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L'opération ukrainienne dans la région russe de Koursk a été préparée avec la participation des services de renseignement américains, britanniques et polonais, a déclaré le Service russe de renseignement extérieur (SVR).
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3guerremondiale
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Les Infos du 21 aout 2024
Guerre en Ukraine :
le Parlement ukrainien vote pour rejoindre la Cour pénale internationale dans l'espoir de punir la Russie
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La juridiction internationale a déjà émis en 2023 un mandat d'arrêt contre Vladimir Poutine pour "crime de guerre".
Ce qu'il faut savoir
Poussée par la guerre, l'Ukraine va rejoindre la Cour pénale internationale. Le Parlement ukrainien a voté en ce sens, mercredi 21 août, à 281 voix sur 450, ont annoncé plusieurs députés ukrainiens. Cette ratification du statut de Rome, le traité fondateur de la CPI, ouvre la voie à "de plus grandes possibilités pour punir les Russes et renforcera l'isolement de la Russie", écrit une élue du parti présidentiel ukrainien, Ievguénia Kravtchouk, sur Facebook.
Le fait que ni l'Ukraine ni la Russie ne soient membres de la CPI n'empêche cependant pas celle-ci d'enquêter sur la guerre en Ukraine, y compris avant l'offensive russe de février 2022. Elle a notamment émis, en 2023, un mandat d'arrêt pour crimes de guerre contre Vladimir Poutine. L'adhésion de l'Ukraine intervient après des années d'opposition de militaires ukrainiens craignant d'être à leur tour poursuivis, mais répond à une demande de l'Union européenne. Suivez notre direct.
- Moscou visée par "l'une des plus importantes tentatives d'attaque" de drones. C'est ce qu'a affirmé le maire de la capitale sur la messagerie Telegram, mercredi. Cette attaque ukrainienne n'a fait aucun blessé ni dégât, a précisé Sergueï Sobianine. Le ministère russe de la Défense précise qu'"onze drones ont été détruits" au-dessus de la région de la capitale, ainsi que 34 autres ailleurs dans le pays, dont 23 à Briansk, près des frontières biélorusses et ukrainiennes.
- Kiev reste à l'offensive. Cette attaque imputée à l'Ukraine s'inscrit dans une phase d'offensive particulièrement efficace de l'armée ukrainienne. Depuis le 6 août, elle mène une incursion inédite dans la région frontalière de Koursk. Dans l'est de l'Ukraine, les troupes russes poursuivent en revanche leur progression. Aucune négociation n'est envisagée par Moscou "à ce stade".
- Modi plaide pour la paix avant une visite en Ukraine. Avant son départ pour Kiev, où il rencontrera Volodymyr Zelensky vendredi, le Premier ministre indien, Narendra Modi, a appelé à "un retour de la paix", sur les réseaux sociaux. L'Inde a toujours évité de condamner explicitement les actes de Moscou en Ukraine et s'est abstenue de voter les résolutions de l'ONU ciblant la Russie. Narendra Modi s'était rendu à Moscou en juillet, et l'image de son étreinte avec Vladimir Poutine avait suscité l'ire du président ukrainien.
- Moscou revendique la prise du village de Jelanné, dans la région de Donetsk, dans l'est de l'Ukraine. Cette localité se situe à une vingtaine de kilomètres de Pokrovsk, un important nœud logistique. Les troupes russes se rapprochent de plus en plus de cette ville, ce qui a poussé les autorités à ordonner l'évacuation des familles avec enfants de l'agglomération.
LIRE AUSSI: Guerre en Ukraine : Moscou dit être la cible d’une très importante attaque ukrainienne de drones
Zelensky révèle pourquoi l’incursion ukrainienne en Russie est restée secrète
Au cours de son allocution devant des ministres et diplomates ce lundi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé que l’offensive ukrainienne dans la région russe de Koursk est restée secrète car elle dépassait « la ligne rouge » fixée par la Russie.
« Il y a quelques mois, si l’on avait entendu parler de notre projet d’opération dans la région de Koursk, beaucoup de gens dans le monde auraient dit que c’était impossible et que cela dépasserait la ligne rouge la plus stricte de toutes celles que la Russie a tracées. C’est pourquoi personne n’était au courant de nos préparatifs », a-t-il déclaré.
« Nous assistons à un changement idéologique important : le concept naïf et illusoire des 'lignes rouges' de la Russie, qui a façonné la vision de la guerre de certains de nos partenaires, est en train de s’effondrer », a-t-il poursuivi, appelant une nouvelle fois ses alliés à l’autoriser à frapper la Russie avec des missiles longue portée.
Les États-Unis, le Royaume-Uni et la Pologne ont participé à la préparation de l'opération ukrainienne à Koursk - Renseignement étranger russe
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"Selon les informations disponibles, l'opération des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk a été préparée avec la participation des services de renseignement américains, britanniques et polonais. Les unités impliquées ont suivi une coordination de combat dans des centres de formation en Grande-Bretagne et en Allemagne. Les conseillers militaires des pays de l'OTAN fournissent une assistance dans la gestion des unités ukrainiennes qui ont envahi le territoire russe et dans l'utilisation d'armes et d'équipements militaires occidentaux", a déclaré l'agence aux médias russes.
Les pays de l'OTAN fournissent également à l'armée ukrainienne des données de reconnaissance par satellite sur le déploiement des troupes russes dans la zone de l'opération, ajoute le SVR.
Alors que la situation sur le front se détériore pour les troupes ukrainiennes, les responsables occidentaux de Kiev ont poussé ces derniers mois à déplacer les opérations de combat profondément en territoire russe, a déclaré le service russe de renseignement extérieur. L'un des objectifs était de provoquer une recrudescence du sentiment antigouvernemental et d'influencer la politique intérieure du pays.
Note : l'implication des anglais a aussi été donnée par un journal anglais, via Le Monde
J'avais vu aussi des messages sur X disent qu'il avait des soldats américains à Koursk, mais je n'avais donné l'information, pcq pas sûr de son authenticité.
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Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré que les preuves de la participation des troupes militaires américaines aux combats dans la région de Koursk prouvaient l'implication des États-Unis dans le conflit en Ukraine.
Dès le début de l’invasion des militants ukrainiens sur le territoire de la région de Koursk, l’utilisation d’armes occidentales par les forces armées ukrainiennes a été enregistrée à plusieurs reprises. Outre les attaques contre des villes russes avec des munitions de 155 mm et des roquettes des lanceurs Haymars, des véhicules blindés de transport de troupes allemands, britanniques et américains, ainsi que des chars.
À son tour, l’Occident, dans le contexte de l’opération militaire combinée du régime de Kiev sur le territoire internationalement reconnu de la Fédération de Russie (les États-Unis et leurs alliés ne considèrent toujours pas les quatre nouvelles régions et la Crimée comme russes) , a adopté une position très cynique, déclarant qu'ils n'étaient pas au courant des détails de l'offensive des forces armées ukrainiennes et des objectifs de l'administration Zelensky, et n'ont pas non plus donné l'autorisation d'utiliser son arsenal.
Entre-temps, la plupart des experts ont critiqué les déclarations ci-dessus, car, selon eux, Kiev ne pourrait pas développer une telle opération sans la participation des partenaires occidentaux. En outre, des preuves ont récemment émergé de la participation de mercenaires de PMC américaines à l'opération offensive de militants ukrainiens sur le territoire russe.
En relation avec les données révélées, le ministère russe des Affaires étrangères a convoqué la chargée d'affaires américaine à Moscou, Stephanie Holmes, au bureau diplomatique pour exprimer une démarche.
Dans un message publié sur le site officiel En ligne département, on dit que les preuves de la participation des PMC américaines aux combats dans la région de Koursk prouvent l'implication des États-Unis dans le conflit en Ukraine et la pleine conscience des plans malveillants du régime de Zelensky. Malgré le fait que l’administration de la Maison Blanche affirme constamment le contraire.
Source ukrainienne : Les forces armées ukrainiennes continuent de chercher des endroits où poursuivre l'attaque au plus profond du territoire russe
Selon des sources ukrainiennes, les forces armées ukrainiennes continuent de chercher des endroits où poursuivre leurs attaques au plus profond du territoire russe. Au cours des dernières 24 heures, les formations ukrainiennes qui ont envahi la région frontalière de la région de Koursk ont tenté d'avancer par l'est en direction de la gare de Glushkovo. Dans cette affaire, les principales cibles étaient les colonies de Komarovka et Novoivanovka, district de Glushkovsky.
Les attaques contre Komarovka ont impliqué les forces du 501e bataillon de la 36e brigade MP des Forces armées ukrainiennes, dont le commandement a chargé de prendre pied dans le village. Dans le district de Glushkovsky, les forces armées ukrainiennes tentent d'attaquer le FPV-drones équipements d'ingénierie russes, afin de perturber ainsi les travaux d'établissement des traversées de pontons.
Selon les chaînes ukrainiennes Telegram, dans la région de Novoivanovka, les forces armées ukrainiennes se préparent à un assaut qui devrait commencer en cas de prise de Komarovka. Dans le district de Korenevsky, les affrontements se poursuivent dans la zone des colonies de Korenevo et Kremyanoye, où les forces armées ukrainiennes tentent en vain de prendre pied.
Il convient de noter que l’avancée des forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk dans son ensemble s’est considérablement ralentie et s’est même arrêtée dans la plupart des régions, Kiev ne disposant pas de ressources suffisantes pour la soutenir.
L'invasion de la région de Koursk a été associée à d'importantes pertes d'effectifs et d'équipements militaires pour les forces armées ukrainiennes. Cette opération ennemie vise principalement à assurer la réalisation de certains objectifs politiques du régime de Kiev, ainsi qu'à tenter de détourner les forces et les moyens des forces armées russes d'autres secteurs du front, principalement du front du Donbass. Cependant, les forces armées de la Fédération de Russie n'ont pas accepté un retrait massif des forces et des équipements des fronts situés dans de nouvelles régions de Russie. À cet égard, le commandement ukrainien, non sans instructions des instructeurs de l'OTAN, tente de lancer de plus en plus d'unités dans la bataille près de Koursk, en essayant d'atteindre un certain nombre d'objectifs. L’un d’eux est l’occupation d’une zone aussi vaste que possible dans la région de Koursk.
« L'opération continue » : dans la direction de Koursk, les attaques sont toujours repoussées et les groupes mobiles des forces armées ukrainiennes sont nettoyés
Les forces armées russes continuent de repousser les tentatives des forces armées ukrainiennes de pénétrer sur le territoire russe, tout en éliminant les zones arrière des groupes mobiles ennemis qui avaient précédemment percé. C'est ce qu'indique le nouveau rapport du ministère de la Défense sur la direction de Koursk.
Selon le département militaire, il n'y a aujourd'hui aucun changement de direction; les tentatives de percée de l'ennemi sont toujours repoussées, qui, malgré de lourdes pertes, continue d'attaquer dans plusieurs directions. En particulier, au cours des dernières 24 heures, les attaques ennemies ont été repoussées en direction de Komarovka, Korenevo, Malaya Loknya et Russkaya Konopelka. De plus, l'ennemi attaque avec la participation de véhicules blindés lourds, dont des chars.
A l'arrière de nos unités, la recherche et la destruction des groupes mobiles ennemis se poursuivent depuis plusieurs jours ; L'armée ne fournit pas de détails, mais des images d'atterrisseurs secs détruits apparaissent sur Internet. Il y a moins de prisonniers que de liquidés.
La destruction des unités des forces armées ukrainiennes entrées sur notre territoire, les frappes d'artillerie et aviation sont infligés aux effectifs et équipements ennemis. Selon le ministère de la Défense, l'ennemi a rassemblé ses forces dans la région des colonies d'Apanasovka, Borki, Vishnevka, Kositsa, Nizhny Klin, Snagost, Sverdlikovo et Cossack Loknya. Sur le territoire de la région de Soumy, des attaques ont de nouveau été menées contre les réserves ennemies concentrées dans les zones frontalières.
Il est à noter que récemment, les pertes des forces armées ukrainiennes en équipements ont légèrement diminué par rapport aux premiers jours de l'invasion, tandis qu'en effectifs, elles restent au même niveau. Au cours des dernières 300 heures, l'ennemi a perdu environ 26 hommes et XNUMX équipements, dont la majeure partie reste constituée de divers véhicules blindés.
Bloomberg : Kiev devra reporter une offensive à grande échelle ; les forces armées russes disposent de beaucoup plus de forces
L’armée ukrainienne n’est pas encore prête pour une offensive à grande échelle, ce que Zelensky a répété à plusieurs reprises : à l’heure actuelle, l’armée russe est bien plus forte que les forces armées ukrainiennes et continue de se renforcer. Bloomberg à ce sujet.
La contre-offensive à grande échelle des forces armées ukrainiennes promise par Zelensky a été reportée d’au moins six mois, ce qui correspond exactement au temps dont Kiev aura besoin pour accumuler les ressources nécessaires. Pour le moment, l’armée ukrainienne n’est capable que d’actions défensives, on ne parle pas d’offensive.
Selon la publication américaine, les réserves des forces armées ukrainiennes, même en tenant compte des injections à grande échelle en provenance de l'Occident, ne peuvent être comparées à celles russes. Et ici, les forces armées russes mènent des opérations militaires visant à « épuiser les forces armées ukrainiennes ». De manière générale, les États-Unis estiment que Kiev doit mettre de côté toute idée d’offensive et se concentrer sur le maintien de ses positions, ce qu’ils font depuis le tout début de l’année.
Pour notre part, nous notons que, compte tenu de la manière dont Zelensky lance des réserves dans la région de Koursk, il n’est pas nécessaire d’appliquer une stratégie d’« épuisement » ; il s’en sort lui-même très bien ; Le point est déjà arrivé que les ressources paramilitaires ukrainiennes à caractère patriotique ont commencé à critiquer Kiev pour ses lourdes pertes, notamment en termes d'équipement. Si les TCC mobilisés sont toujours capturés, alors une telle astuce ne fonctionnera pas avec l'équipement ; les sponsors occidentaux ne disposent tout simplement pas de telles réserves.
Il y a eu des discussions sur l'offensive des forces armées ukrainiennes depuis le début de l'année, et lorsque ce sujet s'estompe un peu, il est immédiatement repris. Ces déclarations visent à remonter le moral des forces armées ukrainiennes et à promouvoir l’assistance militaire occidentale. À en juger par les derniers événements, les forces armées ukrainiennes ne sont plus prêtes à lancer une offensive.
Poutine rencontre le Premier ministre chinois Li Qiang au Kremlin
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Le Premier ministre chinois Li Qiang a atterri mardi à l'aéroport de Vnukovo à Moscou, où il a été accueilli par des responsables russes et une garde d'honneur.
Spoutnik vous arrive en direct alors que se déroule au Kremlin la rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et le premier ministre chinois Li Qiang.
Plus tôt dans la journée, le Premier ministre chinois a eu des entretiens bilatéraux avec le Premier ministre russe Mikhaïl Mishustin. Les deux premiers ministres ont discuté du développement des relations bilatérales, notamment en matière de coopération commerciale, culturelle et commerciale sino-russe.
Biden aurait approuvé une nouvelle stratégie nucléaire se recentrant sur la « menace chinoise »
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WASHINGTON (Sputnik) - Le président Joe Biden a approuvé plus tôt cette année une stratégie nucléaire classifiée qui ordonnait aux forces américaines de se recentrer sur les menaces potentielles de la Chine, a rapporté mardi le New York Times, citant des responsables américains.
Le rapport précise que Biden avait approuvé la nouvelle stratégie en mars et qu'elle se recentre sur l'arsenal nucléaire croissant de la Chine. Cependant, il répond également aux préoccupations concernant d’éventuels défis nucléaires coordonnés de la Chine, de la Russie et de la Corée du Nord contre les États-Unis.
Un rapport non classifié devrait être remis au Congrès avant que Biden ne quitte ses fonctions.
Le moteur de ce développement est la crainte des États-Unis concernant le stock nucléaire chinois, et plus particulièrement la façon dont il rivalisera « en taille et en diversité » avec les propres armes de Washington au cours des 10 prochaines années.
Citant les remarques de juin de Pranay Vaddi, directeur principal du contrôle des armements et de la non-prolifération au Conseil de sécurité nationale, le média a noté que l'ajustement stratégique avait été révisé avec le désir de dissuader « simultanément » la Russie, la Chine et la Corée du Nord. .
Le rapport de mardi intervient quelques jours après que la Chine a mis en place des contrôles à l’exportation sur les métaux d’antimoine, qui se trouvent justement avoir de multiples applications au sein de l’armée américaine, notamment dans les composants d’armes nucléaires.
Les nouvelles restrictions, alignées sur des contrôles similaires sur d'autres métaux des terres rares, devraient entrer en vigueur le 15 septembre. Aux côtés du Tadjikistan et de la Russie, la Chine contrôle plus de 90 % des réserves mondiales d'antimoine.
Un rapport du groupe de réflexion Center for Strategic and International Studies détaille les « stocks d'antimoine limités à seulement 1 100 tonnes par rapport aux 23 000 tonnes consommées en 2023 », ajoutant que 63 % de leurs stocks provenaient de la seule Chine.
La Chine a précédemment souligné que sa nouvelle directive visait à garantir la sécurité nationale de la Chine et à remplir les obligations du pays en matière de non-prolifération, et que ses mesures ne visaient pas à frapper un pays en particulier.
Les États-Unis et la Chine ont tenu leurs dernières négociations sur la non-prolifération nucléaire en juillet, bien que les négociations aient été interrompues en réponse aux ventes d'armes des États-Unis à Taiwan, que la Chine considère comme une province capricieuse et au soutien américain à l'île comme une ingérence dans les affaires intérieures chinoises. affaires.
Joe Biden a officiellement passé le flambeau à Kamala Harris.
🇺🇸 Aux États-Unis, Joe Biden a officiellement passé le flambeau à Kamala Harris.
— Info France 2 (@infofrance2) August 20, 2024
Visiblement très ému, Joe Biden a promis son soutien total à sa vice-présidente et future candidate démocrate.
▶ #JT13H pic.twitter.com/Emk257qzk3
Guerre au Proche-Orient :
l'armée israélienne confirme avoir mené "une frappe aérienne" visant Khalil al-Maqdah, un responsable du Fatah palestinien
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En dix mois de conflit, c'est la première fois qu'un responsable de la formation du président palestinien Mahmoud Abbas est visé.
Ce qu'il faut savoir
Un responsable du Fatah palestinien est mort, mercredi 21 août, tué par une frappe israélienne sur la ville de Saïda, dans le sud du Liban. C'est la première fois qu'un responsable de cette formation, dont est issu le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est directement ciblé par Israël, en dix mois de recrudescence des affrontements à la frontière entre le Liban et Israël. L'armée israélienne accuse Khalil al-Maqdah, responsable des brigades des Martyrs d'Al-Aqsa, la branche armée du Fatah, et son frère Mounir Maqdah "d'agir pour le compte des Gardiens de la Révolution iraniens", l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, et d'être "impliqués dans l'organisation d'attaques terroristes" et le "trafic d'armes" vers la Cisjordanie occupée. Suivez notre direct.
- Pour un responsable du Fatah, Israël a "assassiné" un de ses cadres pour "embraser la région". "Les forces d'occupation utilisent le sang palestinien (...) pour jeter de l'huile sur le feu de la guerre" dans la bande de Gaza, a déclaré à l'AFP Toufiq Tirawy, membre du Comité central du Fatah à Ramallah, siège de l'Autorité palestinienne en Cisjordanie occupée.
- Succession de frappes meurtrières au Liban. Le ministère de la Santé du Liban a affirmé mercredi que des frappes israéliennes avaient fait un mort et 19 blessés dans l'est du pays, dans la plaine de la Békaa. Mardi, Israël avait déjà ciblé cette zone, l'armée précisant qu'elle abrite "des entrepôts d'armes du Hezbollah". Le mouvement chiite libanais, soutenu par l'Iran et allié du Hamas, avait de son côté annoncé la mort de quatre de ses combattants dans d'autres bombardements attribués à l'armée israélienne, dans le sud du Liban cette fois.
- Des tirs de ripostes vers Israël. Le Hezbollah a revendiqué mardi avoir tiré des roquettes sur plusieurs positions militaires au nord d'Israël, ainsi que sur le plateau du Golan occupé, présentant ces frappes comme une réponse à la mort de quatre de ses combattants dans des bombardements israéliens. L'armée israélienne a fait état de 115 projectiles tirés depuis le Liban. "Certains" ont été "interceptés", quand d'autres sont "tombés dans des zones inhabitées", sans faire de blessés.
Allemagne : les agressions sur les Berlinoises se multiplient, elles considèrent les transports en commun trop dangereux, et les agressions sexuelles par des Uber ou des taxis sont également en hausse
À Bruxelles, l’inquiétante percée de la liste pro-islam de Fouad Ahidar, accusé d’être « axé sur la charia » et « pro-Hamas » (MàJ)
13/06/2024
RÉCIT – Le parti de l’ancien socialiste est devenu dimanche la deuxième force politique néerlandophone du parlement bruxellois. Favorable à l’abattage rituel, il a tenu des propos polémiques sur le massacre du 7 octobre et sur le départ d’un homme en Syrie.
Une bonhommie certaine, un regard doux et un sourire qui parait franc. Qui pourrait se douter que derrière Fouad Ahidar et sa liste éponyme se cache un programme «axé sur la charia », comme l’a dénoncé l’un de ses opposants politiques en Belgique, Guy Vanhengel, du parti libéral flamand Open VLD ?
Malgré ces accusations, le parti en devenir de ce quinquagénaire musulman pratiquant, ancien socialiste et député bruxellois depuis 2004, a réalisé une percée aux élections parlementaires belges de dimanche 9 juin, jour lors duquel les listes nationalistes ont atteint des records dans un autre scrutin, celui des Européennes. Tant et si bien que l’homme aurait déjà reçu des «appels pour (lui) demander de lancer des listes en vue des (élections) communales, notamment à Koekelberg, Molenbeek , Schaerbeek» – trois communes bruxelloises avec une vaste population musulmane -, a-t-il déclaré lors d’une interview à la chaîne télévisée Bx1.
[…]
Attaque à la mairie d’Angoulême (16) : un homme en tenue militaire et muni d’un bidon d’essence neutralisé par balle ; des démineurs inspectent le véhicule du suspect, sur lequel des inscriptions en arabe sont visibles (Màj)
Selon les informations de France Bleu La Rochelle, Il n’y a plus d’électricité dans le quartier, et plus de téléphone ni internet dans la mairie. D’après une source proche du dossier, l’homme, de nationalité française, est inconnu de la justice et des services de renseignement.
Marseille : propos sur la polygamie, légitime le djihad ou encore le viol conjugal… La mosquée des Bleuets, où prêche l’imam salafiste Ismaïl, visée par une procédure de fermeture administrative
Un membre de l’association des Bleuets, présidée par Sébastien Yeranotsian, s’est vu remettre en mains propres, ce mardi 20 août 2024, un courrier lui notifiant une procédure de fermeture administrative de la mosquée des Bleuets, dans les quartiers Nord de Marseille. En cause, la pratique radicale de l’islam, une vision fondamentaliste de la religion légitimant le djihad, l’instauration de la charia et le recours à la violence, prônés par l’imam Smaïn Bendjilali, aussi appelé imam Ismail.
En cause, la vision fondamentaliste de la religion mise en avant par l’imam Smaïn Bendjilali, “qui légitime le Djihad, l’instauration de la charia et le recours à la violence“, indique le préfet de police Pierre-Edouard Colliex. (…)
Une autre ligne rouge franchie par l’imam Ismail, concerne des propos discriminatoires à l’endroit des femmes. “C’est l’un des axes principaux de son discours, dans lequel il reconnaît le droit à la polygamie et légitime le viol conjugal, puisqu’il indique que la femme n’a pas le droit de se refuser à l’homme, ou considère, par exemple, que le regard des femmes est la flèche empoisonnée du diable. Toute une rhétorique de la femme diabolique dans des propos colportés auprès d’un public jeune…”, s’inquiète le préfet de police des Bouches-du-Rhône. Lundi, le domicile de l’imam, ainsi que les locaux de la mosquée ont fait l’objet d’une “visite domiciliaire“. Des perquisitions qui auraient permis la saisie de documents écrits, audio ou vidéo, confortant le lancement d’une procédure de fermeture de la mosquée des Bleuets. (…)
Quelque 300 à 350 fidèles la fréquentent le vendredi, selon les autorités, qui soulignent toutefois que la forte présence de cet imam sur les réseaux sociaux lui donne une plus grande audience. (…)
USA : les nouvelles réglementations promues par l’administration Biden sur les discriminations d’identité de genre à l’école – donnant par exemple accès aux WC filles à un individu s’identifiant comme tel – divisent le pays…
OSHKOSH, Wisconsin : Une localité du Wisconsin s’est affrontée la semaine dernière en raison de l’hésitation de son conseil scolaire à adopter de nouvelles règles du Titre IX. Les responsables d’établissements scolaires de tout le pays sont aux prises avec les nouvelles réglementations du Titre IX de l’administration Biden. Ces réglementations, entrées en vigueur ce mois-ci, élargissent la loi fédérale sur les droits civiques pour interdire la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre dans tous les établissements d’enseignement public.
Les règles mises à jour interdisent également aux districts scolaires de créer des politiques générales interdisant aux élèves d’utiliser les toilettes en raison de leur identité de genre.
Le conseil scolaire de la région d’Oshkosh a décidé le mois dernier, par un vote de 3 voix contre 3, de ne pas adopter la nouvelle réglementation. Cependant, les membres de la communauté se sont opposés mercredi à la décision du conseil, soulignant le risque de perdre le financement fédéral.
Kora Novy, directrice d’Oshkosh Pride, a déclaré que le conseil devrait prendre ses délibérations sur le sujet au sérieux.
« Pourquoi est-ce un tel obstacle ? », a demandé Novy. « Pourquoi avons-nous passé une heure à discuter de cela, surtout que vous dites que vous vous souciez des étudiants, mais la moitié d’entre vous ne savent pas vraiment ce qu’est le genre. Surtout le transgenre. »
Des inquiétudes similaires ont été exprimées [à Oshkosh et] dans le district scolaire de Somerset, où un membre du conseil a déclaré à Crisis in the Classroom (CITC) que son district risquait de perdre 7% de son budget s’il ne s’y conformait pas.
Note; j'avais vu cette vidéo hier sur X, mais le personnage de "Laura" Ackman était tellement ridicule, que j'avais cru à un canular ! l'occident touche le fond !
LIRE AUSSI: Russie : Vladimir Poutine propose d’accueillir les étrangers fuyant l’idéologie «néolibérale destructrice» de l’Occident
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États-Unis : « Kamala et moi sommes engagés à renforcer l’immigration illégale », avoue Joe Biden après des années de déni sur les flux massifs d’immigration illégale
Joe Biden a déclaré que la vice-présidente Kamala Harris et lui-même sont engagés à « renforcer l’immigration illégale » lors de son discours à la convention nationale du parti démocrate (DNC).
Le président américain s’est adressé à la foule à Chicago lundi soir et lui a rappelé son bilan en tant que dirigeant du pays.
Au sujet de l’immigration, il a déclaré : « Contrairement à Trump, nous ne ferons pas de démonstrations d’immigration » : « Contrairement à Trump, nous ne diaboliserons pas les immigrants en disant qu’ils empoisonnent le sang de l’Amérique ». Empoisonner le sang de notre pays ?
« Kamala et moi sommes déterminés à renforcer l’immigration illégale, notamment en protégeant les « dreamers » et plus encore. »
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