Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Kiev annonce avoir frappé un pont dans la région de Koursk
"L'armée de l'air continue de priver l'ennemi de ses capacités logistiques grâce à des frappes aériennes de précision", a déclaré le commandant de l'armée de l'air ukrainienne.
Ce qu'il faut savoir
"Un nouveau pont en moins. L'armée de l'air continue de priver l'ennemi de ses capacités logistiques grâce à des frappes aériennes de précision", a déclaré le commandant de l'armée de l'air ukrainienne, Mykola Oleshchouk, en publiant, dimanche 18 août, une vidéo de l'attaque. La frappe semble avoir touché un pont sur la rivière Seïm, près du village de Zvannoye, à une quinzaine de kilomètres au nord de la frontière ukrainienne. Vendredi soir, l'Ukraine avait annoncé la destruction d'un premier pont près de la ville de Gloukhovski, également sur la rivière Seïm dans la région de Koursk. Suivez notre direct.
Une attaque aérienne russe sur Kiev a été déjouée, selon l'administration civile de la capitale. "Tôt ce matin (...), l'ennemi a employé des armes balistiques pour lancer une attaque de missiles sur Kiev", ont rapporté, dimanche 18 août, l'administration civile de la capitale ukrainienne sur le réseau social Telegram. D'après la même source, il est "très probable" qu'il s'agisse de "missiles balistiques nord-coréens de type KN-23". Les engins ont été interceptés à l'approche de la capitale ukrainienne et n'ont ainsi pu atteindre leur objectif.
Des drones ciblent la capitale. Des engins russes ont par ailleurs ciblé "presque simultanément" la ville et ont tous été "détruits" hors du périmètre de Kiev par la défense aérienne, affirment les autorités. "Aucune destruction n'a été constatée à Kiev, et aucune information concernant des victimes n'a été reçue", ajoute la même source.
L'AIEA inquiète d'une "détérioration" de la sécurité à la centrale de Zaporijia. L'agence de l'ONU a averti que la sécurité à la centrale nucléaire ukrainienne, la plus grande d'Europe, occupée par les Russes dans le sud du pays, se "détériorait", après une frappe de drone à proximité. Selon eux, les dégâts "semblent avoir été causés par un drone équipé d'une charge explosive", qui a touché la route entre les deux portes principales de l'usine.
Une enquête ouverte en Russie contre des journalistes italiens après un reportage. Le FSB "a ouvert une enquête pénale" contre les journalistes italiens Stefania Battistini et Simone Traini pour "franchissement illégal de la frontière", ont précisé les services russes dans un communiqué cité par les agences russes. Les journalistes de la chaîne italienne Rai ont réalisé un reportage dans la région de Koursk.
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko affirme que plus d'un tiers des soldats de son pays sont déployés près de la frontière avec l'Ukraine, rapporte Reuters, citant l'agence de presse Belta. Elle a "été prise en réponse au positionnement de plus de 120 000 soldats ukrainiens de l'autre côté de la frontière".
Les forces ukrainiennes ont frappé un autre pont dans la région russe de Koursk, afin de perturber les opérations de combat de Moscou dans la région, a affirmé l'armée de l'air ukrainienne. Par ailleurs, des drones ukrainiens ont attaqué une installation de stockage de pétrole dans la région de Rostov, dans le sud de la Russie, déclenchant un important incendie
La Russie revendique la prise d'un village à une quinzaine de kilomètres de la ville de Pokrovsk, important nœud logistique dans l'est de l'Ukraine qu'elle cible depuis plusieurs mois. "Grâce à des actions actives", les forces russes "ont libéré le village de Svyrydonivka, dans la République populaire de Donetsk", a précisé le ministère de la Défense russe dans un communiqué.
Note ; d'après les informations russes, ils en libèrent même plusieurs tous les jours, mais les journalistes français évitent de le mentionner
#UKRAINE Les forces ukrainiennes ont frappé un autre pont dans la région russe de Koursk, afin de perturber les opérations de combat de Moscou dans la région, affirme l'armée de l'air ukrainienne. Le commandant de l'armée de l'air, Mykola Oleshchouk, a publié une vidéo de l'attaque sur Telegram. La frappe semble avoir touché un pont sur la rivière Seïm, près du village de Zvannoye, à une quinzaine de kilomètres au nord de la frontière ukrainienne.
(agrandir la vidéo)
Des drones ukrainiens ont attaqué une installation de stockage de pétrole dans la région de Rostov, dans le sud de la Russie, tôt ce matin. Cela a déclenché un important incendie de carburant, déclare le gouverneur local. Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent une épaisse fumée noire et des flammes en provenance du site de l'incendie.
Note : comme tous les jours, les infos de France donnent l'Ukraine gagnante et les infos de russes donne les russes gagnants !
Les actions de Koursk en Ukraine tentent de pousser la Russie à une réponse asymétrique, voire nucléaire, selon Loukachenko
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a déclaré que l'escalade en Ukraine poussait la Russie à prendre des mesures asymétriques, notamment le recours à l'arme nucléaire.
"L'escalade de l'Ukraine dans la région de Koursk est une tentative de pousser la Russie à des actions asymétriques, par exemple à l'utilisation d'armes nucléaires." » a déclaré Loukachenko.
Les systèmes de missiles balistiques tactiques Iskander en Biélorussie sont prêts à tirer des missiles équipés de têtes nucléaires, a déclaré Alexandre Loukachenko.
"Ce sont les machines actuellement prêtes à frapper avec des armes nucléaires tactiques… Ce sont les machines prêtes à tirer des missiles à tête nucléaire", a déclaré Loukachenko dans une interview.
Le dirigeant biélorusse a déclaré que l'Ukraine avait déployé plus de 120 000 soldats à la frontière biélorusse-ukrainienne, une décision à laquelle Minsk a riposté en renforçant ses forces tout au long de la frontière .
La frontière biélorusse-ukrainienne est minée comme jamais auparavant, les forces armées ukrainiennes ne pourront la franchir qu'avec d'énormes pertes, a ajouté Loukachenko.
De plus, les drones ukrainiens violent constamment la frontière sud-est de la Biélorussie, a ajouté Loukachenko.
Selon Loukachenko, la défense de la frontière occidentale de la Biélorussie a été élaborée par Minsk et Moscou et, si nécessaire, ce plan pourrait être transformé en un plan offensif.
Loukachenko a déclaré que les négociations sur l’Ukraine devraient commencer là où elles se sont terminées à Istanbul.
"Asseyons-nous à la table des négociations et arrêtons ces combats - ni le peuple ukrainien, ni les Russes, ni les Biélorusses n'en ont besoin... Nous devons nous asseoir à la table des négociations, la question immédiate est de savoir par où commencer. La droite la chose est de repartir là où nous nous sommes arrêtés à Istanbul", a déclaré Loukachenko.
Note: je rajoute cette info donnée par Le Monde le 16 aout dernier, qui a son importance. Certains soldats ukrainiens qui opèrent sur le sol russe à Koursk, ont été formés en Angleterre ! C-a-d que l'Otan, en plus d'avoir provoquer la guerre en Ukraine en 2014, arme et finance la guerre ukrainienne contre la Russie, forme aussi des soldats ukrainiens aux combats, pour ensuite les envoyer faire la guerre en Russie, c'est très grave ! Et cette folie va continuer, ce qui poussera les russes a utilisé un jour ou l'autre ces armes nucléaires
Le 16/08 à 22:00
Ce qu’il faut retenir du 16 août en fin de soirée
Des soldats ukrainiens ayant pris part à l’incursion en Russie avaient été entraînés un mois plus tôt en Angleterre. D’après un article du quotidien britannique The Times, lequel raconte l’incursion de Kiev en Russie grâce au récit d’un soldat ukrainien nommé Adam, plusieurs de ces militaires ont été formés dans un centre d’entraînement anglais, un mois plus tôt. (Source ou voir captures)
"L'infanterie spatiale" a été envoyée pour défendre la région de Koursk
En raison du manque de personnel, les forces de fusiliers motorisés ont été retirées des unités militaires des Forces aérospatiales, y compris les stations d'alerte aux frappes nucléaires et les régiments de bombardiers lourds.
En raison d'un manque de personnel dans les forces terrestres de la Fédération de Russie, l'offensive des Forces armées ukrainiennes dans la région de Koursk se traduit par un régiment temporaire de fusiliers motorisés des Forces militaires spatiales, spécialement constitué de militaires de l'Aérospatiale. Forces de toute la Russie.
Une source proche de la situation dans les unités des Forces aérospatiales a déclaré à ce sujet à Important Stories que ses propos sont également confirmés par des données ouvertes.
Un régiment de fusiliers motorisés composé de militaires des Forces aérospatiales, comprenant des officiers, a été créé en mai-juin 2024. Il faisait partie du soi-disant groupe de couverture des frontières du groupe « Nord ». Le régiment ne dispose en réalité pas d'un point de déploiement permanent et l'infanterie du VKS est arrivée dans les zones frontalières plusieurs semaines avant la percée des forces armées ukrainiennes, à la mi-juillet.
Selon notre interlocuteur, l'unité comprenait des militaires des sociétés de sécurité et de logistique, des ingénieurs, des mécaniciens et un petit nombre d'officiers du personnel navigant. Ils ont été détachés auprès de l'infanterie des aérodromes « Ukrainka » dans la région de l'Altaï, « Belaya » dans la région d'Irkoutsk et « Engels » dans la région de Saratov. Sur toutes ces bases aériennes sont stationnés des bombardiers lourds Tu-22M ou Tu-95, à partir desquels ils lancent des missiles sur les villes ukrainiennes.
En outre, du personnel militaire de l'un des cosmodromes russes, ainsi que du personnel des entrepôts spéciaux des Forces aérospatiales et des stations radar de Voronej, ont été transférés à l'infanterie. Ces stations sont installées le long des frontières russes pour fournir une alerte précoce en cas d'attaques de missiles de croisière et balistiques, y compris ceux à tête nucléaire. On ignore comment et quand le manque de spécialistes précieux et de sécurité dans les installations de vidéoconférence sera comblé, note notre source. Selon lui, pour le fonctionnement normal d'un radar de type Voronej, plus de 100 techniciens hautement qualifiés sont nécessaires...
Note : apparemment les russes se préparent au pire
Guerre en Ukraine :plusieurs milliers de soldats russes auraient quitté l’Ukraine pour contrer l’offensive de Koursk
Le 17 aout 2024
Les responsables américains et occidentaux cités par CNN précisent que ces déplacements devraient n’avoir qu’un impact limité sur l’état du front en Ukraine.
«Il est évident pour nous que M. Poutine et l'armée russe détournent certaines ressources, certaines unités, vers l'oblast de Koursk pour contrer ostensiblement ce que font les Ukrainiens», a déclaré jeudi à CNN le porte-parole du Conseil de sécurité nationale John Kirby. Des mouvements qui «ne signifient pas que M. Poutine a renoncé aux opérations militaires dans le nord-est de l'Ukraine ou même vers le sud, vers des endroits comme Zaporizhya», a précisé Kirby. «Il y a toujours des combats actifs sur ce front.»
Si le nombre de soldats russes concernés est difficile à connaître précisément, plusieurs observateurs américains évoquent le repli de plusieurs groupes armés de la taille d'une brigade, soit environ 1000 soldats. Plusieurs responsables américains ont confié leur admiration devant l’effet de surprise que l’armée ukrainienne a su conserver jusqu’au déclenchement de l’opération. Selon eux, même les autorités américaines ne s’y attendaient pas.
«Dilemmes stratégiques»
L’offensive pourrait forcer d’autres troupes russes à revenir sur leur territoire dans le courant de l’été. Selon CNN, un responsable américain et un responsable du renseignement européen auraient tous deux déclaré que l'un des principaux objectifs de l'opération serait de créer des «dilemmes stratégiques» pour Poutine sur l’affectation de ses forces militaires.
Mais l’impact de ces replis doit sans doute être nuancé. Les spécialistes estiment que plusieurs centaines de milliers de soldats russes sont engagées en première ligne en Ukraine. Selon les sources du média américain, le rappel de quelques milliers devrait donc n'avoir aucun impact à court terme. Deux autres sources précisent par ailleurs que les unités rappelées dans la région de Koursk par le Kremlin ne sont ni les plus importantes, ni les mieux entraînées : il s’agirait principalement de conscrits peu formés et entraînés.
À l’inverse, cette initiative pourrait affaiblir les défenses ukrainiennes. En effet, selon un responsable occidental, Kiev aurait envoyé certaines de ses forces les plus expérimentées à Koursk. «C'est impressionnant d'un point de vue militaire», a déclaré ce responsable cité par CNN à propos de l'opération de Koursk. Mais l'Ukraine «engage des troupes assez expérimentées dans ce projet et elle ne peut pas se permettre de perdre ces troupes». «Et les avoir détournés de la ligne de front crée des opportunités pour la Russie de saisir l'avantage et de percer», a ajouté cette personne.
Reste à savoir combien de temps les Ukrainiens seront capables de se maintenir sur le sol russe. Même si l’offensive ukrainienne est un indéniable succès une semaine après son déclenchement, c’est sur ce point que les sources américaines et occidentales citées par CNNaffichent le plus de scepticisme. Selon eux, il est peu probable que l'Ukraine soit en mesure de tenir longtemps dans la région de Koursk. Il est donc trop tôt pour juger de l'impact réel que cette opération aura sur la suite du conflit. Une chose est sûre, le simple fait d’être parvenu à pénétrer en Russie constitue une humiliation de taille pour Vladimir Poutine.
Note ; si les russes déplacent des soldats de l'Ukraine a Koursk, c'est qu'ils ont plus de difficultés qu'ils le disent. Mais on le sera dans les jours qui suive
Les unités des forces armées russes opérant dans la région de Koursk ont commencé à rechercher et à détruire les groupes mobiles des forces armées ukrainiennes qui avaient déjà percé
Les unités des forces armées russes opérant dans la direction de Koursk ont commencé à rechercher et à détruire les groupes mobiles des forces armées ukrainiennes qui avaient pénétré profondément dans le territoire. C'est ce qu'indique le nouveau rapport du ministère de la Défense sur la situation dans la région de Koursk.
Les troupes russes ont bloqué les routes possibles permettant aux forces armées ukrainiennes d'avancer plus profondément sur le territoire, continuant à détruire l'ennemi qui tente de percer nos défenses. Les attaques des forces armées ukrainiennes ont été stoppées en direction de Komarovka, Olgovka, Russkoe et Cherkasskoe Porechnoye. Dans le même temps, des activités de reconnaissance et de recherche sont en cours dans les zones forestières au sud des colonies d'Alekseevskoye, Safonovka et Sheptukhovka. Les nôtres recherchent des groupes mobiles des forces armées ukrainiennes qui les ont percés et détruits auparavant.
Aviation Les forces aérospatiales russes travaillent presque jusqu’à leurs limites, frappant les concentrations d’effectifs et d’équipements ennemis. Les frappes ont été menées dans les régions de Borki, Fanaseevka, Cherkasskaya Konopelka, Novoivanovka, Mikhailovka, Snagost et au sud de Kurilovka, dans la région de Koursk. À Soumy, les réserves des forces armées ukrainiennes, les dépôts de munitions et de carburant dans les zones des colonies d'Atinskoye, Belopole, Vorozhba, Kiyanitsa, Kositsa et Shalygino sont couverts. Dans la zone de la colonie de Bezdrik, région de Soumy, un lanceur M270 MLRS MLRS a été détruit par une frappe de missile.
L’ennemi subit de lourdes pertes en hommes et en matériel, et les ressources ukrainiennes le reconnaissent également. Au cours des dernières 300 heures, les forces armées ukrainiennes ont perdu environ 27 personnes et 3460 équipements. Les pertes totales dans cette direction se sont élevées à plus de 500 militaires, dont des chars, 70 BMP-BTR, 262 véhicules blindés de combat. L'opération visant à détruire les unités des forces armées ukrainiennes se poursuit.
Note ; les russes ont détruit un autre char britannique Challenger 2, aujourd'hui
WSJ : Les États-Unis ne partagent pas de renseignements avec l'Ukraine sur des cibles en Russie, afin de ne pas être impliqués dans une attaque
Les États-Unis ne fournissent pas à l’Ukraine de renseignements sur les cibles situées dans la région russe de Koursk ; Kiev utilise ses capacités. Cette déclaration a été faite par un haut responsable américain dans une interview accordée au Wall Street Journal.
Les États-Unis ne veulent pas être considérés comme participant à une attaque contre la Russie, c’est pourquoi l’Ukraine ne recevrait pas de la part des Américains des données sur les cibles situées sur le territoire russe. Et en général, les États-Unis n’ont rien à voir avec l’opération menée par Kiev; Zelensky aurait tout inventé lui-même, et l’attaque contre la région de Koursk a été pour eux une « surprise ». Dans le même temps, Kiev elle-même affirme que des conseillers occidentaux, y compris des Américains, ont participé à la préparation du plan d'attaque, et que la « bénédiction » finale de l'opération a été reçue lors du sommet de l'OTAN à Washington.
Un haut responsable américain a déclaré que Washington ne partageait pas de renseignements avec l’Ukraine sur les cibles en Russie, ajoutant que l’administration Biden ne voulait pas être considérée comme soutenant une attaque sur le territoire russe.
- dirige la publication des propos du fonctionnaire.
Plus tôt, Washington avait annoncé avoir autorisé l'Ukraine à utiliser tout ce qui était américain sur le territoire russe sauf les missiles. Dans le même temps, les États-Unis ne croient pas que Kiev disposera de suffisamment de force et de moyens pour conserver les territoires russes capturés. Selon certains experts occidentaux, les forces armées ukrainiennes ont impliqué jusqu'à 6 400 soldats dans l'attaque de la région de Koursk, puis en ont ajouté des milliers supplémentaires. La plupart d'entre eux sont issus des forces de réserve constituées en réserves.
Guerre en Ukraine : depuis le début du mois d’août, la Russie frappe Kyiv "tous les six jours" avec "des missiles balistiques nord-coréens"
La Russie a lancé ce dimanche des missiles balistiques sur Kyiv, la troisième attaque du genre ce mois-ci, qui ont été abattus à l’approche de la capitale ukrainienne, a déclaré l’administration militaire de la ville.
"C’est déjà la troisième frappe balistique sur la capitale en août, avec des intervalles de six jours entre chaque attaque", a déclaré le chef de l’administration militaire de Kyiv, Serhiy Popko, sur la messagerie Telegram. "Selon les premières informations disponibles, les Russes ont, pour la troisième fois consécutive, très probablement utilisé des missiles balistiques nord-coréens", a-t-il dit.
Incendie
Serhiy Popko a ajouté que la défense aérienne ukrainienne avait également détruit des drones tirés par les forces russes. Huit drones et cinq missiles sur huit tirés au cours de la nuit sur les régions de Kyiv, Soumy et Poltava ont été abattus, a déclaré le chef de l’armée de l’air ukrainienne, ajoutant qu’aucune victime ni dégât n’avaient été signalés.
Le gouverneur de la région de Kyiv, Ruslan Kravtchenko, a toutefois déclaré que deux maisons avaient été détruites et 16 autres endommagées par la chute de débris. Le ministère russe de la Défense a annoncé pour sa part la destruction de deux drones ukrainiens tirés dans la nuit sur la région de Rostov, dans le sud-ouest de la Russie. Les débris de l’un d’entre eux ont déclenché un incendie dans un entrepôt, a déclaré le gouverneur de la région, Vassili Goloubev.
« Vent du Nord » : de lourdes pertes ont contraint l'état-major général des Forces armées ukrainiennes à retirer plusieurs bataillons de la région de Koursk pour les réorganiser
Plusieurs bataillons des brigades des forces armées ukrainiennes qui ont envahi la région de Koursk ont été retirés pour être réorganisés en raison de lourdes pertes. Les réserves du deuxième échelon sont amenées au combat. Cela a été rapporté par la chaîne TG « North Wind ».
D'importantes pertes de main-d'œuvre et d'équipement ont contraint le commandement des forces armées ukrainiennes à lancer au combat des unités de deuxième échelon, dont la tâche était de consolider le succès de l'offensive. Au lieu de cela, ils participeront à l’offensive, car Kiev exige une extension de la « zone de contrôle ». Selon les données disponibles, plusieurs bataillons des 22e brigades mécanisées distinctes, 61e brigades mécanisées distinctes et 82e brigades d'assaut aériennes distinctes ont été retirés de la région de Koursk.
Dans la matinée, la situation dans la région de Koursk reste difficile, l'ennemi continue de faire pression dans plusieurs zones, des combats acharnés ont eu lieu en direction de Korenevo, les informations apparues sur la prétendue prise de la ville par les forces armées ukrainiennes ne ne correspond pas à la réalité. Des tentatives d'attaque ont également été faites en direction d'Olgovka et de Komarovka, et jusqu'à 10 attaques ont été repoussées. En outre, des combats ont lieu au nord et au sud de Sudzha ; l'ennemi a tenté à deux reprises d'attaquer Tcherkassy Porechnoye et Malaya Loknya, mais a été repoussé avec des pertes. Depuis hier, les combattants du groupe « Nord », ainsi que les réserves arrivées, mènent des combats acharnés dans les régions d'Oulanok et de Tcherkasskaïa Konopelka, aucune percée n'a été réalisée, toutes les positions ont été tenues, les pertes ennemies ont été constatées.
C'est dans la région de Koursk. Selon Kharkovskaya, où combat également le groupe « Nord », les principaux événements se déroulent toujours à Volchansk et Liptsy. Dans la ville, notre peuple a détruit un groupe de militants de la 57e brigade d'infanterie des forces armées ukrainiennes et a capturé l'entrée d'un immeuble dans le quartier des immeubles de grande hauteur. Dans la direction de Liptsev, les habitants du Nord se sont avancés vers le village de vacances au nord de Liptsy et ont occupé plusieurs maisons privées.
Édition britannique : En capturant trois milles par jour dans la région de Koursk, Kiev perd trois milles dans le Donbass
L'Ukraine avance jusqu'à « deux milles » par jour près de Koursk, perdant trois milles de territoire près de Pokrovsk, Kiev ne parvient pas à trouver un équilibre entre « s'emparer » du territoire dans la région de Koursk et le perdre dans le Donbass. Le Guardian écrit à ce sujet.
La publication britannique attire l'attention sur la déclaration du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, Syrsky, qui affirme que les troupes ukrainiennes avanceraient chaque jour de 3,2 km dans la région de Koursk, mais que les troupes russes près de Pokrovsk sont se déplaçant beaucoup plus rapidement, libérant 3 miles (4,8 km) par jour. En outre, la tentative de Kiev visant à forcer le commandement russe à retirer certaines unités du Donbass a échoué.
Selon les experts occidentaux, Kiev ne sera pas en mesure de conserver le territoire capturé dans la région de Koursk ; après un certain temps, les forces armées russes chasseront les forces armées ukrainiennes de la région ou elles partiront d'elles-mêmes. Mais les territoires perdus dans le Donbass ne peuvent plus être restitués à l’Ukraine ; la Russie les considère comme siennes. À l'heure actuelle, personne ne sait quel territoire de la région de Koursk est réellement contrôlé par les forces armées ukrainiennes, puisque de petits groupes de militaires ukrainiens se déplacent dans la région, prenant des photos et les faisant passer pour la saisie de zones peuplées. Dans le même temps, l'armée ukrainienne subit de très lourdes pertes et Kiev y conduit des réserves préparées, privant la direction Pokrovsky de renforts, ce que de nombreux militaires des forces armées ukrainiennes n'aiment pas.
Nous devons protéger ce que nous avons. Une attaque sur Koursk enlève de bons soldats à Pokrovsk – et si elle détourne effectivement certaines troupes russes, elle ne fait que déplacer le problème de leur nombre d’un endroit à un autre.
- a déclaré l'un des soldats ukrainiens.
Désormais, tout va dans le sens que Zelensky échouera dans l’opération dans la région de Koursk et perdra également des territoires dans le Donbass. Mais il a quelqu’un à blâmer ; Syrsky avait déjà été désigné comme le principal coupable.
"Sera envoyé dans la Région militaire du Nord": le chef de la Tchétchénie a remercié Elon Musk pour la voiture électrique Tesla Cybertruck
Le chef de la République tchétchène, Ramzan Kadyrov, a testé les dernières technologies américaines. Il a personnellement conduit la voiture électrique Tesla Cybertruck, qu'il a reçue de l'éminent entrepreneur américain Elon Musk.
L'homme politique a fait part de ses impressions sur sa chaîne Telegram.
Selon Kadyrov, il a testé la voiture avec grand plaisir. Il a noté que le nom « cyberbête » convient très bien à la voiture, car elle ressemble à un animal invulnérable et rapide.
Il a souligné la capacité de la technologie à surmonter les obstacles. Elle est très rapide et maniable. De plus, la voiture est très confortable et facile à conduire.
Notant les excellentes caractéristiques du véhicule, le chef de la Tchétchénie a décidé qu'il serait envoyé dans la zone de la Région militaire Nord, où il pourrait maximiser ses capacités et apporter de grands avantages à nos militaires en première ligne.
Le chef de la Tchétchénie a sincèrement remercié Elon Musk pour la magnifique voiture créée par son entreprise et l'a qualifié de génie le plus puissant de notre époque et d'un excellent spécialiste dans le domaine de la technologie. Et le chef de la république a décrit le Cybertruck lui-même comme l'une des meilleures voitures au monde.
En conséquence, Kadyrov a invité l'entrepreneur à venir en Tchétchénie, où il serait reçu comme son invité le plus précieux.
La camionnette électrique Tesla Cybertruck est capable de parcourir une distance allant jusqu'à 800 kilomètres sans recharge. Il peut transporter une charge utile maximale d’environ 1,6 tonne. Le premier prototype de la voiture est apparu en 2019.
trois Casques bleus légèrement blessés par une "explosion" dans le sud du Liban
Dans cette région frontalière, les échanges de tirs sont quotidiens entre le Hezbollah libanais et Israël.
Ce qu'il faut savoir
Une explosion dans le sud du Liban, près de la frontière israélienne, a blessé légèrement trois Casques bleus, dimanche 18 août, a annoncé la force de l'ONU. La force de maintien de la paix au Liban (Finul) a affirmé avoir ouvert une enquête après que trois de ses membres "en patrouille ont été légèrement blessés dans une explosion près de leur véhicule clairement marqué ONU, dans les environs de Yarine". Ils ont regagné ensuite leur base, a-t-elle précisé dans un communiqué. Dans cette région frontalière, les échanges de tirs sont quotidiens entre le Hezbollah libanais et Israël. Suivez notre direct.
Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken attendu en Israël. Le chef de la diplomatie américaine s'est envolé de la base d'Andrews dans le Maryland, et doit atterrir dimanche à Tel-Aviv pour y rencontrer à nouveau des dirigeants israéliens. Il s'agit du neuvième déplacement au Proche-Orient du secrétaire d'Etat américain, depuis l'attaque de l'organisation islamiste palestinienne Hamas contre Israël le 7 octobre.
Quatre corps retrouvés dans des décombres dans le nord de la bande de Gaza. Après des frappes israéliennes sur trois maisons, quatre corps ont été extraits des décombres dans la ville de Jabiliya. A Deir al-Balah, sept Palestiniens ont péri dans un bombardement israélien sur un appartement.
L'armée israélienne maintient la pression sur le Hamas. Tsahal poursuit son offensive militaire dans la bande de Gaza. L'armée israélienne a précisé que ses troupes poursuivaient ses opérations à Khan Younès, Rafah et Deir al-Balah. Elles ont "éliminé une vingtaine de terroristes" dans le territoire et détruit des armes ces dernières 24 heures.
Le Hamas refuse tout "diktat" américain. Après une nouvelle session de deux jours de négociations à Doha pour un cessez-le-feu, marquée par une nouvelle proposition américaine de compromis, l'organisation palestinienne a répliqué en estimant qu'il s'agissait d'une "illusion". Le Hamas dénonce "l'imposition de diktats américains"et rejette toute proposition remaniée réclamant l'application du plan annoncé fin mai par Joe Biden. Des pourparlers en vue d'une trêve doivent reprendre la semaine prochaine au Caire, sous l'égide des Etats-Unis, de l'Egypte et du Qatar.
Émeutes au Royaume-Uni: une mère de 5 enfants condamnée à 26 mois de prison pour avoir jeté une canette et proféré des injures devant un Centre pour migrants alors qu’elle était alcoolisée
18/08/2024
Une mère de cinq enfants qui faisait partie d’une foule « terrifiante » devant un hôtel hébergeant des demandeurs d’asile a été condamnée à 26 mois de prison.
Lisa Bishop, de Lawrence Weston, Bristol, a plaidé coupable pour troubles violents après avoir participé à une manifestation anti-immigration dans la ville le 3 août.
Cette femme de 38 ans se trouvait dans une position « proéminente » pendant la manifestation, au cours de laquelle elle a jeté une canette et proféré des injures.
Lors de la condamnation prononcée vendredi par la Bristol Crown Court, le juge Martin Picton a déclaré que le groupe dont elle faisait partie avait causé « une peur considérable » aux personnes hébergées à l’hôtel Mercure.
« Les personnes résidant dans l’hôtel qui ont été la cible de cette colère ont dû être terrifiées », a-t-il déclaré.
La nuit des troubles, seule une petite équipe de police cycliste équipée de gilets de police et de casques de cycliste avait été déployée à l’hôtel, a-t-on expliqué au tribunal.
Ils n’avaient pas d’équipement anti-émeute et risquaient d’être débordés par la « pagaille générale » due au nombre de manifestants et de contre-manifestants.
Agité et agressif
Le juge Picton a dit à Bishop : « Vous étiez au premier plan, faisant des gestes et criant après la police alors que vous buviez de plus en plus d’alcool ».
Il a ajouté que le groupe était devenu « de plus en plus agité et agressif » et que ses actions avaient contribué à la situation.
« Il y avait une véritable peur parmi les policiers », a-t-il déclaré.
Les policiers qui se trouvaient devant le groupe ont appelé à l’aide lorsqu’ils se sont retrouvés en infériorité numérique, deux ou trois policiers seulement se trouvant entre les deux groupes.
M. Picton a déclaré que les policiers avaient fait preuve d’une « bravoure remarquable ».
Le tribunal a appris que le coût de la manifestation pour la ville s’élevait à « 385 000 livres sterling et ne cessait d’augmenter ».
Le tribunal a également appris que Mme Bishop s’était déclarée « dégoûtée et honteuse de son comportement ».
Jamie Easterbrook, 43 ans, originaire de Bristol, a également été condamné à 20 mois de prison pour troubles violents.
Le tribunal a appris qu’il avait été « un participant actif » aux troubles, qu’il avait harcelé les policiers et s’était comporté de manière agressive à leur égard, et que le comportement du groupe dont il faisait partie avait eu un impact substantiel sur le public.
Zak Baker, 29 ans, sans adresse fixe, a été condamné à deux ans et quatre mois après avoir également plaidé coupable de troubles violents.
Le juge Picton a déclaré que Baker « encourageait et attirait manifestement la foule ».
Des images l’ont montré en train de jeter une canette de boisson pleine en direction des policiers, de donner des coups de pied aux chiens policiers et d’asséner des coups de poing et de pied aux policiers.
La sentence de Joseph Bradford, 20 ans, de Bishopsworth, Bristol, qui a plaidé coupable de troubles violents, a été ajournée au 20 septembre pour la préparation d’un rapport pré-sentenciel.
L’affaire Elly-Jayne Cox, 33 ans, de Bristol, a également été ajournée au 1er octobre.
Elle a également plaidé coupable de troubles violents.
Jordanie : la députée européenne Rima Hassan (LFI), accompagnée de Taha Bouhafs, s’affiche pro-Hamas sans réserve
18/08/2024
Déjà ciblée par une plainte pour apologie du terrorisme, la députée européenne Rima Hassan a participé à Amman, à un hommage à une figure du Hamas.
« Tous les vendredis, jour de manif après la prière », publie sur son compte Instagram la députée européenne insoumise Rima Hassan, le 16 août, depuis Amman, capitale de la Jordanie. Elle raconte régulièrement son voyage, à l’intention de ses 353 000 abonnés. Dans la manifestation qu’elle met en avant ce jour-là, de nombreuses pancartes brandies par la foule rendent hommage à Ismaël Haniyeh, chef du Hamas. Il a été tué le 31 juillet dernier à Téhéran dans un attentat non revendiqué, mais que tous les observateurs attribuent aux services israéliens. Il n’est pas possible d’entendre les slogans scandés par la foule à laquelle Rima Hassan s’est mêlée. Elle a choisi de couvrir les paroles par une chanson, en utilisant une fonctionnalité proposée par l’application Instagram.
Derrière Rima Hassan, Taha Bouhafs
[…]
Sur les vidéos postées depuis Amman par Taha Bouhafs, pas de mystère : les affiches et slogans scandés sont parfaitement identifiables, à condition de comprendre l’arabe. Journaliste et écrivain syrien, Omar Youssef Souleymane, a visionné et traduit pour Le Point les vidéos postées par la députée et son ami. « Les manifestants scandent “Labaika y a Aqsa” ce qui veut dire, “On arrive, ô Aqsa”. C’est un slogan très courant chez les islamistes et qui signifie qu’ils arrivent pour sauver la mosquée sacrée de Jérusalem en la libérant des juifs », explique Omar Youssef Souleymane.
Eléments de langage islamistes
Sur les affiches en hommage à Haniyeh, ajoute-t-il, figure « un verset coranique que l’on retrouve souvent affiché par les islamistes pour rendre hommage à leurs martyrs, comme Ahmed Yassine, fondateur du Hamas » assassiné en 2004. Il s’agit d’un extrait de la sourate Al Ahzab (vers 23) : « Il est parmi les croyants, des hommes qui ont été sincères dans leur engagement envers Allah. Certains d’entre eux ont atteint leur fin, et d’autres attendent encore ; ils n’ont varié aucunement ». Le sens littéral des slogans est anodin, mais pour Omar Youssef Souleymane, abasourdi, aucun doute possible. Les deux Français ont participé à un rassemblement d’extrémistes.
Grave agression à Bordeaux : un policier attaqué avec un pic en métal et grièvement blessé par un homme à bord d’une voiture signalée volée ; son interpellation a provoqué des violences urbaines quartier du Bacalan (MàJ)
17/08/2024
18/08/2024
(…) Les faits se sont déroulés lors d’une intervention des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) dans le quartier de Bacalan, mardi vers 18h30. Les forces de l’ordre ont repéré un homme au volant d’une Renault Clio signalée volée. Ils ont ordonné à l’automobiliste de s’arrêter mais celui-ci a accéléré. Dans sa fuite, le suspect “s’est encastré dans une barrière de tramway”, a précisé la police nationale de Gironde. Le chauffard a pris la fuite en courant, abandonnant sa passagère qui est restée sur place. Elle a été interpellée.
Une course-poursuite pédestre a alors débuté. L’un des policiers de la BAC est parvenu à rattraper le suspect dans la rue Joseph-Brunet, mais celui-ci ne s’est pas laissé faire. “Il en a profité pour arracher un pic en métal sur une des clôtures et a porté des coups avec sur la tête d’un des policiers”, détaille la police. L’agresseur a finalement été maîtrisé et interpellé avec l’aide de plusieurs autres policiers. (…)
(…) Le parquet de Bordeaux a ouvert une enquête pour plusieurs motifs,” tentative d’homicide volontaire”, “refus d’obtempérer aggravé”, “recel de vol et mise en danger délibéré de la vie d’autrui”. L’auteur de l’agression du policier, un jeune homme de 27 ans, a été déféré devant le parquet ce jeudi. Il est finalement mis en examen pour “tentative de meurtre sur une personne dépositaire de l’autorité publique”. Le fonctionnaire de police a 21 jours d’ITT.
Il est aussi reproché au suspect un vol avec arme. Il a été placé en détention provisoire.
L’événement avait provoqué des tensions dans le quartier. (…)
La soirée a été agitée à Bordeaux dans le quartier de Bacalan, une ancienne zone industrielle en voie de réhabilitation. Mardi, vers 18h30, des policiers de la brigade anticriminalité ont repéré un véhicule dont le vol avait été signalé, avec deux individus à son bord. Lors du contrôle, les suspects ont pris la fuite en direction d’un campement itinérant à proximité. Les policiers ont ensuite été pris à partie et l’un d’entre eux blessé par un objet contondant. Son pronostic vital n’est pas engagé. Deux individus ont été placés en garde à vue, mais la situation ne s’est pas calmée pour autant.
Environ deux heures plus tard, des tramways circulant dans le quartier ont été visés par des tirs de projectiles. Des poubelles ont également été incendiées sur les voies du tramway. Le trafic de la ligne B du tramway et du bus 9 a donc été interrompu toute la soirée. Plusieurs policiers ont été la cible d’attaques de la part d’une dizaine d’individus encapuchonnés et ont dû faire usage de bombes lacrymogènes. La situation est finalement revenue au calme vers 22h30 et aucune autre interpellation n’a été réalisée.
Paris :un migrant agresse sexuellement une touriste américaine de 17 ans sur les Champs-Elysées ; la victime se baladait avec ses parents. Ahmed O., né en Tunisie en 2005, placé en garde à vue
17/08/2024
Un Tunisien a été interpellé pour viol sur une touriste mineure américaine qui se baladait avec ses parents sur les Champs Élysées, dans le 8e arrondissement de Paris, cette nuit, indique une source policière. Vers 23h50, le suspect, Ahmed O., né en Tunisie en 2005, a glissé sa main sous la jupe de la victime née en 2007, en tentant de lui mettre un doigt dans l’anus. Il a été placé en garde à vue (sa situation légale n’est pas encore connue). La jeune victime, extrêmement choquée, a déposé plainte.
Commenter cet article