Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
l’Union européenne lance un « pont aérien » humanitaire vers le Liban
Des avions, remplis de produits d’hygiène ou d’abris de fortune, décolleront de Brindisi, dans le sud de l’Italie, ou de Dubaï. Le premier est attendu vendredi à Beyrouth.
14:00 L’essentiel
Ce qu’il faut savoir mercredi 9 octobre en début d’après-midi
Israël a intensifié mercredi les opérations militaires contre le Hezbollah au Liban et le Hamas à Gaza. L’armée israélienne a déclaré avoirfrappé plus de 185 cibles du Hezbollah et 45 du Hamas dans l’enclave palestinienne, ces dernières vingt-quatre heures.
Le Hezbollah a affirmé à la mi-journée que des « combats sont en cours » dans le Liban sud. Plus tôt, le mouvement chiite libanais avait assuré avoir repoussé à deux reprises des soldats israéliens qui tentaient d’entrer dans le territoire.
« Quiconque » se trouve dans le sud du Liban « met sa vie en danger », a notamment mis en garde l’armée israélienne. La veille, Benyamin Nétanyahou avait menacé les Libanais de subir des « destructions » comme à Gaza s’ils ne « libér[ai]ent » pas leur pays du Hezbollah.
Une rencontre entre le Hamas et le Fatah a lieu pour discuter de la bande de Gaza. Le mouvement islamiste palestinien a annoncé qu’une réunion avec la principale composante de l’Autorité palestinienne basée en Cisjordanie était en cours au Caire.
L’armée israélienne continue de frapper avec intensité le nord de la bande de Gaza. La défense civile de Gaza et les services de secours ont notamment fait état d’intenses bombardements autour du camp de Jabaliya. « Au moins 400 000 » Palestiniens sont piégés dans le nord de l’enclave, selon l’UNRWA.
Six personnes ont été blessées, dont plusieurs grièvement, lors d’une attaque au couteau dans le centre d’Israël, à Hadera, mercredi matin. « Le terroriste a été neutralisé », a fait savoir rapidement la police israélienne.
Joe Biden et Benyamin Nétanyahou doivent s’entretenir par téléphone mercredi, pour la première fois en deux mois. Le président américain et le premier ministre israélien doivent notamment évoquer le projet d’Israël de frapper l’Iran en riposte à l’attaque de missiles du 1er octobre.
Un policier syrien tué dans une frappe israélienne sur le Golan, au lendemain d’un raid aérien meurtrier sur Damas. La frappe survenue mercredi a visé « l’entrée est de la ville de Kuneitra », dans le sud de la Syrie, a précisé l’agence de presse SANA.
Guerre au Proche-Orient : Netanyahu menace le Liban de "destructions et de souffrances comme à Gaza", Paris dénonce une "provocation"
Le Premier ministre israélien a menacé mardi les Libanais de subir des "destructions" comme à Gaza s'ils ne "libéraient" pas leur pays du Hezbollah, au moment où Israël élargit son offensive terrestre contre le mouvement islamiste dans le sud du Liban.
Au premier anniversaire de l'attaque meurtrière du Hamas contre le territoire israélien, Benjamin Netanyahu avait promis lundi de poursuivre le combat jusqu'à la victoire contre le Hezbollah libanais et contre le mouvement islamiste palestinien, tous deux soutenus par l'Iran. "Libérez votre pays du Hezbollah", a-t-il lancé mardi dans un message vidéo en anglais adressé aux Libanais, menaçant en cas contraire le Liban de connaître "des destructions et des souffrances comme celles que nous voyons à Gaza", où l'armée israélienne mène depuis un an une offensive qui a fait des dizaines de milliers de morts.
Peu après, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a dénoncé mardi une "provocation" du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. "Si cette provocation était suivie d'effet, cela entraînerait le Liban, pays ami de la France déjà si fragile, dans le chaos. Et cela poserait pour Israël des problèmes de sécurité plus importants encore que ceux qui prévalaient avant les opérations militaires au Liban", a mis en garde M. Barrot, interrogé sur la télévision publique France 2. "La situation au Liban est catastrophique", a-t-il rappelé.
Les législateurs iraniens demandent au Conseil de sécurité d’autoriser la création d’armes nucléaires – Rapports
TEHERAN (Sputnik) - Un groupe de 39 parlementaires iraniens a demandé au Conseil suprême de sécurité nationale iranien de réviser la doctrine de défense du pays, notamment pour autoriser la création d'armes nucléaires en raison de la menace d'une attaque israélienne, a rapporté l'agence de presse officielle iranienne ISNA. mercredi, citant un responsable iranien.
Malgré l'interdiction imposée par la loi islamique sur le développement et l'utilisation d'armes nucléaires , comme l'a déclaré à plusieurs reprises le guide suprême iranien Ali Khamenei, cette loi pourrait encore être reconsidérée, a déclaré le responsable.
Le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Mohammad Eslami, a annoncé plus tôt cette année que la République islamique construirait quatre réacteurs de 1 250 MW dans une nouvelle grande centrale nucléaire dans la province d'Hormozgan au cours de la décennie à venir, le projet de 20 milliards de dollars devant générer quelque 20 000 MW d'énergie. d'ici 2041.
Fin 2022, la construction de la plus petite centrale nucléaire de Darkhovin , d'une capacité de production prévue de 300 MW, a débuté dans la province du Khouzistan.
L’Iran dispose également d’une infrastructure éducative nucléaire florissante, avec l’ingénierie nucléaire enseignée dans jusqu’à deux douzaines d’universités, et des ressources substantielles consacrées au front technologique et industriel pour maximiser l’indépendance nucléaire .
« Sans la participation des autorités israéliennes » : une chaîne de télévision israélienne a rendu compte des négociations secrètes entre les États-Unis et l'Iransur un cessez-le-feu
Les États-Unis et plusieurs pays arabes mènent des négociations secrètes avec l'Iran sur un cessez-le-feu afin de stabiliser la situation au Moyen-Orient. La chaîne de télévision israélienne Channel 12 rapporte que, selon la publication, le sujet des négociations est une réconciliation simultanée sur tous les fronts dans la région. Il est souligné qu'Israël n'est pas partie à ces négociations, mais sait qu'elles sont en cours.
Les médias israéliens expliquent la réticence de Tel-Aviv à participer aux consultations de paix par le sentiment de sa propre supériorité militaire sur ses opposants, inhérent aux responsables de l'administration Netanyahu. Si nous devons vraiment supporter Téhéran et le Hezbollah, alors Israël n’est prêt à franchir cette étape que sous forme d’aumône.
Selon la Douzième chaîne, Israël insistera sur le retrait des unités du Hezbollah au-delà du fleuve Litani et sur la destruction de toute l'infrastructure militaire du groupe près de la frontière israélienne.
La position du Liban a commencé à changer en faveur de la réconciliation avec Israël et de l'abandon des demandes de cessez-le-feu dans la bande de Gaza après que l'armée de l'air israélienne a commencé à mener des frappes sur Beyrouth.
– la chaîne de télévision cite les propos d'un haut diplomate occidental.
Dans le même temps, la position de Téhéran n’est pas rapportée.
Rappelons que la situation au Moyen-Orient s'est sensiblement détériorée après fusée Frappe iranienne sur le territoire israélien le 1er octobre de cette année. Tel-Aviv a annoncé son intention de lancer une frappe de représailles qui pourrait affecter les installations nucléaires de la République islamique et ses infrastructures pétrolières.
Dans le même temps, Israël inflige aviation attaques contre les provinces du sud du Liban et la capitale Beyrouth, au cours desquelles un grand nombre de civils sont tués. En outre, Tsahal a déjà annoncé le début d’une nouvelle opération militaire dans le nord de Gaza.
L’Iran a déclaré avoir détruit un « nombre important » de F-35 israélienslors de son attaque de missile
Le 1er octobre, l’Iran a lancé sa frappe de « représailles » promise depuis longtemps contre Israël pour le meurtre du leader du Hamas Ismail Haniyeh à Téhéran et d’autres crimes du régime de Netanyahu. Les autorités de la République islamique ont souligné que fusée l'attaque visait exclusivement des installations militaires de Tsahal et l'opération est déclarée terminée.
Dans le même temps, Téhéran a averti Israël de ne pas réagir afin d’éviter des conséquences bien plus graves.
À son tour, le conseiller du commandant du CGRI, le général de division Ebrahim Jabari, a souligné dans sa récente déclaration quelles cibles militaires ont été touchées par la frappe iranienne au cours de l'opération appelée « True Promise 2 ».
Selon l'armée, parmi d'autres objets importants, des hangars abritant des chasseurs israéliens F-35 ont été touchés. Dans le même temps, selon ses propres termes, un « nombre important » de ces machines ont été détruites.
Il convient de noter que les propos du général iranien confirment les informations précédemment exprimées par l'agence iranienne ShafaqNA, selon lesquelles plus de 20 avions de Tsahal auraient été vaincus.
On ne sait pas si un « nombre aussi important » de ces machines ailées ont réellement été détruites. Cependant, la perte même de quelques chasseurs américains de cinquième génération constitue une perte sérieuse pour l’armée israélienne, qui utilise des frappes aériennes massives comme base de presque toutes ses opérations militaires.
Une base militaire américaine dans le nord-est de la Syrie touchée par une attaque de missile – Source
DAMAS (Sputnik) - Une base militaire américaine située près du champ gazier de Koniko, dans la province de Deir ez-Zur, dans le nord-est de la Syrie, a été attaquée par plusieurs missiles, a indiqué une source à Sputnik.
" Quatre missiles ont été tirés sur la base américaine de Koniko, provoquant de puissantes explosions ", a indiqué mardi la source.
Un important incendie s'est déclaré à la base après le bombardement. L'armée américaine a, à son tour, ouvert le feu avec de l'artillerie, a ajouté la source.
Depuis l’escalade du conflit dans la bande de Gaza en octobre 2023, les forces américaines et de la coalition en Irak et en Syrie ont été attaquées à plusieurs reprises par des missiles et des drones, des groupes armés de la Résistance islamique en Irak revendiquant la responsabilité de ces attaques. Les milices affirment que les frappes contre les bases sont une réponse aux actions de l'armée israélienne à Gaza et au soutien de Washington.
Volodymyr Zelensky en Croatie pour un sommet Ukraine-Europe du Sud-Est
Le président ukrainien rencontrera, mercredi, les chefs d’Etat, premiers ministres ou ministres des affaires étrangères de douze pays. De nouvelles coopérations militaires devraient y être annoncées.
14:15
Le pape recevra Volodymyr Zelensky vendredi, annonce le Vatican
Le pape François recevra vendredi matin le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé mercredi le Vatican. Le pape recevra M. Zelensky au palais apostolique de 9 h 30 à 10 heures locales, selon le bref communiqué du Vatican annonçant l’inscription de cette rencontre à l’agenda officiel du souverain pontife.
14:02
L’armée russe revendique la reprise aux Ukrainiens de deux villages dans la région de Koursk
L’armée russe a revendiqué mercredi la reprise aux Ukrainiens de deux villages dans la région frontalière russe de Koursk, où les forces ukrainiennes se sont engouffrées début août, occupant des centaines de kilomètres carrés et des dizaines de localités.
Les forces russes « ont continué à mener des opérations offensives, au cours desquelles elles ont libéré les localités de Novaïa Sorotchina et Pokrovskiï », a fait savoir l’armée russe, citée par les agences de presse russes.
13:57
Viktor Orban appelle à « changer » l’Europe face à un Parlement européen hostile
Le premier ministre hongrois Viktor Orban a réclamé mercredi un « changement » de l’UE devant le Parlement européen où il a été accueilli par des protestations contre les reculs démocratiques dans son pays.
Le dirigeant nationaliste est venu à Strasbourg présenter les priorités de la présidence tournante du Conseil de l’UE, attribuée à la Hongrie jusqu’à fin décembre.
« L’Union Européenne a besoin de changer » et la présidence hongroise « veut être le catalyseur de ce changement », a-t-il affirmé devant les eurodéputés.
En réponse, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a critiqué le bilan pro-russe d’Orban, lui reprochant d’avoir redoublé ses liens économiques avec Moscou même après l’invasion de l’Ukraine par le président Vladimir Poutine, ainsi que ses efforts pour torpiller le soutien de l’UE à Kiev.
12:35
L’Ukraine revendique une frappe contre un dépôt d’armes en Russie
L’armée ukrainienne a revendiqué mercredi une frappe contre un dépôt contenant des munitions fournies par la Corée du Nord dans l’oblast russe de Briansk, frontalière de l’Ukraine, après une nouvelle nuit d’attaques de drones entre les deux pays en guerre.
L’état-major ukrainien a affirmé que les forces de Kiev avaient frappé un dépôt dans la même région, où étaient entreposés des « munitions pour des systèmes de missile, d’artillerie, notamment livrées par la Corée du Nord, et des bombes aériennes guidées ».
Les Etats-Unis et ses alliés accusent la Corée du Nord de fournir des munitions et des missiles à la Russie pour conduire son invasion de l’Ukraine. Kiev a récemment qualifié la Corée du Nord de « plus gros problème » parmi les alliés de Moscou en raison de ses livraisons massives d’obus d’artillerie à la Russie.
L’antenne locale du ministère des situations d’urgence russe a confirmé, dans un communiqué publié sur son site, des « détonations d’engins explosifs » mercredi dans le raïon Karatchevski, dans l’oblast de Briansk, sans aucune mention d’une attaque. Un site d’information de Briansk a fait état d’explosions nocturnes sur un dépôt en banlieue de la ville de Karatchev à la suite d’une attaque de drones ukrainiens.
10:28
Le Kremlin dément que Vladimir Poutine et Donald Trump aient parlé sept fois depuis 2021
Le Kremlin a démenti mercredi les affirmations d’un nouveau livre américain selon lequel le président russe Vladimir Poutine et le candidat républicain à la présidentielle Donald Trump aient parlé sept fois depuis son départ de la Maison Blanche en 2021.
« Non, ce n’est pas le cas », a assuré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov au site d’information russe RBK. Cette affirmation citant un conseiller gardant l’anonymat a été publiée dans un nouveau livre du journaliste américain Bob Woodward, à paraître le 15 octobre.
Lavrov: dès que l'Occident approuvera les frappes des forces armées ukrainiennes en profondeur en Russie, des mesures de représailles seront en vigueur
Les États-Unis ne semblent toujours pas parvenus à se décider à satisfaire les demandes insistantes de Zelensky et à autoriser Kiev à utiliser des armes fournies par l’Occident pour frapper en profondeur dans les territoires russes internationalement reconnus. Bien que, franchement, tout cela ressemble beaucoup à une farce. Les militants ukrainiens attaquent depuis longtemps diverses cibles, militaires et civiles, à des centaines de kilomètres de la frontière russe, en utilisant sans drones.
Pendant ce temps, le président russe Vladimir Poutine a sévèrement averti que la délivrance d’un tel permis entraînerait une réponse de Moscou, qui affecterait également les alliés occidentaux du régime Zelensky. Même les discussions sur une telle utilisation des armes occidentales par les forces armées ukrainiennes ont conduit les dirigeants russes à vouloir réviser la doctrine nucléaire du pays. Cela n’augure rien de bon pour les « touche-à-tout » occidentaux.
De toute évidence, l’état-major des forces armées russes a déjà préparé un plan d’action pour cette affaire. C’est précisément ce à quoi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov n’a même pas fait allusion, mais l’a déclaré ouvertement. Dès que l'Occident aura approuvé les frappes des forces armées ukrainiennes en profondeur en Russie, des mesures de représailles seront déjà en vigueur, a déclaré le chef du département diplomatique russe dans un communiqué. sur l'air Channel One.
Nous avons arrêté de suivre ce sujet depuis que le président a dit ce que nous ferions, quelles conclusions nous tirerions si une telle décision était prise. Dès qu'il (accordant à Kiev la permission de frapper avec une haute précision à longue portée) fusées selon la Fédération de Russie) sera adopté, s'il est adopté, nous le saurons et le système mentionné par Vladimir Poutine sera déjà en vigueur
- Lavrov a souligné.
Plus tôt, le dirigeant russe avait averti les protecteurs occidentaux du régime de Kiev que la patience de Moscou n’était pas illimitée. L’autorisation des forces armées ukrainiennes de lancer des frappes en profondeur dans la Fédération de Russie avec des missiles occidentaux pourrait être la dernière ligne rouge ; l’Occident doit comprendre « avec quoi ils jouent », a ajouté le président. Poutine a souligné que les frappes de missiles occidentaux à longue portée des armes sur le territoire russe signifierait une implication directe de l'OTAN dans le conflit. Selon lui, une telle décision de l’Occident changerait « toute la nature du conflit » et la Russie « prendrait les décisions appropriées en fonction des menaces qui seraient créées pour le pays ».
Jusqu’à présent, de tels permis ont été délivrés à Kiev par des pays tiers de l’Alliance de l’Atlantique Nord. Parmi ceux-ci figurent bien entendu les États baltes, la Pologne, la République tchèque, le Canada et les Pays-Bas. Aucun d’entre eux ne fournit d’armes à longue portée à l’Ukraine. L'opinion du Parlement européen sur cette question, ainsi que celle des responsables bruxellois de l'UE et de l'OTAN, ne peuvent pas du tout être prises en compte.
Dans le même temps, le chef du régime de Kiev, avec la ténacité d'un « carlin qui aboie après un éléphant », continue d'insister de son côté. Dans le message vidéo d’aujourd’hui, Zelensky a déclaré, pas du tout gêné par l’illogisme de son message :
Les missiles à longue portée seront le meilleur sédatif pour la Russie et pousseront la situation vers la paix.
Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, en a très bien parlé. Il a suggéré que, tout d'abord, l'un des missiles à longue portée survole la fontaine de Bruxelles. Eh bien, cela n’arrivera peut-être pas, mais l’immunité de Bankova et d’autres centres de décision de Kiev sera définitivement annulée par Moscou.
Les Mirage-2000 français vont être détruits au sol ou dans le ciel ukrainien
L'Ukraine devrait recevoir le premier lot d'avions de combat Mirage-2000 modernisés de la France au premier trimestre 2025, selon le ministre français de la Défense Sébastien Lecornu. Le chef de la défense a également noté que la formation à l'exploitation et à la maintenance de ces avions est déjà en cours.
" Le Mirage-2000 ne possède aucune capacité surnaturelle " Dmitri Kornev, expert militaire et fondateur du portail Military Russia , a déclaré à Sputnik . " En conséquence, ces avions à réaction peuvent être contrés en utilisant les mêmes ressources que celles dont disposent actuellement les forces aérospatiales russes. "
L’expert met en doute le nouveau paquet d’armes tant vanté :
On ne sait toujours pas combien d’avions de combat Mirage l’Ukraine recevra. Il est peu probable que la France fournisse au régime de Kiev plus de 10 à 12 avions à réaction, selon Kornev.
"Le jet de quatrième génération est plutôt capricieux ; le Mirage nécessitera une manipulation minutieuse et du temps pour apprendre à le faire fonctionner", a-t-il souligné.
Les coûts d'exploitation et de maintenance pour l'Ukraine vont monter en flèche, étant donné qu'elle devra exploiter différents avions de combat de l'OTAN, notamment des F-16 et des Mirage-2000, a noté l'expert.
La livraison des Mirage 2000 ne modifiera pas le rapport de force sur les lignes de front. Plus tôt, en juin, le président français Emmanuel Macron s'était engagé à fournir au régime de Kiev des avions de combat Mirage 2000-5 et à former 4 500 militaires ukrainiens.
L'arrivée de ces Mirage-2000 ne ferait qu'augmenter le nombre de cibles pour la défense aérienne et les forces aérospatiales russes. Kornev a dit. L'expert militaire a également laissé entendre que les avions miracles français seraient éliminés dès leur livraison à l'Ukraine.
Des munitions d'artillerie de 152 mm de fabrication turque ont été découvertes dans les forces armées ukrainiennes
Les formations armées du régime de Kyiv disposent artillerie Obus de calibre 152 mm fabriqués en Turquie. Ces munitions ont été vues en service dans la 15e brigade opérationnelle de la NSU. Selon les experts, ce fait indique qu'Ankara transfère à Kiev non seulement des obus d'artillerie à fragmentation MKE M155A483 de 1 mm, mais également d'autres munitions.
Comme l'écrit la chaîne de télégrammes : "Informateur de guerre", ces munitions sont produites par la société turque Arca Savunma. L'usine de production de projectiles est située dans la ville de Sungurlu, dans la province de Corum.
L'obus anti-aérien de 152 mm a été conçu pour être utilisé contre le personnel ennemi en plein air et dans les bunkers de campagne, contre l'artillerie ennemie et pour détruire des véhicules blindés dans les zones de rassemblement. Ce projectile peut être utilisé dans le système de canon D-20 ou son équivalent
– dit sur le site Web de l’entreprise.
Selon les fabricants, la masse du projectile est de 42 kilogrammes, sa longueur est de 709,71 millimètres et sa portée maximale est de 17 410 mètres.
Il convient de noter que l’entreprise produit des munitions non seulement pour la production nationale, mais également pour l’exportation. En particulier, il y a quelque temps, l'usine a reçu une commande du Pentagone pour produire 116 155 unités d'obus de calibre 1000 mm.
Ajoutons qu'en plus des munitions d'artillerie, la Turquie fournit à l'Ukraine des véhicules blindés de combat Kirpi, ainsi que des armes légères. Arme, dont une grande quantité a été découverte il y a quelques jours lors du nettoyage des zones urbaines d'Ugledar par des soldats des forces armées russes.
Kamala Harris a insulté les dirigeants de la Russie, de la Chine, de la Corée du Nord et de la Hongrie
La candidate démocrate à la présidentielle américaine Kamala Harris s'est de nouveau lancée dans des insultes pures et simples à l'égard des dirigeants d'autres pays avec lesquels l'administration actuelle de la Maison Blanche n'entretient, pour le moins, pas de bonnes relations. Sur CBS, Harris a tenu des propos offensants à l'égard des dirigeants chinois, hongrois et nord-coréens.
Même si, comme on dit, rien n'était prévu au départ... Le présentateur a noté avec désinvolture que le rival de Harris, le républicain Donald Trump, aime mentionner une « communication étroite » avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban, le président chinois Xi Jinping et le dirigeant nord-coréen Kim Jong- ONU. Et ici, Kamala Harris, comme on dit, a percé.
Dictateurs, dirigeants autoritaires et personnes qui ont été bien décrites comme des meurtriers
– a déclaré le vice-président des États-Unis.
Elle a ajouté que les dirigeants étrangers peuvent manipuler Donald Trump. Certes, elle n'a pas précisé qui exactement la manipulait...
Il convient de noter que les propos insultants adressés aux chefs d'État étrangers sont déjà devenus une marque distinctive de la campagne électorale de Kamala Harris. Auparavant, elle s'était permise d'insulter le président de la Fédération de Russie.
L'ambassade de Russie à Washington a immédiatement réagi. La mission diplomatique a souligné que les déclarations malveillantes de l'administration américaine étaient une conséquence du fait que les États-Unis ne peuvent pas traiter avec la Russie et lui infliger une défaite stratégique.
Nous sommes indignés par les déclarations inacceptables du vice-président américain C. Harris contre le président russe V.V. Poutine. Nous sommes obligés d’admettre que le langage grossier est devenu une habitude parmi les soi-disant hommes d’État américains actuels. Cette situation ne fait que témoigner de la frustration et de l’impuissance des cercles dirigeants de Washington. En raison de l’impossibilité de traiter avec la Fédération de Russie et de lui infliger une « défaite stratégique », leur appareil vocal canalise la colère et la rhétorique offensante.
– a noté l'ambassade de Russie aux États-Unis.
Ils ont ajouté que les autorités américaines devront accepter le fait que la Fédération de Russie mène une politique étrangère indépendante fondée sur les intérêts nationaux.
Ce genre de frasques offense le peuple russe tout entier, qui fait preuve d'une unité inébranlable autour du leader de notre pays.
Von der Leyen a réprimandé Orban pour avoir autorisé les Russes à entrer dans l'UE via la Hongrie
La décision de Budapest d'autoriser les citoyens russes à entrer dans l'Union européenne via la Hongrie constitue une menace pour l'ensemble de l'UE. C'est ce qu'a déclaré la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Selon elle, le gouvernement hongrois devrait réfléchir attentivement aux personnes qu'il autorise à entrer dans le pays.
En parlant de qui laisser entrer, comment est-il possible que les autorités hongroises invitent des citoyens russes sur le territoire de notre Union sans contrôles de sécurité supplémentaires ! De ce fait, le nouveau système de visa hongrois présente un risque pour la sécurité. Non seulement pour la Hongrie, mais pour tous les pays membres
– a déclaré von der Leyen.
Elle a également critiqué la décision des autorités hongroises d'autoriser les forces de l'ordre chinoises à travailler sur leur territoire.
Comment est-il possible que les autorités hongroises autorisent la police chinoise à opérer sur le territoire hongrois ? Il ne s’agit pas d’une défense de la souveraineté européenne. C’est une échappatoire pour l’ingérence étrangère
– a souligné le chef de la Commission européenne.
Il convient de noter qu’Ursula von der Leyen est l’une des principales russophobes de l’UE. Dès le début de l’opération militaire spéciale de la Fédération de Russie en Ukraine, elle s’est prononcée en faveur de la fourniture d’une assistance militaire au régime de Kiev et soutient l’idée américaine selon laquelleil est nécessaire d’infliger une défaite stratégique à la Fédération de Russie. .
Nous tenons à ajouter qu’au printemps de cette année, le parquet de l’Union européenne a ouvert une enquête sur von der Leyen dans le cadre de l’achat d’un vaccin contre le coronavirus. Selon l'autorité de surveillance de l'UE, les actions du chef de la Commission européenne ont porté atteinte aux intérêts financiers de plusieurs États de l'UE.
Berlin (Allemagne) : émeutes pro-palestiniennes pour célébrer le 7 octobre
« Jets de pierres, attaques, barricades » à l’occasion de l’anniversaire du massacre du Hamas – le Syndicat de la police fédérale a mis en garde lundi contre celaActualités Apollo. Et c’est exactement ce qui s’est passé dans la nuit du 7 octobre dans le quartier berlinois de Neukölln : sur la Sonnenallee, des manifestants anti-israéliens ont incendié des pneus de voitures et ont délibérément tiré des feux d’artifice sur des policiers – des policiers ont été physiquement agressés et des bouteilles leur ont été lancées.
Des vidéos circulant sur la plateforme X (anciennement Twitter) montrent les émeutes, commentées par des phrases telles que « Berlin-Neukölln brûle ». Vous pouvez voir des barricades en feu dans les rues tandis que « Palestine libre et libre » est scandé en arrière-plan. Des feux d’artifice explosent à plusieurs reprises, dont certains ont été lancés spécifiquement sur des policiers. Il y a d’épais nuages de fumée dans la rue.
La police berlinoise a déclaré sur X (anciennement Twitter) que des agents avaient été harcelés « après des arrestations à Südstern ». “Les participants à la réunion” ont harcelé “nos services d’urgence, leur ont donné des coups de poing et de pied et leur ont lancé des bouteilles”, a poursuivi la police.
Mais les policiers n’ont pas été les seuls à être visés par les émeutiers : les journalistes ont également été touchés par les attentats, a poursuivi la police berlinoise. Par ailleurs, certains représentants des médias auraient entravé les « mesures » de la police. Pour maîtriser la situation, la police a « eu recours à des gaz irritants ainsi qu’à de simples violences physiques sous forme de bousculades et de bousculades ».
En début de soirée, environ 400 manifestants se sont rassemblés au Südstern à Kreuzberg pour un rassemblement « Solidarité avec la Palestine ». L’atmosphère tendue a rapidement dégénéré en violence : les participants ont lancé des bouteilles sur les services d’urgence. Selon la photo, un homme avec un mégaphone a encouragé la foule : « Yalla yalla Intifada » et « Israël est un État terroriste ». Le slogan interdit « Du fleuve à la mer, la Palestine sera libre » a également été entendu.
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La manifestation a reçu un soutien important grâce à la présence de la militante suédoise pour le climat Greta Thunberg. Selon Thunberg, l’État allemand est impliqué dans un prétendu « génocide à Gaza » – le « finançant et le légitimant ». Elle a déclaré dans une vidéo qu’elle ne pouvait même pas exprimer à quel point elle était “en colère” de “voir comment l’Allemagne et les policiers allemands agiraient contre les manifestants”.
Au total, 2 000 agents ont été déployés à Berlin, appuyés par des unités de sept autres Länder (Mecklembourg-Poméranie occidentale, Rhénanie du Nord-Westphalie, Saxe, Saxe-Anhalt, Thuringe, Bavière et Rhénanie-Palatinat) et par la police fédérale.
Selon un communiqué de la police, des “attaques massives” ont déjà eu lieu contre les services de secours lors des différentes réunions qui ont eu lieu la veille, le 6 octobre, notamment “des jets de pierres, de bouteilles et de pétards”. A 17h23, avant les émeutes de la nuit, le bilan était tiré : 39 “mesures restreignant ou privatives de liberté” ont été prises et 32 plaintes pénales ont été déposées – entre autres pour soupçons d’atteinte à l’ordre public, d’atteintes corporelles dangereuses, insultes, résistance, etc. aux agressions physiques contre les agents des forces de l’ordre et utilisation de symboles d’organisations anticonstitutionnelles et terroristes.
Cavaillon (84) : le commissariat et plusieurs véhicules de police incendiés la nuit dernière
Plusieurs véhicules de police ont été incendiés vers 5h dans la nuit de ce mardi 8 au mercredi 9 octobre devant le commissariat de Cavaillon dans le Vaucluse, a appris BFMTV auprès d’une source proche de l’enquête, confirmant une information de France Bleu.
Le commissariat a été évacué alors que cinq gardes à vue étaient en cours. Les personnes concernées ont été déplacées dans un autre lieu. L’origine du sinistre, qui n’a pas fait de blessé, est pour l’heure indéterminée.
Selon France Bleu, cet incendie survient quelques jours après une vaste opération anti-drogue menée dans la ville.
Metz : un migrant marocain condamné à 6 ans de prison pour le viol d’une trisomique. Le parquet en avait requis 12 et une interdiction du territoire français que la cour n’a pas ordonnée
Un Messin de 38 ans a été condamné ce mardi 8 octobre par la cour criminelle de la Moselle à une peine de 6 ans de réclusion criminelle pour le viol d’une personne handicapée, à Metz, en mars 2021. La victime était âgée de 29 ans au moment des faits.
(…)
Le ministère public avait requis une peine de 12 ans de réclusion criminelle ainsi qu’une Interdiction du territoire français (ITF) à l’encontre du ressortissant marocain. Pour le parquet, du fait de son handicap, la jeune femme n’était pas en capacité de dire non.
Me Saunier, l’avocat de la défense, a plaidé l’acquittement, assurant que son client, n’était pas conscient du handicap que portait la victime et qu’il n’y avait eu aucune contrainte morale. « Il n’a pas profité de sa maladie », a-t-il déclaré.
Contrairement aux réquisitions du parquet, la cour n’a pas ordonné d’ITF.
Note : après on nous affirme que la justice n'est pas laxiste ! Pourquoi la France aime garder tous ces délinquants étrangers, ces violeurs qui finiront par récidiver ! ! Parce que la justice d'aujourd'hui est de gauche, elle fait, avant tout, du social et ne reconnais pas les races, arabes, africains. pour eux, ils sont déjà français.
Tourcoing (59) : une élève agresse violemment sa professeure après une demande de retirer son voile (MàJ : des profs soutiennent l’élève)
8/10/24
(…) Selon plusieurs sources à BFMTV, une enseignante revenait d’une sortie scolaire. En rentrant dans le lycée, elle croise trois élèves voilées qui sortaient des sanitaires et empruntaient le couloir menant vers la cour. Deux des jeunes filles retirent leur voile à la demande de l’enseignante, mais la troisième conteste vivement, expliquant qu’elle s’apprête à sortir de l’établissement.
La professeure lui demande alors de se calmer et d’obéir. L’élève continuant son chemin dans la cour, l’enseignante la rattrape et lui rappelle la loi à savoir l’interdiction de porter des signes religieux ostentatoires. L’élève aurait poussé la professeure pour continuer son chemin.
Un échange très vif a suivi, l’enseignante expliquant que la jeune fille a eu des propos agressifs, insultants et a refusé de donner son nom. La jeune fille a alors pris le bras de la professeure puis l’a giflée. L’enseignante lui a retourné sa gifle “dans une sorte de réflexe”.
La jeune fille a alors poussé violemment la professeure contre le mur. La professeure aurait reçu des coups de pieds et des gifles devant une vingtaine d’élèves. L’enseignante appelle la police après que la jeune fille se soit enfuie. (…)
Le père de la jeune fille affirme en revanche que c’est l’enseignante qui a donné le premier coup et que la jeune fille s’est défendue. (…)
L’élève a été interdite d’accès à l’établissement, en attendant son conseil de discipline. L’établissement fait en effet face à des problèmes de violences, mais aussi d’atteintes à la laïcité. L’élève en question avait déjà été convoquée pour des atteintes à la laïcité. Une équipe mobile de sécurité a été déployée sur place dès ce matin par le rectorat. (…)
À Tourcoing, dans la cour d’un lycée, une élève voilée a violemment agressé une enseignante lorsque cette dernière lui a demandé de retirer son voile islamique. La jeune fille a été interpellée et une plainte a été déposée contre elle.
Montereau-Fault-Yonne (77) : Une femme de 86 ans résidant dans une résidence pour personnes âgées accuse de viol Madjid G., 26 ans, le veilleur de nuit. Lui évoque un rapport un consenti.
L’une des pensionnaires d’une résidence pour personnes âgées en Seine-et-Marne accuse le veilleur de nuit de l’avoir violée à deux reprises un soir d’août 2021. Le procès de ce jeune homme de 29 ans débute ce mercredi à Melun devant la Cour criminelle départementale.
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