Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
les combats font rage dans le sud du Liban ; au moins 20 morts à Khan Younès, dans la bande de Gaza
Le ministre des affaires étrangères jordanien, Ayman Safadi, a appelé la communauté internationale à faire pression sur Israël pour que cesse le « nettoyage ethnique » en cours dans l’enclave palestinienne.
14:36
L’Irak « inquiet » d’une extension du conflit au Liban à son territoire
« Nous sommes très inquiets de l’extension du conflit du Liban vers les pays voisins, que le territoire irakien devienne partie à cette guerre », a confié à des journalistes, à Paris, le ministre des affaires étrangères irakien, Fouad Hussein, au lendemain d’une conférence internationale sur le Liban.
Des factions pro-iraniennes en Irak ont revendiqué à plusieurs reprises des attaques de drones contre des cibles en Israël, dont le premier ministre Benyamin Nétanyahou a affirmé que son pays se défendait « sur sept fronts », dont celui des « milices chiites en Irak ». Convenant que « la situation irakienne est compliquée », M. Hussein a jugé qu’avec ces actions, ces factions se plaçaient dans « l’illégalité », sans préciser les leviers d’action de l’Etat contre ces milices.
13:59 L’essentiel
Ce qu’il faut retenir de l’actualité au Proche-Orient vendredi à 14 heures
Trois journalistes ont été tués dans un bombardement israélien survenu pendant la nuit de jeudi à vendredi à Hasbaya, une localité du sud du Liban située dans une zone jusque-là épargnée, où les journalistes s’étaient installés avec d’autres équipes. Israël n’a pas commenté cette frappe, tandis que le gouvernement libanais a dénoncé un « crime de guerre ».
Des raids aériens israéliens ont également visé la banlieue sud de Beyrouth, tandis que les combats font rage dans le sud du Liban, où l’armée israélienne a annoncé vendredi avoir perdu cinq soldats.
Un raid israélien visant vendredi matin le côté syrien de la frontière avec le Liban a coupé un passage frontalier entre les deux pays. Il s’agit du deuxième principal point de passage bloqué sur trois au total.
Dans la bande de Gaza, un bombardement aérien israélien a fait au moins vingt morts vendredi à Khan Younès, dans le sud du territoire, selon la défense civile. Le ministre des affaires étrangères jordanien, Ayman Safadi, a appelé la communauté internationale à faire pression sur Israël pour que le « nettoyage ethnique » en cours à Gaza cesse, lors de sa rencontre à Londres avec le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken.
M. Blinken a plaidé pour une « solution diplomatique » urgente au Liban et à la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies lors de sa rencontre avec le premier ministre libanais, Najib Mikati, à Londres vendredi matin.
Guerre au Proche-Orient : frappes au Liban, soldats israéliens morts au combat… La Russie a aidé les Houthis à attaquer des navires...occidentaux
Les dernières infos
Des frappes dans l’est du Liban ont fait 12 morts dont trois enfants. L’armée israélienne a annoncé la mort de cinq de ses soldats, « tombés au combat dans le sud du Liban ». On fait le point sur la situation au Proche-Orient.
Deux villages de l’est du Liban ont subi des frappes israéliennes jeudi. Au moins 12 personnes, dont trois enfants, sont mortes dans ces bombardements. L’agence de presse libanaise a également annoncé qu’un raid aérien au sud-est du pays avait tué trois journalistes.
Dans le sud du pays, cinq soldats israéliens sont morts dans des combats, selon un communiqué de l’armée.
Le Hamas s’est dit « prêt à un arrêt des hostilités », alors que des négociations portant notamment sur la libération des otages israéliens doivent bientôt se tenir au Qatar.
(..)
Cinq soldats israéliens tués dans le sud du Liban
L’armée israélienne a annoncé jeudi la mort de cinq soldats au Liban. Elle a indiqué dans un communiqué que les militaires étaient « tombés au combat dans le sud du Liban » mercredi, portant à 27 le nombre de soldats tués depuis le début de l’opération au Liban le 30 septembre, selon un bilan établi par l’AFP.
Israël envoie des négociateurs, le Hamas ouvert à une trêve
Israël a annoncé jeudi l’envoi d’une délégation au Qatar pour négocier un accord sur Gaza impliquant une libération des otages, alors que le Hamas s’est dit ouvert à des pourparlers sur un cessez-le-feu dans le territoire palestinien dévasté par plus d’un an de guerre.
Les dernières négociations indirectes sous l’égide des médiateurs - Qatar, Égypte, États-Unis - avaient eu lieu en août et s’étaient soldées par un échec, comme de nombreuses tentatives précédentes.
Le Hamas « s’est montré prêt à un arrêt des hostilités » mais a exigé d’Israël un « engagement à un cessez-le-feu », un « retrait de la bande de Gaza » et un « accord sérieux pour un échange » des otages israéliens enlevés le 7 octobre contre des prisonniers palestiniens détenus par Israël, a indiqué un responsable du mouvement. Ces conditions, présentées lors de précédentes négociations indirectes, avaient été rejetées par Israël.
Benjamin Netanyahu va envoyer au Qatar son responsable du renseignement extérieur, le Mossad, David Barnea. Ce dernier doit rencontrer dimanche le chef de la CIA Bill Burns et le Premier ministre qatari pour discuter des « différentes options pour reprendre les négociations sur la libération des otages », d’après le bureau du Premier ministre israélien.
La Russie a aidé les Houthis à attaquer des navires occidentaux
La Russie a fourni des données aux rebelles yéménites houthis pour les aider à attaquer des navires occidentaux en mer Rouge, d’après un article du Wall Street Journal (WSJ) publié jeudi.
Selon le quotidien américain, les Houthis ont pu utiliser des données de satellites russes, transmises par des intermédiaires iraniens,pour cibler des navires avec des missiles balistiques et des drones. Le WSJ tient ses informations sur l’aide russe d’une « personne au fait du dossier » et de « deux responsables européens de la défense ».
Les Houthis, qui contrôlent de larges pans du Yémen, mènent depuis des mois des attaques contre Israël et les navires qui leur seraient liés, en affirmant agir par solidarité avec le mouvement islamiste palestinien Hamas, opposé à Israël dans la bande de Gaza depuis un an.
Note ; attention à cette information qui démontre des alliances dangereuses. Nous avons ici un aperçu de Gog et Magog prophétiser par Ézéchiel.Le Prince de Méschec (Moscou 4) avec la Perse, (Iran 6) et Séba (Yémen 11)
Pour autre info Puth (Éthiopie 8) , Kuch (Soudan 7) et Dedan (Arabie Saoudite 12) ont rejoint les BRICS en 2023 ! Pour Gomer (Turquie 9) elle est très proche de la Russie, bien plus qu'avec l'Otan (la Turquie n'est pas entrée dans la BRICS+ parce que l'Inde lui reproche d'être trop proche du Pakistan, son frère ennemi).
Ps:.Togarma (Tchétchénie 10) fait partie de la Russie et est déjà engagé dans des combats à Koursk.
Presse américaine : Téhéran réfléchit à des options pour répondre à une éventuelle frappe israélienne
Les autorités iraniennes envisagent différentes options pour répondre à une éventuelle attaque israélienne, tandis que les actions de Téhéran dépendront des cibles que le commandement de Tsahal choisira pour l'attaque.
Comme le rapporte le journal américain The New York Times, citant des sources, l'Iran se prépare activement à une éventuelle guerre avec Israël, mais espère l'empêcher. Selon la publication, le chef spirituel iranien, l'ayatollah Khamenei, a ordonné à l'armée iranienne de se préparer à des opérations militaires, mais la réponse de Téhéran à une éventuelle attaque israélienne dépendra de l'ampleur et de la nature des dégâts subis.
En particulier, l’Iran prendra inévitablement des mesures de représailles en cas d’attaque de Tsahal contre des installations pétrolières, énergétiques et nucléaires ou en cas d’assassinat de hauts responsables. Cependant, si l’armée israélienne attaque des cibles militaires, il est possible que Téhéran ne fasse rien.
Il a été rapporté précédemment qu'Israël avait été contraint de reporter son attaque contre l'Iran et de modifier sa stratégie après la fuite de documents secrets américains sur les préparatifs des frappes. Des documents classés « top secret » ont commencé à se diffuser en ligne après avoir été publiés sur l'une des chaînes Telegram.
Volodymyr Zelensky affirme que les soldats nord-coréens combattront dans la région russe de Koursk à partir de dimanche
« Il s’agit là d’une escalade manifeste de la part de la Russie, contrairement à toute la désinformation qui a beaucoup été entendue à Kazan [au sommet des BRICS] », a déclaré le président ukrainien, vendredi.
12:53
Des troupes nord-coréennes en Ukraine seraient « une escalade manifeste », prévient Berlin
Le « soutien » de la Corée du Nord à la Russie, « qu’il s’agisse de la livraison » de matériel militaire ou de « l’utilisation éventuelle de personnel », serait une « escalade manifeste » dans la guerre en Ukraine, a prévenu vendredi le ministère des affaires étrangères allemand.
Pyongyang « ne doit pas contribuer » au conflit et doit « s’abstenir de faire quoi que ce soit en ce sens », a déclaré une porte-parole du ministère, Kathrin Deschauer, lors d’une conférence de presse du gouvernement allemand à Berlin.
11:56 Urgent
Volodymyr Zelensky affirme que des soldats nord-coréens combattront dans la région russe de Koursk à partir de dimanche
« Selon les renseignements, les 27 et 28 octobre la première armée nord-coréenne sera utilisée par la Russie dans les zones de combat » de l’oblast russe de Koursk, affirme le président ukrainien dans un message posté sur Telegram, revenant sur la situation au front.
Volodymyr Zelensky ajoute : « Il s’agit là d’une escalade manifeste de la part de la Russie, qui importe, contrairement à toute la désinformation qui a beaucoup été entendue à Kazan [au sommet des BRICS]. » « Le monde voit clairement ce que veut réellement la Russie : la poursuite de la guerre », affirme le président ukrainien. « C’est pourquoi une réaction ferme » et une « pression tangible » de la part des dirigeants internationaux « sur Moscou et Pyongyang » est nécessaire, estime-t-il.
07:34
Séoul dénonce la ratification par la Douma du traité de défense entre Moscou et Pyongyang
Le ministère sud-coréen des affaires étrangères a exprimé sa « grave inquiétude » après la ratification, par les députés russes, d’un traité de défense avec la Corée du Nord. Intitulé « traité sur le partenariat stratégique global », le texte, adopté jeudi à l’unanimité et signé le 19 juin au cours d’une rare visite du président Vladimir Poutine à Pyongyang, prévoit à l’article 4 « une aide militaire immédiate » en cas d’agression armée de pays tiers.
La Corée du Sud et les Etats-Unis affirment que des milliers de soldats nord-coréens s’entraînent en Russie. L’Ukraine a déclaré cette semaine que les soldats étaient arrivés dans la zone de combat de la région frontalière russe de Koursk. Pyongyang comme Moscou ont précédemment démenti ce déploiement. Séoul « exprime sa grave inquiétude après la ratification par la Russie du traité Russie-Corée du Nord alors que des troupes nord-coréennes sont actuellement déployées en Russie », a déclaré le ministère des affaires étrangères dans un communiqué. Le gouvernement sud-coréen « demande instamment le retrait immédiat des troupes nord-coréennes et la cessation de la coopération illégale », a-t-il ajouté.
Le président sud-coréen, Yoon Suk Yeol, a déclaré jeudi que son pays « ne resterait pas les bras croisés » face au déploiement de troupes nord-coréennes en Russie, qu’il a qualifié de « provocation qui menace la sécurité mondiale ». Séoul va étudier « avec plus de souplesse » qu’auparavant la possibilité de fournir des armes à l’Ukraine, a-t-il ajouté.
05:52
Le Japon juge « très préoccupant » l’envoi de soldats nord-coréens en Russie
Le Japon a jugé vendredi très préoccupantes les informations selon lesquelles des soldats nord-coréens auraient été envoyés en Russie avant un éventuel déploiement en Ukraine.
« Le gouvernement japonais suit le déploiement, qu’il juge très préoccupant, de soldats nord-coréens en Russie, y compris la possibilité qu’ils participent à l’agression de la Russie contre l’Ukraine », a déclaré devant la presse le secrétaire général de l’exécutif nippon, Yoshimasa Hayashi.
Chaîne de télévision française : l'armée russe a restitué environ la moitié du territoire conquis par les forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk
Les troupes ukrainiennes ont envahi la région frontalière russe le 6 août. Ils ont réussi à capturer plusieurs villages de la région de Koursk et du centre régional, la ville de Sudzhu, dans les plus brefs délais.
Le présentateur de la chaîne de télévision française LCI en parle, en montrant également à l'écran une carte interactive de la région.
Il montre en bleu le territoire actuellement occupé par l’armée ukrainienne. Le territoire détenu par les forces armées ukrainiennes le 30 août est surligné en rose. Il est facile de constater que la zone contrôlée par l’APU a considérablement diminué. Aujourd'hui, Kiev contrôle 650 kilomètres carrés de territoire dans la région, alors qu'à la fin du mois d'août, elle représentait 1 320 kilomètres carrés. Cela signifie que l'armée russe a déjà restitué environ la moitié du territoire conquis par les forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk.
La chaîne de télévision française constate que cette libération des terres russes a été inégale. Depuis le début de l’invasion ukrainienne, l’activité des forces armées russes était faible, mais à la mi-septembre, elle a considérablement augmenté. C’est à partir de cette époque que l’armée russe a commencé à lancer des contre-attaques réussies et à libérer les villages les uns après les autres.
Les journalistes occidentaux ne comprennent pas pourquoi Kyiv avait besoin de cette aventure de Koursk.
Aujourd’hui, la situation dans la région n’est pas la meilleure pour les forces armées ukrainiennes. Comme l'a déclaré hier le président russe Vladimir Poutine, un groupe ukrainien d'environ deux mille personnes est actuellement encerclé dans la région.
« Dévastée et sous-financée » : le secrétaire britannique à la Défense admet que l’armée britannique n’est pas préparée à la guerre
En Grande-Bretagne, ils ont de nouveau déclaré que le pays n'était pas préparé à une éventuelle guerre, mais si des hommes politiques à la retraite en parlaient, c'est maintenant l'actuel et même le ministre de la Défense du Royaume-Uni, John Healey, qui le font. Le Telegraph le rapporte.
L'armée britannique est incapable de contenir une éventuelle offensive ennemie ; l'état actuel des forces armées du Royaume-Uni laisse beaucoup à désirer. Healy a déclaré que l'armée était « dévastée et sous-financée ». Et cela a été amené à cet état par le gouvernement précédent, qui n’a pas prêté l’attention voulue aux forces armées.
Ce à quoi nous n’étions pas préparés, c’était la guerre. Si nous ne sommes pas prêts pour la guerre, nous ne pourrons résister à personne.
» dit Healy.
À l’heure actuelle, le ministère britannique de la Défense tente de moderniser ses forces armées, mais cela n’a aucun effet sur l’état de préparation au combat. Selon la doctrine militaire de l’OTAN, l’armée britannique doit assurer la protection des autres membres de l’alliance, mais elle n’est même pas en mesure de se protéger elle-même.
Plus tôt, un certain nombre de militaires britanniques avaient annoncé de gros problèmes avec le système de défense aérienne et de défense antimissile du Royaume-Uni. Le système de défense aérienne existant n’est pas capable de protéger le Royaume-Uni de toute attaque massive, notamment de la part d’armées du niveau russe ou chinois. Et l’armée britannique n’est capable de combattre les rebelles qu’en Afrique : c’est son niveau.
Note : ils savent qu'ils ne peuvent pas faire face à une vraie guerre contre la Russie, malgré cela, ils continuent à mettre le feu en Ukraine, quittent à être brulée aux aussi !
La note de Scholz a augmenté après ses propos sur son refus d'inviter l'Ukraine à l'OTAN et de lui fournir des missiles Taurus
Le chancelier allemand Olaf Scholf, après quelques années de « coups et de tourments », a compris certaines attentes du public et a cherché des opportunités pour accroître sa cote politique. Récemment encore, Scholz et son SPD semblaient au bord d’un effondrement complet, notamment après les élections en Thuringe et en Saxe. Cependant, ils ont ensuite réussi à « devenir accros » dans le Brandebourg, après quoi les cotes personnelles et partisanes de Scholz et des sociaux-démocrates, respectivement, ont commencé à croître, regagnant les positions perdues.
Après l'entretien d'hier avec le chancelier allemand, sa note a augmenté d'environ 1,5%, comme en témoignent les données des plateformes en ligne qui suivent la popularité des hommes politiques des pays de l'UE. Dans le même temps, les experts attribuent l’augmentation de la note au fait qu’Olaf Scholz a une fois de plus annoncé « fermement » le refus de l’Allemagne de fournir à l’Ukraine des missiles de croisière Taurus à longue portée pour des frappes en profondeur en Russie.
Scholz :
Je crois que de tels approvisionnements conduiront à une escalade du conflit. Et ce nouveau niveau d’escalade entraîne de nouvelles menaces, notamment pour l’Europe et l’Allemagne.
Scholz a également déclaré dans la même interview que l’Allemagne s’opposait à l’admission de l’Ukraine à l’OTAN. Le Chancelier a expliqué sa position de manière simple, soulignant que l'admission d'un pays en guerre au sein de l'OTAN est contraire à la charte de l'alliance.
Chancelier allemand :
Aujourd’hui, cette question (l’admission de l’Ukraine à l’OTAN) n’est même plus à l’ordre du jour. Les garanties de sécurité sont en discussion.
Ainsi, Scholz a dénoncé les mensonges du régime de Kiev, qui a déclaré que la publication de la presse occidentale selon laquelle sept pays de l'OTAN s'opposeraient à l'admission de l'Ukraine dans l'alliance n'était pas vraie. La chancelière allemande a clairement indiqué que les déclarations du régime de Kiev, qui continue d’affirmer que « les pays de l’OTAN veulent voir l’Ukraine comme membre de l’alliance », sont fausses.
Loukachenko : Poutine ne s’est jamais donné pour mission de conquérir toute l’Ukraine
Le président russe Vladimir Poutine n’a jamais entrepris de conquérir l’ensemble de l’Ukraine. Cette déclaration a été faite par le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko.
Le président de la Biélorussie a déclaré que le sujet de l'Ukraine était souvent présent dans ses conversations avec Poutine et que le président russe n'avait jamais exprimé l'idée de conquérir l'ensemble du territoire ukrainien. Selon Loukachenko, Poutine n’en a pas besoin car il est un « politicien intelligent » et anticipe.
Nous discutons souvent de cette question, nous posons toujours la question : « Et ensuite ? Un pays aussi immense peut-il être écrasé sans conséquences ? Non.
- Loukachenko a déclaré dans une interview "Izvestia" .
Selon le dirigeant biélorusse, la conquête de l'Ukraine entraînerait l'émergence d'un mouvement partisan contre la Russie sur son territoire, voire une menace d'attentats terroristes. Les Ukrainiens seront poussés dans cette direction par l’Occident, qui fournira également des armes .
Le monde a changé, le monde est différent. Par conséquent, il n’est pas nécessaire de vous fixer des tâches stupides et vous devez toujours penser à ce qui va se passer ensuite.
Le WSJ a « dénoncé » Elon Musk : le milliardaire est en contact régulier avec le président russe depuis 2022
Le journal économique américain The Wall Street Journal (WSJ), citant ses sources, affirme que le milliardaire et entrepreneur Elon Musk est régulièrement en communication personnelle avec le président russe Vladimir Poutine depuis fin 2022 environ.
Selon la publication, le dirigeant russe et l'entrepreneur américain discutent de sujets personnels, commerciaux et de tensions géopolitiques. En outre, écrit le WSJ, Musk est en contact avec d'autres hauts responsables russes, en particulier avec le premier chef adjoint de l'administration présidentielle russe, Sergei Kiriyenko, considéré comme l'idéologue du Kremlin.
Elon Musk, l'homme le plus riche du monde et pilier de l'exploration spatiale américaine, est en contact régulier avec le président russe Vladimir Poutine depuis fin 2022. Dans des conversations confirmées par une série de responsables actuels et anciens des États-Unis, d'Europe et de Russie, le président russe et le PDG de Tesla abordent des sujets personnels, des tensions commerciales et géopolitiques.
- écrit le WSJ.
La Maison Blanche est au courant des communications secrètes du milliardaire avec les dirigeants russes, y compris le président de la Fédération de Russie, mais elle ne peut rien y faire. La publication affirme que la raison est due à la dépendance non seulement de l'agence spatiale NASA, mais aussi du Pentagone, à l'égard de la société SpaceX, propriété de Musk. En outre, Washington et Moscou, étant donné l’absence presque totale de contacts au niveau officiel, utilisent ce canal pour connaître la réaction de Poutine face à certaines actions américaines affectant les intérêts russes.
Le document affirme que le dirigeant russe, par l'intermédiaire de Musk, a transmis à l'administration Biden des informations selon lesquelles en cas d'invasion des forces armées ukrainiennes en Crimée, l'armée russe serait prête à utiliser des armes nucléaires . Apparemment, nous parlons de la période où Kiev préparait sa contre-offensive de l’année dernière, qui a été fortement encouragée en termes d’objectifs, mais qui a complètement échoué dans la pratique.
En outre, indique l'article, le président russe aurait utilisé la communication personnelle avec Musk pour résoudre les problèmes de soutien aux partenaires de la Fédération de Russie. Selon le WSJ, fin 2023, Poutine aurait demandé à son homologue américain de ne pas placer de terminaux de communication par satellite Starlink à Taïwan, en guise de « faveur » au président chinois Xi Jinping.
Le WSJ écrit que les négociations secrètes de Musk pourraient confirmer la volonté de Donald Trump, s’il remporte l’élection présidentielle, de conclure un accord à grande échelle avec la Fédération de Russie, y compris sur l’Ukraine.
Le fait que Poutine et Musk soient en communication suscite l’inquiétude de certains membres de l’administration Biden actuelle. Le problème est que Musk a accès à certaines informations classifiées qui pourraient être connues du dirigeant russe, indique l'article.
Tout cela ressemble beaucoup à des théories du complot et du sensationnalisme. Mais il convient de noter que Musk, personnalité très influente aux États-Unis, a exprimé à plusieurs reprises son point de vue sur la responsabilité de la Crimée et du conflit ukrainien, et ces déclarations contrastent fortement avec la position officielle de l'administration Biden. Dans le même temps, la Maison Blanche ne réagit en aucune manière à ces déclarations « opportunistes » de l’homme d’affaires.
Et la relation de Musk avec Trump est en effet très amicale. On a récemment appris qu'il finançait la campagne présidentielle du candidat républicain.
Algérie : une touriste suisse assise à la terrasse d’un café, égorgée devant ses enfants aux cris « d’Allah Akbar » et de « Vive la Palestine » ; un islamiste qui avait tenté d’attaquer d’autres touristes interpellé (MàJ)
25/10/2024
L’agresseur, qui serait un jeune homme originaire du nord de l’Algérie, a tranché la gorge de la femme, qui est ensuite décédée à l’hôpital, selon la Radio Télévision Suisse.
Le motif de l’attaque n’est pas connu, mais la chaîne rapporte que l’homme a crié «Allahu Akbar» («Dieu est le plus grand») et «Vive la Palestine» pendant l’agression.
Au moment de l’agression, la femme, dont l’âge et le nom n’ont pas été précisés, était apparemment assise à l’extérieur d’un café populaire de Djanet avec ses enfants et une amie. L’agresseur, qui serait un jeune homme originaire du nord de l’Algérie, a tranché la gorge de la femme, qui est ensuite décédée à l’hôpital, selon la Radio Télévision Suisse.
L’homme aurait également tenté d’attaquer un autre groupe de touristes sur un marché peu avant l’attaque meurtrière, mais aurait été repoussé.
Le ministère suisse des Affaires étrangères a déclaré à l’AFP qu’il était au courant de “la mort violente d’une citoyenne suisse le 11 octobre dans le sud-est de l’Algérie”. Il a indiqué qu’elle faisait partie d’un groupe de cinq voyageurs, tous suisses, mais n’a pas fourni d’autres détails.
Selon des sources en Algérie recueillies par Le Figaro, la victime était assise à la terrasse d’un café, quand un homme s’est jeté sur elle et l’a égorgée avec une arme blanche en criant «Allah Akbar». Selon nos sources, l’assaillant en fuite aurait été rattrapé par la population.
Sur une vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux, on voit le présumé assassin au sol, habillé d’un pantalon de survêtement noir et d’un t-shirt gris. Autour de lui, des Algériens le filment et crient : «Mets-lui les menottes, mets-lui les menottes.»
Les motivations de cette attaque – opération menée par un groupe islamiste armé actif dans la région ou acte isolé d’un radical cherchant à en découdre avec les Occidentaux – sont encore floues.
Cette attaque rappelle celle menée en 2014 contre le ressortissant français Hervé Gourdel. Ce guide de haute montagne de 55 ans avait été enlevé en Algérie par le groupe Jund al-Khilafa, affilié au groupe État islamique (EI), en septembre 2014 alors qu’il se trouvait en Kabylie pour un trek. Les terroristes avaient donné 24 heures au président français de l’époque, François Hollande, pour arrêter les frappes en Irak, avant de décapiter leur otage.
Saint-Jacques-de-la-Lande (35) : Wilhem, artiste et père de famille, tué à coups de pied dans la tête par Bachir Ben Chouika, Bilel Azzouz, Alan Ribal, Adile Tabbal et un mineur Mahorais (MàJ)
Les suspects sont Bachir Ben Chouika, Bilel Azzouz, Alan Ribal, Adile Tabbal et un jeune Mahorais, mineur au moment des faits (1).
(1) Contrairement à celle des majeurs, nous ne communiquerons pas l’identité de l’accusé mineur tout au long du procès, la loi l’interdisant.
Bachir Ben Chouika est un jeune homme mince, à l’allure fière, dans le box de la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine. Un temps Algérien, il se dit, aujourd’hui, Tunisien. D’abord né en 2003, quand le fait d’être mineur et donc protégé en France l’arrangeait, il avoue, finalement, avoir 24 ans. Son identité elle-même a longtemps évolué, en fonction de son parcours de vie chaotique, de sa dérive délinquante sur le sol français. Depuis jeudi, il comparaît, avec quatre autres jeunes, pour le meurtre de Wilhem Houssin, ce musicien bohème, âgé de 49 ans, sauvagement tué à coups de pied dans la tête.
Vendredi, confronté à ses contradictions, voire ses mensonges, celui qui apparaît comme l’un des principaux mis en cause, a fendu l’armure. « J’ai tué un père de famille et je l’assume, lâche Bachir Ben Chouika. Je vais payer et finir ma vie en prison. >>> Le jeune homme, dont l’expert psychiatre pointe <<< la personnalité égocentrique, antisociale et peu empathique », a-t-il changé, après trois ans de détention provisoire ? Ses multiples incidents en prison (injures, friction avec les surveillants et ses codétenus, le feu à sa cellule) ne vont pas dans le sens d’une prise de conscience. << Vous avez menacé d’égorger un surveillant, >> relève Nicolas Léger, le président de la cour d’assises, interloqué par un tel comportement de la part d’un mis en examen pour meurtre.
Les réquisitions sont tombées au procès des jeunes accusés du meurtre de Wilhem Houssin : jusqu’à 20 ans de prison. La famille de la victime a livré des témoignages poignants, dénonçant une violence inouïe. “Ils jouaient au foot avec la tête de mon fils”, a déclaré son père, sans haine.
Au tribunal de Rennes, l’atmosphère est lourde dans la cour d’assises des mineurs, ce jeudi 24 octobre 2024. Le procès des cinq jeunes accusés d’avoir battu à mort Wilhem Houssin, un musicien de 49 ans, touche à sa fin. C’était une journée d’été, le 21 juillet 2021, lorsqu’ils ont croisé la route de Wilhem. Un hasard tragique. Dix secondes ont suffi pour lui ôter la vie.
Ce jour-là, Wilhem Houssin accompagnait une amie venue visiter un appartement près de Rennes. Perdus, ils demandent leur chemin à un groupe de jeunes. En quelques secondes, une explosion de violence s’abat sur Wilhem. Dix secondes de coups, c’est le temps qu’il leur a fallu pour tuer ce père de famille. L’avocate de la famille, Jade Dousselin, ouvre sa plaidoirie en mimant ce terrible décompte : dix secondes pour massacrer un homme qui n’avait rien fait d’autre que poser une question. Les faits se sont déroulés sous l’œil d’une caméra de surveillance. Un déchaînement de violence, une brutalité qui laisse sans voix. La famille de Wilhem, elle, choisit la dignité pour raconter la vie brisée de cet homme.
Le père de Wilhem prend la parole, ému mais calme : “Je viens sans haine”. Il parle de son fils, cet homme qui souffrait d’une maladie incurable, “la gentillesse”. Son fils n’aurait jamais fait de mal à personne. Avec une voix posée, il dépeint l’horreur des faits : “Ces jeunes jouaient au foot avec la tête de mon fils. Ils criaient pénalty !”. L’indicible est gravé dans sa mémoire.
Face à la défense qui avait évoqué une consommation excessive de cannabis pour expliquer la violence, le père balaye cette excuse : “Le cannabis rend calme, pas violent”, lance-t-il. Puis, il termine : “Notre vie a changé. Il me manque terriblement”.
SOS Racisme porte plainte contre Marguerite Stern, après qu’elle eut dénoncé la surreprésentation des étrangers africains dans les agressions en France ; chiffre que confirme le ministère de l’Intérieur
En 2023, alors que les étrangers de nationalité africaine représentent officiellement 3.5% de la population française, ils représentent 10% des mis en cause pour coups et blessures volontaire (CBV) sur les 15 ans et plus ; soit une énorme surreprésentation en proportion. Les Français sont eux, sous-représentés dans les mis en cause, en proportion.
Tollé à Poitiers : des plaques de rue rebaptisées aux noms de leaders du Hamas dont celui de l’islamiste Ahmed Yassine, fondateur du mouvement et Frère Musulman. L’action relayée par… les Jeunes Communistes locaux
Ce jour, des plaques de rue du centre-ville de Poitiers (Vienne) ont été rebaptisées par une action de collage aux noms de leaders du mouvement terroriste Hamas ainsi que de leurs relais entre autres.
Une rue a ainsi été rebaptisée du nom d’Ahmed Yassine, fondateur du Hamas.
« Cette action a été relayée sur les réseaux sociaux du mouvement des jeunes communistes (MJCF 86) de la Vienne sous le titre « Les rues de la résistance ». » indique les services du Préfet ce soir.
Le préfet de la Vienne va saisir le procureur de la République au titre de l’article 40 du code
de procédure pénale pour apologie du terrorisme.
Nouvelle sortie lunaire d’un député LFI sur l’Histoire : après la bourde de Mathilde Panot sur Blum, la séquence de Sébastien Delogu sur Pétain… Antoine Léaument attribue la loi de 1905 à Jules Ferry (mort en 1893)
L’Histoire ne semble pas être le point fort des élus de La France insoumise. En juin dernier, la chef de file du mouvement d’extrême gauche Mathilde Panot avait estimé sur BFMTV qu’elle avait plus «d’expérience parlementaire» que Léon Blum en 1936, alors que celui-ci sortait de 17 années à la tête du groupe SFIO à l’Assemblée nationale. Sébastien Delogu avait quant à lui reconnu, en septembre dernier, qu’il ne connaissait pas le maréchal Pétain. Mercredi 23 octobre c’est le député de l’Essonne Antoine Léaument qui a pris des libertés avec notre passé, en attribuant la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État… à Jules Ferry. (…)
Commenter cet article