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Les Infos du 9 aout 2024
En direct, guerre en Ukraine :
la Russie annonce l’envoi de renforts militaires dans l’oblast de Koursk pour contrer l’incursion ukrainienne
Le territoire russe est la cible d’une offensive ukrainienne pour le quatrième jour consécutif. Moscou a annoncé déployer davantage de moyens militaires.
Selon Forbes, la 80ème brigade d’assaut aérien de l’armée ukrainienne opère sur le territoire russe, dans ce que le magazine qualifie « d’invasion »
Dans un article publié jeudi, le magazine américain Forbes affirme que parmi les combattants qui ont pénétré le territoire russe mardi figure ceux de la 80ème brigade d’assaut aérien de l’armée ukrainienne. Les affirmations du magazine reposent notamment sur une vidéo postée sur Telegram montrant différents types de véhicules militaires, attribué à la brigade.
Une autre vidéo, relayée sur X par un journaliste du magazine allemand Bild, montre une vidéo présentée comme enregistrée par un drone russe, filmant des chars allemands de type « Marder », dont dispose la fameuse brigade.
Comptabilisant plusieurs milliers de soldats participant à l’incursion, le magazine américain va jusqu’à qualifier l’opération « d’invasion ». Le magazine cité également le rapport quotidien du Center for Defence Strategies (CDS, un groupe de réflexion basé à Kiev) qui estime que « retard notable dans la prise de décision du commandement [russe](…) pointe une mauvaise évaluation de la nature probable des actions des forces ukrainiennes ».
A ce jour, l’incursion de l’armée dans la région frontalière de Koursk, passée sous silence dans l’allocution de Volodymyr Zelensky de jeudi soir, n’a toujours pas été revendiquée par les autorités ukrainiennes.
Le point sur la situation vendredi 9 août à 14 heures
- Les combats font rage vendredi dans la région russe de Koursk, où l’armée ukrainienne a lancé une offensive d’ampleur surprise il y a trois jours et mené dans la nuit des attaques de drones, qui ont également visé d’autres régions du pays.
- La Russie a affirmé déployer davantage de matériel militaire pour contrer cette incursion ukrainienne. « Les colonnes avançant vers les zones où les tâches sont exécutées sont équipées de lance-roquettes multiples BM-21 Grad, de pièces d’artillerie remorquées, de chars (…), d’équipements lourds à chenilles, de véhicules Ural et KamAZ », a énuméré le ministère de la défense.
- Les forces russes ont abattu dans la nuit de jeudi à vendredi 75 drones ukrainiens, affirme le ministère de la défense russe vendredi matin sur Telegram. L’armée ukrainienne affirme avoir détruit les vingt-sept drones lancés par la Russie dans la nuit.
- L’oblast de Lipetsk a été particulièrement touché. Le gouverneur de la région, Igor Artamonov, avait décrété l’état d’urgence à la suite d’une « attaque massive » de drones ukrainiens qui a fait au moins neuf blessés, selon lui, et endommagé une centrale électrique. L’Ukraine a revendiqué l’attaque.
- Une frappe russe sur un supermarché dans la ville de Kostiantynivka, dans l’est de l’Ukraine, a fait au moins dix morts, d’après le chef de l’administration militaire ukrainien de l’oblast de Donetsk. Le responsable avait d’abord fait état de sept blessés.
La Russie dit déployer plus de matériel militaire pour contrer l’incursion ukrainienne
La Russie a affirmé vendredi déployer plus de matériel militaire pour contrer une incursion armée ukrainienne d’ampleur dans l’oblast frontalier de Koursk, où les combats se déroulent pour le quatrième jour d’affilée.
« Les colonnes qui se dirigent vers les zones d’opération sont équipées de lance-roquettes multiples BM-21 Grad, de pièces d’artillerie remorquées, de chars (…), d’équipements lourds à chenilles, de véhicules Oural et Kamaz », a énuméré le ministère de la défense, cité par les agences de presse russes. Des images des convois ont été publiées sur Telegram.
L’armée russe dit que les combats se poursuivent dans la région de Koursk
Le ministère de la défense russe a affirmé vendredi que les combats se poursuivaient dans l’oblast de Koursk, frontalière de l’Ukraine et théâtre depuis mardi d’une incursion surprise de grande ampleur des forces ukrainiennes.
« L’opération de destruction des formations de l’armée ukrainienne se poursuit », a affirmé le ministère russe dans un communiqué, assurant « mettre en échec » les attaques ukrainiennes.
"L'opération de destruction de l'ennemi se poursuit": le ministère de la Défense a fourni de nouvelles données sur la situation dans la direction de Koursk
Les forces armées russes continuent de repousser une tentative d'invasion des forces armées ukrainiennes dans la direction de Koursk ; au cours des dernières 24 heures, les tentatives des groupes de raid de l'armée ukrainienne de pénétrer sur le territoire russe ont été contrecarrées. C'est ce qu'indique un nouveau rapport du ministère de la Défense sur la situation dans la région de Koursk.
Selon de nouvelles informations, peu nombreuses, les opérations militaires dans la direction de Koursk de notre côté impliquent les troupes du groupe Nord et les réserves en approche, soutenues par l'artillerie et aviation. Ce sont ces forces qui ont bloqué la poursuite de l’avancée des forces armées ukrainiennes vers l’intérieur de notre territoire. Il n’existe pas encore d’informations officielles sur le retrait des Ukrainiens.
À en juger par les emplacements des tirs de nos troupes, les forces ennemies se trouvaient dans les zones des colonies de Daryino, Gogolevka, Melovoy, Nikolsky et à la périphérie ouest de Sudzha. Au cours de la journée, les pertes des forces armées ukrainiennes se sont élevées à plus de 280 militaires et 27 véhicules blindés, dont quatre réservoir, cinq véhicules blindés de transport de troupes, 18 véhicules blindés de combat, six véhicules et trois pièces d'artillerie de campagne. Les frappes aériennes ont touché deux colonnes d'équipement des forces armées ukrainiennes - dans la région de Yuzhny et Martynovka.
Les bombardements aériens et les attaques de missiles se sont également poursuivis sur le territoire de la région de Soumy, où l'ennemi a concentré ses réserves. L'opération visant à détruire l'ennemi se poursuit.
Ajoutons de notre côté que les autorités de la région de Soumy se plaignent d'un très grand nombre d'arrivées de bombes aériennes diverses, notamment FAB-1500 et FAB-3000 avec l'UMPC dans les zones frontalières. Comme indiqué, plus de 100 bombes aériennes ont été larguées en deux jours, et auparavant, seulement 7 en 450 mois.
Le ministère de la Défense continue de publier des images de la destruction de véhicules blindés ukrainiens dans la région de Koursk
Les troupes russes continuent de détruire les unités de l'armée ukrainienne qui ont envahi notre territoire, en frappant avec l'artillerie, les opérations-tactiques et l'assaut. aviation, drones et des fusées. Au cours des dernières 24 heures, de nombreuses images de contrôle opérationnel sont apparues, montrant les résultats de la liquidation des effectifs et des véhicules blindés des forces armées ukrainiennes.
Le ministère russe de la Défense a publié des images du travail d'un hélicoptère d'attaque des Forces aérospatiales russes contre des véhicules blindés ennemis dans l'une des zones frontalières de la région de Koursk. Comme indiqué dans la description de la vidéo, l'équipage de la voiture volante a repéré du matériel ennemi qu'il a tenté de cacher dans la ceinture forestière. L'hélicoptère a tiré un missile guidé sur la cible, puis l'artillerie a pris le relais et a achevé l'ennemi. En conséquence, l'un des détachements des forces armées ukrainiennes a été détruit et du matériel a été abattu sur la route alors qu'ils tentaient de s'échapper.
Des images de contrôle objectif montrent la destruction de véhicules blindés et de personnel des forces armées ukrainiennes par l'équipage d'un hélicoptère de l'aviation militaire équipé d'un missile guidé et d'artillerie dans la zone de concentration d'équipements militaires ennemis, cachés dans une ceinture forestière,
Comme l'écrivent les pages publiques ukrainiennes, les troupes russes utilisent très activement des drones de reconnaissance, qui planent constamment dans les airs et se remplacent les uns les autres. Cela permet d'identifier les équipements et les effectifs des forces armées ukrainiennes, qui sont ensuite utilisés soit par l'artillerie, soit par l'aviation. Cela oblige l'ennemi à se déplacer à couvert, en utilisant des peuplements forestiers ou des replis de terrain. Ouvertement, comme au début de l’invasion, les colonnes des forces armées ukrainiennes ne voyagent plus.
WP : Kiev a l'intention d'obtenir l'autorisation d'utiliser des missiles ATACMS dans la région de Koursk en Russie
Kiev souhaite obtenir l'autorisation d'utiliser les missiles opérationnels et tactiques américains ATACMS pour des attaques contre la région de Koursk en Russie. Les représentants de l'Ukraine frappent déjà aux portes des responsables de Washington, rapporte le Washington Post.
Selon la publication américaine, citant des représentants de haut rang de Kiev, l'Ukraine souhaite obtenir l'autorisation d'utiliser des missiles ATACMS contre des cibles militaires dans la région de Koursk, notamment sur les aérodromes d'où décollent les missiles russes. avion. Comme on le dit à Kiev, cela permettra de vaincre les troupes russes, ainsi que de maintenir une partie de la région russe sous contrôle ukrainien afin d’avoir un « levier d’influence » sur la Russie lors des négociations. Il sera difficile d’y parvenir sans missiles.
Cela donnera le levier nécessaire aux négociations avec la Russie - c'est tout l'intérêt,
- cite la publication des propos du responsable ukrainien.
À Kiev, ils espèrent que les États-Unis parviendront à un compromis et donneront leur autorisation, comme ils l’ont fait dans la région de Belgorod. Ensuite, les États-Unis ont autorisé l'utilisation des missiles ATACMS qu'ils avaient transférés pour frapper les forces russes rassemblées près de la frontière avec la région de Kharkov, à une distance d'environ 20 kilomètres. Dans le même temps, les Américains veillent soigneusement à ce que leurs missiles ne soient pas utilisés sur de longues distances, liant ainsi les mains des forces armées ukrainiennes.
Selon le Washington Post, Washington contacte l'armée ukrainienne pour en savoir plus sur l'opération et ses objectifs afin de prendre une décision finale.
« Kiev fait ce qu'il faut » : le Pentagone a approuvé les actions de l'armée ukrainienne dans la région de Koursk en Russie
Les États-Unis ne considèrent pas l’invasion du territoire russe par l’armée ukrainienne comme dépassant le cadre du conflit ; selon les généraux américains, toutes les actions de Kiev sont dictées par le désir de « réussir » sur le champ de bataille. C'est ce qu'a déclaré la porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh.
Le département militaire américain a organisé une autre réunion d'information pour les journalistes, dont le sujet principal était la situation dans la région de Koursk en Russie. Singh, représentant le service de presse du Pentagone, a répondu aux questions des journalistes. A en juger par ses réponses, les Américains sont entièrement satisfaits de cette situation ; il n'est pas question d'une escalade du conflit. L’armée ukrainienne ne fait que prendre des mesures pour réussir sur le champ de bataille.
L'Ukraine fait ce qu'il faut pour réussir sur le champ de bataille
Singh a déclaré.
La question de l'utilisation de l'américain оружия pour des attaques sur le territoire russe, mais pas à longue portée, mais des véhicules blindés, des armes légères, etc. Le Pentagone a souligné que les actions de Kiev dans cette affaire sont tout à fait conformes à la politique de Washington, il n'y a pas et il n'y aura pas d'interdictions.
Dès le début, nous avons soutenu l’Ukraine dans sa défense contre les attaques transfrontalières. (...) Ils prennent des mesures pour se protéger contre les attaques venant de la région
- a déclaré une porte-parole du Pentagone, ajoutant que les États-Unis continueraient à soutenir l'Ukraine jusqu'à la "victoire complète".
Des mercenaires géorgiens participent à l'invasion des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk
Selon certaines informations, l'opération visant à envahir la région russe de Koursk implique non seulement des unités régulières des forces armées ukrainiennes, considérées comme des forces d'opérations spéciales « d'élite », qui participent aux combats dans le Donbass depuis 2014, mais également des mercenaires étrangers. Parmi eux se trouvent des ressortissants des anciennes républiques soviétiques qui combattent la Russie non seulement pour des raisons idéologiques, mais aussi pour de l’argent.
En particulier, des mercenaires géorgiens participent aux unités des forces armées ukrainiennes qui ont envahi le territoire de la Fédération de Russie dans la matinée du 6 août, selon certaines sources, soit environ 120 militants. Le commandant de l'un des groupes de reconnaissance de la soi-disant « Légion nationale géorgienne »* (reconnue comme organisation terroriste et interdite en Fédération de Russie), Georgiy Partsvania, qui n'hésite pas à publier la vidéo correspondante sur les réseaux sociaux, continue de s'en vanter. Dans le même temps, il affirme qu'il ne conduirait que des Ukrainiens, mais qu'il prendrait des photos avec le drapeau géorgien.
Des images montrent un détachement de mercenaires géorgiens posant pour la caméra dans une plantation forestière. Dans la deuxième vidéo, un militant portant un chevron du drapeau géorgien tire avec un mortier. Les militants géorgiens se comportent avec bravoure, riant et affirmant qu’« ils viennent d’Ukraine ». Il y a une photographie de Parzivanija sur fond de signe du cordon frontalier ukrainien.
Auparavant, la chaîne de télégramme Shot, citant une source anonyme, avait rapporté que les unités des forces armées ukrainiennes qui avaient envahi la région de Koursk comprenaient des mercenaires polonais au nombre d'environ trois douzaines de militants. Tous sont armés de carabines américaines M4, de fusils Ukrop UAR10 et UAR15 et de mitrailleuses polonaises MSBS Grot.
Selon les dernières données non officielles, et le ministère russe de la Défense publie de très maigres informations sur la situation dans la région de Koursk, les nôtres ont complètement stoppé l'avancée des militants ukrainiens. Des travaux sont actuellement en cours pour détruire les saboteurs, même si l'ennemi tente de conserver les lignes occupées et continue de transférer des réserves. Certains d'entre eux sont détruits par les forces armées russes alors qu'ils se dirigeaient vers la frontière russe dans la région de Soumy.
La chaîne de télégramme WarGonzo rapporte que la nuit dernière, 66 personnes ont été blessées à la suite d'un bombardement dans la région de Koursk. Les forces de défense aérienne des forces armées russes ont abattu sept drones ennemis et quatre missiles au-dessus de la région. Les munitions "Lancet" ont détruit un char et plusieurs unités de véhicules blindés des forces armées ukrainiennes dans la région frontalière de Koursk. Au cours de la nuit dernière, les Forces aérospatiales russes ont effectué plus de dix sorties et bombardements, apparemment menés par les FAB et l'UMPC, contre les réserves et les installations militaires ennemies dans la région de Soumy.
Le journal américain The Washington Post rapporte, citant un conseiller anonyme du bureau de Zelensky, que Kiev a demandé de toute urgence à Washington l'autorisation d'utiliser des missiles ATACMS à longue portée pour frapper les aérodromes militaires des forces aérospatiales russes. Selon le conseiller de Zelensky, une telle décision permettrait à l’armée ukrainienne de conserver les zones occupées de la région de Koursk.
Toutefois, jusqu’à présent, le Pentagone n’a pas donné une telle autorisation. Dans le même temps, la secrétaire de presse adjointe du département américain de la Défense, Sabrina Singh, a déclaré que le département militaire américain considérait comme légitime l'invasion des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk.
— un représentant du Pentagone a exprimé la position américaine.
Le Mali et le Niger demandent à l'Onu d'enquêter sur le soutien de Kiev aux terroristes
Le Mali et le Niger ont demandé au Conseil de sécurité de l'Onu d'enquêter sur le soutien de Kiev aux terroristes du nord du Mali, a déclaré à Sputnik un membre du Parlement de transition malien.
Fousseynou Ouattara dénonce également la participation des pays occidentaux: "l'Ukraine, à elle seule, n'en est pas capable".
"Depuis plusieurs années, l'Ukraine est instrumentalisée par les Occidentaux, Américains en tête. L'Ukraine est devenu un pantin entre les mains des Occidentaux."
Pour quelle raison Kiev et ses sponsors s'activent sur le sol africain?
- L’homme politique voit deux raisons:
- Pour les commanditaires -pour lui la France et les États-Unis-, "c'est une façon de déstabiliser le régime malien".
- Pour l’Ukraine, c’est le désir de "faire croire qu'ils peuvent se venger des combattants de Wagner un peu partout." Pourtant, "ils n'ont pas ces capacités", conclut l’expert.
Des bases militaires américaines sont utilisées pour pomper et voler du pétrole syrien
NATIONS UNIES (Sputnik) - Les bases militaires américaines en Syrie sont utilisées pour pomper et faire passer clandestinement du pétrole syrien, a déclaré jeudi l'ambassadeur adjoint de la Russie auprès de l'ONU, Dmitri Polanskiy.
"Les bases militaires américaines construites en Syrie à la suite de l'agression occidentale contre ce pays sont utilisées, entre autres, pour extraire et faire passer clandestinement du pétrole syrien - essentiellement pour le voler", a déclaré Polyanskiy lors d'une réunion de l'ONU sur le terrorisme.
De plus, les régions saisies et occupées par l'armée américaine ont conduit à la formation d'un « véritable ghetto terroriste » autour de leurs bases, a-t-il ajouté.
« La situation dans ces endroits n’est rien d’autre qu’une crise humanitaire et alimentaire », a déclaré Polyanskiy.
La Syrie est déchirée par un conflit depuis 2011. Certaines parties de l’Est, riche en hydrocarbures, sont contrôlées par les États-Unis et leurs alliés. Après 13 années d'instabilité, plus de la moitié de la population du pays a besoin d'une aide alimentaire, et des millions de personnes sont déplacées, selon les chiffres de l'ONU.
Les États-Unis ont refusé de quitter le pays après l’avoir envahi en 2016, au milieu de la guerre civile syrienne, sous prétexte de lutter contre les terroristes. Le gouvernement syrien a déclaré à plusieurs reprises qu'il considérait la présence des troupes américaines et turques sur son territoire comme un acte d'agression militaire et a exigé qu'elles se retirent immédiatement du pays.
Téhéran calmée par la pression de la Maison Blanche
Note : je nie croit pas du tous, par contre hier, j'ai donné une information selon laquelle la Russie à demander a l'Iran de ne rien faire pour l'instant.
Attention l'actualité de ces deux dernières années démontre que les russes (et les chinois) se sont fortement rapproché des pays musulmans, la prophétie d'Ézéchiel finira par se réaliser (Gog et Magog ou la chute d'Israël, selon la Bible )
Je reposte certaine de mes captures pour un rappel (et pour les nouvelles personnes qui me suivent).
"Les rois du nord alliés aux orientales", comme le prophétise Nostradamus
EN DIRECT - Tensions au Moyen-Orient :
deux combattants du Hezbollah tués au Sud-Liban
COMBATTANTS DU HEZBOLLAH TUÉS
Une source proche du Hezbollah a indiqué que deux combattants avaient été tués dans une frappe israélienne vendredi sur le sud du Liban, survolé par des drones israéliens diffusant des messages hostiles à la formation libanaise pro-iranienne.
Des violences quotidiennes opposent le Hezbollah et l'armée israélienne depuis le début de la guerre à Gaza en octobre, mais menacent de tourner à une guerre à large échelle après l'assassinat par Israël le 30 juillet du chef militaire de la formation libanaise. Les deux combattants ont été tués dans une frappe sur la localité côtière de Naqoura, proche de la frontière avec Israël, a précisé la source proche du Hezbollah.
"PARVENIR RAPIDEMENT" À UN ACCORD
Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a souligné l'importance de parvenir rapidement à un accord sur la libération des otages retenus par le Hamas dans la bande de Gaza, lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, Lloyd Austin. "Tout en œuvrant à la sécurité d'Israël, le ministre Gallant a souligné l'importance de parvenir rapidement à un accord qui garantira le retour des otages retenus par le Hamas à Gaza. Le ministre Gallant et le secrétaire d'État Austin ont convenu de l'urgence de cette question", apprend-on dans un communiqué.
Pour rappel, dans la nuit, Israël a accepté de reprendre le 15 août les discussions en vue d'une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, à la demande des médiateurs qatari, égyptien et américain.
LE POINT SUR LA SITUATION
- Israël a accepté hier de reprendre le 15 août les discussions en vue d'une trêve dans la bande de Gaza et d'une libération des otages par le Hamas. Une annonce intervenant après l'intervention des États-Unis, de l'Égypte et du Qatar qui ont prévenu les deux belligérants qu'il n'y a "plus de temps à perdre ni d'excuses" pour de nouveaux atermoiements.
- Hier, Israël a annoncé la révocation du statut diplomatique du personnel norvégien représentant la Norvège auprès de l'Autorité palestinienne. Il pointe du doigt un "comportement anti-israélien" d'Oslo qui a dénoncé une "action extrême" et convoqué une représentante israélienne en Norvège. "Aujourd'hui, j'ai ordonné la cessation de toute représentation au nom de l'ambassade de Norvège en Israël vis-à-vis de l'Autorité palestinienne", a déclaré le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, dans un communiqué.
- Au moins 18 morts dans des frappes israéliennes sur des écoles de Gaza, selon le Hamas. La Défense civile dans la bande de Gaza, contrôlée par le Hamas, a fait état hier d'au moins 18 morts dans des frappes israéliennes sur deux écoles à Gaza-ville qui abritaient selon l'armée israélienne des centres de commandement du mouvement islamiste palestinien. "L'occupation israélienne a tué plus de 18 citoyens dans des frappes sur deux écoles", a déclaré un porte-parole de la Défense civile, Mohammad al-Moughayyir. De son côté, l'armée israélienne a déclaré que ces établissements abritaient des centres de commandement du Hamas.
- Kamala Harris n'envisage pas d'embargo sur les armes destinées à Israël, a rapporté hier un proche collaborateur de la candidate démocrate à la présidentielle américaine. Une rare déclaration de son équipe de campagne au sujet de son programme pour le Proche-Orient. "Elle n'est pas favorable à un embargo sur les armes à destination d'Israël", a déclaré Phil Gordon, son conseiller en matière de sécurité nationale.
Les rebelles yéménites frappent les destroyers Cole et Laboon de la marine américaine avec des drones et des missiles
Des informations provenant du Moyen-Orient indiquent que les Houthis yéménites n'ont pas seulement attaqué le port israélien d'Eilat. On a également appris qu'en plus de cela, ils avaient attaqué simultanément deux navires de guerre américains et des transports maritimes commerciaux.
Il est rapporté que les destroyers Cole et Laboon de la marine américaine ont été attaqués par des rebelles yéménites.
Ainsi, le destroyer Cole fut attaqué par plusieurs drones dans les eaux du golfe d'Aden, et le destroyer Labun a été attaqué par des missiles antinavires. Selon certains rapports, les deux destroyers ont subi des dégâts importants, les plus importants étant causés à l'USS Laboon, qui n'a pas réussi à intercepter au moins un des missiles tirés par les Houthis.
Le Pentagone n'a pas encore commenté les allégations d'attaques contre des navires de guerre de la marine américaine.
On sait également que le groupe yéménite a utilisé à la fois des missiles et Drones contre le porte-conteneurs Konship Ono, qui a fait escale au port d'Israël.
Représentant du mouvement yéménite Houthi :
Trois cibles ont été touchées. Nous poursuivrons nos opérations jusqu'à la fin de la guerre israélo-américaine contre les Palestiniens.
SÉCESSION en Grande-Bretagne : on DÉCRYPTE
Le 8 aout 2024
Note ; les anglais ont voté massivement pour le Brexit, pour s'éloigner de cette Europe immigrationniste, mais ils ont fait la grosse erreur de voté pour un gouvernement de gauche qui continue à ouvrir les frontières et éparpillé les migrants (operation scatter) au quatre coins des Royaumes Unie (j'ai traduit un article sur l'operation scatter, dont parle VA)
La Suède vers un solde migratoire négatif (plus de sorties que d’entrées), une première en 50 ans ; les demandes d’asile ont atteint leur niveau le plus faible depuis 1997
Le nombre de personnes quittant la Suède devrait dépasser le nombre d’immigrés en 2024, une première depuis plus d’un demi-siècle, a annoncé jeudi le gouvernement conservateur soutenu par l’extrême-droite.
D’après les chiffres préliminaires de l’institut statistique national, sur les cinq premiers mois de l’année, l’émigration a été plus importante que l’immigration dans le pays scandinave, une tendance qui devrait se poursuivre, a indiqué la ministre des Migrations Maria Malmer Stenergard.
Les demandes d’asile continuent en parallèle de diminuer et ont atteint leur niveau le plus bas depuis 1997, a-t-elle ajouté.
“Les efforts du gouvernement portent leurs fruits (…). Cette tendance à l’immigration soutenable est essentielle si nous voulons renforcer l’intégration et réduire l’exclusion”, a fait valoir Mme Malmer Stenergard.
En outre, “l’émigration a augmenté parmi les personnes nées dans des pays tels que l’Irak, la Somalie et la Syrie”, a-t-elle poursuivi.
La Suède a accueilli un grand nombre d’immigrants depuis les années 1990, principalement en provenance de régions en proie à des conflits, notamment l’ex-Yougoslavie, la Syrie, l’Afghanistan, la Somalie, l’Iran et l’Irak.
Le chef de file des conservateurs Ulf Kristersson a accédé au pouvoir en octobre 2022, en formant un bloc majoritaire avec l’appui du parti nationaliste des Démocrates de Suède. Il s’était engagé à réduire drastiquement l’immigration.
Note; le pire a déjà été fait, l'islam continuera à progresser dans ce pays
Kamel Daoud, écrivain algérien : « Si on regarde ce qui se passe en Belgique, il y a de quoi craindre de voir émerger un émirat au cœur d’une Europe contrite et aveuglée par la culpabilité et la lâcheté »
INTERVIEW. L’écrivain et chroniqueur du « Point » publie son deuxième roman, « Houris » (Gallimard), un monument littéraire qui brise enfin le tabou de la guerre civile algérienne.
(…) Fresque intime de la guerre civile des années 1990 qui lui restait fichée en travers de la gorge, roman de la transgression d’un interdit, celui de faire un récit-miroir de ce monde du silence et de la mort.
Quatre cents pages violentes et poétiques qui appelaient mille questions, dont voici quelques-unes. Dans ses réponses, Kamel Daoud se livre comme jamais sur l’Algérie de son passé, sur la France d’aujourd’hui, sur Gaza, sur l’antisémitisme, sur le déni, sur la frustration, sur le combat des femmes et les eucalyptus de son village de l’Oranais…
(…)
Voilà pourquoi, en France, la question du foulard, apparemment anecdotique, a été et demeure centrale pour les islamistes ?
L’islamisme en Europe s’est développé avec une ingénierie propre et redoutable, qui sait où taper, comment culpabiliser, faire la jonction entre le colonial, le décolonial et l’islamisme. Les islamistes investissent la communication et la propagande d’une manière efficace. En France, ils ont réussi avec l’école, le milieu associatif et sportif. Comme en Algérie. Ils choisissent leurs combats de manière ciblée. Par exemple, le voile dans l’administration. L’État leur a dit non pour certaines administrations. Ils ont répondu d’accord. Mais ils ont obtenu qu’une femme puisse porter le voile sur la photo d’identité de sa carte professionnelle. Vous voyez comment ils grignotent… J’ai vu arriver la même stratégie en France pour la carte professionnelle journalistique. Ils sont très forts.
Comment expliquez-vous une telle attention aux détails ?
Tous les mouvements fascistes l’ont eue. Ils sont délivrés des lois de la démocratie ou de la soumission à l’autorité. Nous, nous portons la démocratie comme poids et comme idéal, nous en fixons les règles pour les respecter et cela nous inhibe. Eux, ils en sont affranchis. La démocratie, me disait une amie tunisienne, ne sait pas se défendre. Nous la défendons, nous l’incarnons et elle endosse nos faiblesses et nos limites. C’est une partie de poker où l’un est affranchi de toutes les règles que l’autre doit incarner et respecter.
Puisque vous avez vu se dérouler toutes les étapes, quelle serait la prochaine chez nous ?
La France est aussi mon pays. Et j’ai la chance d’être né en Algérie et d’être ici. L’au-delà, avec ses jardins et ses fleuves de vin, existe pour moi à Paris. L’au-delà, c’est la France. Donc je n’ai pas envie que ça aille dans ce sens-là d’une énième défaite devant ce fascisme. Mais c’est toujours possible. Si on regarde ce qui se passe en Belgique, il y a de quoi craindre de voir émerger un émirat au cœur d’une Europe contrite et aveuglée par la culpabilité et la lâcheté…
(…)
Philippe Caverivière sur France 2 : “Quand on entend les prénoms Sofiane, Bilal, Brahim, on se rend compte que la diversité, ça marche”, “c’est les pires JO depuis 1936 pour les racistes”
JO 2024 (boxe): une ancienne médaillée olympique dénonce une "pression énorme" du CIO pour défendre Khelif et Yu-Ting
Les Jeux olympiques de Paris 2024 ont beau arriver dans leur dernière ligne droite, les cas Imane Khelif et Lin Yu-Ting font toujours autant parler. Touchées par l’hyperandrogénie, l’Algérienne et la Taïwanaise ont respectivement réussi à se qualifier pour les finales de la catégorie des -66 kg et -57 kg. À une étape de l’or, le parcours des boxeuses continue de faire grincer les dents, notamment celles de Sharron Davies.
Lorient (56) : un Fiché S se jette sur un policier avec un couteau de cuisine et le blesse ; des substances chimiques liées à la fabrication d’engins explosifs retrouvées à son domicile
Un policier a été blessé au visage, à l’arme blanche, durant une intervention ce jeudi matin, à Lorient (Morbihan). L’agresseur de 27 ans a été maîtrisé à l’aide d’un pistolet à impulsion électrique (PIE). Il a été placé en garde à vue.
Il était environ 7 heures lorsque les policiers sont intervenus pour un différend familial, rue Blériot, dans le quartier de Keryado. Un homme était en crise et aurait tout cassé à son domicile. Les forces de l’ordre ont pénétré dans la maison concernée, alors plongée dans la pénombre. “Le suspect était dissimulé à l’intérieur, couteau de cuisine à la main”, indique la même source. Le forcené a surgi et agressé l’un des trois policiers, le blessant au visage. Ses collègues ont immédiatement réagi et ont neutralisé l’agresseur.
Une enquête a été ouverte a fait savoir, dans la matinée, le parquet de Lorient précisant toutefois ne pas connaître « à ce stade la nature exacte des faits ». Il pourrait être poursuivi pour tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique. « Il était déterminé, il voulait en découdre. Quand on se jette sur un policier avec un couteau de cuisine c’est pour blesser voire plus », déplore Ludovic Baille, secrétaire départemental Alliance Police. « Les conditions qui entourent ces violences volontaires aggravées soulignent malheureusement la détermination de leurs auteurs qui ne prennent aucunement conscience des conséquences de leurs actes », souligne de son côté Philippe Cavanac, Délégué zonal Ouest de l’Unsa-Police.
Des substances chimiques liées à la fabrication d’engins explosifs retrouvées
Après la fouille de son domicile, les policiers identifient un « sac contenant de nombreuses armes blanches » ; mais aussi « une matière indéterminée qui inquiète les effectifs de police », comme l’explique un gardien de la paix au JDD. L’agresseur, détenteur d’une fiche S, est aussi connu de la justice après avoir été condamné pour avoir déposé des engins explosifs artisanaux dans des locaux administratifs. Selon nos informations, il dispose de compétences en matière de fabrications d’engins incendiaires et explosifs.
Hambourg (Allemagne) : un migrant de 11 ans dit MNA, originaire d’Afrique du Nord, aurait commis plus de 80 cambriolages depuis son arrivé en novembre
Comment faire face à ce que l’on appelle les « défaillants du système », c’est-à-dire les enfants incontrôlables pour lesquels il ne semble tout simplement pas y avoir de place dans les centres d’aide ? Cette question est actuellement posée par le service d’urgence pour les enfants et les adolescents d’Alsterdorf.
Un garçon de onze ans de l’établissement aurait commis plus de 80 cambriolages au cours des dernières semaines. Pendant des mois, l’enfant a vécu dans l’établissement d’Alsterdorf. Les voisins de l’établissement de la Feuerbergstraße sont inquiets. Peu de gens connaissent le garçon aussi bien que la police. D’innombrables fois, il a passé la nuit à la gare après des cambriolages. Pour les officiers, il s’agit d’une affaire fastidieuse et, surtout, contraignante pour le personnel. Ils le disent clairement : les problèmes constants ne relèvent pas de leur responsabilité.
Un enfant de onze ans s’évade plus de 100 fois
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Plus récemment, un garçon de onze ans qui est arrivé à Hambourg en tant que réfugié non accompagné d’Afrique du Nord et qui y a été hébergé a fait la une des journaux. Après son entrée dans le pays en novembre de l’année dernière, le garçon avait commis plus de 70 délits connus qui lui étaient attribués en quelques mois seulement, principalement des cambriolages d’appartements et de maisons. Le point culminant : l’enfant s’est apparemment rendu compte en peu de temps que son immaturité juridique le protège. Cela avait été démontré par son comportement effronté, également envers la police.
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