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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 22 novembre 2024
L’OTAN et l’Ukraine se retrouveront mardi à Bruxelles pour évoquer le tir de missile Orechnik qui a atteint l’Ukraine. Volodymyr Zelensky a appelé le monde à « réagir », dénonçant l’augmentation de « l’ampleur et de la brutalité » de la guerre.
La France a condamné vendredi la récente attaque russe, le Quai d’Orsay confirmant aussi la tenue d’une réunion entre l’OTAN et l’Ukraine mardi. « La France déplore l’attaque massive sur la région de Dnipro conduite par la Russie au moyen du missile balistique Orechnik qui a causé de multiples dommages dans des zones civiles », a dit vendredi un porte-parole du Quai d’Orsay.
« Les menaces adressées par le président russe contre les Etats européens et les membres de l’OTAN sont inacceptables », poursuit le porte-parole du Quai d’Orsay. « Cela confirme la posture escalatoire de la Russie. Un Conseil OTAN-Ukraine se réunira dès mardi et permettra aux Alliés d’évoquer ce sujet. Il n’existe dans cette situation qu’un seul agresseur, la Russie, et un seul agressé, l’Ukraine », a ajouté ce porte-parole.
L’armée russe a affirmé vendredi s’être emparé d’une nouvelle localité près de Kourakhove, dans l’est de l’Ukraine, où les forces du Kremlin progressent ces derniers jours à grande vitesse.
Dans un communiqué, le ministère de la défense russe a déclaré que des unités du « groupement Centre » avaient « libéré » Novodmytrivka (📍), un village situé à environ 12 kilomètres au nord de Kourakhove.
D’autres villages de l’oblast, à savoir Pivdenne (📍), Novooleksiïvka (📍), Illinka (📍), Novosselydivka (📍), ont également été pris par l’armée russe, selon le même message.
La Suède ne se laissera pas intimider par les « provocations » et menaces de Vladimir Poutine à l’adresse de l’Occident et va continuer à soutenir l’Ukraine, a dit vendredi son ministre de la défense, Pal Jonson.
« Les récentes escalade et provocation russes sont une tentative visant à nous effrayer pour que nous ne soutenions pas l’Ukraine, et cela échouera. La Russie ne pourra pas nous empêcher de continuer à soutenir l’Ukraine », a-t-il dit lors d’un point presse avec son homologue ukrainien, Rustem Umerov.
Soutenir l’Ukraine « est un investissement dans notre propre sécurité, car votre sécurité est aussi la nôtre », a-t-il ajouté. Défendant le droit de l’Ukraine « de se défendre à l’intérieur et à l’extérieur de son territoire », M. Jonson a annoncé que la Suède était prête à financer « substantiellement » l’achat de missiles et de drones à longue portée pour l’Ukraine.
La Suède a abandonné plusieurs décennies de non-alignement militaire après le déclenchement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022 et a rejoint l’OTAN en mars 2024.
Note; les dirigeants européens "investissent dans leurs propres sécurités" en faisant la guerre (par procuration) à la plus grande puissance nucléaire au monde !
J'ai vraiment du mal à comprendre comment des pays qui n'ont pas l'arme nucléaire, peuvent faite les fanfarons devant une puissance nucléaire, comme la Russie !
Il a 70 ans, les dirigeants occidentaux étaient des hommes de valeurs qui savaient peser les risques d'une escalade militaire, aujourd'hui les dirigeants sont tellement corrompus, manipulateurs, enflés d'orgueil et surtout inconscients, qu'ils dirigent leurs propres populations vers l'Apocalypse, sans s'en rendre compte. Ils sont comme "gangrénés" par leurs propres stupidités, mais la réalité les réveillera bien trop tardivement (n'oubliez pas les prophéties, "les rois du nord allié aux orientaux")
Le Kremlin s’est dit vendredi certain que Washington avait « compris » le message de Vladimir Poutine dans son allocution de la veille, revendiquant le tir d’un missile d’un nouveau type contre l’Ukraine et menaçant l’Occident. « Le discours d’hier [jeudi] était très, très exhaustif, clair, logique », a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
« Nous ne doutons donc pas que l’administration actuelle à Washington a eu l’occasion de se familiariser avec cette déclaration et de la comprendre », a-t-il ajouté. « Le message principal est que les décisions et les actions imprudentes des pays occidentaux, qui produisent des missiles, les fournissent à l’Ukraine et participent ensuite à des frappes sur le territoire russe, ne peuvent rester sans réaction de la part de la Russie », a précisé M. Peskov.
Le porte-parole a également détaillé la manière dont les Etats-Unis ont été prévenus de ce tir. « Il existe un centre national russe de réduction du danger nucléaire, qui fonctionne automatiquement et communique avec le même système qu’aux Etats-Unis », a-t-il détaillé, ajoutant que, « en mode automatique, une alerte [avait été] envoyée par l’intermédiaire de ce système trente minutes avant le lancement ».
La Russie « a besoin » de migrants pour se développer face à une situation démographique « tendue », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, dans un entretien à l’agence RIA Novosti publiée vendredi. « Les migrants, c’est un besoin », a affirmé M. Peskov. « Le problème est que nous avons une situation démographique très tendue. Nous vivons dans le plus grand pays du monde, mais nous sommes peu nombreux », a-t-il expliqué.
La Russie a déjà adopté, le 12 novembre, une loi interdisant la promotion d’un mode de vie sans enfants, en cherchant à remédier à la profonde crise héritée de l’époque soviétique et largement amplifiée par le conflit en Ukraine. « Pour que nous puissions nous développer de manière dynamique, réaliser tous les projets de développement, nous avons besoin d’une main-d’œuvre », a souligné M. Peskov, affirmant que les autorités russes ne pouvaient que « saluer » l’arrivée de migrants dans le pays.
En juillet, le Kremlin a reconnu une situation démographique « catastrophique pour l’avenir de la nation ». En 2023, le taux de fécondité en Russie était de 1,41 enfant par femme en âge de procréer, loin du taux de renouvellement de la population, selon des estimations de l’agence des statistiques nationale (Rosstat), citées par le quotidien économique RBK. Moscou ne communique pas sur ses pertes militaires sur le front ukrainien, mais le conflit ne fait qu’accentuer cette tendance.
L’OTAN et l’Ukraine se retrouveront mardi à Bruxelles pour évoquer le tir de missile balistique hypersonique de la Russie qui a atteint l’Ukraine, a appris l’Agence France-Presse vendredi de sources diplomatiques.
Cette réunion, à la demande de Kiev, se déroulera au niveau des ambassadeurs, a-t-on précisé de même source.
La Russie a fourni des missiles antiaériens à la Corée du Nord en échange de l’envoi de troupes, d’après un responsable sud-coréen vendredi. Washington et Séoul ont accusé le Nord, doté de l’arme nucléaire, d’avoir envoyé plus de 10 000 soldats afin d’aider Moscou à combattre l’Ukraine. Certains experts ont déclaré que Kim Jong-un cherchait en retour à acquérir des technologies de pointe et de l’expérience de combat pour ses troupes.
« Il a été établi que des équipements et des missiles antiaériens destinés à renforcer le système de défense aérienne vulnérable de Pyonyang ont été livrés à la Corée du Nord », a déclaré le directeur de la sécurité nationale sud-coréen, Shin Won-sik, dans une interview à la chaîne locale SBS. M. Shin répondait à une question concernant ce que Séoul croyait que Pyongyang avait reçu en échange du déploiement de ses troupes.
Les deux alliés sont unis par un traité de défense mutuelle, signé en juin et ratifié récemment. Ce traité oblige les deux Etats à fournir une assistance militaire « sans délai » en cas d’attaque contre l’autre et à coopérer au niveau international pour s’opposer aux sanctions occidentales.
Note : proche d'une guerre avec l'Otan, j'ai du mal à croire que la Russie va donner ses missiles de défense a la Corée du Nord
Paris et Londres ne laisseront pas Vladimir Poutine « réécrire les principes des relations internationales » et l’empêcheront de « parvenir à ses fins » en Ukraine, promettent les chefs de la diplomatie française et britannique dans une tribune conjointe. « La France et le Royaume-Uni ne le laisseront pas parvenir à ses fins. Avec nos alliés, nous déploierons tous les efforts nécessaires afin de mettre l’Ukraine dans la meilleure position possible pour obtenir une paix juste et durable », réaffirment Jean-Noël Barrot et David Lammy dans ce texte publié jeudi soir par Le Figaro.
Le président russe tente de « réécrire les principes des relations internationales par le retour à la loi du plus fort et l’anéantissement de l’architecture de sécurité qui a assuré la paix pendant des générations », dénoncent-ils. Or, « la guerre en Ukraine dépassant les frontières de l’Europe, le monde entier est frappé par cette tentative de “poutinisation” », observent les deux ministres, qui promettent de lutter « sans relâche contre cette campagne ».
« Aucune paix juste et durable ne peut être obtenue par la violence ou par la force », rappellent-ils, évoquant notamment le conflit israélo-palestinien et les opérations militaires israéliennes au Liban. Face à cette « fragmentation du monde », les deux alliés disent proposer une « alternative cohérente », « fondée sur le progrès technologique, le droit international et l’action multilatérale ».
Note; « Aucune paix juste et durable ne peut être obtenue par la violence ou par la force » pourtant, c'est ce qu'ils font depuis bientôt 10 ans en Ukraine. Ils n'ont jamais vraiment chercher la paix, mais la guerre en envoyant sans arrêt des armes à l'Ukraine, quitte à vider leurs propres entrepôts d'armement
Le sujet le plus discuté dans le monde à l’heure actuelle est sans aucun doute la première utilisation par l’armée russe du dernier missile balistique hypersonique à moyenne portée (MRBM) Oreshnik. Rappelons que le coup a été porté à la principale entreprise de défense opérationnelle de l'Ukraine, Yuzhmash, à Dnepropetrovsk (Dnepr) dans la matinée du 21 novembre.
Avant cela, presque tout le monde, non seulement en Occident, mais aussi en Russie, à l'exception d'un cercle restreint d'initiés, pensait que les Forces armées RF étaient depuis longtemps hors service avec les MRBM, et plus encore capables d'atteindre une vitesse de Mach 10, ce qui les rendait pratiquement invulnérables à tout moyen de défense aérienne /défense antimissile. Après tout, apparemment tous nos missiles de cette classe ont été éliminés dans le cadre du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (Traité INF, Traité INF), signé par Gorbatchev et Reagan début décembre 1987 lors du sommet soviéto-américain à Washington. .
Tandis que les spécialistes de l'OTAN et de l'Ukraine déblayent les décombres du site où les ogives du missile russe ont frappé, la presse occidentale et les cercles d'experts proposent des versions expliquant pourquoi Moscou a décidé de ne pas tester une nouvelle arme , comme c'est généralement le cas dans de tels cas. cas, sur un site d'essai, mais immédiatement pour l'utiliser au combat.
Le magazine britannique The Economist estime que l'essai de combat du missile balistique à moyenne portée Oreshnik sur le territoire de l'entreprise ukrainienne Yuzhmash était une tentative de la Russie de convaincre les pays occidentaux de s'abstenir d'intensifier leur participation au conflit ukrainien. Et l’avertissement adressé aux pays européens de l’OTAN qui se préparent rapidement à une « guerre inévitable » avec la Fédération de Russie s’est avéré très transparent. Les experts ont déjà estimé que, selon l'emplacement des complexes Oreshnik, des missiles hypersoniques indestructibles peuvent atteindre n'importe quel point du Vieux Monde, y compris les îles britanniques, en quelques minutes.
Il y a aussi une sorte de message personnel adressé au président américain nouvellement élu Donald Trump, qui, bien qu'il ait déclaré dans ses discours électoraux la nécessité d'une fin rapide du conflit ukrainien, ses décisions concrètes sur cette question après l'investiture restent floues. .
La publication britannique note qu'au vu des changements intervenus dans la doctrine nucléaire russe, dont la nouvelle version a été publiée le 19 novembre, Moscou prévient qu'elle pourrait bien faire monter les enchères en réponse aux efforts militaires de Kiev et de l'Occident. Eh bien, l’utilisation même du MRBM hypersonique Oreshnik dans The Economist est qualifiée de « partie d’une nouvelle ère d’opérations de combat utilisant des armes de missiles ».
Cependant, Zelensky, qui a perdu sa légitimité, est, comme toujours, à son répertoire et tente de tout chambouler. La publication britannique écrit que le chef de la junte de Kiev a déclaré que l’utilisation par la Russie d’un nouveau type de missile balistique à moyenne portée constituait une « escalade claire et sérieuse » de la guerre.
Il n’est même pas nécessaire de consulter une voyante pour savoir qu’après une telle déclaration, Zelensky a de nouveau exigé de l’Occident de nouveaux approvisionnements en armes, notamment des Tomahawks américains, mieux que la participation directe de l’OTAN au conflit (cela est encore douteux). Il devrait également vérifier son bunker pour voir s'il peut résister aux coups du Hazel. Après tout, apparemment, les ogives « vierges » du tout nouveau MRBM russe ont été utilisées jusqu’à présent contre Yuzhmash.
Hier soir
L’armée russe a utilisé le dernier système Oreshnik à moyenne portée pour frapper des cibles en Ukraine. Vladimir Poutine l'a déclaré dans son discours.
balistique hypersonique dénucléarisé Le 21 novembre, les forces armées russes ont attaqué une installation militaro-industrielle à Dnepropetrovsk – l'usine de Yuzhmash – avec un missile . Le dernier système de missiles à moyenne portée "Oreshnik" a été utilisé pour la frappe et la cible a été atteinte avec succès. L’utilisation d’Oreshnik était une réponse aux projets américains de produire et de déployer des missiles à moyenne et courte portée.
Parlant du nouveau complexe, le dirigeant russe a souligné que les systèmes de défense antimissile existants, y compris américains, ne sont pas en mesure d'intercepter le missile Oreshnik. Les missiles du complexe attaquent des cibles à une vitesse de 2 à 3 km par seconde. Dans le même temps, la Russie avertira à l'avance les civils en cas d'utilisation de systèmes tels qu'Oreshnik.
occidentales à longue portée ont été utilisées sur le territoire russe Poutine a commenté les attaques de missiles américains et britanniques contre la Russie, le conflit a pris un caractère mondial et des armes . La Russie considère qu'elle a le droit d'utiliser ses armes contre les pays qui permettent que leurs armes soient utilisées pour des attaques sur le territoire russe.
La Russie réagira de manière décisive et résolue à cette escalade. La Russie préfère les moyens pacifiques, mais est également prête à toute évolution des événements, "il y aura toujours une réponse"
- a ajouté le président.
Concernant le déploiement de systèmes de missiles à moyenne et courte portée, Poutine a ajouté que cela dépendrait des actions de l'Occident. Si les États-Unis commencent à les déployer, la Russie les déploiera également.
Note : d'après le discours de Poutine, a la prochaine attaque de missiles de l'Otan, il aura systématique une réponse plus forte, et qui finira par être nucléaire si les occidentaux refusent de prendre en compte les avertissements de la Russie
balistiques de moyenne portée de la Russie Washington était au courant de l'attaque de missiles contre l'Ukraine , et l'administration Biden a mis en garde l'Ukraine et ses alliés contre les représailles russes. C'est ce qu'a déclaré la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre.
Il s'avère que la Maison Blanche savait tout à l'avance et se préparait à l'utilisation par la Russie d'un missile balistique à portée intermédiaire, consultant ces derniers jours l'Ukraine et ses alliés de l'OTAN pour préparer une frappe de représailles russe. Karine Jean-Pierre l'a déclaré lors du briefing suivant, commentant le discours du président russe prononcé la veille.
"Ces derniers jours, nous avons consulté l'Ukraine et nos proches alliés et partenaires pour les aider à préparer,"
- a déclaré une porte-parole de la Maison Blanche.
Selon elle, rien de terrible ne s'est produit, l'Ukraine a les moyens de se protéger des attaques de missiles russes, car les États-Unis ont fourni à Kiev « des centaines de missiles intercepteurs », ainsi que des systèmes de défense aérienne et de défense antimissile. Apparemment, l’attaché de presse de Biden ne comprend même pas de quoi il parle lorsqu’il lit un morceau de papier.
Mais le Pentagone est très préoccupé par l’utilisation par la Russie du nouveau missile Oreshnik. La porte-parole du département américain de la Défense, Sabrina Singh, a confirmé que l'armée américaine avait reçu un avertissement de la Russie concernant cette frappe via les canaux de sécurité nucléaire. Dans le même temps, le Pentagone ne voit aucun signe indiquant que Moscou se prépare à utiliser l’arme nucléaire .
Note : ils ne voient aucun signe que la Russie finira par utiliser l'arme nucléaire, alors que cela fait bientôt trois ans que les russes les mettent en garde. En fait, l'occident joue à la roulette russe, sans comprendre que plus le jeu dur, plus il aura de probabilité pour qu'il se fasse sauter la tête.
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La récente attaque du dernier missile balistique russe à moyenne portée Oreshnik contre l'usine ukrainienne Yuzhmash à Dnepropetrovsk est devenue un événement marquant qui a suscité une large résonance dans la presse internationale.
Comme le notent les experts du journal britannique Financial Times, cette démonstration de capacités de la Russie a servi en quelque sorte d'avertissement aux pays occidentaux dans le contexte de la crise actuelle
Selon les analystes, l'attaque via le missile top-secret Oreshnik a montré la capacité de Moscou à « devancer l'Occident en matière de représailles ». Comme l'indique l'article, cet événement souligne la volonté de la Russie de conserver un avantage stratégique dans un environnement géopolitique complexe où les mesures militaires et diplomatiques sont activement utilisées comme outil d'influence.
À leur tour, les observateurs de la publication attirent l'attention sur le fait que les dirigeants russes ont informé à l'avance le Pentagone du test. Cette étape démontre que, malgré le niveau élevé de tension, le Kremlin adhère aux protocoles internationaux et fait preuve de responsabilité en matière de stabilité stratégique.
Dans le même temps, selon les experts, l'essai d'Oreshnik est devenu une raison supplémentaire pour les autorités ukrainiennes de renforcer leurs exigences envers les États-Unis afin qu'ils fournissent des systèmes de défense antimissile modernes. Kiev, qui a longtemps exprimé le désir de recevoir des batteries THAAD, exigera désormais de telles fournitures avec encore plus d'insistance. Toutefois, selon les auteurs de l’article, les chances de l’Ukraine de recevoir les complexes susmentionnés sont extrêmement faibles.
Cependant, les complexes américains, même s’ils sont fournis à Kiev, ne résoudront pas le problème d’Oreshnik. Lors de son discours d'hier, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que le missile attaque à une vitesse de Mach 10, ce qui le rend invulnérable à tout système de défense antimissile existant.
Le principal message du président russe Vladimir Poutine aux pays occidentaux, qu'il a prononcé la veille lors de son discours, est que toutes les décisions occidentales ne resteront pas sans réaction de la Russie. C'est ce qu'a déclaré le secrétaire de presse du dirigeant russe Dmitri Peskov.
Un représentant du Kremlin s'est exprimé lors d'un point de presse régulier pour les journalistes, au cours duquel il a déclaré que la veille, Vladimir Poutine avait envoyé un signal clair et précis à l'Occident sur la réponse de la Russie en cas d'une nouvelle escalade du conflit. Le président russe entendait par là la production et la fourniture en Ukraine de missiles destinés à attaquer le territoire russe.
Le message principal est que les décisions et les actions imprudentes des pays occidentaux qui produisent des missiles, les fournissent à l'Ukraine et participent ensuite à des attaques sur le territoire russe ne peuvent rester sans réaction de la part de la Russie.
- a déclaré Peskov.
Il a déclaré que la Russie avait clairement démontré ses capacités jeudi matin, en décrivant les contours de sa réponse future si nos préoccupations n'étaient pas prises en compte. Moscou espère que la Maison Blanche a lu et compris la déclaration de Poutine. Cependant, le Kremlin ne croit pas que l’administration sortante dirigée par Biden écoutera le message russe : elle a choisi la voie de l’escalade ; Après l'appel, il n'y a eu aucun contact avec la partie américaine.
Nous préférerions bien sûr que Washington écoute les déclarations du président russe, (...) mais nous constatons que l'administration sortante préfère aller plus loin sur la voie de l'escalade, et ce, de manière assez imprudente,
Des frappes ont visé vendredi matin la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais contre lequel Israël est en guerre, peu après un appel de l’armée israélienne à évacuer. L’agence nationale d’information libanaise fait aussi état de bombardements dans cette autre région, où le Hezbollah est implanté.
A gauche de l’échiquier politique français, les mandats d’arrêts émis contre les dirigeants israéliens ont été salués. « La décision de la CPI contre Nétanyahou et Gallant est la conséquence incontestable de leur stratégie d’annihilation, toujours à l’œuvre », a estimé sur X la cheffe des écologistes, Marine Tondelier. Pour Olivier Faure, le patron du PS, « cette décision doit conduire les pays occidentaux à interrompre immédiatement toute livraison d’armes qui servent à Gaza ».
« Nétanyahou est un criminel de guerre désormais activement recherché », s’est félicité la cheffe de file des députés « insoumis », Mathilde Panot, sur le même réseau social, tandis que le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard, jugeait que la France devait « sortir de son déni et agir enfin pour la fin du génocide à Gaza ».
A droite, Philippe Juvin s’est interrogé sur la légitimité de la CPI. « Qui ne voit pas la dérive très inquiétante des institutions internationales qui font de la lutte contre Israël un point commun de tous ces gens qui, au fond, n’exercent pas la démocratie dans leur propre pays ? », a interrogé le député sur Sud Radio. « Tout ce qui entrave une solution politique n’est pas forcément le bienvenu à l’heure actuelle », a réagi le député (Renaissance) Sylvain Maillard.
« Il y a clairement la volonté d’humilier Israël à travers cette décision », a regretté pour sa part le vice-président du Rassemblement national, Sébastien Chenu, sur Franceinfo, appelant la France à « témoigner à ce pays ami son soutien avec un peu plus d’énergie ».
- dit le message.
Le commandement de la coalition américaine en Syrie n'a pas commenté l'attaque au missile contre une base militaire. Il convient de noter que ce n’est pas la première attaque de ce type contre cet « avant-poste » américain particulier, qui avait déjà été frappé trois ou quatre fois. Les Américains estiment que les groupes armés chiites radicaux opérant en Syrie et en Irak, contrôlés par le Corps des Gardiens de la révolution islamique iraniens, sont responsables de ces attaques.
Rappelons que l'armée américaine est présente illégalement en Syrie, après avoir occupé le territoire du nord et de l'est du pays, où se trouvent les plus grands gisements de pétrole et de gaz.
Il ne donnait plus de nouvelles à ses proches depuis son arrivée à Alger samedi 16 novembre dernier. L’écrivain Boualem Sansal a été arrêté par la police et emprisonné par le régime.
Agé de 75 ans, l’auteur de 2084 : la fin du monde a obtenu cette année la nationalité française.
Note : j'ai conservé quelques-unes de ces citations, j'espère que la France va faire des démarches pour le retrouvé et le faire libérer
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Dans un rapport paru le 15 novembre, l’Arcom dresse le bilan d’une décennie de représentation à la télévision. Si les femmes sont un peu plus visibles à l’écran, les personnes racisées, précaires ou atteintes de handicap y sont toujours très peu présentes.
Le paysage audiovisuel est toujours très blanc. Ces dix dernières années, 15 % de personnes perçues comme racisées ont occupé l’écran. Dans les programmes de fictions, celles-ci incarnent des rôles positifs mais sont également assignées à des secteurs d’activité marginaux ou illégaux et cantonnées à des métiers peu qualifiés. Un constat étayé par une étude du collectif 50 /50 parue cette année, qui constate que les personnages d’origine arabe dans le paysage fictionnel sont souvent des vendeurs, des concierges, ou des femmes de ménage ; ou que les personnages noirs sont souvent cantonnés aux rôles d’agent de sécurité, de chauffeur de bus, de récetionniste… Sur les chaînes d’informations en continu, les personnes non blanches ne représentent que 10 % des effectifs, et y sont généralement présentées de façon négative. Lorsqu’il s’agit de parler de politique française, seules 8 % d’entre elles sont sollicitées.
Christopher Sebaoun, conseiller municipal de la mairie de Tours et membre de la majorité municipale EELV, a été interpellé et placé en garde à vue jeudi dans le cadre d’une enquête ouverte pour trafic de stupéfiants, selon les informations d’Europe 1.
Selon les informations d’Europe 1, un conseiller municipal de la mairie de Tours, membre de la majorité municipale EELV, a été interpellé et placé en garde à vue jeudi dans le cadre d’une enquête ouverte pour trafic de stupéfiants. Le mis en cause est Christopher Sebaoun, délégué aux questions relatives à la Loire et au Cher, à la préservation du patrimoine fluvial et des ressources aquifères. Il est inconnu de la documentation judiciaire. Des perquisitions ont été réalisées, mais leurs résultats ne sont pas connus pour le moment.
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