L'utilisation par l'Ukraine d'armes à longue portée pour frapper le territoire russe ne fait que retarder d'éventuels pourparlers de paix, a souligné Medvedev.
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Les Infos du 23 novembre 2024
En direct, guerre en Ukraine :
les soldats nord-coréens stationnés en Russie combattront bientôt les forces ukrainiennes, selon le Pentagone
Selon Kiev, Moscou a rassemblé quelque 50 000 soldats, dont plusieurs milliers de Nord-Coréens, pour reprendre le contrôle des zones de la région de Koursk occupées par l’armée ukrainienne. Par ailleurs, après le tir sur Dnipro, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie continuerait à mener des « essais » du missile Orechnik « en situation de combat ».
La Pologne estime que le tir d’un missile balistique par la Russie sur Dnipro est « un signe de désespoir » russe
Dans un entretien accordé à la version ukrainienne de Voice of America et paru vendredi, le ministre des affaires étrangères polonais, Radoslaw Sikorski, considère que le tir du missile balistique russe à moyenne portée (IRBM), dont Vladimir Poutine affirme qu’il s’agit d’une nouvelle arme baptisée « Orechnik », sur Dnipro, jeudi, « serait une escalade [si l’emploi d’un nouveau missile balistique est confirmé] et un signal, et d’autre part, ce serait un signe de désespoir, car Poutine ne peut pas gagner cette guerre ».
« Nous voyons des signes indiquant que l’économie russe est sous tension, nous avons des rapports faisant état de désertions de soldats russes et, bien sûr, inviter des mercenaires de Corée du Nord n’est pas une démonstration de force », a poursuivi le chef de la diplomatie polonaise, alors que le secrétaire d’Etat à la défense américain, Lloyd Austin, a affirmé que les quelque 10 000 soldats de Pyongyang stationnés dans la région russe de Koursk, frontalière à l’Ukraine, selon une estimation du Pentagone, allaient « bientôt » combattre les forces ukrainiennes.
Samedi, l’Estonie a également livré son interprétation de la frappe sur Dnipro. « C’est un système d’arme complètement différent, qui n’a jamais été utilisé auparavant. Il reste à voir si quelque chose de similaire suivra, mais il est plus probable qu’il s’agisse d’envoyer un message politique, car les missiles balistiques intercontinentaux sont nettement plus chers que les autres systèmes d’armes utilisés quotidiennement », a déclaré Gert Kaju, chef des capacités de défense au ministère de la défense estonien, cité par la Radio-télévision publique estonienne.
Selon le Pentagone, les soldats nord-coréens stationnés en Russie vont combattre prochainement les forces ukrainiennes
« Sur la base de ce à quoi [les soldats nord-coréens] ont été formés, la manière avec laquelle ils ont été intégrés aux formations russes, je m’attends pleinement à les voir engagés au combat bientôt », a déclaré, vendredi, le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, à des journalistes aux îles Fidji, où il effectue une visite.
Le chef du Pentagone a dit n’avoir « pas vu d’informations significatives » faisant état de soldats nord-coréens « activement engagés au combat » à ce jour.
Des responsables au sein du gouvernement sud-coréen et un organisme de recherche ont affirmé cette semaine que Moscou fournissait du carburant, des missiles antiaériens et une aide économique à Pyongyang en échange de troupes que Séoul et Washington accusent la Corée du Nord de lui envoyer.
Kiev a averti, de son côté, que la Russie avait rassemblé quelque 50 000 soldats, dont plusieurs milliers de soldats nord-coréens, pour reprendre le contrôle des zones de la région de Koursk occupées par l’armée ukrainienne qui y a lancé une offensive au début d’août.
Note : ils disent un peu ce qu'ils veulent sur la présence prétendue des Nord-Coréens sur le front, d'après l'Ukraine ça ferait bien un mois qu'ils combattent ! ! les chiffres donnés du nombre de soldats coréens changent aussi chaque semaine ! Difficile de démêlé le vrai du faux, surtout que la Russie ne dit rien sur ces soldats coréens
L’essentiel du vendredi 22 novembre en fin de soirée
- Moscou continuera à mener des « essais » du missile Orechnik « en situation de combat »
Au lendemain du tir d’un missile balistique à portée intermédiaire sur Dnipro, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie continuerait à tester ce nouveau missile, baptisé Orechnik, au combat et qu’elle disposait d’un stock prêt à l’emploi.
- Le Kremlin se dit certain que Washington a « compris » le message véhiculé par Vladimir Poutine lors de son allocution de jeudi
Le Kremlin s’est dit vendredi certain que Washington avait « compris » le message de Vladimir Poutine dans son allocution de la veille, dans laquelle il revendiquait le tir d’un missile d’un nouveau type contre l’Ukraine et menaçait l’Occident. « Le discours d’hier [jeudi] était très, très exhaustif, clair, logique », a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
- « Nous avons pratiquement fait échouer » la campagne militaire ukrainienne pour 2025, estime le ministre de la défense russe
Le ministre de la défense russe, Andreï Belooussov, a affirmé que la Russie avait fait échouer la campagne militaire ukrainienne pour 2025, au lendemain du discours de Vladimir Poutine, qui qualifiait de « [désormais] mondial » le conflit en Ukraine.
- L’armée russe revendique la prise de plusieurs localités de l’oblast de Donetsk, notamment un village près de Kourakhove
L’armée russe a affirmé vendredi s’être emparée d’une nouvelle localité près de Kourakhove, dans l’est de l’Ukraine, où les forces du Kremlin progressent ces derniers jours à grande vitesse.
- L’armée ukrainienne occupe encore « environ 800 kilomètres carrés » dans l’oblast russe de Koursk, mais se trouve en difficulté près de Kourakhove
Une source au sein de l’état-major ukrainien a déclaré à des journalistes, dont ceux de l’Agence France-Presse, que les forces de Kiev n’avaient pas l’intention, pour le moment, de se retirer de l’oblast russe de Koursk. « Nous resterons [dans l’oblast de] Koursk aussi longtemps que cela aura un intérêt », a déclaré cette source. « Le territoire maximal que nous avons occupé [dans l’oblast] était de 1 376 km2. Aujourd’hui, il est d’environ 800 km2 », a-t-elle précisé.
- Viktor Orban appelle à prendre au sérieux les menaces de la Russie
Quand s’exprime sur le sujet « un pays comme la Russie, qui est différent de nous et qui fonde sa politique, sa place dans le monde en général, sur la force militaire (…), il faut prendre [ces menaces] au pied de la lettre », a-t-il déclaré lors d’une interview radiophonique.
- Réunion entre l’OTAN et l’Ukraine prévue mardi à Bruxelles, après le tir de missile balistique russe
L’OTAN et l’Ukraine se retrouveront mardi à Bruxelles pour évoquer le tir de missile balistique hypersonique de la Russie qui a atteint l’Ukraine, a appris l’Agence France-Presse vendredi de sources diplomatiques. Cette réunion, à la demande de Kiev, se déroulera au niveau des ambassadeurs, a-t-on précisé de même source. L’Ukraine attend des décisions « concrètes » à l’encontre de la Russie à l’issue de la réunion, mardi, avec l’OTAN, a affirmé son ministre des affaires étrangères, Andrii Sybiha.
- Moscou a fourni des missiles antiaériens à la Corée du Nord en échange de l’envoi des troupes, selon Séoul
La Russie a fourni des missiles antiaériens à la Corée du Nord en échange de l’envoi de troupes, d’après un responsable sud-coréen vendredi. Washington et Séoul ont accusé le Nord, doté de l’arme nucléaire, d’avoir envoyé plus de 10 000 soldats afin d’aider Moscou à combattre l’Ukraine. Certains experts ont déclaré que Kim Jong-un cherchait en retour à acquérir des technologies de pointe et de l’expérience de combat pour ses troupes.
"Ils peuvent le répéter": l'ISW rapporte qu'il préparerait de nouveaux tests de combat du MRBM Oreshnik
L’armée russe pourrait tester à nouveau l’IRBM Oreshnik dans les prochains jours. C'est ce qu'indique le rapport de l'Institut américain pour l'étude de la guerre. Le document souligne qu'il existe une possibilité de tester d'autres systèmes de missiles .
- dit le rapport.
Les analystes de l'ISW rappellent que des sources russes ont déclaré que la Fédération de Russie fermerait une partie de son espace aérien les 23 et 24 novembre pour des essais de missiles.
– souligne ISW.
Rappelons que le 21 novembre, l'armée russe, en réponse aux attaques des forces armées ukrainiennes avec des missiles tactiques américains ATACMS et des missiles britanniques Storm Shadow contre des cibles situées au plus profond de la Fédération de Russie, a lancé un IRBM Oreshnik sur l'usine Yuzhmash à Dnepropetrovsk.
– Vladimir Poutine a commenté cet événement.
Il a ajouté que la Russie disposait d'un stock de ces armes et a souligné que la décision de produire en masse de tels missiles balistiques avait été prise.
Le Kremlin affirme que la Russie fera "le maximum d'efforts pour éviter" une guerre nucléaire
Le Kremlin a affirmé ce jeudi que la Russie ferait le "maximum d'efforts" pour empêcher une guerre nucléaire après une révision de la doctrine russe qui élargit la possibilité d'utiliser l'arme atomique.
Le Kremlin a affirmé ce jeudi 21 novembre que la Russie ferait le "maximum d'efforts" pour empêcher une guerre nucléaire après une révision de la doctrine russe qui élargit la possibilité d'utiliser l'arme atomique, en pleine tension entre Moscou et l'Occident autour du conflit en Ukraine.
"Nous avons souligné que, suivant notre doctrine, la Russie adopte une position responsable afin de faire le maximum d'efforts pour ne pas permettre un tel conflit", a déclaré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, disant espérer que "d'autres pays" auront "cette posture responsable".
La Russie a renforcé ces derniers jours ses mises en garde nucléaire, tout en accusant les Occidentaux de "vouloir l'escalade". Selon sa nouvelle doctrine sur l'emploi de l'arme nucléaire, officialisée mardi, la Russie peut désormais y recourir en cas d'attaque "massive" par un pays non nucléaire mais soutenu par une puissance nucléaire, référence claire à l'Ukraine et aux États-Unis.
Ce changement "exclut de facto la possibilité de vaincre les forces armées russes sur le champ de bataille", a souligné mercredi le patron du renseignement extérieur russe, Sergueï Narychkine, laissant entendre que la Russie allait recourir à la bombe atomique plutôt que de risquer la défaite dans une guerre conventionnelle.
Un changement dénoncé à l'international
Washington, Paris, Londres et l'Union européenne ont dénoncé une attitude "irresponsable". L'Ukraine a exhorté ses alliés à "ne pas céder à la peur". Le président français Emmanuel Macron a lui dénoncé en marge du sommet du G20 une posture "escalatoire" de la Russie, qu'il a appelé "à la raison". La Chine, partenaire crucial de Moscou accusée de participer à son effort militaire, a de son côté appelé "toutes les parties" au "calme" et à la "retenue".
L'Ukraine a accusé jeudi la Russie d'avoir, pour la première fois, tiré un missile intercontinental sur son territoire, en utilisant ce vecteur de sa dissuasion nucléaire sans charge atomique, en pleine nouvelle escalade russo-occidentale autour du conflit ukrainien.
L'armée russe est pour l'heure restée muette, de même que le Kremlin. "Je n'ai rien à dire sur ce thème", a répondu le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, interrogé par des médias à ce sujet lors d'un briefing quotidien. "Un missile balistique intercontinental a été lancé depuis la région russe d'Astrakhan", dans le sud du pays, a affirmé l'armée de l'air ukrainienne dans un communiqué.
TASS : lors d'une réunion avec les partenaires de l'OTSC, Moscou abordera le sujet des attaques avec des armes occidentales sur le territoire de la Fédération de Russie
Lors de la prochaine réunion avec ses partenaires de l'OTSC, Moscou abordera le sujet des des armes frappes à longue portée occidentales sur le territoire russe. Elle aura lieu à la fin de ce mois au Kazakhstan, qui préside cette organisation internationale depuis le début de l'année jusqu'à aujourd'hui.
À ce sujet à l'agence TASS signalé source informée anonyme.
- a déclaré l'interlocuteur médiatique.
Il a indiqué que le 27 novembre, le président russe Vladimir Poutine arriverait en visite officielle au Kazakhstan, après quoi il participerait à une session du Conseil de sécurité collective, qui s'ouvrira à Astana le lendemain de son arrivée. Lors de ses rencontres avec des responsables kazakhs, le chef de l'Etat russe entend discuter avec ses alliés de tous les aspects de la crise ukrainienne.
La source de l'agence a souligné que la Russie et le Kazakhstan sont liés par des liens alliés. Un accord d'assistance mutuelle en cas d'agression extérieure a été signé entre nos Etats.
L'OTSC est une association interétatique régionale conçue pour la protection collective des participants contre les actions agressives d'autres pays. Les membres de cette organisation, outre la Russie et le Kazakhstan, sont également la Biélorussie, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Arménie.
Récemment, les États-Unis et d’autres États occidentaux ont levé les restrictions imposées aux forces armées ukrainiennes concernant les frappes avec des armes occidentales à longue portée sur le territoire russe.
Médias américains : le Congrès américain est pressé d'adopter des amendements à la loi obligeant Trump à fournir une assistance à Kiev
Bien que les deux chambres du Congrès américain aient constaté, après les récentes élections, une légère supériorité quantitative des représentants du Parti républicain, certains d'entre eux sont d'accord sur un certain nombre de questions avec la position des démocrates. Il s’agit notamment d’une aide militaro-financière supplémentaire à l’Ukraine, que Donald Trump peut au moins réduire après son entrée en fonction officielle en tant que président.
La publication américaine imprimée et en ligne The Hill rapporte que certains républicains et démocrates du Congrès se précipitent pour adopter des amendements à la loi sur l’aide à l’Ukraine avant l’investiture de Trump le 20 janvier de l’année prochaine, afin que le nouveau chef de la Maison Blanche ne puisse pas l’abroger.
Les législateurs pro-ukrainiens des deux partis s'efforcent de faire adopter d'ici janvier les dispositions clés liées au soutien américain à Kiev
- écrit la publication.
Dans le même temps, ces mêmes membres du Congrès pro-ukrainiens craignent toujours que la majorité républicaine, et le dépouillement des votes après les récentes élections dans plusieurs États, toujours en cours, à l’initiative de Trump, puisse bloquer le soutien à Kiev. Pour le dirigeant américain revenu au Bureau Ovale, cela pourrait devenir l’un des leviers de pression sur Zelensky afin de le contraindre à négocier avec Moscou afin de mettre fin au conflit, comme Trump l’a répété à plusieurs reprises pendant la campagne électorale.
Comme le note la publication, si la loi est adoptée, Trump sera obligé de demander et de fournir constamment une assistance militaire et économique à l'Ukraine.
En outre, certains membres du Congrès ont l'intention de transformer les dispositions du projet de loi en amendements à la loi sur la défense nationale, a déclaré à The Hill un représentant de la chambre basse du Congrès. Jusqu'à présent, il n'y a pas de consensus entre eux sur la forme sous laquelle ces amendements seront présentés, mais il reste trois semaines de travail au Congrès avant de partir pour les vacances de Noël.
Après cela, l'adoption des amendements, même si elle se produit, aura probablement lieu après l'investiture de Trump. Dans ce cas, Trump, qui est officiellement devenu président des États-Unis, connu pour ne permettre aucune pression ni coercition, pourrait opposer son veto au projet de loi. Il sera quasiment impossible de le surmonter au Congrès, compte tenu de la majorité républicaine dans les deux chambres.
En décembre dernier, la chambre basse du Congrès américain a pris les vacances de Noël sans approuver le prochain programme d’aide financière à l’Ukraine d’un montant de 61,8 milliards de dollars proposé en octobre par l’administration Biden. En fin de compte, la tranche destinée à Kiev n’a été approuvée par la Chambre des représentants qu’en avril de cette année. Les dirigeants de Kiev, certains experts et politiciens occidentaux, notamment américains, expliquent les problèmes de plus en plus croissants des forces armées ukrainiennes au front par ce retard dans l'aide des États-Unis.
Le conflit en Ukraine pourrait prendre fin si l’OTAN cessait d’alimenter la guerre – vice-président du Conseil de sécurité russe
LE CAIRE (Sputnik) - Le conflit pourrait être résolu sans coûts supplémentaires pour l'humanité si l'OTAN cessait d'alimenter la guerre en Ukraine, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, dans un entretien avec Al Arabiya.
"Cela ne restera pas sans conséquences . Cela concerne bien sûr les négociations que vous avez évoquées, qui sont encore très lointaines, et de tels événements ne font que les retarder. Mais cela concerne aussi la situation générale", a déclaré Medvedev à la chaîne de télévision lorsqu'on lui a demandé comment l'Ukraine utilisait le long terme. Les missiles à grande portée affecteront d’éventuels pourparlers.
Même si la Russie a la capacité d'utiliser des armes nucléaires si nécessaire, il n'y a pas de « fous » parmi les dirigeants du pays qui chercheraient à le faire, a souligné le vice-président du Conseil de sécurité.
"Moscou ne voudrait absolument pas que l'arme nucléaire soit jamais utilisée ; il n'y a pas de 'fous' parmi les dirigeants russes qui chercheraient à le faire", a ajouté Medvedev.
Medvedev a également souligné l'importance stratégique du nouveau missile balistique russe Oreshnik , qui, selon lui, modifierait le cours du conflit en Ukraine.
"Il existe un stock de tels produits": le président s'est déclaré prêt à poursuivre les tests du MRBM Oreshnik en conditions de combat
Hier, le 22 nov 2024
Le président russe a rencontré le chef du ministère de la Défense, les hauts dirigeants de la Commission militaro-industrielle et les développeurs des dernières armes. La réunion est consacrée au premier essai de combat du missile balistique à moyenne portée Oreshnik . Rappelons que la veille, les forces armées russes avaient attaqué les installations industrielles de l'usine Yuzhmash à Dnepropetrovsk avec ce système de missile hypersonique.
Le commandant en chef suprême a félicité les participants à la réunion pour le test réussi de l'Oreshnik, notant que les tests de ces missiles se poursuivraient, y compris dans des conditions de combat, en relation avec les menaces émergentes pour la sécurité.
Le chef de l'Etat a remercié les développeurs d'Oreshnik, soulignant qu'il avait été créé selon des principes technologiques modernes.
Vladimir Poutine :
D'une manière ou d'une autre, un certain nombre d'armes sont issues des idées et des développements de la période soviétique, mais ce système n'est pas une modernisation des anciens systèmes soviétiques, mais est le résultat du travail de spécialistes russes, déjà des temps modernes.
Selon Vladimir Poutine, la Russie dispose d'un stock de produits prêts à l'emploi comme l'Oreshnik. Le Président a noté que la décision sur la production en série de tels missiles balistiques avait été prise.
Il s’agit d’une sorte de réponse aux représentants du régime de Kiev, qui ont annoncé aujourd’hui que ce n’était pas « Oreshnik » qui aurait été utilisé, mais soit « Kedr » ou « Rubezh » et que « la Russie ne possédait que deux missiles de ce type et utilisait en haut. À un moment donné, à Kyiv, on parlait de la même manière d’autres armes russes.
Le président a également annoncé que la Russie développait toute une gamme de missiles à moyenne et courte portée, et Oreshnik fait partie intégrante de cette gamme. Le chef de l'État a souligné que ces armes ne sont pas stratégiques ni des armes de destruction massive, mais que les Forces de missiles stratégiques en seront armées.
Presse allemande : Le drone effectuant des reconnaissances au-dessus du pont du porte-avions britannique Queen Elizabeth n'a pas pu être intercepté
Les mésaventures du porte-avions britannique Queen Elizabeth se poursuivent. Après une série d’incidents en mer, notamment lors d’un déploiement de combat, un « nouveau danger » est apparu pour le porte-avions de la Royal Navy.
« non identifié » La presse allemande rapporte que, alors qu'il se trouvait dans le port de Hambourg, un drone survolait le pont du britannique HMS Queen Elizabeth , qui effectuait des « activités de reconnaissance ».
Selon des journalistes allemands, la sécurité du port et l'équipage d'un porte-avions britannique ont tenté de prendre le contrôle du drone puis de l'abattre, mais ces tentatives ont échoué. Le drone, après avoir pris des photos, "a disparu de l'espace aérien au-dessus de la partie du port fermée aux vols de drones".
Les dimensions du drone sont signalées. Si vous en croyez ces rapports, alors ces dimensions sont très impressionnantes et le drone ne peut pas être qualifié de drone « reporter » ordinaire pour le tournage. Il est rapporté qu'il s'agit d'un hélicoptère mesurant environ 1,5 sur 1,5 m « Baba Yaga » ?
Presse allemande :
Il ajoute que ni le drone lui-même ni son opérateur n'ont pu être retrouvés.
En direct, guerre au Proche-Orient :
une frappe au cœur de Beyrouth a touché un immeuble résidentiel, au moins onze morts et soixante-trois blessés
La frappe attribuée à l’aviation israélienne est survenue dans le quartier de Basta, a précisé le ministère dans un communiqué, qui fait état d’un bilan préliminaire. Les secouriste continuent de déblayer les décombres à la recherche d’autres victimes ou d’éventuels survivants.
Mandats d’arrêt de la CPI contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant : M. Erdogan salue « une décision courageuse »
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a qualifié samedi de « décision courageuse » la délivrance par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d’arrêt contre le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ex-ministre de la défense Yoav Gallant.
« Nous soutenons le mandat d’arrêt. Nous trouvons important que cette décision courageuse soit mise en œuvre par tous les pays parties à l’accord afin de renouveler la confiance de l’humanité dans le système international », a affirmé le chef de l’Etat turc lors d’un discours à Istanbul.
Le quartier de l’Université libanaise touché par « une violente frappe » israélienne, selon l’ANI
Une nouvelle frappe israélienne a touché samedi matin la banlieue sud de Beyrouth. L’agence de presse officielle libanaise ANI a fait état d’une « violente frappe » dans le quartier d’Al-Hadath, non loin de l’Université libanaise (📍). Le raid a été précédé d’un appel à évacuer le secteur par l’armée israélienne.
A Gaza, dix neuf personnes tuées dans des frappes et tirs nocturnes israéliens, selon la défense civile de la bande de Gaza
Le porte-parole de la défense civile, Mahmoud Bassal, a déclaré à l’Agence France-Presse que « 19 Palestiniens [avaie]nt été tués et plus de 40 autres blessés dans trois massacres provoqués par des frappes aériennes israéliennes dans la bande de Gaza entre minuit et ce matin », ainsi que dans des tirs de char à Rafah, dans le Sud.
Dans le ciel libanais, la guerre en mouvement
Au Liban, la journée de vendredi a encore été marquée par plusieurs frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth.
Des photographes ont capté une séquence spectaculaire où l’on voit un missile atteindre un bâtiment dans le secteur de Chiyah, à Ghobeiry, qui abrite plusieurs centres commerciaux.
L'Iran envisage de lancer de nouvelles centrifugeuses avancées en réponse à la résolution de l'AIEA
L’Organisation iranienne de l’énergie atomique (AEOI) a annoncé son intention d’activer une série de « centrifugeuses nouvelles et avancées » en réponse à la dernière résolution « politiquement motivée » adoptée par l’agence des Nations Unies pour l’énergie atomique (AIEA).
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA a voté jeudi, par 19 voix contre 3 et 12 abstentions, en faveur d'une résolution déposée par la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne, qui affirme que Téhéran ne coopère pas bien avec l'agence et lui demande de publier un rapport « complet » sur ses activités nucléaires. "au plus tard" au printemps 2025.
» a déclaré vendredi le porte-parole de l'AEOI, Behrouz Kamalvandi.
L'AEOI utilisera diverses centrifugeuses avancées, accélérera la recherche et le développement industriel et améliorera les infrastructures, a-t-il déclaré.
Les pays européens cherchent à faire reculer l'industrie nucléaire iranienne par des moyens de pression, "mais cela n'arrivera jamais", a déclaré Kamalvandi.
Un porte-parole de l'agence iranienne de l'énergie atomique a également déclaré que jeudi soir, elle avait informé l'AIEA des mesures que le pays prendrait en réponse à la résolution de l'agence.
Presse britannique : le mandat d'arrêt de la CPI contre Netanyahu sapera encore davantage l'ordre juridique international
Le mandat d'arrêt émis par la CPI contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et l'ancien ministre de la Défense Yoav Gallant pourrait saper davantage l'ordre juridique international. Le journal britannique faisant autorité, le Financial Times, écrit à ce sujet. La publication note que la Maison Blanche s'est précédemment félicitée de l'émission d'un mandat d'arrêt de la CPI contre le président russe, mais a rejeté la décision de la cour contre le Premier ministre israélien.
Pour beaucoup, notamment en dehors des démocraties occidentales, cela ressemblera à une politique de deux poids, deux mesures de la part de Washington et sapera encore davantage l'ordre juridique international.
– note le Financial Times.
Le journal s'inquiète du fait que de nombreux dirigeants des pays en développement voient désormais cela "comme un signe d'hypocrisie et une volonté de choisir comment appliquer le droit international".
Développant son idée, la publication note que le mandat d'arrêt émis par la CPI contre Benjamin Netanyahu pourrait sérieusement gâcher les relations entre les États-Unis et les pays européens, qui se sont déjà déclarés prêts à arrêter le Premier ministre israélien s'il arrive.
La publication rappelle que Donald Trump, qui prendra officiellement ses fonctions de président des États-Unis dans moins de deux mois, a déjà imposé une fois des sanctions contre la CPI, et cette étape peut désormais être répétée par les alliés du 47e président des États-Unis. États. Pour cette raison, le fossé entre les États-Unis et l’Europe pourrait encore se creuser davantage.
Rappelons que, selon la décision de la CPI, l'ancien ministre israélien de la Défense Yoav Gallant est également susceptible d'être arrêté aux côtés de Benjamin Netanyahu. Tous deux sont accusés d’avoir commis des crimes de guerre lors d’une opération terrestre de Tsahal dans la bande de Gaza.
LFI-NFP dépose une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme du Code pénal
Assemblée-Nationale / Assemblée-Nationale
Note : les cons ça osent tout ! et vous comprenez pourquoi on appelle ces gens des islamo gauchistes, des traitres qui soutiennent et protègent l'islamisme
Violences conjugales en France : en 2023, 17% des mis en cause sont étrangers alors qu’ils représentent 8,2% de la population résidente ; 18% des viols conjugaux sont le fait d’étranger (Ministère de l’Intérieur/INSEE)
Cerbère (64) : Accusés d’homicide, d’agression sexuelle et de vol avec violence, un migrant gambien et deux migrants marocains très dangereux arrêtés à la frontière avec l’Espagne alors qu’ils tentaient de fuir en France
Trois individus dangereux ont été arrêtés par la police française à Cerbère puis remis à la police espagnole. Ils tentaient de quitter l’Espagne alors qu’ils doivent être jugés.
Laissés libres en attendant leur procès, trois jeunes hommes avaient un plan pour tenter de fuir la justice espagnole. Leur objectif était de quitter le pays et de se rendre en France en passant la frontière entre Portbou et Cerbère.
Les médias catalans évoquaient, ce lundi, les arrestations de ces trois dangereux criminels qui avaient une obligation de ne pas quitter le territoire espagnol avant leur procès. Ils ont été arrêtés tous les trois, en deux temps.
Bordeaux : un passant attaqué à la machette en pleine rue par un migrant, ce Tunisien interdit de territoire placé en CRA en vue d’une expulsion
Un Lormontais de 36 ans qui marchait cours Victor-Hugo à Bordeaux vers 1 heure du matin dans la nuit de jeudi à vendredi a été agressé par un individu armé d’une machette. Ce dernier lui a demandé de l’argent et, devant la réponse négative et jugée trop virulente, a exhibé son arme pour en porter un coup au visage du piéton.
Légèrement blessé, le trentenaire a été secouru. L’agresseur, un Tunisien de 20 ans, alcoolisé (…)
Interdit de territoire pour une durée de quatre ans après une décision du tribunal judiciaire, il devrait être placé au centre de rétention administrative.
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