Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
les Etats-Unis jettent « de l’huile sur le feu » en autorisant les tirs de missiles à longue portée ATACMS en Russie, selon le Kremlin
Cette autorisation conduirait à « une situation fondamentalement nouvelle en termes d’implication des Etats-Unis dans ce conflit », a mis en garde Moscou. La France, par la voix de son ministre des affaires étrangères, a réaffirmé que la perspective de donner à Kiev les moyens de frapper des cibles sur le territoire russe restait « une option ».
14:00 L’essentiel
Le point sur la guerre en Ukraine lundi 18 novembre à 14 heures
D’après le conseil municipal de Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, le bilan du bombardement russe sur un quartier résidentiel de la ville, dimanche soir, est désormais de 11 morts, dont 2 enfants, et autour de 80 blessés.
Au moins huit personnes ont été tuées lundi dans une attaque au missile en plein jour contre la ville portuaire d’Odessa, dans le sud de l’Ukraine, ont annoncé les autorités dans la région.
Le ministère de la défense russe a annoncé lundi matin avoir abattu 59 drones ukrainiens dans la nuit, notamment au-dessus des régions frontalières de l’Ukraine et dans la région de Moscou.
L’armée russe poursuit son avancée dans l’est de l’Ukraine, revendiquant la conquête d’un nouveau village au sud de la ville de Pokrovsk, nœud logistique-clé pour les forces ukrainiennes.
L’autorisation donnée à Kiev par Joe Biden pour utiliser des missiles américains à longue portée sur le territoire russe est de nature à « jeter de l’huile sur le feu », a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Le ministre des affaires étrangères italien, Antonio Tajani, a fait savoir de son côté que les armes italiennes ne peuvent pas être utilisées en dehors du territoire ukrainien.
13:46
Volodymyr Zelensky continue à critiquer la conversation entre Olaf Scholz et Vladimir Poutine : « Ce qui intéresse vraiment la Russie, c’est la guerre »
Dans un message sur Telegram, Volodymyr Zelensky a évoqué la frappe russe sur Odessa, qui a fait au moins huit morts trois jours à peine après la conversation téléphonique entre le chancelier allemand, Olaf Scholz, et Vladimir Poutine.
« Il ne s’agit pas de frappes au hasard, mais de frappes démonstratives », a écrit le président ukrainien. « Après les appels (…) avec Poutine (…), la Russie montre ce qui l’intéresse vraiment : la guerre. Et ce message devrait être entendu dans toutes les parties du monde, des salles où se réunissent les membres du G20 [qui se tient au Brésil] jusqu’à toutes les capitales du monde. »
13:09
L’UE renforce ses sanctions contre l’Iran pour son soutien à la Russie
L’Union européenne a annoncé lundi avoir renforcé ses sanctions contre l’Iran, accusé de soutenir l’effort de guerre de la Russie contre l’Ukraine en lui livrant des drones et des missiles.
« Ces mesures supplémentaires ont pour cible le recours à des navires et à des ports pour le transfert de drones, de missiles fabriqués en Iran et de technologies liées » à la fabrication de ces armes, ont expliqué les Vingt-Sept dans un communiqué.
12:23
L’Italie refuse que Kiev utilise ses armes hors de son territoire
Le ministre des affaires étrangères italien, Antonio Tajani, a réaffirmé lundi à Bruxelles la position de l’Italie sur les armes fournies à l’Ukraine. « Notre position sur l’usage des armes par l’Ukraine ne change pas, elles ne peuvent seulement être utilisées qu’à l’intérieur du territoire ukrainien », a déclaré le ministre en marge d’une réunion des chefs de la diplomatie de l’Union européenne.
M. Tajani a fait cette mise au point après que, selon des médias américains, Washington a autorisé l’Ukraine à frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée fournis par les Etats-Unis, un changement stratégique majeur à quelques semaines de l’arrivée au pouvoir de Donald Trump.
Ces missiles d’une portée maximale de plusieurs centaines de kilomètres permettraient à l’Ukraine d’atteindre des sites logistiques de l’armée russe et des aérodromes d’où décollent ses bombardiers.
M. Tajani s’est, par ailleurs, déclaré « favorable à une conférence paix en présence des Russes, des Chinois, des Indiens et des Brésiliens ». « Je souhaite que Pékin puisse jouer un rôle positif pour faire comprendre à Moscou qu’il faut arrêter cette guerre insensée », a-t-il ajouté. « Certes, la présence de soldats nord-coréens n’est pas un bon signal », a-t-il estimé.
11:50
L’armée russe revendique la conquête d’un village de plus dans la zone de Pokrovsk
L’armée russe poursuit son avancée dans l’est de l’Ukraine, revendiquant la conquête d’un nouveau village au sud de la ville de Pokrovsk, nœud logistique-clé pour les forces ukrainiennes. « Grâce à des actions décisives, les unités du groupement de troupes “centre” ont libéré le village de Novooleksiivka [🚩] », a annoncé le ministère de la défense russe dans son communiqué quotidien.
Cette localité est située à 15 kilomètres environ au sud de Pokrovsk. Le site ukrainien DeepState annonçait le 8 novembre que les forces russes avaient pris la localité. Selon Ukrainska Pravda, le village comptait 177 habitant en 2001.
Dans un communiqué, dimanche, l’état-major ukrainien annonçait avoir contré 32 attaques russes dans la direction de Pokrovsk.
11:10
Jean-Noël Barrot réaffirme que la perspective de donner à Kiev les moyens de frapper des cibles militaires sur le territoire russe reste une « option »
Le ministre des affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, a réaffirmé lundi que la perspective de donner à Kiev les moyens de frapper des cibles militaires sur le territoire russe restait « une option », sans préciser la nature des armements qui seraient utilisés. Ce commentaire fait suite à l’annonce, par des médias américains, de l’autorisation donnée par Washington à l’Ukraine d’employer sur le territoire de Moscou des projectiles à longue portée de facture américaine.
« Vous avez entendu le président Macron à Meseberg [en Allemagne] le 25 mai, où nous avons ouvertement dit que c’était une option que nous prenions en considération, s’il fallait autoriser des frappes sur des cibles à partir desquelles les Russes attaquent le territoire ukrainien », a-t-il affirmé, en anglais, à son arrivée à Bruxelles pour une réunion des ministres des affaires étrangères européens. « Donc, rien de nouveau sous le soleil », a-t-il ajouté.
10:57
Les Etats-Unis jettent « de l’huile sur le feu » en autorisant les tirs de missiles en Russie, selon le Kremlin
L’autorisation donnée à Kiev par Joe Biden pour utiliser des missiles américains à longue portée sur le territoire russe est de nature à « jeter de l’huile sur le feu » dans le conflit en Ukraine, a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Si elle devait être officiellement confirmée par Washington, cette autorisation conduirait à « une situation fondamentalement nouvelle en termes d’implication des Etats-Unis dans ce conflit », a encore mis en garde le porte-parole.
La décision a été annoncée par les médias américains et confirmée à l’Agence France-Presse par un responsable américain, après un nouveau week-end de frappes russes massives et meurtrières sur l’Ukraine.
08:55
La Chine appelle à la paix en Ukraine, autorisée par Washington à utiliser des missiles à longue portée en Russie
La Chine a de nouveau appelé lundi à la paix en Ukraine, alors que Washington a autorisé Kiev, selon un responsable américain, à frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée fournis par les Etats-Unis.
« Le plus urgent est d’encourager un apaisement de la situation aussi vite que possible », a déclaré lors d’une conférence de presse régulière Lin Jian, porte-parole du ministère des affaires étrangères, demandant un « cessez-le-feu rapide et une solution politique ».
HIER 23:12
Emmanuel Macron s’était dit prêt, dès la fin de mai, à autoriser l’Ukraine à frapper les sites militaires russes avec des missiles livrés par la France
Toutefois, Emmanuel Macron avait déjà dit, lors d’une conférence de presse au château de Meseberg, en Allemagne, le 28 mai 2024, autoriser Kiev à frapper des cibles militaires sur le territoire russe.
« On doit permettre [aux Ukrainiens] de neutraliser les sites militaires d’où sont tirés les missiles, les sites militaires [à partir desquels] l’Ukraine est agressée », avait-il déclaré à cette occasion. « Mais on ne doit pas permettre de toucher d’autres cibles en Russie, et évidemment des capacités civiles », avait-il précisé.
« Si on dit [aux Ukrainiens] “vous n’avez pas le droit d’atteindre le point d’où sont tirés les missiles”, en fait, on leur dit “on vous livre des armes, mais vous ne pouvez pas vous défendre”. »
Autorisation de missiles à longue portée contre la Russie : c’est un « langage que Poutine comprend », affirme Varsovie
L’autorisation donnée par Washington à Kiev de frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée est « un langage que [le président russe Vladimir] Poutine comprend», a affirmé dimanche soir le chef de la "diplomatie" polonaise.
« A l’entrée en guerre des troupes nord-coréennes et à l’attaque massive de missiles russes [dimanche matin], le président [américain Joe] Biden a répondu avec un langage que V. Poutine comprend », a estimé Radoslaw Sikorski sur X.
HIER 19:52 Urgent
Joe Biden autorise l’Ukraine à attaquer la Russie avec des missiles américains à longue portée
Photo du 14 décembre 2021 fournie par le département de la défense américain montrant un tir d’essai d’un missile tactique (ATACMS) au terrain d’essai de White Sands, au Nouveau-Mexique. JOHN HAMILTON / AFP
Un peu plus de deux mois avant l’entrée de Donald Trump à la Maison Blanche, le 20 janvier 2025, Joe Biden a levé les restrictions qui empêchaient jusqu’à présent l’Ukraine d’utiliser des armes fournies par les Etats-Unis pour frapper en profondeur le territoire russe, rapportent des sources à l’agence Associated Press, au New York Times, au Washington Postet à l’Agence France-Presse (AFP).
Les Etats-Unis « ont donné le feu vert à l’utilisation de missiles à longue portée », a ainsi déclaré un responsable américain s’exprimant sous couvert de l’anonymat à l’Agence France Presse.
Les missiles devraient initialement être utilisés dans la région frontalière russe de Koursk, où ont été déployés des soldats nord-coréens en appui des troupes russes, selon notamment le New York Times, qui cite des responsables américains s’exprimant sous couvert de l’anonymat. La Maison Blanche s’est refusée à tout commentaire.
La décision prise par Joe Biden répond à une demande de longue date du président ukrainien Volodymyr Zelensky de pouvoir utiliser des armes américaines pour frapper des cibles militaires loin de sa frontière, notamment les aérodromes utilisés par l’aviation russe pour bombarder l’Ukraine.
Le changement de politique de Washington intervient alors que Moscou a mené dimanche une nouvelle frappe massive de missiles contre le réseau énergétique ukrainien
Il fait également suite au déploiement dans la région russe de Koursk de troupes nord-coréennes pour lutter contre l’armée ukrainienne, une évolution qui a suscité l’inquiétude de Washington et de Kiev. Les premières frappes en profondeur seront probablement effectuées à l’aide de missiles ATACMS, dont la portée peut atteindre 306 km, selon les sources.
Bien que certains responsables américains aient exprimé leur scepticisme quant au fait que l’autorisation de frappes à longue portée puisse modifier la trajectoire générale de la guerre, cette décision pourrait aider l’Ukraine à un moment où les forces russes gagnent du terrain et pourrait placer Kiev dans une meilleure position de négociation si des pourparlers de cessez-le-feu devaient avoir lieu.
La Russie a maintes fois répété qu’elle considérerait toute décision américaine en ce sens comme une « escalade majeure ».
Donald Trump a promis de régler ce conflit « en vingt-quatre heures », sans jamais expliquer comment. L’Ukraine craint un affaiblissement du soutien américain, au moment où ses troupes sont en difficulté sur le front, ou qu’un accord impliquant des concessions territoriales à la Russie ne lui soit imposé.
Note ; il a fallu que 10 jours après les élections pour que Biden commence à mettre ces plans diaboliques en exécutions. Ce n'est pour moi pas une surprise, j'avais posté plusieurs articles qui disaient bien que Biben attendait la fin des élections pour autoriser les tirs sur la Russie. il reste maintenant encore 63 jours à Joe Biden pour enflammer la planète
Petit rappelle des avertissements de Poutine (septembre 2024)
🚨ALERTE
Poutine prévient que l'OTAN entrera en guerre directe avec la Russie si l'Ukraine utilise des missiles occidentaux à longue portée pour frapper l'intérieur de la Russie..
Le déclenchement de la troisième guerre mondiale dépend donc des actions des Ukrainiens. pic.twitter.com/U6Arw0N8gq
Le feu vert de Biden aux frappes ukrainiennes en profondeur en Russie : comment le monde réagit
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a souligné que permettre à l'Ukraine de frapper profondément en Russie avec des armes occidentales à longue portée, si elle est acceptée et apportée au régime de Kiev, signifie que l'administration américaine sortante a l'intention de provoquer une escalade des tensions en Ukraine.
Les hommes politiques, les journalistes et les entrepreneurs ont réagi à la décision du président américain sortant Joe Biden d'inciter l'Ukraine à utiliser des missiles américains à longue portée pour frapper la Russie.
Qui a condamné la décision
Donald Trump Jr. , l'aîné du président élu américain Donald Trump, a accusé les "imbéciles" du complexe militaro-industriel de chercher à déclencher la Troisième Guerre mondiale avant que son père "ait une chance de créer la paix et de sauver des vies".
Il a été repris par la représentante républicaine Marjorie Taylor Greene, qui a tweeté que "en quittant ses fonctions, Joe Biden tente dangereusement de déclencher la Troisième Guerre mondiale en autorisant l'Ukraine à utiliser des missiles américains à longue portée en Russie".
Selon le milliardaire Elon Musk : « Le problème est que la Russie répondra réciproquement ».
Le capital-risqueur David Sacks a à son tour souligné que Trump avait obtenu un « mandat clair pour mettre fin à la guerre en Ukraine », alors que Biden « aggrave massivement » la situation et tente de « confier » au président élu « la pire situation possible ».
Le journaliste américain Jackson Hinkle a qualifié Volodymyr Zelensky d'« homme mort qui marche », qui « vient de sceller son destin » et dont le monde « va bientôt imploser, comme le fait finalement toutes les autres marionnettes américaines ».
Le porte-parole de l'ambassade de Chine aux Etats-Unis, Liu Pengyu, a souligné que Pékin condamnait d'éventuelles frappes de missiles ATACMS sur le territoire russe et les actions qui pourraient conduire à une escalade du conflit en Ukraine.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré que la prétendue décision de Biden signifierait que l’Amérique « est entrée dans une phase de folie de l’impérialisme nord-américain ».
Qui a applaudi l’escalade
Le chef de la politique étrangère de l'UE, Josep Borrell, a déclaré qu'il soutenait l'idée de permettre à Kiev de frapper profondément en territoire russe avec des armes occidentales à longue portée, et cette question sera discutée au Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'UE.
La ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a clairement indiqué que Berlin soutenait la décision de Biden, insistant sur le fait que l'utilisation d'armes à longue portée relève du droit de légitime défense.
Alex Soros , fils du milliardaire George Soros, n'a pas hésité à "C'est une excellente nouvelle", en référence à la décision de Biden.
Le député démocrate américain Jake Auchincloss a déclaré que la décision du POTUS sortant était un « progrès attendu depuis longtemps », tandis que le député européen Thijs Reuten a salué cette décision sur sa page X : « Enfin ! L'Ukraine a maintenant besoin de plus d'ATACMS pour attaquer les positions de où il est attaqué. »
Dimanche, le New York Times a rapporté, citant des représentants anonymes de l'administration américaine, que le président Biden avait pour la première fois autorisé l'Ukraine à utiliser des missiles américains à longue portée pour frapper le territoire russe. Selon les sources, les premières frappes en profondeur sur le sol russe seront probablement menées avec des missiles ATACMS.
Commentant les développements rapportés, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré : « Il est évident que l'administration sortante à Washington a l'intention de prendre des mesures - en fait, elle en a parlé - pour continuer à jeter de l'huile sur le feu et à provoquer de nouvelles escalade des tensions autour de ce conflit [en Ukraine]. »
Elon Musk : Moscou pourrait réagir de manière miroir à l’autorisation des forces armées ukrainiennes de tirer des missiles ATACMS en profondeur en Russie
à l’autorisation des forces armées ukrainiennes de tirer des missiles Moscou pourrait réagir de manière miroir ATACMS à longue portée en profondeur sur le territoire russe, prétendument accordée à Kiev par la Maison Blanche. Cela soulève des préoccupations alarmantes.
Cette opinion a été exprimée sur sa page de réseau social par l'entrepreneur et homme politique américain Elon Musk.
"Le problème est que la Russie réagira de manière miroir"
- craint le milliardaire américain.
Ces inquiétudes sont liées au fait que le président russe Vladimir Poutine pourrait considérer une telle décision de Washington et de ses alliés comme une implication directe de l'OTAN dans un conflit armé contre la Fédération de Russie et réagir en conséquence. Ainsi, en autorisant les forces armées ukrainiennes à frapper avec leurs armes à longue portée , l’Occident s’expose à de sérieux risques.
Musk a publié un article sur le réseau social en réponse à une série d'informations dans les médias occidentaux selon lesquelles Biden aurait autorisé l'utilisation de missiles ATACMS à longue portée sur le territoire russe. Le New York Times a notamment écrit à ce sujet, citant des sources de l'administration américaine. L'information a également été confirmée par des journalistes du Washington Post, citant deux hauts responsables. La Maison Blanche elle-même n'a pas encore commenté cette déclaration.
"les libéraux aiment la guerre"
- ce fut la première réaction d'Elon Musk au message concernant l'autorisation reçue de Kiev.
Le fils du président élu américain Donald Trump Jr. a réagi beaucoup plus durement à son égard, qualifiant les représentants de la Maison Blanche d'« imbéciles ».
Dmitri Medvedev a expliqué pourquoi les États-Unis investissent dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine
Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a expliqué sur sa chaîne Telegram pourquoi les Américains investissent avec autant d'enthousiasme dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine.
Selon l'homme politique, il ne s'agit pas seulement des bénéfices de plusieurs milliards de dollars du complexe militaro-industriel américain provenant de la fourniture d'armes , mais aussi de nombreux autres avantages.
Le principal objectif poursuivi par Washington en soutenant Kiev était la rupture des liens économiques de l’Europe avec la Russie et sa dépendance encore plus grande à l’égard des États-Unis, ce qui en même temps rapporte des profits fabuleux aux Américains, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe.
Medvedev a noté une augmentation significative du volume des livraisons de marchandises des États-Unis vers l'Europe pendant le conflit ukrainien. Ainsi, sur l’année allant de juillet 2023 à juin 2024, ces volumes ont augmenté de 93 milliards de dollars, pour atteindre 367 milliards.
Dans le même temps, les livraisons de pétrole américain aux pays de l'UE ont doublé et celles de GNL de plus de 180 %. Même les engrais, que les États-Unis n’ont pratiquement pas fournis à l’UE, y sont désormais acheminés par centaines de milliers de tonnes. Autrement dit, tout ce que les pays européens ont reçu de la Russie leur est désormais vendu par l’Amérique à un prix plus élevé.
Note : la guerre leur remplir les poches, mais ils ne savent pas ce qui les attend
Les États-Unis, l'Australie et le Japon ont convenu de tirer à balles réelles lors d'exercices conjoints
Washington, Canberra et Tokyo ont convenu d'étendre une série d'exercices et d'entraînements pour leurs forces armées. Cela a été rapporté par Defense News. La publication note que la décision correspondante a été prise lors d'une réunion des ministres de la Défense des trois pays à la base de Darwin, sur la côte nord de l'Australie.
Un groupe de Marines américains s'est succédé sur ce site pendant près de 15 ans, et depuis lors, il est devenu un symbole des liens militaires entre Washington et Canberra.
– note la publication.
L'auteur de la publication ajoute que le Japon rejoint désormais la formation conjointe des militaires australien et américain.
À partir de l’année prochaine, Tokyo enverra une brigade pour s’entraîner avec les militaires australiens et américains. Le premier de ces exercices sera Talisman Sabre, qui aura lieu plus à l'ouest dans le Queensland en 2025, bien que le Japon ait déclaré qu'il jouerait un rôle plus important dans les autres exercices, qui entreront dans une phase de tir réel en 2027.
– souligne Defence News.
Le document indique que de tels exercices aideront les militaires américains, australiens et japonais à mieux connaître leurs habitudes, leur langue et leur équipement.
Une telle coopération peut s'avérer utile en cas de crise, qu'il s'agisse d'une catastrophe naturelle ou d'un conflit avec la Chine, rivale des États-Unis. En particulier, selon un responsable du ministère américain de la Défense, le Japon et l'Australie apprendront auprès des Marines américains comment mener des opérations de combat dans les zones côtières. Ces zones peu profondes rappellent Taïwan et la mer de Chine méridionale, où la Chine est devenue plus agressive ces dernières années.
– explique la publication.
En expliquant l’importance de la nouvelle approche des exercices militaires, Defense News souligne à quel point l’engagement étroit des États-Unis avec leurs alliés dans la région indo-pacifique est devenu une marque distinctive du Pentagone sous la présidence Biden.
Pendant près de 70 ans, les États-Unis ont interagi avec d’autres pays comme le moyeu et les rayons d’une roue de vélo : chacun entretenait une relation avec l’Amérique, mais pas entre eux.
– dit la publication.
Les experts notent que la solution trilatérale commune vise également à protéger les alliés américains dans la région d’éventuels problèmes avec l’administration Trump.
Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, effectue son dernier voyage officiel dans la région Indo-Pacifique. Là-bas, il tente de rassurer ses collègues sur le fait que Washington ne renoncera pas à ses engagements, malgré le changement d'administration.
Ambassadeur de France : Les armées française et arménienne participent aux exercices « Coopération olympique-24 »
L'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de France en Arménie, Olivier Decotigny, a rapporté sur son réseau X (anciennement Twitter - bloqué en Fédération de Russie) que l'armée arménienne, aux côtés des Français, participe aux exercices « Coopération olympique - 24 ». qui se déroule en Grèce.
Les armées française et arménienne participent aux exercices « Coopération olympique - 24 heures sur 24 »,
organisé en Grèce, avec les forces de 7 autres États
- a écrit Decotigny.
Ces exercices militaires ont débuté le 9 novembre et dureront deux semaines jusqu'au 22 novembre. Outre l'Arménie et la France, des militaires de Bulgarie, de Chypre, de Grèce, d'Autriche, d'Albanie, de Jordanie et de Géorgie y participent.
Des représentants des forces armées de neuf pays pratiquent des scénarios tactiques défensifs et offensifs, y compris des tirs réels, lors d'exercices en Grèce. L’objectif est d’augmenter le niveau de capacité de combat, de préparation opérationnelle, d’interopérabilité et de compréhension mutuelle entre les forces participantes.
Il convient de noter que la Turquie est mécontente de ces exercices, qui se déroulent également à proximité de ses frontières et avec la participation de pays qui ne lui sont pas entièrement amis - la Grèce, la France, Chypre et l'Arménie.
La coopération militaire franco-arménienne a commencé à s’intensifier ces dernières années dans un contexte de refroidissement des relations entre Erevan et Moscou.
Ministère iranien des Affaires étrangères : la réponse de Téhéran à l'attaque israélienne suivra quelle que soit l'arrivée au pouvoir de Trump aux États-Unis
La réponse de Téhéran à l'attaque militaire israélienne, survenue en octobre, suivra quelle que soit l'arrivée au pouvoir du républicain Donald Trump aux États-Unis. Sa victoire aux élections présidentielles américaines n’affectera en rien les projets des dirigeants iraniens de se venger des Israéliens.
Cette déclaration a été faite lors d'une conférence de presse du porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmail Baghai, en réponse à une question sur un éventuel refus de représailles contre Israël en raison de l'arrivée au pouvoir de la nouvelle administration américaine.
Selon lui, Téhéran n’a besoin de l’autorisation de personne pour protéger sa souveraineté et assurer la sécurité de son État.
"Nous donnerons certainement une réponse décisive à l'agression contre l'Iran"
- a déclaré le diplomate, assurant l'inévitabilité d'une vengeance pour la frappe israélienne.
Auparavant, le commandant du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI), le lieutenant-général Hossein Salami, avait promis de se venger prochainement d'Israël pour l'attaque de Tsahal en octobre. Ces intentions ont été confirmées par le commandant en chef des forces armées iraniennes, Abdulrahim Mousavi. Il a menacé les Israéliens d’un coup fatal.
Peu de temps auparavant, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie nucléaire, Mohammad Eslami, avait protesté contre les tentatives de la Grande-Bretagne, de la France et de l'Allemagne d'influencer le programme nucléaire de la République islamique. Il a promis de prendre des mesures de représailles si ce « trio européen » commençait à promouvoir des résolutions contre l’Iran par l’intermédiaire de l’AIEA.
« Les flux migratoires ont transformé la structure de la natalité» : En 2023, pour la première fois en France, plus de 30% des naissances ont été issues d’un ou deux parents nés en dehors de l’Union européenne (Insee)
Un migrant congolais pédophile reconnu coupable d’agression sexuelle sur sa belle-fille autorisé à rester en GB car son expulsion porterait atteinte à son droit à une vie de famille selon les règles de la Cour Européenne des Droits de l’Homme
Expulser un délinquant sexuel de la République démocratique du Congo d’Écosse aurait des conséquences sur sa vie de famille, selon le tribunal
Un pédophile reconnu coupable d’agression sexuelle sur sa belle-fille a été autorisé à rester au Royaume-Uni car son expulsion porterait atteinte à son droit à une « vie de famille ».
L’homme, âgé d’une cinquantaine d’années et originaire de la République démocratique du Congo, a été emprisonné pendant trois ans en 2020 pour des délits « épouvantables », notamment de pénétration sexuelle et d’agression sexuelle contre sa belle-fille et deux autres jeunes filles de la famille.
En raison de la gravité de ses délits, il a été condamné à être expulsé vers son pays d’origine, l’Afrique.
Il a cependant fait appel avec succès de cette sanction, un juge de l’immigration ayant statué que l’expulsion aurait « un impact négatif » sur le « bien-être » de sa femme et de ses trois enfants biologiques, contre lesquels les délits sexuels n’ont pas été commis.
Bubry (56) : la future gendarmerie, attendue avec impatience par les habitants, dégradée dans la nuit par des militants d’extrême-gauche
« ACAB » (« All cops are bastards », NDLR), « On ne veut pas de flics » (…) Voici les messages tagués en rouge et noir qui sont apparus sur la façade de la future gendarmerie de Bubry, dans la nuit du 16 au 17 novembre.
La peinture extérieure avait récemment été faite sur cette nouvelle gendarmerie en travaux qui doit ouvrir ses portes en début d’année 2025. « C’est navrant, se désole Roger Thomazo, maire de Bubry. C’est un bâtiment qu’on vient juste de réaménager et il est déjà dégradé. » Le maire a porté plainte.
En octobre 2023 : Dans quelques mois, Bubry (Morbihan) aura sa brigade de gendarmerie. Beaucoup l’attendaient avec impatience, car si la population baisse, certains délits sont en hausse. Un agriculteur en a fait les frais en pleine journée. “Je me suis mis sur le marchepied, et le réservoir avait été siphonné”, précise-t-il. Pour porter plainte, il a dû faire 30 minutes de trajet jusqu’à la gendarmerie la plus proche. “Si on a une proximité de gendarme, je suppose que les gens auront moins de facilité à ce niveau-là”, poursuit-il. (…)
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