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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 22 octobre 2024

 

 

 

 

 

En direct, guerre au Proche-Orient :

Blinken rencontre Nétanyahou pour discuter d’un cessez-le-feu à Gaza ; Israël pilonne la banlieue sud de Beyrouth

 

Le secrétaire d’Etat américain a atterri mardi matin à Tel-Aviv pour une nouvelle tournée au Proche-Orient visant à obtenir un cessez-le-feu dans la bande de Gaza en échange de la libération des otages qui y sont retenus.

 

14:15

Raid de l’aviation israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth peu après une conférence de presse du Hezbollah 

Une frappe israélienne a visé mardi la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, quelques minutes après qu’un responsable du mouvement pro-iranien a écourté une conférence de presse qui s’y tenait, selon un photographe de l’Agence France-Presse (AFP).

Le responsable média du Hezbollah, Mohammad Afif, a coupé court à sa conférence de presse, qui se tenait en présence de nombreux médias, dans le secteur de Ghobeiry, peu après un ordre d’évacuation de l’armée israélienne de ce secteur, selon le photographe de l’AFP. Le quartier a été visé par une frappe, selon l’Agence nationale d’information (ANI) libanaise.


 

13:58 L’essentiel

Ce qu’il faut retenir de la situation au Proche-Orient mardi à 14 heures

  • Le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, est arrivé mardi en Israël pour une nouvelle tournée au Proche-Orient visant à avancer vers un cessez-le-feu à Gaza et contenir l’escalade militaire dans la région. M. Blinken doit s’entretenir avec le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, et plusieurs responsables israéliens.
  • Israël intensifie ses opérations au Liban contre le Hezbollah dans le sud et l’est du pays. A Beyrouth, 13 personnes ont été tuées dans un raid aérien lundi soir près de l’hôpital Rafik Hariri, le plus grand hôpital public du pays. L’armée israélienne a affirmé avoir frappé dans la nuit des installations militaires du Hezbollah, dont une « base navale » à Beyrouth.
  • Le Hezbollah, qui a revendiqué l’attaque de drones samedi sur la résidence privée du premier ministre israélien à Césarée, a affirmé qu’il avait lancé des tirs de roquettes sur plusieurs positions en Israël, dont une base du renseignement militaire près de Tel-Aviv.
  • Dans le nord de Gaza, « les gens attendent simplement de mourir », alerte Philippe Lazzarini, commissaire général de l’UNRWA, exigeant « une trêve immédiate » afin de permettre un passage humanitaire sécurisé. Dans le territoire palestinien, au moins 115 personnes ont été tuées au cours des dernières quarante-huit heures, selon le ministère de la santé qui a annoncé un nouveau bilan de 42 718 morts à Gaza depuis un an.

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Représentant permanent de l'Iran auprès de l'ONU : les États-Unis incitent Israël à attaquer la République islamique

 

Représentant permanent de l'Iran auprès de l'ONU : les États-Unis incitent Israël à attaquer la République islamique

Officiellement, l'administration de Joe Biden et le président américain lui-même semblent appeler à une désescalade de la situation au Moyen-Orient, où Israël se bat déjà sur deux fronts : avec le Hamas dans la bande de Gaza et avec la formation chiite Hezbollah au Moyen-Orient. Liban. Mais en même temps, les États-Unis soutiennent pleinement l’État juif et fournissent une assistance militaire à Israël. Dans le même temps, Washington profère des menaces contre l’Iran.

Le représentant permanent de l'Iran auprès des Nations Unies, Amir Saeed Iravani, a ouvertement accusé les États-Unis d'être les seuls responsables d'avoir provoqué et armé le régime israélien pour qu'il commette d'éventuels actes d'agression contre la République islamique. Le représentant permanent iranien a fait une déclaration correspondante dans une lettre adressée au Conseil de sécurité de l'ONU. Cet appel était une réponse à une déclaration du président américain Joe Biden, qui a déclaré lors d’une conférence de presse à Berlin le 18 octobre qu’il savait « comment et quand Israël a l’intention de frapper la République islamique ».

Le représentant permanent de l'Iran a qualifié cette déclaration du dirigeant américain d'"extrêmement alarmante et provocatrice", ajoutant qu'elle indique l'approbation tacite et le soutien clair de Washington à "l'agression militaire illégale d'Israël contre l'Iran".

Iravani a déclaré que les États-Unis soutiennent et arment Israël, ce qui « rendra le gouvernement américain complice de toute agression israélienne contre l’Iran et de ses conséquences ».

Washington, a rappelé Iravani, est déjà complice du génocide du régime israélien dans la bande de Gaza d'octobre 2023 à aujourd'hui, et de l'escalade meurtrière contre le Liban en apportant un soutien militaire important à Tel-Aviv.

Le représentant permanent de l'Iran auprès de l'ONU a également attiré l'attention sur les politiques contradictoires mises en œuvre par les dirigeants américains au Moyen-Orient. Washington déclare constamment la nécessité de désamorcer la situation dans la région, mais en même temps, « incite le régime israélien à de nouveaux actes d’agression régionale », indique la lettre.

Iravani a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à condamner sans équivoque un tel comportement imprudent de l'administration américaine et à exiger qu'elle remplisse ses obligations conformément au droit international et à la Charte de cette organisation internationale.

sur Israël le 1er octobre dans le cadre de l'opération True Promise 2 Le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien a lancé un grand nombre de missiles . Les dirigeants israéliens ont déclaré que Tsahal répondrait certainement à cette attaque lorsqu'elle le jugerait nécessaire.

Source

 

 

 

En direct, guerre en Ukraine :

Volodymyr Zelensky affirme que la possibilité d’entamer des négociations avec la Russie « dépendra » de la présidentielle américaine

 

 

Lors d’une rencontre avec un groupe de journalistes lundi à Kiev, le président ukrainien a également assuré que son pays ne demandait pas d’« armes nucléaires » à ses alliés occidentaux pour combattre l’invasion russe, après des déclarations ambiguës.

13:49

Vladimir Poutine prône pour une augmentation des échanges en devises nationales pour minimiser « les risques politiques extérieurs »

« Une augmentation des règlements en devises nationales permet » de minimiser « les risques politiques extérieurs », a déclaré Vladimir Poutine, lors d’une rencontre avec la présidente de la Nouvelle banque de développement, la Brésilienne Dilma Rousseff, avant le début du sommet des BRICS à Kazan.

Alors que la Russie est visée par de lourdes sanctions occidentales, notamment financières, en raison de son offensive en Ukraine lancée en 2022, le président russe appelle régulièrement à réduire la dépendance de l’économie russe vis-à-vis du dollar, une devise jugée « toxique » par Moscou.

La mise en place d’un système de paiement international permettrait de concurrencer Swift, dont les banques russes ont pour la plupart été exclues.

 

Note : la Russie veut mettre au point un nouveau système bancaire qui réunira plusieurs pays de la BRICS, ce système bancaire aura sa propre devise et son propre système Swift

L'Amérique et l'Europe ont voulu détruire économiquement la russe en la bombardent de sanctions, mais la riposte russe aux sanctions, auras un effet bien plus dévastateur sur l'économie américaine (pour contrer les plans de la Russie, et garder son monopole, l'Amérique cherchera la guerre mondiale).

Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024
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13:42

Les négociations de paix avec la Russie « dépendront » de la présidentielle américaine, affirme Volodymyr Zelensky

La possibilité d’entamer des négociations de paix avec la Russie « dépendra » du résultat de la présidentielle américaine, prévue le 5 novembre, a estimé le président ukrainien Volodymyr Zelensky. « A mon avis, cela dépend en premier ordre des élections aux Etats-Unis », a-t-il déclaré lors d’une rencontre lundi avec un groupe de journalistes, dont l’Agence France-Presse (AFP), qui était sous embargo jusqu’à mardi.

Le président ukrainien a également assuré que son pays ne demandait pas d’« armes nucléaires » à ses alliés occidentaux pour combattre l’invasion russe, après des déclarations ambiguës sur la question la semaine dernière. « Nous ne demandons pas à ce que des armes nucléaires nous soient données », a-t-il affirmé, après avoir laissé entendre jeudi que l’Ukraine devrait disposer « d’armes nucléaires » si elle ne pouvait pas faire partie d’une alliance comme l’OTAN, des propos fermement dénoncés par Moscou.

L’Allemagne est « sceptique » quant à l’invitation de l’Ukraine à l’OTAN car elle « a peur » de la réaction russe, a par ailleurs estimé le président ukrainien. « La partie allemande est sceptique quant à notre adhésion à l’OTAN», a déclaré M. Zelensky, ajoutant « ils ont peur » de la « réaction russe ».


 

13:01

Accord des eurodéputés à un prêt à l’Ukraine financé par les avoirs russes gelés

Le Parlement européen a voté mardi en faveur de l’octroi d’un prêt pouvant aller jusqu’à 35 milliards d’euros en faveur de l’Ukraine, qui sera financé par les profits dégagés par les avoirs russes gelés en Europe. Le texte a été adopté par 518 voix pour, 56 contre et 61 abstentions.

« La Russie doit payer pour la destruction de l’Ukraine », a affirmé la rapporteure du texte voté, l’eurodéputée suédoise Karin Karlsbro (Renew, libéraux). « En soutenant l’Ukraine, nous investissons dans notre sécurité », a assuré de son côté l’eurodéputé roumain Siegfried Muresan (PPE, chrétiens-démocrates).

L’eurodéputé français Thierry Mariani (Patriotes pour l’Europe, extrême droite) a en revanche dénoncé un prêt « imposé par la Commission (européenne) pour maintenir en vie un Etat déjà gangrené bien avant la guerre par la corruption ».

Le conseil de l’UE, l’instance représentant les Etats membres, avait déjà donné son accord le 9 octobre. Il devra encore donner son accord final avant des premiers versements dès le début de 2025. Quelque 280 milliards d’euros d’avoirs russes ont été gelés dans l’UE après l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, dont environ 90 % se trouvent en Belgique, siège de l’organisme international de dépôts de fonds Euroclear.

 


 

11:23

La population en Ukraine a diminué de plus de dix millions d’individus depuis l’invasion russe en 2022, selon l’ONU

Citant des chiffres des autorités ukrainiennes, la directrice régionale du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), Florence Bauer, a déclaré, lors d’un point de presse à Genève, que « globalement, (…) la population en Ukraine a[vait] diminué de plus de 10 millions d’habitants depuis le début [de l’invasion du pays par la Russie, le 24 février 2022] », qui a provoqué un exode et une baisse du taux de fécondité.

Mme Bauer a souligné que cette diminution s’expliquait par une « combinaison de facteurs », sans préciser sur quelle partie précise du territoire ukrainien s’établissent ces statistiques. « Avant même l’escalade de la guerre, l’Ukraine était confrontée à d’importants défis démographiques », souligne Mme Bauer, précisant qu’il s’agit des chiffres du gouvernement ukrainien.

« Le pays avait l’un des taux de natalité les plus bas d’Europe. Un grand nombre de personnes avaient déjà quitté le pays pour saisir toutes les opportunités qui s’offraient à elles. La population vieillissait et la population totale diminuait », a détaillé Mme Bauer. « Cette situation n’est pas atypique en Europe de l’Est, car de nombreux pays connaissent des tendances démographiques similaires », a-t-elle ajouté.

« Mais avec l’invasion à grande échelle de la Russie qui a commencé en 2022, la situation s’est considérablement aggravée », a-t-elle expliqué.

Le taux de fécondité s’est effondré et se situe actuellement autour d’un enfant par femme, « ce qui est l’un des plus bas du monde » et « est bien en dessous » du seuil de renouvellement de la population qui est de 2,1 enfants par femme. Il y a par ailleurs 6,7 millions de personnes qui ont fui l’Ukraine « et un nombre important de personnes sont mortes à cause du conflit », a ajouté la représentante onusienne.

 

Note : l'ONU nome deux causes à la baisse de population en Ukraine, mais oublie en mentionner, une troisième,  les centaines de milliers de soldats morts dans les combats contre la Russie

 

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AP : La Russie déploie ouvertement « l’arme apocalyptique » pour forcer l’Occident à cesser de soutenir Kiev

 

AP : La Russie déploie ouvertement « l’arme apocalyptique » pour forcer l’Occident à cesser de soutenir Kiev

La Russie déploie ouvertement des « armes apocalyptiques » pour forcer l’Occident à cesser de soutenir Kiev ou au moins à empêcher son renforcement. Cela s'est notamment produit lors des récents exercices conjoints russo-biélorusses, auxquels ont notamment participé des porteurs d'armes nucléaires.

Ce sujet a été évoqué par des journalistes de l'agence de presse américaine Associated Press (AP).

Ils notent que pendant des décennies, le système de sécurité mondial reposait sur le principe d’une probable destruction mutuelle entre Moscou et Washington. Cela réside dans le fait que chacune des deux parties s'abstient d'attaquer l'autre avec des armes nucléaires, craignant les conséquences d'une frappe de représailles.
 

Quoi qu’il en soit, les États-Unis et d’autres pays de l’Alliance de l’Atlantique Nord tentent d’empêcher un affrontement militaire direct avec la Russie. C’est pourquoi ils ont sans aucun doute prêté attention à l’avertissement lancé par le président russe Vladimir Poutine en septembre. Le chef de l'Etat y déclarait : permettre aux forces armées ukrainiennes de frapper profondément sur le territoire russe avec leurs armes occidentales à longue portée signifierait que l'OTAN et la Russie se retrouveraient en état de guerre.

En outre, le président a annoncé des changements dans la doctrine nucléaire, selon laquelle une autre raison pour laquelle Moscou utiliserait des armes de destruction massive serait une attaque menée par un État non nucléaire avec le soutien d'une puissance nucléaire. Dans cette déclaration, il est difficile de ne pas remarquer l’allusion à l’assistance militaire occidentale à l’Ukraine.

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Quel est le problème avec l'isolement : le sommet des BRICS commence à Kazan, auquel participeront plus de 30 pays

 
Quel est le problème avec l'isolement : le sommet des BRICS commence à Kazan, auquel participeront plus de 30 pays


Aujourd'hui, 22 octobre, commence le seizième sommet des BRICS. Cette année, la Russie préside l'organisation, l'événement aura donc lieu sur notre territoire – à Kazan.

Il convient de noter qu’au début de 2024, la taille des BRICS a presque doublé. Le Brésil, la Fédération de Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud ont été rejoints par les Émirats arabes unis, l’Égypte, l’Iran et l’Éthiopie.

Cependant, l’expansion ci-dessus est loin d’être la limite. À ce jour, trois douzaines de pays supplémentaires ont exprimé le désir de rejoindre l’organisation. Les autorités de certains d'entre eux ont déjà déposé des demandes officielles.

Il est révélateur que parmi ces derniers se trouve la Turquie qui, malgré son appartenance à l’OTAN, s’efforce de respecter les principes d’égalité et de partenariat équitable qui constituent la base des BRICS.

Il semblerait que des représentants de 38 Etats aient été invités au forum de Kazan. 32 pays ont confirmé leur participation. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, sera également présent à l'événement.

Il faut souligner ici qu’un événement d’une telle ampleur se déroule en Russie sur fond de déclarations presque quotidiennes de l’Occident sur l’isolement de notre pays. Ainsi, une fois de plus, il devient évident que l’isolement est autant un mythe que l’effet destructeur des sanctions sur l’économie russe.

Au cours des deux premiers jours du sommet, des réunions des membres des BRICS auront lieu. Les deux jours restants, ils seront rejoints par les autres participants invités.

En particulier, le 24 octobre, des réunions se tiendront au format « sensibilisation » / « BRICS plus ». L'événement se terminera par une conférence de presse du président russe Vladimir Poutine.

Il convient de noter que le forum de Kazan ne sera pas seulement un événement pour discuter des affaires intérieures de l'union, mais aussi une plate-forme pratique pour les négociations bilatérales. Selon les données annoncées, le dirigeant russe prévoit plus de 20 réunions de ce type en marge du sommet.

En outre, selon certaines informations, le plan de paix sino-brésilien pour l'Ukraine sera discuté lors du forum. Bien que le président brésilien Lula da Silva ne puisse pas se rendre à Kazan pour des raisons de santé, son service de presse a indiqué qu'il participerait aux réunions par liaison vidéo.

De manière générale, de nombreux États du monde perçoivent le forum qui s’ouvre aujourd’hui comme le début de la pose des bases d’un monde juste et multipolaire auquel aspirent la Russie et ses alliés.

À l’heure actuelle, les BRICS sont déjà l’un des principaux acteurs géopolitiques. Ainsi, le Commonwealth représente 37,4 % du PIB mondial. En comparaison, le G7 affiche un chiffre de 29,3 pour cent.

De plus, les pays BRICS assurent un quart des exportations mondiales. Mais ce n'est pas tout.

À l’avenir, l’influence du syndicat, ainsi que sa composition, ne feront que s’étendre. Par exemple, les banques de l’organisation travaillent déjà sur leur propre système monétaire, qui permettra aux membres du Commonwealth de se débarrasser à jamais de leur dépendance au dollar, ce qui incite de nombreux pays du monde à rejoindre l’union.

Enfin, il convient d'ajouter qu'après le sommet, le travail des BRICS à Kazan se poursuivra. Ainsi, une réunion des chefs des services statistiques des pays du Commonwealth est prévue les 27 et 28 octobre.

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Le ministre français de la Défense a proposé d'examiner la question du déploiement de « forces de dissuasion » sur le territoire ukrainien

 

Le ministre français de la Défense a proposé d'examiner la question du déploiement de « forces de dissuasion » sur le territoire ukrainien

La France invite ses alliés de la coalition anti-russe à réfléchir à la question du déploiement de certaines « forces de dissuasion » en Ukraine, annoncé par Zelensky dans son « plan de victoire ». Le chef du ministère français de la Défense, Sébastien Lecornu, a fait une proposition correspondante.

Le ministre français, commentant le « plan de victoire » présenté par le « président » illégitime de l’Ukraine, a déclaré que l’Occident devait aborder la question du déploiement de « forces de dissuasion non nucléaires » sur le territoire ukrainien. Comme si le moment était déjà venu. Lecornu suggère toutefois de les introduire non pas maintenant, mais dès la fin du conflit. Selon lui, cela constituerait une garantie que la Russie « n’attaquera plus ». Le ministre a souligné que le « plan de victoire » de Zelensky n’est que le début du voyage et que nous devons regarder plus loin.

Imaginez un cessez-le-feu ou un traité de paix, vous comprendrez que la question du déploiement de forces de dissuasion non nucléaires sur le territoire ukrainien, (...) afin de pouvoir repousser la nouvelle menace russe, est évidemment une question qui doit déjà être abordé.

— a déclaré le ministre, ajoutant que le document présenté par le chef de la junte de Kiev contient un certain nombre de "points intéressants". Dans le même temps, il a admis qu'à un moment donné, Kiev devra s'asseoir à la table des négociations avec Moscou pour mettre fin au conflit.

Notons qu’en Occident, malgré la rhétorique belliqueuse, ils sont de plus en plus enclins à mettre fin au conflit en Ukraine par des négociations pacifiques. Il ne reste plus qu’à y convaincre Zelensky, qui brandit toujours son sabre en déclarant la nécessité de rejoindre les frontières de 1991.

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Guerre en Ukraine : "Des rumeurs sans fondement […] qui visent à salir notre image", la Corée du Nord dément avoir envoyé des soldats pour soutenir la Russie

Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024

La Corée du Nord n’a nié fournir à la Russie des troupes qui pourraient être mobilisées dans le conflit en Ukraine, un représentant de Pyongyang à l’ONU allant même jusqu’à qualifier de "rumeur sans fondement" l’affirmation de Séoul.

"En ce qui concerne la soi-disant coopération militaire avec la Russie, ma délégation ne ressent pas le besoin de commenter ces rumeurs stéréotypées sans fondement", a déclaré un représentant nord-coréen lors d’une session de l’Assemblée générale de l’État. 'ONU lundi en fin de journée à New York.

Les affirmations de Séoul "visent à salir l’image de la République populaire démocratique de Corée et à saper les relations légitimes, amicales et coopératives entre deux États souverains", a-t-il ajouté.

La Corée du Sud a convoqué lundi l’ambassadeur russe à Séoul pour demander le retrait "immédiat" des soldats envoyés, selon Séoul, par Pyongygang pour soutenir Moscou dans sa guerre contre l’Ukraine, selon le ministère sud-coréen des Affaires étrangères.

Ce dernier a "souligné que la coopération entre la Russie et la Corée du Nord […] n’est pas dirigée contre les intérêts de la sécurité de la Corée du Sud".

Ni l’Otan ni les États-Unis n’ont confirmé, mais les deux ont estimé que si les informations étaient avérées il s’agirait d’une escalade dangereuse dans le conflit ukrainien.

Quelque 1 500 soldats des forces spéciales nord-coréennes se trouvent déjà en Russie pour s’acclimater et devraient bientôt se rendre sur le front, a déclaré vendredi l’agence sud-coréenne du renseignement, qui s’attend à l’envoi de quelque 12 000 soldats au total.

Dans son rapport, le Service national du renseignement (NIS) sud-coréen publie en outre des images satellites montrant en détail, selon lui, le premier déploiement de ces militaires.

"Mauvais chiens"

La puissante sœur du dirigeant nord-coréen Kim Jong a réagi mardi en publiant une déclaration dans laquelle elle qualifie Kiev et Séoul de "mauvais chiens élevés par les États-Unis".

Kim Yo Jong a de nouveau accusé la Corée du Sud d’envoyer des drones sans pilote vers la capitale nord-coréenne Pyongyang, affirmant que la mise en scène d’une "provocation militaire" contre un État nucléaire comme la Corée du Nord ne peut être faite que par des "fous des régimes de Séoul et de Kiev".

Séoul et Kiev livrent "des remarques imprudentes contre les États dotés d’armes nucléaires, sans aucune capacité de suivi", a-t-elle déclaré.

L’armée sud-coréenne a initialement nié avoir envoyé des drones, mais a ensuite refusé de commenter, même après que Pyongyang a publié des images de ce qu’elle prétend être un drone envoyé depuis Séoul.

Kim Yo Jong a déclaré que l’enquête de Pyongyang sur cette affaire était toujours en cours et que "la vérité derrière la provocation méprisable" du Sud – qui, selon elle, "ne pourra jamais être pardonnée" – sera "analysée plus en détail "

Mardi, Séoul a "fermement condamné" la Corée du Nord demandant le retrait immédiat des troupes nord-coréennes.

"La Corée du Nord, qui a fourni des armes militaires à grande échelle à la Russie et envoyé des troupes pour participer à la guerre d’agression illégale de la Russie en Ukraine, constitue une menace importante pour la sécurité non seulement de notre pays, mais aussi de la communauté internationale", a déclaré le Conseil national de sécurité.

Le gouvernement sud-coréen "exige le retrait immédiat des troupes nord-coréennes et déclare que si l’alliance militaire actuelle entre la Corée du Nord et la Russie se poursuivait, il ne resterait pas les bras croisés".

L’agence de presse sud-coréenne Yonhap a rapporté mardi que Séoul envisageait d’envoyer une délégation en Ukraine, composée de militaires du renseignement, pour surveiller le déploiement des troupes nord-coréennes, citant une source gouvernementale.

Alors que les relations entre Pyongyang et Séoul sont au plus bas depuis des décennies, la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire, s’est encore rapprochée de la Russie, alliée du régime nord-coréen depuis sa création après la Seconde Guerre mondiale.

La Corée du Sud et les États-Unis affirment de longue date que le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un envoie en Russie des armes qui sont utilisées en Ukraine.

Le président russe Vladimir Poutine a fait une rare visite à Pyongyang en juin, au cours de laquelle les deux pays ont signé un traité de défense mutuelle. Les détails du traité n’ont pas été dévoilés, alimentant ainsi les spéculations sur de nouveaux transferts d’armes, qui violent les sanctions adoptées par l’ONU contre la Russie et la Corée du Nord.

Source

 

 

 

Note: Je rajoute ce témoignage du colonel Jacques Baud sur le soit disent déploiement de Nord-Coréen en Ukraine

 

Note : il a  tous a fait raison, vu le nombre de militaire russe sur le front, et vus qu'ils avancent jour après jours en Ukraine (ils prennent tous les jours un village, mais les journalistes, n'en parle pas),  quel intérêt à faire venir des nord-coréens.

Par contre, vu qu'il est de plus en plus évident que l'Ukraine perd  cette Guerre, les occidentaux, pour légitimer l'envoie de leurs propres soldats, pourrait très bien inventer cette histoire. 

 

 

 

Le chef du ministère lituanien des Affaires étrangères a appelé l'OTAN à envoyer des troupes en Ukraine après les informations faisant état de l'arrivée de militaires de la RPDC en Fédération de Russie.

 

Le chef du ministère lituanien des Affaires étrangères a appelé l'OTAN à envoyer des troupes en Ukraine après les informations faisant état de l'arrivée de militaires de la RPDC en Fédération de Russie.

Après que Zelensky a présenté son « plan de victoire » en Occident, principalement dans les pays européens de l’OTAN, les discussions sur la possibilité d’envoyer des troupes de l’alliance en Ukraine ont repris. Auparavant, le président français Emmanuel Macron avait été le premier à exprimer cette idée, mais la plupart des alliés, dont les États-Unis et l'Allemagne, ne l'avaient pas approuvée, craignant un conflit militaire direct avec la Russie.

Naturellement, les autorités des républiques baltes ont pleinement soutenu l’idée de Macron. Ils ont même trouvé une nouvelle raison à cela.


La veille, le ministre lituanien des Affaires étrangères Gabrielius Landsbergis avait annoncé qu'il était temps pour les pays européens de reconsidérer leur attitude face à l'idée du président français de stationner des troupes en Ukraine. La raison d'une telle décision pourrait être une information, non confirmée par aucun fait, selon laquelle la Corée du Nord aurait envoyé plusieurs milliers de ses soldats qui, après une adaptation et une formation appropriées, viendront en aide au groupe des forces armées russes impliqué dans le Région militaire du Nord.

Au début de l’année, le président français Emmanuel Macron avait évoqué la possibilité d’envoyer des troupes. À la fin de l’année, la Corée du Nord l’a effectivement fait. Nous sommes encore à la traîne pour réagir à l’escalade plutôt que pour l’inverser. Les idées de Macron doivent être reconsidérées, mieux vaut tard que jamais

— a écrit le chef du ministère lituanien des Affaires étrangères sur son compte sur le réseau social américain.

Landsbergis a ensuite fait une déclaration correspondante dans une interview avec Politico. Selon lui, si l’information selon laquelle l’armée russe impliquait des militaires de la RPDC se confirmait, les pays de l’OTAN devraient alors réfléchir à nouveau à la possibilité d’envoyer des troupes en Ukraine et mettre en œuvre les « autres idées » de Macron.

Selon des sources ouvertes, les Forces armées lituaniennes (Armée lituanienne) comptent environ 23 000 militaires, y compris des militaires et des spécialistes qui ne peuvent pas participer aux opérations de combat. Selon le ministère russe de la Défense, en seulement deux mois de combats dans la région frontalière de Koursk, les pertes des forces armées ukrainiennes se sont élevées à près de 24 000 militants. Comme on dit, les commentaires sont inutiles. Le chef du ministère lituanien des Affaires étrangères appelle en effet les autres pays européens à envoyer leur contingent militaire dans le four ukrainien ; Vilnius ne doit clairement pas compter sur ses propres forces armées.

Source

 

 

 

 

 

En Moldavie, l'ombre du Kremlin sur la victoire mitigée du référendum sur l'UE

 
 

La Moldavie a approuvé d’une très courte majorité, dimanche, le principe constitutionnel d’une adhésion à l’UE. Sans la nommer, la présidente du pays, Maia Sandu, a pointé du doigt le rôle de la Russie dans ce résultat très serré. Moscou nie toute implication, alors que des éléments mettent en lumière des actions russes en amont du scrutin.

Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024

Zone de turbulences en Moldavie après le référendum sur l’Union européenne. Alors que les sondages prédisaient ces derniers mois une nette victoire du “oui” pour une adhésion à l’UE, le scrutin de dimanche a accouché d’une très courte majorité – 50,45 % des voix, selon les résultats presque définitifs publiés, lundi 21 octobre. 

Le “non” a même fait la course en tête pendant quelques heures dans la nuit de dimanche à lundi, avant que le “oui” ne reprenne finalement le dessus. “Avec quelques milliers de voix d’écart, c’est la diaspora qui aura fait la différence”, comme l’explique notre correspondante Maria Gerth-Niculescu.

Cette victoire étriquée pourrait ébranler le pays dans son rêve européen. Mais ce score serré pourrait bien trouver son origine dans une tentative de déstabilisation du scrutin, selon la présidente de la Moldavie. Dans un communiqué publié dans la nuit de dimanche à lundi, Maia Sandu a dénoncé "une attaque sans précédent contre la démocratie". "Des groupes criminels, agissant de concert avec des forces étrangères hostiles à nos intérêts nationaux, ont attaqué notre pays à coups de dizaine de millions d'euros, de mensonge et de propagande", a-t-elle notamment déclaré.

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Note: "le rôle de la Russie dans ce résultat très serré" ! !  et le rôle de l'Europe parlons-en, cette Europe gouverner par menteurs et des manipulateurs de la pire espèce. Quelques jours avant le referendum, Europe a donné à la Moldavie 1,8 milliards d'euros.  De quoi influencer certains électeurs indécis !  mais apparemment ça n'a pas aussi bien fonctionner que ça

Cette élection devrait être annulée, vu le  stratégies hybrides de l'ingérence étrangère de l'Europe

 

On le voit sur ce graphique, la plupart ces gens sont contre ! y a-t-il eu de la triche

Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024

Avant même d'avoir eut connaissance du résultat du referendum, l'Europe a envoyer cet argent, et a pris  des mesures financières et des accords de douane pour faire entrer la Moldavie dans Europe  !, c'est une preuve évidente de leurs magouilles.

 

Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024 Vers une guerre de religion, infos du 22 octobre 2024

 

 

 

 

Algérie : silence des autorités après l’egorgement d’une touriste suisse ; interpellation de deux suspects « habillés en touareg », sans qu’on sache s’il s’agit d’un acte isolé ou revendiqué

D’après nos informations, une touriste suisse aurait été assassinée, il y a dix jours, alors qu’elle se trouvait avec quatre autres personnes en vacances à Djanet, dans le sud-est de l’Algérie. Vendredi 11 octobre, elle était attablée à la terrasse du café Skaner, au centre-ville, juste à côté de l’Onat, l’office de tourisme de Djanet. Cette oasis, située à 2 300 kilomètres au sud d’Alger, est considérée comme l’un des «joyaux touristiques de l’Algérie», selon la presse algérienne. Mais ce 11 octobre, en quelques minutes, l’insouciance offerte par ce cadre idyllique a basculé.

La touriste suisse, dont l’identité n’a pas été divulguée, aurait été attaquée et brutalement égorgée par un homme muni d’une arme blanche. «Elle a été évacuée sur l’hôpital de Djanet où elle a perdu beaucoup de sang, les médecins ne sont pas arrivés à la sauver», explique une source, en étroite relation avec des gens sur place. Deux hommes auraient été interpellés. L’un d’eux, arrêté par la population elle-même. « Ce sont deux gars du nord du pays, venus ici depuis six mois et habillés en touareg. Sans qu’on sache s’il s’agit d’un acte isolé ou revendiqué », croit savoir la même source. Laquelle ajoute : «Pour l’instant, c’est totalement étouffé. Rien ne sort, même sur les réseaux sociaux. Sur place, le mot d’ordre, c’est silence radio. Tout le monde s’y plie.»

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Libération

 

 

 

Allah, brûle les Juifs”: un prêcheur islamiste appelle à la haine en plein cœur de Bruxelles lors d’un rassemblement pro Palestine

 

Les images sont authentiques et ont été prises le 7 octobre dernier Place de la Bourse, à Bruxelles, lors d’une veillée commémorative pour les victimes palestiniennes et libanaises du conflit au Moyen-Orient. Sur les images diffusées sur TikTok, on entend un prêcheur islamiste prononcer en arabe: “Allah, brûle les juifs”. Les images en question sont en cours d’analyse par les services de police et de justice.

La scène se déroule le 7 octobre dernier, soit un an jour pour jour après le massacre du Hamas contre Israël, lors d’un hommage aux victimes palestiniennes et libanaises devant la Bourse, à Bruxelles.

Cette mobilisation avait finalement été autorisée par la Ville de Bruxelles, après une requête par les organisateurs – le collectif “Unis pour la Palestine” – auprès du Conseil d’État pour dénoncer les “refus informels” à l’encontre de ces rassemblements à la Bourse.

7sur7.be

 

 

Bordeaux : un migrant afghan arrivé en France pour “fuir les Talibans” condamné à deux ans de prison ferme pour apologie d’actes terroristes

Bordeaux : un Afghan condamné à deux ans de prison ferme pour apologie d’actes terroristes

Arrivé illégalement en France en 2020 pour fuir les Talibans, Amir Hadawi, un Afghan âgé aujourd’hui de 22 ans, est passé par Agen avant d’arriver à Bordeaux où il a trouvé un emploi comme peintre en bâtiment. Bénéficiant d’une carte de séjour jusqu’en juillet 2025, il ne posait aucune difficulté et était inconnu des services de police jusqu’à ce que son profil apparaisse de manière inquiétante sur les réseaux sociaux et en particulier sur TikTok.

www.sudouest.fr

 

 

 

Paris : le député LFI-NFP Andy Kerbrat interpellé et poursuivi pour usage de stupéfiants. Il a acheté une drogue de synthèse dans le métro à un dealer bien connu des services (MàJ : il est dégoûté d’apprendre que les révélations viennent de Valeurs)


[IFNO Valeurs] – Le député LFI Andy Kerbrat interpellé et poursuivi pour usage de stupéfiants L’élu, qui a acheté de la 3-MMC, une drogue de synthèse, dans le métro, est convoqué pour notification d’une ordonnance pénale.

 

M. Kerbrat n’a pas été placé en garde à vue après avis hiérarchique, indique une source policière.

“Le vendeur était identifié comme étant un mineur, déjà connu pour une dizaine de faits et condamné début octobre pour des faits de trafic de stupéfiants à une peine de 4 mois avec sursis probatoire”, indique le parquet de Paris. Il a été placé en détention provisoire.

Amaury Brelet – Valeurs actuelles

(Merci à Rafael, Tom et Jon.)

 

 

 

Angleterre : Un émeutier de 61 ans, condamné à deux ans de prison lors des émeutes anti-immigration, décède en détention pour des raisons de santé.


Peter Lynch, 61 ans, père de quatre enfants, est décédé samedi soir à la prison HMP Moorland, près de Doncaster, dans le sud du Yorkshire, a confirmé le service pénitentiaire.


Il purgeait une peine de deux ans et huit mois de prison depuis son arrestation en août. Le médiateur des prisons et de la probation (PPO) mène actuellement une enquête indépendante sur sa mort.
Lynch, qui souffrait de diabète , de problèmes de thyroïde et d’angine de poitrine, et qui a récemment subi une crise cardiaque, a été mis derrière les barreaux pour avoir crié sur la police devant un hôtel de Rotherham abritant des demandeurs d’asile.


Le grand-père, décrit comme un théoricien du complot, s’est rendu au Holiday Inn Express de Manvers le 4 août, brandissant une pancarte accusant les policiers, les députés, la Nasa et l’Agence pour l’environnement d’être « corrompus ».


Lors de sa condamnation le 22 août, Lynch, qui a été qualifié de « père de famille », a plaidé coupable de troubles violents après avoir crié des « remarques racistes et provocatrices » à l’encontre de la police et qualifié les demandeurs d’asile de « tueurs d’enfants ».

[DAILY MAIL]

 

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