Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Kiev affirme que la Russie a tiré un missile balistique intercontinental sur la ville de Dnipro
Selon l’armée ukrainienne, il s’agirait d’un missile RS-26 Rubezh, d’une portée de 6 000 kilomètres, qui aurait visé des infrastructures essentielles. Le Kremlin a refusé de commenter l’accusation, affirmant avoir, de son côté, abattu deux missiles Storm Shadow tirés par l’Ukraine. Un tir d’une telle arme « marquerait une escalade claire », selon l’UE.
Note : des idiots, ils ne comprennent rien ! La Russie ne commente pas son tir d'avertissement, mais dénonce l'attaque d'un missile anglais sur sol. Les occidentaux sont en train de franchir la ligne rouge de la Russie, la Russie risque bien de riposté avec l'arme nucléaire.
13:54
Volodymyr Zelensky accuse son « voisin fou » russe d’utiliser l’Ukraine comme « un terrain d’essai »
L’Ukraine a accusé jeudi la Russie d’avoir, pour la première fois, tiré un missile intercontinental sur son territoire, en utilisant ce vecteur de sa dissuasion nucléaire sans charge atomique, en pleine nouvelle escalade russo-occidentale autour du conflit ukrainien.
« Toutes ses caractéristiques : vitesse, altitude sont celles d’un missile balistique intercontinental. L’expertise est en cours », a réagi Volodymyr Zelensky dans une vidéo publiée sur Telegram. « Aujourd’hui, notre voisin fou a une fois de plus montré qui il est vraiment et à quel point il méprise la dignité, la liberté et la vie humaine en général. Et à quel point il a peur », a asséné M. Zelensky. « Il est évident que Poutine utilise l’Ukraine comme terrain d’essai », a-t-il poursuivi dans son discours. Avant d’ajouter : « Il a tellement peur qu’il utilise déjà de nouveaux missiles. »
Volodymyr Zelensky, en conclusion de ses propos, a affirmé que, selon lui, Vladimir « Poutine est prêt à tout pour empêcher son voisin d’échapper à son emprise », près de trois ans après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Note: il accuse la Russie d'utilisé l'Ukraine comme « un terrain d’essai » ! c'est plutôt l'Otan qui se sert de l'Ukraine comme terrain d'essais de ces armes
13:40
Selon Londres, la Russie prépare depuis « des mois » le tir d’un nouveau missile balistique
« Il y a aujourd’hui des informations de presse, non confirmées, selon lesquelles la Russie a tiré un nouveau missile balistique vers l’Ukraine, ce que [les Russes] préparent depuis des mois d’après ce que nous savons », a déclaré jeudi John Healey, le ministre de la défense britannique, devant la commission de la défense du Parlement britannique.
Il a par ailleurs à nouveau refusé de confirmer que des missiles de croisière britanniques Storm Shadow avaient été tirés par l’Ukraine vers la Russie. « Les actions des Ukrainiens sur le terrain parlent d’elles-mêmes, n’ayez aucun doute que le gouvernement britannique accroît son soutien pour l’Ukraine », a toutefois ajouté John Healey, en rappelant avoir discuté avec ses homologues ukrainien, Rustem Umerov, mardi, et américain, Lloyd Austin, dimanche. « Je ne vais pas rentrer dans les détails opérationnels du conflit. Cela mettrait en péril la sécurité des opérations et, en fin de compte, le seul qui bénéficierait d’un tel débat public est le président Poutine », a-t-il précisé.
13:07
Le tir de missile intercontinental russe « marquerait une escalade claire », selon l’UE
La Commission européenne a réagi à l’annonce par l’Ukraine du tir d’un missile intercontinental de la Russie sur l’Ukraine. « Nous suivons bien sûr les informations selon lesquelles la Russie aurait utilisé un missile balistique intercontinental pour viser une ou plusieurs cibles en Ukraine. (…) Il est évident qu’une telle attaque marquerait une nouvelle escalade de la part de [Vladimir] Poutine », a réagi Peter Stano.
Un tel missile représenterait un changement « quantitatif et qualitatif » du conflit, a fait savoir ce porte-parole, en reprochant à la Russie de « jouer » avec la menace nucléaire. Il est selon lui « très difficile » d’évaluer la réalité de cette menace, il juge cependant que « c’est irresponsable » et que « cela constitue une menace globale pour la stabilité et la sécurité de l’Europe et du monde ».
Sur la chaîne américaine ABC News, un responsable occidental a commenté l’attaque sur Dnipro, en affirmant que le missile ne semblait pas être un ICBM mais plutôt un missile balistique. Un officiel ukrainien a déclaré sur la même chaîne que l’armée ukrainienne était « sûre à 95 % » que la frappe avait été effectuée avec un ICBM, mais a ajouté qu’un examen des débris du missile au sol était en cours et qu’aucune conclusion définitive n’avait encore été tirée.
12:30
Maria Zakharova, la porte-parole de la diplomatie russe, sommée en direct de ne pas commenter l’attaque de missiles en Ukraine
La porte-parole de la diplomatie russe a reçu lors d’une conférence de presse l’instruction de ne pas commenter la frappe contre la ville ukrainienne de Dnipro qui, selon Kiev, a été menée jeudi avec un missile intercontinental.
Lors de ce briefing, Maria Zakharova a été interrompue par un appel téléphonique. On entend ensuite une voix grave lui parler : « Concernant la frappe de missiles balistiques sur [l’usine] Ioujmach, dont les Occidentaux ont commencé à parler, ne commente pas du tout », dit son interlocuteur, non identifié, qui ne mentionne pas de missile intercontinental. « Oui, merci », répond Maria Zakharova, avant de raccrocher et de reprendre sa conférence de presse.
L’usine de fabrication de satellites Pivdenmach [Ioujmach en russe] est située près du centre-ville de Dnipro.
12:26
La Russie dit avoir abattu deux missiles britanniques longue portée Storm Shadow lancés par l’Ukraine
Le ministère de la défense russe a annoncé, jeudi, avoir abattu « deux missiles de croisière Storm Shadow de fabrication britannique» tirés par l’Ukraine et qui visaient son territoire, sans préciser le lieu ni le moment de cette interception.
Plusieurs missiles ont été lancés sur au moins une cible militaire russe, rapportait mercredi le Financial Times, citant trois sources anonymes dont un responsable occidental informé de la frappe. Selon le Guardian, le Royaume-Uni a donné l’autorisation à Kiev d’utiliser les missiles Storm Shadow en territoire russe, en réponse au déploiement de troupes nord-coréennes à la frontière entre la Russie et l’Ukraine. La chaîne SkyNews a aussi fait état de l’utilisation de ces missiles. Ni Downing Street ni le ministère de la défense britannique n’ont confirmé ces informations.
Jeudi, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré devant la Chambre des communes que Londres « soutiendra[it] l’Ukraine avec ce qui est nécessaire aussi longtemps que cela sera nécessaire ». Il a ajouté que « le soutien du Royaume-Uni à l’Ukraine est toujours motivé par des raisons d’autodéfense. Il est proportionné, coordonné et agile et constitue une réponse aux actions de la Russie, et elle est conforme au droit international en vertu de l’article 51 de la Charte des Nations unies. L’Ukraine a clairement le droit de se défendre contre les attaques illégales de la Russie ».
Kemi Badenoch, cheffe du Parti conservateur, a déclaré que : « L’Ukraine se bat pour sa survie et le peuple ukrainien est au cœur de nos pensées quotidiennes. Mais ces pensées doivent se traduire par des actions, des actions de notre part et de la part de nos alliés. Nous travaillerons avec le gouvernement pour garantir que le soutien britannique à l’Ukraine soit constant et se poursuive. »
10:48
Le Kremlin ne commente pas l’accusation d’avoir tiré un missile intercontinental contre l’Ukraine
Le Kremlin a refusé jeudi de commenter l’accusation de l’Ukraine selon laquelle Moscou a tiré pour la première fois sur son territoire un missile intercontinental, un type d’armement conçu dans le cadre de la dissuasion nucléaire mais qui peut être armé d’une charge conventionnelle.
« Je n’ai rien à dire sur ce sujet », a dit le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, interrogé par des médias à ce sujet lors d’un briefing quotidien, leur conseillant de s’adresser à l’armée.
Il a commenté la nouvelle doctrine nucléaire russe, approuvée mardi par Vladimir Poutine : elle élargit les possibilités pour la Russie de recourir à l’arme atomique, notamment si le pays devait faire l’objet d’une attaque conventionnelle soutenue par un Etat doté de l’arme nucléaire. « Nous avons souligné que, suivant notre doctrine, la Russie adopte une position responsable afin de faire le maximum d’efforts pour ne pas permettre un tel conflit », a précisé le porte-parole de la présidence russe disant espérer que « d’autres pays » auront « cette posture responsable ».
10:37
La Russie qualifie de « provocatrice » l’ouverture de la base de défense aérienne à Redzikowo, en Pologne
Le ministère des affaires étrangères russe a annoncé, jeudi, que la nouvelle base de défense antimissile balistique américaine à Redzikowo, dans le nord de la Pologne, figure sur une liste de cibles russes potentielle en cas de conflit avec l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN).
« Compte tenu de la nature et du niveau des menaces posées par de telles installations militaires occidentales, la base de défense antimissile en Pologne a depuis longtemps été ajoutée à la liste des cibles prioritaires pour une destruction potentielle, qui, si nécessaire, peut être exécutée avec un large éventail d’armes avancées », a déclaré, Maria Zakharova, la porte-parole du ministère des affaires étrangères russe.
Cette base, inaugurée le 13 novembre, est située près de côte de la mer baltique, à 230 kilomètres de l’enclave russe de Kaliningrad, et fait partie d’un bouclier antimissile de l’OTAN. Opérationnelle depuis juillet et intégrée au projet de défense collective de l’Alliance atlantique, elle fait partie du bouclier antimissile baptisé « Aegis Ashore », qui, selon l’alliance, peut intercepter des missiles balistiques à courte et moyenne portées.
Son déploiement en Europe a toujours provoqué des réactions hostiles de la Russie, qui y voit un danger pour sa propre sécurité.
06:30 L’essentiel
Le point sur la situation, jeudi 21 novembre, à 6 h 30
L’armée ukrainienne a tiré pour la première fois des missiles à longue portée Storm Shadow britanniques pour atteindre la Russie après avoir obtenu l’accord du Royaume-Uni, ont rapporté, mercredi, des médias britanniques.
Les Etats-Unis vont envoyer un nouveau paquet d’aide militaire de 275 millions de dollars (261 millions d’euros) à l’Ukraine, a annoncé, mercredi, le ministère de la défense américain dans un communiqué.
L’ambassade américaine à Kiev a rouvert ses portes mercredi soir. Washington avait décidé de fermer temporairement sa représentation dans la capitale ukrainienne plus tôt dans la journée, en raison d’informations faisant état de potentielles menaces d’attaques aériennes.
Le Royaume-Uni et la Moldavie ont signé un accord sur la défense et la sécurité contre aux « menaces » russes, a annoncé, mercredi, le ministère des affaires étrangères britannique.
L’Ukraine a dit mercredi avoir bombardé un poste de commandement russe à Goubkine, dans la région de Belgorod, en Russie, à environ 170 kilomètres de la frontière ukrainienne.
03:11 Urgent
Les Etats-Unis ont rouvert leur ambassade à Kiev
L’ambassadrice américaine en Ukraine, Bridget Brink, a annoncé mercredi soir la réouverture de l’ambassade des Etats-Unis à Kiev dans un message diffusé sur le réseau social X. Washington avait décidé de fermer temporairement sa représentation dans la capitale ukrainienne plus tôt dans la journée en raison d’informations faisant état de potentielles menaces d’attaques aériennes.
« Nous continuons de recommander la prudence aux citoyens américains, d’utiliser les sources officielles ukrainiennes pour se tenir informés et de se préparer à se mettre à l’abri en cas d’alerte aérienne », a-t-elle conseillé dans son message.
Les services de renseignement militaire ukrainiens ont déclaré que la Russie tentait de semer la panique en diffusant de faux messages sur Internet sur l’imminence d’une attaque de missiles et de drones.
Note : ils sont de retour jusqu'a la prochaine alerte. Les américains savent les riques d'une riposte nucleaire.
Guerre en Ukraine : pour la première fois, la Russie a tiré un missile balistique intercontinental RS-26 Rubezh sur l’Ukraine
L’attaque russe de jeudi matin a visé des entreprises et des infrastructures essentielles à Dnipro, dans le centre-est de l’Ukraine, a dit l’armée de l’air ukrainienne, sans préciser quelle était la cible du missile balistique intercontinental ni s’il avait provoqué des dégâts, ni le modèle exact de ce projectile.
La Russie a tiré jeudi matin un missile balistique intercontinental à partir de la région d’Astrakhan dans le cadre d’une attaque contre l’Ukraine, a déclaré l’armée de l’air ukrainienne. C’est la première fois que la Russie emploie ce type de missile à longue portée et capable d’emporter une puissante charge depuis le début de son invasion à grande échelle de l’Ukraine en février 2022.
Le recours à cette arme intervient après l’utilisation mardi et mercredi par l’Ukraine de missiles américains et britanniques à longue portée pour frapper en profondeur le territoire russe, une première là aussi dans le conflit, contre laquelle Moscou mettait en garde depuis des mois.
Dnipro
L’attaque russe de jeudi matin a visé des entreprises et des infrastructures essentielles à Dnipro, dans le centre-est de l’Ukraine, a dit l’armée de l’air ukrainienne, sans préciser quelle était la cible du missile balistique intercontinental ni s’il avait provoqué des dégâts, ni le modèle exact de ce projectile. Selon les informations de la Ukrayinska Pravda, il s'agirait d'un RS-26 Rubezh.
Ces missiles ont un rayon d’action de plusieurs milliers de kilomètres et peuvent être équipés de têtes nucléaires ou de charges conventionnelles. L’armée ukrainienne a aussi dit avoir abattu six missiles de croisière de type Kh-101 tirés par la Russie lors de cette attaque.
Ancien chef du Parti travailliste : le Premier ministre Starmer doit préciser si les frappes de missiles britanniques sur la Russie signifient que nous entrons dans une guerre contre une puissance nucléaire
Storm Shadow d'hier En Grande-Bretagne, les attaques de missiles contre la région de Koursk sont commentées par presque tout le monde, sauf le gouvernement. Les journalistes ont interrogé à plusieurs reprises Keir Starmer, son attaché de presse, pour obtenir des commentaires sur les frappes britanniques contre la Russie . Cependant, ils restent silencieux.
La situation a été commentée par l'ancien leader du parti travailliste britannique Jeremy Corbyn. Selon lui, Keir Starmer est obligé de parler immédiatement aux Britanniques et de clarifier la situation concernant les frappes contre la Russie.
Le Premier ministre doit dire si les attaques ont été menées ou non par des missiles britanniques. Il doit en informer le public britannique, qui attend des éclaircissements. Il doit également dire si cette situation signifie que la Grande-Bretagne est entrée dans un état de guerre avec une puissance nucléaire.
L'ancien leader travailliste a souligné que Starmer avait peur de faire des commentaires, car il a en fait violé les lois britanniques :
S’il y a eu des grèves, elles ont été menées sans discussion au Parlement britannique, et encore moins sans l’approbation de la majorité.
Selon l’ancien chef du Parti travailliste, nous devons désormais faire tout notre possible pour désamorcer la situation, et le Premier ministre Starmer met en danger la vie de millions de Britanniques.
Rappelons que l'attaque dans la région de Koursk a eu lieu quelques heures seulement après que les médias occidentaux ont annoncé leur approbation. En outre, Washington a autorisé l’utilisation de missiles britanniques en profondeur en Russie. Cela démontre une fois de plus que le ciblage des cibles est précisément effectué par l’armée américaine en utilisant la technologie américaine. L’Ukraine, comme l’a dit un jour Vladimir Poutine, agit comme un territoire d’où proviennent les attaques contre la Russie.
Guerre en Ukraine : la Russie a commencé à fabriquer en série des abris antiatomiques mobiles
Développés ces dernières années par un institut de recherche russe, ces abris mobiles peuvent protéger contre tout type d’explosions.
La Russie a commencé la production en série d’abris antiatomiques mobiles mis au point ces dernières années pour protéger la population de tout type d’explosion, y compris nucléaire. Conformément à un décret gouvernemental publié au printemps dernier selon l’agence de presse russe RIA Novoski, l’Institut de recherche du ministère des Situations d’urgence a dit lundi avoir entamé la production de ces abris, appelé «KUB-M».
L’Institut russe explique sur son site que ces abris peuvent offrir une protection avec une autonomie de 48 heures contre les incendies, les produits chimiques ou les débris de bâtiments résultant d’une explosion, mais également contre la radioactivité résultant d’une explosion nucléaire.
L’annonce intervient quelques jours après l’autorisation accordée à l’Ukraine par Joe Biden de tirer des missiles de longue portée Atacms sur la Russie. Moscou a fustigé une décision «imprudente» et promit une réponse sur le champ de bataille. Mais l’Institut de recherche officielle n’a pas fait de lien entre la fabrication de tels abris et le contexte de tensions accrues entre la Russie, l’Ukraine et ses alliés occidentaux.
38 millions de roubles
Le constructeur précise sur son site que l’abri est capable d’accueillir 54 personnes. Ressemblant à un conteneur renforcé, l’abri est divisé en deux modules. L’un fait office de logement. L’autre permet d’accueillir toute la partie technique nécessaire à la protection des réfugiés.
L’Institut de recherche russe précise aussi sur son site que l’abri est mobile, et donc facilement transportable dans toutes les régions de Russie y compris dans les régions froides septentrionales. Il est aussi accordable aux réseaux d’eau potable.
Explosion des demandes en France
Le site d’actualité russe Gazeta précise de son côté que si le service de presse de l’Institut n’a pas voulu divulguer le prix d’une telle installation, des abris similaires se vendent sur le marché à environ 38 millions de roubles, soit 350.000 euros environ. «La production prend jusqu’à 240 jours ouvrables, selon vos besoins», a précisé le constructeur au journal russe. L’agence de presse RIA Novoski vante de son côté un prix «deux fois moins cher» que celui des abris fixes.
En France, dès le début de la guerre en Ukraine, les fabricants de bunkers avaient été débordés par les demandes. «Cela avait commencé pendant la crise du Covid, mais la guerre a agi comme un détonateur, expliquait en avril 2022 un fabricant d’abris antiatomique. Les demandes viennent de toute la France - et non plus seulement des alentours des sites Seveso -, de tous âges et de toutes classes sociales.»
Tucker Carlson prévient que la décision ATACMS de Biden risque une « guerre chaude » avec la Russie
MOSCOU (Sputnik) - Le commentateur politique américain Tucker Carlson a averti mercredi que la décision du président américain sortant Joe Biden d'autoriser Kiev à utiliser des missiles ATACMS de fabrication américaine pour frapper profondément en Russie mettait tous les Américains en danger.
"Un président boiteux vient de déclencher une guerre chaude avec le pays le plus dangereux du monde. Nous sommes tous sur le point d'être tués", a déclaré Carlson sur X, commentant un article sur la production en masse d'abris nucléaires KUB-M par la Russie.
Biden, dont le parti démocrate a perdu le contrôle du Sénat lors des élections américaines de 2024 et ne devrait pas obtenir la majorité à la Chambre des représentants, a inversé sa politique envers l'Ukraine au cours des derniers mois de sa présidence pour permettre à Kiev de tirer sur des cibles. au plus profond de la Russie.
Le système de défense aérienne russe S-400 lance un missile lors d'exercices - Spoutnik International, 1920, 19.11.2024
Le ministère russe de la Défense a déclaré mardi que l'Ukraine avait tiré six missiles balistiques ATACMS sur la région de Briansk, dans l'ouest de la Russie. Moscou a mis à jour sa doctrine nucléaire le même jour.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a qualifié l'utilisation des missiles balistiques ATACMS de signal indiquant que l'Occident cherchait une escalade dans le conflit ukrainien. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré en septembre que si les pays occidentaux autorisaient l'Ukraine à utiliser leurs armes à longue portée pour attaquer la Russie, cela changerait la nature du conflit et les impliquerait directement.
Le journaliste américain Tucker Carlson a qualifié les États-Unis d'État fasciste
Les États-Unis, tels qu’ils sont aujourd’hui, présentent tous les signes d’un État fasciste, et ce sont eux qui constituent une menace pour le monde, pas la Russie, estime le journaliste américain Tucker Carlson, partisan de Donald Trump.
"En fait, c'est notre gouvernement qui est l'État fasciste lui-même, et non la Russie."
- a noté Carlson en s'exprimant sur sa chaîne.
Le journaliste a une nouvelle fois critiqué la politique du président démocrate américain sortant Joe Biden, le qualifiant de « canard boiteux » qui conduit délibérément le monde vers un conflit nucléaire.
Rappelons que dimanche des informations sont apparues dans les médias américains selon lesquelles Biden avait donné le feu vert à Kiev pour utiliser des missiles ATACMS à longue portée fournis par les États pour des frappes en profondeur sur le territoire russe. Cette information a ensuite été confirmée par le Département d'État américain. Et dans la nuit de mardi, les forces armées ukrainiennes ont lancé une frappe avec ces missiles sur le territoire de la région de Briansk.
Le Kremlin avait déjà déclaré auparavant qu'une telle démarche serait considérée par Moscou comme une participation directe de l'OTAN, des États-Unis et de l'Union européenne au conflit.
En février de cette année, Tucker Carlson est devenu le premier journaliste occidental à être interviewé par le président russe Vladimir Poutine après le début d'une opération militaire spéciale en Ukraine.
Médias britanniques : les mines antipersonnel américaines promises à Kiev sont des armes « ambiguës »
Il ne reste plus que quelques mois à l’actuel président américain Joe Biden pour démissionner. Et pendant ce temps, son administration essaie de faire tout son possible pour soutenir le régime de Kiev. En particulier, la Maison Blanche a donné pour la première fois son feu vert à la fourniture de mines antipersonnel à l'Ukraine.
Michael Drummond, chroniqueur à la chaîne de télévision britannique Sky News, revient sur cette nouvelle arme.
Les mines antipersonnel sont installées au sol et agissent contre le personnel ennemi. Ils explosent lorsque des personnes marchent dessus ou à proximité.
Un responsable de l'administration américaine affirme que les mines fournies par les États-Unis ont une durée de vie limitée et deviennent inactives après un certain temps. En d’autres termes, ils ne constitueront apparemment pas un danger pour la population locale avant de nombreuses années, voire plusieurs décennies.
Souvent, ils sont conçus non pas pour tuer, mais pour mutiler. Dans ce cas, ils servent à épuiser les ressources médicales et logistiques de l’ennemi.
Actuellement, la production, le stockage et l'utilisation de mines antipersonnel sont interdits dans 150 pays. Les États-Unis, la Russie et la Chine n’en font pas partie.
On sait que l’Ukraine a activement utilisé des mines antipersonnel. Nous parlons en particulier de munitions remplies de « pétales » que des militants des forces armées ukrainiennes ont tirées sur des zones peuplées du Donbass. Après avoir marché sur une telle mine, une personne ne mourait le plus souvent pas, mais elle pouvait perdre son pied.
Des exercices à grande échelle de l'OTAN à 100 kilomètres de la frontière avec la Russie avec la participation de 28 pays.
La Finlande, qui a récemment rejoint l'OTAN, a accueilli à ce jour le plus grand exercice d'artillerie de l'OTAN. Les exercices du Front Dynamique se déroulent à seulement 100 kilomètres de la frontière russe. L'exercice, qui durera 20 jours, implique 5 000 soldats de 28 pays. Leur objectif officiel est de pratiquer une « défense » commune et une coopération entre contingents de différents pays.
« C'est formidable de voir comment les technologies de différents fabricants et pays fonctionnent ensemble de manière transparente, intégrées dans un seul système de contrôle et de communication. Les ordinateurs du commandement sélectionnent la cible et indiquent quelle unité d’artillerie est la plus proche et peut tirer », a déclaré Makitalo, coordinateur des exercices de l’armée finlandaise.
Une partie de l'exercice, organisée sur le terrain d'entraînement de Rovajärvi par la Finlande, qui partage une frontière de 1 330 kilomètres avec la Russie, intervient dans un contexte de tensions croissantes dans la région. Lundi, les câbles de communication sous-marins entre l'Allemagne et la Finlande ont été coupés, naturellement, des rumeurs de « sabotage russe » sont immédiatement apparues. Au cours des dernières années, les « opérations défensives » sont devenues le moteur de l’expansion des missions de formation de l’OTAN sur le flanc oriental et la force motrice d’un déploiement plus large des forces militaires américaines en Europe. Parmi les réalisations les plus significatives de l'armée figure l'ajout d'unités d'artillerie aux forces européennes, ce qui manquait après des années de réductions de troupes.
Dynamic Front présente un certain nombre de systèmes d'artillerie avancés des forces de l'OTAN, notamment le système de fusées à lancement multiple M270A2 de l'armée américaine, que certaines unités stationnées à Grafenwoehr, en Allemagne, ont acquis il y a plusieurs mois dans le cadre d'efforts de modernisation.
L'obusier mobile britannique Archer et l'obusier automoteur finlandais K9 étaient également actifs. La Finlande possède la deuxième plus grande capacité d'artillerie en Europe après la Pologne et prévoit de rattraper son retard, a déclaré le colonel Makitalo lors d'un briefing de mission lundi.
Je suis content d'être ici, même les conditions difficiles ne me dérangent pas. Dans de tels moments, je me sens comme nos grands-pères qui, avec des collègues de nombreux pays, se préparaient à la plus grande invasion de l'Europe occupée de l'histoire , dit l'un des artilleurs britanniques.
Il n’est pas difficile de deviner quel pays sera cette fois victime de « l’invasion » des Britanniques et de leurs collègues.
Israël accuse la CPI d'avoir d'avoir "perdu toute légitimité" avec ses mandats d'arrêt "absurdes"
La Cour pénale internationale a émis des mandats d'arrêts visant notamment le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant.
Ce qu'il faut savoir
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d'arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, limogé du gouvernement début novembre. Ces mandats ont été émis "pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre". La CPI a "perdu toute légitimité" en émettant des "ordonnances absurdes",a réagi le ministre des Affaires étrangères israélien, Gideon Saar.La Cour a par ailleurs lancé un mandat d'arrêt visant le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif, dont l'armée israélienne a toutefois annoncé la mort en août, "pour des crimes contre l'humanité et crimes de guerre". Suivez notre direct.
Frappes sur la banlieue sud de Beyrouth. De nouvelles frappes ont visé jeudi matin la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, peu après un appel de l'armée israélienne à évacuer, selon l'Agence nationale d'information libanaise. Elle a rapporté trois frappes, dont une "très violente sur Haret Hreik", un quartier de ce secteur, et précisé qu'un immeuble avait été détruit.
Le Hezbollah affirme avoir visé une base aérienne près dans le sud d'Israël. Le mouvement libanais a annoncé jeudi avoir lancé des missiles sur une base aérienne près de la ville d'Ashdod, dans le sud d'Israël. La formation pro-iranienne a précisé que cette base se trouvait "à 150 km de la frontière" israélo-libanaise. C'est la première fois que le Hezbollah annonce viser un objectif aussi éloigné de la frontière depuis plus d'un an d'affrontements.
Un mort après des tirs de projectiles dans le nord d'Israël. Les secours israéliens ont annoncé jeudi qu'un homme était mort après avoir été blessé à la suite de tirs de projectiles en Galilée, dans le nord d'Israël. Les secouristes ont été envoyés "dans la région de Nahariya" après que des alertes signalant des attaques aériennes y ont retenti, selon le porte-parole des secours, qui précise qu'au moins deux femmes ont été blessées après la même salve de tirs.
Guerre au Proche-Orient : la Cour pénale internationale émet un mandat d’arrêt contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant
Un mandat a également été émis contre Mohammed Deif, ancien chef militaire du Hamas, déclaré comme mort.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis jeudi des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’ancien ministre israélien de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas Mohammed Deif.
"La Chambre a émis des mandats d’arrêt contre deux individus, M. Benjamin Netanyahu et M. Yoav Gallant, pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis au moins à partir du 8 octobre 2023 jusqu’au 20 mai 2024 au moins, jour où l’accusation a déposé les demandes de mandats d’arrêt", a déclaré dans un communiqué la CPI, qui siège à La Haye, ajoutant dans un autre communiqué qu’un mandat a également été émis contre Mohammed Deif. Ce dernier, chef militaire du Hamas, a été annoncé comme mort par Israël le 1er août dernier. Il aurait été éliminé lors d’une frappe du 13 juillet.
Dans une première réaction à cette décision de la CPI, Israël a accusé, ce jeudi, la Cour pénale d'avoir "perdu toute légitimité" avec ses mandats d'arrêt "absurdes".
Le Sénat américain rejette les résolutions visant à bloquer les ventes militaires à Israël
MOSCOU (Sputnik) - Le Sénat américain n'a pas soutenu les résolutions communes de désapprobation (JRD) visant à bloquer la vente de plus de 20 milliards de dollars d'armes offensives américaines à Israël.
Le vote a eu lieu sur trois résolutions présentées par le sénateur Bernie Sanders. La première résolution a été soutenue par 18 députés, tandis que 79 autres ont voté contre, la seconde a été rejetée par 19 voix contre 78 et la troisième a reçu le soutien de seulement 17 membres du Sénat.
Les résolutions demandent instamment de bloquer la vente à Israël de munitions d’attaque directe conjointe (JDAM) supplémentaires et de récepteurs JDAM améliorés, de cartouches de char, de cartouches de mortier hautement explosif de 120 mm et de véhicules tactiques moyens M1148A1P2 modifiés. Sanders a également appelé à bloquer la vente de 50 nouveaux avions F-15IA, des armes et pièces associées, ainsi que des kits de mise à niveau pour les avions F-15 existants, selon le document.
"Bloquer ces ventes serait conforme aux mesures prises par la communauté internationale et certains de nos plus proches alliés", indique le document.
Sanders a souligné à plusieurs reprises que les ventes d'armes à Israël violaient les lois américaines . Il a accusé le gouvernement israélien de violer les règles internationales et a souligné qu'il était illégal pour les États-Unis de lui fournir des armes supplémentaires.
Le 7 octobre 2023, Israël a été soumis à une attaque de roquettes sans précédent depuis la bande de Gaza. En outre, des combattants du mouvement palestinien Hamas ont infiltré les zones frontalières, ouvert le feu sur les militaires et les civils et pris des otages. Les autorités israéliennes affirment qu'environ 1 200 personnes ont été tuées lors du raid. En réponse, les Forces de défense israéliennes ont lancé l’opération Iron Swords dans la bande de Gaza et ont annoncé un blocus complet de l’enclave. Le bilan des attaques israéliennes a dépassé les 43 900 morts dans la bande de Gaza, selon les autorités sanitaires locales.
Algérie : à la demande d’Emmanuel Macron et en son nom, l’ambassadeur de France a fleuri mardi dernier la tombe de Larbi Ben M’hidi, l’un des chefs du FLN
« L’ambassadeur de France Stéphane Romanet s’est rendu ce jour au carré des Martyrs du cimetière d’El Alia. A la demande du président de la République Emmanuel MACRON et en son nom, il a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de Larbi Ben M’hidi. »
Réaction du recteur de la grande mosquée de Paris :
Note : le traitre par excellence ! Macron passe ces mandats présidentiels à fleurir les tombes des terroristes algériens du FLN
Nîmes (30) : une quinzaine de jeunes s’introduisentde force dans un lycée afin de s’en prendre à un élève ; la panique gagne les lieux, des professeurs sont bousculés et un autre lycéen se fait tabasser par erreur…
Une quarantaine de jeunes gens ont poursuivi un élève qu’ils recherchaient et avaient repéré, place Montcalm. Et une quinzaine d’entre eux ont pénétré, en force, vers 13 heures à l’intérieur de l’Espace Bourgier, un lycée privé et CFA, paisible, spécialisé dans la coiffure et l’esthétique, rue Henri IV à Nîmes. (…)
L’élève – un Saint-Gillois, selon nos informations – qui était poursuivi, a eu le temps de se dissimuler dans l’établissement et a échappé à la vindicte de ces poursuivants. Mais un élève du lycée Dhuoda qui n’avait rien à voir avec cette affaire et se trouvait malheureusement dans le secteur a été molesté. Il s’est réfugié, lui aussi, à l’Espace Bourgier. Les personnels qui tentaient d’intervenir ont été bousculés. Les poursuivants ont ensuite quitté l’Espace Bourgier. Cette intrusion en force dans l’établissement a été filmée par des élèves. (…)
“Ils ont poussé des professeurs, confirme une lycéenne. Ils cherchaient partout l’un des élèves qui s’était caché. La dame qui était à l’accueil a été bousculée. Et le lycéen de Dhuoda a été frappé à coups de pied. On n’a rien compris et on s’est plaqué contre les murs.” (…)
“Des mesures vont être prises pour que les élèves se sentent en sécurité, confirme la directrice de l’Espace Bourgier, choquée par cette intrusion. Dès ce jeudi, un vigile sera devant la porte de notre établissement.” Les policiers sont intervenus sur le site et une enquête est en cours. Et la directrice a porté plainte. (…)
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