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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 28 octobre 2024

 

 

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

la Russie dit avoir pris un village supplémentaire dans l’oblast de Donetsk

 

 

Les troupes de Moscou sont désormais à environ 8 kilomètres de la grande ville de Pokrovsk, important nœud logistique des forces ukrainiennes. Kiev est à la peine dans l’est du pays, face à des soldats russes plus nombreux et mieux armés.

 
13:36

Volodymyr Zelensky souhaite prolonger la mobilisation et la loi martiale

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a proposé à la Rada, le Parlement ukrainien, de prolonger la loi martiale de quatre-vingt-dix jours, jusqu’au 7 février 2025, selon un projet de loi déposé lundi. Dans un autre projet de loi, il propose aux députés de prolonger la période de mobilisation générale.

Comme le rappelle le site Ukrainska Pravda, le Parlement, sur proposition du président, « prolonge régulièrement la loi martiale et la mobilisation générale en Ukraine depuis février 2022 » et le début de l’invasion russe.

 


 

12:38

L’OTAN affirme que des soldats nord-coréens ont été déployés dans la région de Koursk

Le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), Mark Rutte, a confirmé, lundi, que des troupes nord-coréennes avaient été envoyées en Russie pour l’aider dans sa guerre contre l’Ukraine, et que des soldats avaient déjà été déployés dans la région de Koursk, en Russie, où Moscou fait toujours face à une incursion ukrainienne.

Selon Mark Rutte, cela constitue « une escalade significative » concernant l’implication de la Corée du Nord dans le conflit et marque « une expansion dangereuse de la guerre de la Russie ». Le « renforcement de la coopération militaire entre la Russie et la Corée du Nord constitue une menace pour la sécurité indo-pacifique et euro-atlantique », a-t-il estimé.

S’iI a appelé la Russie et la Corée du Nord à faire marche arrière, il voit dans ce déploiement un signe du « désarroi croissant » de Vladimir Poutine : « Plus de 600 000 soldats russes ont été tués ou blessés dans la guerre menée » par le président russe, « incapable de poursuivre son assaut contre l’Ukraine sans soutien étranger ».

 

Note : je n'aime pas du tout les fréquentations de la Russie, mais ce qui se passe ci, est encore de la faute des amis de l'Ukraine, qui ont poussé celle-ci en entrer dans le territoire russe. Poutine a donc fait appelle à un pays allié pour l'aidé. Les militaires coréennes seront envoyés seulement à Koursk  et non en Ukraine, ou ils seraient en infraction avec le droit international. 

 

LIRE AUSSI: Le déploiement nord-coréen est «conforme» au droit international

 

10:23

La Russie dit avoir pris un village supplémentaire dans l’oblast de Donetsk

Quelques heures après avoir revendiqué la conquête du village d’Izmaïlivka (🚩), à l’ouest de la ville de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, le ministère de la défense russe a annoncé la prise du village de Tsoukouryne, un peu plus au nord (🚩), rapporte l’agence de presse russe TASS.

Ce village se trouve sur la route menant à Selydove (🚩), une autre ville dont les soldats russes semblent proches de s’emparer, expliquait-on ce matin. A quelques kilomètres plus au nord, la grande ville de Pokrovsk (🚩), important nœud logistique des troupes ukrainiennes, est elle aussi menacée.

 


 

09:11

Les troupes russes se rapprochent de Kourakhove, dans l’est de l’Ukraine

Le ministère de la défense russe a revendiqué, dimanche, la conquête du village d’Izmaïlivka (🚩), très peu peuplée avant même le conflit, dans l’est de l’Ukraine, tout près de la ville industrielle de Kourakhove (🚩). Cette cité industrielle semble en voie d’être conquise par les troupes russes, qui s’en sont rapprochées ces dernières semaines, poussant nombre de ses habitants à fuir.

A une dizaine de kilomètres au nord d’Izmaïlivka se trouve Selydove (🚩), une autre ville dont les soldats russes semblent proches de s’emparer. Ils ont déjà pénétré dans cette localité, selon des observateurs. Hier, le bureau du procureur général d’Ukraine a annoncé avoir ouvert une enquête sur « des tirs sur une voiture civile » et de possibles « meurtres de civils » attribués à l’armée russe dans cette ville.

Encore plus au nord, la grande ville de Pokrovsk (🚩), important nœud logistique des troupes ukrainiennes, est elle aussi menacée. La cité, encore considérée relativement sûre il y a quelques mois, voit les soldats russes se rapprocher et l’intensité des frappes se renforcer. Les troupes de Moscou sont désormais à environ huit kilomètres.

Les forces ukrainiennes sont à la peine dans l’est du pays, face à des soldats russes plus nombreux et mieux armés. L’Ukraine espérait détourner les troupes russes de son territoire en lançant une offensive surprise dans la région russe de Koursk au début d’août.

DIRECT

 

 

 

 

 

Les forces russes libèrent Tsukurino et perturbent la principale route logistique ukrainienne à Donetsk

Vers une guerre de religion, infos du 28 octobre 2024

Selon le ministère russe de la Défense, les forces russes ont ciblé des aérodromes militaires ukrainiens et ont réussi à abattre 120 drones en une seule journée. Cet assaut a causé des dommages aux infrastructures et affecté les concentrations de troupes dans 142 endroits.
Les forces de Moscou ont pris le contrôle de la colonie de Tsukurino, dans la République populaire de Donetsk, a rapporté le ministère de la Défense.
"Les unités du groupement tactique Tsentr ont libéré la colonie de Tsukurino grâce à  des actions actives et décisives ", indique le communiqué.

La colonie est située à quelques kilomètres au sud de Selidovo. Selon le chef de la RPD, Denis Pouchiline, une opération de nettoyage contre les forces ukrainiennes est actuellement en cours dans cette ville. L’avancée des forces russes dans cette direction perturbe gravement la logistique des forces armées ukrainiennes.
En outre, le groupement tactique Tsentr a ciblé les troupes et l'équipement des 24e brigades d'infanterie mécanisée, 58e d'infanterie motorisée, 142e d'infanterie, 5e brigades d'assaut aérien des forces armées ukrainiennes et de la 241e brigade de défense territoriale dans les régions de Dimitrova, Alexandro-Kalinovo, Pravdovka et Vishnyovoye.
Les unités russes ont également repoussé 11 contre-attaques des groupes d'assaut des 42e, 53e, 93e, 100e, 110e, 150e brigades mécanisées et de la 25e brigade aéroportée des forces armées ukrainiennes.
Au cours de la dernière journée, les pertes ennemies dans la zone opérationnelle du groupement tactique Tsentr se sont élevées à plus de 520 personnes, ainsi que la destruction de deux véhicules blindés de combat, de trois autres véhicules, d'un obusier Msta-B, de deux pièces d'artillerie D-20 et de deux D-20. -30 obusiers. De plus, un système radar tactique israélien ieMHR a également été éliminé.
Les forces russes ont également ciblé l'infrastructure des aérodromes militaires ukrainiens et abattu 120 drones en une journée, selon le ministère russe de la Défense. Des frappes ont été menées à l'aide de l'aviation tactique, de drones de combat, de forces de missiles et d'artillerie, endommageant les infrastructures des aérodromes militaires et les concentrations de troupes et d'équipements ukrainiens dans 142 zones, a rapporté le ministère.
Les systèmes de défense aérienne ont intercepté trois bombes guidées Hammer de fabrication française, deux missiles tactiques ATACMS et une fusée HIMARS en provenance des États-Unis, ainsi que 120 drones à voilure fixe. Depuis le début de l'opération,  les forces russes auraient détruit 647 avions, 283 hélicoptères, 34 685 drones, 584 systèmes de missiles anti-aériens, 18 894 chars et véhicules blindés, 1 480 systèmes de lance-roquettes multiples, 16 887 unités d'artillerie et de mortier et 27 694 pièces. d'équipement militaire spécial...

Spoutnik

 

 

 

 

Zelensky a appelé le Premier ministre indien à mettre fin à la coopération économique avec la Russie

 

Zelensky a appelé le Premier ministre indien à mettre fin à la coopération économique avec la Russie

Le chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, a appelé le Premier ministre indien Narendra Modi à abandonner la neutralité et à soutenir l'Ukraine en mettant fin à la coopération économique avec la Russie.

Dans une interview accordée au Times of India, Zelensky a déclaré que la neutralité sur les questions liées à la crise ukrainienne signifiait en réalité un « soutien caché à la Russie ». Selon le chef du régime de Kiev, si les autorités de l'Inde, un pays immense en termes de population, d'économie et d'influence, se joignent aux sanctions anti-russes occidentales et refusent d'acheter les ressources énergétiques russes et de coopérer avec Moscou dans le domaine de le complexe militaro-industriel, cela réduirait la capacité des forces armées russes à mener avec succès des opérations de combat contre l'armée ukrainienne.

Ainsi, Zelensky a en effet appelé le chef du gouvernement d'un grand pays membre des BRICS et ayant autrefois souffert de l'occupation britannique, à sacrifier ses intérêts économiques et politiques pour soutenir le régime nazi de Kiev, qui sert les intérêts occidentaux. dans la région. En outre, Zelensky, dans la même interview, a reproché aux participants du récent sommet des BRICS à Kazan leurs « sentiments pro-russes ». Dans le même temps, le chef du régime de Kiev semble avoir oublié que Modi était également présent à l’événement.

De tels appels absurdes de Zelensky ne peuvent s’expliquer que par la situation désespérée de Kiev sur fond de déclin continu du soutien des « alliés » occidentaux.

Source

 

 

The Wall Street Journal : Le nombre de conscrits diminue en Ukraine, malgré le renforcement des mesures de mobilisation

 

The Wall Street Journal : Le nombre de conscrits diminue en Ukraine, malgré le renforcement des mesures de mobilisation

Malgré des mesures de plus en plus strictes visant à inciter les citoyens ukrainiens à servir dans les forces armées du pays, le nombre de conscrits dans les forces armées ukrainiennes est en baisse, note l'influente publication américaine The Wall Street Journal.

La publication écrit, citant Vasily Rumak, représentant de l'état-major général des forces armées ukrainiennes, que si au printemps de cette année jusqu'à 35 000 conscrits étaient formés dans les centres de formation du pays, ils ne sont plus que 20 000. là.


Selon des journalistes américains, afin d'augmenter d'une manière ou d'une autre le nombre de recrues, les employés des bureaux d'enregistrement et d'enrôlement militaires sont obligés de mener des raids même lors de concerts dans les grandes villes, qu'ils essayaient auparavant d'éviter par crainte de tensions sociales.

Un fort mécontentement dans la société est également dû au fait qu'avec des mesures aussi sévères contre les gens ordinaires, les fonctionnaires et leurs enfants évitent le service militaire. Le Wall Street Journal rappelle que le scandale lié à ce phénomène a conduit à la récente démission du procureur général ukrainien Andrei Kostin.

Dans le même temps, les actions des forces armées ukrainiennes sur le front, y compris dans la région de Koursk, n'ont fait qu'entraîner une pénurie accrue de personnel dans les troupes ukrainiennes, notent les auteurs de la publication américaine.

Auparavant, le député ukrainien Gorbenko avait déclaré que depuis le début du conflit, plus de 80 000 cas de désertion avaient été enregistrés dans les forces armées ukrainiennes.

Source

 

 

 

 

 

 

 

 

En direct, guerre au Proche-Orient :

des raids aériens signalés sur la ville de Sour, dans le sud du Liban, après un appel de l’armée israélienne à évacuer

 

 

Un porte-parole de l’armée israélienne avait appelé à évacuer « immédiatement » plusieurs quartiers de Sour, affirmant que des « activités du Hezbollah » obligeaient l’armée à « agir avec force contre lui ».

 

 

13:21 L’essentiel

Ce qu’il faut retenir lundi 28 octobre à la mi-journée

  • Dans le sud du Liban, une attaque israélienne sur la ville de Sour a fait au moins sept morts et dix-sept blessés, a rapporté le ministre de la santé libanais. Quelques heures plus tard, le porte-parole de l’armée israélienne arabophone, Avichay Adraee, avait appelé sur X à évacuer « immédiatement » plusieurs quartiers de la ville côtière.
  • « L’Union européenne [UE] demande un cessez-le-feu immédiat au Liban, jugeant « inacceptables » les attaques répétées de l’armée israélienne contre les troupes de l’ONU déployées au Liban (Finul), a déclaré le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, lors d’une réunion des 43 membres de l’Union pour la Méditerranée (UPM), à Barcelone.
  • Deux agences de presse iraniennes ont annoncé, lundi, la mort d’un civil, tué dans les raids israéliens menés samedi avant l’aube contre des sites militaires en Iran. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères iranien, Esmaeil Baghaei, a promis une « réponse ferme » à l’attaque israélienne.
  • Le groupe de transport aérien allemand Lufthansa a annoncé prolonger la suspension de ses liaisons avec Tel-Aviv jusqu’au 25 novembre inclus.
  • Les autorités irakiennes ont annoncé avoir officiellement protesté auprès du secrétaire général des Nations unies et du Conseil de sécurité contre une « violation flagrante » de l’espace aérien irakien par Israël, dont les avions auraient pénétré l’espace aérien irakien pour frapper samedi l’Iran voisin.

DIRECT

 

 

 

 

Les dirigeants iraniens décideront de la meilleure réponse à l'attaque israélienne, selon le Guide suprême

Vers une guerre de religion, infos du 28 octobre 2024

TEHERAN (Sputnik) - Les responsables iraniens décideront de la manière de répondre à la récente attaque menée par Israël contre le territoire iranien, a déclaré dimanche le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.

"Comment transmettre ce pouvoir et cette détermination de la nation iranienne au régime sioniste est à nos responsables de déterminer, et ce qui est dans le meilleur intérêt de la nation et du pays doit être fait", a déclaré Khamenei cité par Nour News. agence.

Khamenei a ajouté que l'attaque israélienne ne devrait « ni être exagérée ni minimisée ».

L'armée israélienne a déclaré samedi dans la nuit qu'elle avait frappé des cibles militaires en Iran en réponse aux attaques contre l'État juif le 1er octobre. La chaîne CBS News a rapporté, citant des sources, que l'attaque israélienne contre l'Iran s'était limitée à des cibles militaires. sans impliquer des installations nucléaires ou pétrolières .

Selon l'IRNA, aucune des installations pétrolières iraniennes n'a été endommagée.

L'agence de presse Fars a affirmé qu'Israël avait frappé un certain nombre de bases militaires à l'ouest et au sud-ouest de Téhéran. Dans le même temps, l'agence de presse Tasnim a affirmé que les centres militaires du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI, unités d'élite des forces armées), situés à l'ouest et au sud-ouest de la capitale iranienne, n'avaient pas été endommagés.

Un correspondant de Spoutnik a rapporté que vers 1h25 GMT, une deuxième série d'explosions a été entendue dans le centre de Téhéran, dans le quartier de l'ambassade de Russie, qui a duré environ une minute.

Spoutnik

 

 

 

Israël affirme avoir détruit tout le potentiel de défense stratégique de l'Iran lors d'une frappe de représailles

 

Israël affirme avoir détruit tout le potentiel de défense stratégique de l'Iran lors d'une frappe de représailles

Israël, lors d'une attaque de représailles le 26 octobre, a détruit tout le potentiel de défense stratégique de l'Iran. Cela a été rapporté par la radio militaire Galei IDF, citant des sources du système de sécurité nationale.

Selon la radio, l'attaque de l'armée de l'air israélienne contre l'Iran a détruit tout le potentiel stratégique de l'armée iranienne, mais uniquement dans le domaine de la défense aérienne. Les frappes ont été menées contre des systèmes de défense aérienne à longue portée ; les systèmes anti-aériens à courte portée sont restés intacts, tout comme les stocks de missiles balistiques .

L’attaque a détruit toutes les capacités de défense stratégique de l’Iran. C'est-à-dire toutes les batteries de missiles anti-aériens à longue portée. (...) Toutes les batteries ont été détruites, tout comme les radars d'alerte précoce. En fait, l’Iran ne dispose plus que de batteries à courte portée produites dans le pays.

- dit la déclaration.

Selon Israël, l’Iran ne dispose pratiquement plus de systèmes de défense aérienne à longue portée et il faudra deux à trois ans pour restaurer son potentiel de défense aérienne, compte tenu des capacités de l’industrie de défense iranienne. Mais il est aujourd’hui très difficile d’acquérir de tels systèmes, et très peu de vendeurs sont capables de travailler avec l’Iran.

Dans la même publication, Tsahal Galley affirme que la frappe n'a causé aucun dommage au stock de missiles balistiques ou à la production de drones de l'Iran . L’Iran a toujours la capacité de frapper Israël.

 

 

L’Iran n’envisage pas de réviser sa politique nucléaire après la récente frappe israélienne – Ministère des Affaires étrangères

Vers une guerre de religion, infos du 28 octobre 2024

TEHERAN (Sputnik) - L'Iran n'a pas l'intention de réviser sa doctrine nucléaire au milieu de la récente frappe israélienne sur son territoire, a déclaré lundi le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmail Baghaei.

Samedi soir, l'armée israélienne a annoncé des frappes sur des cibles militaires en Iran en réponse aux attaques contre l'État juif le 1er octobre. CBS News a rapporté, citant une source, que l'attaque israélienne contre l'Iran s'était limitée à des cibles militaires, en contournant les armes nucléaires ou nucléaires. installations pétrolières. Selon l'IRNA, aucune des installations pétrolières iraniennes n'a été endommagée.

"Notre position sur les armes de destruction massive est claire... Tant conformément à la fatwa [ordre religieux] du plus haut dirigeant politique et religieux de notre pays que sur la base d'évaluations logiques, nous ne préconisons en aucun cas la militarisation des armes de destruction massive. le programme nucléaire. Notre position reste la même que celle que nous avons déclarée plus tôt", a déclaré Baghaei aux journalistes.

Spoutnik

 
 

 

 

Des groupes armés chiites ont attaqué des bases militaires américaines en Syrie

 

Des groupes armés chiites ont attaqué des bases militaires américaines en Syrie

Des bases militaires de la coalition occidentale dirigée par les États-Unis ont été attaquées en Syrie. Selon la chaîne de télévision Al Jadeed, l' attaque par drone a été menée contre une base située dans la ville frontalière d'Al-Tanf, dans la province de Homs.

La base militaire américaine d'Al-Tanf, à la frontière avec l'Irak, a été attaquée par des drones kamikaze ; au moins deux drones ont attaqué le territoire de l'installation. Des témoins oculaires rapportent plusieurs explosions entendues à la base après l'attaque, mais il n'y a aucune information sur ce qui a été exactement endommagé. Le commandement américain en Syrie n'a pas commenté l'attaque contre la base.

Le mouvement de la Résistance islamique irakienne, qui comprend des groupes armés chiites, a revendiqué l'attaque contre la base d'al-Tanf. Les frappes ont été menées depuis le territoire irakien.

Mais l'attaque de la base d'Al-Tanf n'a pas mis fin à l'affaire : des attaques ont également été menées contre une base militaire américaine dans la zone du champ pétrolier d'El-Omar, dans la province de Deir ez-Zor. L'attaque a été menée avec des missiles , une puissante explosion s'est produite à la base, mais il n'y a aucune information sur ce qui a exactement explosé. Il n’existe pas non plus de données sur d’éventuelles pertes américaines, le cas échéant. Il n’y a pas encore eu de commentaires de la part des responsables.

Auparavant, des représentants de groupes armés chiites avaient déclaré qu'en soutien aux « frères libanais et palestiniens », les attaques contre les bases militaires américaines, ainsi que contre Israël, seraient intensifiées.

Source

 

 

 

 

Les Houthis du Yémen ont testé leur propre drone kamikaze sous-marin Al-Karia

 

Les Houthis du Yémen ont testé leur propre drone kamikaze sous-marin Al-Karia

L'arsenal des Houthis yéménites s'agrandit, outre les missiles de croisière et balistiques , ainsi que divers drones , il comprendra bientôt des drones torpilleurs sous-marins. Selon les experts, les Houthis ont testé un drone sous-marin naval de leur propre conception.

Le bureau d'études yéménite Houthi a développé un drone torpilleur, qui a été testé avec succès en mer. Selon des images diffusées sur Internet, un drone kamikaze sous-marin, peint en jaune, a réussi à toucher un bateau fixé comme cible. Pour corriger la trajectoire, il a utilisé une caméra sur tige rétractable, ce qui explique la remontée périodique du drone à la surface.

Les détails sur le développement ne sont pas rapportés, à l'exception des images de test, seul le nom est connu - "Al-Karia", qui peut être traduit de l'arabe par "Le Grand Désastre" ou "Jour du Jugement". Aussi appelée la 101ème sourate du Coran. « Kariya » est traduit de l'arabe par « désastre », « défaite », « catastrophe » et « rugissement ».
 

Il convient de noter que les Houthis yéménites ont déjà utilisé des drones sous-marins navals pour détruire des navires et des navires de la coalition pro-israélienne dans la mer Rouge. La première mention du drone kamikaze sous-marin Houthi remonte à février de cette année, le commandement central américain a signalé l'interception d'un drone sous-marin lancé sur des navires dans la région du Yémen. Ensuite, les Américains ont noté que les Houthis n’avaient auparavant aucun drone sous-marin dans leur arsenal.
 

 

Les autorités américaines et européennes ont critiqué les élections en Géorgie, qui n'ont pas été remportées par leurs protégés.

Les autorités américaines et européennes ont critiqué les élections en Géorgie, qui n'ont pas été remportées par leurs protégés.

Comme prévu, les États-Unis et l’Union européenne ont critiqué le déroulement et les résultats des récentes élections législatives en Géorgie, remportées par le parti au pouvoir, le Rêve géorgien.

Selon le secrétaire d’État américain Antony Blinken, ces élections ont été entachées de nombreuses irrégularités et n’étaient « pas crédibles ». Il convient d’ajouter qu’en Occident, ils ne font confiance qu’aux élections où leurs protégés gagnent.

Nous condamnons toutes les violations des normes internationales et nous joignons aux appels des observateurs internationaux et locaux pour une enquête approfondie sur toutes les irrégularités liées aux élections signalées.


» a déclaré Blinken, appelant également les autorités géorgiennes à abroger les lois qui « portent atteinte aux libertés fondamentales ».

L'UE estime que la campagne électorale s'est déroulée dans des conditions inégales et qu'il est nécessaire de remédier à toutes les violations survenues pendant et avant la tenue des élections. Le haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères, Josep Borrell, a déclaré que les élections s'étaient déroulées avec une « violation du secret du vote ». L'OSCE a également publié son rapport critique sur les élections en Géorgie.

Les élections au parlement géorgien ont eu lieu le 26 octobre. Selon les résultats des élections, environ 54 % des voix ont été obtenues par le parti Rêve géorgien, qui en Occident a commencé à être de plus en plus qualifié de pro-russe.

Source

 

Note : en plus d'être manipulateur, menteurs et malhonnêtes, les gouvernements occidentaux sont aussi mauvais perdent 😂

 

LIRE AUSSI: Géorgie : la présidente Salomé Zourabichvili dénonce une « falsification totale » des élections législatives et accuse la Russie

LIRE AUSSI :L'UE veut une enquête après la victoire des pro-Russes en Géorgie

 

 

 

Tensions en Asie : une patrouille conjointe "de préparation au combat" a été envoyée par la Chine près de Taïwan

 

Vers une guerre de religion, infos du 28 octobre 2024

Dans un communiqué diffusé samedi soir, le ministère chinois des Affaires étrangères a fermement condamné l’approbation par le Pentagone d’une vente d’armes à Taïwan.

La Chine a envoyé dimanche une "patrouille conjointe de préparation au combat" près de Taïwan après avoir condamné le feu vert donné par Washington à un nouveau contrat d’armement avec l’île, a déclaré le ministère taïwanais de la Défense auprès de Reuters.

Celui-ci a dit avoir détecté 19 avions de combat, dont des Soukhoï-30, agissant en coordination avec des bâtiments de la marine chinoise.

Dans un communiqué diffusé samedi 26 octobre au soir, le ministère chinois des Affaires étrangères a fermement condamné l’approbation par le Pentagone d’une vente d’armes à Taïwan pour un montant de 2 milliards de dollars, comprenant pour la première fois la livraison à l’île d’un système de missiles sol-air sophistiqué testé sur le champ de bataille ukrainien. "La Chine prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre fermement sa souveraineté nationale et son intégrité territoriale", a ajouté le ministère sans autres détails.

Lundi 14 octobre, le président taïwanais Lai Ching-Te avait convoqué une réunion de sécurité "de haut niveau" après le placement de l’île en état d’alerte renforcée. La Chine avait lancé une intervention militaire sur le territoire, encerclant l’archipel. Ces exercices militaires baptisés "Joint- Sword 2024B" avaient eu lieu dans le détroit de Taïwan, ainsi qu’au nord, au sud-ouest et à l’est de l’île, a indiqué la télévision publique CCTV.

"Taïwan continuera à afficher sa détermination à se défendre"

Pékin considère Taïwan comme partie intégrante de son territoire. Le gouvernement taïwanais a salué cette vente d’équipements militaires américains, la 17e sous l’administration de Joe Biden, qui doit encore être approuvée par le Congrès à Washington. "Face aux menaces chinoises, Taïwan continuera […] à afficher sa détermination à se défendre", a déclaré le ministère taïwanais des Affaires étrangères samedi.

Source

 

La Chine exhorte les États-Unis à cesser immédiatement d'armer Taiwan et à mettre un terme à leurs actions dangereuses qui compromettent la paix et la stabilité dans le détroit de Taiwan, ajoute le communiqué.

"La Chine prendra des contre-mesures résolues et prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre fermement la souveraineté nationale, la sécurité et l'intégrité territoriale", a déclaré le ministère, sans plus de détails.

Au cours des cinq dernières années, la Chine a intensifié ses activités militaires autour de Taiwan, un pays démocratiquement gouverné, dont le gouvernement rejette les revendications de souveraineté de Pékin, notamment en organisant une nouvelle série d'exercices de guerre au début du mois.

Le gouvernement taïwanais a salué la nouvelle vente d'armes, la 17e de l'administration Biden sur l'île.

"Face aux menaces chinoises, Taiwan a le devoir de protéger sa patrie et continuera de démontrer sa détermination à se défendre", a déclaré le ministère des Affaires étrangères de Taiwan, en réponse à la vente d'armes.

Source

 

 

 

 

 

 

 

Nice (06) : un homme en fuite au volant d’une voiture volée, et défavorablement connu de la police, manque de faucher un policier, percute un véhicule et blesse son conducteur

Dimanche soir à Nice, un automobiliste en a blessé un autre et a manqué faucher un policier lors d’un refus d’obtempérer. Vers 19h45, une patrouille de police secours repère, rue Arson, dans le quartier du port, un véhicule inscrit au fichier des voitures volées. Les agents décident alors de procéder à un contrôle. Dans un premier temps, l’automobiliste ralentit et fait mine de s’arrêter. Un policier – au moins – met pied à terre et s’approche du véhicule à bord duquel se trouvent deux individus. Là, le conducteur redémarre brusquement sans porter la moindre attention au policier qui se trouve sur son chemin. «Un mouvement a permis à l’agent d’éviter le chauffard au dernier moment», souligne une source proche du dossier.

[…]

 

Le Figaro

 

 

 Médiatransports, en charge des espaces publicitaires pour la SNCF et la RATP, refuse de diffuser la pub du livre de Bardella dans les gares suite aux protestations de l’extrême-gauche (MàJ)

28/10/24

16/10/24

Hachette Livre, qui appartient à Vincent Bolloré, a négocié avec la régie publicitaire de la SNCF la réservation de près de 600 panneaux dans une centaine de gares pour promouvoir le livre à paraître du président du RN. Sans préciser qui était l’auteur.

www.liberation.fr

 

 

 

Quand Arte Radio fantasme sur la mort de Vincent Bolloré

Extrait :

 

 

 

 

L’interdiction du hijab dans le sport en France est « discriminatoire et doit être annulée », selon des experts de l’ONU

En France, certains sports autorisent le port du voile, d’autres, à l’image du football ou du basket, l’interdisent. Selon des experts de l’Organisation des nations unies, cela doit être « annulé ».

C’est un message fort. Une demande qui devrait relancer le débat dans les fédérations et les clubs aux quatre coins de l’Hexagone. L’interdiction du hijab dans le sport en France est « discriminatoire et doit être annulée », ont en effet demandé plusieurs experts indépendants des Nations unies ce lundi.

« Les filles et femmes musulmanes qui portent le hijab doivent avoir des droits égaux de participer à la vie culturelle et sportive, et de prendre part à tous les aspects de la société française dont elles font partie », ont affirmé trois rapporteurs spéciaux et le Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles, dans un communiqué.

Ils estiment que ces mesures « enfreignent leurs droits de manifester librement leur identité, leur religion ou croyance en privé et en public, et de prendre part à la vie culturelle ».

le Parisien

 

 

 

1160 ans après sa fondation, Emmanuel Macron souhaite transformer la Monnaie de Paris en musée africain (MàJ : une idée de Rachida Dati)

27/10/24

Révélée en avril par Le Monde, l’installation de la future Maison des mondes africains (MansA) à la Monnaie de Paris, quai de Conti, dans le 6e arrondissement, se précise à bas bruits. Selon nos informations, les salariés de l’établissement sous tutelle de Bercy, ont appris le 15 octobre, à l’occasion d’un comité social et économique (CSE) extraordinaire, que Matignon avait validé ce projet aux contours encore flous. L’implantation concernerait une partie de l’aile est du palais à l’imposante façade néoclassique, à savoir les salons d’exposition et des bureaux attenants.

 

« La décision n’est pas actée à 200 % mais cela prend ce chemin-là », reconnaît-on au ministère de l’économie. « Le partage des espaces augmenterait la visibilité des deux établissements. Il peut y avoir un intérêt touristique, même s’il ne s’agit pas des mêmes sujets », fait valoir Bercy, rappelant qu’il « n’est pas question de fusionner les deux institutions qui conserveront chacune leur identité ». Les salariés de la Monnaie ne l’entendent pas ainsi. « Jusqu’à présent, nous n’avions pas fait de bruit, mais nous ne pouvons pas perdre le volet culturel qui met en avant nos productions artistiques », avertit David Faillenet, délégué syndical de l’Ugict-CGT à la Monnaie de Paris.

La MansA s’était alors rabattue sur le bâtiment vitré de la Fondation Cartier, dans le 14arrondissement, qui doit migrer en 2025 dans l’ancien Louvre des antiquaires. Le lieu se révèle toutefois trop exigu pour une structure qui ambitionne d’être à la fois une vitrine pour les talents de l’Afrique et de sa diaspora, un tremplin pour les voix de demain, et un lieu de ressources pour les projets entrepreneuriaux et culturels. C’est semble-t-il Rachida Dati, qui, une fois nommée ministre de la culture a eu l’idée d’ancrer le projet quai de Conti. Au risque de faire vaciller l’auguste institution qui bat la monnaie depuis le XVIIIe siècle et a récemment fabriqué les médailles pour les Jeux olympiques.

Le Monde

24/7/24

Porté par le chef de l’Etat depuis 2021 dans un esprit de réparation post-coloniale, le projet rebaptisé «MansA» a été sauvé in extremis. Désignée directrice du futur centre culturel et de documentation, Elisabeth Gomis revient sur trois ans de pérégrinations administratives et politiques.

La Monnaie de Paris, bâtiment emblématique des bords de Seine, va changer de visage. Le grand projet culturel d’Emmanuel Macron, la «Maison des mondes africains», devrait y élire domicile suite à d’importants travaux d’aménagement, et un geste architectural ajouté en façade, quai de Conti. Après deux ans et demi d’errance, cette ultime étape est loin d’avoir été une évidence : le lieu, rebaptisé «MansA» (mélange entre mansio, habitation en latin, et Mansa Moussa, nom d’un illustre souverain malien du XIVe siècle), a été sauvé in extremis dans le contexte de la crise politique déclenchée par la dissolution de l’Assemblée nationale le 9 juin 2024.

Ce projet présidentiel naît en 2021, dans un esprit de réparation post-coloniale. Suite au rapport «les nouvelles relations Afrique-France» de l’historien camerounais Achille Mbembe, Emmanuel Macron désigne Elisabeth Gomis, journaliste, réalisatrice et adjointe de la commissaire d’exposition N’Goné Fall pendant la saison Africa 2020, pour chapeauter la création d’un nouveau centre culturel. Sa mission ? Se pencher sur les retentissements de l’histoire coloniale dans la société contemporaine en mettant en valeur le principe de débat ailleurs et autrement que dans les musées.

(…) Libération

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