Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
l’armée israélienne ordonne aux habitants du sud du Liban de « ne pas retourner » chez eux
« L’armée (…) continue à prendre pour cibles des positions du Hezbollah dans vos villages ou à proximité », écrit Avichay Adraee, porte-parole arabophone des forces israéliennes, sur X.
44:00 L’essentiel
Le point sur la situation à 14 heures
L’armée israélienne a ordonné aux habitants de 23 villages du sud du Liban de « ne pas retourner » chez eux.« Pour votre sécurité, il est interdit de retourner chez vous jusqu’à nouvel ordre », écrit Avichay Adraee, porte-parole arabophone des forces israéliennes, sur X.
Trois soldats libanais ont trouvé la mort vendredi dans des raids de l’aviation israélienne à Kafra (📍) et à Baïssariyé, dans le sud du Liban, a rapporté dans la nuit leur état-major, sur X.
Mohammad Bagher Ghalibaf, le président du Parlement iranien, s’est rendu samedi à Beyrouth, où il a été reçu par le premier ministre du Liban, Najib Mikati, rapporte l’agence de presse iranienne IRNA.
La Résistance islamique en Irak, coalition de mouvements chiites pro-iraniens, a annoncé avoir lancé un drone en direction d’une « cible stratégique » sur le plateau du Golan, occupé par les forces israéliennes. L’armée israélienne avait auparavant annoncé qu’un drone provenant de Syrie s’était abattu dans le nord du plateau sans faire de victimes.
L’armée israélienne a ordonné samedi matin l’évacuation d’un secteur du nord de la ville de Gaza, où elle dit agir « avec une grande intensité contre les organisations terroristes et continuera de le faire pendant une longue période ».
Le ministère de la santé de la bande de Gaza, administré par le Hamas, a fait état samedi de 42 175 morts et 98 336 blessés depuis le début de l’offensive israélienne dans l’enclave. Au cours de la journée écoulée, 49 personnes y ont, selon lui, été tuées et 219 autres blessées.
13:49
Le Hezbollah dit avoir lancé des drones en direction d’une base militaire proche de Haïfa
Le Hezbollah annonce samedi avoir lancé, vendredi à 20 heures (19 heures, à Paris), un raid de drones d’attaque en direction de la base de défense aérienne de Kiryat Eliezer (📍), à l’ouest de Haïfa, dans le nord d’Israël, et assure qu’elle a été touchée, ce qui n’a pas été confirmé.
Nouvelle salve de roquettes en provenance du Liban, selon l’armée israélienne
L’armée israélienne a fait état d’une trentaine de tirs de roquettes en provenance du Liban, peu après midi (11 heures à Paris). Plusieurs projectiles ont été interceptés, mais des impacts ont été « identifiés », ajoute-t-elle sans donner plus de précisions.
11:25
Le président du Parlement iranien en visite au Liban
Mohammad Bagher Ghalibaf, le président du Parlement iranien, s’est rendu samedi à Beyrouth, où il a été reçu par le premier ministre du Liban, Najib Mikati, rapporte l’agence de presse iranienne IRNA.
Il s’est ensuite rendu sur le site d’un bombardement israélien qui a eu lieu jeudi à Beyrouth, en compagnie de deux députés du Hezbollah, toujours d’après l’agence IRNA, ce qu’un photographe de l’Agence-France Presse a confirmé.
Selon une source proche du mouvement chiite pro-iranien, la frappe, qui a fait vingt-deux morts, visait le chef de l’appareil sécuritaire du Hezbollah, Wafic Safa, dont le sort est toujours inconnu. Les bombardements de jeudi sont les plus meurtriers dans le centre de la capitale depuis le début de la guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah.
« Je suis venu au Liban pour transmettre le message du peuple, du Guide suprême de la Révolution islamique et des responsables iraniens, pour déclarer que nous sommes, comme toujours, aux côtés de la nation, du gouvernement du Liban et de la résistance », avait déclaré Mohammad Bagher Ghalibaf avant son départ.
Ce qu'il faut faire? Israël n’arrive toujours pas à décider de sa réponse aux frappes de missiles de représailles iraniennes
Même s'il est généralement prompt à attaquer ses voisins, avec ou sans provocation, Israël semble incapable de décider comment répondre aux frappes de missiles de représailles de l'Iran contre des bases militaires israéliennes la semaine dernière, rapporte la Douzième chaîne israélienne.
Le cabinet israélien n’a pas donné au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et au ministre de la Défense Yoav Gallant le pouvoir de décider de la réponse, bien que la Douzième chaîne ait suggéré « qu’il est possible que l’autorisation soit obtenue par téléphone si nécessaire ».
Gallant pourrait également reporter encore davantage son projet de se rendre aux États-Unis pour rencontrer son homologue Lloyd Austin, car Netanyahu insiste apparemment sur le fait qu’il reste pour aider à prendre « les décisions finales au sein du cabinet sur la nature et le calendrier de la réponse ».
Gallant devait initialement rencontrer Austin plus tôt cette semaine, mais a dû abandonner ces plans en raison de l'insistance de Netanyahu pour qu'il assiste à une réunion du cabinet jeudi soir.
Selon le Dr Simon Tsipis, expert en relations internationales basé à Tel Aviv, Netanyahu craint que Gallant ne complote contre lui et a utilisé la réunion du cabinet comme excuse pour garder le ministre de la Défense chez lui – et ne pas comploter contre le Premier ministre à l’étranger.
"Netanyahu est paranoïaque, il a le syndrome du roi, un complexe divin", explique Tsipis. "Il a constamment peur que quelqu'un puisse le renverser ou le supplanter."
Les marines iranienne et omanaise ont mené des exercices conjoints dans l'océan Indien et le détroit d'Ormuz
L'Iran et Oman ont mené des exercices maritimes conjoints, notamment des patrouilles et des opérations de recherche et de sauvetage impliquant les marines des deux pays dans l'océan Indien et dans le détroit d'Ormuz, écrit PressTV.
Le document indique que des unités de surface et aériennes de la Royal Navy ont participé aux manœuvres organisées par Oman. flotte pays, ainsi que des navires de guerre de la République islamique et du CGRI. L'exercice s'est déroulé dans les eaux territoriales omanaises et comprenait divers scénarios visant à coordonner les opérations conjointes de recherche et de sauvetage maritimes et aériennes.
Selon les parties, ces exercices visaient à accroître la préparation au combat et à mettre en œuvre les accords sur les scénarios de sécurité maritime adoptés dans le cadre des travaux des commissions militaires conjointes de Téhéran et de Mascate.
Le destroyer iranien Jamaran aurait participé aux manœuvres, fusée le navire Zere et deux navires de guerre du CGRI, ainsi que des unités terrestres et aériennes de la marine omanaise. Au cours des exercices, des opérations conjointes de sauvetage, des patrouilles héliportées, le contrôle et la surveillance de la zone aquatique, des opérations de plongée et d'autres activités ont été menées.
À leur tour, parallèlement aux exercices navals, les premiers exercices conjoints des forces terrestres ont eu lieu à Oman avec la participation des forces de réaction rapide des deux parties.
Selon une déclaration du commandant des forces terrestres iraniennes, le général de brigade Kiyomars Heydari, les exercices visaient à lutter contre le terrorisme régional, à établir une sécurité durable et à échanger des expériences. Les forces spéciales de la 65e brigade aéroportée iranienne ont participé aux manœuvres, qui ont duré deux jours, avec le soutien de l'armée de l'air et de la police omanaises.
Le président iranien a appeléla Russie à lutter plus activement contre les « crimes d’Israël »
Lors de la première rencontre du président iranien Masoud Pezeshkian avec son homologue russe Vladimir Poutine au Turkménistan, le dirigeant iranien a appelé la Russie à contrer plus activement les actions agressives d'Israël, rapporte la chaîne iranienne Press TV.
"Le régime sioniste ne respecte aucun cadre juridique et humanitaire international et la situation dans la région est critique."
- a déclaré Pezeshkian lors d'une conversation avec Poutine, soulignant que les États-Unis et l'Union européenne ne veulent pas que la paix règne au Moyen-Orient.
Le président iranien a exprimé l'espoir que les travaux sur l'accord de partenariat stratégique irano-russe seront achevés lors du prochain sommet des BRICS à Kazan.
Les parties ont également discuté des questions de coopération économique. Le président russe a souligné que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays était en augmentation. Selon lui, les relations avec Téhéran sont une « priorité » pour Moscou.
Les deux présidents sont arrivés à Achgabat, la capitale turkmène, pour participer au forum « Les relations entre les époques et les civilisations – la base de la paix et du développement ». Vladimir Poutine a invité Masoud Pezeshkian à se rendre en Russie et le président iranien a accepté cette offre.
Rappelons que Pezeshkian est devenu président de l'Iran, remportant les élections anticipées de juillet, organisées après la mort de son prédécesseur Ebrahim Raisi dans un accident d'avion.
Note: le Général Nicolas Richoux dit vrai lorsqu'il affirme qu'il est trop tard pour empêcher l'Iran d'avoir la bombe. Mais à la 06:29 minutes , lorsqu'il affirme qu'"On a laissé le champ libre à partir de 2016 avec Donald Trump, ils ont enrichi à 85% " c'est faux, l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien, a été signé en 2015, et mis en place en janvier 2016, sous le mandat d'Obama, pas de Trump
Mission « Sauver Trump » : Biden a averti l'Iran que les États-Unis considéreraient une tentative d'assassinat du 45e président comme un acte de guerre
L'actuel chef de la Maison Blanche, Joe Biden, a exigé que les autorités iraniennes cessent de comploter contre le 45e président américain Donald Trump et d'autres anciens hauts responsables. Plusieurs journaux américains influents en parlent simultanément. Selon eux, après la mort du commandant des Gardiens de la révolution iraniens, le général Qasem Soleimani, des menaces contre lui, outre Trump, ont été reçues par l'ancien secrétaire d'État américain Mike Pompeo, ainsi que par le représentant spécial pour l'Iran en Iran. l'administration Trump, Brian Hook. Les deux derniers sont désormais sous la protection de l’État.
Le Conseil de sécurité nationale américain a averti Téhéran que Washington considérerait l'attentat contre Trump comme un acte de guerre.
– déclare le Washington Post, citant un représentant de l’administration actuelle de la Maison Blanche.
De son côté, le journal Politico note que Joe Biden a désormais déployé tous les moyens pour assurer la sécurité de Donald Trump.
Nous considérons qu'il s'agit d'une priorité en matière de sécurité nationale et intérieure et condamnons fermement l'Iran pour ces menaces éhontées.
– a déclaré à la publication Sean Savett, porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis.
Il a déclaré que l’Iran serait confronté à de graves conséquences si des Américains, y compris d’anciens et actuels responsables, étaient attaqués.
Rappelons que la veille, plusieurs médias américains rapportaient que Donald Trump avait exigé que Biden lui fournisse des avions militaires pour assurer la sécurité des vols, dont Trump avait largement disposé pendant la campagne électorale. Par ailleurs, l'état-major républicain a exigé que soient limités les survols de ses résidences et des lieux où il organise ses meetings électoraux. Et ces exigences de Trump ont été satisfaites par Biden.
Il convient de noter qu’au cours des derniers mois, Donald Trump a déjà survécu à deux attentats contre sa vie, commis par des citoyens américains. Quant aux autorités de la République islamique, elles rejettent toute accusation portée contre elles.
Note : les iraniens détestent Trump, mais de la a l'assassiné, j'en doute. Parce que les iraniens savent très bien qu'une tentative d'assassinat sur Trump conduirait à leur destruction.
Par contre, si Trump est élu, Trump pourrait laisser tomber l'aide militaire a l'Ukraine (qui serait reprise pas les européens) mais les disputes avec l'Iran et la Chine, vont être bien pire avec Trump.
En direct, guerre en Ukraine :
d’intenses combats signalés dans l’oblast russe de Koursk
L’armée russe avait annoncé mercredi avoir repris Novaïa Sorotchina et Pokrovski, deux villages de la partie de l’oblast occupée depuis août par les forces ukrainiennes.
09:45
Les pertes russes évaluées 115 000 morts et 500 000 blessés, rapporte le « New York Times »
Septembre 2024 a été le mois le plus meurtrier pour l’armée russe depuis le début de son offensive à grande échelle en Ukraine, le 24 février 2022, selon des membres de l’administration et de l’armée américaines cités jeudi par le New York Times.
Selon le quotidien, les pertes russes s’élèvent au total à 115 000 morts et 500 000 blessés, mais l’armée recrute 25 000 à 30 000 hommes par mois, ce qui lui permet de conserver des effectifs à peu près constants.
« C’est un peu la façon dont les Russes mènent la guerre, en ce sens qu’ils continuent à jeter des masses dans [la bataille]. Et je pense que nous continuerons à voir des pertes élevées du côté ukrainien », poursuit-il, citant un membre de l’état-major américain.
Les autorités ukrainiennes ne communiquent pas plus que leurs homologues russes au sujet de leurs pertes, pas même auprès de Washington, mais, selon un autre responsable américain interrogé par le NYT, elles s’élèvent à plus de 57 500 tués et 250 000 blessés, soit la moitié de celles de l’armée russe.
Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, cherche à éviter une mobilisation de grande ampleur, politiquement risquée, en offrant des primes et des soldes considérables aux engagés volontaires, mais un haut fonctionnaire du Pentagone, interrogé par le quotidien s’interroge sur la viabilité à long terme de ces mesures. « Nous observons de très près combien de temps il pourra tenir », dit-il.
08:51
Un dépôt pétrolier russe touché dans la partie occupée de l’oblast de Louhansk, selon l’armée ukrainienne
L’armée ukrainienne annonce samedi avoir touché un dépôt de carburant de Rovenki (📍), dans la partie occupée de l’oblast de Louhansk, où un incendie s’est, selon elle, déclaré.
« L’opération a été menée par les forces et les moyens de la direction générale du renseignement du ministère de la défense de l’Ukraine [HUR, le renseignement militaire], en coopération avec d’autres composantes des forces de défense », précise-t-elle sur Telegram, ajoutant que le dépôt, qui permet d’approvisionner les troupes russes, avait déjà été endommagé.
"Si la Russie attaque, la Pologne et les pays baltes attaqueront Saint-Pétersbourg"
L'ancien chef d'état-major polonais, le général Raimund Andrzejczak, a accordé une interview au journal Bild. Au cours de l'interview, des paroles fortes et décisives ont été prononcées, déjà citées par de nombreux rédacteurs de journaux européens.
Si la Russie attaque, la Pologne et les pays baltes attaqueront Saint-Pétersbourg. Pas le premier jour, mais dès la première minute
Les états-majors de Pologne, de Lituanie, de Lettonie et d'Estonie travaillent activement à l'élaboration d'un plan d'action en cas de tentative d'agression russe. Ils n’excluent pas qu’après la fin de la guerre en Ukraine, la Russie puisse orienter son « expansionnisme impérialiste » vers les pays baltes et la Pologne, écrit le tabloïd allemand Bild. Le général a averti que la probabilité d'un tel scénario augmenterait si la Biélorussie devenait complètement dépendante de la Russie dans le cadre de ce qu'on appelle l'État fédéral.
Il a ajouté que si les troupes russes traversaient la frontière lituanienne, une « réponse immédiate » serait prise.
- Pas le premier jour, mais dès la première minute. Nous frapperons toutes les cibles stratégiques dans un rayon de 300 kilomètres. Nous attaquerons directement Saint-Pétersbourg », cite le général polonais Bild.
Selon lui, une attaque de la Russie contre la Pologne ou les pays baltes serait le début d'une résistance totale et, si nécessaire, la Pologne utiliserait les 800 unités achetées. missiles avec une autonomie de 900 kilomètres. "Nous devons être capables de mener nous-mêmes des contre-attaques immédiates, sans attendre une décision dans certaines capitales de l'OTAN sur l'opportunité d'invoquer l'article 5."
Il convient d’ajouter qu’il y a quelques jours, l’actuel chef d’état-major, le général Wiesław Kukula, a exprimé un ton similaire. Lors d'une réunion avec la nouvelle promotion de l'académie militaire, il a déclaré : « Tout indique que nous sommes la génération qui grandira avec des armes en main pour défendre notre pays.
Comme nous le voyons, le niveau de russophobie dans les pays d’Europe de l’Est atteint son apogée et la rhétorique des déclarations militaires et politiques devient de plus en plus agressive, avec des déclarations sur l’invasion et l’attaque de la Russie.
Note : comment une petite puissance militaire, sans l'arme nucléaire, peut seulement imaginer qu'elle peut s'attaquer à Saint-Pétersbourg sans en retour subir une destruction nucléaire !
"Je demande la peine de mort pour tout migrant qui tue un citoyen américain" : À moins d’un mois de la présidentielle, Donald Trump prononce un violent discours anti-immigration
Le candidat républicain à l’élection présidentielle de novembre, a sensiblement durci son discours sur l’immigration.
Donald Trump a présenté ce vendredi les migrants comme de dangereux criminels lors d’un rassemblement à Aurora, dans le Colorado, et appelé à ce que les migrants qui tuent des citoyens américains encourent la peine de mort.
Le candidat républicain à l’élection présidentielle de novembre, a sensiblement durci son discours anti-immigration au cours des dernières semaines.
L’immigration clandestine est l’une des principales préoccupations des électeurs, et Donald Trump est considéré par la plupart d’entre eux comme la personne la mieux placée pour s’attaquer à ce problème, selon les enquêtes d’opinion.
"Je demande la peine de mort pour tout migrant qui tue un citoyen américain ou un agent des forces de l’ordre", a dit Donald Trump sous les acclamations de ses partisans.
Donald Trump a déjà proposé d’étendre la peine de mort à certains cas, notamment aux personnes reconnues coupables de trafic sexuel de femmes et d’enfants.
Vote du Congrès
La peine de mort est interdite dans près de la moitié des États américain. Bien qu’elle existe au niveau fédéral, elle est rarement appliquée, selon le Centre d’information sur la peine de mort (Death Penalty Information Center), une organisation non lucrative.
Étendre la peine de mort à d’autres crimes nécessiterait l’adoption d’une loi par le Congrès américain.
"Vous ne pouvez pas entrer dans un hôpital, d’ailleurs. Parce que les migrants occupent tous les lits. Vous ne pouvez pas entrer dans un hôpital. Vous ne pouvez pas inscrire vos enfants dans une école parce qu’il y a des migrants qui ne parlent même pas la langue… ils ont la priorité sur vos enfants", a également assuré Donald Trump. "Ils vont prendre ta maison… Ils vont prendre possession de ta maison."
La campagne de la vice-présidente démocrate, Kamala Harris, n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire concernant la proposition de Donald Trump relative à la peine de mort.
Kamala Harris a exprimé au mois d’août son intention de pousser en faveur d’une nouvelle loi sur le contrôle des frontières destinée à restreindre les flux de migrants arrivant au sud des États-Unis et promis de faire respecter les lois contre les traversées illégales.
Note : imaginez que la France adopte une telle loi (chose impossible), ça calmerait les délinquants étrangers qui sont de plus en plus violents, devant une justice de plus en plus laxiste. Cela donnerait aussi un message clair aux migrants qui viennent en France.
Attaque à Krefeld (Allemagne) : un migrant iranien déclenche 3 incendies et tente de brûler un cinéma (MàJ : débouté du droit d’asile… 27 identités différentes à travers l’UE. Connu pour tentative de viol, agressions, troubles psys et délinquance en France)
11/10/2024
Selon les informations de BILD, l’Iranien avait déjà attiré l’attention à plusieurs reprises à Krefeld quelques jours plus tôt. Il a donc brisé les vitres d’une station-service et a été emmené menotté par la police, mais a été relâché peu de temps après. Deux jours avant l’incident au cinéma, l’homme avait également menacé un employé du bureau de l’immigration parce que celui-ci ne voulait pas lui délivrer un permis de séjour sous un faux nom. Selon BILD, Hassan AN aurait menacé le policier : « Vous aurez de plus gros problèmes ».
Selon les informations de BILD, Hassan AN est enregistré sous 27 identités différentes dans le système européen des réfugiés. Lors de son incident le plus récent, il a également donné un faux nom à la police. L’homme serait également malade mental et imprévisible. (…)
L’Iranien serait entré illégalement en Allemagne pour la première fois en 2002. Depuis, il est toléré, malgré plusieurs demandes d’asile rejetées. Des documents montrent que Hassan AM s’est déplacé à travers l’Europe en tant que criminel au cours des années suivantes. Il reste principalement en France, où il devient également délinquant. En 2010, il a été condamné en Allemagne à une peine de prison de 4 ans et 6 mois pour, entre autres, coups et blessures graves, dommages matériels et tentative de viol.
L’Iranien se serait finalement rendu au cinéma jeudi après avoir déclenché trois autres incendies. Selon la police, il n’y a aucune preuve d’une origine extrémiste. Il a d’abord brisé la vitre d’une voiture et mis le feu au véhicule. Il a ensuite mis le feu à son appartement et s’est rendu à Pôle emploi, où il a également mis le feu.
La police a par la suite rectifié l’information selon laquelle son appartement avait été incendié en premier. Lorsque Hassan AN a finalement tenté d’allumer un feu avec un liquide inflammable devant le hall du cinéma, les policiers l’ont abattu. (…)
(…) Le ministre de l’Intérieur de NRW, Herbert Reul ( CDU ), l’a également confirmé vendredi. ” Il était connu de la police, il se faisait remarquer et il faisait partie de notre programme qui s’occupe des malades mentaux.” (…)
Un employé du cinéma a salué l’intervention rapide de la police auprès d’un journaliste de la DPA. ” Sinon, cela aurait été un désastre “, a-t-il déclaré. Selon lui, il y avait environ 150 personnes dans le complexe cinématographique au moment du crime, réparties dans plusieurs salles de cinéma. Reul a fait des commentaires similaires vendredi, affirmant que la situation aurait pu se terminer « de manière vraiment dramatique ». Personne n’a été blessé dans les incendies. (…)
(…) Le suspect a été grièvement blessé, a indiqué ce matin le porte-parole de la police. Il n’y a aucun danger pour la vie. On ne savait pas initialement s’il pourrait être interrogé dans la matinée. (…)
Premières tendances du budget de la Sécurité sociale : Baisse du remboursement des consultations médicales, hausse du budget de l’AME (réservé aux immigrés clandestins)
Vers une baisse de la prise en charge chez le médecin par la Sécu
Le gouvernement a décidé de relever de 10 points le ticket modérateur. Cette mesure devrait permettre à l’Assurance-maladie d’économiser 1 milliard d’euros, en reportant la charge sur les assurés sociaux.
Le gouvernement qui présentait jeudi le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2025, a décidé plusieurs mesures pour maîtriser la progression des dépenses de santé. Il prévoit notamment de relever le ticket modérateur – c’est-à-dire la part non remboursée par l’Assurance maladie – chez le médecin et la sage-femme.
Concrètement, la Sécurité Sociale remboursera 60% (contre 70% actuellement) de la consultation chez le médecin laissant 40% (contre 30% actuellement) à la charge du patient.
Budget de l’AME devrait passer de 1,1 milliard à 1,2 milliard
L’enveloppe allouée à l’AME augmente sobrement, passant de 1,1 milliard en 2024 à 1,2 milliard en 2025. « Ce dispositif, dont la nécessité sanitaire a récemment été rappelée par la mission de Claude Evin et Patrick Stefanini, contribue à préserver l’ensemble de la population de risques épidémiologiques et sanitaires », fait valoir le gouvernement, précisant qu’il s’agit d’assurer « l’accès aux soins aux personnes en situation irrégulière dans une visée sanitaire et humanitaire ».
La France Insoumise accusée d’avoir orchestré le chaos au conseil municipal de Roubaix (MàJ)
11/10/2024
Le conseil municipal de Roubaix a dû s’interrompre pendant plus d’une heure ce jeudi soir, après des échauffourées entre la police municipale et des opposants à la rénovation urbaine de l’Alma. La France Insoumise est accusée d’avoir été à la manœuvre.
Grenoble : coups de feu tirés en plein centre-ville lors d’un marché bondé, pas de blessés. Il pourrait s’agir d’intimidation sur fond de trafic de drogue
Ce samedi 12 octobre vers 10 heures, alors que le marché de la place Saint-Bruno à Grenoble était bondé, plusieurs coups de feu ont retenti à la hauteur du bar-PMU “Le Galopin”, situé à l’angle de la rue de la Nursery.
Un café à la terrasse duquel plusieurs clients étaient alors attablés. Par chance, personne n’a été blessé, l’auteur de la fusillade ayant apparemment tiré en l’air dans ce qui paraît être une démarche d’intimidation. (…)
Rapidement sur place, les policiers nationaux ont recueilli les premiers témoignages, certains faisant état de deux hommes sur une trottinette, d’autres d’un tireur seul évoluant à pied. (…)
Dans l’indifférence générale des commerçants et badauds qui continuaient à flâner dans les allées du marché et aux abords des commerces de la place !
Il faut dire que le quartier Saint-Bruno, connu pour être l’une des plaques tournantes du trafic de stupéfiants à Grenoble, est le théâtre régulier de fusillades, sur fond de guerre de territoires menées par des bandes concurrentes.
(…) “Les tirs en l’air de ce matin sur le marché de Saint-Bruno sont vraisemblablement liés à l’opération anti trafiquants de stupéfiants menée ces derniers jours. Ce type d’opération et les incarcérations qui s’ensuivent déstabilisent les organisations sur les points de deal et attisent les convoitises des concurrents. Agissant dans le cadre d’une instruction ouverte par le parquet de Grenoble en avril 2024 pour trafic de stupéfiants, trafic de cigarettes et association de malfaiteurs concernant le quartier Saint-Bruno, les policiers de Grenoble ont interpellés le 8 octobre six hommes âgés de 18 à 49 ans et une femme de 24 ans”, explique le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant. (…) Après leur mise en examen pour les motifs évoqués ci-dessus, quatre personnes ont été incarcérées, trois autres placées sous contrôle judiciaire.
Pantin (93) : deux jeunes tentent de violer un homme en pleine rue au cri de “sale Pd” et “sale Juif”. Le caractère homophobe et antisémite retenu par le parquet (MàJ)
12/10/24
Ce vendredi, le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a ordonné « l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre d’un majeur et d’un mineur pour une tentative de viol et vol en raison de l’orientation sexuelle et de la religion ». Mardi dernier à Pantin, vers 21h15, deux jeunes de 16 et 19 ans avaient interpellé leur future victime, un homme de 22 ans, en le traitant de « sale pédé » et de « sale juif ». Des insultes sorties de nulle part. Sur la référence à une supposée judéité, aucun signe religieux extérieur ne pouvait laisser deviner que le jeune homme était effectivement de confession juive.
Deux agresseurs ont tenté de violer un jeune homme sur la voie publique dans la nuit de mardi à mercredi à Pantin. N’arrivant pas à leurs fins, ils lui ont arraché son portefeuille. Des badauds les ont appréhendés avant de les confier à la police.
La première intention n’était pas de soutirer les effets personnels de leur victime. Il était 21h15, rue Louis Nadot, à Pantin, (Seine-Saint-Denis). Une voie située tout près du canal de l’Ourcq sur la rive droite, à proximité des bureaux de la prestigieuse maison Chanel. La victime, un jeune majeur, « sortait d’un entretien d’embauche », selon ses premières déclarations, quand les deux agresseurs lui seraient tombés dessus.
L’entraînant derrière un camion, l’un d’eux faisait le guet pendant que son comparse baissait le pantalon du jeune homme et tentait de le sodomiser, toujours d’après les déclarations du plaignant. Une intention qu’il n’aurait pas pu mener à son terme. Par dépit, les assaillants auraient volé son téléphone.
(…) Les auteurs présumés, âge de 18 et de 16 ans, ont été placés en garde à vue pour tentative de viol et vol avec violences commis en réunion.
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