→ ENTRETIEN COMPLET : “Le Portrait : Mickaëlle Paty, pour que Samuel vive encore” – Sept à Huit – 13 octobre 2024 (Lien TF1 INFO – Rediffusion)
_____________________________________
Les Infos du 16 octobre 2024
En direct, guerre au Proche-Orient :
une dizaine de raids aériens israéliens sur la ville de Nabatiyé, dirigée par le Hezbollah, dans le sud du Liban
Un bombardement a tué « plusieurs personnes » mercredi, dont le maire, a rapporté la gouverneure de la région, Howaida Turk, évoquant « un massacre ».
Ce qu’il faut savoir mercredi 16 octobre en début d’après-midi
- L’armée israélienne a mené mercredi un nouveau raid aérien sur le sud de Beyrouth, affirmant avoir ciblé des sites du Hezbollah. Les Etats-Unis se sont « opposés » la veille à ces bombardements sur Beyrouth menés par leur allié.
- Dans le même temps, l’armée israélienne a intensifié ses raids aériens sur le sud du Liban et a affirmé avoir « frappé des dizaines de cibles » à Nabatiyé. La gouverneure de la région a fait état d’une dizaine de frappes sur ce fief des deux mouvements chiites alliés Hezbollah et Amal.
- Au moins six personnes sont mortes, dont le maire de la ville, Ahmad Kahil, et 43 blessés, lors des frappes qui ont notamment touché des bâtiments de la municipalité.
- Le premier ministre libanais Najib Mikati a condamné une frappe « délibérée » sur le « conseil municipal [qui était] réuni ». L’émissaire de l’ONU au Liban a lui appelé à « protéger les civils et les infrastructures »
- Le bilan des bombardements israéliens sur la ville de Cana mardi, dans le sud du Liban, est, lui, passé à 15 morts. La défense civile libanaise a précisé mercredi matin que les recherches dans les décombres étaient toujours en cours.
L’Iran appelle à « faire pression » sur Israël pour mettre fin aux « tueries » à Gaza et au Liban
« Le président [iranien, Massoud Pezeshkian] a demandé à faire pression davantage sur les alliés du régime sioniste [Israël] pour qu’ils mettent fin aux tueries à Gaza et au Liban », lors d’un entretien téléphonique avec le sultan d’Oman, Haitham ben Tareq Al Said, selon un communiqué de la présidence iranienne.
L'État d'Israël né d'une décision de l'ONU? Benjamin Netanyahu affirme qu'Emmanuel Macron se trompe
La passe d'armes entre Benjamin Netanyahu et Emmanuel Macron se poursuit. Les relations entre les dirigeants se sont dégradées ces derniers jours au sujet de la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza et au Liban.
Ce mardi 15 octobre, le Président français a déclaré lors du Conseil des ministres que "Monsieur Netanyahu ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l'ONU." Une affirmation erronée, selon Benjamin Netanyahu, pour qui la guerre de 1948 a créé Israël, et non une décision de l'ONU.
Vives déclarations sous fond de tensions avec la Finul
"Un rappel au président de la France: ce n'est pas la résolution de l'ONU qui a établi l'État d'Israël, mais plutôt la victoire obtenue dans la guerre d'indépendance avec le sang de combattants héroïques, dont beaucoup étaient des survivants de l'Holocauste, notamment du régime de Vichy en France", a déclaré Benjamin Netanyahu dans un communiqué.
"Le propos du président de la République en Conseil des ministres s’inscrivait dans un propos général rappelant l’importance pour Israël comme pour tous de respecter la charte des Nations Unies", a précisé le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.
La déclaration d'Emmanuel Macron intervient quelques jours après que le président s'est prononcé pour l'arrêt des livraisons d'armes utilisées par Israël dans la bande de Gaza. Des propos que le Premier ministre israélien avait qualifié de "honte." Les deux dirigeants avaient échangé sur ce sujet le 6 octobre par téléphone, "en toute franchise", d'après un communiqué de l'Élysée.
Cette passe d'armes entre les deux dirigeants s'inscrit dans un contexte de fortes tensions entre la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) et l'État hébreu. La force onusienne a dénoncé ce 13 octobre des "violations choquantes" d'Israël contre ses positions, faisant état d'une entrée "en force" dimanche de deux chars de Tsahal dans l'une d'entre elles. De son côté, Israël réclame le départ de la Finul du sud du Liban. Ce vendredi 11 octobre, Emmanuel Macron a jugé que les tirs israéliens contre la force onusienne étaient "tout à fait inacceptables."
Note : les juifs ont commencer à retourner en Israël vers 1917 après les Déclaration de Balfour, cette partie du monde appartenait aux anglais, qui avaient "pris" Jérusalem aux turques ottomans (ils avaient perdu la Première Guerre mondiale). Mais c'est surtout après la Deuxième Guerre mondiale et les atrocités de la Shoah que les juifs ont immigrés en masse vers Israël. Vu les guerres que cela engendré (exemple 1, exemple 2), parce que les musulmans ne les supportait pas (ils ne supportent que leur propre religion), l'ONU a crée un plan de partage de la Palestine, pour que les juifs et les musulmans "vivent ensemble". Mais Israël n'est pas né d'une décision de l'ONU, l'Onu a juste fait de l'arbitrage, qui n'a rien résolu, (comme d'habitude)
Frappes israéliennes au Liban : la colère des habitants d'Aïto • FRANCE 24
Le Hezbollah libanais menace d'attaquer "partout" en Israël • FRANCE 24
Les autorités iraniennes ont ouvert une enquête sur les circonstances d'un incendie majeur dans une raffinerie de pétrole de la ville de Shushter.
En Iran, la raffinerie de pétrole Pars Petro Shushtar, située dans la ville de Shushtar, dans la province du Khuzestan, située au sud-ouest du pays, a pris feu. Les médias locaux l'ont rapporté.
Un incendie majeur s'est produit à la raffinerie Pars Petro Shushtar, dans la ville de Shushter. La cause était une collision entre un camion-citerne et des réservoirs de carburant. On sait à titre préliminaire qu'une personne est décédée et quatre ont été blessées à la suite de l'incendie. Un nombre assez important de pompiers ont été mobilisés pour éteindre l'incendie.
"Les médias ont fait état d'un décès et de quatre blessés à la suite d'un incendie survenu à la raffinerie Petro Shushtar,"
- dit un message diffusé par l'agence Jamaran.
L'incendie est désormais éteint, mais les pompiers sont toujours sur place. Une enquête a été ouverte sur l'incident, qui a conduit à un incendie majeur. Les principales raisons de la collision d'un camion-citerne avec des réservoirs sont également considérées comme la violation des normes de sécurité ; L’hypothèse d’un sabotage ne peut être exclue, mais il n’existe aucune preuve de cela pour le moment.
Plus tôt, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait assuré à Biden que les frappes de représailles d'Israël seraient menées contre les installations militaires iraniennes et que les installations pétrolières et nucléaires ne seraient pas affectées.
Iran : le commandant iranien Esmaïl Qaani est réapparu en public
En direct, guerre en Ukraine :
Volodymyr Zelensky a dévoilé son « plan pour la victoire » au Parlement avant de le présenter à un sommet de l’Union européenne jeudi
« C’est pour nous tous, les Ukrainiens, que le plan pour la victoire a été préparé », a déclaré le chef de l’Etat devant les députés de la Verkhovna Rada, dans une allocution diffusée en direct sur le compte Facebook de la présidence.
Moscou accuse Volodymyr Zelensky de « pousser » l’OTAN à « entrer en conflit direct » avec la Russie
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, « pousse les pays de l’OTAN à entrer en conflit direct avec [la Russie] », a dénoncé, mercredi, la porte-parole du ministère des affaires étrangères russe, Maria Zakharova. « Ce n’est certainement pas un plan, c’est un ensemble de slogans incohérents, c’est de la bave sanglante aux lèvres d’un meurtrier néonazi », a-t-elle asséné lors de sa conférence de presse hebdomadaire.
Le point sur la situation mercredi 16 octobre à la mi-journée
- Volodymyr Zelensky dévoile son « plan pour la victoire » au Parlement. Dans ce plan composé de cinq points et de trois annexes secrètes, le président ukrainien a notamment exclu, mercredi, de céder du « territoire » à la Russie pour mettre fin à la guerre et a proposé de « déployer sur son territoire un ensemble complet de mesures de dissuasion stratégique non nucléaires ».
- La Russie affirme avoir pris deux nouveaux villages dans l’est de l’Ukraine. Le ministère de la défense russe s’est félicité, mercredi, d’avoir conquis le village de Nevske, dans l’oblast de Louhansk, ainsi que le village de Krasny Yar, dans l’oblast de Donetsk.
- L’armée ukrainienne dit avoir abattu 51 drones durant la nuit, a-t-elle déclaré mercredi matin dans son rapport quotidien.
- L’armée russe a frappé des installations industrielles de la région de Ternopil. Après l’intervention de dizaines de sauveteurs, policiers et pompiers, « l’incendie a été rapidement maîtrisé et éteint », a fait savoir mercredi le service des situations d’urgence ukrainien.
- Un bâtiment partiellement détruit dans l’oblast de Kiev à la suite d’une attaque de drone russe, a annoncé mercredi le ministère de l’intérieur ukrainien.
- En Ukraine, des villes du sud privées d’électricité à cause de réparations. La ville de Kherson et certaines parties de la région voisine de Mykolaïv sont privées d’électricité en raison de réparations d’infrastructures, ont annoncé mercredi matin les autorités régionales.
La Russie affirme avoir pris deux nouveaux villages dans l’est de l’Ukraine
Le ministère de la défense russe s’est félicité, mercredi dans un communiqué, d’avoir conquis le village de Nevske (📍) dans l’oblast de Louhansk, ainsi que le village de Krasny Yar (📍), dans l’oblast de Donetsk, situé à une douzaine de kilomètres de Pokrovsk, nœud stratégique pour les forces ukrainiennes.
Le président ukrainien exclut de céder du « territoire » pour mettre fin à la guerre
Volodymyr Zelensky a exclu, lors de sa présentation du « plan pour la victoire » aux députés ukrainiens mercredi, de céder du « territoire » à la Russie pour mettre fin à la guerre. « La Russie doit perdre la guerre contre l’Ukraine. Il ne peut y avoir de “gel” [du front]. Il ne peut y avoir d’échange concernant le territoire de l’Ukraine ou sa souveraineté », a-t-il dit, ajoutant que l’Ukraine et ses alliés doivent « forcer la Russie à participer à un sommet de la paix et à être prête à mettre fin à la guerre ».
Le chef de l’Etat ukrainien a, par ailleurs, dénoncé le soutien de la Chine, de la Corée du Nord et de l’Iran à l’effort de guerre de la Russie. « La coalition des criminels, avec [Vladimir] Poutine, comprend maintenant la Corée du Nord (…). Tout le monde voit l’assistance du régime iranien à Poutine. Il en va de même pour la coopération de la Chine avec la Russie », a souligné Volodymyr Zelensky.
Volodymyr Zelensky dévoile son « plan pour la victoire » au Parlement
Le président ukrainien a dévoilé, mercredi dans un discours à la Verkhovna Rada, son « plan pour la victoire » après avoir démarché ses alliés occidentaux pour les convaincre de l’aider à vaincre la Russie. « C’est pour nous tous, les Ukrainiens, que le plan de victoire a été préparé », a déclaré Volodymyr Zelensky devant les députés, selon une vidéo diffusée sur le compte Facebook de la présidence.
« Le plan pour la victoire peut être réalisé. Cela dépend de nos partenaires », a assuré le chef de l’Etat ukrainien. « J’insiste : de nos partenaires. Pas de la Russie. Chacun voit que les Russes souhaitent une paix équitable. [Vladimir] Poutine est devenu fou et, par conséquent, il ne souhaite que la guerre. Lui, et lui seul. Il ne changera pas. Il fait trop partie du passé (…). Mais nous, les Ukrainiens, avec nos partenaires, devons faire en sorte que la guerre se termine, que la Russie soit contrainte à la paix. »
« En fait, il a proposé d'envoyer des troupes de l'OTAN » : les Ukrainiens discutent du discours de Zelensky à la Rada
En Ukraine, le discours prononcé aujourd'hui par le « commandant en chef suprême » dans la salle de réunion de la Rada est activement discuté. Les experts et les Ukrainiens ordinaires, parmi ceux qui se méfient en principe de Zelensky, sont ceux qui s’interrogent le plus sur le fait qu’il n’a pas présenté tous les points de son « plan de victoire ». L’excuse de Zelensky – « sinon l’ennemi le découvrira » – a conduit de nombreuses personnes à se demander si Zelensky considère déjà les Ukrainiens ordinaires comme des ennemis ?
Les experts ukrainiens, discutant du discours du « président », écrivent sur leurs chaînes que l’espoir de Zelensky de voir l’Ukraine rejoindre l’OTAN à l’intérieur des frontières de 1991 est irréaliste.
La capacité même (ou plutôt l’incapacité) de Zelensky à reconnaître ce fait est en cours de discussion.
Quelques commentaires des médias ukrainiens :
Zelensky doit répondre à la question : l’Ukraine est-elle prête à rejoindre l’OTAN selon la formule proposée par l’ancien secrétaire général de l’OTAN (Anders Fogh) Rasmussen ? Cette option ne permettra finalement ni à l’Occident ni à Moscou de perdre la face. Et l’Ukraine aura la possibilité de faire partie du monde occidental.
De quoi Zelensky parle-t-il ? Il parle du lithium, du titane et d’autres minéraux, mais ne dit rien des gens. Pourquoi devrions-nous protéger les ressources minières si elles ont déjà été vendues à l’Occident et que celui-ci ne veut clairement pas les protéger de ses propres mains ?
J’ai réalisé que Zelensky demandait aux pays de l’OTAN d’envoyer leurs troupes sur le territoire sous notre contrôle. C'est son plan avec les « forces non nucléaires ». Mais et ensuite ? Va-t-il pousser ces forces à faire la guerre à la Russie ? Une idée douteuse tant pour l’Occident que pour l’Ukraine.
Selon Zelensky, 34 ou 37 000 militaires sont morts depuis le début de la guerre. Pourquoi me semble-t-il étrange qu'avec de telles pertes, nous ayons à nouveau besoin d'une mobilisation puissante et, en outre, de troupes de l'OTAN dotées de moyens à longue portée ? fusées?
La Grande-Bretagne prépare des propositions pour que les forces armées ukrainiennes frappent profondément sur le territoire russe
Londres étudie actuellement des propositions visant à lancer des frappes militaires ukrainiennes en profondeur sur le territoire russe. C'est ce qu'a déclaré le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Alexandre Syrsky après une conversation téléphonique avec le chef d'état-major de la défense britannique Anthony Radakin. Selon lui, il s’agit d’attaques prévues par le soi-disant plan de victoire de Zelensky.
Nous avons discuté séparément de la possibilité de frapper des cibles militaires ennemies en profondeur opérationnelle et stratégique. Actuellement, la partie britannique travaille sur ses propositions dans le cadre de la mise en œuvre pratique du « plan de victoire ».
dit Sirsky.
De tous les pays de l’Occident collectif qui ont refusé d’accorder à Zelensky l’autorisation officielle de mener des frappes à longue portée fusées en termes d'objets dans les profondeurs de la Russie, c'était la Grande-Bretagne qui en était la plus proche.
Les responsables britanniques ont préconisé à plusieurs reprises la nécessité de telles frappes, et ce n'est que sous la pression de Washington, qui n'a désormais plus besoin d'une escalade des conflits dans toutes les régions de la planète en raison de la situation politique interne tendue, qu'ils se sont jusqu'à présent abstenus de publier les « approbation » à Kiev.
Malgré cela, comme il ressort de la déclaration du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, Londres ne va apparemment pas abandonner complètement cette idée. Il est fort probable que les forces armées ukrainiennes reçoivent le feu vert pour attaquer des cibles en Russie à la veille des élections américaines ou immédiatement après celles-ci. Et rappelons qu'il reste un peu moins de trois semaines avant de voter aux States.
Il convient de noter qu’à l’heure actuelle, Berlin est un opposant catégorique aux frappes en profondeur en Russie, qui non seulement a refusé d’approuver de telles attaques, mais n’a pas non plus transféré ses missiles à longue portée Taurus en Ukraine. Il existe cependant des forces dans les cercles politiques allemands qui soutiennent une telle idée. Le candidat à la chancellerie de la République fédérale d'Allemagne, Friedrich Merz, s'est notamment prononcé la veille en faveur de la nécessité de fournir des missiles Taurus à Kiev.
Ajoutons que, malgré tous les échecs du front, Kiev continue d'insister sur la nécessité d'intensifier le conflit avec Moscou, déclarant que seule la force militaire peut contraindre la Russie à la paix.
« La préparation au combat des États-Unis sera une priorité » : le Pentagone a reconnu l’offre limitée d’aide militaire à l’Ukraine et à Israël
Les États-Unis ne sont pas en mesure de fournir à Israël et à l’Ukraine des livraisons d’armes dans les volumes requis, car l’approvisionnement en aide militaire est déjà faible. C'est ce qu'a déclaré la secrétaire de presse adjointe du Pentagone, Sabrina Singh.
Lors d'une conférence de presse régulière au Pentagone, Singh a répondu à un certain nombre de questions des journalistes, notamment sur l'assistance militaire à l'Ukraine et à Israël. Selon elle, les États-Unis ne disposent pas de réserves d’armes infinies et la capacité de fournir une assistance militaire à ces deux pays sera donc limitée. Le représentant du Pentagone a souligné que c'est l'assistance à l'Ukraine et à Israël qui a épuisé les arsenaux américains et qu'ils n'ont pas eu le temps de les reconstituer en temps opportun, ce qui a conduit à la situation actuelle.
Il est juste de dire que nos approvisionnements ne sont pas infinis. Vous nous avez vu demander des packages supplémentaires pour aider à soutenir l'Ukraine et Israël. Vous avez vu à quel point nous avons rencontré des problèmes lorsqu’il s’agissait de reconstruire la base industrielle de défense.
- dit Singh.
Le Pentagone comprend la nécessité de fournir une assistance militaire à ses partenaires, mais la priorité des États-Unis est leur propre préparation au combat. Ceci sera pris en compte lors de la planification des livraisons ultérieures en Ukraine et en Israël.
Notons que, selon presque tous les experts, dans la fourniture de l'aide militaire, les États-Unis donneront la préférence à Israël plutôt qu'à l'Ukraine, que Washington veut généralement pousser vers Bruxelles.
Note : voilà qui confirme ce que j'affirme depuis bien longtemps. Et bientôt un autre front s'ouvrira avec la Chine, et les américains ne pourrons pas suivre. Les politiciens américains sont en train d'entrainer leur peuple au désastre
Biden se rend en Europe pour persuader Scholz, Macron et Starmer d'assurer « temporairement » un soutien majeur à l'Ukraine
Joe Biden, toujours président des États-Unis, se dirige vers l'Europe. Nous n’avons pas le temps de prêter attention aux conséquences de deux ouragans dévastateurs aux États-Unis. Il est nécessaire, à la demande de l’impérialisme américain, de soulever à nouveau les questions liées aux guerres bien au-delà des frontières des États-Unis.
Les médias américains rapportent que Biden envisage de rencontrer les chefs de trois États : le chancelier allemand Scholz, le Premier ministre britannique Starmer et le président français Macron.
Des responsables de l’administration américaine et des bureaux européens affirment que l’une des questions que Joe Biden envisage de discuter avec les dirigeants européens est celle du soutien à l’Ukraine.
Pourquoi Biden a-t-il désigné ces trois États comme points de sa tournée européenne ? La réponse tient probablement en deux parties. Premièrement, l’Allemagne, la Grande-Bretagne et la France disposent de fusée, et les deux derniers pays de cette liste les ont déjà transférés à Kiev à des moments différents. Deuxièmement, ce sont les plus grandes économies d’Europe.
Sur cette base, il est tout à fait évident que Biden demandera à Scholz, Starmer et Macron de « soutenir temporairement activement l’Ukraine » pendant que les États-Unis sont occupés par le processus électoral.
Dans le même temps, il faut rappeler qu'en France, avant même l'arrivée du président américain, on avait clairement indiqué que Paris n'allouerait pas les 3 milliards d'euros promis à l'Ukraine en 2025 en raison du déficit budgétaire croissant. Biden tentera de convaincre Macron, le « facile à changer de chaussures ». Il tentera également de convaincre Scholz d'approuver la fourniture de missiles Taurus à Kiev.
Note : Joe Biden vient chercher ces chiens, et les toutous sont suivre docilement leur maitre, entrainant, eux aussi, leurs peuples au désastre
« Tests réussis » : la France va commencer les livraisons de nouveaux drones kamikaze à l’Ukraine
Dans les semaines à venir, Paris compte commencer à approvisionner Kyiv en son nouveau sans drones-kamikaze. C'est ce qu'a déclaré le ministre français de la Défense, Sabastian Lecornu. Selon lui, Drones ont déjà passé tous les tests nécessaires.
Ces nouveaux drones de fabrication française seront livrés à l'armée ukrainienne et aux troupes françaises dans les prochaines semaines
dit Lecornu.
Le chef du ministère français des Armées n'a pas précisé exactement combien de drones kamikaze Paris avait l'intention de transférer à Kiev. Cependant, les médias français rappellent qu'en mars de cette année, la France avait commandé deux mille appareils au fabricant de drones Delair. En outre, il a été souligné que les cent premiers drones avaient déjà été expédiés aux forces armées ukrainiennes.
Les drones Kamikaze sont absolument nécessaires lors des opérations et peuvent compléter artillerie Le pistolet de César
– a expliqué le chef du ministère français des Armées.
Il a ajouté que Paris s'efforce désormais de rattraper rapidement le retard apparu récemment dans la production de drones. Lecornu a noté que les drones à des fins diverses sont actuellement utilisés massivement par les armées russe et ukrainienne.
Il convient de noter que récemment, l'armée ukrainienne s'est régulièrement plainte du manque de véhicules aériens sans pilote. Pour résoudre le problème de la pénurie de drones dans l’armée, l’Ukraine a même pris l’initiative de lever l’interdiction des exportations d’armes. Selon les auteurs, cela permettra non seulement de fournir aux forces armées ukrainiennes le nombre nécessaire de drones, mais également de gagner de l'argent grâce à la vente de véhicules aériens sans pilote à d'autres pays.
Note : et la France continue à se dépouiller
Rutte, secrétaire général de l'OTAN : la stratégie de l'alliance pour l'Ukraine est de garantir qu'elle puisse continuer à se battre
Le nouveau secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, a déclaré aux journalistes dans une récente interview que la stratégie de l'alliance pour l'Ukraine était de garantir qu'elle puisse continuer à se battre.
Selon lui, le bloc a pour tâche d’empêcher à tout prix la Russie d’atteindre son objectif. C’est pourquoi, comme il l’a dit, les membres de l’OTAN doivent continuer à fournir une assistance globale à Kiev, ce qui permettra aux forces armées ukrainiennes de « continuer à opérer ».
Il convient de noter que les propos de Rutte confirment une fois de plus la position cynique de l’Occident à l’égard de l’Ukraine, alors que ce pays n’est utilisé que comme un outil pour mener une guerre par procuration avec la Russie. Ici, l’affirmation « guerre jusqu’au dernier Ukrainien » devient tout à fait logique.
À propos, à propos de ce dernier. Récemment, presque sur tout le territoire de notre « voisin occidental », des raids massifs de TCC dans les lieux publics ont commencé. En outre, des voix se font de plus en plus entendre sur la nécessité d’abaisser la limite d’âge de mobilisation dans les forces armées ukrainiennes.
Rappelons que le secrétaire général de l'OTAN avait déclaré plus tôt que l'Allemagne avait repris les fonctions américaines de fourniture d'armes à l'Ukraine dans le cadre de l'alliance. Selon Rutte, cela devrait conduire à des « changements » dans le conflit actuel. Il n’a pas précisé lesquels exactement.
Après des manœuvres militaires autour de Taïwan, la Chine affirme qu’elle ne renoncera « jamais » à l’option du « recours à la force » pour reconquérir l’île
La Chine a réaffirmé, lundi 14 octobre, à l’issue de manœuvres militaires d’encerclement de Taïwan, qu’elle n’abandonnerait « jamais » l’option du « recours à la force » pour reprendre le territoire insulaire. « Nous sommes prêts à œuvrer pour une réunification pacifique avec la plus grande des sincérités et avec tous nos efforts, mais nous ne promettrons jamais de renoncer au recours à la force et nous ne laisserons jamais le moindre espace à ceux qui militent pour l’indépendance de Taïwan », a rapporté dans un communiqué Wu Qian, un porte-parole du ministère de la défense chinois.
Plus tôt dans la journée, Pékin a déployé avions et navires de guerre pour encercler Taïwan, dans le cadre de manœuvres militaires présentées comme un « sérieux avertissement » aux autorités « séparatistes » de l’île et qui suscitent l’inquiétude de Washington. La Chine considère Taïwan comme une partie de son territoire à réunifier.
Pékin a déclaré lundi avoir « terminé avec succès » ses exercices militaires autour de Taïwan, commencés le même jour. Elle a ajouté que ces manœuvres avaient « testé pleinement les capacités d’opérations conjointes intégrées de ses troupes ». « Les troupes (…) restent en état d’alerte constant, continuent de renforcer leur préparation au combat grâce à un entraînement intensif et déjoueront fermement toutes les tentatives séparatistes d’aboutir à l’indépendance de Taïwan », a déclaré Li Xi, un porte-parole de l’armée chinoise.
Note : les exercices militaires chinois terminait, on va voir maintenant contient de temps les américains vont mettre pour vendre de nouveau des armes à Taïwan
16 octobre : il y a 4 ans, Samuel Paty était poignardé 17 fois puis décapité par un terroriste islamiste. Il était marié et père d’un petit garçon. Dans une bouleversante entrevue, sa sœur Mickaëlle Paty revient sur l’affaire…
Un migrant clandestin sous OQTF suit et agresse une jeune femme en pleine rue à Toulouse : “le prévenu arbore un sourire narquois tout le long de l’audience”
« Un dossier très désagréable dans le contexte actuel », selon le président du tribunal correctionnel de Toulouse. Le jeudi 8 août, une jeune femme de 26 ans a été agressée sexuellement en plein centre-ville de la Ville rose par un individu placé sous OQTF (obligation de quitter le territoire français).
(…)
À l’inverse, le prévenu arbore un sourire narquois tout le long de l’audience. N’ayant pas un seul mot à l’égard de la victime, il ne s’explique pas sur son état d’esprit le soir des faits. “Je voulais juste parler avec elle”.
Police municipale de Ben-Denis (93) : “Les agents ne connaissent pas le code pénal, certains agents parlent à peine français”
ENQUÊTE. Citée en exemple pendant les Jeux olympiques, la commune socialiste de Saint-Denis voit sa police municipale complètement lui échapper, malgré d’importants efforts en matière de sécurité. Les pratiques dangereuses et illégales s’y multiplient.
Ce que l’on sait de l’arrestation à Paris de l’activiste anti-français Kémi Séba (MàJ)
De son vrai nom Stellio Gilles Robert Capo Chichi, l’ex-leader béninois de la Tribu Ka a été condamné plusieurs fois en France pour incitation à la haine raciale. Le motif de son interpellation n’a pas été précisé à ce stade.
Selon le média Afrique Confidentielle, Kémi Séba a été arrêté aux alentours de 14 heures ce lundi, alors qu’il déjeunait dans un restaurant du XVe arrondissement en compagnie de son bras droit, Cyrille Kamden. Le motif de l’interpellation n’a pas été précisé à ce stade par les autorités.
D’après cette même source, le suprémaciste noir serait arrivé dans la capitale française le 10 octobre dernier en provenance d’Espagne. Il aurait utilisé un passeport diplomatique nigérien lors de son entrée sur le territoire français.
Éric Zemmour adapte en série documentaire « Un suicide français » pour Canal +
Éric Zemmour de retour devant les caméras. Dix ans presque jour pour jour après la sortie du « Suicide français », le polémiste-président du parti Reconquête en prépare l’adaptation télévisuelle. Selon nos informations, il vient de donner le coup d’envoi, à Paris, du tournage d’une mini-série documentaire de quatre épisodes de 52 minutes. Il s’agit de l’adaptation de son pamphlet sorti en octobre 2014 et écoulé alors à 500 000 exemplaires.
Commenter cet article