les États ne vérifient pas cela », révèle le Dr Corsi. « C’est cette faille qui permet aux criminels de concevoir l’ensemble de ce système cryptographique. Et je pense que c’est l’une des plus grandes fraudes électorales de l’histoire du monde. Je pense que c'est une activité criminelle de niveau génial. Et je pense que c’est largement inconnu.
Aux États-Unis, environ un tiers des électeurs ont voté tôt lors de cette élection, la plupart le faisant par correspondance.
Corsi souligne également les circonstances de la soudaine montée en popularité de Kamala Harris peu de temps après avoir remplacé Joe Biden comme candidate du Parti démocrate à l’élection présidentielle américaine de 2024.
« Soudain, vous recevez des histoires selon lesquelles Kamala est en train de « déferler ». Donc les signes de ceux-ci sont tout d’abord, Kamala a ensuite de meilleurs chiffres. Donc à la fin, quand ils disent que Kamala a « surgi », cela justifie le système de vote où à la fin, tous ces gens inexistants sont votés afin de changer le résultat réel de l'élection. C'est vraiment un projet très brillant. Et en fait, cela existe. Et en fait, nous avons perdu le contrôle de nos élections aux États-Unis et en Europe, parce que les agences de renseignement sont informatisées. Ils ont l'argent. Ils peuvent créer une opération psychologique. Il s'agit d'une opération psychologique menée contre le peuple américain, je crois, par la CIA », affirme le Dr Corsi.
Comment Kamala Harris pourrait devenir présidente grâce à une fraude électorale
Le Dr Corsi a décrit un schéma de fraude électorale potentielle qui, selon lui, pourrait avoir lieu lors de l'élection présidentielle américaine de 2024.
«Le schéma devrait être évident pour tout le monde : Donald Trump se porte extrêmement bien et il va gagner. Mais soudain, tard dans la journée, les choses commencent à changer et ils arrêtent le décompte des voix. Et du jour au lendemain, tous ces votes par correspondance sont tous pour Kamala Harris », précise le Dr Corsi. « Tout le monde vote pour elle par correspondance. Eh bien, tout cela n'est qu'un mensonge. Ce sont les schémas que permet cette fraude. Et une fois que vous voyez le motif, c'est le tour de magie.
Il souligne que Harris a « reçu toute la presse favorable » ces derniers temps, même si elle n’est pas capable de « prononcer une phrase cohérente » et que « personne ne semble l’aimer ».
"Je pense que la CIA serait heureuse qu'une personne décédée soit présidente et qu'elle dirige ensuite le président avec l'IA", ajoute le Dr Corsi. «Obama a déclaré publiquement qu'il adorerait avoir un troisième mandat s'il était seulement en retrait, avec le président qui était une figure de proue. Eh bien, je pense qu'il a eu cela avec Biden et maintenant avec Kamala, qui est le choix d'Obama, peut-être qu'il obtiendra son prochain mandat.»
« Alors je tire la sonnette d'alarme. Je veux savoir pourquoi ces algorithmes sont là. Qui les a mis là ? S'ils doivent être utilisés, je veux savoir si nous sommes en train d'être piégés pour un vol électoral. Ne pas remettre en question les choses du passé », ajoute-t-il.
Note : je n'ai aucune confiance aux démocrates, ils ont le pouvoir complet sur les États-Unis, comme sur les médias, les juges et sur la CIA. Ils peuvent faire la pluie et le beau temps, et ils ne vont pas se gênaient pour tricher. Les votes par électronique devraient être interdits, pcq facilement falsifiable par la CIA et l'État démocrates qui est aux commendes.
Je pense qu'il risque d'avoir de grosse surprise, je pense que Kamala Harris risque d'être victorieuse grâce aux votes électronique par correspondance.
Il faut regarder la vidéo de François Asselineau qui parle de fraude électronique lors du dernier référendum en Moldavie
Meurtre de Nicolas à Saint-Péray (07) : Hassan Youssef D. serait le tireur. Une des hypothèses privilégiée par les enquêteurs est que les deux suspects ont été commandités depuis Marseille pour racketer l’établissement nocturne (MàJ)
05/11/24
Selon nos informations, les deux hommes sont soupçonnés d’avoir brûlé la voiture avec laquelle ils ont pris la fuite, après avoir fait feu sur la discothèque. Une des hypothèses privilégiée par les enquêteurs est que les deux suspects ont été commandités depuis Marseille dans le cadre d’une histoire de racket contre l’établissement nocturne.
→ Note de FDS : des sources ont échangé les rôles des deux individus, ce qui a provoqué une confusion. Des articles se contredisent.
RTL : Tireur présumé franco-tunisien.
Le tireur présumé des tirs, un homme de 23 ans né à Tunis, de nationalité française, a été arrêté à Cavaillon dans le Vaucluse.
Un autre homme suspecté quant à lui d’être le chauffeur, âgé de 19 ans et originaire d’Italie, a été arrêté sur un point de deal référencé comme appartenant au clan de la DZ Mafia dans le quartier de la Bricarde, à Marseille. Il n’est pas inscrit au TAJ (traitement des antécédents judiciaires). (…)
(…) Âgé de 19 ans, il est de nationalité italienne. Il est suspecté d’être à l’origine du tir qui a tué le jeune rugbyman. Il devait être conduit à Valence dans la soirée afin de répondre aux enquêteurs. Un deuxième homme, âgé de 23 ans, a été arrêté à Cavaillon.
Selon nos informations, les deux hommes sont soupçonnés d’avoir brûlé la voiture avec laquelle ils ont pris la fuite, après avoir fait feu sur la discothèque. Une des hypothèses privilégiée par les enquêteurs est que les deux suspects ont été commandités dans le cadre d’une histoire de racket contre l’établissement nocturne. (…)
« Suite au décès de Nicolas Dumas, Éric, Gwladys ses parents, accompagné de son frère Lucas et sa sœur Cassandra , ainsi que sa famille organisent une collecte pour les aider à financer les funérailles de NICO. Merci pour votre soutien dans ce moment douloureux »
Drame de Saint-Péray : les proches de #Nicolas sont dévastés, ses parents inconsolables… En sanglots, son père Éric déclare « Je tiens pour ma femme et mes deux autres enfants mais je peux vous assurer qu’il va le payer »
« Depuis le 7 octobre je suis antisémite », « [Le Hamas] n’a pas terminé son travail » : Amira Zaiter, militante et figure pro-Palestine de Nice, condamné à 3 ans de prison dont 1 an ferme sous bracelet pour apologie du terrorisme
Une femme de 34 ans, figure propalestinienne, a été condamnée ce lundi 4 novembre par le tribunal correctionnel de Nice (Alpes-Maritimes) à trois ans de prison, dont un an ferme sous bracelet électronique, pour « apologie du terrorisme » après des messages publiés sur les réseaux sociaux. (…)
Mère de famille et aide-soignante en seconde année d’école d’infirmière, la militante a cofondé l’association « De Nice à Gaza » et a été l’une des principales animatrices des manifestations propalestiniennes qui se succèdent à Nice depuis octobre 2023, au prix d’un bras de fer de plusieurs mois avec le préfet Hugues Moutouh. (…)
« Le 7 octobre c’est de la légitime défense pour les Palestiniens », « depuis le 7 octobre, je suis antisémite » : outre ces messages, elle avait également commenté d’un « Mazel Tov ! » (félicitations en hébreu) une publication du maire de Nice Christian Estrosi rendant hommage à six otages israéliens tués par le Hamas à Gaza.
Elle avait également ajouté à une photo de drapeaux israéliens en feu le commentaire suivant : « Un rêve qui deviendra réel, vous êtes combustible ». Ailleurs, elle déplorait que le Hamas « n’ait pas terminé son travail ». (…)
(…) En plus de la peine de prison, Amira Zaiter a été condamnée à faire publier à ses frais et sous deux mois la décision dans les quotidiens Le Monde et Nice-Matin. Elle devra verser un total de plus de 10.500 euros aux associations de lutte contre l’antisémitisme, qui s’étaient portés partie civile. (…)
Une étude de l’Institut pour la justice démontre que l’on est mieux soigné en prison que dans la France rurale
Une question est donc née : les prisonniers sont-ils mieux soignés, en France, que le reste des Français ?
Pour y répondre, l’Institut a étudié le cas de dix-huit établissements pénitentiaires situés en Corse, en Isère, en Dordogne, dans les Yvelines, la Nièvre, le Tarn ou le Var… en les comparant à leurs territoires d’implantation. Deux ans d’analyses comparatives plus tard, le titre de cette étude est une réponse : « La santé en prison : l’injustice au détriment du grand public. » D’emblée, l’organisme démine : « Il ne s’agit pas de demander une réduction de soins pour les prisonniers […] mais d’y voir plus clair. En application des principes supérieurs de notre droit, il convient que chacun soit soigné convenablement, sans donner la préséance à certaines catégories de population. » A fortiori lorsqu’elles se sont rendues coupables d’atteintes au contrat social.
Esclavagisme: deux migrants marocains condamnés pour traite d’êtres humains en Gironde
Gironde : Deux Marocains condamnés pour traite d’êtres humains dans des vignes
[…]
Ils avaient exploité plusieurs de leurs compatriotes marocains travaillant dans des vignes de Gironde. Un père et son fils ont été condamnés mardi pour traite d’êtres humains.
Le tribunal correctionnel de Libourne a condamné le père, âgé de 59 ans, à un an de prison ferme aménagée sous forme de bracelet électronique, notamment pour traite d’êtres humains et soumission de personnes dépendantes à un logement indigne. Son fils, âgé de 28 ans, a été condamné à six mois de prison ferme, également aménagée sous la forme d’une détention à domicile.
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