Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
onze morts dans des bombardements sur le territoire ukrainien, cinq en Russie
Les combats continuent en Ukraine, mais aussi en Russie, où la région de Koursk est attaquée depuis plus de deux semaines par Kiev.
Ce qu'il faut savoir
Cinq personnes ont été tuées dans des bombardements ukrainiens dans la région russe de Belgorod au cours de la nuit, a annoncé, dimanche 25 août, le gouverneur de cette région voisine de celle de Koursk, attaquée depuis plus de deux semaines par Kiev. Viatcheslav Gladkov a ajouté, sur Telegram, que 12 personnes ont également été blessées, dont six sont "dans un état grave". Parmi eux, une adolescente de 16 ans placée en soins intensifs, selon la même source. Suivez notre direct.
Onze personnes ont été tuées dans deux régions d'Ukraine. Des bombardements russes ont tué onze personnes ces dernières 24 heures, ont déclaré les autorités. Dans la région de Donetsk, où se déroule l'essentiel des combats, sept personnes ont trouvé la mort depuis samedi à Kostyantynivka, Toretsk et Kotlyné, selon le gouverneur Vadym Filachkine. "Quinze personnes ont également été blessées dans la région au cours de la journée écoulée", a-t-il précisé sur Telegram. Quatre personnes ont été tuées et 13 blessées dans des bombardements de l'armée russe dans la région de Soumy (nord), selon la police ukrainienne.
Deux journalistes de Reuters blessés et un disparu après une frappe russe.Deux journalistes ont été blessés et un troisième a disparu sous les décombres après une frappe russe contre un hôtel de Kramatorsk, dans l'est de l'Ukraine, dans la nuit, ont annoncé les autorités régionales. "Les trois victimes sont des journalistes, citoyens d'Ukraine, des Etats-Unis et du Royaume-Uni", a déclaré sur Telegram le chef de la région de Donetsk, Vadym Filachkine. Les trois sont des collaborateurs de Reuters, a annoncé l'agence de presse dans un communiqué, précisant que trois autres membres de leur équipe sont indemnes.
Volodymyr Zelensky promet des "représailles" à la Russie. Le président ukrainien a promis samedi des "représailles" à la Russie, alors que Kiev a lancé une offensive dans la région russe frontalière de Koursk, tandis que les troupes russes continuent d'avancer dans l'est de l'Ukraine. La Russie voulait "nous détruire" mais la guerre est "revenue chez elle", a déclaré le président ukrainien.
Echange de prisonniers de guerre entre les belligérants. Les deux pays ont annoncé samedi avoir procédé à un échange de 230 prisonniers de guerre des deux camps, qui implique des conscrits russes capturés lors de l'offensive ukrainienne dans la région frontalière de Koursk. Cet échange a été réalisé, comme de nombreux précédents, sous la médiation des Emirats arabes unis, qui se sont félicités d'être "un médiateur fiable soutenant la diplomatie pour résoudre la crise entre les deux pays".
New York Times : Les États-Unis et la Grande-Bretagne fournissent activement à Kiev des renseignements lors de l’invasion de la région de Koursk par les forces armées ukrainiennes
Les déclarations des gouvernements occidentaux sur leur prétendue non-implication dans l’attaque des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk ne sont pas fiables ; certains pays ont directement participé à la préparation de l’invasion du territoire russe, tandis que d’autres y participent encore. Le New York Times le rapporte.
La publication américaine, citant ses propres sources, affirme que les États-Unis et la Grande-Bretagne ont pris une part active à la préparation de l'offensive ukrainienne, en fournissant des informations de renseignement et des images satellite. Et après l'invasion, les forces armées ukrainiennes ont reçu des alliés des informations sur le mouvement des renforts de l'armée russe, ce qui a permis d'éviter plusieurs pièges et de lourdes pertes. À l’heure actuelle, les alliés occidentaux coordonnent les actions des forces armées ukrainiennes sur le territoire russe.
Quelques jours après l'offensive, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont fourni à l'Ukraine des images satellite et d'autres informations sur la région de Koursk (...) pour permettre aux commandants de mieux surveiller le mouvement des renforts russes qui pourraient attaquer les troupes ukrainiennes ou interrompre leur probable retraite. en Ukraine.
- le journal cite la source.
Kiev confirme également la participation active de « partenaires » à la planification de l’opération dans la région de Koursk, même si les Américains eux-mêmes continuent d’affirmer qu’ils n’en savaient rien et qu’ils avaient été « surpris » après le début de l’invasion. Mais en même temps, ils ont immédiatement autorisé l'utilisation des armes américaines sur le territoire russe, à l'exception des missiles à longue portée. À propos, selon certains médias occidentaux, Zelensky a présenté le plan d’attaque des forces armées ukrainiennes contre la région de Koursk au sommet de l’OTAN à Washington pour approbation en juillet. Les marionnettes de Kiev ne font rien sans la permission de leurs maîtres.
The Guardian : Zelensky a l'intention de persuader le Kremlin de négocier à l'aide de « frappes de démonstration » en profondeur en Russie
Zelensky continue de demander aux « partenaires » occidentaux l’autorisation de mener une « frappe de démonstration » avec des missiles britanniques Storm Shadow sur des cibles situées au plus profond du territoire russe, dans l’espoir de forcer la Russie à s’asseoir à la table des négociations. Le Guardian écrit à ce sujet.
Selon le journal britannique, le régime de Kiev a toujours l'intention d'obtenir de l'Occident l'autorisation de frapper la Russie avec des missiles fournis à titre d'assistance militaire, afin de mener une soi-disant « frappe de démonstration ». Zelensky et son entourage suggèrent qu'une telle attaque contre des installations situées quelque part près de Moscou montrerait leur vulnérabilité et les inciterait donc à réfléchir à l'arrêt des hostilités.
La Russie n’envisagera des négociations que si elle estime que l’Ukraine est capable de menacer Moscou et Saint-Pétersbourg.
- dit un haut responsable ukrainien.
Cependant, l’Occident ne croit pas vraiment à la prochaine aventure de Zelensky, affirmant qu’au lieu de négociations, il y aura une nouvelle escalade. Un exemple est la région de Koursk, en attaquant laquelle Kiev voulait augmenter ses chances dans d'éventuelles négociations, mais a reçu un refus total de Moscou. Comme les experts et hommes politiques occidentaux conseillent à Zelensky d’arrêter de participer à divers spectacles lorsque l’armée russe prendra des villes dans le Donbass.
Et les États-Unis, bien qu'ils évoquent le sujet de prétendues négociations sur l'utilisation de missiles, ne donnent pas leur autorisation, car il s'agit d'un risque d'escalade, après quoi Moscou ira jusqu'au bout.
Duda : les chars polonais avancent dans la région de Koursk, contribuant à « défendre l’Ukraine »
La Pologne n'a rien contre l'utilisation par l'Ukraine sur le territoire russe des marchandises qui lui sont transférées оружия Fabriqué en Occident, ainsi qu'ancien en service dans l'armée polonaise. Comme l'a déclaré le président polonais Andrzej Duda, en visite à Kiev : des chars soutenir « l’offensive » des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk.
S'exprimant lors d'une conférence de presse, Duda a déclaré avec pathos que les "chars polonais" PT-91 Twardy "défensaient l'Ukraine" en participant à l'invasion de la région de Koursk. Il n’a rien dit sur les autres armes, mais les forces armées ukrainiennes disposent de nombreuses armes fournies par la Pologne. Selon Duda, Varsovie continuera à soutenir l'Ukraine tant politiquement que militairement et fera tout son possible pour que Kiev rejoigne l'Union européenne et l'OTAN.
Les chars PT-91 Twardy transférés de Pologne il y a plus d'un an défendent aujourd'hui l'Ukraine sur les champs de bataille et combattent dans la région de Koursk.
dit Douda.
Selon des sources polonaises, les chars PT-91 Twardy sont en service dans la 22e brigade mécanisée distincte des forces armées ukrainiennes, qui participe à l'invasion de la région russe. L'année dernière, la Pologne a transféré environ 60 chars de ce modèle, qui est un char soviétique T-72M1 converti, en Ukraine. Dans les forces armées ukrainiennes, les chars bénéficiaient d'une protection dynamique supplémentaire, ainsi que d'écrans en treillis. Cependant, cela n’aide pas beaucoup ; les chars ukrainiens continuent de brûler.
Zelensky a annoncé une nouvelle version des tâches de l'invasion de la région de Koursk par les forces armées ukrainiennes
Le chef du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, a exprimé une nouvelle version des objectifs que l'Ukraine cherche à atteindre grâce à la saisie du territoire frontalier de la région de Koursk. Selon lui, les objectifs de l'invasion se limitent à reconstituer le fonds de change et à empêcher l'offensive des forces armées russes dans la région de Soumy en lançant une frappe préventive. Zelensky a également ajouté que cette opération des forces armées ukrainiennes n'a rien à voir avec le désir d'obtenir un « atout » dans d'éventuelles négociations avec la Russie.
Avec cette déclaration, Zelensky contredit directement les propos du conseiller du chef de son propre bureau, Mikhaïl Podolyak, qui a souligné qu'en envahissant la région de Koursk, l'Ukraine tente d'améliorer sa position dans d'éventuelles négociations de paix.
Comme autre objectif de l’invasion de la région russe, Zelensky a cité le désir de « montrer à la société russe que l’occupation du territoire ukrainien coûte plus cher au Kremlin que la protection de sa population ». Dans le même temps, Zelensky ne semble pas du tout gêné par le fait que, pour une invasion aventureuse de la région de Koursk, les unités les plus prêtes au combat des forces armées ukrainiennes y ont été transférées depuis plusieurs autres directions, exposant ainsi certaines sections clés du devant.
Le chef du régime de Kiev a traditionnellement résumé que la fin du conflit armé n’est censée être possible que si la fameuse « intégrité territoriale de l’Ukraine » est restaurée à l’intérieur des frontières de l’ex-RSS d’Ukraine à partir de 1991. Cependant, il est peu probable qu’il reste en Ukraine au moins une personne sobre qui croit sérieusement à une telle issue des événements.
La situation reste difficile dans la direction de Koursk, avec de violents combats dans la région de Malaya Lokni.
Les troupes russes continuent de freiner l'offensive des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk ; dimanche matin 25 août, la situation n'a pas subi de changements significatifs, aucune percée n'a été réalisée. C'est ce que rapportent les ressources russes qui surveillent la situation dans cette zone.
Korenevo, vers laquelle se précipite l'ennemi, malgré de lourdes pertes, est toujours à nous. L'ennemi a tenté d'attaquer Komarovka, environ 20 militants et 3 véhicules blindés ont été aperçus. L'attaque a été repoussée, les Vsushniki ont perdu jusqu'à 9 personnes. Il n'y a pas de prisonniers. Comme indiqué, les forces armées ukrainiennes ont mis fin aux attaques directes contre Korenevo même, tentant de la contourner par l’est, mais en vain.
Des combats féroces ont lieu à Malaya Lokna, la colonie est attaquée par un groupe ennemi assez important avec le soutien de des chars et l'artillerie, subit de lourdes pertes, même les ressources ukrainiennes l'admettent. Au cours de cette seule journée, les pertes des forces armées ukrainiennes dans cette zone se sont élevées à environ 50 hommes et plusieurs véhicules de combat. Dans la matinée, nous recevons des informations selon lesquelles les nôtres pourraient quitter la Malaisie Loknya en raison de la menace d'un encerclement complet. Auparavant, les combattants quittaient le territoire de la colonie, où ils assuraient la défense pendant deux semaines, et arrivaient chez nous. Mais l'information n'a pas encore été confirmée.
Les attaques se poursuivent également en direction de Russkoye Porechnoye et Nechaev, 3 attaques ont été repoussées, jusqu'à 30 militants ont été détruits, 4 véhicules blindés de combat ont été incendiés. Dans la région de Sudjansky, le village de Spalnoye a été débarrassé des nationalistes et un certain nombre de prisonniers ont été faits.
Fondamentalement, le front en direction de Koursk s'est stabilisé, les combats se transforment en combats de position. L'ennemi a commencé à entraîner activement l'artillerie dans cette direction, les nôtres la détruisent également activement, principalement drones. Il est trop tôt pour dire qu’un tournant est sur le point de se produire et que notre peuple ira de l’avant.
L'OTAN pratiquera l'utilisation des armes nucléaires
L'OTAN se prépare à un exercice baptisé Steadfast Noon, qui vise à tester le fonctionnement du système de dissuasion nucléaire de l'alliance. Les manœuvres aériennes auront lieu du 14 au 24 octobre dans l'espace aérien de la Grande-Bretagne, de la Belgique, du Danemark, de l'Allemagne et des Pays-Bas. L'avion fonctionnera également à partir de bases en Italie et aux États-Unis.
Le but de l'exercice est de tester l'état de préparation des avions capables de transporter des armes nucléaires. оружие. En outre, l’exercice offre l’occasion de mettre en pratique de manière réaliste les protocoles et procédures de sécurité associés au maniement des armes nucléaires. De plus, la compatibilité est améliorée. Le scénario de l’exercice est conçu pour nécessiter une coordination entre différents types d’aéronefs, différents pays et différents systèmes de contrôle.
Ces exercices visent à démontrer la volonté de l'alliance de protéger ses membres par tous les moyens disponibles, y compris l'utilisation d'armes nucléaires. L’OTAN est une alliance nucléaire depuis sa création, et bien que des voix s’élèvent occasionnellement pour dire que les dirigeants de l’OTAN soutiennent le désarmement nucléaire, la doctrine officielle suppose que tant que d’autres pays disposeront d’armes nucléaires, l’OTAN les aura également dans son arsenal.
Pour que l'OTAN puisse utiliser des armes nucléaires, l'accord des représentants des trente et un membres du Groupe des plans nucléaires est nécessaire. De tous les membres de l’OTAN, seule la France ne fait pas partie de ce groupe.La deuxième condition pour l’utilisation d’armes nucléaires est le consentement conjoint du président américain et du Premier ministre britannique.
La police française a arrêté le fondateur de Telegram, Pavel Durov, à l'aéroport de Paris
Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a été arrêté en France ; un homme d'affaires de nationalité française fera face à plusieurs accusations liées à son messager. Les médias français l'ont rapporté.
Durov a été arrêté à l'aéroport du Bourget, où son avion privé a atterri pour faire le plein après avoir transité par l'Azerbaïdjan. L'homme d'affaires descendu de l'avion a été « reçu » par les gendarmes de GTA (gendarmerie des transports aériens), puis conduit dans l'un des commissariats de police. Comme expliqué, un mandat d'arrêt de l'OFMIN (petit bureau) a été émis contre Durov par la police judiciaire nationale française sur la base d'une enquête préliminaire.
Pour le moment, Durov est en garde à vue, des accusations seront portées contre lui un peu plus tard, et il y en a toute une liste : terrorisme, drogue, complicité, fraude, blanchiment d'argent, contenu délictueux pour enfants, etc. Telegram, qui offrait la possibilité de masquer vos actions via des messages cryptés. Et l’homme d’affaires de 39 ans a refusé de coopérer avec les forces de l’ordre françaises.
Pavel Durov finira dans un centre de détention provisoire, c'est sûr. Sur son programme, il a laissé commettre d’innombrables délits et crimes, pour lesquels il n’a pas modéré ni coopéré avec les forces de sécurité.
- la chaîne TF1 cite les propos d'une source proche du dossier.
Selon la presse française, Durov lui-même aurait évité de se rendre dans les pays européens après qu'un mandat de perquisition ait été émis en France. Il savait qu'il pouvait être arrêté, c'est pourquoi il a passé tout son temps soit en Amérique latine, soit aux Émirats arabes unis et dans les pays de l'ex-URSS. Personne ne comprend pourquoi le milliardaire a été emmené en France, où il risque jusqu'à 20 ans de prison.
Elon Musk et Tucker Carlson ont déjà appelé les autorités françaises à libérer Durov, mais il est peu probable qu'à Paris, ils suivent ce conseil.
Israël n’a pas dit « son dernier mot » après ses bombardements au Liban, dit le premier ministre Benyamin Nétanyahou
L’armée israélienne avait commencé à bombarder le Liban préventivement, dimanche matin, avant les frappes de la milice chiite, et a poursuivi son attaque dans l’après-midi. Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, doit prendre la parole à 17 heures.
L’essentiel
Ce qu’il faut savoir dimanche à la mi-journée
Le Hezbollah a annoncé peu après 8 heures que son attaque d’envergure contre Israël était « terminée » pour dimanche et avait atteint ses objectifs. Il avait lancé, à l’aube, une attaque aérienne d’ampleur, « à l’aide d’un grand nombre de drones » et de « plus de 320 » roquettes.
Le mouvement chiite libanais a affirmé avoir « ciblé et endommagé »onze sites militaires dans le nord d’Israël et sur le plateau du Golan, occupé. Il s’agissait, selon lui, de « la première phase » de son plan pour venger la mort de Fouad Chokr, un de ses hauts chefs militaires, tué dans une frappe israélienne sur Beyrouth le 30 juillet. Les rebelles houthistes yéménites et le Hamas ont apporté leur soutien à leur allié.
Au petit matin, avant même le début de l’attaque, l’armée israélienne a affirmé avoir mené des « frappes préventives » au Liban, pour empêcher cette « attaque d’envergure »,après avoir repéré des signes de préparation du Hezbollah.
Elle a ensuite déclaré qu’une « une centaine » de ses avions avaient détruit « des milliers de rampes de lancement de roquettes »du Hezbollah, dans le sud du Liban. Elle a ajouté que le mouvement soutenu par l’Iran avait tiré « plus de 150 projectiles du Liban vers Israël ».
L’armée d’Israël s’est ainsi félicitée d’avoir « déjoué la plupart des attaques planifiées par le Hezbollah et intercepté la plupart des menaces », a déclaré son porte-parole Daniel Hagari à la mi-journée. Elle s’est dite « en train d’évaluer les dégâts provoqués par l’attaque », mais les a qualifiés de « mineurs ».
Le Hezbollah a annoncé que son chef Hassan Nasrallah prendrait la parole à 17 heures, heure de Paris, pour évoquer « les derniers développements », tout en balayant les déclarations d’Israël « concernant l’action préventive qu’il a menée (…) et l’échec de l’attaque ».
Trois personnes ont été tuées dans le sud du Liban par les attaques aériennes israéliennes, a fait savoir le ministère de la santé libanais. Un précédent bilant faisant état d’une victime.
Après cette attaque, les représentants de l’ONU au Liban, tout comme le premier ministre libanais, ont appelé à « cesser le feu ». Le bureau de la coordinatrice spéciale de l’Organisation des Nations unies pour le Liban (UNSCOL) et la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul)ont appelé les parties « à s’abstenir de toute nouvelle escalade ».
En conséquence de l’attaque, Israël examine sa participation aux négociations au Caire pour une trêve dans la bande de Gaza, a fait savoir le porte-parole de Benyamin Nétanyahou à l’Agence France-Presse. Une nouvelle session de discussions a commencé jeudi dans la capitale égyptienne, sans le Hamas, en présence des chefs du renseignement israélien, du directeur de la CIA, William Burns, ainsi que des chefs du renseignement égyptien et qatari.
15:28
Le secrétaire à la défense américain réaffirme l’engagement « sans faille » des Etats-Unis en faveur de la défense d’Israël « contre toute attaque de l’Iran »
Sur X, Lloyd Austin, le secrétaire à la défense américain, a dit avoir appelé, le ministre israélien de la défense, Yoav Gallant « pour discuter de la défense d’Israël contre les attaques du Hezbollah libanais. » « J’ai réaffirmé l’engagement sans faille des États-Unis en faveur de la défense d’Israël contre toute attaque de l’Iran et de ses partenaires et mandataires régionaux », a-t-il déclaré.
Selon un communiqué du bureau de M. Gallant, cité par le Washington Post, ce dernier aurait déclaré à M. Austin que « les forces de sécurité [du pays] sont déterminées à protéger les citoyens de l’État d’Israël et utiliseront tous les moyens à leur disposition pour éliminer les menaces immédiates ».
Attentat de la synagogue de La Grande-Motte (34) : le suspect arrêté à Nîmes dans le quartier sensible de Pissevin ; tirs échangés avec la police, il est blessé par balles (MàJ : c’est un migrant algérien en situation régulière)
25/08/2024
NFO ACTU17. L’auteur présumé de l’attaque de la synagogue de la Grande-Motte (Hérault) a été interpellé ce samedi soir dans le quartier Pissevin à Nîmes (Gard). Il a été neutralisé par balles.
(…) Le suspect a été neutralisé par balles alors qu’il se trouvait dans un appartement. Son pronostic vital ne serait toutefois pas engagé, toujours selon nos informations. L’homme aurait ouvert le feu au moment de l’intervention des forces de l’ordre.
L’image circulait depuis quelques minutes sur les réseaux, information reprise par le média local La Gazette de Montpellier.
(Merci à Jon.)
Sur les images de vidéosurveillance où apparait le suspect, l’individu apparaît avec un drapeau palestinien et une arme de poing à la ceinture, selon une source proche de l’enquête au Parisien.
Attentat contre la synagogue de la Grande Motte : “le suspect est de type arabe avec un drapeau palestinien noué autour de la taille et une arme de poing à la ceinture”, indique une source du renseignement intérieur. La sous direction antiterroriste (Sdat) et le parquet national antiterroriste (Pnat) sont saisis
Marseille : un homme poignardé à la gorge ; quelques rues plus loin au même moment, mais sans lien, une autre agression au couteau a lieu
24/08/2024
Deux jeunes hommes ont été blessés à l’arme blanche ce samedi 24 août au soir vers 18h dans le centre-ville de Marseille. L’un a reçu un coup à la gorge rue Nationale, l’autre au niveau du poumon, rue Henri-Barbusse. Les deux rixes, simultanées, n’ont pas de lien entre elles selon les premiers éléments recueillis sur place.
(…) un homme de 26 ans qui a reçu un coup de couteau au niveau du poumon. (…) Les premiers éléments recueillis sur place semblent converger vers la piste d’une rixe entre personnes sans domicile fixe. La victime, dont le pronostic vital n’était pas engagé, a été conduite à l’hôpital.
Au même moment (…) un homme d’une vingtaine d’années a été blessé à l’arme blanche au niveau du cou, dans des circonstances beaucoup plus floues. Il a été pris en charge lui aussi par les marins-pompiers, ses jours n’étaient pas en danger. Son agresseur en revanche, a pris la fuite.
Quatre personnes ont été arrêtées, soupçonnées de tentative de meurtre, après qu’un homme a été grièvement blessé lors d’une agression au couteau à Birmingham.
La police a été appelée au croisement de Dudley Road et Bellefield Road à Winson Green vers 01h30 BST samedi.
La victime, un homme d’une quarantaine d’années, avait été transportée à l’hôpital avec une blessure par coupure, mais était dans un état stable, a déclaré la police des West Midlands.
Trois hommes, âgés de 34, 29 et 26 ans, ainsi qu’une femme de 22 ans, restent en détention tandis que l’enquête policière se poursuit. (…)
Attentat de Solingen (Allemagne) : 3 morts et 8 blessés poignardés « au hasard » (MàJ : le suspect arrêté. Selon un média allemand – Issa al H., 26 ans, migrant syrien arrivé en 2022 qui a plus tard bénéficié de l’asile)
25/08/2024
L’agresseur présumé de Solingen a été arrêté : peu avant 23 heures, soit plus de 24 heures après l’attaque, le Syrien Issa al H. s’est rendu samedi soir à une patrouille de police, selon les informations du SPIEGEL. Ses vêtements étaient sales et tachés de sang, ont indiqué des sources sécuritaires. Le ministre de l’Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Herbert Reul (CDU), a confirmé un peu plus tard l’arrestation de l’ARD “Tagesthemen”.
Selon les informations du SPIEGEL, Issa al H., 26 ans, est né dans la ville syrienne de Deir al-Sor. Il est arrivé en Allemagne fin décembre 2022 et a demandé l’asile à Bielefeld. Un an plus tard, il a bénéficié d’une protection dite subsidiaire, dont bénéficient souvent les réfugiés provenant de pays déchirés par la guerre civile. C’est un musulman sunnite. Selon les informations du SPIEGEL, il n’était pas auparavant connu des autorités de sécurité comme un extrémiste islamiste. (…)
L’auteur de l’attentat de
Solingen qui a poignardé 9 allemands en ôtant la vie à 3 d'entre eux est un pseudo réfugié syrien. À quel moment les occidentaux vont-ils se décider à comprendre que ces gens ne fuient pas la guerre mais qu'ils viennent nous la mener ? pic.twitter.com/oPpUEKuXcB
L’État islmaique revendique via Amaq l’attaque au couteau de Solingen en Allemagne ayant fait 3 morts et 5 blessés, destinée à “venger les musulmans en Palestine et ailleurs”. L’auteur est qualifié de “soldat de l’EI”
Dans l’attaque de Solingen, selon les informations de « ZDF », les indices d’un acte à motivation politique se multiplient. « D’après mes informations, il y a beaucoup d’indices qu’un jeune homme aurait pu assassiner ici au nom de l’EI, au nom de l’État islamique », explique Sarah Tacke, cheffe du département juridique et justice. Cependant, elle ne cite aucune source. « C’est précisément cette piste que les enquêteurs suivent actuellement et veulent savoir exactement si c’est le cas », poursuit Tacke.
Dans un rapport de la police de Solingen, dont WELT a connaissance, on peut lire textuellement : « Un témoin blessé dans le crime a déclaré que le suspect était « connu de Solingen » et qu’il était également un visiteur d’une mosquée locale. Un témoin a rapporté que le suspect a crié ‘Allahu Akbar’ pendant ses crimes.
La personne arrêtée par la police serait un Kirghize de 15 ans. C’est ce que rapporte le « Spiegel ». L’adolescent vivrait dans un centre d’accueil pour réfugiés et aurait parlé à l’auteur présumé peu de temps avant le crime. « Selon les déclarations des témoins disponibles, une personne jusqu’alors inconnue aurait parlé à l’adolescent peu de temps avant l’attaque d’intentions qui correspondraient à l’exécution du crime », a déclaré le procureur général Markus Caspers lors de la conférence de presse samedi.
Les deux témoins, qui affirment avoir vu l’adolescent de 15 ans arrêté parler à l’auteur présumé, ont entendu, selon les informations en ligne de FOCUS, comment l’homme inconnu s’adressait au jeune : « Aujourd’hui, je poignarde tout le monde. »
Les attaques ciblées sur le cou témoignent d’une attaque entraînée. Le modus operandi laisse soupçonner qu’il s’agit d’un acte de terrorisme.
La mort le 2 juin d’un jeune policier de 29 ans, poignardé à la tête deux jours plus tôt à Mannheim, dans le Bade-Wurtemberg, avait fortement ému l’Allemagne. Cette attaque mortelle, perpétrée par un islamiste radical d’origine afghane de 25 ans, a mis un coup de projecteur sur les attaques au couteau, un phénomène en augmentation de l’autre côté du Rhin, selon les statistiques policières. Dans la foulée, le gouvernement d’Olaf Scholz s’est engagé à restreindre le port des couteaux dans l’espace public.
Le débat est à nouveau relancé par une nouvelle attaque meurtrière, survenue cette fois à Solingen, dans l’ouest du pays près de Düsseldorf. Un homme a poignardé des gens au hasard lors d’un festival qui se déroulait dans le centre-ville, avant de prendre la fuite. Il reste, ce samedi, activement recherché. D’après la police allemande, les victimes ont été ciblées au cou. Le bilan provisoire fait état de trois morts et huit blessés dont quatre graves.
Attentat islamiste de Solingen “ciblant des chrétiens” par un immigré syrien ayant bénéficié de la politique d’asile : le vice-chancelier de gauche veut serrer la vis sur l’interdiction de porter des armes dont les couteaux
25/08/2024
Après l’attaque au couteau à Solingen qui a fait trois morts, le vice-chancelier Robert Habeck (Verts) a appelé à « davantage de zones d’interdiction des armes à feu et à des lois plus strictes sur les armes à feu ». “Personne n’est obligé de porter des armes blanches ou tranchantes dans l’espace public en Allemagne”, a déclaré dimanche Habeck aux journalistes à Flensburg. “Nous ne vivons plus au Moyen Âge.” Les lois sur les armes à feu doivent donc être renforcées. Les centres-villes doivent rester « totalement exempts » d’armes, a-t-il ajouté. (…)
Robert Habeck, né le 2 septembre 1969 à Lübeck, est un écrivain et homme politique allemand, membre de l’Alliance 90/Les Verts [NdeFDS : parti “centre-gauche” écolo-progressiste]. Il est vice-chancelier et ministre fédéral de l’Économie et du Climat depuis le 8 décembre 2021. (…)
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