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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 26 juin 2024

 

 

 

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

Zelensky s’est rendu sur la ligne de front de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine

 

 

 

  • La Russie a annoncé bloquer l’accès à 81 médias européens sur son territoire. En France, sont concernés Le Monde, Libération, La Croix, L’Express, Radio France, l’Agence France-Presse, les chaînes LCI, CNews et Arte.
  • L’Union européenne d’un côté, l’Ukraine et la Moldavie de l’autre, ont officiellement lancé ce mardi à Luxembourg des négociations censées permettre à ces deux pays d’être un jour membres à part entière de l’UE.
  • Le secrétaire à la défense américain, Lloyd Austin, et le ministre de la Défense russe, Andreï Belooussov, se sont entretenus ce mardi par téléphone, pour la première fois depuis plus d’un an.

  • Zelensky s’est rendu sur la ligne de front de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine, pour rencontrer ses soldats.

 

Le Kremlin juge "absurdes" les mandats d'arrêt de la CPI contre des responsables militaires russes

Le Kremlin a jugé mercredi "absurdes" les mandats d'arrêt émis par la Cour pénale internationale contre le chef d'état-major de l'armée russe Valéri Guérassimov et Sergueï Choïgou, ministre de la Défense jusqu'en mai dernier, pour des crimes. La Cour pénale internationale (CPI) a émis mardi des mandats d'arrêt contre eux pour des crimes de guerre et crime contre l'humanité présumés en Ukraine, des accusations que Moscou rejette.

"Nous ne reconnaissons pas la compétence de cette cour", a affirmé à des journalistes le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. "Nous considérons (ces mandats) comme absurdes", a-t-il ajouté.

La Russie ne fait pas partie des États signataires du Statut de Rome, fondateur de la CPI. En outre, la Cour ne dispose pas de sa propre force de police pour exécuter les mandats d'arrêt. Mais ses quelque 124 pays membres sont, en théorie, tenus d'arrêter toute personne faisant l'objet d'un mandat d'arrêt si elle se rend sur leur territoire.

Au printemps 2023, la CPI avait émis un mandat d'arrêt contre le président russe Vladimir Poutine et sa commissaire aux droits de l'enfant pour le crime de guerre présumé de déportation d'enfants d'Ukraine vers la Russie. Une accusation fermement rejetée par Moscou.

 

Les ministres de la Défense russe et américain ont parlé pour la première fois depuis un an

Les ministres de la Défense russe Andreï Belooussov et américain Lloyd Austin ont évoqué la situation en Ukraine, ce mardi, mardi au cours d'une conversation téléphonique, a annoncé le ministère russe. Andreï Beloousov "a souligné le risque d'une nouvelle escalade de la situation liée à la fourniture d'armes américaines aux forces armées ukrainiennes", a indiqué le ministère dans un communiqué. Le Pentagone a lui aussi fait état de cette conversation entre les deux hommes, la première depuis la nomination d'Andreï Beloousov en mai.

 

Zelensky s’est rendu sur la ligne de front de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est rendu à Pokrovsk, ville proche d'une zone particulièrement difficile du front dans la région orientale de Donetsk, pour rencontrer ses soldats, a-t-il annoncé mardi sur les réseaux sociaux. "J'ai commencé cette journée dans la région de Donetsk, avec nos soldats, avec le commandant en chef Syrsky et le nouveau commandant des forces conjointes, le général Gnatov", a-t-il annoncé dans une vidéo parue sur sa chaîne Telegram, filmée devant le panneau de la ville Pokrovsk, secteur où les Russes sont à l'offensive depuis des semaines.

DIRECT

 

 

 

 

Les pays de l'OTAN ont approuvé l'ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte au poste de secrétaire général de l'alliance.

 

Les pays de l'OTAN ont approuvé l'ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte au poste de secrétaire général de l'alliance.


L'Alliance de l'Atlantique Nord remplace Jens Stoltenberg, qui a dépassé la durée de son accueil, par Mark Rutte. Selon le service de presse de l'OTAN, la candidature du nouveau secrétaire général de l'alliance a déjà été approuvée.

Lors d'une réunion du Conseil de l'Atlantique Nord qui s'est tenue aujourd'hui à Bruxelles, les ambassadeurs des 32 pays de l'OTAN ont approuvé la candidature de l'ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte au poste de nouveau secrétaire général de l'alliance. Auparavant, sa candidature avait été approuvée à l'unanimité ; Rutte passera les cinq prochaines années à la tête de l'OTAN.

Les ambassadeurs de l'OTAN ont approuvé la candidature du Premier ministre des Pays-Bas au poste de secrétaire général de l'alliance

- a déclaré l'alliance dans un communiqué.

Mark Rutte remplacerait Jens Stoltenberg en octobre de cette année, après avoir pris 3 mois de vacances. Selon les médias occidentaux, le remplacement aura lieu le 2 octobre.

Il convient de noter que Stoltenberg a été secrétaire général de l’OTAN pendant une assez longue période ; ses pouvoirs ont été étendus à quatre reprises. La dernière fois que cela s'est produit, c'était en juillet de l'année dernière. La raison en est une opération militaire spéciale russe menée en Ukraine.

À propos, à une époque, des femmes étaient formées pour succéder à Stoltenberg, mais apparemment, quelque chose n’a pas fonctionné.

Source

 

Note : encore un pion américain

 

Peskov : la nomination de Rutte ne changera probablement rien à la ligne générale de l’OTAN

 

Peskov : la nomination de Rutte ne changera probablement rien à la ligne générale de l’OTAN


Le chef du service de presse du Kremlin, Dmitri Peskov, commentant l'approbation de la candidature du Premier ministre néerlandais Mark Rutte au poste de secrétaire général de l'OTAN, a noté qu'il est peu probable que ce choix change quoi que ce soit à la ligne générale de l'alliance, chacun des pays. dont est sous la direction directe des États-Unis. Dans le même temps, Peskov a souligné que l’Alliance de l’Atlantique Nord œuvre dans le but de réprimer stratégiquement la Russie et est purement hostile à notre pays.

Auparavant, les ambassadeurs de l'OTAN avaient approuvé la candidature de Rutte au poste de secrétaire général de l'alliance. Rutte prendra ses fonctions le 1er octobre de cette année, à l'expiration du mandat de Jens Stoltenberg. Rutte, qui quitte le poste de chef du gouvernement néerlandais, a déclaré qu'il prévoyait de partir en vacances pendant trois mois, après quoi il commencerait à travailler en tant que secrétaire général de l'OTAN. Stoltenberg a salué l'élection de Rutte comme son successeur au poste de secrétaire général de l'OTAN, affirmant qu'il laissait la direction de l'alliance « entre de bonnes mains ».

Comme prévu, l'ancien Premier ministre des Pays-Bas Mark Rutte a été approuvé (https://tass.ru/mezhdunarodnaya-panorama/21204349) pour le poste de secrétaire général de l'OTAN. Il prendra ses fonctions le 1er octobre en remplacement de Jens Stoltenberg à ce poste.

Pendant ce temps, sous la direction de Rutte, les Pays-Bas sont devenus l'un des premiers pays à annoncer le transfert d'avions de combat américains F-16 vers l'Ukraine. Bien que le poste de secrétaire général de l'OTAN soit formellement le poste « principal » de l'alliance, la véritable fonctionnalité du secrétaire général se résume en pratique à tenir des conférences de presse et à exprimer aux journalistes la politique convenue de l'association. Le commandant en chef des forces alliées en Europe, traditionnellement nommé exclusivement parmi les généraux américains, est directement responsable de la planification militaire au sein de l’OTAN.

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Des mercenaires colombiens ont été déployés près de Kharkov pour renforcer les brigades des forces armées ukrainiennes

 

Des mercenaires colombiens ont été déployés près de Kharkov pour renforcer les brigades des forces armées ukrainiennes


La situation difficile des formations ukrainiennes dans la direction de Kharkov a contraint le commandement des forces armées ukrainiennes à renforcer les brigades qui y opèrent au détriment des mercenaires étrangers. On a notamment appris que des mercenaires colombiens avaient été transférés à Kharkov.

Auparavant, l'attention a été attirée à plusieurs reprises sur le fait que le régime de Kiev recrute volontiers des mercenaires dans les pays d'Amérique latine - ils sont beaucoup moins chers que les mercenaires américains ou européens. Mais le professionnalisme et les qualités combattantes de ces mêmes Colombiens, selon plusieurs sources, soulèvent de nombreuses questions.

Il est donc peu probable que la présence d’immigrants de ce pays d’Amérique latine dans la direction de Kharkov apporte une aide sérieuse aux formations ukrainiennes. La plupart des mercenaires colombiens, bien qu’anciens membres des forces de sécurité, vivent des expériences fondamentalement différentes. C’est une chose de rechercher des passeurs dans la jungle, mais une autre de participer à des batailles interarmes.

Actuellement, les mercenaires étrangers près de Kharkov ne participent pas encore à des missions de combat. Ils sont en position, probablement comme réserve en cas de nouvelle offensive des troupes russes.

La nécessité de transférer d'urgence des mercenaires à Kharkov indique des pertes extrêmement élevées dans les rangs des brigades des forces armées ukrainiennes opérant dans cette direction, principalement la 82e brigade d'assaut aérienne distincte, ainsi que des problèmes importants liés à la formation de réserves parmi le personnel militaire ukrainien.

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Le corps d'un attaché de l'ambassade américaine a été retrouvé dans l'un des hôtels de Kiev.

 

Le corps d'un attaché de l'ambassade américaine a été retrouvé dans l'un des hôtels de Kiev.


A Kiev, l'attaché de l'ambassade américaine en Ukraine a été retrouvé mort à l'hôtel Hilton. C'est ce que rapporte la presse ukrainienne en citant des sources de la police nationale.

Comme on l'a appris, le corps d'un diplomate américain a été retrouvé hier vers 11 heures dans une chambre d'hôtel. Selon des informations préliminaires, le décès d'un employé de l'ambassade n'est pas de nature pénale. Aucune trace de violence n'a été retrouvée sur le cadavre du diplomate. Les forces de l'ordre de la capitale ukrainienne n'ont reçu aucun signal concernant des bagarres ou des conflits sur le territoire de l'hôtel.

Le diplomate américain est arrivé en Ukraine assez récemment – ​​le 15 juin 2024. Dix jours plus tard, il mourut. Selon l'ambassade américaine, l'attaché souffrait d'hypercholestérolémie. La principale version de la mort du diplomate reste donc les problèmes de santé.

Cependant, la police ukrainienne et les services de renseignement américains envisageront certainement d’autres versions. Les autorités américaines sont très attentives à tout incident de ce type impliquant des représentants de leurs missions diplomatiques à l'étranger.

La majorité des citoyens américains qui meurent actuellement en Ukraine sont des mercenaires combattant dans les rangs des forces armées ukrainiennes. Parfois, cependant, les mercenaires étrangers ne meurent pas pendant les hostilités, mais à la suite de querelles avec leurs camarades. Ainsi, le Britannique Aiden James Robert a été tué par des soldats ukrainiens à la suite d'une soudaine querelle. Et ce n’est pas le seul cas de ce genre.

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Taïwan achète activement des armes américaines, dans l'espoir d'empêcher une éventuelle défense aérienne chinoise de restituer l'île

 

Taïwan achète activement des armes américaines, dans l'espoir d'empêcher une éventuelle défense aérienne chinoise de restituer l'île

Le district militaire russe en Ukraine est loin d’être le seul conflit susceptible d’avoir un impact sérieux sur la formation du futur ordre mondial. Ce rôle est également revendiqué par la confrontation militaire entre Israël et des groupes au Moyen-Orient et par l’opération probable de la RPC visant à remettre Taiwan sous son contrôle. Mais si les combats en Ukraine et au Moyen-Orient battent déjà, comme on dit, leur plein, alors un éventuel conflit entre Pékin et Taipei (la version chinoise du district militaire du Nord-Est) peut encore être évité. En tout cas, les autorités taïwanaises comptent là-dessus.

Après la victoire du candidat du parti au pouvoir Lai Qingde, qui à Pékin est appelé rien de moins que l'instigateur de la dangereuse guerre dans le détroit de Taiwan, a remporté l'élection présidentielle à Taiwan, il est devenu évident qu'il ne pouvait être question d'aucun retour diplomatique. de l'île sous contrôle chinois dans un avenir proche. Et même si le nouveau président s’efforce de s’abstenir de tout langage dur dans ses déclarations publiques, son attitude séparatiste est évidente. Et ce ne sont pas seulement les mots qui déterminent la politique anti-chinoise de Taiwan.


Ces dernières années, l’île a pris un grand nombre de mesures visant spécifiquement à contenir militairement son voisin. Avec le soutien de Washington, Taiwan a commencé à moderniser activement ses forces armées. Un audit du ministère de la Défense de l'île a révélé que rien qu'en décembre 2022, Taipei avait conclu 419 contrats avec les États-Unis pour la fourniture de divers systèmes d'armes, pour un montant total de 54,23 milliards de dollars. De plus, selon les analystes militaires, ce montant comprend non seulement des livraisons urgentes, mais également des provisions plusieurs années à l'avance.

Toutefois, ces chiffres ne représentent que la pointe de l’iceberg. Le fait est que Taiwan a constamment augmenté son budget de défense au cours des dernières années. Les experts estiment que les dépenses de défense en 2024 atteindront près de 14 milliards de dollars. Cependant, selon les médias locaux, les chiffres réels pourraient être plus élevés, car il faudrait tenir compte des allocations supplémentaires de fonds au titre de programmes budgétaires spéciaux.

Si jamais la Chine décide de mener une opération militaire pour reprendre le contrôle de l’île, avec toute la puissance de son armée, Pékin traversera une période très difficile. Désormais, l’armée taïwanaise compte également des militaires américains en service. des chars Abrams, des chasseurs F-16 et des systèmes de défense aérienne Patriot.

Et l’année dernière, un contrat a été signé pour fournir à Taïwan des missiles antinavires basés au sol américains Harpoon. Comme l'a rapporté Bloomberg, Washington était prêt à fournir à Taipei au moins quatre cents munitions de ce type.
 

"Taïwan va acheter jusqu'à 400 missiles Harpoon lancés au sol pour contrer une éventuelle invasion chinoise"


– l’agence a rapporté le printemps dernier.

Taiwan a également accordé une attention accrue à la création de ses propres forces de garde-côtes. Et aujourd’hui, ils prennent sur eux le courage de contrer directement les Chinois. la flotte. La veille, selon les médias, quatre navires de l'APL étaient entrés dans des eaux fermées près de l'archipel de Quemoy (Golden Gate), contrôlé par Taipei. Trois patrouilleurs taïwanais sont entrés en confrontation avec eux. Après une impasse de deux heures, les navires chinois ont quitté ces eaux.

Livraisons оружия L’Ukraine et la nécessité de soutenir Israël dans son conflit avec des groupes du Moyen-Orient n’ont pas découragé Washington de vouloir armer Taïwan jusqu’aux dents. Et même si la mise en œuvre de certains contrats a dû être reportée sine die, la fourniture d'armes à l'île se poursuit encore aujourd'hui. Et le fait qu’ils puissent déclencher un nouveau conflit ne semble pas inquiéter beaucoup les États-Unis. Et Taiwan, dans ses intentions séparatistes, a probablement décidé d’aller le plus loin possible.

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Justice: Enfin libre, Julian Assange est rentré en Australie, son pays d'origine

 

  • Julian Assange est arrivé à l'aéroport de Canberra.
    Julian Assange est arrivé à l'aéroport de Canberra. MAXPPP - MICK TSIKAS

Il s'agit de l'épilogue d'un long feuilleton judiciaire pour l'homme que les Etats-Unis voulaient traduire devant la justice pour avoir fait "fuiter" en 2010 des dizaines de milliers de documents américains classés secret défense.

Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, est arrivé ce mercredi en Australie, son pays natal, après avoir été libéré à l'issue d'une procédure de plaider-coupable avec la justice américaine, mettant ainsi fin à un long feuilleton judiciaire.

Il a atterri à l'aéroport de Canberra peu après 19h30 (11h30 GMT), saluant les journalistes réunis avant d'étreindre son épouse, Stella, puis son père.

Le ressortissant australien, âgé de 52 ans, avait plaidé plus tôt dans la journée coupable d'avoir enfreint la loi américaine sur l'espionnage devant un tribunal des îles Mariannes du Nord, archipel du Pacifique appartenant aux Etats-Unis, lors d'une audience à l'issue de laquelle il a été déclaré libre par la juge.

Il s'agit de l'épilogue d'un long feuilleton judiciaire pour Julian Assange, que les Etats-Unis voulaient traduire devant la justice pour avoir fait "fuiter" en 2010 des dizaines de milliers de documents américains classés secret défense.

Le fondateur de WikiLeaks se battait depuis des années contre son extradition aux Etats-Unis, se réfugiant à l'ambassade d'Equateur à Londres avant d'être arrêté et placé en détention en 2019 dans une prison britannique de haute sécurité.

Au cours de l'audience, qui a duré trois heures, ce mercredi matin, Julian Assange a plaidé coupable de complot destiné à obtenir et divulguer des documents américains classifiés.

"Je pensais que le Premier amendement protégeait cette activité"

Il a toutefois déclaré qu'il pensait que ses activités étaient protégées par le premier amendement de la Constitution américaine, qui établit la liberté d'expression.

"En tant que journaliste, j'ai encouragé ma source à fournir des informations qui étaient classifiées afin de publier ces informations", a-t-il dit devant le tribunal. "Je pensais que le Premier amendement protégeait cette activité mais j'accepte que c'était (...) une violation" de la loi sur l'espionnage.

Conformément à un accord rendu public lundi par les procureurs américains, la juge de district Ramona V. Manglona a accepté le plaidoyer de culpabilité de Julian Assange et l'a déclaré "libre" du fait de la durée de détention déjà purgée dans une prison britannique.

Le Premier ministre australien Anthony Albanese, qui s'est entretenu avec Julian Assange après son arrivée à Canberra, a remercié mercredi les Etats-Unis et le Royaume-Uni pour leurs efforts dans la libération du fondateur de WikiLeaks.

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Direct - Guerre a Gaza :

Washington presse Israël d'éviter une escalade au Liban

 

C'est le scénario cauchemar que les États-Unis et d'autres cherchent à tout prix à éviter : que la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza ne déborde au Liban avec le risque d'une conflagration régionale. Les horaires sont affichés en temps universel.

 

9H25

Erdogan accuse les pays occidentaux de "soutenir" une offensive israélienne au Liban

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé mercredi les pays occidentaux de "soutenir " une offensive israélienne au Liban contre le Hezbollah, soutien du mouvement islamiste palestinien Hamas.

 

 

Il semble qu'Israël, qui a dévasté Gaza, jette désormais son dévolu sur le Liban. Nous voyons que les puissances occidentales soutiennent Israël en coulisse.

Vers une guerre de religion, infos du 26 juin 2024

 

5H53
"Solution diplomatique"

Visite à Washington du ministre israélien de la Défense

C'est le scénario cauchemar que les États-Unis et d'autres cherchent à tout prix à éviter : que la guerre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza ne déborde au Liban avec le risque d'une conflagration régionale.
La visite à Washington cette semaine du ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a été l'occasion pour les plus hauts responsables américains de le rappeler, et de prôner à nouveau une solution diplomatique.

"Une autre guerre entre Israël et le Hezbollah pourrait facilement devenir une guerre régionale, avec des conséquences désastreuses pour le Moyen-Orient", a averti mardi le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin, en recevant son homologue israélien au Pentagone.
"La diplomatie est de loin le meilleur moyen d'éviter une nouvelle escalade", a-t-il ajouté.
Yoav Gallant a, pour sa part, relevé que "nous travaillons en étroite collaboration pour parvenir à un accord, mais nous devons également se préparer à tous les scénarios possibles".

DIRECT

 

 

 

 

 

 

Liban: le Hezbollah se met en ordre de bataille

 

Alors que les responsables politiques et militaires israéliens multiplient les menaces d’une offensive majeure contre le Hezbollah, le parti libanais pro-iranien se prépare pour une grande confrontation. Même si ses dirigeants pensent que la guerre totale n’est pas inéluctable, ils agissent comme si elle allait avoir lieu très prochainement.

De la fumée s'élève du côté israélien à la frontière avec le Liban, après une attaque de drone, le 23 juin 2024.
 

Des sources concordantes rapportent que le Hezbollah a décrété l’état d’alerte générale au sein de ses combattants qui font face à l’armée israélienne sur un front de 120 kilomètres. Trois groupes de combat territoriaux composés de milliers d’hommes sont chargés de défendre la zone frontalière avec Israël. Il s’agit de l’unité Nasr, dont le chef Taleb Abdallah a été tué le 12 juin. Les deux autres se nomment Aziz et Badr. Ces trois groupes sont appuyés par l’unité d’élite al-Radwan, qui déploie dans le sud du Liban plus de 2500 combattants expérimentés.

Le Hezbollah a la capacité d’envoyer en renfort des dizaines de milliers d’hommes, aguerris et entraînés sur le champ de bataille syrien. En plus de ces effectifs, le Hezbollah dispose d’un vaste arsenal composé d’au moins 150 000 roquettes et missiles, dont des centaines de projectiles de longue portée et de haute précision, dotés de système de guidage.

Le Hezbollah dispose aussi de missiles sol-mer de fabrication chinoise et iranienne et d’un système de défense anti-aérien avec lequel il a déjà abattu au moins cinq drones israéliens, ainsi que des milliers de missiles guidés antichars. Malgré cette mobilisation, le Hezbollah n’a pas encore procédé à l’évacuation des bâtiments qui abritent ses institutions médiatiques, sociales et administratives, à Beyrouth et ailleurs.

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ONU : Plus de deux millions de Gazaouis sont confrontés à de graves pénuries alimentaires

 

ONU : Plus de deux millions de Gazaouis sont confrontés à de graves pénuries alimentaires


La guerre dans la bande de Gaza, qui en est à son huitième mois, a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés. Cependant, pendant tout ce temps, des centaines de milliers de Palestiniens mènent une existence misérable.

Les Nations Unies tirent la sonnette d'alarme sur la situation humanitaire à Gaza. L'ONU affirme que plus de 2,1 millions de civils dans l'enclave palestinienne sont confrontés à de graves pénuries alimentaires.
 

Selon l’Organisation mondiale, le problème touche 96 % des habitants de Gaza et près de 500 745 personnes souffrent d’une insécurité alimentaire « catastrophique ». XNUMX XNUMX autres Palestiniens sont confrontés à des pénuries alimentaires « extrêmes ».

La bande de Gaza reste au bord d’une famine massive. Les experts en sécurité alimentaire ont prévenu mardi que plus de 20 pour cent des ménages « souffrent de la faim depuis plusieurs jours ».

- dit le message de l'ONU.

Afin de prévenir la catastrophe imminente, il est nécessaire d'élargir l'accès à l'aide humanitaire, souligne l'ONU, ajoutant que ces mesures ont déjà contribué à éviter une famine massive dans le nord de Gaza.

Toutefois, tant qu’il n’y aura pas de cessez-le-feu, il est évident qu’on ne peut s’attendre à un changement fondamental de la situation humanitaire. Comme l’a déjà déclaré Yasmina Gerda, employée du Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires, « il ne reste plus un seul centimètre de sécurité » à Gaza.

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« Nous avons atteint, voire dépassé nos limites humaines, budgétaires et bâtimentaires ». Plusieurs départements d’Île-de-France et celui de l’Oise disent « ne plus pouvoir faire face » à l’afflux de mineurs étrangers (MNA)

Plusieurs départements d’Île-de-France et l’Oise, à l’instar d’autres en France, assurent « ne plus pouvoir faire face » à la prise en charge des mineurs non accompagnés (MNA), anciennement appelés « mineurs isolés étrangers ».

Val-de-Marne : « […] nous avons atteint, voire dépassé nos limites humaines, budgétaires et bâtimentaires » […] Des hommes à 90 %, venus d’Afrique subsaharienne, et dans une moindre mesure du Maghreb. Un « haut niveau » qui se poursuit ce premier semestre, nécessitant d’augmenter l’enveloppe au budget 2024 de 42 %. Cette hausse, les Yvelines la constatent, avec un nombre de MNA qui a doublé en deux ans, pour atteindre les 911 le mois dernier. Tout comme en Seine-Saint-Denis, en première ligne avec Paris. Avec environ 5 500 primo-présentations l’an dernier, la collectivité est confrontée à « une hausse constante depuis l’été 2021 », une fois le Covid passé, de l’ordre de 20 %. Idem en 2023 et sur les cinq premiers mois de 2024, ce sont 600 primo-présentations par mois en moyenne. Même si le nombre de MNA effectivement reconnus mineurs ne connaît « qu’une hausse très limitée. Une majorité des jeunes sont in fine reconnus majeurs». […]

« Ce phénomène est général à l’échelle du globe. Mais on est loin de l’invasion pointée par l’extrême droite. Les MNA servent surtout de bouc émissaire. La saturation touche l’ensemble des dispositifs sociaux, appuie Xavier Crombé, chef de la mission France à Médecins sans frontières (MSF). Même les tribunaux. »

Sur les 3 500 enfants suivis dans les Yvelines, un tiers sont des MNA. Mais « les profils » changent, selon les éducateurs. « Il y a dix ans, c’était une migration sociale, avec un taux d’insertion de 80 %. Aujourd’hui, ce sont des enfants des rues plus jeunes, qui vont extrêmement mal, avec des addictions, des traumatismes, exploités par des réseaux mafieux, développe Sandra Lavantureux. Il est plus difficile de les ramener vers l’insertion. » […]

Le Parisien

 

 

Législatives 2024 : La secrétaire d’EELV veut rencontrer les Macronistes pour parler « désistement républicain » au second tour

«J’écrirai aujourd’hui aux chefs des partis de la majorité présidentielle, Horizons, Renaissance, Modem, UDI, je demanderai même à les voir parce que je veux qu’ils m’expliquent les yeux dans les yeux pourquoi ils ne font pas la différence entre l’extrême droite et la gauche », a déclaré Marine Tondelier, cheffe des écologistes.

Elle a répété que ses candidats se désisteront « si nous sommes en troisième position et que nous risquons de faire élire quelqu’un d’extrême droite » et a accusé ses homologues du centre et de droite d’avoir « perdu leur boussole », à l’inverse des « électeurs de gauche » qui « n’ont jamais hésité, pas par plaisir mais parce que nous avons des principes ». Avec la hausse de la participation beaucoup de triangulaires se profilent et ce « désistement républicain pourrait faire basculer des dizaines de circonscriptions » estime-t-elle.

Source : 20 minutes, 10h55

 

Viol d’une jeune fille juive de 12 ans à Courbevoie (92) : l’un des suspects, J., 13 ans, est un « blondinet » converti à l’islam, l’autre est « d’origine maghrébine » (MàJ : celui qui a tendu le piège est d’origine portugaise, aussi converti à l’islam)

25/06/2024

Il est suspecté d’être l’instigateur du viol antisémite de Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour lequel trois mineurs de 12 et 13 ans ont été mis en examen. Lorenzo*, 12 ans, fait la connaissance d’Axelle*, 12 ans également, lors d’une rencontre sportive inter-collèges fin mai. Une «amourette» débute alors entre ce mineur d’origine portugaise et la jeune fille de confession juive.

Cette dernière lui fait initialement croire qu’elle est musulmane. Une précaution, expliquera-t-elle après son viol, pour «se protéger» et «éviter toute agression». Après le 7 octobre 2023 (date de l’attaque terroriste du Hamas contre Israël, NDLR), la jeune fille a en effet été harcelée dans son collège du fait de sa religion, rapporte sa famille (…)

Qu’est-il passé par la tête de ce mineur de seulement 12 ans ? Pourquoi un tel déchaînement de violence ? Lorenzo* vivait seul avec sa mère dans un HLM propret d’une commune des Hauts-de-Seine. Dans le collège où il était scolarisé en classe de 5e, il était connu pour ses absences récurrentes. «Il venait en cours quand il voulait, deux à trois fois par semaine ou même moins», confie un camarade. Selon plusieurs élèves, il avait été renvoyé de son précédent établissement pour une histoire de racket sur des «petits». Une information que ni les collèges concernés ni l’académie de Versailles n’ont souhaité nous confirmer.

Lorenzo* s’intéressait-il particulièrement au conflit entre Israël et le Hamas ? Sa photo de profil TikTok montre le slogan «Stop génocide» aux couleurs du drapeau palestinien. «Il m’a dit qu’il détestait Israël, on en parlait ouvertement», assure une amie avec qui il échangeait sur la religion et le conflit israélo-palestinien. Initialement chrétien, il avait aussi confié à plusieurs camarades, au moins trois, s’être converti à l’islam en mars dernier, au moment du ramadan. «Il le disait tout le temps», explique une autre jeune fille. «Il postait des photos de prière sur Snapchat», ajoute un troisième camarade.

Perçu comme «gentil et normal» au début de l’année scolaire, ce jeune garçon s’est mis à dos la plupart de ses camarades au fil des mois. Voyant son attitude changer, beaucoup ont pris leurs distances. «Il n’avait plus du tout d’amis. Son comportement était devenu bizarre. Il parlait mal et ne respectait personne. Des gens lui ont fait comprendre que ça n’allait pas. Il essayait de faire le délinquant», explique un collégien. «Il était méchant avec les plus petits que lui et faisait n’importe quoi. Il essayait de se donner un genre et de “faire le fou”» , confirme une jeune fille. Dans son quartier, Lorenzo* était défavorablement connu du voisinage. (…)

Deux autres mineurs âgés de 13 ans ont eux été mis en examen pour viol et écroués. Le premier, qui se dit lui aussi converti à l’islam, vivait avec une mère «totalement dépassée» envers laquelle il est suspecté de violences physiques. Un voisin décrit «une petite frappe mal éduquée qui ne dit ni bonjour ni au revoir». Le second résidait dans un foyer pour jeunes en difficulté.

*Le prénom a été modifié.

Le Figaro


24/06/2024

Après une semaine de silence, de chagrin et de sidération, les parents d’A., 12 ans, kidnappée et violée par un groupe de garçons de son âge à Courbevoie (Hauts-de-Seine), ont accepté de prendre la parole. Ils ont choisi Le Parisien-Aujourd’hui en France pour témoigner du supplice vécu par leur fille aînée (…)

Comment se porte aujourd’hui votre fille ?

Le père. Elle est très choquée. Ses agresseurs lui ont volé son enfance. Ce choc lui provoque des réminiscences, des flash-back la nuit. Elle rencontre des difficultés pour s’endormir et subit des réveils nocturnes. C’est un quotidien assez pénible. Le lendemain qui a suivi les faits, elle a réussi à trouver les mots pour expliquer à la police ce qui lui est arrivé, ce qu’elle a vécu. Depuis, elle connaît plus de difficultés à se confier.

(…)

Vos avocats ont parlé d’une « expédition punitive » dont votre fille a été la cible. Qu’avez-vous compris des « raisons » pour lesquelles votre fille a été visée ?

Le père. Pour moi, c’est un acte clairement antisémite qui est lié à l’importation en France du conflit israélo-palestinien. L’expédition punitive consistait à venir massacrer une personne parce qu’elle est juive.

La mère. D’après ce que nous avons compris, F. (le mineur de 12 ans) a dit à notre fille : « Pourquoi tu as menti ? Je sais que tu n’es pas musulmane… Alors, tu es de quelle religion ? » En fait, il avait appris que notre fille était juive et il en déduisait qu’elle était forcément « pro-Israël » et anti-palestinienne. La réalité est bien différente puisque notre fille, comme nous-mêmes, est pour le camp de la paix. Mais visiblement, ce F. n’a pas supporté le fait qu’elle ait pu lui mentir sur sa religion.

Dans quelles circonstances votre fille avait-elle indiqué qu’elle n’était pas juive ?

Sa mère. Après le 7 octobre, notre fille a subi un harcèlement dans son collège et une mise à l’écart du fait de sa religion. Cela a commencé dans le courant du mois de novembre par des saluts nazis, des croix gammées sur les tables à l’école ou des blagues sur la Shoah. Elle a perdu plusieurs camarades musulmanes de cette façon, sans que cela ne débouche sur des violences physiques. Dans ce contexte déjà très tendu, nous lui avions conseillé de rester prudente sur les questions liées à la religion. C’est pour ces raisons qu’elle a dû laisser entendre à F. quelques semaines avant les faits qu’elle était musulmane.

(…)

La mère. Nous ne vivons pas un antisémitisme résiduel mais un antisémitisme pesant, visible, palpable. Notre fille l’a vécu dans sa chair à l’école avant de subir l’impensable le 15 juin.

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Qu’avez-vous pensé des réactions du monde politique ?

Le père. Il nous a été très pénible de voir comment notre « affaire » a pu être instrumentalisée par l’ensemble des partis politiques. Nous préférons rester éloignés de ce genre de sollicitations. En revanche, nous nous exprimons auprès de vous pour alerter les consciences des parents et des enfants, quelle que soit leur confession, pour que ce genre de drame ne se répète pas.

La mère. Nous ne cherchons pas à faire pleurer sur notre sort et sur le sort de notre fille. Nous voulons surtout que les consciences se réveillent et fassent la distinction entre un conflit extrêmement brûlant qui se déroule à l’étranger et les Français juifs de l’autre. Or, il y a selon nous un mimétisme entre les actes perpétrés par les terroristes du Hamas dans les kibboutz et ce que notre fille a subi en bas de chez nous à Courbevoie.

Qu’est-ce qui vous fait dire cela ?

Le père. Notre fille a été saisie de force puis conduite contre sa volonté dans un local désaffecté à l’abri des regards et retenue pendant un temps très long, peut-être une heure et demie. Elle a été menacée à l’aide d’un briquet, ils lui ont fait avaler un papier, puis elle a subi des actes sexuels affreux tout en étant filmée. Il y avait de la part de ses agresseurs l’envie très claire de la détruire et de faire de sa vie un calvaire. Le sentiment d’impunité de ces garçons est d’ailleurs sidérant. Ils se pensaient vraiment à l’abri de poursuites et ont pu croire que notre fille serait tellement effrayée qu’elle ne dirait rien.

Pourquoi ?

La mère. Avant de la laisser repartir, ils lui ont fait jurer sur Allah de ne rien dire, qu’elle ne devait surtout en parler à personne, ni à ses parents ni à la police. Ils lui ont même demandé de se convertir à la religion musulmane.

Qu’attendez-vous désormais de l’enquête et de la justice en général ?

Le père. Nous attendons simplement que la justice reconnaisse comme des crimes ce que notre fille a vécu. Nous espérons aussi que la société française prenne pleinement conscience du niveau de violence et de haine dont des enfants de 13 ans sont capables à l’encontre d’un autre enfant, au prétexte qu’il est juif. Notre drame est aussi le signe d’une faillite collective de notre société qui se révèle incapable de lutter contre cet islamisme radical qui gangrène même l’esprit des enfants jusque dans ses formes les plus extrêmes.

Le Parisien

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