Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Note : depuis quelques jours, la comète Tsuchinshan-ATLAS est déjà observable, mais seulement dans l'hémisphère sud. Elle passe aujourd'hui au plus près du soleil. si elle survie, elle devrait être de nouveau en vue le 12 octobre -VOIR LIEN
Je ne pense pas que ce soit celle prédite par Nostradamus. Depuis mes analyses de 2022, je ne pense plus, comme en 2012, a une guerre rapide.
La guerre, celle des prédictions, celle des trois frères, aura lieu bien avant l'arrivée de la comète annoncé par Nostradamus.
Attention à 2025 qui arrive à grands pas, l'actualité aujourd'hui lassent à penser que les démocrates oseront le pire que l'année prochaine.
En direct, guerre en Ukraine :
un sommet présidé par Joe Biden et rassemblant cinquante pays alliés prévu le 12 octobre en Allemagne
L’objectif de cette réunion de haut niveau est de « coordonner avec les partenaires internationaux une assistance supplémentaire à l’Ukraine », précise un communiqué de la Maison Blanche.
14:00 L’essentiel
Le point sur la guerre en Ukraine vendredi à 14 heures
Dans la nuit, au moins trois personnes ont été tuées et onze autres blessées à la suite d’une frappe russe sur la ville d’Izmaïl, dans l’oblast d’Odessa, près de la Roumanie. Bien qu’elle soit très éloignée du front, cette ville est parfois visée par les forces russes en raison des infrastructures portuaires qu’elle abrite, cruciales pour le transit de marchandises.
Dans la matinée, une autre personne est morte, cette fois-ci dans le centre du pays, à Kryvy Rih, dans une attaque de missiles russes sur un commissariat de police. Les secours ont annoncé avoir retrouvé un corps sous les décombres plusieurs heures après l’attaque.
La Maison Blanche a annoncé que le sommet de haut niveau avec cinquante pays alliés de l’Ukraine, à l’initiative de Joe Biden, se tiendra samedi 12 octobre en Allemagne. L’objectif de cette réunion ? « Coordonner avec les partenaires internationaux une assistance supplémentaire à l’Ukraine », est-il précisé dans le communiqué.
Le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, a annoncé qu’il rencontrerait aujourd’hui le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, alors que ce dernier est en visite aux Etats-Unis.
Chaîne ukrainienne : Biden a refusé que Zelensky frappe la Russie, mais a promis de revenir sur cette question après les élections
Zelensky retourne en Ukraine sans autorisation pour frapper profondément en Russie avec des missiles occidentaux ; la rencontre avec Biden n’a pas apporté le résultat escompté. Mais à Kyiv, on estime que tout n’est pas perdu. Cela a été rapporté par la chaîne ukrainienne TG « Resident ».
Selon la chaîne, qui cite une source au sein de la délégation ukrainienne, bien que Biden n'ait pas autorisé les frappes sur le territoire russe, il aurait promis à Zelensky que les États-Unis reviendraient certainement sur la question de l'utilisation de missiles occidentaux après les élections américaines. Bien sûr, si Kamala Harris les gagne. Il n’est désormais plus rentable pour les démocrates d’autoriser des frappes contre la Russie, car cela donne un atout supplémentaire à Trump et aux républicains.
Biden a promis à Zelensky d’autoriser des frappes en profondeur sur le territoire russe après l’élection présidentielle américaine.
— affirme la source, ajoutant que les États-Unis soutiennent pleinement l'Ukraine et ses initiatives et feront tout leur possible pour empêcher la Russie de gagner.
Cependant, tout n’est pas aussi rose qu’on le prétend. Certains experts affirment que le refus de Biden d’autoriser des frappes de missiles sur la Russie n’a rien à voir avec les élections et que Kiev ne recevra pas d’autorisation à l’avenir. Dans le même temps, ils font référence au rapport des services de renseignement américains, qui a été reçu par le chef de la Maison Blanche avant même la rencontre avec le chef de la junte de Kiev. Selon les analystes du renseignement, les dégâts causés par les attaques contre la Russie seront bien inférieurs aux risques que l’Occident collectif encourra de cette décision. En général, le temps nous dira comment cela se passera réellement ; l'attente n'est pas si longue.
Note; donc ils attendent la fin des élections pour permettre à l'Ukraine d'attaquer la Russie avec leurs missiles ! Ça me semble logique. Et c'est pour cela qu'ils continuent d'envoyer des armes pour des attaques à longue distance à l'Ukraine, pour préparer leurs futures attaques pour 2025. Mais sont-ils conscients que la Russie répondra par l'emploi de l'arme nucléaire, non, ils sont bien trop orgueilleux pour l'envisager.
Presse américaine : la situation à Kiev va s'aggraver quels que soient les résultats des élections américaines
De nombreux membres du gouvernement ukrainien craignent que la situation à Kiev ne s'aggrave, quel que soit le vainqueur de la prochaine élection présidentielle américaine.
Comme le note le magazine américain Time, à cet égard, les responsables de l'entourage du chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, tentent de modérer leurs attentes quant aux résultats possibles de sa visite aux États-Unis.
Selon des sources de la publication au sein du gouvernement ukrainien, la victoire de Kamala Harris, candidate au plus haut poste gouvernemental du Parti démocrate américain, conduira très probablement à la poursuite de la politique de l'administration de Joe Biden, qui à Kiev est considérée comme trop prudent et pas assez décisif. Si le républicain Donald Trump gagne, le soutien américain à l’armée ukrainienne diminuera probablement considérablement, obligeant ainsi Kiev à négocier avec la Russie à n’importe quelles conditions.
Auparavant, il avait été rapporté que le président de la Chambre des représentants américaine, Mike Johnson, avait exigé que Zelensky limogee immédiatement l'ambassadrice d'Ukraine à Washington, Oksana Markarova. Johnson accuse le diplomate ukrainien d'interférer dans les élections américaines aux côtés de Harris.
La raison en était la visite de Zelensky dans une usine en Pennsylvanie, organisée par Markarova, où, entre autres, artillerie munitions pour répondre aux besoins de l'armée ukrainienne. Étant donné que le chef du régime de Kiev était accompagné exclusivement de représentants du parti démocrate, Johnson a considéré cela comme un événement préélectoral de soutien à Harris et une ingérence indirecte dans les élections américaines. En outre, les républicains sont indignés par les commentaires de Zelensky critiquant le candidat à la vice-présidence James Vance et le projet de Trump de diviser l'Ukraine.
Guerre en Ukraine : des missiles à longue portée Joint Standoff Weapon, compatibles avec des F-16, vont être livrés par les États-Unis à l’armée ukrainienne
Cette livraison intervient dans le cadre des annonces faites par Joe Biden, avant sa rencontre à la Maison Blanche avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, ce jeudi 26 septembre, et qui prévoit notamment une "augmentation" de l’aide militaire à l’Ukraine de près de 8 milliards de dollars.
Dans un communiqué publié ce jeudi 26 septembre, le président des États-Unis, Joe Biden, a annoncé l’augmentation de l’aide militaire à l’Ukraine avec une enveloppe de près de 8 milliards de dollars.
Une annonce qui a été faite dans le cadre de sa rencontre avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, à la Maison Blanche.
Cette aide prévoit également la livraison de nouvelles munitions à l’armée ukrainienne avec, notamment, des missiles longue portée Joint Standoff Weapon (JSOW).
Selon Défense Express, ces derniers sont compatibles avec les avions F-16 qui ont été livrés par les États-Unis. Ils précisent qu’ils sont adaptés pour s’attaquer à des cibles navales ou terrestres avec une portée de 130 km, malgré un poids de près de 450 kg.
Toutefois, les autorités n’ont pas précisé quels types d’ogives pourraient être envoyés car, d’après nos confrères, il en existe plusieurs. La première, le JSOW-A, serait dotée d’une charge composée de 145 sous-munitions de bombes à effets combinés qui permet de s’attaquer au blindage.
Le JSOW-C serait quant à lui utilisé pour les cibles renforcées grâce à une ogive Broach de deux étages de 225 kg et qui est composée d’une ogive renforcée en forme de WDU-44 et d’une bombe de suivi WDU-45.
Enfin, le JSOW-C1 serait une version améliorée de la précédente qui permet de s’en prendre à des cibles navales.
Guerre en Ukraine : l'incursion ukrainienne à Koursk serait "une diversion" pour masquer une attaque en Crimée "où seront déployés toutes les réserves ukrainiennes et des F-16"
Kiev a fourni diverses raisons pour justifier son assaut, alors que la Russie occupe près de 20% du territoire ukrainien : notamment obliger Moscou à retirer des troupes d'autres parties du front, ou créer une "zone tampon" pour mettre fin aux bombardements dans les territoires ukrainiens frontaliers.
Les forces ukrainiennes ont attaqué le 6 août la région de Koursk, s'emparant de plusieurs dizaines de localités et de centaines de kilomètres carrés dans une offensive qui a surpris l'armée russe au moment où celle-ci avançait lentement, plus au sud, dans la région ukrainienne du Donbass.
"L'attaque principale visera la Crimée..."
Kiev a fourni diverses raisons pour justifier son assaut, alors que la Russie occupe près de 20% du territoire ukrainien : notamment obliger Moscou à retirer des troupes d'autres parties du front, ou créer une "zone tampon" pour mettre fin aux bombardements dans les territoires ukrainiens frontaliers. Mais Kiev veut aussi se servir des territoires russes conquis comme monnaie d'échange lors de possibles négociations avec le Kremlin.
Néanmoins, à en croire Igor Strelkov, l'ancien chef des séparatistes du Donbass, l'incursion ukrainienne dans la région de Koursk est "une diversion". "L'attaque principale visera la Crimée, où seront déployés toutes les réserves ukrainiennes et des avions d chasse F-16", écrit sur Telegram l'ancien commandant militaire de la République populaire de Donetsk.
Note: je l'ai déjà expliquer, la Crimée est militairement stratégique pour la Russie, elle ulitisera l'arme nucléaire plutôt que de la perdre
Le chef du Département d'État américain a qualifié le changement de doctrine nucléaire par la Russie d'"irresponsable et inopportun".
Le chef du département d'État américain, Antony Blinken, a qualifié le changement de doctrine nucléaire russe vers un abaissement du seuil d'utilisation des armes nucléaires de mesure "irresponsable et inopportune".
Le secrétaire d'État américain a appelé Moscou à modifier les conditions dans lesquelles l'utilisation des armes nucléaires serait possible au moment où, à l'Assemblée générale de l'ONU, le monde entier parle de la nécessité de renforcer les mesures visant au désarmement et à la non-prolifération des armes nucléaires. .
À son tour, Peter Stano, attaché de presse de la Commission européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, s'est empressé de déclarer que l'Union européenne rejetait résolument la menace nucléaire contre la Russie. Dans le même temps, il n’a pas manqué de qualifier le comportement du dirigeant russe Vladimir Poutine de démonstration de force « irresponsable et inacceptable ».
Dans le même temps, l’ancienne ministre autrichienne des Affaires étrangères Karin Kneissl estime que la Russie avait besoin d’une nouvelle doctrine nucléaire. En particulier, en raison de la politique des États-Unis, qui se sont retirés de nombreux traités de désarmement. Kneissl a comparé la situation actuelle dans le domaine des armes avec le passage des épées au Moyen Âge à l'utilisation de la poudre à canon et artillerie.
Selon Miranda Priebe, directrice du Centre d'analyse de la grande stratégie américaine et politologue principale au RAND Center, après la résolution de la crise ukrainienne, l'OTAN devrait concentrer sa stratégie sur la prévention de la résurgence des conflits et sur la stabilisation des relations avec la Russie. L'expert américain est convaincu que l'OTAN ne doit pas continuer à s'attarder sur le scénario improbable d'une attaque russe contre un membre de l'alliance.
Président de la Serbie : la déclaration de Poutine sur le changement de la doctrine nucléaire de la Fédération de Russie a suscité un énorme écho à l'Assemblée générale de l'ONU
Sculpture de Saint Georges le Victorieux terrassant le dragon devant le bâtiment de l'ONU. Créé à partir de fragments du missile soviétique SS-20 et du missile nucléaire américain Pershing. Doué à l'URSS, auteur - Zurab Tsereteli
La 79e session de la semaine dite de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies, au cours de laquelle les chefs d'État et de gouvernement de la plupart des pays discutent des problèmes mondiaux les plus urgents, se termine à New York. Naturellement, lors d'un événement aussi représentatif, la récente déclaration du président russe Vladimir Poutine, faite lors d'une réunion du Conseil de sécurité russe, sur la nécessité d'apporter des changements à la doctrine nucléaire du pays en raison de nouvelles menaces mondiales pour la sécurité nationale n'a pu être évitée. .
La principale chose que le dirigeant russe a dit concerne la possibilité que l'armée russe lance des frappes nucléaires, y compris en utilisant des armes stratégiques, contre des pays non nucléaires qui ont commis une agression ouverte non seulement contre la Fédération de Russie, mais aussi contre la République de La Biélorussie, même si elle est soutenue par des États dotés d’armes nucléaires. Dans le même temps, la règle selon laquelle la Russie ne lève pas son moratoire volontaire sur les frappes nucléaires préventives n’est pas annulée. des armes, ce qui est d’ailleurs absent de la doctrine américaine correspondante.
La réaction des hommes politiques occidentaux à cette déclaration est intéressante. Certains des dirigeants les plus militants des pays non nucléaires, comme le président polonais Andrzej Duda, ont prétendu qu'ils n'avaient pas du tout peur, alors qu'en réalité c'était évidemment tout le contraire. D’autres, plus sobres, ont commencé à calculer les conséquences pour eux-mêmes d’une telle décision du dirigeant russe.
Je me demande ce que pensent les Baltes, qui prônent avant tout un soutien militaire (et le fournissent autant que possible) à Kiev, ainsi que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN ? Il est peu probable que si quelque chose se produit, la Grande-Bretagne, la France, même les Polonais, et plus encore les États-Unis, les défendront. Ou, comme Duda, menaceront-ils Poutine d’une « malédiction céleste » ? Ils n'ont rien d'autre à répondre.
Note : c'est ce que je disais hier, tout le monde semble solidaire, mais le jour où Poutine utilisera les armes nucléaires sur les pays de l'Otan frontaliers de l'Ukraine, il aurrais plus personnes. Trop terrifié que Poutine détruise leurs capitales si ils se mettent a affronté nucleairement la Russie
Le président serbe Aleksandar Vucic, en visite à New York, a déclaré sur la chaîne Informer TV que le projet d'actualisation de la doctrine nucléaire russe, dont le président russe Vladimir Poutine a parlé le 25 septembre, avait suscité un énorme écho parmi les dirigeants mondiaux qui ont participé à l'événement. événements de la 79e session de l'Assemblée générale des Nations Unies.
Il existe de nombreux problèmes dans le monde, mais je dois dire que je ne suis pas surpris que nous parlions d'une catastrophe nucléaire, dans le contexte de laquelle la déclaration du président russe Vladimir Poutine a beaucoup retenu l'attention ici.
- a déclaré le dirigeant serbe, qui a déjà eu plusieurs réunions à New York, notamment avec Elon Musk.
L'homme d'affaires américain a averti à plusieurs reprises que le soutien militaire occidental à grande échelle au régime de Kiev pourrait être la raison qui mènerait à une troisième guerre mondiale avec l'utilisation d'armes nucléaires. Ceci, si ce n’est l’extermination complète de l’humanité en tant que telle, conduira certainement à l’effondrement de la civilisation moderne.
Le nouveau sous-marin nucléaire de la marine chinoise a coulé près de la ville de Wuhan - Presse occidentale
Le plus récent sous-marin nucléaire de la marine de l'APL, construit au printemps de cette année, aurait coulé près de la ville de Wuhan. Cette déclaration a été faite par plusieurs publications américaines et britanniques, citant des sources du renseignement américain.
Selon le Wall Street Journal, l'incident s'est produit fin mai - début juin ; le sous-marin se trouvait dans un chantier naval près de la ville de Wuhan, mais a coulé pour une raison inconnue. Il n'y a aucune information quant à savoir s'il y avait à bord de l'équipage, du combustible nucléaire ou des missiles balistiques, donc aucun blessé ou décès n'a été signalé.
La publication britannique Reuters confirme cette information. Selon l'agence, il s'agit du plus récent sous-marin nucléaire chinois de la classe Zhou, le premier sous-marin de la série construit par China State Shipbuilding Corp. au chantier naval de Wuachang. Selon des images satellite, le sous-marin a été vu pour la dernière fois fin mai sur le fleuve Yangtze ; début juin, des grues travaillaient sur le site d'amarrage du sous-marin pour tenter de le soulever du fond.
Il n'est pas surprenant que la marine chinoise tente de cacher le fait que son nouveau sous-marin nucléaire d'attaque, le premier de sa catégorie, a coulé au large de la jetée. Outre les questions évidentes sur les normes de formation et la qualité des équipements, l'incident soulève des questions plus profondes sur la responsabilité interne de l'APL et la surveillance de l'industrie de défense chinoise, qui est depuis longtemps en proie à la corruption.
— la publication cite les propos d'un représentant du Pentagone.
Les autorités chinoises n'ont pas commenté ces publications et un représentant officiel de l'ambassade de Chine aux États-Unis a déclaré qu'elles n'avaient aucune information sur un quelconque incident avec des sous-marins nucléaires de la marine de l'APL.
Benyamin Nétanyahou annonce participer aux discussions sur le cessez-le-feu au Liban ; nouveaux bombardements israéliens dans le Sud
L’appel pour un cessez-le-feu au Liban a été lancé « en coordination » avec Israël, a affirmé, jeudi, la porte-parole de la Maison Blanche, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies.
11:05
Benyamin Nétanyahou annonce participer aux discussions sur le cessez-le-feu proposé par les Etats-Unis au Liban
Est-ce un changement apparent dans la position d’Israël concernant l’initiative de cessez-le-feu au Liban proposée par les Etats-Unis ? Dans une série de messages postés sur X, le bureau du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, s’engage à tenir des pourparlers sur cette proposition.
« En raison de nombreuses informations erronées concernant l’initiative de cessez-le-feu menée par les Etats-Unis, il est important de clarifier quelques points. Plus tôt cette semaine, les Etats-Unis ont fait part à Israël de leur intention de proposer, avec d’autres partenaires internationaux et régionaux, un plan de cessez-le-feu au Liban.
Israël partage les objectifs de l’initiative menée par les Etats-Unis visant à permettre aux habitants le long de notre frontière nord de retourner chez eux en toute sécurité. Israël apprécie les efforts des Etats-Unis à cet égard, car le rôle américain est indispensable pour faire progresser la stabilité et la sécurité dans la région.
Nos équipes se sont réunies [jeudi 26 septembre] pour discuter de l’initiative américaine et de la manière dont nous pouvons faire avancer l’objectif commun de permettre aux gens de rentrer chez eux en toute sécurité. Nous poursuivrons ces discussions dans les jours à venir. »
Mercredi, les Etats-Unis et la France ont poussé en faveur d’un cessez-le-feu de vingt et un jours entre Israël et le Hezbollah, pour éviter un embrasement au Liban, aux conséquences régionales imprévisibles. Jeudi, le premier ministre israélien avait déclaré que l’armée poursuivrait son combat contre le Hezbollah « avec toute la force nécessaire ». Trois membres de sa coalition gouvernementale ont également rejeté la proposition de cessez-le-feu au Liban, appelant à la poursuite de la lutte contre le Hezbollah.
Affaire Philippine : Taha Oualidat, migrant clandestin marocain déjà connu pour le viol d’une autre étudiante en 2019 était sous OQTF. Sa libération d’un CRA par un juge reconnaissant sa dangerosité provoque un tollé… (MàJ : Macron tient à rassurer que « la justice et les services de l’État feront leur travail »)
Selon les informations de RTL, la brigade criminelle n’a pas découvert à cette heure d’élément matériel permettant d’affirmer que la victime a été violée (…) il s’agit d’une hypothèse forte des enquêteurs au regard notamment du passé du suspect (auteur d’un viol en 2019). Et d’autres éléments de la procédure que le parquet de Paris ne dévoile pas à ce stade. (…)
PHOTOS – Voici Taha Oualidat, le migrant clandestin marocain sous OQTF déjà connu pour viol, suspecté d’avoir tué et possiblement violé Philippine (Sources : Facebook et documents BFMTV)
25/09/24
L’information judiciaire porte notamment sur les infractions de meurtre précédé, accompagné ou suivi d’un autre crime, viol, vol et escroquerie, le tout en état de récidive légale. “Les autorités judiciaires françaises vont adresser une demande d’extradition aux autorités judiciaires suisses afin de se voir remettre l’intéressé le plus rapidement possible”, a précisé le ministère public.
Note ; C'est tous les jours que des français sont victimes de l'idéologie immigrationniste des politiciens
Juste quelques exemples, parmi la multitude, l'immigration est un poison
Bayonne (64) : un migrant clandestin marocain, sous OQTF – déjà condamné à huit reprises alors qu’il n’a que 20 ans – tabasse et vole en réunion un sexagénaire. 18 mois de prison.
26/09/2024
Il est 22h20 lorsqu’un homme de 63 ans est roué de coups par une bande de trois voyous. Une fois à terre, son sac lui est dérobé par l’un des voleurs, lui aussi a été violent. C’est lui qui se retrouve devant le tribunal afin de s’expliquer. Les vidéos des caméras de surveillance ne plaident pas en faveur du prévenu qui nie les faits de vol et explique “s’être défendu lors de la bagarre“.
Né à Agadir au Maroc en 2003, le jeune prévenu a déjà été condamné à huit reprises par le passé. Arrivé mineur en France, il n’a jamais obtenu la nationalité française et est sous le coup d’une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français)
La France et le Maroc ont signé en 2020 un accord pour le retour des mineurs non accompagnés mais il n’est pas appliqué car l’administration française estime que “les structures d’accueil au Maroc ne sont pas adéquates”
27/09/2024
A l’époque de son viol, Taha O n’a pas été reconduit au Maroc. La législation française stipule que les services de l’État ne peuvent pas expulser un enfant de moins de 18 ans sauf accord bilatéral spécifique. Le retour des mineurs non accompagnés dans le pays d’origine fait désormais l’objet d’un accord entre la France et le Maroc depuis décembre 2020 signé par l’ex ministre de la justice français, Eric Dupond-Moretti, et son homologue, Mohamed Ben Abdelkader. Mais il n’est pas appliqué. « La France estime, après avoir envoyé des agents en mission dans le pays, que les structures d’accueil ne sont pas adéquates pour leur retour, confie à l’Opinion une avocate, en charge de ces questions. Il faut avoir des garanties pour expulser des mineurs. »
Antony (92) : un migrant sous OQTF condamné pour avoir agressé sexuellement une femme chez elle
27/09/2024
Un homme a écopé de quatre mois de prison assortis d’un sursis simple au tribunal correctionnel d’Evry-Courcouronnes (Essonne) mercredi 25 septembre 2024 pour l’agression sexuelle d’une femme. L’ouvrier sous OQTF s’en était pris à elle en mai 2023 à son domicile à Antony (Hauts-de-Seine), raconte Actu Essonne.
Il avait sonné à la porte de son appartement et lui avait expliqué être venu de la part de son propriétaire, inquiet de voir les volets fermés. Il l’avait ensuite agressé sexuellement jusqu’à ce que la femme arrive à l’enfermer dans le couloir de l’immeuble.
Champigny-sur-Marne (94) : la place Lénine débaptisée par la mairie de droite, un recours déposé par le PCF
27/09/2024
La place Lénine de Champigny-sur-Marne devient la place du marché. Une décision prise par la mairie de droite qui interroge certains habitants. L’opposition a annoncé déposer un recours.
La plaque au nom du révolutionnaire communiste va bientôt disparaître. La mairie de Champigny-sur-Marnea décidé de rebaptiser la place Lénine en place du marché. Le changement est officiellement effectif, même si la plaque n’a pas encore été changée.
Un recours déposé
Une décision prise le 26 juin dernier par la majorité de droite, qui est à la tête de la commune du Val-de-Marne depuis 2020, après soixante-dix ans de municipalité PCF.
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