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Macron a déclaré à une chaîne de télévision française que Paris transférerait des avions de combat Mirage 2000-5 à Kiev et formerait des pilotes ukrainiens. Macron a également déclaré que la France envisageait de former 4 500 soldats ukrainiens, mais ne considère pas cette décision comme une « escalade ».
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3guerremondiale
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Les Infos du 7 juin 2024
DIRECT. Guerre en Ukraine :
Joe Biden annonce une nouvelle aide de 225 millions de dollars à Kiev
- Joe Biden annonce à Volodymyr Zelensky une nouvelle aide de 225 millions de dollars.
- Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est à Paris, ce vendredi. Après un discours devant l’Assemblée nationale ce matin, il sera reçu aux Invalides par le ministre des Armées Sébastien Lecornu, puis à l’Elysée dans l’après-midi.
- La France est "prête à participer directement à la guerre", estime le porte-parole de Vladimir Poutine.
- Jeudi soir, le président de la République Emmanuel Macron a indiqué que la France allait livrer à Kiev des avions de combat Mirage 2000-5.
- Un ressortissant français soupçonné d’espionnage a été arrêté jeudi à Moscou. Il s’agit de Laurent Vinatier, conseiller de l’ONG suisse Humanitarian Dialogue. La Russie ordonne sa détention.
13h27.
Nouvelle aide de 225 millions de dollars à l'Ukraine annoncée par Joe Biden
Le président américain Joe Biden a annoncé vendredi une nouvelle aide de 225 millions de dollars à l'Ukraine à l'occasion d'un entretien à Paris avec Volodymyr Zelensky, à qui il a promis: "Les Etats-Unis seront toujours avec vous". Le président ukrainien a pour sa part remercié son homologue pour le "formidable soutien" américain et ajouté: "Nous comptons sur votre soutien".
12h11.
Le groupe d'armement franco-allemand KNDS annonce la création d'une filiale en Ukraine
Le groupe d'armement franco-allemand KNDS, qui fabrique notamment les canons Caesar, a officialisé ce vendredi à Paris la création d'une filiale en Ukraine, en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Cette filiale va produire des équipements militaires et des munitions sur le sol ukrainien, avaient annoncé fin mars les ministres de la Défense français et allemand Sébastien Lecornu et Boris Pistorius.
12h10.
Les autorités russes demandent le placement en détention de Laurent Vinatier
Le Français Laurent Vinatier, soupçonné d'espionnage par la Russie et arrêté jeudi à Moscou, va être écroué. L'homme de 48 ans travaille pour une ONG suisse. A la mi-journée, les autorités russes ont demandé son placement en détention provisoire. "Le Comité d'enquête dépose actuellement une requête auprès du greffe du tribunal pour demander la détention de Laurent Vinatier", a dit l'avocat, dont le client est poursuivi pour une infraction à la loi sur "les agents de l'étranger", mais également accusé de collecter des informations sur les activités militaires de la Russie.
11h34.
La France est "prête à participer directement à la guerre", estime le porte-parole de Vladimir Poutine
Au lendemain des nouvelles annonces d'Emmanuel Macron sur la guerre à l'Ukraine, la Russie vient de réagir. Le porte-parole du Kremlin estime que "la France est prête à participer directement à la guerre". Pour le porte-parole Dmitri Peskov, "disons que M. Macron démontre un soutien absolu au régime ukrainien et déclare que la République française est prête à participer directement au conflit militaire". Emmanuel Macron a promis la cession de Mirage 2000-T à l'armée ukrainienne. Il doit recevoir le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans la journée à l'Elysée.
10h27.
"Emmanuel je te remercie de ne pas avoir laissé l'Europe sans leader"
"Nous pouvons compter sur votre soutien, vos armes, votre soutien économique, diplomatique (...) Un jour l'Ukraine pourra voir des avions dans son ciel comme ceux que nous avons vu hier dans le ciel de Normandie". Et Volodymyr Zelensky de remercier particulièrement le président de la République : "Emmanuel (Macron), je te remercie de ne pas avoir laissé l'Europe sans leader".
08h08.
La Russie va envoyer un sous-marin nucléaire et des navires de guerre à Cuba
Le ministère cubain des Affaires étrangères a annoncé hier que Moscou allait lui envoyer la semaine prochaine trois navires de guerre ainsi qu'un sous-marin à propulsion nucléaire. "Cette visite s'inscrit dans le cadre des relations historiquement amicales entre Cuba et la Fédération de Russie et respecte strictement les règles internationales auxquelles Cuba est partie", souligne La Havane, à travers un communiqué repris par Reuters et Associated Press . Et de préciser : "Aucun de ces navires ne transporte d'armes nucléaires (...) Par conséquent, leur escale dans notre pays ne représente aucune menace pour la région".
Guerre en Ukraine : avec la livraison de Mirage 2000-5 à Kiev, Emmanuel Macron "a envie d’une guerre", accuse Marine Le Pen
"En réalité, on a le sentiment qu’il souhaite entrer en guerre et qu’il fait tout pour essayer d’aggraver la pression qui pourrait entraîner une escalade", a déclaré ce vendredi 7 juin la présidente du groupe Rassemblement National à l’Assemblée nationale.
Emmanuel Macron donne l’impression de vouloir entrer en guerre en Ukraine pour l’aider face à l’invasion de la Russie, a déclaré vendredi Marine Le Pen, au lendemain de l’annonce par le président de la République de la fourniture par la France d’avions de chasse Mirage à Kyiv.
Le chef de l’État évoque aussi depuis plusieurs semaines la possibilité pour la France d’envoyer des instructeurs militaires en Ukraine pour former les soldats ukrainiens.
"On a le sentiment qu’il a envie d’une guerre"
"Il a la capacité de décider ce qu’il décide mais on peut tout de même être en désaccord avec cela", a dit Marine Le Pen sur RTL.
"Ce qui est sûr, c’est qu’on a le sentiment qu’il a envie d’une guerre", a poursuivi la présidente du groupe Rassemblement National à l’Assemblée nationale. "En réalité, on a le sentiment qu’il souhaite entrer en guerre et qu’il fait tout pour essayer d’aggraver la pression qui pourrait entraîner une escalade."
Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron annonce l’envoi d’avions Mirage 2000-5 et la formation de 4.500 soldats
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A quelques jours des élections européennes, le président de la République, Emmanuel Macron, a donné une interview lors des journaux de 20 heures de TF1 et France 2, en direct de Caen.
Alors que le président de la République, Emmanuel Macron, était présent pour le 80e anniversaire du Débarquement en Normandie, ce jeudi 6 juin, le chef de l’État est longuement revenu sur la guerre en Ukraine et notamment sur les nouvelles aides qui seront octroyées à Kyiv et les tensions en cours avec la Russie.
Auprès de nos confrères de TF1 et France 2, Emmanuel Macron a annoncé que "demain, nous allons lancer une nouvelle coopération et annoncer la cession de Mirage 2000-5" qui pourront "neutraliser des cibles" en Russie, tout en proposant de former près de "4.500 soldats ukrainiens" qui, selon lui, "n’est pas un facteur d’escalade". Les formations pourront être dispensées "d’ici la fin de l’année"...
La France confirme et accentue son soutien à l’Ukraine. Interviewé jeudi soir sur TF1 et France 2, Emmanuel Macron a annoncé que la France allait donner des avions Mirage 2000-5 à l’armée ukrainienne. « Nous allons annoncer demain (vendredi) une nouvelle coalition pour l’Ukraine et annoncer la cession de Mirage 2000 à l’Ukraine », a indiqué Emmanuel Macron, qui n’a pas donné le nombre d’appareils concernés. La formation des pilotes ukrainiens débutera cet été en France et elle durera « cinq à six mois ». L’Ukraine pourra donc faire voler ses Mirage 2000-5 fin 2024, début 2025.
« Nous sommes aux côtés des Ukrainiens pour qu’ils se défendent et nous ne voulons pas d’escalade », a rappelé le chef de l’Etat. Mais il souligne que les Russes attaquent à distance, depuis leur sanctuaire national, à l’abri des armes occidentales. « Si on dit aux Ukrainiens qu’ils ne peuvent pas viser les Russes qui les attaquent depuis chez eux, on ne peut pas les aider. Ils doivent pouvoir cibler des cibles militaires. Notre limite est fixée par ce que font les Russes. » Ces appareils pourront donc frapper des cibles en Russie.
Multiples interrogations
Par conséquent, l'annonce présidentielle soulève de nombreuses questions : le seul groupe de chasse français, le 1/2 Cigognes, à voler sur Mirage 2000-5, devra-t-il céder une partie de ses avions ? Ou alors, puisque Emmanuel Macron évoque une coalition, pourrait-il s'agir d'appareils vendus à l'étranger, notamment à la Grèce ? Justement, Athènes cherche en ce moment à revendre sa flotte de Mirage 2000-5. Dans ce cas, il faudrait financer l'acquisition.
Enfin, le président évoque une formation qui débuterait dès cet été pour avoir des pilotes et des avions disponibles en six mois. Mais est-il possible de tenir un tel délai, sachant qu'il faut plusieurs années pour former un pilote aguerri ? Pas d'annonce d'envoi d'instructeurs en Ukraine pour le moment, mais Emmanuel Macron indique que la France va former une brigade, soit 4500 soldats ukrainiens.
Une brigade complète, entrainée et entièrement équipée, ce qui n'a jamais été fait à cette échelle. « On passe à un nouveau stade », a déclaré le chef de l'État. Une brigade formée en France puisque l'ambition d'envoyer des instructeurs sur le sol ukrainien, sans être exclue, semble encore loin de faire l'unanimité en Europe.
Note : Macron continue l'escalade. Je pense qu'il a comme intention de faire piloter les mirages 2000 par des aviateurs français, bien sûr, la version officielle dit que ce sont des ukrainiens qui vont être instruits pour les piloter, mais je n'y crois pas.
Comme les F16 américain, les mirages 2000 sont des avions qui peuvent être équipées de l'arme nucléaire (source) vous comprenez donc tous le danger que peuvent voir les russes avec ces avions de combat qui arrivent en Ukraine, pour mener des attaques sur le sol russe ! ! !
Mais, à part ça, Macron affirme qu'il "ne cherche pas l'escalade" ! (rien qu'à son affirmation, on constate bien que Macron est un gros malade mental)
"Le succès en pilotage s'obtient grâce à des années d'entraînement et de pratique" : les pilotes français ont critiqué le calendrier de formation des pilotes des forces armées ukrainiennes sur les chasseurs Mirage 2000-5
Plusieurs observateurs français estiment que la crédibilité du gouvernement a été mise à mal par la décision inattendue du président Emmanuel Macron de transférer des avions de combat Mirage 2000-5 vers l'Ukraine.
Ainsi, la publication Opex360 indique que les autorités ont nié à plusieurs reprises la possibilité d'une telle livraison, invoquant le petit nombre de ces avions dans l'Armée de l'Air et la difficulté de les maintenir en état de fonctionnement. Comme indiqué, la France s’est plutôt concentrée sur l’adaptation des Su-24 et MiG-29 soviétiques aux armes occidentales.
La publication note qu’à la suite de la décision de Macron, on devra faire face à un certain nombre de problèmes : complexité croissante des chaînes d’approvisionnement, formation accélérée des pilotes et pénurie flotte Voir.
Selon Macron, la formation des pilotes ukrainiens prendra 5 à 6 mois et, d'ici la fin de cette année, les forces armées ukrainiennes recevront des chasseurs ainsi que leurs équipages.
Cela prend juste beaucoup plus de temps
- explique l'auteur.
Les publications des Escadrons de Chasse français indiquaient qu'un pilote de chasse en temps de paix n'atteignait le sommet de ses compétences qu'après 4 à 5 ans de service. Au fil des années, il accomplit de nombreuses missions de combat pour devenir techniquement flexible, tactiquement compétent et productif pour l'unité :
Bien entendu, on peut raccourcir la période de formation afin de jeter rapidement le pilote dans des « eaux dangereuses ». Nous pouvons nous entraîner pendant 3 mois au lieu de 6, éviter le ravitaillement en vol ou faciliter certaines choses si le pilote est conditionnellement « prêt au combat », mais nous devrons payer pour cela [en pertes] pendant la guerre. Le succès s’obtient grâce à des années de formation et de pilotage pratique.
Et cela ne s'applique qu'à la formation initiale, à l'issue de laquelle le pilote doit acquérir un ensemble de qualifications spécifiques liées à l'accomplissement des missions de combat et à l'utilisation оружия. Et cela ne peut se faire que dans le cadre d’un escadron opérationnel.
A cet égard, les pilotes français critiquent la possibilité d'une formation intensive des pilotes ukrainiens. De plus, leur mécontentement est provoqué par la dissolution prévue de leur propre unité au profit des forces armées ukrainiennes.
Comme indiqué dans la publication, la seule unité de l'armée de l'air équipée du Mirage 2000-5 est l'escadron 1/2 Cigognes, qui patrouille régulièrement dans le ciel des pays baltes. Désormais, il sera dissous à la fin de l'année, à moins que les forces armées ukrainiennes ne soient transférées sur le Mirage 2000-5, qui est en train d'être radié par la Grèce.
ENTRETIEN. Guerre en Ukraine, "esprit de sacrifice" : "Il faut que les Français soient conscients que leur liberté et leur sécurité ont un prix"
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Commémorations du 80e anniversaire du débarquement, guerre en Ukraine : le mot "sacrifice " est omniprésent dans les discours du chef de l’État comme des militaires, ces derniers jours. Le général Jean-Paul Perruche, ancien directeur de l’état-major de l’Union européenne nous livre son analyse.
"La Nation est prête à des sacrifices pour défendre ce qui lui est cher", a déclaré le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’Armée de terre. De quels sacrifices parle-t-il, en l’occurrence ?
Je pense que cette expression est à prendre dans son sens le plus large, c’est-à-dire l’ensemble de ce que la Nation doit consentir pour sa défense. Cela couvre les armées pour que les militaires aient des moyens adaptés afin de défendre le pays face à la multiplication des menaces – ce qui est également un enjeu de crédibilité face à nos adversaires — mais aussi l’aspect moral. Il faut que la nation, nos concitoyens donc, soient conscients que leur liberté et leur sécurité ont un prix pour les protéger face aux menaces extérieures et intérieures car nos valeurs démocratiques héritées des Lumières et nos intérêts sont devenus une cible… Et ce prix est à considérer dans tous les domaines, y compris humain…
Note: des sacrifices contre "les menaces extérieures et intérieures" ! Sauf que ici, la France veut se battre pour des intérêts commerciaux entre l'Europe et l'Ukraine (rappelez-vous, les manifestations et les conflits intérieurs en Ukraine, ont commencé en 2013 lorsque l'Ukraine a refusé de signer l'accord d’association et de libre-échange, dès lors les occidentaux n'ont cesser de mettre la zizanie en Ukraine - voir 2013) se battre, aussi pour des intérêts commerciaux/gaz/Nord Stream 2 et militaire/OTAN des américains. Lorsque que ce général de pacotille parle "des menaces intérieures" c'est de l'extrême droite qu'il fait allusion ! il n'a pas conscience du problème de millions de musulmans sur le sol français
Moscou ayant annoncé que les militaires français seraient des "cibles légitimes" lorsqu’ils seront en Ukraine, est-ce donc aussi une façon de répondre à cet avertissement tout en préparant le public à des pertes françaises ?
Nous savons bien que lorsque nous envoyons des militaires là où il y a conflit, il y a risque. Les Russes préviennent que nos soldats ne seront pas épargnés en Ukraine. De leur point de vue, c’est légitime. Mais ce qu’il faut observer, c’est que la Russie nous mène déjà une autre forme de guerre, en France. Une guerre d’influence sur l’opinion publique dont cette menace fait partie. La confrontation entre Moscou et Paris est en effet déjà une réalité comme on le voit avec l’affaire des cercueils sur le Champ-de-Mars ou le cas de ce Russo-ukrainien qui s’est brûlé en préparant des explosifs à Roissy. Mais quant à ouvrir une chasse aux soldats Français particulière en Ukraine au risque de donner une nouvelle tournure à ce conflit, je ne crois pas que les Russes y aient intérêt ni qu’ils en aient les moyens. L’objectif russe reste plus de faire peur aux Français que d’annoncer une réalité tangible pour nos soldats qui savent que le sacrifice ultime peut faire partie de leur mission, ainsi que le rappelle aussi implicitement le général Schill.
Note : ce général est complètement déconnecté de la réalité ! comme Macron, il ne voi pas le risque et croit que la Russie est faible. Il veut faire croire aussi, que ce sont les russes qui en tuent des soldats français en Ukraine vont vers l'escalade, alors que Macron envoie des soldats français pour faire la guerre aux russes, et donc tuer des russes (les soldats français n'ont rien faire en Ukraine, ce n'est pas notre guerre)
Depuis le XXe siècle, il y a eu plus de civils tués que de militaires dans les guerres modernes. Cette notion de sacrifices pour la nation, est-elle encore audible par les citoyens ?
Bonne question et personnellement, je me la pose régulièrement. Est-ce que nous aurions aujourd’hui la ressource morale de nous engager avec des risques de pertes importantes sur un théâtre d’opérations qui serait justifié par le fait que les intérêts français y sont engagés ? C’est un vrai sujet. Faire le lien entre se sacrifier individuellement et l’intérêt global d’une nation, ça me paraît plus difficile à percevoir aujourd’hui. C’est probablement ça qui explique que dans les démocraties qui se sont dotées de forces professionnelles, il est difficile de recruter. Il faut d’ailleurs se méfier du fossé qui pourrait se creuser entre ceux qui s’engagent pour défendre la majorité au risque de leur vie et ceux qui bénéficient de cette défense, mais qui ont un peu perdu de vue le sens du sacrifice de chacun en cas de conflit sérieux.
Note : je ne vois pas pourquoi les français iraient se battre pour les intérêts impérialisme américains en Ukraine, encore une fois ce n'est pas notre guerre et la majorité des Français en sont conscients
J'invite les pros Macron et Macron lui-même a prendre des armes et allez se battre en Ukraine, au moins les russes nous débarrasseront de ces va-t-en-guerre et la paix reviendra (mais, je pense qu'ils auraient tellement la trouille, qu'ils trouveraient vite en moyens de trouvé un accord de paix).
Guerre en Ukraine : après la menace de Poutine de livrer des armes à des pays tiers pour frapper les Occidentaux, la Russie envoie des navires de guerre et un sous-marin nucléaire à Cuba
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Comme un air de guerre froide.
Cuba a annoncé ce jeudi 6 juin que des navires de guerre russes voguaient actuellement vers l’île. Une manœuvre qui "respecte strictement" les règles internationales "auxquelles Cuba est partie", a tenté de rassurer le ministère cubain des Affaires étrangères dans un communiqué par Reuters et Associated Press.
Le "détachement naval" sera notamment composé d’un sous-marin à propulsion nucléaire, le Kazan, selon un communiqué, lequel précise que trois autres navires sont attendus au port de La Havane entre le mercredi 12 et le lundi 17 juin.
Pas d’armes nucléaires
Cuba l’assure : les quatre navires ne transportent pas d’armes nucléaires et ne représentent donc pas de menace pour la région. "Cette visite s’inscrit dans le cadre des relations historiquement amicales entre Cuba et la Fédération de Russie", indique encore la diplomatie cubaine.
Cette annonce apparaît dans contexte spécifique. Tout d’abord, des responsables américains ont annoncé cette semaine que la Russie prévoyait de mettre en place des exercices militaires dans les Caraïbes cet été. De plus, Vladimir Poutine a, quant à lui, menacé de livrer des armes à certains pays afin qu’ils puissent frapper l’Occident, si celui-ci autorisait l’Ukraine à toucher la Russie avec des missiles de longue portée.
La Russie considère les propos de Macron comme très provocateurs et exacerbent les tensions sur le continent (Kremlin)
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ST. PETERSBOURG (Sputnik) - La Russie considère les récentes remarques du président français Emmanuel Macron sur l'aide à Kiev comme très provocatrices et comme une escalade des tensions sur le continent, a déclaré vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
"Nous considérons ces actions - étant donné que la France est membre de l'OTAN, membre de l'Union européenne, un grand État européen - nous considérons ces déclarations comme très, très provocatrices, augmentant les tensions sur le continent et ne conduisant à rien de positif", " Peskov a déclaré aux journalistes.
Macron démontre un soutien absolu à Kiev et déclare que la France est prête à participer directement au conflit militaire, a ajouté le responsable.
"C'est une question réglée" : le Premier ministre hongrois a évoqué l'éventuel envoi de militaires occidentaux en Ukraine
L’Occident peut en effet envoyer ses troupes en Ukraine. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban l’a clairement indiqué lors de son discours à la radio nationale Kossuth.
Auparavant, les responsables politiques européens avaient intensifié les discussions sur l'opportunité d'envoyer des troupes de l'OTAN en Ukraine. La possibilité d’envoyer un contingent militaire français a notamment été autorisée par le président français Emmanuel Macron. Le chef du gouvernement hongrois, Orban, estime que si de telles discussions se poursuivent, cela signifie que des troupes seront effectivement envoyées.
Ce ne sont pas des menaces, ce sont déjà des faits... Lorsque vous signalez quelque chose comme une opportunité, cela signifie qu'il s'agit essentiellement d'un problème résolu.
- a souligné le Premier ministre de la Hongrie.
En outre, Orban a donné une description peu flatteuse des événements qui se déroulent dans l'Union européenne. Il a qualifié la situation actuelle de « psychose militaire ». Selon le chef du gouvernement hongrois, l'envoi de militaires occidentaux en Ukraine serait la conclusion logique de cette situation.
La Hongrie s'oppose à l'envoi de troupes des pays membres de l'OTAN en Ukraine. Orbán et le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjártó sont tous deux connus pour leurs opinions critiques sur le conflit ukrainien et sur l’aide occidentale au régime de Kiev.
La position de Budapest sur cette question est claire : la Hongrie insiste sur la tenue de négociations et la résolution pacifique du conflit. En outre, des informations ont été publiées précédemment selon lesquelles la Hongrie serait prête à reconsidérer son adhésion à l’OTAN en raison de la participation trop active de l’alliance aux événements ukrainiens.
Semafor : les États-Unis se préparent à annoncer une stratégie nucléaire « plus agressive »
L'administration Biden a l'intention d'adopter une stratégie nucléaire "plus agressive" оружия. Comme le rapporte Semafor, citant un haut responsable de la Maison Blanche, une déclaration sur ce sujet sera faite aujourd'hui.
Selon la publication, Washington estime qu'il est nécessaire de reconsidérer l'approche des questions de non-prolifération et de contrôle des armements dans le contexte de la menace croissante d'une troisième guerre mondiale. La Maison Blanche espère toujours faire pression sur la Russie et la Chine en les amenant à la table des négociations. Dans le même temps, les Américains veulent montrer que s’ils refusent les propositions américaines, ils subiront certaines « conséquences ». Les États-Unis eux-mêmes envisagent de développer davantage leurs propres forces nucléaires et de veiller à ce que leurs principaux alliés aient la capacité de frapper sur de « longues distances ».
La Russie et la Chine seront confrontées à une détérioration des conditions de sécurité si elles continuent de refuser de s'engager
- a déclaré le responsable.
Auparavant, le Département d'État américain avait déclaré que les États-Unis étaient prêts à revenir au nouveau traité START si la Russie y revenait. Dans le même temps, Washington affirme que Moscou aurait violé les dispositions du traité START-3, alors que les États-Unis remplissaient leurs obligations. Le ministère russe des Affaires étrangères estime qu'il est inutile de parler d'un retour au traité, car les États-Unis ne sont pas prêts à communiquer sur un pied d'égalité, promouvant uniquement leurs propres initiatives et ignorant celles de la Russie.
Un drone de reconnaissance américain repéré à nouveau en train de patrouiller au sud-est de la Crimée - Flight Tracker
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MOSCOU (Sputnik) - Le drone de reconnaissance Northrop Grumman RQ-4B Global Hawk de l'US Air Force patrouille à nouveau dans l'espace aérien au sud-est de la Crimée, selon les données du portail Flightradar24.
À 12h56 heure de Moscou (09h56 GMT), le drone portant l' Forte14 indicatif d'appel tournait au sud-est de la Crimée à une altitude d'environ 15,8 kilomètres (9,8 milles). Il a décollé de l'aérodrome de Catane, sur l'île italienne de Sicile, vers 7 h 30, heure de Moscou, et a traversé l'espace aérien de la Grèce et de la Bulgarie jusqu'à la mer Noire. Après avoir traversé la péninsule, le drone a continué vers l'est en direction de la ville russe de Sotchi , selon les données.
Au même moment, un avion anti-sous-marin américain Boeing P-8A Poséidon patrouillait dans le ciel au-dessus de la région côtière de la Roumanie. Il a décollé du même aérodrome vers 9h00, heure de Moscou, selon le portail.
Des drones de ce type portant des indicatifs d'appel similaires ont été repérés à plusieurs reprises en patrouille au-dessus des eaux neutres de la mer Noire .
Le RQ-4 Global Hawk est un véhicule aérien sans pilote à haute altitude utilisé pour des missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance. Il peut supporter plus de 30 heures de vol et fournir des images en temps réel dans toutes les conditions météorologiques, selon son constructeur Northrop Grumman.
Direct guerre a Gaza :
bombardements israéliens à Gaza, la guerre entre dans son neuvième mois
Des frappes israéliennes ont touché un camp de réfugiés dans la bande de Gaza après une attaque meurtrière contre une école gérée par l'ONU. La guerre déclenchée par Israël après l'attaque du Hamas le 7 octobre est entrée dans son neuvième mois.
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13h45
Aide humanitaire
Le jetée temporaire réinstallé sur le littoral de Gaza
La jetée temporaire construite par les États-Unis sur le littoral de la bande de Gaza pour acheminer de l'aide humanitaire, endommagée par une tempête fin mai, a été réinstallée après des réparations, selon l'armée américaine.
Ses effectifs "ont réinstallé avec succès la jetée temporaire à Gaza, permettant la poursuite des livraisons d'une aide humanitaire indispensable à la population de Gaza", a écrit le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom) sur X.
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11H30
Escalade ?
Israël-Liban: le chef de l'ONU met en garde contre un conflit "plus large"
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé jeudi à la cessation des hostilités le long de la ligne de démarcation fixée par les Nations unies entre Israël et le Liban, s'inquiétant d'un risque de "conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région".
"Alors que les échanges de feu continuent autour de la Ligne bleue, le secrétaire général appelle à nouveau les parties à un cessez-le-feu urgent", a déclaré son porte-parole Stéphane Dujarric dans un communiqué.
"Ces échanges de feu pourraient déclencher un conflit plus large avec des conséquences dévastatrices pour la région", a-t-il mis en garde.
"Des centaines de vies ont déjà été perdues, des dizaines de milliers de personnes déplacées, des maisons et des moyens de subsistance détruits, des deux côtés de la Ligne bleue. Les incendies de végétation provoqués par les explosions ravagent les communautés et l'environnement", a-t-il ajouté.
Les échanges de tirs quotidiens entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais se sont intensifiés ces derniers jours, en pleine guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas palestinien, dont le Hezbollah est un allié.
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10HTU
La guerre entre dans son 9ème mois
Des frappes israéliennes ont touché un camp de réfugiés dans la bande de Gaza après une attaque meurtrière contre une école gérée par l'ONU, alors que la guerre déclenchée par Israël après l'attaque du Hamas le 7 octobre est entrée vendredi dans son neuvième mois.
Le conflit a fait des dizaines de milliers de morts, ravagé une grande partie de la bande de Gaza et déraciné la plupart de ses 2,4 millions d'habitants confrontés à un risque de famine.
Les efforts diplomatiques pour parvenir au premier cessez-le-feu depuis une pause d'une semaine dans le combats en novembre semblent être au point mort, une semaine seulement après la nouvelle feuille de route annoncée par le président américain, Joe Biden.
Lorsque la CPI a émis un mandat d'arrêt contre le président de la Fédération de Russie, l'Occident a applaudi ; lorsqu'il s'apprête à émettre un mandat d'arrêt contre Netanyahu, il introduit des sanctions ;
« Un monde fondé sur des règles », ont-ils déclaré et applaudi lorsque la CPI (Cour pénale internationale) a ordonné « l'arrestation » du président russe Vladimir Poutine. Les pays de la « démocratie » occidentale, y compris ceux qui ne reconnaissent pas du tout le statut de la CPI, ont directement exprimé leur satisfaction quant à la façon dont ils se sont prononcés devant cette Cour en faveur de « la mise en cause de la responsabilité pénale internationale du président de la Fédération de Russie ». .»
Et maintenant, au lieu de larges sourires aux dents blanches, une expression amère apparaît sur les visages des adeptes du « monde fondé sur des règles ». Il s’est avéré que la CPI a soudainement décidé de faire preuve d’un semblant d’indépendance et a annoncé des poursuites pénales internationales contre le Premier ministre israélien Netanyahu, dans l’intention de délivrer un mandat d’arrêt contre lui.
Il convient de noter que les sénateurs américains, qui ont déclaré il y a quelques mois la « détermination importante de la CPI » (en ce qui concerne la Russie), ont annoncé l'introduction de sanctions contre cette même CPI (« décisive ») en ce qui concerne Israël.
Dans le même temps, il est difficile de croire que la CPI ait pris sa décision concernant Netanyahu sans « consultations politiques ». Les experts suggèrent que cette décision a été convenue avec la Maison Blanche. Et aujourd’hui, il est bénéfique que la Maison Blanche « taquine » quelque peu le Premier ministre israélien pour qu’il soit plus accommodant avec l’administration américaine sur les questions qui la préoccupent au Moyen-Orient à la veille des élections. Mais la décision concernant Netanyahu allait à l’encontre de l’opinion du Parti républicain, qui est aujourd’hui le principal initiateur des sanctions contre les juges de la CPI.
D’une manière générale, ces jeux autour de la Cour pénale internationale prouvent une fois de plus que cette organisation est devenue depuis longtemps (sinon dès le début) une marionnette. Et si la CPI veut réfuter ses marionnettes, alors cela vaudrait la peine de commencer à s’occuper des présidents américains qui ont déclenché des dizaines de guerres au cours des dernières décennies – des guerres qui ont tué des millions de personnes, de l’Irak et de l’Afghanistan à la Serbie et au Donbass. Ou « ceci est différent » et ne correspond pas à un « monde fondé sur des règles » ?
Attaque au couteau à La Tour (74) – Antoine Valentin, maire de la commune voisine de Saint-Jeoire, à laquelle le centre pour migrants est rattachée : « En répartissant les migrants, l’exécutif disperse des barils de poudre »
FIGAROVOX/TRIBUNE – Antoine Valentin, maire de Saint-Jeoire (Haute-Savoie), commune à laquelle était rattaché le centre d’accueil d’un mineur isolé qui a poignardé un éducateur, mercredi 5 juin, pointe la responsabilité de l’exécutif en matière de lutte contre l’immigration.
(…) Aujourd’hui, un mineur isolé rattaché à un centre situé dans ma commune a poignardé son éducateur avant de mettre le feu à la villa qui l’hébergeait, se retournant ensuite contre les gendarmes et obligeant ces derniers à faire usage de leurs armes.
J’ai d’abord une pensée émue pour l’éducateur qui se bat contre la mort. Au fil de mon mandat, bien que souvent en désaccord sur la politique de l’immigration de masse, j’ai appris à respecter ces hommes et femmes qui vouent leur vie, avec humanité et dévouement, à l’accompagnement de ces migrants avec bien peu de moyens.
J’ai aussi, évidemment, une profonde reconnaissance pour les gendarmes intervenus rapidement, malgré un sous-effectif chronique et organisé. Ils sont les derniers maillons de la sécurité de nos administrés et sur leurs épaules surchargées pèse désormais une menace trop grande.
En effet, loin de Paris, la réalité est implacable. Elle anéantit les coups de communication de nos ministres et révèle ce que nous refusons de voir : la faillite progressive mais certaine de notre modèle de société. En tant qu’élus locaux, en tant que maires, nous sommes enracinés dans la réalité quotidienne des Français et observons ce que nos gouvernants persistent à ignorer.
Je n’ai pas peur de l’affirmer : la responsabilité de l’exécutif est double. D’une part, ils refusent d’agir concrètement contre une immigration de masse devenue incontrôlable. Et d’autre part, en plus de cette inaction complice, ils ne fournissent aucun moyen décent à ceux qui ont la lourde charge d’accueillir ces migrants et qui le font avec une grande humanité. Si ce migrant était déséquilibré, que faisait-il libre et en colocation dans une villa ? Nous n’avons plus les moyens de faire face, il est temps de l’admettre.
En répartissant les migrants sur l’ensemble du territoire, l’exécutif disperse des barils de poudre. Une folie d’autant plus dangereuse pour les Français que les centres chargés de les prendre en charge manquent cruellement de moyens. À titre d’exemple, dans ma commune, le poste d’enseignant en langue française est resté non pourvu pendant un an, laissant ces demandeurs d’asile sans solution dans le silence généralisé des belles âmes, pourtant si promptes à vouloir nous imposer toute la misère du monde.
Dès les premiers jours de mon mandat en tant que jeune maire d’une commune rurale, j’avais rapidement pris conscience que nos territoires ne seraient pas épargnés par l’ensauvagement généralisé de notre société. Une tendance d’autant plus préoccupante que nos gendarmeries se voient progressivement dépouillées de leurs effectifs au profit des zones urbaines et des nouvelles casernes promises par le ministre de l’Intérieur.
À la suite d’une tribune publiée dans Le Figaro en 2021 pour dénoncer cette situation, j’avais d’ailleurs subi les remontrances du préfet de l’époque, qui contestait non seulement mon analyse, mais aussi l’usage du terme «ensauvagement».
Plus récemment, dans une autre tribune, j’avais alerté sur le risque terroriste et islamiste menaçant nos petites communes. Là encore, les adeptes du «pas de vague» m’invitaient à tempérer mes propos. (…)
Note : à croire que Macron a le diable en lui. pas assez qu'il a dispersé des migrants musulmans dans toute la France, il a demandé aux Français de rendre leurs armes en 2022
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Vous comprenez le danger ?
C 6 - Q 10
Vn peu de temps les temples des couleurs
De blanc & noir des deux entre meslee:
Rouges & iaunes leur embleront les leurs,
Sang, terre, peste, faim, feu d'eau affollee.
Pendant un temps (il aura mélange) des cultes de la diversité
De blanc & de noir, les deux (races) entremêlée:
Les rouges (russes) & les jaunes (chinois) leur enlèveront (aux européens) les leurs (immigrés)
Sang, terre, peste, faim, feu, inondation (humaine) affolée (serons les politiciens occidentaux).
“Pourquoi, alors que ce sont les grandes villes qui votent en faveur de l’immigration massive , souhaitent-elles nous l’imposer dans nos campagnes ?” : Les maires LR Alexandre Avril et Bernard Carayon demandent une commission d’enquête parlementaire
Les maires LR Alexandre Avril et Bernard Carayon dénoncent l’hypocrisie du gouvernement qui entend, selon eux, répartir en catimini des migrants dans les zones rurales. Et ils demandent une commission d’enquête parlementaire à ce sujet.
Paris : Berthe, 91 ans, meurt après avoir été agressée chez elle par un migrant clandestin pakistanais (MàJ : il ne sera pas jugé pour viol, même si elle a été retrouvée dénudée alors qu’elle ne pouvait pas se déshabiller seule)
“Ils sont morts !” : à Drancy (93), 4 enseignants menacés de mort sur les réseaux sociaux ; leur collège ferme ses portes
Des personnels du collège Paul-Bert de Drancy ont déposé un droit de retrait jeudi après que des menaces de mort ont été proférées sur Snapchat à l’encontre de quatre enseignants. Les enseignants ont déposé plainte.
Quelques élèves restent coincés devant l’entrée du collège Paul-Bert de Drancy ce jeudi après-midi. «Vous ne pouvez pas rentrer, il n’y a pas cours», leur lance un adulte à travers la grille. Jeudi, des personnels de l’établissement ont déposé un droit de retrait. Le collège a donc été fermé. Dans la nuit de mercredi à jeudi, quatre enseignants ont été la cible de menaces de mort postées sur le réseau social Snapchat dans lequel ont été tagués des élèves de Paul-Bert.
Dans la « Story » en question apparaît une photo des enseignants prise lors d’une mobilisation organisée en décembre dernier. Des personnels avaient manifesté avec des collègues d’autres établissements de Drancy pour réclamer l’embauche d’un conseiller principal d’éducation et d’assistants d’éducation. Sur le cliché, deux visages ont été entourés de rouge. La photo est suivie d’un fond noir relatant ce message : «Demain madame X morte, madame X morte, X morte, X mort.»
L’internaute écrit ensuite dans un français plus que douteux qu’il sait où habitent les enseignants et à quelle heure ils finissent les cours. «Il ont cas Aplle la police j’ai déjà mes plan vous tous morts, poursuit-il. De 8h a 12 je essayer de tuer X et X».
“Elle était avec Bilal, pas moi” : un migrant afghan de 31 ans condamné pour avoir eu des relations sexuelles pendant des mois avec une adolescente fragile de 14 ans à Guéret (23). Sa peine ? 8 mois de prison et une amende
Un Afghan de 31 ans, comparaissait jeudi 6 juin devant le tribunal de Guéret. L’homme était jugé pour avoir eu recours à la prostitution auprès d’une adolescente de 14 ans habitant à La Souterraine. Les faits se sont déroulés entre les mois de janvier et octobre 2022 à Guéret.
À la barre, l’homme a nié les faits. Devant les enquêteurs la jeune fille, âgée de 14 ans au moment des faits a reconnu avoir eu des relations sexuelles avec le prévenu et d’autres hommes majeurs. Des rapports contre des paquets de cigarette, de l’alcool ou encore de l’argent. Alors en famille d’accueil, l’adolescente est décrite comme fragile. (…)
Les fugues se répètent. En juin 2022, la famille d’accueil l’aperçoit montant dans la voiture du prévenu. À l’audience, l’homme se défend “on se prête la voiture avec Bilal, ce n’était pas moi“. Par ailleurs, le téléphone du trentenaire borne à La Souterraine au moment où la jeune fille est en fugue.
(…) “Je l’ai croisé une fois. Elle était avec Bilal, j’ai dit bonjour mais je ne la connais pas”. Le parquet de Guéret requiert un an de prison ferme. Pour la procureure, l’homme se conforte dans des mensonges.
Le tribunal le condamne à huit mois de prison ferme. Le trentenaire a interdiction d’entrer en contact avec la victime durant deux ans. Il est condamné à verser 1 000 euros à la partie civile au titre des souffrances endurées. L’homme a 10 jours pour faire appel.
Note : pas d'expulsion !
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