Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
à Gaza, un taux de pauvreté de près de 100 %, alerte l’ONU
Ce chiffre « témoigne de la situation désastreuse dans laquelle se trouvent les familles qui luttent pour subvenir à leurs besoins essentiels », a souligné l’Organisation internationale du travail, jeudi.
14:48
Quelque 345 000 Gazaouis seront confrontés à la faim à un niveau « catastrophique » cet hiver, avertit l’ONU
« Environ 1,84 million de Gazaouis souffrent de niveaux élevés d’insécurité alimentaire aiguë correspondant au niveau 3 ou plus » de l’échelle qui en compte 5 (3 : crise, 4 : urgence, 5 : catastrophe). Un chiffre qui devrait monter à 1,95 million entre novembre et avril, soit plus de 90 % de la population, selon les projections de l’ONU pour la période novembre 2024-avril 2025. Parmi eux, 345 000 seront confrontés à une situation « catastrophique », soit 16 % de la population.
Alors que l’aide alimentaire parvenue cet été avait permis d’améliorer la situation, le quasi-arrêt des convois en septembre a inversé la tendance, déplore l’IPC. A la lumière de ce rapport, la directrice générale adjointe la FAO, Beth Bechdol, a appelé à « restaurer immédiatement les accès humanitaires pour livrer de l’aide alimentaire essentielle et des graines à temps pour la saison des semis hivernaux d’octobre-décembre ». La publication de ce rapport intervient après la mise en garde des Etats-Unis et de responsables de l’ONU à Israël contre une « politique de famine » qui serait orchestrée à Gaza pour en « faire une arme de guerre », ce qu’Israël a récusé.
14:03 L’essentiel
Ce qu’il faut retenir de la situation au Proche-Orient à 14 heures
Des frappes israéliennes ont visé jeudi matin plusieurs régions du sud et de l’est du Liban, peu après que l’armée israélienne a émis des ordres d’évacuation à la population. Au moins une frappe a touché les environs de Tyr, ville côtière du Sud. Dans l’Est, l’aviation israélienne a visé trois villages de la vallée de la Bekaa, selon l’agence de presse israélienne ANI. De son côté, le Hezbollah a affirmé avoir détruit deux chars israéliens avec des missiles guidés dans un village du sud du Liban frontalier d’Israël. Il a également rapporté avoir lancé une salve de roquettes visant la colonie de Kfar Vradim, dans le nord d’Israël.
L’armée israélienne a affirmé avoir éliminé Hussein Mohammad Awada, un « commandant d’un bataillon du Hezbollah dans la région de Bint Jbeil », dans le sud du Liban. Ce dernier était « responsable du lancement de roquettes depuis plusieurs positions de la région », selon l’armée. Le Hezbollah n’a pas confirmé sa mort.
A Gaza, la quasi-totalité de la population à Gaza « vit dans la pauvreté », avec une économie à genoux et un taux de chômage « stupéfiant », alerte jeudi l’Organisation internationale du travail (OIT). La situation est également « préoccupante » en Cisjordanie, où les violences se sont multipliées depuis un an. La veille, le chef de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens avait pointé un « vrai risque » de famine, accusant « certains membres du gouvernement israélien » d’en faire « une arme de guerre ».
Selon le dernier bilan du ministère de la santé du Hamas publié jeudi matin, 42 438 personnes sont mortes dans le territoire palestinien depuis près d’un an. Le sort de quelque 400 000 Gazaouis pris au piège de combats dans le nord du territoire palestinien, notamment dans la ville de Jabalia, encerclée et pilonnée par l’armée israélienne depuis début octobre, est au centre des inquiétudes internationales.
Les rebelles houthistes du Yémen, soutenus par l’Iran, ont affirmé, jeudi, que les frappes américaines menées dans la nuit contre plusieurs de leurs dépôts de munitions ne resteraient pas sans réponse, tout en assurant de leur soutien aux Palestiniens de la bande de Gaza et au Liban.
L’agence officielle syrienne SANA a fait état dans la nuit de mercredi à jeudi d’une attaque aérienne « israélienne » qui a provoqué des incendies dans la ville côtière de Lattaquié, l’Observatoire syrien des droits de l’homme évoquant une frappe sur un « entrepôt d’armes ». Téhéran a menacé de frapper « douloureusement » Israël s’il attaquait des cibles iraniennes.
Tensions au Proche-Orient : l'Iran menace de frapper «douloureusement» Israël s'il attaque des cibles iraniennes
LE POINT SUR LA SITUATION - La Syrie a indiqué ce jeudi qu'une frappe aérienne israélienne sur la ville portuaire de Lattaquié avait fait deux blessés. Cette ville est l'un des fiefs du président Bachar al-Assad, allié du mouvement islamiste libanais Hezbollah.
L’Iran met une nouvelle fois en garde Israël
Le chef des Gardiens de la révolution iranienne, Hossein Salami, a menacé ce jeudi de frapper «douloureusement» Israël s'il attaquait cibles iraniennes en riposte aux tirs de missiles iraniens le 1er octobre sur le territoire israélien. «Si vous faites une erreur et attaquez nos cibles, que ce soit dans la région ou en Iran, nous vous frapperons à nouveau douloureusement», a mis en garde le général Salami, chef des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran. Hossein Salami a fait cette déclaration à Ispahan (centre), lors des funérailles du général Abbas Nilforoushan, l'un des principaux commandants d'une unité d'élite des Gardiens, tué par une frappe israélienne fin septembre au Liban.
Lors de son discours, il a fustigé la récente livraison par les États-Unis du système Thaad (Défense antimissile à haute altitude, NDLR) à Israël, affirmant qu'il ne constituait pas un bouclier «fiable» contre une attaque iranienne. «Attention, nous connaissons vos faiblesses, vous le savez. Vous savez à quel point vous êtes vulnérable», a-t-il ajouté. Ces propos ont été tenus au moment où le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, multiplie ces derniers jours les consultations diplomatiques pour tenter d'apaiser les tensions régionales.
Israël appelle la population à évacuer une zone de la Békaa dans l'est du Liban
L'armée israélienne a émis jeudi un ordre d'évacuation urgent à la population d'une zone de la plaine de la Békaa, dans l'est du Liban, avertissant d'une attaque «dans un avenir proche». «Avertissement urgent aux résidents de la région de la Békaa, spécialement ceux habitant dans le bâtiment marqué sur la carte dans la zone de Temnine», a annoncé sur X le porte-parole de l'armée Avichay Adraee, soulignant que «des installations et des intérêts appartenant au Hezbollah» situés à proximité seraient «visés par les forces de défense dans un avenir proche».
De son côté, Le Hezbollah a affirmé jeudi avoir détruit deux chars israéliens avec des missiles guidés dans un village du sud du Liban frontalier d'Israël, qui mène des bombardements intenses visant le mouvement islamiste armé au Liban.
Il est peu probable qu'Israël frappeles installations nucléaires iraniennes - Organisation iranienne de l'énergie atomique
TEHERAN (Sputnik) - Il est peu probable qu'Israël frappe les installations nucléaires iraniennes en réponse à une attaque de missile iranien contre l'État juif, a déclaré Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique.
Il a ajouté qu'en cas d'attaque, les dégâts seraient minimes.
"Il est extrêmement improbable que des installations nucléaires soient attaquées . Si cela se produit, les dégâts seront très probablement minimes", a déclaré Kamalvandi, cité mercredi par l'agence de presse ISNA.
Le 1er octobre, l’Iran a lancé une attaque massive de missiles contre Israël, la qualifiant d’acte de légitime défense. L'armée israélienne a déclaré qu'environ 180 missiles balistiques avaient été tirés, dont la plupart ont été interceptés.
Lundi, le journal Washington Post a rapporté, citant des sources, que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait déclaré à l'administration du président américain Joe Biden qu'il était prêt à frapper les installations militaires iraniennes plutôt que les installations pétrolières ou nucléaires.
Israël envisage de créer une zone tampon en Syrie – Rapports
Depuis le 1er octobre, Israël mène une opération terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban tout en menant des frappes aériennes. Malgré ses pertes, le Hezbollah combat les troupes israéliennes sur le terrain et lance des roquettes à travers la frontière.
Israël envisage de créer une zone tampon au Liban et en Syrie, le journal turc Hürriyet , citant des sources. a écrit mercredi
"Israël fait tout pour déplacer le feu du Liban vers la Syrie. Il attaque Tartous, Hama, Homs, Alep, Dara et même la capitale Damas. Il a déplacé ses chars sur le territoire syrien. Israël ne s'en contentera pas." dit le journal.
Israël veut prendre le contrôle du territoire jusqu'au fleuve Litani et créer une zone tampon au Liban et à l'intérieur de la Syrie, selon le média.
Plus de 20 attaques ont été menées contre des établissements de santé au Liban depuis le 17 septembre, tuant 72 personnes et en blessant 43 autres, a annoncé mercredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
"Depuis l'escalade des hostilités entre Israël et le Liban le 17 septembre 2024, l'OMS a vérifié 23 attaques contre les soins de santé au Liban qui ont entraîné 72 morts et 43 blessés parmi les agents de santé et les patients", a indiqué l'OMS dans un communiqué.
Le communiqué ajoute que 100 des 207 centres de soins de santé primaires et dispensaires situés dans les zones touchées par le conflit sont actuellement fermés. Les fournitures dans les établissements de santé libanais sont épuisées et les agents de santé sont épuisés, a noté l'organisation.
Volodymyr Zelensky souhaite une Ukraine « forte et prête pour la diplomatie »
Le président ukrainien a affirmé jeudi à Bruxelles que son « plan pour la victoire » visait à placer son pays dans une position de force face à la Russie afin d’être en bonne posture pour négocier la paix.
11:35
L’armée russe affirme avoir pris un village de l’oblast de Donetsk
L’armée russe a dit jeudi avoir conquis Maksymilianivka (📍), village de l’oblast de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, où elle poursuit sa progression face à des forces ukrainiennes en sous-effectif et disposant d’une puissance de feu moindre.
Maksymilianivka se situe près de la ville Kourakhove, située au sud de celle de Pokrovsk, un important point logistique pour l’armée de Kiev.
11:24
Volodymyr Zelensky souhaite une Ukraine « forte et prête pour la diplomatie »
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé jeudi à Bruxelles que son « plan pour la victoire » visait à placer son pays dans une position de force face à la Russie afin d’être en bonne posture pour les négociations. « Notre plan est de renforcer l’Ukraine, d’être forts et d’être prêts pour la diplomatie », a-t-il déclaré à son arrivée à un sommet de l’Union européenne (UE) rassemblant les dirigeants des 27 pays membres.
Après avoir déjà défendu son plan à Washington, Londres, Paris, Berlin et Rome, le président ukrainien en a révélé mercredi les grandes lignes devant le Parlement à Kiev. Ce plan préconise notamment d’adresser dès maintenant à Kiev une invitation à rejoindre l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN). Mais il faudra faire preuve de patience. Mark Rutte s’est contenté jeudi, comme mercredi, à rappeler le caractère « irréversible » du cheminement de l’Ukraine vers l’OTAN. « L’Ukraine sera membre de l’OTAN », a affirmé jeudi matin M. Rutte, mais si « la question est de savoir quand, je ne peux pas répondre pour l’instant », a-t-il ajouté.
Concernant le plan ukrainien, qui sera « sur la table » de la réunion des ministres de l’OTAN jeudi soir, le nouveau secrétaire général de l’Alliance a jugé mercredi qu’il envoyait un « signal fort ». Mais, a-t-il aussitôt ajouté, « cela ne signifie pas que je peux dire ici que je soutiens l’ensemble du plan ». Les pays baltes se sont montrés plus enthousiastes, appelant leurs partenaires de l’OTAN et de l’Union européenne à soutenir ce plan.
« J’espère que ce plan ne sera pas juste un morceau de papier et qu’il sera suivi d’actions et de mesures », a ainsi jugé le ministre de la défense estonien, Hanno Pevkur. « C’est une guerre existentielle. La Russie est une menace existentielle pour l’Europe et j’espère que les Etats membres vont continuer à soutenir l’Ukraine », a déclaré de son côté Josep Borrell, le chef de la diplomatie de l’UE.
07:18
La porte-parole de l’OTAN confirme la présence de Volodymyr Zelensky à une réunion des ministres de la défense
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, attendu jeudi à Bruxelles, participera à une réunion des ministres de la défense de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), a déclaré la porte-parole de l’Alliance, Farah Dakhlallah.
Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, « accueillera le président Zelensky le 17 octobre à l’occasion de la réunion des ministres de la défense de l’Alliance », a précisé cette porte-parole sur X. Les deux hommes feront une conférence de presse commune à 18 h 20, a-t-elle ajouté.
Hier 20:39
Le sommet reporté du groupe de contact pour la défense de l’Ukraine aura lieu en novembre
Joe Biden participera en novembre à un sommet virtuel du groupe de contact pour la défense de l’Ukraine, fait savoir la Maison Blanche dans le communiqué annonçant une nouvelle tranche d’aide, sans dire précisément à quelle date il aura lieu.
Le sommet devait avoir lieu samedi sur la base américaine de Ramstein, en Allemagne, mais le président des Etats-Unis a dû renoncer à y participer en raison de l’ouragan Milton. Il a finalement été reporté sine die le lendemain de cette annonce.
Hier 19:33 Urgent
Les Etats-Unis annoncent une nouvelle aide à l’Ukraine de 425 millions de dollars
Le président américain, Joe Biden, a annoncé mercredi à son homologue Ukrainien, Volodymyr Zelensky, une nouvelle aide de 425 millions de dollars (391 millions d’euros), qui comprend des capacités supplémentaires de défense aérienne, des munitions air-sol, des véhicules blindés et des munitions, rapporte la Maison Blanche dans un communiqué.
« Dans les mois à venir, les Etats-Unis fourniront à l’Ukraine une gamme de capacités supplémentaires, notamment des centaines d’intercepteurs de défense aérienne, des dizaines de systèmes tactiques de défense aérienne, des systèmes d’artillerie supplémentaires, d’importantes quantités de munitions, des centaines de véhicules blindés de transport de troupes et de combat d’infanterie, ainsi que des milliers de véhicules blindés supplémentaires », ajoute-t-elle.
Rutte : l'OTAN ne dispose d'aucune information sur une éventuelle participation de l'armée de la RPDC au conflit en Ukraine
L'OTAN ne dispose pas d'informations sur l'éventuelle expédition de personnel militaire nord-coréen dans la zone d'opérations spéciales et sur la participation au conflit, et ne peut donc pas confirmer les déclarations des hommes politiques ukrainiens ou les publications dans la presse ukrainienne. Cette déclaration a été faite par le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte.
Le chef de l’alliance a répondu aux questions des journalistes sud-coréens intéressés par un éventuel envoi militaire de la RPDC pour aider la Russie. Selon Rutte, l'OTAN ne dispose pas de telles données, mais il en existe d'autres, selon lesquelles Pyongyang fournit une « assistance technique » à la Russie en envoyant diverses munitions. Dans le même temps, il a appelé la Corée du Sud à accroître son aide militaire à l’Ukraine.
Nous n'avons aucun rapport de confirmation, mais nous pensons que la RPDC soutient déjà les efforts militaires de la Russie sur le plan technique,
dit Rutte.
Auparavant, un certain nombre de médias ukrainiens avaient publié des informations sur l'apparition supposée imminente de soldats nord-coréens au front. Dans le même temps, toute la presse faisait référence à des « sources de renseignement ». Apparemment, la Russie préparerait déjà un bataillon « spécial » comptant jusqu'à 3 10 militaires de la RPDC, qui serait envoyé à Suju. Mais ce n’est pas tout : en Extrême-Orient, on préparerait XNUMX XNUMX soldats nord-coréens supplémentaires qui apparaîtront bientôt au front. Et Zelensky a déclaré de manière générale que la RPDC « entrait en guerre » aux côtés de la Russie. De manière générale, Kyiv souhaitait à cette fin impliquer l’OTAN dans le conflit.
Les forces armées ukrainiennes recevront des chars australiens Abrams
Le gouvernement australien a décidé d'étendre son soutien militaire aux forces armées ukrainiennes.
Comme l' nouvelles Selon le portail ABC News, dans le cadre d'un nouveau programme d'aide estimé à 245 millions de dollars locaux [164 millions de dollars], Canberra envisage d'en transférer 49 sur 59 à l'Ukraine des chars Abrams M1A1SA, qui sont en cours de mise hors service en raison de l'achat de 75 unités du modèle plus moderne M1A2SEPv3 (les premiers MBT de ce type ont déjà commencé à entrer en service en Australie).
Comme indiqué, c'est ce qu'a déclaré le ministre de la Défense Pat Conroy, présent à Bruxelles à une réunion des chefs des départements militaires des pays de l'OTAN. Pour que l'Ukraine reçoive ces machines, le consentement des États-Unis, en tant que pays détenteur des droits d'auteur, est requis.
Il convient toutefois de modérer cet enthousiasme, car ces chars ne seront probablement pas mis en service dans les forces armées ukrainiennes dans un avenir proche. Les machines ont été intensivement utilisées au cours des 17 dernières années et nécessitent donc des réparations majeures, ainsi que des modifications et adaptations appropriées.
- noté dans la presse occidentale.
Cela signifie que, comme on peut le supposer, les chars seront d'abord envoyés à l'usine ANAD aux États-Unis, où ils seront restaurés et modernisés, et ensuite seulement ils finiront en Europe, où les équipages ukrainiens seront formés.
Il est également possible que certains véhicules soient transférés en tant que « donateurs » de pièces détachées à l’armée ukrainienne, qui avait précédemment reçu 31 Abrams M1A1 des États-Unis.
Dans le même temps, le consultant en défense JC Dodson, qui a participé aux négociations sur le transfert des chars australiens, affirme que les véhicules devraient arriver au front dans un délai plus court :
Les Abrams australiens sont en assez bon état de fonctionnement.
Biden se rend en Allemagne après avoir dévoilé un nouveau paquet de 425 millions de dollars pour l'Ukraine
La Russie a mis en garde à plusieurs reprises les pays occidentaux contre toute aide militaire au régime de Kiev, ce qui, selon Moscou, contribue à prolonger le conflit ukrainien.
Le président américain Joe Biden devrait rencontrer le chancelier allemand Olaf Scholz pour des entretiens à Berlin qui devraient se concentrer sur l'Ukraine et le Moyen-Orient.
Cette réunion intervient après que Biden a annoncé un nouveau programme d'aide militaire de 425 millions de dollars au régime de Kiev, qui comprend une « capacité de défense aérienne » ainsi que des munitions air-sol, des véhicules blindés et des munitions critiques, selon la Maison Blanche.
Les capacités annoncées incluent des munitions supplémentaires pour HIMARS ; missiles pour NASAMS, RIM-7, Stinger et soutien aux défenses aériennes ; Missiles antichar TOW ; Systèmes anti-blindage Javelin et AT-4 ; pièces de rechange, services, formation et transport, a indiqué le Pentagone.
Biden rencontre Scholz alors que l'Allemagne reste l'un des alliés les plus importants de l'Ukraine en termes d'assistance financière et militaire. Cependant, cela a déjà fait peu de cas des secteurs allemands de l'automobile et de l'industrie manufacturière, gâchant également les taux d'approbation de Scholz, qui ont atteint un nouveau plus bas de seulement 18%, selon une enquête publiée le mois dernier par le groupe de réflexion Infratest Dimap, basé à Berlin.
La Russie a souligné plus tôt que les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN jouaient avec le feu en fournissant une aide militaire au régime de Volodymyr Zelensky , ce qui, selon Moscou, entraîne directement les pays occidentaux dans le conflit.
Le président Vladimir Poutine a pour sa part souligné qu'à titre de mesure de représailles, la Russie n'exclut pas d'envoyer des armes à d'autres pays. "Laissons l'Occident réfléchir à l'endroit où ces armes seront finalement déployées", a ajouté Poutine, faisant référence aux remarques des pays occidentaux selon lesquelles ils livrent des armes à l'Ukraine sans prêter attention à la manière dont ces armes sont utilisées.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait précédemment souligné que toute cargaison contenant des armes destinée à Kiev constituerait une cible légitime pour la Russie. Il a déclaré que les États-Unis et l'OTAN sont directement impliqués dans le conflit en Ukraine , non seulement en fournissant des armes, mais également en formant du personnel au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et dans d'autres pays.
Soldats de l'OTAN combattant aux côtés de l'Ukraine - Chef de l'administration russe de la région de Kharkov
GRAKOVO (Région de Kharkov) (Sputnik) - Les militaires actifs des pays de l'OTAN, en particulier de la France, de l'Allemagne et de la Pologne, combattent aux côtés des forces armées ukrainiennes, a déclaré Vitaly Ganchev, chef de l'administration russe de la région de Kharkov. Spoutnik.
"Selon nos informations, ce ne sont plus seulement des mercenaires, car il y a là-bas pas mal de combattants qui ont des grades militaires, ce sont essentiellement des représentants des troupes régulières du bloc OTAN... Ils sont toujours présents, informations à ce sujet vient des résidents locaux", a déclaré Ganchev.
Il a déclaré que des citoyens de tous les pays de l'OTAN sont apparus dans les rangs des forces armées ukrainiennes, mais que la plupart sont des Français, des Allemands et des Polonais.
Note : ces soldats nous auraient été précieux lorsque cette guerre deviendra mondiale, mais la plupart d'entre eux nourriront inutilement en Ukraine
Guerre en Ukraine : "Le droit international ne contient aucune restriction de distance", pour les Pays-Bas, Kyiv peut frapper en Russie avec ses F-16
Le ministre néerlandais de la Défense a réaffirmé la position de son pays concernant l’utilisation des avions F-16 fournis à l’Ukraine.
Lors d’une déclaration aux journalistes avant une réunion de l’OTAN à Bruxelles, il a abordé la question de l’emploi de ces appareils de fabrication américaine sur le territoire russe.
Ruben Breckelmans a confirmé l’arrivée des premiers F-16 néerlandais en Ukraine, précisant qu’ils étaient désormais opérationnels dans l’espace aérien ukrainien.
Il a insisté sur le respect du droit international par l’Ukraine dans l’utilisation de ces avions, rapporte Ukrinform.
Après la présentation par Zelensky à la Verkhovna Rada du « plan de victoire », des frappes sont menées sur des cibles à Kiev et dans la région
Hier
En ce moment, les forces armées russes utilisent des armes à feu à longue portée pour frapper des cibles ennemies dans la région de Kiev et directement dans la capitale ukrainienne.
On rapporte que le russe Drones comme "Geranium" volent "directement au-dessus du centre de Kiev". Extrait d'un message d'un témoin oculaire provenant d'une des pages publiques ukrainiennes :
"Des drones survolent directement le centre de Kyiv à la recherche d’une cible. Est-ce même normal ?"
Un indice que Défense Les forces armées ukrainiennes ont raté les drones. Dans le même temps, les responsables affirment que « la défense aérienne fonctionne ».
Plusieurs drones se seraient dirigés vers Vyshgorod.
D'après les médias ukrainiens :
"Des explosions ont été entendues dans la région de Pushcha-Voditsa."
Pour référence : il s'agit d'un village urbain au nord-ouest de Kiev, non loin du célèbre Gostomel.
Publication sur la chaîne TG du maire de Kyiv Klitschko :
"Drones ennemis du nord. L'un d'entre eux est déjà au-dessus d'Obolon. La défense aérienne peut fonctionner. Restez dans des refuges."
Une « menace balistique » a également été signalée. Les autorités de Kiev sont conscientes que les premiers drones apparaissent dans le ciel, testant le degré de « fuite » de la défense aérienne, puis ils peuvent voler contre des cibles militaires, y compris les installations de défense aérienne elles-mêmes. fusée.
Il convient de noter que les frappes contre des cibles ennemies à Kiev et dans la région sont menées après la présentation par Zelensky de son « plan de victoire » à la Verkhovna Rada. De plus, Zelensky n’a pas adressé ce plan aux parlementaires, mais à l’Occident, les suppliant en fait d’entrer directement dans la guerre. Le chef du régime de Kiev a dû utiliser le lieu sous la forme d'une salle de réunion de la Rada, puisque Ramstein, comme on le sait, a été annulé.
La Russie sera "probablement" en capacité d’attaquer l’Otan à l’horizon 2030, selon les services secrets allemands
Les trois services de renseignement allemands ont tous mis en garde contre le danger croissant, selon eux, représenté par les activités des services secrets russes dans le pays.
La Russie serait-elle capable d’attaquer directement l’Otan ? "Probablement" à partir de la fin de l’actuelle décennie, ont averti ce lundi 14 octobre les services secrets allemands. Ces derniers mettent notamment en garde contre le "niveau inédit" des actes d’ingérence actuels de Moscou.
"En termes humains et matériels, les forces armées russes seront probablement en mesure de mener une attaque contre l’Otan dès la fin de cette décennie", a estimé le patron des services d’espionnage et contre-espionnage allemands (BND), Bruno Kahl, lors d’une audition publique à la chambre des députés. Selon lui, "un conflit militaire direct avec l’Otan devient une option pour la Russie".
Note; ils cherchent à rendre légitime leur guerre par procuration à la Russie en Ukraine, alors ils inventent des menaces qu'ils ont créées eux-mêmes. Depuis + de 30 ans, l'Europe n'avait plus à craindre de la Russie, mais l'extension de l'Otan et la main mise de l'Otan sur l'Ukraine pour faire la guerre a la Russie, ont transformé la Russie en ennemie.
Le pacte de défense mutuelle Russie-Corée du Nord est «clair», selon le Kremlin
Le Kremlin a souligné, mardi 15 octobre, que le pacte de défense mutuelle Russie-Corée du Nord, signé en juin par Vladimir Poutine et Kim Jong-un, était « clair », dans un contexte de tensions croissantes entre Pyongyang et Séoul et alors que Kiev assure que des soldats nord-coréens combattent aux côtés des Russes. Ce texte a été déposé devant la Douma pour sa ratification. Un pas de plus vers l'entrée en vigueur d'un traité aux conséquences potentielles sur plusieurs fronts.
« La formulation du traité ne requiert aucune clarification, elle est claire », a déclaré Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe, interrogé sur la possibilité de l'implication de la Russie en cas de conflit armé ouvert entre les deux Corées. L'article 4 du traité prévoit « une assistance militaire immédiate » en cas d'agression armée. La défense mutuelle s'applique en cas « d'invasion » ou de « déclaration formelle de guerre ». La précision concernant l'article 4 de l'accord entre Pyongyang et Moscou a son importance à l'heure où le Kremlin ne parle que d'« opération spéciale » pour sa guerre en Ukraine. Au contraire des deux Corées qui sont, elles, officiellement en guerre.
L'armée nord-coréenne a dynamité mardi des tronçons de routes autrefois utilisés pour les échanges transfrontaliers avec la Corée du Sud, selon Séoul qui dit avoir, de son côté, procédé à des « tirs de réponse », un nouvel épisode dans la montée des tensions entre les deux pays.
La Russie et la Corée du Nord se sont considérablement rapprochées depuis que Moscou a déclenché une offensive contre l'Ukraine en février 2022, forgeant une alliance anti-occidentale. Pyongyang est notamment accusé par les Occidentaux de fournir quantités d'obus et de missiles à l'armée russe et par Kiev d'y envoyer des hommes.
Pour entrer en vigueur et apporter une éventuelle base légale à l'envoi de munitions et de troupes nord-coréennes à la Russie, le pacte doit être ratifié par les Parlements des deux pays. Mais Pyongyang n'a donné aucun signe en ce sens.
Par ailleurs, contrairement aux affirmations du Kremlin, les contours du texte sont flous sur la nature de l'aide et la collaboration que se doivent les deux pays si l'un d'eux affronte une menace directe. Ainsi, le traité ne précise pas si la Corée du Nord bénéficie du parapluie nucléaire russe.
Prudence chinoise
Le regard que porte la Chine sur ce partenariat entre ses voisins est également mystérieux. Partenaire économique et stratégique essentiel des deux pays, elle reste discrète sur le sujet. « Les tensions dans la péninsule vont à l'encontre des intérêts communs de toutes les parties, et la priorité absolue est d'éviter une nouvelle escalade », a indiqué mardi lors d'un point de presse régulier Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. Pékin offre un soutien indirect aux transferts d'armes nord-coréennes vers la Russie et bloque toute nouvelle sanction du Conseil de sécurité de l'ONU à l'égard de Pyongyang. Mais elle a plus à gagner au maintien du statu quo dans la région que ses turbulents voisins.
Allocations : des associations saisissent le Conseil d’État pour la suppression d’un algorithme anti-fraude
Quinze associations, dont Amnesty International, la Fondation Abbé Pierre et La Quadrature du Net, ont saisi le Conseil d’État pour demander la suppression d’un algorithme utilisé par la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).
Cet outil est accusé de discriminer les allocataires précaires en amplifiant les contrôles. Le recours, déposé mardi 10 octobre, vise à dénoncer la surveillance étendue et la discrimination opérée par cet algorithme contre les personnes les plus vulnérables.
Un algorithme controversé : « score de suspicion » et contrôle accru
L’algorithme en question attribue un « score de suspicion » à chaque allocataire, en fonction duquel le risque de contrôle augmente. Ce système, qui analyse les données personnelles des 32 millions de personnes vivant dans un foyer recevant une prestation CAF, est critiqué pour cibler particulièrement les allocataires précaires. Selon les associations, des facteurs comme les faibles revenus, le chômage, ou la réception du RSA et de l’AAH augmenteraient ce score, conduisant à un « sur-contrôle » des personnes en difficulté.
Détection des fraudes ou discrimination systématique ?
Utilisé depuis 2011, l’algorithme de la Cnaf vise à détecter les fraudes et les versements indus parmi les 13,5 millions d’allocataires. Selon Nicolas Grivel, directeur général de la Cnaf, cet outil permet d’identifier les erreurs importantes et répétées dans les déclarations de revenus, notamment pour les bénéficiaires du RSA ou de la prime d’activité, souvent confrontés à des situations professionnelles complexes. Cependant, les associations dénoncent une discrimination implicite à l’encontre des allocataires les plus fragiles.
La Cnaf défend son système
Malgré les critiques, la Cnaf soutient que cet algorithme n’est pas la cause des discriminations : « Nous versons plus d’argent aux familles qui en ont le plus besoin, mais le risque d’erreur est amplifié par des situations de vie complexes », a justifié Nicolas Grivel. Il a également assuré que si la justice devait statuer pour faire évoluer le dispositif, la Cnaf se mettrait « en conformité ».
Marseille. Un dealer armé force un bus à s’arrêter. Les syndicats menacent de faire grève.
“Quand on arrive à la Cayolle, c’est vrai que maintenant, on regarde à droite et à gauche ce qui peut nous arriver“, témoigne Laurent, chauffeur de bus de la RTM à Marseille. Un témoignage édifiant recueilli par France Bleu Provence, alors que samedi dernier le service sur la ligne 23 entre le rond-point du Prado et Beauvallon dans les quartiers sud a été interrompu, à cause de l’irruption d’un homme armé en scooter vers 17 heures, au niveau de la cité de la Cayolle dans le 9e arrondissement de la ville.
L’individu recherche visiblement deux passagers dans cette cité connue comme l’un des plus gros points de vente de drogue de la ville. Ce n’est pas la première fois que cela arrive selon la CGT, qui affirme qu’il “ne se passe plus un jour sans que des incidents violents n’éclatent dans ce quartier, en pleine journée comme la nuit“.
“Il y avait un barrage filtrant qui était mis au sol avec des chariots, des palettes pour nous empêcher de passer “- Laurent, chauffeur de bus sur la ligne 23
Laurent le confirme. Toujours en vigilance, au cas où il y aurait “un projectile qui vient ou des jeunes qui sortent et qui sont agressifs“. Pas plus tard que lundi matin, “il y avait un barrage filtrant qui était mis au sol avec des chariots, des palettes pour nous empêcher de passer“, témoigne le chauffeur, qui raconte aussi comment il est obligé alors de “zigzaguer” sur son trajet.
Quand une personne extérieure au bus prend à partie des jeunes installés à l’intérieur du véhicule, comme samedi dernier, il a peur : “Je me suis dit : si les deux jeunes à l’intérieur aussi étaient armés, qu’est-ce qui se serait passé ? On aurait pu partir à une fusillade avec des gens à l’intérieur du bus…“. Tout simplement effrayant. Des dealers qui peuvent monter à bord et fouiller des passagers aussi. “Partout dans Marseille, ça se passe comme ça, donc ça devient plus difficile de travailler dans ces conditions-là“, se résigne Laurent.
Un rapport de la Cour des comptes révèle qu’il y a moins de policiers aujourd’hui à Marseille qu’en 2016.
Régulièrement questionné sur la situation sécuritaire dans la cité phocéenne, Gérald Darmanin n’a cessé de vanter son action lorsqu’il était ministre, en rappelant qu’il avait augmenté les effectifs de police. Un rapport de la Cour des comptes révèle qu’il y a moins de policiers aujourd’hui à Marseille qu’en 2016.
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Lors de ses multiples communications, Gérald Darmanin évoquait les policiers recrutés mais ne disait rien des policiers partis. Ceux qui avaient quitté leur poste et qui n’étaient pas remplacés. « Le différentiel entre entrées et sorties au sein des effectifs marseillais fait apparaître une nette dégradation du nombre de policiers affectés à Marseille entre 2016 et 2020, toutes filières confondues », peut-on lire dans le rapport.
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Les chiffres sont sans appel : on comptait 4 232 policiers et policières à Marseille en 2016, 3 979 en 2021 et 4 064 en 2023. Si les effectifs ont bien augmenté, ils n’ont donc pas retrouvé le niveau de 2016.
Auch (32) : Un migrant clandestin Ghanéen sous OQTF, placé en CRA après une condamnation pour corruption de mineur, remis en liberté car le contrôle d’identité opéré pour l’interpeller l’aurait “entravé dans sa liberté d’aller et venir”.
Immigration : Bruno Retailleau, cherche à conclure des accords avec l’Irak, le Kazakhstan et l’Égypte pour renvoyerdes étrangers ne pouvant être expulsés dans leur pays d’origine.
Le ministre de l’Intérieur négocie des accords avec des pays tels que l’Irak, le Kazakhstan ou l’Egypte. L’objectif ? Y renvoyer des étrangers impossibles à expulser dans leur pays d’origine
«Embarras» à la SNCF autour de la campagne de publicité du livre de Jordan Bardella édité par Fayard : 600 panneaux dans une centaine de gares. Le syndicat SUD-Rail s’oppose à la campagne.
Hachette Livre, qui appartient à Vincent Bolloré, a négocié avec la régie publicitaire de la SNCF la réservation de près de 600 panneaux dans une centaine de gares pour promouvoir le livre à paraître du président du RN. Sans préciser qui était l’auteur.
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