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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 29 novembre 2024

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

Volodymyr Zelensky demande à ses alliés une « réponse ferme » face au « chantage » de Vladimir Poutine

 

 

Le président russe a dit jeudi ne pas exclure d’utiliser le nouveau missile expérimental contre Kiev. Moscou l’a utilisé pour la première fois il y a une semaine contre la ville de Dnipro.

 

 

13:42

La Russie mène une campagne de sabotage « incroyablement audacieuse » en Europe, selon le chef du renseignement extérieur britannique

« Nous avons récemment découvert une campagne de sabotage russe incroyablement audacieuse en Europe, alors même que [le président russe Vladimir] Poutine et ses acolytes agitent la menace nucléaire pour semer la peur » chez les alliés de l’Ukraine, a déclaré vendredi le chef des services de renseignement extérieur britanniques, Richard Moore, dans un discours prononcé à l’ambassade du Royaume-Uni à Paris.

« Si Poutine est autorisé à réduire l’Ukraine à un Etat vassal, il ne s’arrêtera pas là (…) Nous n’avons pas le moindre doute sur la volonté de gagner de nos amis ukrainiens. Le SIS et la DGSE [renseignements extérieurs britanniques et français] sont décisifs pour calibrer les risques et aider nos gouvernements respectifs à prendre des décisions adéquates », a-t-il ajouté.

 

 


 

13:38

La Géorgie a reporté les négociations d’adhésion à l’UE pour « plaire à Moscou », estime Kiev

Le gouvernement ukrainien a reproché vendredi à la Géorgie d’avoir reporté les négociations d’adhésion à l’Union européenne pour « plaire à Moscou ».

« L’Ukraine est déçue par la décision du gouvernement géorgien de suspendre les négociations d’adhésion à l’UE jusqu’en 2028. Cette décision, ainsi que le recours à la force contre une manifestation pacifique, témoignent de la limitation des processus démocratiques dans le pays pour plaire à Moscou », a déclaré une porte-parole du ministère des affaires étrangères.

Le premier ministre géorgien, Irakli Kobakhidze, a annoncé jeudi le report à la fin de  2028 des négociations d’adhésion à l’Union européenne (UE), qu’il a présenté comme une mesure de rétorsion après l’adoption, quelques heures plus tôt, d’une résolution non contraignante du Parlement européen rejetant les résultats des élections législatives du 26 octobre, jugées « ni libres ni équitables » et entachées d’« irrégularités importantes ». Cette décision a donné lieu à des manifestations violemment dispersées par les forces de l’ordre, qui ont fait état de 43 arrestations.

 

 

11:40

Le ministère de la défense russe annonce la prise de deux localités de l’oblast de Donetsk

Le ministère de la défense russe a annoncé vendredi la prise de Rozdolne (📍), à une cinquantaine de kilomètres au sud de Donetsk, et de Verkhokamianka (📍), quelques kilomètres plus à l’est, ce qui porte, selon lui, à quatre le nombre de localités ukrainiennes conquises cette semaine. Trois se trouvent dans l’oblast de Donetsk et une dans celui de Kharkiv

 

 

10:53

L’armée ukrainienne dit avoir touché un dépôt pétrolier de l’oblast russe de Rostov

L’armée ukrainienne a revendiqué vendredi l’attaque d’un dépôt pétrolier de l’oblast russe de Rostov, où un incendie s’est, selon elle, déclaré ; ce que les médias locaux avaient déjà signalé.

Le site, qui avait déjà été pris pour cible cet été, « fait partie du complexe militaro-industriel russe, qui fournit des produits pétroliers à l’armée de la Fédération de Russie », écrit l’état-major dans un communiqué diffusé sur Telegram. Il annonce, en outre, la destruction d’une batterie de défense aérienne Buk-M3 dans la partie occupée de l’oblast ukrainien de Zaporijia, ce qui est invérifiable.

 

 

 

10:34

Des manifestants pro-européens violemment dispersés en Géorgie

Des manifestants pro-européens défient les forces de l’ordre, vendredi 29 novembre 2024, à Tbilissi.

Les forces de l’ordre géorgiennes ont tiré des balles en caoutchouc et ont fait usage de gaz lacrymogène et de canons à eau pour disperser des manifestants pro-européens rassemblés devant le Parlement, jeudi soir et vendredi matin.

Selon le ministère de l’Intérieur, 43 personnes ont été arrêtées « pour avoir désobéi aux ordres légitimes de la police et pour vandalisme », et 32 policiers ont été blessés.

Le premier ministre, Irakli Kobakhidze, avait annoncé jeudi le report à la fin 2028 des négociations d’adhésion à l’Union européenne (UE). Il a présenté cette décision comme une mesure de rétorsion face à l’adoption, quelques heures plus tôt, d’une résolution non contraignante du Parlement européen rejetant les résultats des élections législatives du 26 octobre, jugées « ni libres ni équitables » et entachées d’« irrégularités importantes ».

Le scrutin, considéré comme un choix entre l’UE et la Russie, a été remporté par le parti au pouvoir, Rêve géorgien, avec près de 54 % des voix, mais l’opposition et la présidente, Salomé Zourabichvili, dénoncent un « vol » et refusent de reconnaître les résultats.

La Géorgie, dont 80 % de la population se dit pro-européenne, a obtenu le statut de candidat à l’adhésion en décembre 2023, mais Bruxelles a, depuis, gelé le processus, accusant le gouvernement formé par Rêve géorgien d’atteintes aux principes démocratiques. Une nouvelle manifestation est prévue pour 19 heures (16 heures, heure de Paris).

 


 

08:45

Le ministre de la défense russe salue un renforcement des liens « tous azimuts » avec la Corée du Nord

Andreï Belooussov, arrivé vendredi en visite surprise en Corée du Nord, a salué un renforcement des liens « tous azimuts » de Moscou avec Pyongyang, lié notamment à la Russie par un traité de défense mutuelle.

« Aujourd’hui, les liens amicaux entre la Russie et la Corée du Nord se renforcent activement tous azimuts, y compris dans le domaine de la coopération militaire », a déclaré le ministre de la défense russe, cité dans un communiqué, lors d’une rencontre avec son homologue nord-coréen, No Kwang-chol.

Le ministre de la Défense nord-coréen No Kwang Chol et le ministre de la Défense  russe Andrei Belousov, lors de leur rencontre à Pyongyang, en Corée du Nord, le vendredi 29 novembre 2024

 

HIER  17:39

L’UE accorde 18,1 milliards à l’Ukraine dans le cadre d’un engagement du G7

L’Union européenne a confirmé jeudi son engagement à fournir un soutien financier de 18,1 milliards d’euros à l’Ukraine dans le cadre d’un prêt du G7 qui sera remboursé par les intérêts des avoirs russes gelés.

Le vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, a annoncé avoir signé un protocole d’accord avec l’Ukraine pour une assistance macrofinancière qui servira à « couvrir ses besoins immédiats ». « Cela fait partie de l’initiative du G7 visant à soutenir l’Ukraine en utilisant les revenus des avoirs russes gelés » dans le cadre des sanctions occidentales, « garantissant ainsi que l’agresseur paie pour les dommages qu’il a causés », a-t-il précisé sur le réseau social X.

Le premier ministre ukrainien, Denys Chmyhal, a salué une « démarche courageuse » de la part de l’UE. « Ce n’est pas seulement une aide – c’est un précédent pour tenir la Russie responsable de ses crimes », a-t-il écrit sur X.

Ces 18,1 milliards d’euros s’ajoutent à quelque 120 milliards d’aide fournie à Kiev par l’UE et les Etats membres depuis l’invasion par la Russie. Ce nouveau soutien intervient alors que des incertitudes planent sur l’avenir du soutien américain après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

Fin octobre, le G7 qui réunit les sept économies les plus avancées au monde, avait annoncé un accord en vue d’accorder environ 50 milliards de dollars (47 milliards d’euros) à l’Ukraine sous forme de prêt, remboursé par les intérêts des avoirs russes gelés dans le cadre des sanctions occidentales.

DIRECT

 

 

 

 

 

 

Les services de renseignement russes mettent en garde contre les projets de l’OTAN visant à geler le conflit et à occuper l’Ukraine sous prétexte de maintien de la paix

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2024

MOSCOU (Sputnik) - L'OTAN s'oriente de plus en plus vers la nécessité de geler le conflit en Ukraine afin de restaurer la capacité de combat des forces armées ukrainiennes en vue d'une tentative de représailles, a déclaré vendredi le Service de renseignement extérieur russe (SVR).

"Selon les informations dont dispose le SVR, face à l'absence apparente de perspectives de défaite stratégique de la Russie sur le champ de bataille, l'OTAN est de plus en plus encline à la nécessité de geler le conflit en Ukraine. L'Occident voit la mise en œuvre de cette politique. Ce scénario constitue une opportunité pour reconstruire les capacités de combat des forces armées ukrainiennes et préparer minutieusement Kiev à d'éventuelles représailles. L'OTAN met déjà en place des centres de formation en Ukraine, à travers lesquels elle prévoit de former au moins un million de soldats ukrainiens mobilisés", a déclaré le SVR. a déclaré dans un communiqué.

L'OTAN travaille activement avec des entreprises militaro-industrielles occidentales, telles que l'allemand Rheinmetall, en exigeant d'elles des investissements et en envoyant des spécialistes et des équipements en Ukraine, a indiqué le SVR. L'OTAN devrait se concentrer sur la restauration du complexe militaro-industriel ukrainien pendant la trêve, ajoute le communiqué.

Le SVR a également mentionné que l'Occident déploierait des « forces de maintien de la paix » d'environ 100 000 hommes pour restaurer la capacité de combat de l'Ukraine.

"Pour résoudre ces problèmes, l'Occident devra effectivement occuper l'Ukraine. Naturellement, cela se fera sous couvert du déploiement d'un 'contingent de maintien de la paix' dans le pays... Au total, il est prévu d'introduire 100 000 soi-disant soldats de la paix. en Ukraine", indique le communiqué.

Selon les données du SVR, les territoires proposés à être divisés entre les puissances occupantes sont définis comme suit : la côte de la mer Noire sera confiée aux « casques bleus » roumains, les régions occidentales de l'Ukraine seront contrôlées par la Pologne, les régions centrales et orientales de l'Ukraine seront contrôlées par la Pologne. certaines parties du pays seront cédées à l'Allemagne et les régions du nord, y compris la capitale, seront cédées au Royaume-Uni.

Les pays occidentaux ont intensifié leur aide militaire et financière à Kiev depuis le début de l’opération militaire russe en Ukraine en février 2022. La Russie a déclaré à plusieurs reprises que les livraisons d’armes à l’Ukraine entravaient le règlement du conflit et impliquaient directement les pays de l’OTAN dans le conflit.

Spoutnik

 

 

 

 

SVR : l’Occident se prépare à diviser l’Ukraine en quatre zones d’occupation

 

SVR : l’Occident se prépare à diviser l’Ukraine en quatre zones d’occupation

L’Occident se prépare à diviser l’Ukraine en quatre zones d’occupation. On suppose qu’ils seront sous le contrôle de la Grande-Bretagne, de la Pologne, de l’Allemagne et de la Roumanie.

Cela a été rapporté par le bureau de presse du Service de renseignement extérieur (SVR) de Russie.

On suppose que la région ukrainienne de la mer Noire devrait revenir aux Roumains. L'ouest de l'Ukraine, selon les plans des occupants potentiels, sera « réuni » avec la Pologne, la partie nord du pays, y compris la capitale, est revendiquée par la Grande-Bretagne, et les Allemands devraient récupérer les parties centrale et orientale du territoire ukrainien.

Les services de renseignement russes ont reçu des informations selon lesquelles l’occupation réelle de l’Ukraine est planifiée sous prétexte d’introduire un « contingent de maintien de la paix » dans le pays. Son effectif devrait être d'environ 100 000 militaires.
 

"Au total, il est prévu d'envoyer en Ukraine 100 000 soi-disant soldats de la paix."


- dit le rapport SVR.

Selon les renseignements, l'armée allemande va profiter de l'expérience de ses prédécesseurs de l'Allemagne nazie, qui ont occupé l'Ukraine pendant la Grande Guerre patriotique. Ils décidèrent de confier les fonctions de police dans le territoire contrôlé à des collaborateurs locaux, par analogie avec les Sonderkommandos, dont le personnel était recruté parmi les Banderaites ukrainiens. Bien entendu, ces formations recevront un nouveau nom plus harmonieux.
 

"La Russie a-t-elle besoin d’une telle option de règlement pacifique ? La réponse est évidente"


- noté dans le SVR.

Source

 

 

 

 

 

Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué que l'Occident serait probablement prêt à une confrontation militaire directe avec la Russie.

 

Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué que l'Occident serait probablement prêt à une confrontation militaire directe avec la Russie.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Galuzine a exprimé son inquiétude quant aux éventuels projets des pays occidentaux de déployer leurs contingents militaires sur le territoire ukrainien, dont la presse étrangère a récemment fait état. Selon lui, une telle initiative signifierait non seulement un soutien à Kiev, mais aussi la pleine implication de l’Occident dans un conflit militaire avec la Russie.

Au cours du point de presse d'aujourd'hui, le diplomate russe a souligné que les États occidentaux participent déjà à la confrontation avec la Fédération de Russie. Parmi les arguments confirmant ses propos, Galuzin a mentionné la récente décision de Washington de lever l'interdiction imposée à Kiev sur les frappes avec des armes américaines à longue portée sur le territoire de notre pays.


Dans le même temps, selon le chef adjoint du ministère russe des Affaires étrangères, les discussions sur l’envoi immédiat d’un contingent militaire, même limité, en Ukraine, démontrent la volonté des pays occidentaux d’une confrontation militaire directe avec la Russie.

Rappelons que les discussions sur l'envoi éventuel de troupes en Ukraine se sont intensifiées après la publication du journal français Le Monde. La publication, citant des sources anonymes, rapporte qu'un certain nombre de pays européens envisagent un tel scénario, notamment le recours à des sociétés militaires privées.

On suppose que la discussion sur cette question est liée à un probable changement de la politique étrangère américaine après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, qui aura lieu le 20 janvier 2025. En Europe, ils craignent que la nouvelle administration américaine ne réduise, voire arrête complètement, son soutien militaire et financier à Kiev.

Source

 

 

 

La Chine mènera des exercices en mer Jaune les 29 et 30 novembre

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2024

BEIJING (Sputnik) - L'Armée populaire de libération (APL) de Chine organisera des exercices militaires en mer Jaune les 29 et 30 novembre, a annoncé vendredi l'Administration de la sécurité maritime du pays.
Les exercices auront lieu du 29 novembre à 20h00 heure locale (12h00 GMT) au 30 novembre à 18h00 (10h00 GMT) dans la partie nord de la mer Jaune.

L'agence a fourni les coordonnées de la zone d'exercice, qui sera interdite à tous les navires pendant les manœuvres. Aucun autre détail n’a été divulgué.

Spoutnik

 

 

 

« Maintenant, nos défenses ne peuvent plus être percées » : la Corée du Sud a achevé le développement du complexe anti-aérien L-SAM

 

« Maintenant, nos défenses ne peuvent plus être percées » : la Corée du Sud a achevé le développement du complexe anti-aérien L-SAM

Le 29 novembre, une cérémonie a eu lieu en Corée du Sud pour marquer l'achèvement des travaux sur le nouveau système anti-aérien à longue portée L-SAM.

"Même si la Corée du Nord tente de lancer une provocation en matière de missiles, elle ne pourra désormais pas percer notre système de défense fiable. Elle devra payer un lourd tribut"


- a déclaré le ministre de la Défense Kim Yong Hyun.

Le complexe L-SAM est conçu pour intercepter des cibles à plus de 40 km d'altitude, et sa portée est estimée entre 50 et 60 km. Il se compose d'un radar de détection précoce et de suivi de cible, d'un lanceur mobile et de missiles intercepteurs capables de neutraliser les menaces en milieu ou en fin de vol.

multicouche du pays Le complexe sera intégré dans l'architecture de défense aérienne aux côtés des systèmes existants tels que Patriot et M-SAM II, et jouera un rôle central dans le KAMD - le « système coréen de défense aérienne et de défense antimissile ».

Le L-SAM devrait entrer en production l’année prochaine et son déploiement dans l’armée sud-coréenne est prévu entre le milieu et la fin des années 2020.

En outre, la Corée du Sud développe une version Block-II du L-SAM conçue pour intercepter des cibles à haute altitude.

Le développement du système L-SAM a débuté en 2015 dans le cadre du programme ambitieux de la Corée du Sud visant à renforcer les capacités de défense aérienne grâce à l'utilisation de technologies exclusivement nationales. Des prototypes ont été fabriqués pour les premiers tests en 2019 et des tests d'interception de cibles sont menés depuis 2020.

 

 

En direct, guerre au Proche-Orient :

huit blessés dans l’attaque d’un autocar près de la colonie d’Ariel, en Cisjordanie

 

Huit personnes ont été blessées, dont quatre par balles, vendredi, dans l’attaque d’un autocar en Cisjordanie, rapportent les secouristes de Magen David Adom (MDA). Trois sont, selon eux, dans un état grave.

 

12:21

Huit blessés dans l’attaque d’un autocar près de la colonie d’Ariel, en Cisjordanie

Huit personnes ont été blessées, dont quatre par balles, vendredi, dans l’attaque d’un autocar près de la colonie israélienne d’Ariel, en Cisjordanie, rapportent les secouristes de Magen David Adom (MDA). Trois sont, selon eux, dans un état grave. D’après l’armée israélienne, l’auteur des tirs a été « neutralisé ».

 

Note ; c'est comme ça, chaque fois qu'il a un semblant trêve, les arabes commettent un attentat. Cette trêve ne durera pas longtemps

 

 

09:55

L’armée israélienne fixe une limite géographique au retour des déplacés dans le sud du Liban

L’armée israélienne a interdit vendredi aux habitants des villages situés dans une bande d’une dizaine de kilomètres de large au nord de la « ligne bleue », qui sépare l’Etat hébreu du Liban, de rentrer chez eux.

« Jusqu’à nouvel ordre, il vous est interdit de vous déplacer au sud des villages suivants et de leurs environs : Chebaa, Al-Habbariyeh, Marjeyoun, Arnoun, Yahmar, Al-Qantara, Shaqra, Baraashit, Yater, Al-Mansouri », écrit Avichay Adraee, porte-parole arabophone de l’armée, sur X.

« Quiconque se déplace au sud de cette ligne s’expose à un danger », ajoute-t-il. L’accord de cessez-le-feu entré en vigueur mercredi laisse

DIRECT

 

 

 

 

L’Iran ne cherche pas la guerre avec Israël mais est prêt à la faire – Ministre des Affaires étrangères

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2024

MOSCOU (Sputnik) - L'Iran ne cherche pas une confrontation avec Israël, mais est prêt à une guerre à grande échelle si elle se déclenche dans la région, a déclaré le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi.

L'Iran n'a pas l'intention d'intensifier les tensions régionales, mais il est prêt même à une guerre à grande échelle au cas où Israël la déclencherait, a déclaré Araghchi aux journalistes à Lisbonne mercredi, a rapporté un journal portugais.

Le ministre iranien a également rejeté les allégations selon lesquelles le mouvement chiite libanais Hezbollah aurait été affaibli après des combats prolongés avec Israël. La capacité du Hezbollah à se réorganiser et à résister aux forces israéliennes dans le sud du Liban est la principale raison pour laquelle Israël a accepté le cessez-le-feu, a déclaré Araghchi.

Mardi soir, le cabinet de sécurité israélien a approuvé l'accord de cessez-le-feu avec le Liban à la majorité absolue des voix. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a souligné la nécessité d'un cessez-le-feu et a déclaré qu'Israël réagirait à toute reprise éventuelle des hostilités.

Le président américain Joe Biden a annoncé mardi que les gouvernements israélien et libanais avaient accepté la proposition de cessez-le-feu de Washington , qui comprend le retrait des forces israéliennes du Liban dans un délai de 60 jours. Selon ce plan, l'armée libanaise prendra le contrôle du sud du Liban, tandis que le Hezbollah déplacera ses forces au nord du fleuve Litani.

Un comité international, dirigé par les États-Unis, sera mis en place pour contrôler le respect par les deux parties des termes de l'accord de cessez-le-feu. Washington a également accepté de fournir à Israël des garanties comprenant un soutien à l’action militaire israélienne contre les menaces imminentes du Liban, ainsi qu’une action visant à empêcher un éventuel rétablissement de la présence militaire du Hezbollah dans le sud du Liban.

Spoutnik

 
 

 

Iran : avant une réunion avec les Européens, Téhéran n'écarte pas de se doter de l'arme nucléaire

 

Vers une guerre de religion, infos du 29 novembre 2024

La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux États-Unis, sont à l’origine d’un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l’Iran sur le nucléaire.

Si les Européens réimposent des sanctions, l'Iran pourrait se doter de l'arme nucléaire, met en garde son chef de la diplomatie Abbas Araghchi dans un entretien au Guardian , avant des pourparlers avec trois pays critiques sur ce dossier. La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, associés aux États-Unis, sont à l'origine d'un texte condamnant la semaine dernière le manque de coopération supposé de l'Iran sur le nucléaire, lors d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

En riposte, Téhéran a annoncé mettre en service de «nouvelles centrifugeuses avancées» pour son programme nucléaire. Les autorités n'ont toutefois jamais fermé la porte à des discussions. Téhéran défend un droit au nucléaire à des fins civiles mais nie vouloir se doter d'une bombe atomique, ce que soupçonnent les pays occidentaux. 

L'ayatollah Ali Khamenei, au pouvoir depuis 1989 et ultime décideur dans les dossiers sensibles du pays, a interdit dans un décret religieux (fatwa) tout recours à l'arme atomique. «Il y a un débat en ce moment en Iran sur le fait que c'était peut-être une mauvaise politique», a déclaré Abbas Araghchi dans un entretien publié jeudi par le quotidien britannique The Guardian.

Si les Européens réimposent des sanctions contre Téhéran, «ils auront alors convaincu tout le monde en Iran que, oui, cette doctrine est erronée», insiste-t-il. Selon l'agence de presse officielle Irna, le représentant iranien Majid Takht-Ravanchi doit rencontrer jeudi à Genève le numéro deux de la diplomatie européenne, Enrique Mora, à la veille des pourparlers sur le nucléaire avec la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni.

«Quatre à six mois» 

Les discussions se dérouleront à quelques semaines du retour en janvier à la Maison-Blanche de Donald Trump, artisan d'une politique dite de «pression maximale» à l'encontre de l'Iran durant son premier mandat (2017-2021). Pour Téhéran, le but de ces pourparlers est d'éviter une situation «doublement désastreuse» qui placerait l'Iran de nouveau face à la «pression maximale» des États-Unis avec en plus celle des Européens, indique à l'AFP le politologue Mostafa Shirmohammadi.

Pour l'heure, «l'Iran n'a pas les Européens de son côté, en raison d'une série d'allégations dont un soutien militaire à la Russie dans sa guerre contre l'Ukraine», souligne Mostafa Shirmohammadi depuis Téhéran. L'Iran, qui rejette catégoriquement ces accusations, espère ainsi arrondir les angles avec les Européens. Tout en faisant preuve de fermeté. Le ministre iranien des Affaires étrangères a évoqué mardi la mise en service de «plusieurs milliers de centrifugeuses perfectionnées». Le chef de la diplomatie iranienne, qui a supervisé en 2015 les négociations sur le nucléaire entre son pays et les grandes puissances, n'a pas précisé le calendrier. Selon le porte-parole de l'Organisation atomique iranienne, Behrouz Kamalvandi, le processus complet peut prendre de «quatre à six mois».

Accord moribond 

Les centrifugeuses sont des machines qui enrichissent l'uranium transformé en gaz, en le faisant tourner à très grande vitesse, permettant l'augmentation de la proportion de matière fissile isotope (U-235) pour différentes utilisations. En 2015, l'Iran avait conclu à Vienne un accord avec la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Chine, la Russie et les États-Unis pour encadrer son programme nucléaire. Le texte prévoyait en contrepartie un allègement des sanctions internationales contre Téhéran.

Mais en 2018, Donald Trump a retiré unilatéralement son pays de l'accord - auquel se conformait Téhéran, selon l'AIEA - et rétabli de lourdes sanctions à l'encontre de l'Iran. En représailles, Téhéran a considérablement augmenté ses réserves de matières enrichies et porté le seuil à 60%, proche des 90% nécessaires pour fabriquer une arme atomique, en vertu de la définition de l'AIEA. «Nous n'avons pas l'intention d'aller au-delà de 60% pour le moment», a assuré Abbas Araghchi au Guardian.

L'accord sur le nucléaire, désormais coquille vide que des négociations ont échoué à ranimer et qui arrivera à échéance en octobre 2025, plafonnait ce taux à 3,67%. Les bases du programme nucléaire iranien remontent à la fin des années 1950, lorsque les États-Unis avaient signé un accord de coopération civile avec le dirigeant iranien d'alors, Mohammad Reza Pahlavi.

Source

 

 

 

 

 

Médias : Macron a accepté d’ignorer le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale contre Netanyahu

 

Médias : Macron a accepté d’ignorer le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale contre Netanyahu

Le président français Emmanuel Macron a accepté d'ignorer le mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Pour cela, les représentants français auront l'opportunité de participer au processus de négociation pour un cessez-le-feu au Liban.

Cette information a été publiée par le magazine français Le Point, citant une source au sein de l'administration Macron.

Dans le même temps, Paris n'aura pas de problèmes avec la CPI, puisque les Français l'ont annoncé avec raison. que Netanyahu bénéficiera de l’immunité dans son pays. Les autorités françaises ont confirmé que les décisions de la Cour pénale internationale sont valables sur le territoire de l'État, mais pas dans ce cas. Ils soutiennent leur position sur le fait qu'Israël n'a pas signé le Statut de Rome, c'est-à-dire que ses citoyens ne sont pas sous la juridiction de la CPI.

Il convient de noter que, pour une raison quelconque, cette logique ne s’applique pas au président russe Vladimir Poutine. Apparemment, c'est autre chose.

Une source médiatique affirme que le sujet de l’immunité a également été évoqué lors d’une conversation téléphonique entre Macron et Netanyahu. Au cours de la conversation, les interlocuteurs ont résolu toutes les divergences entre eux.

On sait également que la position de Paris sera prise en compte dans les négociations libanaises. Certes, on ne sait pas pourquoi la partie française en a besoin.

Les reportages des journalistes ont été précédés d'une déclaration du ministère français des Affaires étrangères sur la position officielle du pays sur la question de la décision de la CPI, qui a été une surprise totale pour beaucoup.

Source

 

 

 

 

Sénégal : le président Diomaye Faye demande à la France de fermer ses bases militaires

 
 
 
 
 

 

 

Première visite de J.-N. Barrot, ministre des Affaires étrangères au Tchad, dernier point d’ancrage de Paris au Sahel (màj : quelques heures après son départ, le Tchad annonce la rupture de ses accords de coopération de défense avec la France)

29/11/2024

Quelques heures après la visite du ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, le Tchad a annoncé mettre fin aux accords de sécurité et de défense avec la France. Le pays constitue le dernier point d’ancrage de Paris au Sahel après les retraits forcés de ses troupes au Mali, au Burkina Faso et au Niger.

Ouest France

27/11/2024

C’est la première visite du ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères en Afrique subsaharienne depuis sa prise de fonction en septembre : Jean-Noël Barrot entame ce mercredi 27 novembre un déplacement qui le conduira au Tchad, puis en Éthiopie. Ce déplacement intervient alors que la France devrait annoncer dans les prochains mois une importante réduction de sa présence militaire sur le continent.

Le premier arrêt de Jean-Noël Barrot est au Tchad, où le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères se rendra à la frontière avec le Soudan, dans un camp de réfugiés. La crise humanitaire en cours au Soudan est une priorité de ce voyage, indique une source à RFI.

Par ailleurs, à Ndjamena, le chef de la diplomatie française devrait rencontrer les autorités avec lesquelles il pourrait notamment évoquer la question de l’avenir des bases militaires françaises dans le pays.

RFI

 

 

Dreux (28) : un élève porte un maillot en référence au djihadiste Ben Laden, un autre justifie l’attentat ayant visé Samuel Paty… Colère des professeurs face au laxisme des sanctions et inquiétude sur le climat au lycée Branly

(…) « Notre débrayage d’une heure est organisé suite aux décisions prises lors des deux derniers conseils de disciplines, qui avaient pour objet de rendre des décisions sur deux dossiers où il est question d’apologie du terrorisme. Le premier impliquait un élève qui, le 11 septembre, s’est présenté avec un maillot de foot floqué du message « Neb Nedal », signifiant potentiellement Ben Laden à l’envers, et situé au-dessus du chiffre 11, faisant écho aux attentats du 11 septembre 2001. Le deuxième conseil de discipline concernait un lycéen qui, lors d’un cours de français sur la liberté d’expression, en hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard, avait semble-t-il justifié son assassinat, le qualifiant d’« acte de charité ».

Les deux conseils de discipline ont prononcé des sanctions d’exclusion des deux élèves, mais avec sursis. Ils restent au sein du lycée « mais ont changé de classe », précisent des enseignants. À leurs yeux, « la sanction n’est pas à la hauteur de la gravité des faits. Ce sursis n’est pas compris par la communauté éducative car rien n’a vraiment changé pour ces deux élèves. Ils ont certes changé de classe mais restent au contact des profs et des élèves. » Des lycéens, interrogés hier, expliquent « se désolidariser de tels comportements. Nous, on est musulmans mais on ne justifie en rien ces actes odieux. »

« Depuis l’ouverture du lycée de Hanches, la carte scolaire a changé et Branly est devenu un lycée de quartier. Il n’y a plus de mixité. » ajoute un professeur.

(…) les manifestants espèrent être « entendus, soutenus », que « les problèmes ne soient pas mis sous le tapis ». Un enseignant affirme : « Enseigner certaines matières comme la philosophie ou même les maths devient de plus en plus complexe. On doit toujours se justifier et faire très attention à ce que l’on peut dire. »

L’Écho Républicain

 

 

 

Escale d’un porte-avions des États-Unis à Marseille : deux militaires américains agressés et volés en plein centre par plusieurs individus, un migrant algérien interpellé

Après avoir passé plusieurs semaines en Europe du Nord, l’USS Harry S. Truman évolue désormais en Méditerranée et fait actuellement escale à Marseille, un port français que le bâtiment américain connait bien. (…)

Mer et Marine


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Nîmes : Six camions réfrigérés de la Banque alimentaire incendiés

 

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