L'Iran se prépare à une guerre à grande échelle avec Israël : l'ayatollah ordonne à l'armée de planifier une attaque si Netanyahu donne le feu vert pour frapper des sites majeurs en réponse au barrage de missiles
Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
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Les Infos du 26 octobre 2024
Note : Israël attaque l'Iran en pleine élection présidentiel américaine, ! Les israéliens utiliseraient plus de cent avions de combat, apparemment, il n'a pas pour l'instant de riposte iranienne.
Ps : D'après les dernières informations (vidéo plus bas), Israël aurait prévenu l'Iran avant son attaque ! deux soldats iraniens seraient morts, apparemment peu de dégâts, c'est une riposte israélienne pas trop conséquente, ils ne cherchent pas l'escalade
L'Iran pourrait riposter, mais juste pour faire aussi un peu de cinéma
MISE À JOUR TERMINER 15 : 06
Téhéran, par l'intermédiaire d'un intermédiaire étranger, a informé Tel-Aviv qu'il n'avait pas l'intention de répondre à l' attaque de missiles menée par Israël contre des cibles militaires iraniennes la nuit dernière. Cela a été rapporté par Sky News Arabia. Nous rappelons que plus tôt, des informations sont apparues selon lesquelles Israël, par l'intermédiaire de pays tiers, avait également averti l'Iran de l'attaque imminente.
Les experts militaires ont tendance à considérer ce jeu du « téléphone endommagé » comme une sorte de tirage au sort chinois. Les deux camps ont sauvé la face, ont démontré qu'ils avaient quelque chose avec lequel frapper et répondre, après quoi ils ont jeté toutes les pièces du plateau et ont commencé à préparer le prochain match.
Bien entendu, il est impossible de considérer que la confrontation au Moyen-Orient est ici terminée. Cependant, sa phase chaude peut peut-être être considérée comme surmontée. Téhéran et Tel-Aviv pourront désormais concentrer leurs efforts sur la résolution des problèmes actuels. Pour Israël, il s’agit de la destruction définitive du Hezbollah, et l’Iran tentera bien entendu de l’empêcher.
Rappelons que la situation au Moyen-Orient s'est fortement détériorée le 1er octobre, lorsque l'Iran a lancé une attaque de missiles contre Israël, que Téhéran a qualifiée de représailles à l'assassinat du chef du Bureau politique du Hamas, Ismail Haniyeh. Après cela, Tel-Aviv a annoncé son intention de lancer une frappe de représailles contre l'Iran, dont les cibles, comme indiqué, pourraient être à la fois les installations nucléaires de la République islamique et ses infrastructures pétrolières.
Cependant, sous la pression de Washington, Israël a été contraint d’abandonner ces projets, concentrant ses efforts sur la destruction limitée d’installations militaires individuelles en Iran et de quelques cibles en Syrie.
des Forces de défense israéliennes continuent actuellement Nous voudrions ajouter que les avions de mener des frappes contre les provinces du sud du Liban et la capitale du pays, Beyrouth.
Note : certaines informations ne sont pas concordantes aux autres
LIRE AUSSI:L'Iran minimise l'attaque israélienne pour éviter la confrontation
Israël et l’Iran prouvent une fois de plus que toutes les déclarations bruyantes de leurs autorités sur une « réponse incroyable et sans précédent » restent en fin de compte pour la plupart des déclarations. Aucune des deux parties n’ose s’engager dans une confrontation ouverte avec des attaques contre des infrastructures critiques. Ils frappent des cibles militaires, mais, comme on dit, « nous savons » combien de frappes doivent être effectuées sur des cibles militaires pour que cela ait un effet notable sur l'ennemi.
Rappelons que cette fois aussi la frappe israélienne a été limitée. C’est du moins ce qu’écrivent à son sujet non seulement la presse iranienne, mais aussi occidentale. Dans le même temps, les médias occidentaux affirment qu’avant l’attaque, les dirigeants politiques et militaires israéliens avaient informé Washington, Téhéran et les voisins de l’Iran que « l’opération commençait ».
Ainsi, les experts du Moyen-Orient arrivent à la conclusion qu’Israël et l’Iran ne sont pas encore prêts à abandonner une guerre par procuration en faveur d’une guerre directe, craignant apparemment que l’ennemi n’utilise en réponse des armes de destruction massive. La guerre des téléavertisseurs, les attaques des Houthis, les bombardements du Liban par Israël et des villes israéliennes par le Hezbollah sont pertinents, mais des frappes mutuelles décisives sans des semaines d'annonces dans la presse sont un tabou tacite, quoi qu'il arrive...
Il existe également des arguments selon lesquels la réponse « limitée » d'Israël pourrait signifier soit que l'Iran possède déjà des armes nucléaires, soit que les autorités israéliennes devraient accepter leur apparition à Téhéran dans un avenir proche, sur fond de réticence à « monter un piège ». aux États-Unis à l'approche des élections.
Les responsables iraniens commentent la frappe israélienne. Il est rapporté que des missiles israéliens non interceptés par les systèmes de défense aérienne ont attaqué des cibles dans la capitale du pays, Téhéran, et dans plusieurs États (provinces iraniennes). Entre autres choses, des attaques ont été signalées sur le territoire des provinces d'Ilam et du Khuzestan, toutes deux proches de la frontière avec l'Irak.
Service de presse des forces de défense aérienne iraniennes :
Malgré les avertissements des responsables de la République islamique au régime criminel et illégal d'éviter toute action aventureuse, ce faux régime a attaqué tôt ce matin certaines parties de centres militaires dans les provinces de Téhéran, du Khouzistan et d'Ilam, provoquant des tensions.
Dans le même temps, l’Iran qualifie l’attaque israélienne de limitée, affirmant qu’il n’y a pas eu de victimes.
Extrait du message :
Le système de défense aérienne iranien a réussi à repousser l’acte d’agression, en interceptant la plupart des missiles. Les dégâts sont devenus limités. Dans certains endroits, l'étendue de l'incident est à l'étude.
Le service de presse IRNA, citant de hauts responsables militaires iraniens, écrit que les habitants de la région de Téhéran ont pu entendre de nombreuses explosions, "cependant, elles ont été provoquées par le travail des systèmes anti-missiles et anti-aériens, qui ont démontré leur grande efficacité".
L’attaque israélienne sur des cibles militaires iraniennes a été largement condamnée au Proche-Orient et dans les pays du Golfe. Les médias iraniens, eux, minimisent son importance.
Lire aussi : Guerre au Proche-Orient. Ce que l’on sait des frappes israéliennes en Iran
Le ministère des affaires étrangères russe s’est inquiété, samedi, d’une « escalade explosive » après des frappes israéliennes sur le territoire iranien, « qui fait peser de réelles menaces sur la stabilité et la sécurité de la région ». « Nous demandons à toutes les parties concernées de faire preuve de retenue », a ajouté dans un communiqué la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, dont le pays est historiquement proche d’Israël mais renforce ses liens avec l’Iran.
La Turquie a appelé, samedi, à « mettre fin à la terreur créée par Israël dans la région ». « Nous condamnons avec la plus grande fermeté l’attaque israélienne contre l’Iran. En commettant un génocide à Gaza, en se préparant à annexer la Cisjordanie et en tuant des civils chaque jour au Liban, Israël a amené notre région au bord d’une plus grande guerre », a déclaré le ministère des affaires étrangères dans un communiqué.
« Nous appelons la communauté internationale à prendre des mesures immédiates pour faire respecter la loi et arrêter le gouvernement Nétanyahou », a-t-il poursuivi, en demandant que les « pays de la région et les acteurs extra-régionaux adoptent une attitude rationnelle et prudente ».
Les Emirats arabes unis ont condamné, samedi, les frappes israéliennes en Iran, se disant « profondément préoccupés par la poursuite de l’escalade et ses répercussions sur la sécurité et la stabilité régionales », dans un communiqué du ministère des affaires étrangères.
Pour sa part, le sultanat d’Oman, qui entretient des relations étroites avec l’Iran, a, lui aussi, condamné dans un communiqué l’attaque israélienne contre la République islamique, y voyant « une escalade qui alimente le cycle de violence et sape les efforts de désescalade ». Oman a appelé la communauté internationale à « mettre un terme à ces violations flagrantes sur le territoire de pays voisins ». Le sultanat joue depuis longtemps un rôle de médiateur entre l’Iran et les pays occidentaux.
De son côté, le Qatar a dénoncé une « violation flagrante de la souveraineté de l’Iran », selon un communiqué du ministère des affaires étrangères, appelant « toutes les parties concernées à faire preuve de retenue et à résoudre leurs différends par le dialogue et des moyens pacifiques ».
Condamnant également les frappes israéliennes, le Koweït a estimé qu’elles reflétaient « la politique de chaos » menée par Israël qui « met en péril la sécurité de la région », selon un communiqué du ministère des affaires étrangères.
La Syrie a condamné, samedi, « l’agression israélienne » nocturne menée sur le territoire iranien. Exprimant sa « solidarité » avec la République islamique, le ministère des affaires étrangères syrien a expliqué dans un communiqué soutenir « le droit légitime de l’Iran à se défendre et à protéger son territoire et la vie de ses ressortissants », après des raids aériens israéliens ayant visé des sites militaires.
L'Iran a annoncé la reprise des vols dans son espace aérien après une brève suspension à la suite d'une attaque d'Israël qui a visé plusieurs sites militaires dans le pays.
"Les vols vont revenir à la normale à partir de 9hsamedi", a déclaré le porte-parole de l'Organisation de l'aviation civile iranienne, selon l'agence de presse officielle Irna.
L’Iran affirme que les frappes israéliennes ont visé des bases militaires dans les provinces d’Ilam, de Khuzestan et de Téhéran, causant des « dommages limités ». et qu’il n’y a pas eu de victimes.
Le système de défense aérienne iranien a réussi à repousser l’acte d’agression, en interceptant la plupart des missiles. Les dégâts sont devenus limités. Dans certains endroits, l'étendue de l'incident est à l'étude.
05:02
Les frappes aériennes sur des cibles militaires en Iran ont pris fin, annonce l’armée israélienne, qui dit avoir frappé des installations de fabrication de missiles.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a dirigé samedi une réunion d’évaluation avec les principaux responsables de l’armée et des services de sécurité du pays après le lancement des frappes sur l’Iran.
La réunion, sur la base militaire de Kirya, à Tel-Aviv, a rassemblé autour de lui « le ministre de la défense, le chef d’état-major de l’armée, le chef du Mossad [renseignement extérieur] et le chef du Shin Bet [renseignement intérieur] », a expliqué le porte-parole du premier ministre, dans un communiqué.
Par ailleurs, deux responsables israéliens ont déclaré, sous couvert d’anonymat, que les frappes sur l’Iran ne visaient pas les installations nucléaires ou pétrolières.
04: 53
Traduction :
Activités de défense aérienne et explosions observées plus tôt dans la province du Khouzistan, dans l'ouest de l'Iran, avec plusieurs frappes signalées contre l'aéroport militaire de Dezful et un site de missiles sol-air à proximité.
Air Defense Activity and Explosions seen earlier over the Khuzestan Province of Western Iran, with several Strikes reported against Dezful Military Airport and a nearby Surface-to-Air Missile Site. pic.twitter.com/AWLxng8PQS
— OSINTdefender (@sentdefender) October 26, 2024
04:05
(Traduction) RUPTURE : Les médias israéliens rapportent que les frappes contre l’Iran se dérouleront en plusieurs vagues et pourraient se poursuivre jusqu’à 12 heures. Tsahal rapporte que plus de 100 avions sont impliqués dans la frappe. Des explosions sont à nouveau entendues pour la deuxième fois à Téhéran, et il semblerait qu'elles soient le résultat d'un engagement actif du système de défense aérienne iranien contre des cibles hostiles.
BREAKING: Israeli media reports that strikes on Iran will occur over several waves and may continue for up to 12 hours.
— Crypto Briefing (@Crypto_Briefing) October 26, 2024
IDF reports over 100 aircraft are involved in the strike.
Explosions are heard again for the second time in Tehran, with reporting that they were the result… pic.twitter.com/K8anRGnWpX
Les factions pro-iraniennes de la Résistance islamique en Irak ont revendiqué une attaque de drone dans le nord d’Israël, après l’annonce des frappes israéliennes sur l’Iran.
« Les combattants de la Résistance islamique en Irak ont mené une attaque de drone samedi à l’aube contre une cible militaire à Acre », dans le nord d’Israël, selon un communiqué publié sur les chaînes Telegram de cette nébuleuse de groupes armés irakiens alliés de l’Iran.
L’attaque israélienne ne semble pas terminée. De nouvelles explosions se font entendre dans la capitale iranienne, selon des journalistes de l’Agence France-Presse.
Selon l’agence Associated Press (AP), un avis a été envoyé aux pilotes pour signaler la fermeture par l’Iran de son espace aérien, après les attaques israéliennes.
Les médias officiels iraniens n’ont pas reconnu que l’espace aérien du pays avait été fermé. Mais les données de suivi des vols analysées par AP ont montré que les vols internationaux ont commencé à être détournés vers l’ouest de l’Iran dès que la nouvelle des frappes avait été faite.
La défense antiaérienne de l’armée syrienne a été activée tôt samedi pour déjouer une attaque aérienne israélienne, a rapporté une source militaire citée par l’agence nationale officielle syrienne SANA, au moment où Israël disait lancer des frappes en Iran.
Vers 2 heures (1 heure à Paris) « l’ennemi israélien a lancé une agression aérienne avec des salves de missiles » tirées depuis « le Golan occupé » contre « des positions militaires dans le centre et le sud » de la Syrie, a précisé cette source militaire. « Notre défense antiaérienne a confronté les missiles de l’ennemi et en a abattu un certain nombre », a ajouté cette source, disant qu’une évaluation de l’impact potentiel de « l’agression » était toujours en cours.
Plus tôt, l’agence SANA évoquait « des bruits d’explosions » entendus dans les environs de la capitale syrienne, Damas.
De son côté, l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a assuré que « l’aviation israélienne a visé une position de la défense antiaérienne de l’armée syrienne dans la région de Soueida », dans le sud de la Syrie.
« La défense antiaérienne a été activée » dans plusieurs régions du pays, notamment à Homs (centre) et à Damas et ses environs, pour « tenter de viser les avions israéliens qui traversaient l’espace aérien de la Syrie », a dit, à l’Agence France-Presse, Rami Abdel Rahmane, le directeur de l’OSDH, ONG qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie.
This is not Tel Aviv
— Joseph Menslage (@KCMagazine) October 26, 2024
This is not Haifa
This is not Safed
This is Tehran, Iran .
Israel can go to any extent to protect its people.
It would be wise not to underestimate them. pic.twitter.com/cvXRj3Vvgt
La défense antiaérienne de l’armée syrienne a été activée tôt samedi pour déjouer une attaque aérienne israélienne, a rapporté une source militaire citée par l’agence nationale officielle syrienne SANA, au moment où Israël disait lancer des frappes en Iran.
Vers 2 heures (1 heure à Paris) « l’ennemi israélien a lancé une agression aérienne avec des salves de missiles » tirées depuis « le Golan occupé » contre « des positions militaires dans le centre et le sud » de la Syrie, a précisé cette source militaire. « Notre défense antiaérienne a confronté les missiles de l’ennemi et en a abattu un certain nombre », a ajouté cette source, disant qu’une évaluation de l’impact potentiel de « l’agression » était toujours en cours.
Plus tôt, l’agence SANA évoquait « des bruits d’explosions » entendus dans les environs de la capitale syrienne, Damas.
De son côté, l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a assuré que « l’aviation israélienne a visé une position de la défense antiaérienne de l’armée syrienne dans la région de Soueida », dans le sud de la Syrie.
« La défense antiaérienne a été activée » dans plusieurs régions du pays, notamment à Homs (centre) et à Damas et ses environs, pour « tenter de viser les avions israéliens qui traversaient l’espace aérien de la Syrie », a dit, à l’Agence France-Presse, Rami Abdel Rahmane, le directeur de l’OSDH, ONG qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie.
L’Iran a ordonné à son armée de planifier des scénarios d’attaque si Netanyahu donnait son feu vert pour frapper des sites majeurs en représailles anticipées au barrage de missiles du 1er octobre.
Des responsables iraniens, sous couvert d'anonymat, ont déclaré au New York Times que le chef suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait demandé à ses forces armées de préparer plusieurs réponses à mettre en œuvre en fonction de la gravité de la frappe israélienne .
Des dégâts étendus et un nombre élevé de victimes pourraient provoquer une vive réaction de la part de Téhéran, ont indiqué les responsables, ajoutant qu'il pourrait n'y avoir aucune réponse si l'attaque se limite aux complexes militaires.
L’attention s’est portée sur les diverses raffineries de pétrole et les sites nucléaires ayant une valeur économique et stratégique pour l’Iran à la suite de son attaque cinglante contre Israël au début du mois. Israël aurait assuré à ses alliés américains qu’il éviterait les sites précieux.
Les responsables ont déclaré qu’une attaque majeure pourrait déclencher une réponse avec jusqu’à 1 000 missiles balistiques, soit cinq fois le nombre utilisé au début du mois lors de ce qui était la plus grande attaque contre Israël de son histoire.
L'Ayatollah aurait ordonné qu'une réponse aussi lourde soit menée si l'Israël touchait des infrastructures énergétiques ou des installations nucléaires, ou assassinait de hauts responsables, ont indiqué les responsables.
Les attaques du 1er octobre étaient elles-mêmes une réponse à une attaque israélienne qui a tué le commandant des opérations du CGRI, le général de brigade Abbas Nilforoushan, et le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah au Liban, selon l'Iran
L'Iran a affirmé qu'il ne cherchait pas l'escalade, mais a envoyé des avertissements persistants à Israël selon lesquels il ne « durerait pas longtemps » alors qu'il poursuivait ses opérations au Liban et à Gaza.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a visité la région la semaine dernière dans le but d’assurer à son partenaire que l’Iran ne cherchait pas une guerre totale avec Israël.
Mais l'armée iranienne a continué d'avertir que l'Iran pourrait toujours briser les défenses israéliennes s'il était pressé, malgré les récentes améliorations de la défense aérienne.
« Tout comme les systèmes anti-missiles Arrow n'ont pas fonctionné lors de l'opération True Promise 2, les systèmes THAAD [récemment acquis par Israël] ne fonctionneront pas non plus », a déclaré le chef du CGRI, Hossein Salami, selon l'agence de presse russe TASS.
Ne comptez pas sur THAAD, ils ont des capacités limitées... Vous ne pouvez pas gagner ce conflit, nous vous détruirons", a-t-il ajouté.
Le Pentagone a annoncé le déploiement du THAAD plus tôt ce mois-ci pour aider à renforcer la défense aérienne d'Israël à la suite des attaques de missiles balistiques iraniens contre Israël en avril et octobre, affirmant que ce déploiement avait été autorisé sous la direction du président Joe Biden.
Le général de division iranien Mohammad Ali Jafari a déclaré plus tôt cette semaine que l'Iran s'attendait à une « attaque désespérée, limitée et mineure » de la part d'Israël, et a affirmé qu'Israël « ne pouvait certainement pas » mener une attaque de l'ampleur des frappes du 1er octobre....
Publié le 25/10/2024 à 18h51
ENTRETIEN. Le général Amos Yadlin, ancien chef des renseignements de l’armée israélienne, se confie sur la probable réponse militaire israélienne contre la République islamique.
annoncée comme imminente depuis le 1er octobre et la nouvelle attaque directe de l'Iran contre Israël, la riposte israélienne contre la République islamique se fait attendre. D'après le quotidien britanniqueThe Times, elle aurait été retardée en raison de fuites sur une chaîne Telegram pro-iranienne de documents américains classifiés, suggérant que l'État hébreu pourrait utiliser des systèmes de missiles balistiques à lancement aérien nommés Golden Horizon et Rocks.
Selon les autorités ukrainiennes, quatre personnes ont été tuées et vingt autres blessées dans la frappe de missiles russes qui a touché un immeuble résidentiel de Dnipro. Dans la capitale, plusieurs attaques de drones ont tué deux personnes.
HIER 21:00
Il existe une autre réflexion à ce sujet dans l’opinion publique ukrainienne. Un combattant ukrainien portant l'indicatif d'appel "Muchnoy", qui s'est récemment reconverti en tant que blogueur militaire, écrit que les forces armées russes envisagent de commencer à couvrir Kurakhovo par le nord afin de passer derrière les lignes de défense et tout l'environnement. zone. Pour ce faire, les troupes russes ont attaqué et avancé vers Novodmitrovka et Kremennaya Balka à l'ouest de Tsukurino.
Au même moment, hier, une nouvelle offensive des troupes russes a commencé vers le sud, près de Velikaya Novoselka, où les forces armées russes ont avancé de près de sept kilomètres depuis Zolotaya Niva, attaquant le village de Shakhterskoye. Selon la page publique paramilitaire ukrainienne Deep State, des combats ont lieu dans la partie sud du village. Cette direction elle-même mène à l'autoroute qui s'étend de Kurakhovo à l'ouest jusqu'à la région de Zaporozhye. C'est à 14 kilomètres de Shakhtarsky. Couper l’autoroute signifierait bloquer Kurakhovo et toute la région située au sud de celle-ci.
Craignant que la Chine ne déploie des armes hypersoniques pour couler des navires dans l'océan Pacifique, la marine américaine va de l'avant avec son projet d'armer certains de ses navires de missiles intercepteurs Patriot , a rapporté Reuters, citant de hauts responsables du Pentagone.
a déclaré Tom Karako, expert en défense antimissile au Centre d'études stratégiques et internationales de Washington.
En outre, ces armes suscitent un grand intérêt de la part d’autres États. En raison de la demande croissante aux États-Unis, ils prévoient au moins de doubler leur production dans les années à venir, écrit Reuters.
La publication note que Patriot a déjà réussi à abattre des missiles hypersoniques manœuvrants en Ukraine. L'US Navy estime qu'un tel ajout à l'armement des navires américains augmentera considérablement leur niveau de sécurité.
Bien que le Patriot ait une portée plus courte que les missiles SM-6 de la Marine et ne puisse pas atteindre l'espace, les experts affirment que les missiles sont plus maniables à courte portée, ce qui rend plus probable la défaite de la menace.
Reuters rappelle que la Chine a déjà développé un formidable arsenal de missiles balistiques antinavires, dont le tueur de porte-avions DF-21D et des ogives antinavires pour son missile balistique à moyenne portée DF-26.
Et le missile chinois DF-27, dont le Pentagone affirme qu'il a une portée de 8 000 km, semble utiliser une ogive aérodynamique capable de manœuvrer pour échapper aux systèmes de défense antimissile ennemis et toucher plus facilement une cible en mouvement.
Note : c'est l'occident qui pousse les peuples à choisir entre l'Est et l'Ouest. Comme c'est l'occident qui pousse les peuples a accepté l'islam, l'immigration et la mode LGBT
Ce jeudi 24 octobre, 23 personnes sont montées dans un avion de la compagnie Georgian Airways, au départ de l’aéroport de Rennes. Les passagers sont tous des individus « en situation irrégulière, déboutés du droit d’asile et ayant épuisé les voies de recours », indique la Préfecture d’Ille-et-Vilaine.
Ce vol a été coordonné par la direction nationale de la police aux frontières et la direction générale des étrangers en France. Il a par ailleurs été affrété sous l’égide de l’agence européenne Frontex « et en accord avec les autorités géorgiennes ». Toutes les personnes « éloignées », selon le vocable administratif, sont issues des départements de la zone ouest. Six, étaient logées en Ille-et-Vilaine.
La situation a fait réagir les associations locales, notamment le groupe des élus écologistes et citoyens de Rennes et Métropole et la Cimade, présente sur place. Dans une série de messages postés sur le réseau social X, ils ont ainsi déploré la présence parmi les expulsés « d’une mère et ses trois enfants scolarisés à Guichen ». Il y avait également « un enfant de trois ans né en France. Nous réitérons notre souhait d’interdire les expulsions d’enfants ».
Avec
En France, en 2024, un élève dont la peau est noire ne fait pas de l’école la même expérience qu’un camarade dont la peau est blanche. Non que la ségrégation prévale dans l’éducation nationale bien entendu, le racisme n’y est pas plus autorisé que dans le reste de la République. Mais voilà, à la différence de ses camarades dont la peau est blanche, il peut s’entendre dire par un enseignant lorsqu’il a oublié son manuel qu’il est en quelque sorte un sans-papier — allez c’est une boutade, en clin d’œil à la leçon sur l’immigration au programme ce jour-là… — ; et, un autre jour, il peut s’entendre dire, parce qu’il ne travaille pas assez, qu’il aurait besoin d’être fouetté ; il peut aussi, à l’occasion, se poser la question de savoir pourquoi lorsqu’à la piscine la classe est divisée en deux groupes, il se retrouve, lui qui sait nager depuis ses 3 ans, avec tous les autres noirs et les basanés – en maillot ça saute encore plus aux yeux. Sans doute voit-il le racisme partout, comme on le lui reproche lorsqu’il ose s’en étonner. Mais ce qu’il perçoit surtout, c’est le déni si français du fait que les blancs sont considérés autrement. Mieux.
C’est notamment ce déni français que tentent d’analyser deux sociologues, Solène Brun et Claire Cosquer, dans un essai important, La domination blanche. Elle sont cette semaine les invitées de La Suite dans les Idées. ET rejointes en deuxième partie par la réalisatrice canadienne Anaïs Barbeau-Lavalette, qui a récemment adapté au cinéma Chien blanc, le roman de Romain Gary sur le racisme.
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