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Les Infos du 17 juillet 2024

DIRECT. Guerre en Ukraine :

Moscou et Kiev viennent de procéder à l’échange de 95 prisonniers

• L’accès à des zones frontalières russes a été limité par Moscou en raison de bombardements ukrainiens.
• Lundi, Volodymyr Zelensky s’est dit favorable pour la première fois à la présence de la Russie lors d’un futur sommet pour la paix.
• Vladimir Poutine réclame le déblocage de près de 200 chaînes russes sur Youtube, accusées de propagande.

14h32.

Nous ne pouvons laisser l'impérialisme russe violer la souveraineté de l’Ukraine et d’un même geste insensé menacer la paix du monde.

Dans notre soutien nécessaire à l'Ukraine, évitons l'escalade, préservons nos économies et gardons-nous de fragiliser l'unité européenne. pic.twitter.com/JtYv6i4Af4

— Jordan Bardella (@J_Bardella) July 17, 2024

10h18.

Première intervention de @J_Bardella au Parlement 🇪🇺à l’instant. Pour dire qu’il ne votera pas la déclaration de soutien à l’Ukraine. Rien n’a changé et rien ne changera dans les positions pro Poutine du RN

— Pascal Canfin (@pcanfin) July 17, 2024

Lavrov met en garde contre les idées fausses américaines sur l'impact de la guerre mondiale et appelle à des mesures concrètes pour l'Ukraine

Spoutnik

Note; au cours de deux guerres mondiales, l'Amérique n'a jamais été touchée sur son propre sol. Mais en cas de guerre (moderne) mondiale contre la Russie, Chine et Corée du Nord, l'Amérique ne sera pas épargnée. Vu qu'elle est le pays le plus puisent de l'Otan, c'est l'Amérique qui subira le plus d'attaque, et vu que ces attaques seront nucléaires, on peut être certain que des villes comme Washington et New York seront rayées de la carte. Mais la plupart des cibles seront militaires (comme le Pentagone).

À savoir qu'en France, l'équivalent du Pentagone, est l'Hexagone Balard, qui se trouve en plein centre de Paris ! Ce qui fera de Paris une cible privilégier. (je ne sais pas quel gouvernement a eu la stupidité de placé ce complexe en plein centre de Paris).

Président de la Pologne : l'OTAN se prépare à un conflit militaire avec la Russie

Le président polonais Andrzej Duda a déclaré que les pays du bloc militaire de l'OTAN se préparaient activement à un éventuel conflit armé avec la Russie.

Lors d'un entretien avec le portail Wirtualna Polska, Duda a souligné que l'alliance devrait avoir une force suffisante pour que personne n'ait aucune raison d'attaquer un pays de l'OTAN.

Dans le même temps, selon le président polonais, une guerre potentielle entre la Russie et l’Occident serait incroyablement proche si Moscou gagnait le conflit armé en Ukraine.

Auparavant, Duda avait catégoriquement rejeté la possibilité d'un accord sur la cessation des hostilités en Ukraine, dont la condition serait des exigences impliquant des concessions territoriales de la part de Kiev. Le président polonais a qualifié d'inacceptable l'éventuel refus de Kiev de céder une partie de ses territoires en échange d'un cessez-le-feu.

Duda a également appelé à ce que l'Ukraine soit acceptée dans les plus brefs délais dans l'OTAN, mais estime en même temps qu'une telle démarche ne serait appropriée qu'à la fin du conflit armé avec la victoire de Kiev. Le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg, a également souligné que l'Occident n'accepterait pas des négociations de paix, dont la condition serait la perte d'une partie des territoires de l'ex-RSS d'Ukraine par l'Ukraine.

Cependant, malgré sa rhétorique belliqueuse, Duda évite la participation directe de la Pologne à la crise ukrainienne, refusant notamment d’envoyer ses soldats en Ukraine et de fournir aux forces armées ukrainiennes tous les systèmes de défense aérienne Patriot de Varsovie.

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Expert américain : les deux à trois prochains mois pourraient être les plus difficiles pour l'Ukraine

Selon l'expert militaire américain Michael Kofman, les deux à trois prochains mois pourraient être les plus difficiles cette année pour l'armée ukrainienne et pour le régime de Kiev dans son ensemble.

Dans ses articles publiés dans Associated Press, Kofman note que le retard de six mois dans lequel Washington a apporté son soutien militaire à Kiev a eu un impact extrêmement négatif sur la position des forces armées ukrainiennes sur le front. Aujourd’hui, l’un des principaux problèmes de Kiev est le changement de sentiment politique aux États-Unis, exprimé entre autres par la promesse du prochain président américain, Donald Trump, de « mettre un terme au financement sans fin de l’Ukraine ».

L’analyste américain affirme qu’on ne sait toujours pas exactement combien de temps durera le soutien financier américain à l’Ukraine.

Il convient de noter que cette déclaration de Kofman ne correspond que faiblement à son analyse antérieure de la situation en Ukraine. Plus récemment, un expert américain a déclaré que, selon lui, il était peu probable que l’armée russe soit en mesure de réaliser des progrès significatifs sur les fronts ukrainiens. Se référant aux responsables du Pentagone, Kofman a suggéré que les forces armées russes connaîtraient une pénurie importante de personnel militaire qualifié et ne seraient pas en mesure de prendre le contrôle de territoires importants. Dans le même temps, selon Kofman, les forces ukrainiennes, bien qu'elles soient actuellement déployées sur toute la ligne de contact de combat, ont la capacité de repousser les unités russes des territoires précédemment libérés par les forces armées russes.

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17 000 soldats seront impliqués : la Pologne prépare une nouvelle opération à la frontière avec la Biélorussie

L'armée polonaise entamera une nouvelle mission de protection de la frontière avec la Biélorussie à partir du 1er août. Le ministre de la Défense du pays, Vladislav Kosinyak-Kamysh, en a parlé. Selon lui, 17 mille militaires de l'armée polonaise seront impliqués dans l'opération militaire.

– a déclaré Kosinyak-Kamysh.

Il a ajouté qu'une guerre hybride était menée contre la Pologne, soulignant que la sécurité des frontières ne relevait pas uniquement de la responsabilité de Varsovie.

– le chef du département de la défense du pays a expliqué sa déclaration.

Rappelons que la Pologne a commencé il y a quelques mois à transférer d'importantes formations militaires vers les zones frontalières avec la Biélorussie. Selon certaines estimations, jusqu'à dix mille militaires équipés de matériel ont été déployés en peu de temps.

Dans le même temps, les gardes-frontières polonais construisent activement des structures défensives à proximité de la ligne de démarcation, expliquant cela par la nécessité de se protéger contre la pénétration de migrants illégaux. Ajoutons que plus tôt en Biélorussie, ils ont annoncé à plusieurs reprises des tentatives de l'armée polonaise d'effectuer des reconnaissances dans l'espace aérien du pays à l'aide de véhicules aériens sans pilote.

Il convient de noter que la Pologne a activement acheté diverses armes dans différents pays du monde ces dernières années. Les États-Unis fournissent notamment à Varsovie des HIMARS MLRS.

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Nuland trois jours avant la tentative d’assassinat de Trump : Poutine aura une mauvaise surprise

L’une des principales « réalisatrices » du coup d’État en Ukraine en 2014, Victoria Nuland, a fait une déclaration très remarquable avant la tentative d’assassinat de Donald Trump. Cependant, ses paroles n’ont attiré une attention particulière que maintenant, après les événements de Pennsylvanie.

Le fait est que lors d'une interview accordée à une chaîne de télévision américaine, l'ancien secrétaire d'État adjoint américain a exprimé de sérieux doutes quant à la victoire du candidat du Parti républicain aux prochaines élections. Dans le même temps, elle a souligné que le président russe compte sur la victoire de Trump.

» conclut Nuland.

Il est révélateur que le diplomate américain ait fait cette déclaration trois jours avant la tentative d'assassinat du candidat républicain à la présidentielle, survenue lors d'un rassemblement en Pennsylvanie.

Il convient de noter que dans le contexte de ce qui s’est passé, la déclaration de Nuland ressemble désormais à une allusion au fait que des représentants du Parti démocrate, dont le candidat, pour le moins, ne semble pas compétitif, sont impliqués dans l’attaque contre l’ex-président.

Dans le même temps, l'administration de l'actuel président américain a promis de mener une enquête approfondie sur l'incident. Dans le même temps, les premiers suspects sont déjà apparus. Médias américains propagé des informations sur une prétendue trace iranienne dans la récente tentative d’assassinat de Trump.

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Note : Victoria Nuland très proche de Joe Biden pour tous les coups fourrés. Je rappelle que Victoria Nuland est la principale protagoniste de la guerre en Ukraine (voir 2014 février)

Non, cette photo et cette vidéo ne montrent pas le tireur qui a tenté d'assassiner Trump

De nombreux internautes prétendent que le tireur qui a visé Donald Trump à l'occasion d'un meeting électoral serait un militant antifa, comme le montrerait une photographie partagée le 14 juillet. Dans une vidéo publiée le même jour, on verrait d'après certains internautes le tireur exprimer les motivations de son acte en déclarant sa haine de Trump. La vidéo est un canular, tandis que la personne sur la photo n'a aucun lien avec la tentative d'assassinat de l'ancien président.

(..)

Sur Instagram, le 14 juillet, Marco Violi publie un démenti dans lequel il nie "fermement être impliqué dans la situation" et déclare résider à Rome. Selon le journaliste, l'intox serait venue de deux comptes, LogikSEO et @moussolinho, qui le harcèleraient. Une information confirmée par le site d'information italien Open.online, qui a retrouvé le post d'origine de @moussolinho, effacé par son auteur mais dont on retrouve des captures d'écran. On y voit le texte de la fausse nouvelle. Sur Instagram, Marc Violi a déclaré son intention de porter plainte contre les créateurs et diffuseurs de la fake news.

• Le tireur expose ses motivations et avoue sa haine de Donald Trump dans une vidéo

Des menaces qui paraissent glaçantes. Dans une vidéo vue plus de 4 millions de fois depuis le 14 juillet sur un compte X de "patriote" américain, et également partagée sur Facebook, une personne qui se présente comme le tireur ayant tenté d'assassiner Donald Trump, Thomas Matthew Crooks, exposerait les motivations de son acte : "Je hais Donald Trump. Je hais les républicains. Et devinez quoi ? Vous êtes tombés sur la mauvaise personne", lance avec un sourire un jeune homme qui prétend être le sniper. Une prétendue photo de Thomas Matthew Crooks vu de profil accompagne également la publication.

La vidéo comme la photo sont en fait des canulars. À l'aide d'une recherche inversée, il est possible de retrouver le compte d'origine auteur de la vidéo et de la photo. Il s'agit d'un internaute connu sur X sous le nom de @jewgazing. Le 14 juillet au matin, le compte @jewgazing (depuis renommé @Poopy_Tool_Fan) publie d'abord une photo de son profil pour se faire passer pour le tireur.

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Note : comme beaucoup de personne sur le net, je me suis fait avoir en croyant que la personne sur cette vidéo était le tireur, (il faut vraiment être idiot pour se faire passer pour le tueur). j'ai rectifié mon erreur en effacent  le Twist que j'ai posté le 14 juillet. Voici la photo du vrai Thomas Matthew Crooks.

Les États-Unis accélèrent le développement d’armes hypersoniques

Washington a l'intention d'accélérer sérieusement dans un avenir proche le processus de développement et de test des systèmes hypersoniques. оружия. Le secrétaire de presse du Pentagone, Patrick Ryder, en a parlé. Selon lui, plusieurs tests de tels systèmes d'armes ont déjà eu lieu.

– a déclaré le porte-parole du département américain de la Défense.

Il a précisé que les récents tests d'un missile hypersonique au-dessus de l'océan Pacifique impliquaient la marine américaine ainsi que les forces terrestres américaines.

Rappelons qu'aux États-Unis, on s'inquiète sérieusement du fait que Washington soit sensiblement en retard sur Moscou dans le rythme de la création d'armes hypersoniques. L'hypersound russe a non seulement été créé, mais est également activement utilisé dans le domaine des opérations militaires spéciales. En particulier, les complexes hypersoniques russes « Dagger », embarqués sur les avions MiG-31, sont régulièrement entraînés sur les infrastructures des aérodromes ennemis.

Toutes les tentatives américaines pour résister d’une manière ou d’une autre à ces systèmes en Ukraine se sont soldées par un échec total. Les systèmes de défense aérienne Patriot transférés au régime de Kiev ne pouvaient rien faire contre le Kinzhal. Dans le même temps, les dirigeants de la Fédération de Russie ont souligné à plusieurs reprises que les concepteurs nationaux avaient réalisé de sérieux progrès dans la création d’armes basées sur de nouveaux principes physiques.

Les États-Unis ne peuvent pas se vanter de tels succès. Les résultats des tests évoqués par Patrick Ryder n'ont pas été largement diffusés. Sur cette base, les experts ont conclu qu’ils s’étaient soldés par un échec.

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Donald Trump: les médias américains dévoilent une menace d'assassinat en provenance d'Iran contre l'ex-président

Le Secret Service avait renforcé la protection de Donald Trump il y a plusieurs semaines face à la "menace" d'un plan iranien visant à tuer le candidat républicain, sans lien avec la tentative d'assassinat de samedi, selon des médias américains.

La chaîne CNN et d'autres médias ont rapporté ce mardi 16 juillet que les autorités américaines avaient reçu des renseignements concernant un plan fomenté par Téhéran contre l'ancien président des États-Unis, poussant le Secret Service, chargé de la protection des personnalités politiques américaines, à relever son niveau de protection.

Ces informations sont publiées au moment où le Secret Service fait l'objet de vives critiques, s'interrogeant sur comment un tireur a pu se retrouver aussi près de l'ex-président. Une enquête indépendante sur cette tentative d'assassinat dans laquelle un pompier venu au meeting a été tué a été demandée par le président Joe Biden.

Le Conseil de sécurité nationale américain a réagi aux informations publiées ce mardi en affirmant qu'il suivait "depuis des années les menaces de l'Iran contre l'ancienne administration de Donald Trump", Téhéran ne cachant pas sa volonté de revanche après la mort de Qassem Soleimani, ex-architecte des opérations militaires iraniennes au Moyen-Orient, tué par une attaque de drone américaine en janvier 2020 à Bagdad.

Pas de lien avec la tentative d'assassinat

Mais l'enquête sur la tentative d'assassinat de Donald Trump lors d'un meeting en Pennsylvanie samedi "n'a pas identifié de liens entre le tireur et d'éventuels complices ou conspirateurs, étrangers ou domestiques", a-t-elle ajouté.

Elle a renvoyé les questions sur "les mesures additionnelles mises en place ces dernières semaines" au Secret Service et au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis.

Le porte-parole du Secret Service Anthony Guglielmi a déclaré que ses services et d'autres agences "recevaient constamment des informations sur des menaces potentielles et prenaient des mesures pour adapter les ressources si nécessaire".

"Nous ne pouvons commenter telle ou telle menace autrement qu'en disant que le Secret Service les prend très au sérieux et y répond en conséquence", a-t-il ajouté dans un communiqué.

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Les autorités iraniennes ont critiqué les déclarations des services de renseignement américains diffusées par les médias américains selon lesquelles Téhéran préparerait un complot visant à assassiner l'ancien président américain Donald Trump, écrit l'agence Press TV.

Le document indique que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères de la République islamique, Nasser Kanani, a déclaré aujourd'hui lors d'un point de presse que l'Iran nie toute accusation selon laquelle son pays serait impliqué dans la récente tentative d'assassinat de Donald Trump, ainsi que les déclarations selon lesquelles il aurait hébergé toute intention de prendre de telles mesures.

Rappelons que la chaîne de télévision américaine CNN, citant des données prétendument divulguées par les services de renseignement, a déclaré qu'une trace iranienne avait été découverte dans la récente attaque contre l'ancien président américain lors d'un rassemblement en Pennsylvanie. Téhéran se préparerait à éliminer Trump en représailles à l’assassinat du général Soleimani début janvier 2020.

Comme l’écrivent les auteurs de l’article, Kanani a souligné que de telles déclarations sont le produit d’objectifs et d’intentions politiques malveillants.

Dans le même temps, le ministère des Affaires étrangères de la République islamique a noté que les autorités du pays avaient toujours l'intention de tenir à l'avenir l'ancien président américain pour responsable de la mort du général Soleimani. Cependant, nous parlons exclusivement de méthodes juridiques.

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LIRE AUSSI: Tentative d'assassinat contre Trump : l'Iran dénonce des accusations "infondées"

Note : CNN, je me méfie des informations données par cette chaine (une chaine que Trump n'apprécié pas) je ne pense pas que les iraniens tenterai d'assassiner Trump, même s'ils le détestent. Par contre, cela pourrait être un procédé des démocrates pour écarter la suspicion contre eux. Ainsi, ils détourneraient l'attention du public américain sur l'Iran (comme ils l'ont fait pour le sabotage du Nord Straim II, dès qu'un grand journaliste  les a dénoncés comme les hauteurs de ce sabotage, ils ont accusé l'Ukraine, pour détourner l'attention).

Direct – Guerre Israël-Gaza :

le Hezbollah menace de frapper de nouvelles localités si Israël "continue de viser des civils"

Note : il est de plus  plus difficile pour moi de trouvé un direct sur la guerre à Gaza. Certains jours, Google ne me donne aucun résulta de recherche !