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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 19 novembre 2024

 

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

la Russie affirme que Kiev a attaqué son territoire pour la première fois avec des missiles ATACMS américains

 

 

Le ministère de la défense russe dit que six missiles longue portée ont été interceptés dans la région de Briansk cette nuit. L’armée ukrainienne a revendiqué l’attaque d’un vaste dépôt de munitions dans cette zone, mais n’a pas précisé quels types d’armes avaient été utilisés.


 

13:29 Urgent

La Russie affirme que l’Ukraine a frappé son territoire à l’aide de missiles ATACMS américains

La région de Briansk, en Russie, a été attaquée pendant la nuit à l’aide de six missiles américains ATACMS, a annoncé mardi le ministère de la défense russe sur Telegram, précisant que cinq avaient été détruits, et un, endommagé.

« A 3 h 25 [1 h 25, heure de Paris], l’ennemi a frappé un objet sur le territoire de la région de Briansk avec six missiles balistiques. Selon des données confirmées, des missiles opérationnels et tactiques ATACMS de fabrication américaine ont été utilisés », a rapporté le ministère. « A la suite d’un combat antimissile mené par les équipages de SAM S-400 et de SAM Pantsir, cinq missiles ont été abattus, et un a été endommagé », ajoute-t-il.

Il s’agirait de la première utilisation de ces missiles ATACMS sur le territoire russe, à 110 kilomètres environ de la frontière avec l’Ukraine, après que les Etats-Unis ont autorisé l’usage de ces missiles tactiques d’une portée de 300 kilomètres pour viser la Russie. L’armée ukrainienne, elle, a revendiqué l’attaque d’un vaste dépôt de munitions en Russie, près de Karatchev (📍), dans la région de Briansk, mais n’a pas précisé quels types d’armes avaient été utilisés dans cette attaque.

 


 

13:10

L’année 2025 décidera qui sera victorieux de la guerre, estime Volodymyr Zelensky

L’année 2025 décidera qui de la Russie ou de l’Ukraine remportera la guerre déclenchée par le Kremlin, a estimé mardi le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. « Dans les moments décisifs, qui arriveront l’année prochaine, nous ne devons permettre à personne dans le monde de douter de la résilience de notre Etat tout entier. Et cette étape déterminera qui l’emportera », a déclaré M. Zelensky devant le Parlement ukrainien.

Il a souligné que « la guerre décidera du destin de la nation tout entière » et que l’Ukraine avait le droit à son indépendance. « Mais, pour exercer ce droit, nous devons rester forts. Nous ne pouvons nous écrouler maintenant, il faut que ce soit l’occupant qui s’écroule, pas nous », a-t-il martelé, appelant à ne pas « trahir » les Ukrainiens morts sur le champ de bataille.

« Peut-être que l’Ukraine devra vivre plus longtemps qu’une certaine personne à Moscou pour atteindre tous ses objectifs (…) et peut-être pour restaurer l’intégrité totale de son Etat », a-t-il ajouté, en référence au président russe, Vladimir Poutine, qui a lancé l’invasion de son voisin il y a mille jours.

 

 

12:44

Volodymyr Zelensky met en garde contre l’augmentation du nombre de soldats nord-coréens aux côtés de la Russie

« Actuellement, [Vladimir] Poutine a mobilisé 11 000 soldats nord-coréens à la frontière de l’Ukraine. Ce contingent pourrait atteindre 100 000 personnes », a déclaré Volodymyr Zelensky dans son discours face au Parlement européen.

Le déploiement de troupes nord-coréennes aux côtés des Russes est conforme aux engagements du « partenariat stratégique » signé en juin à Pyongyang par Vladimir Poutine et le dirigeant Kim Jong-un, et ratifié la semaine dernière.

 

 

12:34

Les pays européens sont « prêts à assumer » l’aide à Kiev, si Washington réduit la sienne, selon la Pologne

Les grands pays européens sont prêts à assumer l’aide à Kiev si Washington réduit la sienne, a déclaré mardi le ministre des affaires étrangères polonais, Radoslaw Sikorski.

« Je note avec satisfaction que les principaux pays de l’Union européenne sont prêts à assumer la charge du soutien militaire et financier à l’Ukraine dans le contexte d’une éventuelle réduction de l’engagement des Etats-Unis », a déclaré M. Sikorski, à l’issue d’une réunion avec ses homologues français, allemand, italien, espagnol et britannique à Varsovie.

 

 

 

11:52

Vladimir Poutine « ne s’arrêtera pas de lui-même », lance Volodymyr Zelensky devant le Parlement européen, appelant à des « sanctions fermes »

Le président russe, Vladimir Poutine, « ne s’arrêtera pas de lui-même », a lancé le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une intervention diffusée par vidéo devant le Parlement européen à l’occasion du millième jour de l’invasion russe. « Poutine se concentre sur la victoire […]. Plus il dispose de temps, plus les conditions se détériorent », a insisté M. Zelensky, dont le discours a été longuement ovationné par les eurodéputés.

« Ensemble, l’Ukraine et ses alliés européens, américains et dans le monde ont réussi non seulement à empêcher Poutine de prendre l’Ukraine, mais aussi à protéger les nations européennes. Je vous demande de ne pas oublier cela », a-t-il rappelé, remerciant le Parlement pour son soutien. « Chaque coup et chaque menace de la Russie doivent être suivis de sanctions fermes », a-t-il insisté.

M. Zelensky a notamment appelé à « réduire [la] capacité [de Vladimir Poutine] à financer sa guerre grâce à des ventes de pétrole », qualifiant ces dernières de « forces vives du régime ». « Vous savez que Poutine n’accorde aucune valeur aux personnes ou aux règles, il n’accorde de valeur qu’à l’argent et aux armes. Ce sont les choses que nous devons lui prendre », a poursuivi le président ukrainien.

Des membres du Parlement européen devant le discours de Volodymyr Zelensky, en visioconférence, le 19 novembre 2024.

 



 

11:20

L’Ukraine dit avoir attaqué un dépôt de munitions russe dans la région de Briansk

L’armée ukrainienne a annoncé mardi avoir attaqué un vaste dépôt de munitions en Russie, près de Karatchev (📍), dans la région de Briansk, à 110 kilomètres environ de la frontière avec l’Ukraine. L’attaque a été suivie de douze détonations secondaires sur le site visé, a déclaré l’état-major ukrainien sur Telegram.

« La destruction des dépôts de munitions se poursuivra contre l’armée des occupants russes afin de stopper l’agression armée de la Fédération de Russie contre l’Ukraine », écrit l’armée, sans préciser quel type d’armes avait été utilisé par Kiev.

D’après Andri Kovalenko, chef du service ukrainien de lutte contre la désinformation, étaient stockés dans le dépôt visé des bombes aériennes guidées, des missiles de défense anti-aérienne et MLRS, des munitions d’artillerie, y compris des obus de Corée du Nord pour des armes de la RPDC. L’arsenal « avait déjà été attaqué par des drones plus tôt », précise M. Kovalenko sur Telegram.

Selon le ministère de la défense russe, douze drones ukrainiens ont été détruits entre 7 h 15, heure de Moscou (5 h 15, heure de Paris) et 8 h 35, et quatre autres entre 9 h 10 (7 h 10, heure de Paris) et 9 h 20.

 

 

11:07

Si Vladimir Poutine parvient « à ses fins » en Ukraine, il « ne s’arrêtera pas là », avertit le chef de l’OTAN, Mark Rutte

Le président russe, Vladimir Poutine, ne doit « parvenir à ses fins » en Ukraine, a averti mardi le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, au millième jour de l’offensive lancée par Moscou.

« Pourquoi est-il si crucial que Poutine ne parvienne pas à ses fins ? Parce que, sinon, nous aurons une Russie plus enhardie à notre frontière, qui aura gagné en superficie et en capacité d’intervention, et je suis absolument convaincu qu’elle ne s’arrêtera pas là », a déclaré M. Rutte à son arrivée à une réunion des ministres de la défense de l’UE à Bruxelles.

 

 

10:57

La Russie revendique la prise d’un village près de Kourakhove, dans l’est de l’Ukraine

Moscou a revendiqué dimanche la capture du village de Novosselydivka (🚩), situé à une dizaine de kilomètres au nord de Kourakhove, dans l’oblast de Donetsk, l’un des secteurs du front où ses troupes avancent face à une armée sur le recul depuis plusieurs mois. Les forces russes « ont libéré la localité de Novosselydivka à la suite d’opérations offensives », a ainsi rapporté le ministère de la défense russe dans son rapport quotidien.

 

 

10:48

Emmanuel Macron assure que le soutien à l’Ukraine « ne faiblira pas » face au « dessein impérialiste et brutal » de la Russie

Le soutien de la France à l’Ukraine « ne faiblira pas », a assuré mardi Emmanuel Macron sur X, saluant « une résistance courageuse à une guerre d’agression illégale et injustifiable » au millième jour de l’invasion russe.

« Mille jours que la Russie poursuit son dessein impérialiste et brutal, en ciblant les populations civiles et en violant les principes fondamentaux de la Charte des Nations unies. Mille jours que nous nous tenons résolument aux côtés de l’Ukraine et de son peuple pour faire triompher la liberté, la paix et la justice », écrit le président français. « Notre soutien ne faiblira pas », assure-t-il.

 


 

10:23

Josep Borrell espère que les Etats européens suivront Washington sur l’utilisation de missiles sur le sol russe

« J’espère que tous les Etats membres [de l’UE] suivront la décision américaine » d’autoriser des frappes sur le sol russe des missiles à longue portée qu’ils fournissent aux forces ukrainiennes, a déclaré mardi le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, à Bruxelles. Tout en rappelant que cette décision revenait aux Etats membres, et non à l’UE, M. Borell s’est dit « convaincu », avant le début d’une réunion des ministres de la défense des vingt-sept, que les Européens « autoriseront les Ukrainiens à utiliser [ces] armes pour combattre les Russes à l’intérieur du territoire russe ».

La France a livré des missiles sol-air Scalp à moyenne portée aux Ukrainiens, sans écarter la possibilité qu’ils soient utilisés sur le sol russe. Elle n’a toutefois jamais confirmé si de telles frappes avaient déjà eu lieu ou le nombre de missiles livrés à Kiev.

Berlin, en revanche, se refuse jusqu’à présent à livrer à Kiev des missiles Taurus de fabrication allemande, d’une portée de 500 km, de peur d’une escalade du conflit entre la Russie et les Occidentaux. « Rien n’a changé » dans la position de l’Allemagne, a affirmé mardi à son arrivée à Bruxelles son ministre de la défense, Boris Pistorius.

M. Borrell a également appelé les Européens à continuer leur soutien militaire à l’Ukraine, sans attendre d’éventuelles décisions du président élu Donald Trump sur ce sujet. « Les Européens ne peuvent pas rester en mode réactif. Ils ne peuvent pas s’asseoir et attendre de voir ce que les Américains vont faire et réagir ensuite », a-t-il affirmé. Les Européens redoutent que la nouvelle administration américaine suspende l’an prochain l’aide militaire des Etats-Unis à Kiev.

 

 


 

09:40

Vladimir Poutine a signé le décret élargissant les possibilités de recours à l’arme nucléaire

Le président russe, Vladimir Poutine, a signé mardi, au millième jour de son offensive contre l’Ukraine, le décret élargissant les possibilités de recours à l’arme nucléaire, juste après que les Etats-Unis ont autorisé Kiev à frapper le sol russe avec leurs missiles à longue portée.

M. Poutine avait prévenu à la fin de septembre que son pays pourrait désormais utiliser l’arme nucléaire en cas de « lancement massif » d’attaques aériennes contre la Russie et que tout assaut mené par un pays non nucléaire, comme l’Ukraine, mais soutenu par une puissance disposant de l’arme atomique, comme les Etats-Unis, pourrait être considéré comme une agression « conjointe », nécessitant potentiellement un recours à l’arme nucléaire.

« Il était nécessaire d’adapter nos fondements à la situation actuelle », a justifié le porte-parole de la présidence, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.

Selon la plupart des experts occidentaux, malgré la répétition des déclarations tonitruantes, entre autres sur l’emploi d’armes nucléaires tactiques, Moscou n’a jamais formellement modifié la mise en alerte de ses forces atomiques depuis son offensive lancée en Ukraine, en février 2022, rappelaient Elise Vincent, Emmanuel Grynszpan et Benjamin Quénelle dans Le Monde en septembre.

« Poutine est un tyran. Il va continuer à jouer du sabre de temps en temps. (…) Nous ne pouvons pas nous permettre d’être intimidés par ces bruits de sabre… », avait déclaré, le 7 septembre, William Burns, le patron de la CIA, lors d’un entretien public, à Londres, aux côtés de son homologue britannique du MI6, Richard Moore.

 


 

HIER 01:15

Emmanuel Macron juge la décision américaine d’autoriser les frappes ukrainiennes en profondeur « tout à fait bonne »

En marge du sommet du G20 à Rio de Janeiro, Emmanuel Macron a jugé, lundi, « tout à fait bonne » la décision des Etats-Unis d’autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles à longue portée en Russie.

« Je comprends que [la décision] a été déclenchée aussi par un changement profond dans ce conflit qu’il ne faut pas sous-estimer, qui est l’engagement des troupes nord-coréennes aux côtés de la Russie sur ce qui est le sol européen », a-t-il déclaré devant des journalistes.

« La seule puissance qui fait une escalade dans ce conflit aujourd’hui, c’est la Russie, en engageant à ses côtés la Corée du Nord, qui est, on le sait, une puissance très agressive qui est engagée sur un programme nucléaire avec des missiles de très longue portée. Donc c’est véritablement une rupture dans cette guerre qui a conduit à ce choix des Américains », a-t-il insisté.

M. Macron a, par ailleurs, estimé que la déclaration conjointe de ce sommet publiée lundi soir « aurait gagné à être plus explicite » sur le conflit en Ukraine et qu’elle « est en deçà de formules qu’on avait déjà pu obtenir ».

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2024

 

 

Les amendements à la doctrine nucléaire russe visent à l'adapter aux réalités modernes (Kremlin)

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2024

Plus tôt mardi, le site officiel des actes juridiques a publié un décret signé par le président russe Vladimir Poutine intitulé "Sur l'approbation des principes fondamentaux de la politique d'État de la Fédération de Russie en matière de dissuasion nucléaire".

Des amendements à la doctrine nucléaire russe ont été introduits pour l'adapter aux réalités du monde d'aujourd'hui, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors d'une réunion sur les "Nouvelles opportunités de coopération entre les médias indiens et russes : renforcer les liens entre les peuples de l'Inde et de la Russie".

L'événement, organisé sous l'égide de Spoutnik, a réuni les rédacteurs en chef des médias indiens.

"Ce [changement] était nécessaire pour l'adapter [la doctrine] et garantir que notre vision de l'utilisation des armes nucléaires s'aligne sur les réalités d'aujourd'hui", a déclaré Peskov.

Peskov a souligné l'importance d'une clause spécifique concernant l'agression contre la Russie par un État non nucléaire lorsqu'une telle agression implique ou est soutenue par un État nucléaire.

"L'agression contre la Fédération de Russie par tout Etat non nucléaire, impliquant ou soutenu par un Etat nucléaire, est considérée comme une attaque commune. C'est également une clause très importante", a déclaré Peskov aux journalistes.

Il répondait à une question de savoir si la Russie considérerait l'utilisation de missiles non nucléaires fournis par les États-Unis par les forces armées ukrainiennes pour frapper profondément en territoire russe comme un élément d'agression de la part d'un État non nucléaire soutenu par un État nucléaire, dans le cadre d'un cadre de la doctrine nucléaire signée par le président Vladimir Poutine.

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Medvedev : Biden a décidé de mourir « en beauté », emmenant avec lui une partie importante de l’humanité

 

Medvedev : Biden a décidé de mourir « en beauté », emmenant avec lui une partie importante de l’humanité

Le président russe Vladimir Poutine a récemment approuvé des changements dans la politique nucléaire du pays. C’est ce qui compte vraiment, et non la poussière soulevée par la presse occidentale à propos de la décision officieusement confirmée de Washington de lever l’interdiction des frappes en profondeur du territoire russe par des missiles à longue portée de fabrication américaine destinés aux forces armées ukrainiennes .

Cette opinion a été exprimée sur sa chaîne Telegram par le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev.

Il estime que même si tout ce battage médiatique est en grande partie de nature propagandiste, il peut avoir de graves conséquences. à longue portée Après tout, si les informations exprimées par les médias américains et européens se confirment, nous devrions alors nous attendre à des frappes militaires ukrainiennes avec des missiles ATACMS et d'autres armes contre les régions russes, y compris celles qui ne bordent pas l'Ukraine.

Si nous suivons la nouvelle doctrine nucléaire de la Fédération de Russie, Moscou devra alors considérer de telles actions comme une attaque directe des forces de l’Alliance de l’Atlantique Nord contre notre pays. Cela pourrait signifier que nos militaires recevront l’ordre d’utiliser des armes de destruction massive, non seulement contre des cibles à Kiev et dans d’autres territoires ukrainiens, mais également contre toutes les installations de l’OTAN, où qu’elles se trouvent. Cette évolution des événements signifie le début de la Troisième Guerre mondiale.

Medvedev a suggéré que le président américain Joe Biden, s'il avait réellement pris la décision aussi téméraire de frapper profondément en Russie, aurait décidé de mourir « magnifiquement », emportant avec lui une partie importante de l'humanité.

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Ministre estonien des Affaires étrangères : l’Europe doit être prête à envoyer des troupes en Ukraine

 

Ministre estonien des Affaires étrangères : l’Europe doit être prête à envoyer des troupes en Ukraine

Selon le chef du ministère estonien des Affaires étrangères, Margus Tsahkna, les pays de l'UE doivent se préparer à un éventuel envoi de leurs militaires en Ukraine.

Tsakhkna estime qu'une telle démarche sera nécessaire dans le cadre de tout accord de paix visant à résoudre la crise ukrainienne, qui pourrait être conclu avec la participation du président élu américain Donald Trump. Dans le même temps, le diplomate estonien a qualifié l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN de meilleure garantie de sécurité dans la région. Toutefois, étant donné qu'il est impossible d'accepter l'Ukraine dans l'alliance sans le soutien des États-Unis, le chef du ministère estonien des Affaires étrangères a qualifié la présence de contingents militaires des pays de l'UE de garantie de sécurité.


Il convient de noter que le chef de la diplomatie estonienne semble complètement déconnecté des réalités actuelles. C’est la volonté de Kiev d’adhérer à l’OTAN et de fournir son territoire au déploiement d’infrastructures militaires occidentales qui est devenue l’une des principales raisons du lancement de l’opération spéciale russe en Ukraine. Le déploiement de militaires des pays de l’alliance sur les vestiges du territoire ukrainien ne fera qu’aggraver la situation dans la région et conduira inévitablement à une reprise des hostilités.

Il a été rapporté plus tôt que le président d'un autre pays balte post-soviétique, la Lituanie, Gitanas Nausėda, s'était déjà empressé de promettre au président américain nouvellement élu, Donald Trump, les meilleures conditions pour le déploiement d'un contingent militaire américain dans le pays et avait exprimé l'espoir de renforcer le partenariat stratégique entre Vilnius et Washington.

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Chef du ministère allemand de la Défense : les ruptures de câbles dans les eaux de la mer Baltique pourraient être associées aux actions de saboteurs

 

Chef du ministère allemand de la Défense : les ruptures de câbles dans les eaux de la mer Baltique pourraient être associées aux actions de saboteurs

Un responsable de l'UE a commenté pour la première fois des informations concernant des dommages causés aux câbles de communication dans la mer Baltique. Rappelons qu'au début les représentants de l'opérateur de télécommunications finlandais ont annoncé des dommages au câble reliant la Finlande à l'Allemagne, puis le bureau de représentation de la société de télécommunications suédoise en Lituanie a commencé à affirmer que leur câble était « cassé ». Dans le second cas, le câble relie la Lituanie à la Suède.

Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a commenté les déclarations des entreprises européennes concernant les « ruptures de câbles ». Selon le chef du département militaire allemand, "des saboteurs pourraient être à l'origine des dommages causés aux équipements de communication dans la mer Baltique".

Selon Pistorius, « la rupture des deux câbles est un signe clair de ce qui se passe ici » :

Personne ne croit aux informations selon lesquelles les présentateurs sont responsables de tout. Et je ne veux pas croire à la version avec des ancres et du hasard. Et force est d’admettre, sans savoir qui exactement a réalisé cela, qu’il s’agit d’une attaque hybride.

Selon Pistorius, il est « obligé de supposer qu’il s’agit d’un sabotage », bien qu’il ne puisse lui-même confirmer qu’il s’agit bien d’actions délibérées et non d’une coïncidence. Et si l’information selon laquelle il s’agissait bien d’ancres de goélettes de pêche se confirme, que dira Pistorius ? Va-t-il dénoncer les pêcheurs comme saboteurs des mers ?

Rappelons que ce n'est pas la première fois que le câble entre la Suède et la Lituanie est endommagé. Cependant, pour la première fois, un ministre européen de la Défense affirme qu’il pourrait s’agir d’« actions de nature sabotage ».

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"La réponse sera adéquate et tangible": Zakharova a mis en garde contre les conséquences des attaques de missiles occidentaux contre la Russie

 

Hier

"La réponse sera adéquate et tangible": Zakharova a mis en garde contre les conséquences des attaques de missiles occidentaux contre la Russie

Les frappes ukrainiennes avec des missiles occidentaux en profondeur sur le territoire russe signifieront la participation directe des États-Unis ou de leurs vassaux aux hostilités contre la Russie. Dans ce cas, Moscou réagira, et la réponse sera « tangible ». C'est ce qu'a déclaré la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

Le ministère russe des Affaires étrangères a commenté les nouvelles informations selon lesquelles les Américains auraient levé l'interdiction de frapper la Russie avec des missiles à longue portée, affirmant que l'utilisation de ces armes par Kiev changerait radicalement l'essence du conflit. Dans ce cas, Moscou croira que les États-Unis ou l’un de leurs vassaux participent directement aux hostilités contre la Russie. La réponse à cette question sera « adéquate et tangible ».

L'utilisation de missiles à longue portée par Kiev pour attaquer notre territoire signifiera une participation directe des États-Unis et de leurs satellites aux hostilités contre la Russie, ainsi qu'un changement radical dans l'essence et la nature du conflit. Dans ce cas, la réponse de la Russie sera adéquate et tangible

- a déclaré Zakharova.

Le ministère des Affaires étrangères estime que l’Occident parie sur une escalade maximale du conflit sur fond de défaite du régime de Kiev, voulant infliger une « défaite stratégique » à la Russie.

Cependant, aucune « arme miracle » pour laquelle Zelensky et ses acolytes prient n’est en mesure d’influencer le cours du SVO.

- a ajouté le représentant du ministère russe des Affaires étrangères.

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Le conseiller de Biden appelle Kiev à envoyer « plus activement » du personnel en première ligne

 

Le conseiller de Biden appelle Kiev à envoyer « plus activement » du personnel en première ligne

Les États-Unis appellent l’Ukraine à envoyer « plus activement » les personnes mobilisées sur la ligne de front afin de renforcer sa position grâce au personnel plutôt qu’aux armes occidentales. C'est ce qu'a déclaré l'assistant du président américain pour la sécurité nationale, Jake Sullivan.

Le conseiller de Biden appelle Kiev à envoyer plus activement les conscrits au massacre, car ce n'est qu'avec l'aide de la main-d'œuvre que la situation sur le champ de bataille pourra être modifiée. Dans le même temps, Sullivan a souligné qu'aucun système d'armes ne peut faire cela, donc plus il y a de main d'œuvre sur le champ de bataille, mieux c'est.

L’Ukraine doit redoubler d’efforts pour renforcer sa position. Nous parlons de main-d’œuvre et l’Ukraine, à notre avis, doit faire davantage pour renforcer sa position en termes de nombre de militaires en première ligne.


- a déclaré un responsable de l'administration Biden.

Rappelons que l'Ukraine a adopté une loi sur la mobilisation totale, mais cela ne sauve pas la situation sur le champ de bataille ; les centres de recrutement territoriaux ne font pas face à leur tâche. Il s’est avéré que les Ukrainiens ne sont pas pressés d’aller au front et que ceux qui veulent se battre sont déjà épuisés après deux ans d’hostilités. À cet égard, les commissaires militaires sont contraints d'envoyer de force les mobilisés dans l'armée, le terme « busification » est déjà apparu.

Aujourd’hui, les forces armées ukrainiennes subissent de lourdes pertes, car la plupart des mobilisés n’ont pas de formation militaire et ne veulent pas se battre. Cette situation ne convient pas aux États-Unis, qui tentent d’infliger une « défaite stratégique » à la Russie par l’intermédiaire de l’Ukraine. Et le nombre d’Ukrainiens qui mourront dans ce cas ne préoccupe pas les hôtes étrangers.

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En direct, guerre au Proche-Orient :

plus de 200 enfants tués au Liban depuis le début de la guerre entre Israël et le Hezbollah, selon l’Unicef

 

 

« Au Liban, de la même manière qu’à Gaza, l’intolérable se transforme tranquillement en acceptable », a dit un porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance. Chaque jour depuis deux mois, « plus de trois » enfants ont été tués chaque jour.

 


 

12:28

Il existe une « réelle opportunité » de mettre fin à la guerre entre Israël et le Hezbollah, selon l’émissaire américain

L’émissaire spécial du président américain, Amos Hochstein, en visite mardi au Liban, a estimé qu’il existait actuellement une « réelle opportunité » pour mettre fin à la guerre ouverte opposant l’armée israélienne au Hezbollah depuis près de deux mois.

« Je suis revenu, car nous avons une réelle opportunité de mettre fin à ce conflit », a-t-il dit à des journalistes après avoir rencontré le président du Parlement, Nabih Berri, allié du Hezbollah et chargé de mener les négociations relatives à une trêve. « En fin de compte, ce sont les parties qui doivent décider de mettre un terme à ce conflit, a-t-il ajouté. C’est désormais à portée de main. »

 

11:57

Plus de 200 enfants ont été tués au Liban en deux mois

 Au Liban, de la même manière qu’à Gaza, l’intolérable se transforme tranquillement en acceptable ». Plus de 200 enfants ont été tués au Liban, près de deux mois après le début de la guerre entre Israël et le Hezbollah, alerte l’Unicef , soit en moyenne « plus de trois » par jour.

« Bien que plus de 200 enfants aient été tués au Liban en moins de deux mois, une tendance déconcertante se dégage : ces morts sont accueillies avec inertie par ceux qui sont en mesure de mettre un terme à cette violence », a déclaré un porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance, James Elder, lors d’un point de presse à Genève.

Après un an d’échanges de tirs transfrontaliers dans le sud du Liban, le Hezbollah et Israël sont entrés en guerre ouverte le 23 septembre, et l’armée israélienne mène des incursions dans le sud du Liban depuis le 30 septembre.

 

 

09:51

Israël salue les sanctions de l’UE contre Téhéran, « étapes nécessaires contre la menace iranienne »

Le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a salué mardi les nouvelles sanctions annoncées par l’Union européenne contre l’Iran, les qualifiant d’« étapes nécessaires » contre « la menace iranienne ».

Prises en raison du soutien présumé de l’Iran à la Russie dans le cadre de l’invasion de l’Ukraine, ces nouvelles sanctions sont « des étapes nécessaires dans la lutte de la communauté internationale contre la menace iranienne, qui constitue le plus grand danger pour la sécurité et la stabilité du Moyen-Orient, de l’Europe et du monde entier », a écrit M. Saar sur le réseau social X.

 



 

22:24

« Milices pro-iraniennes » : le chef de la diplomatie israélienne exhorte le Conseil de sécurité de l’ONU à « agir de toute urgence » pour faire pression sur l’Irak

Le ministre des affaires étrangères israélien a exhorté, lundi, le Conseil de sécurité de l’ONU à « agir de toute urgence » pour que l’Irak fasse cesser les attaques de drones contre Israël perpétrées à partir de son territoire par des « milices pro-iraniennes ».

« Ce soir, j’ai adressé une lettre au président du Conseil de sécurité de l’ONU dans laquelle j’appelle à une action immédiate concernant l’activité des milices pro-iraniennes en Irak, dont le territoire est utilisé pour attaquer Israël », écrit Gideon Saar sur X.

« Le gouvernement irakien a la responsabilité d’empêcher que son territoire soit utilisé comme base pour des attaques contre d’autres nations », ajoute M. Saar. « Israël appelle le gouvernement irakien à s’acquitter de ses obligations et à prendre des mesures immédiates pour faire cesser et empêcher ses attaques », poursuit le texte, notant « qu’Israël a le droit inhérent à se défendre, comme le prévoit la charte des Nations unies, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour se protéger et protéger ses citoyens contre les actes hostiles […] des milices soutenues par l’Iran en Irak ».

En Irak, des groupes paramilitaires chiites créés dans le chaos ayant suivi l’invasion américaine de 2003 ont formé une alliance appelée Résistance islamique en Irak, intégrée à ce que l’Iran appelle l’« axe de la résistance » à Israël.

La Résistance islamique en Irak revendique régulièrement des attaques aux drones explosifs sur Israël. Nombre de ces aéronefs sont interceptés par la défense antiaérienne israélienne, mais au début d’octobre un drone tiré d’Irak avait tué deux soldats israéliens et blessé 24 autres sur une base militaire du Golan syrien, occupé et annexé par Israël.

DIRECT

 

 

 

 

 

 

 

Le Liban et le Hezbollah sont globalement d’accord avec la proposition américaine de cessez-le-feu avec Israël – Rapports

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 19 novembre 2024

MOSCOU (Sputnik) - Le Liban et le mouvement libanais Hezbollah ont accepté la proposition américaine de cessez-le-feu avec Israël, mais avec quelques commentaires sur le contenu, ont rapporté les médias citant Ali Hassan Khalil, assistant du président du parlement libanais.

Selon le responsable, de l'effort le plus sérieux visant à mettre fin aux hostilités . il s'agit à l'heure actuelle

Le Liban a remis lundi sa réponse écrite à l'ambassadeur américain au Liban, a rapporté l'agence citant Khalil.

Le responsable a déclaré que tous les commentaires présentés confirmaient le strict respect de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU et de toutes ses dispositions. Il a également ajouté que le succès de l'initiative dépend désormais d'Israël qui, selon lui, "pourrait créer 100 problèmes" s'il ne veut pas de solution.

Comme l'a rapporté l'agence, Khalil a ajouté qu'Israël tente de négocier "sous le feu", faisant référence à l'escalade des bombardements sur Beyrouth et sa banlieue, mais que cela "n'affectera pas" la position du Liban.

Dimanche dernier, une source politique libanaise a déclaré à Sputnik que l'envoyé spécial du président américain au Moyen-Orient, Amos Hochstein, avait l'intention de se rendre à Beyrouth dans les prochains jours, car les autorités libanaises étaient prêtes à répondre à la proposition américaine de cessez-le-feu. avec Israël. La source a notamment souligné que la partie américaine avait évalué positivement les progrès des négociations et espérait qu'un accord de cessez-le-feu pourrait être conclu avant le 15 décembre.

Depuis le 1er octobre, Israël mène une opération terrestre contre les forces du Hezbollah au sud du Liban et poursuit ses bombardements aériens sur le pays voisin, où outre des civils, des dirigeants du mouvement chiite ont été tués et plus d'un million de personnes sont devenues des réfugiés. Malgré les pertes, notamment au sein de l'état-major, le Hezbollah mène des combats au sol et n'arrête pas les tirs de roquettes sur le territoire israélien.

Spoutnik

 
 

 

 

Allemagne : la chef de la police de Berlin conseille aux juifs et aux homosexuels d’être prudents dans “certains quartierspeuplés en “majorité de personnes d’origine arabe”

Une petite phrase qui risque de créer la controverse outre-Rhin. La chef de la police de Berlin, Barbara Slowik, a conseillé aux juifs et aux homosexuels d’être prudents dans «certains quartiers» de la capitale allemande, a-t-elle déclaré dans un entretien au journal Berliner Zeitung publié ce lundi.

À la question «existe-t-il des zones interdites (à Berlin) ?», Barbara Slowik a affirmé : «Fondamentalement, non. Cependant, il y a des domaines, et nous devons être honnêtes à ce stade, dans lesquels je conseillerais aux personnes qui portent une kippa ou qui sont ouvertement gays ou lesbiennes d’être plus prudentes. Dans de nombreuses métropoles, il convient d’être vigilant dans certains lieux publics pour se protéger de toute délinquance.»

«Qui représente un danger pour les juifs?», lui demande ensuite le Berliner Zeitung. «Je ne diffamerai aucun groupe de personnes ici. Malheureusement, il existe certains quartiers dans lesquels vivent une majorité des personnes d’origine arabe qui ont également de la sympathie pour les groupes terroristes . Un antisémitisme ouvert s’y exprime à l’encontre des personnes de foi et d’origine juives», rétorque Barbara Slowik. (…)

Le Figaro

 

 

Note;  j'aime la franchise, et je déteste le politiquement correct, pour régler un problème, il faut  déjà pouvoir le dénoncer, sans avoir peur des mots (arabes,  noir, musulmans)

C'est la gauche qui nous impose son langage, pour que le peuple n'ait pas le vocabulaire de dénoncer l'échec de leur idéologie du "vivre ensemble". Il ne faut surtout pas dire,  que l'immigration ababos, noirs, musulmane apportent la délinquance et l'aliénation de notre pays, alors que c'est la vérité.

 

 

 

 

Colombier-Saugnieu (69) : des policiers sauvagement agressés dans un CRA par un migrant tunisien, l’un sérieusement blessé a reçu 30 jours d’ITT

Une luxation à l’épaule et de sérieuses blessures au visage. Un agent de la PAF (police aux frontières) s’est vu délivrer 30 jours d’incapacité totale de travail (…)

Les faits se sont produits au bloc 5, peu après 11 heures. Trois retenus, âgés de 19 à 23 ans, se sont montrés très virulents, au moment de réintégrer leur espace de vie, pour aller y faire du ménage.

Deux d’entre eux ont été vite maîtrisés et conduits en chambre d’isolement. Le troisième, un Tunisien de 23 ans, est parvenu à prendre le dessus sur un policier, en s’emparant de son bâton de défense. Il lui a alors notamment porté plusieurs coups de poing à la tête.

Deux autres fonctionnaires ont été plus légèrement blessés, tous deux aux cervicales et aux mains, en reprenant le dessus sur le mis en cause, qui fait l’objet de poursuites pénales.

Le Bien Public

 

 

Rennes (35) : un cycliste poignardé et volé. Imane M, Ben Yasser A., et Ben Abderemane C., 21 ans interpellés.

 

 

Un cycliste a été violemment agressé, poignardé et dépouillé par trois individus à Rennes, cette nuit, indique une source policière. Le premier auteur a porté un coup de couteau à l’abdomen de la victime et menacé avec son arme un témoin qui s’était lancé à la poursuite du groupe, tandis que le 2e a dérobé le vélo. Le pronostic vital de la victime n’est pas engagé. Les trois suspects, interpellés à 00h20 par la Bac boulevard de Verdun pour tentative de meurtre, port d’arme de catégorie D, violences volontaires avec arme sans ITT et vol, ont été placés en garde à vue : Imane M., 18 ans, Ben Yasser A., 20 ans, et Ben Abderemane C., 21 ans, les deux derniers étant nés à Mamoudzou, à Mayotte.

 

 

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