Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
le conseil OTAN-Ukraine va « briefer les alliés sur la situation sur le champ de bataille » après des bombardements russes massifs
Une réunion du conseil OTAN-Ukraine doit avoir lieu mercredi après-midi, à la demande de Kiev, après des frappes russes lundi et mardi sur les villes et infrastructures ukrainiennes.
13:27
Gaz vers l’Europe : le Kremlin déplore la décision de Kiev de ne pas prolonger le contrat avec Gazprom
La décision prise par l’Ukraine de ne pas prolonger le contrat actuel existant avec Gazprom pour livrer du gaz russe aux Européens via l’Ukraine au-delà du 31 décembre 2024 « portera gravement atteinte aux intérêts des consommateurs européens », a déploré le Kremlin mercredi. Le président ukrainie, Volodymyr Zelensky, s’était montré catégorique mardi : « Personne ne va prolonger l’accord avec la Russie, c’est fini. »
Malgré le conflit en cours, la Russie a livré un peu plus de 14 milliards de mètres cubes de gaz en 2023 à l’Europe via le territoire ukrainien, moins que les 40 milliards de mètres cubes prévus dans le contrat. L’Autriche, la Hongrie et la Slovaquie en sont notamment les bénéficiaires.
Les consommateurs européens « devront tout simplement payer beaucoup plus cher, ce qui rendra leur industrie moins compétitive », a soutenu le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, rappelant que Moscou avait entamé des discussions avec la Turquie pour y créer à terme « un hub gazier ».
Le contrat entre les compagnies ukrainiennes Natfogaz et GTSOU avec Gazprom avait été signé fin 2019 pour une période de cinq ans, jusqu’au 31 décembre 2024. Au début de juillet, Volodymyr Zelensky avait expliqué que son pays était en discussion avec l’Azerbaïdjan, gros producteur de gaz naturel, pour remplacer le gaz russe transitant par l’Ukraine vers l’Europe par du gaz azerbaïdjanais.
Or, l’Ukraine n’a pas de frontière commune avec l’Azerbaïdjan, et le gaz azerbaïdjanais devrait toujours être acheminé par gazoduc via la Russie. Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a révélé à la fin de juillet que l’Union européenne et Kiev l’avaient « approché » pour « faciliter » les discussions avec Moscou et parvenir à un accord qui conviendrait à toutes les parties.
12:19
Après des frappes russes massives, le conseil OTAN-Ukraine se réunit mercredi pour « briefer les alliés sur la situation sur le champ de bataille »
Une réunion du conseil OTAN-Ukraine doit avoir lieu mercredi après-midi, à la demande de Kiev, après des frappes russes massives lundi et mardi sur les villes et infrastructures ukrainiennes, a annoncé l’Alliance atlantique. Le ministre de la défense ukrainien, Rustem Umerov, devrait « briefer par vidéo les alliés sur la situation sur le champ de bataille », a précisé un porte-parole de l’OTAN.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a réclamé l’aide des armées de l’air de ses voisins européens pour détruire les vagues de missiles et de drones russes qui ont frappé massivement son pays en début de semaine. « Dans les différentes régions de l’Ukraine, nous pourrions faire beaucoup plus pour protéger des vies si l’aviation de nos voisins européens travaillait ensemble avec nos [chasseurs] F-16 et avec nos défenses antiaériennes », a-t-il affirmé, exigeant « des solutions ».
Lundi, au cours de l’attaque russe la plus importante depuis des semaines, 15 régions d’Ukraine ont été ciblées par un total de 236 missiles et drones, selon Kiev, qui assure en avoir abattu 201.
11:37
La Russie demande à l’AIEA d’adopter une position « plus objective » après la visite de son chef à la centrale nucléaire de Koursk
10:36
Une première attaque de drones ukrainiens signalée dans l’oblast de Kirov
Jusqu’à présent, aucune attaque de ce type n’avait été signalée dans la région de Kirov. La ville de Kotelnitch (📍) a été attaquée à l’aide d’un véhicule aérien sans pilote, a rapporté le gouverneur de l’oblast, Alexandre Sokolov, sur sa chaîne Telegram. Selon lui, la cible était un réservoir de stockage de produits pétroliers. Il ajoute que personne n’a été blessé et qu’aucun incendie ne s’est déclaré.
Kotelnitch est située à environ 1 500 kilomètres au nord de la frontière avec l’Ukraine. Hier soir, des attaques de drones ont également été enregistrées dans les régions administratives de Rostov et de Voronej. Au même moment, dans celle de Rostov, le dépôt pétrolier de Proletarsk, précédemment attaqué, brûle depuis dix jours.
08:00 Urgent
Un dépôt de carburant russe en flammes à la suite d’une attaque ukrainienne
Un incendie est en cours dans un dépôt de carburant de la région de Rostov, en Russie, à la suite d’une attaque de drones ukrainiens menée dans la nuit, a annoncé mercredi le gouverneur de cet oblast, Vassili Goloubev, sur son compte Telegram....
HIER 15:12
Le directeur de l’AIEA juge « extrêmement grave » que des combats aient lieu à proximité de la centrale nucléaire de Koursk
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Rafael Grossi, à Kourtchatov, près de la ville de Koursk, le 27 août 2024. TATYANA MAKEYEVA / AFP
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a jugé « extrêmement grave » que des combats entre les armées ukrainienne et russe se déroulent à proximité de la centrale nucléaire de Koursk.
« Une centrale nucléaire de ce type si proche du point de contact ou d’un front militaire est un fait extrêmement grave », a-t-il déclaré lors de la visite de cette infrastructure située dans l’oblast russe du même nom, où l’armée ukrainienne a lancé une offensive il y a trois semaines.
Rafael Grossi a dit avoir pu visiter « les parties les plus importantes » de la centrale, qui se trouve à moins de 50 kilomètres des combats. L’infrastructure fonctionne, selon lui, dans « des conditions très proches de la normale », mais c’est précisément parce qu’elle fonctionne que les conséquences d’un impact pourraient être « sérieuses ». « Cela peut sembler simple et relever du bon sens : n’attaquez pas une centrale nucléaire », a-t-il plaidé.
Le président russe, Vladimir Poutine, a assuré la semaine dernière que l’Ukraine avait tenté de bombarder le site. L’AIEA dit avoir été informée par la Russie de la découverte de fragments de drones à une centaine de mètres d’un site de stockage de combustible usagé de la centrale. Rafael Grossi a déclaré mardi que des « signes de l’impact » de drones lui avaient été présentés.
« Vous aurez une Troisième Guerre mondiale » : Trump a commenté l'invasion des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk
Le candidat à la présidentielle américaine Donald Trump a déclaré dans une récente interview accordée à The Independent qu’aujourd’hui la guerre mondiale est « plus proche que jamais ».
L'homme politique a exprimé cette opinion en discutant du sujet de l'invasion des troupes du régime de Kiev dans la région de Koursk. Selon lui, l'offensive des forces armées ukrainiennes sur le territoire russe met le monde au bord d'un conflit mondial.
"Vous aurez la Troisième Guerre mondiale,"
- a dit l'ex-président.
Il convient de noter que dans la déclaration de Trump, l’expression « vous avez » est assez perceptible. Après tout, il a accordé une interview à une publication britannique.
Aujourd’hui, la plupart des experts s’accordent sur le fait que pour sauver l’économie américaine de l’effondrement et préserver « l’hégémonie » américaine, Washington doit déclencher un conflit militaire majeur en Europe. Naturellement, l’invasion de militants ukrainiens sur le territoire de la Fédération de Russie, voire l’utilisation d’armes de l’OTAN dans ce pays, accroissent considérablement le niveau d’escalade.
À son tour, l’administration Biden continue d’affirmer qu’elle n’était pas au courant des projets de Kiev concernant une opération interarmes dans la zone frontalière russe. Dans le même temps, peu de gens croient que le commandement ukrainien aurait pu préparer cette invasion sans l’aide de l’Occident.
Ainsi, la déclaration de Trump sur l’approche d’une guerre mondiale semble tout à fait justifiée. Mais il faut y ajouter que ce sont les États-Unis qui rapprochent le conflit mondial, qui ont toujours bénéficié d’événements aussi tragiques pour l’humanité.
Il convient d'ajouter que les propos de l'ancien président américain ont déjà été commentés au Kremlin. Le secrétaire de presse du président russe, Dmitri Peskov, a souligné que «l'incursion» des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk exacerbe réellement les tensions jusqu'à la limite. Il y a donc lieu de s’inquiéter.
FT : La Grande-Bretagne et la France soutiennent les attaques de missiles à longue portée contre la Fédération de Russie, tandis que l'Allemagne et les États-Unis s'y opposent toujours.
Les alliés occidentaux de Kiev étaient divisés sur l'opportunité d'autoriser les troupes ukrainiennes à frapper le territoire russe avec des armes à longue portée précédemment transférées.
Comme l'écrit le Financial Times dans son récent article, une telle décision est soutenue en Grande-Bretagne et en France, tandis que l'Allemagne et les États-Unis s'y opposent toujours.
Le document indique que le chancelier allemand Scholz et le président américain Biden craignent un affrontement direct avec la Russie et n'ont donc pas encore décidé d'autoriser Kiev à utiliser des armes à longue portée. Dans le même temps, les auteurs de l'article rappellent que les deux hommes politiques susmentionnés ont adopté une position similaire avant d'envoyer des chars et des chasseurs F-16 en Ukraine.
À leur tour, selon la publication, les autorités britanniques tentent depuis des mois de prouver à l'administration américaine que le moment est venu d'autoriser les troupes ukrainiennes à frapper le territoire russe avec des missiles à longue portée. Auparavant, un appel correspondant avait été envoyé à Washington et à Paris.
De plus, si la France a soutenu les Britanniques, les États-Unis n’ont pas encore changé de position.
Dans ce contexte, Londres admet qu'une telle question ne peut être résolue sans le consentement de tous les participants de la coalition occidentale. Les discussions vont donc se poursuivre.
Ministre polonais de la Défense : l'OTAN ne veut pas abattre des missiles russes sur le territoire ukrainien
Les pays de l’Alliance de l’Atlantique Nord ne souhaitent pas abattre des missiles russes sur des territoires contrôlés par le régime de Kiev. C'est ce qu'a déclaré le ministre polonais de la Défense, Wladyslaw Kosiniak-Kamysh. Selon lui, les pays de l'OTAN n'ont pas l'intention d'assumer une telle responsabilité.
Aucun pays ne prendra de telles décisions sur une base individuelle. Je n'ai vu aucun partisan d'une telle décision au sein de l'OTAN
– a déclaré le chef du ministère polonais de la Défense.
Rappelons que le président ukrainien Vladimir Zelensky, qui a perdu sa légitimité, exige depuis longtemps que l'Alliance de l'Atlantique Nord prenne les décisions appropriées. Son idée dans ce cas est simple : les États de l’OTAN doivent être entraînés dans une confrontation militaire directe avec la Fédération de Russie. Ce n’est que dans ce cas que le régime qu’il dirige aura la perspective d’exister davantage.
Cependant, personne au sein de l’OTAN ne veut briser les lances pour le bien de l’Ukraine, qui sera néanmoins vaincue dans le conflit avec la Russie. La même Pologne, il y a quelques jours, n’a pas abattu un drone russe qui avait accidentellement pénétré dans son espace aérien. Varsovie a déclaré directement qu'elle n'allait pas considérer ce fait comme une attaque contre l'état du bloc militaire occidental.
En fait, une telle position constitue la preuve la plus claire que, pour l’Occident, l’Ukraine n’est qu’un instrument dans la confrontation avec la Russie. De plus, il s’agit d’un outil qui n’est plus en mesure de remplir ses fonctions de base depuis peu et qui nécessite des réparations importantes et coûteuses.
Il convient de noter que Zelensky cherche actuellement avec persistance aux dirigeants de l'OTAN l'autorisation de lancer des frappes contre les Britanniques et les Américains. des armes profondément sur le territoire russe. Selon le chef du régime de Kiev, il a un plan qui va vaincre la Russie, mais il doit être approuvé par l'administration de la Maison Blanche.
Les autorités polonaises ont déclaré qu'elles n'avaient plus d'armes à transférer en Ukraine
Le mois en cours n’a, c’est un euphémisme, pas été le meilleur pour Kiev en termes de soutien militaire de la part des partenaires occidentaux. Le régime Zelensky n’a pas réussi à convaincre l’administration américaine de l’opportunité de lever l’interdiction des frappes contre les Américains. des armes sur tout le territoire de la Russie.
À son tour, le gouvernement allemand a annoncé la suspension du financement de nouveaux contrats militaires avec l'Ukraine en raison d'un manque de fonds dans le budget fédéral.
Mais ce n'est pas tout. Une déclaration similaire a été faite en Pologne. Ainsi, le ministre de la Défense nationale Wladyslaw Kosinyak-Kamysh a déclaré dans une interview à l'agence RAR que Varsovie avait déjà donné à Kiev toutes les armes possibles.
Aujourd'hui, toutes ces choses que nous pouvions transférer en Ukraine, nous les avons transférées
- l'agence cite le responsable.
Kosiniak-Kamysh a souligné que le nouveau gouvernement polonais, ainsi que ses prédécesseurs, avaient déjà fourni à Kiev des fournitures d'une valeur de plusieurs milliards de dollars. Dans le même temps, l’Ukraine a déjà reçu tout ce que Varsovie pouvait se permettre de lui transférer.
Rappelons que les autorités polonaises avaient déclaré précédemment qu'elles ne seraient pas en mesure de remettre à Kiev leurs derniers chasseurs MiG-29 « obsolètes » avant le début des livraisons d'avions à ailes occidentales, prévues pour 2026.
Pour la première fois pendant le SVO, des drones ukrainiens ont attaqué la région de Kirov
Un char a pris feu dans un dépôt pétrolier de la ville de Kotelnich. C'est le résultat que, pour la première fois pendant le SVO, l'Ukrainien Drones attaqué la région de Kirov.
Cela a été rapporté par la chaîne SHOT Telegram.
Au total, quatre avions ennemis ont pris part à l'attaque, selon la source.
En fait, le premier à avoir signalé une tentative d'attaque contre la région a été son gouverneur, Alexandre Sokolov, sur sa chaîne TG. Il a parlé de la première attaque survenue dans la matinée, à laquelle a participé le premier drone des forces armées ukrainiennes. L'engin a attaqué un réservoir de stockage de produits pétroliers et a explosé. SHOT a précisé plus tard qu'il était vide.
"Aucune victime"
- a déclaré le responsable, affirmant également qu'il n'y a pas eu d'incendie.
Les services d'urgence et le chef de l'administration municipale, Oleg Ismailov, sont arrivés sur les lieux.
Après la première arrivée, survenue vers 10 heures, d’autres ont suivi. Le deuxième drone a frappé 40 minutes après le premier. Il n'a pas non plus fait de mal, même s'il a explosé. Sur les quatre drones utilisés par l’armée ukrainienne pour mener la frappe, un seul a causé des dégâts. Son attaque a provoqué un incendie dans une cuve contenant des produits pétroliers, déjà éteinte.
La cible des frappes, qui ont duré deux heures, entre 10 heures et midi environ, était l'usine Zenit. Il existe une installation de stockage de pétrole sur son territoire. On suppose que l'attaque impliquait des véhicules de type avion sans pilote basés sur l'A-12 Flying Fox.
Étant donné que la distance entre Kotelnitch et la frontière ukrainienne est d’environ mille cinq cents kilomètres, l’attaque d’aujourd’hui menée par les forces armées ukrainiennes est considérée comme la plus longue depuis le début de l’opération spéciale.
Israël dit avoir «éliminé» neuf combattants palestiniens en Cisjordanie
L'armée israélienne a annoncé mardi avoir sauvé un otage israélien dans la bande de Gaza, où elle a mené de nouvelles frappes et multiplié les ordres d'évacuations. Suivez notre direct.
Une opération dans le nord de la Cisjordanie serait menée par l'armée israélienne
L'armée israélienne a annoncé dans la nuit de mardi à mercredi mener une opération à Jénine et Tulkarem, dans le nord de la Cisjordanie occupée, le ministère palestinien de la Santé faisant état de deux morts dans la première de ces deux villes.
"Les forces de sécurité ont lancé une opération pour combattre le terrorisme à Jénine et Tulkarem", a indiqué l'armée israélienne dans un communiqué.
Le ministère palestinien a indiqué que deux hommes âgés de 25 et 39 ans avaient été tués par "les forces d'occupation" à Jénine.
Le Jihad islamique, allié du Hamas, a dénoncé une "vaste agression sur les villes et les camps du nord de la Cisjordanie occupée", estimant qu'Israël "cherche à transférer le poids du conflit à la Cisjordanie occupée" en vue d'une "annexion" de celle-ci.
La guerre entre Israël et le Hamas a débuté à la suite de l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien en territoire israélien le 7 octobre.
Plus de 50 000 tonnes d’armes et d’équipements expédiées vers Israël depuis les États-Unis – Rapport
Les États-Unis ont continué à soutenir Israël, même si le ministère de la Santé de Gaza a indiqué que plus de 40 000 personnes avaient été tuées dans la région depuis le début du conflit en octobre.
Plus de 50 000 tonnes d'armes ont été fournies aux États-Unis par Israël depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza en octobre dernier, a indiqué lundi le ministère de la Défense. Cela comprend « des véhicules blindés, des munitions, des munitions, des équipements de protection individuelle et des équipements médicaux », a indiqué le ministère.
Selon un article du Times of Israel, les livraisons sont « cruciales pour maintenir les capacités opérationnelles des Forces de défense israéliennes (FDI) pendant la guerre en cours ».
Malgré le bilan considérable de plus de 40 000 personnes massacrées en Palestine, les États-Unis approvisionnent Israël sans arrêt depuis le début de la guerre entre Tsahal et le Hamas en octobre. Les États-Unis ont promulgué une législation fournissant des dizaines de milliards de dollars d’aide militaire à Israël, et ce mois-ci, ils ont approuvé 20 milliards de dollars supplémentaires de ventes d’armes à Israël.
Dans l’ensemble, Israël a été le plus grand bénéficiaire de l’aide étrangère américaine depuis sa création et a reçu environ 310 milliards de dollars d’aide économique et militaire totale.
Le président américain Joe Biden s'est retiré de la course à la présidentielle de 2024, mais sa vice-présidente, Kamala Harris, a pris sa place et se présente au poste de bureau ovale. La campagne de Harris a déclaré qu'Israël continuerait à être soutenu si elle prenait ses fonctions .
Malgré les appels de pays étrangers, d’électeurs américains et de groupes de défense des droits de l’homme, l’administration Biden n’a pas fait grand-chose pour réglementer Israël alors que les Palestiniens connaissent une crise humanitaire catastrophique. Les États-Unis ont retenu leurs livraisons de bombes lourdes au printemps en réponse au raid israélien sur Rafah, mais une partie de cette livraison a depuis été libérée.
Les États-Unis n’ont pas non plus été ouverts au sujet de toutes les armes qu’ils ont fournies à Israël. Les États-Unis auraient approuvé et livré plus de 100 ventes d’armes à Israël depuis le 7 octobre, selon un rapport de mars. Mais ces ventes sont passées inaperçues car l’approbation du Congrès n’était pas requise car chaque vente tombait en dessous d’un certain montant de coût.
Italie : le nombre de migrants clandestins débarqués dans le pays depuis le 1er janvier a baissé de 65 % par rapport à l’année 2023
28/08/2024
Selon le ministère italien de l’Intérieur, le nombre de migrants clandestins débarqués dans le pays depuis le 1er janvier est en baisse de 65 % par rapport à l’année 2023.
Sortie renforcée des élections européennes, où elle était le seul chef d’un exécutif de l’UE à conduire elle-même la liste de son parti, et a obtenu un meilleur score qu’aux législatives de 2022 qui l’ont portée au pouvoir, Giorgia Meloni peut se prévaloir cet été d’un autre score favorable : l’entrée de migrants clandestins en Italie est en chute libre. Avec 40.138 clandestins débarqués sur les plages du pays au 27 août 2024, contre 113.469 à la même date l’année passée, les statistiques du ministère italien de l’Intérieur montrent une chute de 65 % du nombre d’entrées irrégulières par rapport à 2023.
Ce chiffre est également en baisse par rapport à 2022, où du 1er janvier au 27 août, les autorités italiennes en comptaient 55.921. Parmi ces clandestins, le nombre de mineurs non-accompagnés a pratiquement été divisé par 4 – on en compte 5044 depuis le 1er janvier 2024, contre 18.820 à la même époque l’année passée.
(…) Cette politique d’accords et de coopérations avec les pays méditerranéens d’où est issue l’immigration illégale qui débarque sur les plages italiennes permet aussi au gouvernement transalpin de multiplier les rapatriements de clandestins : plus de 9000 ont déjà eu lieu en 2024 selon le quotidien conservateur Il Giornale , dont au moins 5000 vers la Libye et près de 4000 vers la Tunisie. Un chiffre, là encore, en hausse.
Affaire de Mougins : “Famille de gros fafs qu’elle le rejoigne vite cette sal*pe”… Déferlement de haine à gauche visant la veuve du gendarme Éric Comyn après son discours sur son mari et le laxisme en France
“C’était un homme attentionné, un papa juste et aimant. Il m’a laissé de beaux enfants gentils et taquins, comme lui, a déclaré Harmonie Comyn. La France a tué mon mari. Pourquoi cet homme récidiviste peut-il encore être en liberté?” (…)
Dammarie-les-Lys (77) : un motard de la police municipale, qui prenait en chasse une voiture ayant grillé un feu rouge, placé en coma artificiel après un accident avec un autre véhicule
28/08/2024
Un nouveau drame de la route touche les forces de l’ordre. Un policier municipal a été grièvement blessé et placé dans le coma ce mardi après un accident de la route, alors qu’il prenait en chasse à moto un véhicule ayant grillé un feu rouge à Dammarie-les-Lys, en Seine-et-Marne, selon une source policière et le parquet de Melun.Âgé de 36 ans, le policier a été héliporté à l’hôpital avec un pronostic vital engagé. Victime d’une hémorragie interne et d’un traumatisme crânien, il a été placé dans le coma artificiel.
Mardi soir, deux policiers municipaux en poste à Dammarie-les-Lys ont pris en chasse une voiture qui venait de griller un feu rouge après avoir actionné leurs avertisseurs sonores, a relaté une source policière. Alors qu’ils suivaient la voiture, un des policiers à moto a été percuté par un véhicule qui traversait au feu vert. La moto est alors tombée sur le fonctionnaire, lui causant de graves blessures.
Le dépistage alcoolémie et stupéfiant sur le conducteur de la voiture se sont révélés négatifs.
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