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3guerremondiale
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Les Infos du 19 juin 2024
En direct, guerre en Ukraine :
Accord d’assistance mutuelle "en cas d’agression" : Vladimir Poutine et Kim Jong Un ont signé un "document révolutionnaire" pour le président russe
14:38
Toujours dans la région de Donetsk, la ville stratégique de Tchassiv Yar est également le théâtre d’intenses combats, Moscou tentant de la conquérir pour effectuer une percée en direction de Kramatorsk, principale ville encore sous contrôle ukrainien dans la région.
Une vidéo aérienne de la ville publiée mercredi par la brigade d’assaut ukrainienne « Cygne Noir » sur son canal Telegram, montre de nombreux immeubles éventrés ainsi que des colonnes de fumée qui s’élèvent dans le ciel.
12:16
Les sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord doivent être « réexaminées », selon Vladimir Poutine
Les sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU visant la Corée du Nord pour son programme nucléaire doivent être « réexaminées », a plaidé mercredi le président russe, Vladimir Poutine, lors d’une visite exceptionnelle à Pyongyang.
« Le régime de restrictions d’une durée indéfinie adopté par le Conseil de sécurité des Nations unies à l’égard de la République populaire démocratique de Corée, et inspiré par les Etats-Unis et leurs alliés, doit être réexaminé », a déclaré M. Poutine aux côtés du dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un.
12:07
« Ce traité puissant n’est rien de moins qu’un document vraiment constructif, tourné vers l’avenir, et exclusivement pacifique et défensif », a déclaré M. Kim, au côté du président russe, Vladimir Poutine, qu’il a qualifié de « meilleur ami du peuple coréen ».
« La Russie et la Corée mènent toutes deux une politique étrangère indépendante et n’acceptent pas le langage du chantage et du diktat », a dit, pour sa part, le président russe lors d’une déclaration à la presse, après avoir signé l’accord prévoyant une assistance mutuelle en cas d’« agression » de l’un des deux pays.
11:36
L’accord entre la Russie et la Corée du Nord prévoit une assistance mutuelle en cas d’« agression » : un message qui vise clairement les Occidentaux
« Le traité pour un partenariat global signé aujourd’hui prévoit, entre autres, une assistance mutuelle en cas d’agression contre une partie du traité », a déclaré Vladimir Poutine à Pyongyang, ajoutant que cet accord était « un document véritablement révolutionnaire » et que la Russie « n’excluait pas une coopération militaro-technique » avec la Corée du Nord.
- (..) L’accord "définit des tâches et des critères d’envergure pour approfondir les liens russo-nord-coréens à long terme", a déclaré le chef de l’État russe, à l’issue des pourparlers avec Kim Jong-un.
Il comprend l’assistance mutuelle en cas d'agression contre l'un des signataires.
Comme conséquence, Moscou n’exclut pas de développer la coopération militaro-technique avec la Corée du Nord, a fait savoir le dirigeant russe. (Spoutnik)
- La Corée du Nord et la Russie ont signé mercredi un "partenariat stratégique global", prévoyant une assistance mutuelle en cas d'"agression", a annoncé le président russe Vladimir Poutine qui, accueilli en grande pompe à Pyongyang pour une visite d’Etat, a reçu le fervent soutien de son hôte Kim Jong Un pour sa guerre contre l’Ukraine.
"Le traité pour un partenariat global signé aujourd’hui prévoit, entre autres, une assistance mutuelle en cas d’agression contre une partie du traité", a déclaré M. Poutine à la presse après avoir signé le document. "La Russie et la Corée mènent toutes deux une politique étrangère indépendante et n’acceptent pas le langage du chantage et du diktat", a-t-il averti. (lire la suite)
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11:24
L’« amitié fougueuse » entre Moscou et Pyongyang va se renforcer, promet Kim Jong-un à Vladimir Poutine
Les relations entre la Russie et la Corée du Nord entrent dans une « nouvelle ère de prospérité », a assuré Kim Jong-un, lors du sommet avec Vladimir Poutine à Pyongyang, en promettant le renforcement de « l’amitié fougueuse » entre les deux pays.
« Les relations entre nos pays entrent dans une nouvelle ère de grande prospérité qu’il est impossible de comparer même à celle de la période des relations soviéto-coréennes du siècle dernier », a déclaré le dirigeant nord-coréen, selon ses propos traduits en russe et cités par les agences de presse russes.
10:55
Pékin accuse Washington de « répandre de fausses informations » sur son soutien à la Russie
Après des propos du secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, qui avait exhorté Pékin à « cesser » de soutenir l’effort de guerre russe en Ukraine, « nous nous opposons résolument à ce que les Etats-Unis diffusent de fausses informations sans aucune preuve et rejettent la responsabilité sur la Chine », a déclaré mercredi Lin Jian, porte-parole du ministère des affaires étrangères chinois, lors d’un point presse régulier.
Lors d’une conférence de presse conjointe à Washington avec le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, M. Blinken avait dénoncé mardi le soutien apporté par la Chine à la Russie pour sa guerre en Ukraine.
« Ils apportent un soutien essentiel au complexe militaro-industriel de la Russie », avait-il affirmé, en citant le fait qu’environ « 70 % des machines-outils importées par la Russie proviennent de Chine », et « 90 % de la microélectronique ». Cela « permet à la Russie de maintenir cette base militaro-industrielle, de maintenir la machine de guerre, de maintenir la guerre. Il faut donc que cela cesse », avait-il ajouté.
« La Chine ne peut pas jouer sur les deux tableaux. Elle ne peut pas continuer à avoir des relations commerciales normales avec les pays européens et en même temps alimenter la plus grande guerre que nous ayons connue en Europe depuis la seconde guerre mondiale », avait déclaré pour sa part M. Stoltenberg, qui avait appelé la veille à « imposer un coût » à Pékin pour son soutien à la Russie.
« En ce qui concerne la crise ukrainienne, la Chine n’a jamais jeté de l’huile sur le feu ni cherché à tirer profit de la situation, et elle s’est toujours consacrée aux pourparlers de paix », a répondu le porte-parole de la diplomatie chinoise.
« La Chine ne fournit d’armes à aucune des parties au conflit, contrôle strictement les exportations d’articles civils et militaires et a reçu les éloges de la communauté internationale », a-t-il ajouté.
10:45
Kim Jong-un assure la Russie de son « entier soutien » et de sa « solidarité » dans le conflit contre l’Ukraine
La Corée du Nord « exprime son entier soutien et sa solidarité au gouvernement, à l’armée et au peuple russes dans la conduite de l’opération militaire spéciale en Ukraine pour protéger la souveraineté, les intérêts de sécurité et l’intégrité territoriale » de leur pays, a déclaré M. Kim.
Le conseiller diplomatique du Kremlin, Iouri Ouchakov a, par ailleurs, déclaré aux médias russes accompagnant la délégation présidentielle en Corée du Nord que Vladimir Poutine et Kim Jong-un avaient échangé des cadeaux.
Selon lui, le président russe a offert à Kim Jong-un une deuxième Aurus, voiture de luxe de fabrication russe, ainsi qu’un service à thé. S’agissant des cadeaux offerts au chef de l’Etat russe, M. Ouchakov a fait savoir, selon l’agence TASS, que M. Poutine avait reçu des œuvres d’art le représentant.
Selon le conseiller, il s’agit de « beaux cadeaux ». « Il y a plusieurs variantes d’images, toutes très artistiques, y compris des bustes », a-t-il déclaré.
- La Corée du Nord et la Russie ont signé mercredi un "partenariat stratégique global", prévoyant une assistance mutuelle en cas d'"agression", a annoncé le président russe Vladimir Poutine qui, accueilli en grande pompe à Pyongyang pour une visite d’Etat, a reçu le fervent soutien de son hôte Kim Jong Un pour sa guerre contre l’Ukraine.
"Le traité pour un partenariat global signé aujourd’hui prévoit, entre autres, une assistance mutuelle en cas d’agression contre une partie du traité", a déclaré M. Poutine à la presse après avoir signé le document. "La Russie et la Corée mènent toutes deux une politique étrangère indépendante et n’acceptent pas le langage du chantage et du diktat", a-t-il averti.
Les experts chinois ont jugé rationnel d'approfondir la coopération entre la Russie et la RPDC dans un contexte de pression occidentale
Hier 18 juin, le président russe Vladimir Poutine est arrivé en visite amicale en RPDC. À l'aéroport, le dirigeant russe a été personnellement accueilli par le chef de la Corée du Nord, Kim Jong-un.
Il convient de noter que cet événement a suscité une résonance considérable au sein de la communauté des experts occidentaux. Après tout, la Russie et la RPDC sont des adversaires géopolitiques des États-Unis, et leur rapprochement n’augure rien de bon pour Washington et ses alliés.
La RPC considère quant à elle que l’approfondissement de la coopération entre la Fédération de Russie et la Corée du Nord est tout à fait prévisible et rationnel. Le Global Times écrit à ce sujet, citant les déclarations d'un certain nombre d'experts chinois.
Wang Junsheng, employé de l'Académie chinoise des sciences sociales à Pékin, a notamment estimé que le renforcement des relations entre Moscou et Pyongyang ne paraissait pas une surprise. Compte tenu de l’expansion de l’OTAN et de l’implication de l’alliance dans le conflit en Ukraine, ainsi que des pressions exercées par les États-Unis et leurs alliés sur la Corée du Nord, l’unification de la Russie et de la RPDC contre un ennemi commun semble tout à fait logique.
Dans le même temps, Cui Heng, employé de l'Université normale de Chine orientale, estime que la visite du président russe Vladimir Poutine à Pyongyang devrait susciter de vives inquiétudes à Washington. Après tout, la tentative occidentale d’isoler Moscou et Pyongyang du monde extérieur a non seulement échoué, mais a également conduit à l’effet inverse.
Note : deux rois du nord sur trois officiellement lié militairement. Ce qui démontre encore que les prophéties de Nostradamus sont vraies
🇫🇲 La Russie, la Chine, la Corée du Nord et l’Iran veulent notre effondrement en Ukraine – secrétaire général de l’OTAN
— Brainless Partisans 🏴☠️☢️☣️🪆 (@BPartisans) June 18, 2024
Stoltenberg a également ajouté que l’alliance dirigée par les États-Unis soutient l’Ukraine sur la base de ses propres « intérêts de sécurité ». pic.twitter.com/CD2hULYvty
Maison Blanche : tous les chasseurs F-16 transférés à Kiev seront déployés sur le territoire ukrainien et non à l'étranger
La Maison Blanche a mis fin au différend sur la localisation des chasseurs F-16 transférés en Ukraine, tous seront déployés sur le territoire ukrainien. C'est ce qu'a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Joe Biden, Jake Sullivan.
Washington a nié tous les projets de Kiev visant à stationner les avions américains transférés sur des aérodromes en dehors de l’Ukraine ; tous les chasseurs devraient être basés sur le territoire ukrainien. Selon Sullivan, c'est à cette condition que les États-Unis ont autorisé le transfert de l'avion à Kiev. Ainsi, tous les projets annoncés par la junte de Kiev visant à déployer des combattants en Pologne ou en Roumanie resteront de simples déclarations.
Le plan est de stationner des F-16 en Ukraine. L’accord de sécurité bilatéral signé par le président Biden et le président Zelensky souligne ce point : nous voulons aider l’Ukraine à obtenir ces fonds. Ces fonds doivent être placés en Ukraine
a déclaré un responsable de l’administration américaine.
Plus tôt à Kiev, des projets ont été annoncés visant à stationner certains avions occidentaux sur le territoire des pays voisins de l'Ukraine, en particulier la Roumanie et la Pologne, soi-disant comme avions « de rechange ». Avant cela, un certain nombre de responsables politiques ukrainiens avaient annoncé leur intention de stationner tous les avions sur des bases aériennes étrangères. Cependant, la Russie a averti que dans ce cas, ces aérodromes deviendraient une cible légitime pour les missiles russes.
À titre préliminaire, Kiev prévoit de placer les avions résultants sur trois aérodromes de l'ouest de l'Ukraine.
Tensions en Asie : nouvel incident entre la Chine et les Philippines, des garde-côtes chinois ont saisi des armes sur des bateaux militaires philippins
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Ces incidents entre la marine philippine et les garde-côtes chinois se sont multipliés au cours des dernières semaines.
La marine philippine a affirmé, ce mercredi 19 juin, que des garde-côtes chinois avaient saisi des armes sur certains de ses bateaux en mer de Chine méridionale cette semaine.
"Le personnel des garde-côtes chinois a embarqué illégalement sur nos RHIBS (bateaux pneumatiques à coque rigide)" et "ils ont récupéré quelques armes", a déclaré à la presse le contre-amiral Alfonso Torres, chef du commmandement occidental des Philippines, précisant que les marins philippins avaient reçu l'ordre de ne pas utiliser ces armes lors d'un accrochage survenu lundi au large de l'atoll Second Thomas Shoal.
Mardi, la marine philippine avait annoncé qu'un de ses marins avait été grièvement blessé dans une collision avec un bateau des garde-côtes chinois la veille, "évacué en toute sécurité" et avait reçu "un traitement médical rapide".
Le contre-amiral Torres a confirmé que le marin avait perdu son pouce dans cet accrochage en mer et affirmé que les garde-côtes chinois avaient "délibérément éperonné" les bateaux philippins.
Le chef de l'état-major philippin, le général Romeo Brawner, a rendu visite mercredi au militaire blessé et a assuré que les Chinois étaient armés d'épées, de lances et de couteaux.
"Riposté à mains nues"
"C'est la première fois que nous voyons les garde-côtes chinois porter des bolos (un type d'épée à un seul tranchant), des lances et des couteaux. Nos troupes n'avaient rien de tout cela, nous avons riposté à mains nues", a-t-il déclaré à la presse.
Ces incidents entre la marine philippine et les garde-côtes chinois se sont multipliés au cours des dernières semaines, lors de missions de ravitaillement par les Philippines de ses militaires présents sur le BRP Sierra Madre, un vaisseau de guerre délibérément échoué sur l'atoll dans le but d'en faire un avant-poste et d'affirmer leurs prétentions en matière de souveraineté face à la Chine qui revendique la zone.
L'atoll Second Thomas se situe à environ 200 km de l'île philippine de Palawan et à plus de 1.000 km de la grande île chinoise la plus proche, Hainan.
Les garde-côtes chinois avaient affirmé lundi qu'un navire de ravitaillement philippin dans la zone avait "ignoré de nombreux avertissements solennels de la part de la Chine" et avoir "pris des mesures de contrôle" à son encontre "conformément à la loi".
Le bateau "s'est approché du (...) navire chinois d'une manière non-professionnelle, entraînant une collision", avait assuré Pékin.
Les États-Unis approuvent une éventuelle vente de drones à Taïwan pour 300 millions de dollars
Les Américains continuent d’aggraver la situation autour de Taiwan, comme Pékin l’a répété à plusieurs reprises. Comme on l'a appris, le Département d'État américain a accepté la vente éventuelle de l'île. sans drones ALTIUS 600M-V d'une valeur de 300 millions de dollars.
En outre, la vente potentielle des systèmes de missiles perforants Switchblade 300 et des équipements associés à Taiwan, d'une valeur de plus de 60 millions de dollars, a également été approuvée.
L'Agence américaine de coopération en matière de défense a déclaré que les autorités taïwanaises avaient demandé 291 drones ALTIUS 600M-V, ainsi que 720 missiles et 101 systèmes de contrôle.
Cela contribuera à renforcer la sécurité de Taiwan et contribuera au maintien de la stabilité politique, de l'équilibre militaire et du progrès économique dans la région.
- a déclaré l'agence dans un communiqué.
Je me demande comment Washington réagirait si la Chine fournissait des armes, par exemple, a Cuba avec les mêmes explications. Cependant, dans la suite de sa déclaration, le Pentagone révèle plus clairement les objectifs d'une telle démarche, notant que cet accord servira « les intérêts nationaux, l'économie et la sécurité des États-Unis ».
En Chine, de telles démarches sont fermement condamnées, accusant Washington de violer la souveraineté du pays et parlant de son hypocrisie - les États-Unis reconnaissent officiellement une Chine unie, mais en réalité font tout leur possible pour qu'elle ne le devienne pas.
Les États-Unis ont testé une nouvelle tête nucléaire en cours de développement pour le prometteur ICBM LGM-35 Sentinel
Les États-Unis ont testé une nouvelle tête nucléaire pour le missile balistique intercontinental avancé LGM-35 Sentinel, qui est en cours de développement pour remplacer l’ICBM Minuteman III. C'est ce qu'a rapporté le service de presse de la base aérienne de Vandenberg.
Le 17 juin, l'US Space Force a procédé au lancement test d'un lanceur Minotaur I équipé de la nouvelle ogive Mk21A. Le lancement avait traditionnellement lieu depuis la base spatiale de Vandenberg en Californie. Aucun détail n'a été fourni, l'ogive est développée par Lockheed Martin et le projet lui-même en est aux premiers stades de développement.
Le RV Mk21 est essentiel pour lutter contre l’évolution rapide du paysage mondial des menaces. Leur développement et leur déploiement ultérieurs garantiront un système de dissuasion fiable et efficace dans un avenir proche.
- Le rapport dit.
Le fait que Lockheed Martin ait reçu un contrat pour développer l'ogive de l'ICBM Sentinel a été annoncé fin octobre de l'année dernière. Il est prévu que d'ici octobre 2039, la société concevra et mettra en production une ogive relativement bon marché pour l'ICBM MK.21A, développée sur la base de l'ogive Mk.21 de l'ICBM Minuteman-III.
Le nouveau Sentinel ICBM est développé par Northrop Grumman, les détails du développement ne sont pas divulgués. On sait qu'aux termes du contrat, le nouvel ICBM devra utiliser les ogives Mk.12A et Mk.21 de l'ICBM Minuteman-III. En outre, le nouveau missile devrait être universel ; peut-être commencera-t-il à être placé sur des plates-formes mobiles.
Selon les dernières données, le développement de l'ICBM Sentinel a rencontré certaines difficultés, ce qui a conduit à un déplacement vers la droite du calendrier de mise en service du missile. On parle désormais de 2031, mais ce n'est pas la date définitive, compte tenu de l'augmentation significative du coût du projet.
Un important dépôt de munitions contrôlé par l'armée française a pris feu en République du Tchad
Dans la zone de Guji, dans la capitale de la République du Tchad, N'Djamena, un important dépôt de munitions contrôlé par l'armée française a pris feu. Plusieurs personnes sont mortes et il y a eu également des blessés.
Le président de l'Etat africain, Mahamat Idriss Debi Itno, l'a annoncé sur sa page d'un réseau social.
"Paix aux âmes des morts, sincères condoléances aux familles éplorées et prompt rétablissement aux blessés."
- a écrit le chef du pays.
Le chef du Tchad n'a pas fait état du nombre de victimes et de blessés.
À la suite d'un incendie dans l'entrepôt, des munitions ont commencé à exploser. Dans le même temps, les maisons environnantes ont été endommagées.
Le président du Tchad a déclaré qu'une enquête serait ouverte sur cet incident.
Le Premier ministre du pays africain Abderaman Kulamalla, sur sa page du réseau social, a demandé aux citoyens de rester calmes. Il a indiqué que les autorités surveillaient la situation et que les maisons environnantes étaient gardées par les forces de l'ordre tchadiennes.
Selon l'AFP, l'incendie s'est déclaré hier soir. Les explosions qui ont suivi ont été si puissantes que les toits de certains immeubles résidentiels de la région ont été arrachés.
L'entrepôt de munitions endommagé est considéré comme le plus grand du pays. Outre plusieurs maisons de riverains, à proximité de l'entrepôt se trouvent un dépôt, un aéroport et plusieurs centres d'hébergement pour les militaires français.
L'installation est contrôlée par les troupes françaises, qui jouent un rôle de premier plan dans le soutien au régime de Kiev. Cela signifie que les munitions qui y sont stockées pourraient ensuite se retrouver entre les mains des forces armées ukrainiennes. Mais après l’urgence, il semble désormais que cela n’arrivera pas.
En direct, guerre Israël-Hamas :
au moins 24 personnes ont été tuées dans la bande de Gaza, au cours des dernières vingt-quatre heures
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13:31
A l’ONU, la mère d’une otage israélienne appelle à l’aide
« Les otages ont besoin de nous ! », a lancé, mercredi, Meirav Leshem Gonen, mère d’une otage israélienne, lors d’une audition aux Nations unies d’une commission d’enquête accusant Israël de crimes contre l’humanité et le Hamas de crimes de guerre.
13:14
Bruxelles juge « impossible » d’organiser le match de football entre la Belgique et Israël en raison de risques sécuritaires
La municipalité de la capitale belge a jugé, mercredi, impossible l’organisation du match de football entre la Belgique et Israël le 6 septembre, au stade Roi-Baudouin, à Bruxelles, dans le cadre de la Ligue des nations de l’UEFA.
« Après une analyse consciencieuse et approfondie, force est de constater que l’annonce de la tenue d’un tel match dans notre capitale, en cette période particulièrement troublée, provoquera incontestablement d’importantes manifestations et contre-manifestations, compromettant ainsi la sécurité des spectateurs, des joueurs, des habitants de Bruxelles mais également de nos forces de police », précise la municipalité dans un communiqué.
21:24 Urgent
L’armée israélienne affirme avoir approuvé des « plans opérationnels en vue d’une offensive au Liban »
« Dans le cadre de l’évaluation de la situation », menée mardi en présence du général de division Ori Gordin, commandant de la région militaire nord, et du chef de la direction des opérations, le général de division Oded Basiuk, « des plans opérationnels en vue d’une offensive au Liban ont été approuvés et validés », a déclaré l’armée israélienne mardi soir dans un bref communiqué. Il a également été décidé de « continuer d’améliorer la préparation des troupes sur le terrain », ajoute le texte.
Cette annonce survient en pleine visite dans la région d’un envoyé spécial du président américain, Joe Biden, Amos Hochstein, en vue de faire baisser les tensions à la frontière israélo-libanaise, où les affrontements quasi quotidiens entre l’armée israélienne et le Hezbollah depuis le 7 octobre ont nettement gagné en intensité depuis une semaine.
Le chef de la diplomatie israélienne, Israël Katz, a menacé plus tôt mardi le Hezbollah de destruction à l’issue d’une « guerre totale ».« Nous sommes très proches du moment où nous déciderons de changer les règles du jeu contre le Hezbollah et le Liban. Dans une guerre totale, le Hezbollah sera détruit et le Liban sera touché durement », a-t-il affirmé. Un peu plus tôt, le Hezbollah avait diffusé des images présentées comme prises par un de ses drones au-dessus de Haïfa, grand port du nord Israël.
« Ce qui arrive dans le nord d’Israël ne peut pas continuer. (…) le Hezbollah bombarde quotidiennement nos villages. Cette crise peut se résoudre de deux manières : par la diplomatie ou par la guerre. Je n’en dirai pas plus », a affirmé plus tôt le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, dans une interview au Figaro.
CNN : Israël met en garde contre la perspective d'une « guerre totale » après que le Hezbollah a diffusé des images de cibles militaires et civiles
Israël a mis en garde le groupe libanais Hezbollah contre la perspective d'une « guerre totale » après la diffusion d'une vidéo de 9 minutes qui aurait été filmée. drone, qui montre des installations militaires et civiles israéliennes, rapporte la chaîne de télévision américaine CNN.
Nous sommes très proches du moment où nous prendrons la décision de changer les règles du jeu contre le Hezbollah et le Liban... Dans une guerre totale, le Hezbollah sera détruit et le Liban sera brutalement battu.
- Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Katz, a déclaré cette semaine.
Certaines images de jour prises par le Hezbollah montrent la banlieue israélienne de Haïfa Krayot, située à 28 kilomètres au sud de la frontière libanaise.
D'autres images montreraient un complexe militaire près de Haïfa appartenant à un fabricant israélien оружия Rafael, y compris les batteries du système de défense antimissile israélien Iron Dome, les sites de stockage de missiles et les radars, ainsi que les bateaux militaires, les navires et les installations de stockage de pétrole dans le port de Haïfa.
Le ministre israélien des Affaires étrangères a souligné que toute attaque contre Haïfa aurait des conséquences mondiales.
CNN a analysé les images et a confirmé que les lieux se trouvaient dans la région de Haïfa, notamment une base militaire dans la partie nord de la ville, le port maritime et l'aéroport de Haïfa, ainsi que des réservoirs de pétrole et des zones résidentielles.
Selon l'expert militaire néerlandais Wim Zwijnenburg, le drone vu dans les images est apparemment « un modèle iranien Qasaf-2k, peut-être produit localement ».
LIRE AUSSI :Guerre Israël – Hamas : L’armée israélienne pourrait lancer une offensive au Liban
Centre d'opérations navales britanniques : le Tutor, attaqué par des rebelles yéménites, a coulé en mer Rouge
Il y a environ une semaine, le navire Tutor a été touché en mer Rouge. Il a été attaqué par un bateau sans pilote de rebelles yéménites.
Le naufrage du navire Tutor en mer Rouge constitue une nouvelle escalade de la part des Houthis dans leur campagne contre Israël et l’Occident, qui soutient généralement sa guerre, comme le rapportent certains médias arabes.
Nouvelles arabes :
L'attaque a eu lieu malgré une campagne de plusieurs mois menée par les États-Unis dans la région, qui a vu la flotte faire face aux combats navals les plus intenses depuis la Seconde Guerre mondiale. Des attaques contre des navires commerciaux et des navires de guerre ont eu lieu presque quotidiennement.
Le navire Tutor naviguait sous pavillon du Libéria, était exploité par la Grèce et, comme l'a déclaré le commandement Houthi, était la propriété d'un homme d'affaires israélien.
Le Centre des opérations maritimes de la Royal Navy confirme que le navire a coulé et émet un avertissement à ses navires de guerre et commerciaux.
Selon les dernières données, la plupart des membres de l'équipage du Tutor ont été sauvés. Un membre de l'équipage est décédé. Selon certains rapports, il s'agit d'un citoyen philippin.
L'utilisation d'un BEC rempli d'explosifs a provoqué une vague de rumeurs faisant référence à l'attaque terroriste contre le navire américain Cole en 2000, lorsqu'Al-Qaïda avait attaqué un navire de guerre dans le port d'Adena. En conséquence, 17 personnes sont mortes à bord du navire de guerre. Cole fait désormais partie des opérations de la marine américaine en mer Rouge.
Pendant ce temps, les Houthis continuent d’attaquer des navires associés à Israël, aux États-Unis ou à la Grande-Bretagne, et n’ont pas l’intention d’arrêter leurs attaques jusqu’au retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza.
Le Centre des opérations maritimes de la Royal Navy confirme que le navire a coulé et émet un avertissement à ses navires de guerre et commerciaux.
Selon les dernières données, la plupart des membres de l'équipage du Tutor ont été sauvés. Un membre de l'équipage est décédé. Selon certains rapports, il s'agit d'un citoyen philippin.
L'utilisation d'un BEC rempli d'explosifs a provoqué une vague de rumeurs faisant référence à l'attaque terroriste contre le navire américain Cole en 2000, lorsqu'Al-Qaïda avait attaqué un navire de guerre dans le port d'Adena. En conséquence, 17 personnes sont mortes à bord du navire de guerre. Cole fait désormais partie des opérations de la marine américaine en mer Rouge.
Pendant ce temps, les Houthis continuent d’attaquer des navires associés à Israël, aux États-Unis ou à la Grande-Bretagne, et n’ont pas l’intention d’arrêter leurs attaques jusqu’au retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza.
“La Croix” diffuse l’appel de 6 000 chrétiens contre le RN : parmi ses initiateurs un proche d’Houria Bouteldja, parmi les signataires Jacques Mesrine, Jean-Michel Trogneux ou encore Jawad le logeur de Daesh
Note : Jacques Mesrine c'est convertie à l'islam en prison. Sur ces 6 000 "chrétiens" combien sont des menteurs ou des musulmans qui se font passer pour des chrétiens.
C'est une habitude chez ces derniers, combien de fois sur le net, j'ai démasqué des musulmans qui se fessaient passer pour des chrétiens ! Cette religion est d'une malhonnêteté monumentale
Nicolas Pouvreau-Monti, cofondateur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie : « On a atteint des niveaux d’immigration jamais-vus» sous la présidence d’Emmanuel Macron
Elections Européennes 2024 : 62% des électeurs musulmans ont voté pour LFI, dont 83% qui le justifient par la guerre à Gaza (MàJ : 74% des électeurs musulmans ont voté à gauche)
18/06/2024
L’électorat musulman, selon un sondage Ifop publié par le quotidien catholique la Croix, a confirmé son ancrage à gauche lors des élections européennes du 9 juin. Le politiste Haoues Seniguer explique ce qui motive, selon lui, ce choix.
Les électeurs musulmans ont voté à 74 % pour des listes de gauche (LFI, PC, PS-Place publique, Les Ecologistes) lors des élections européennes. Toutefois, il y a un taux d’abstention plus élevé que la moyenne, à 59 %. Comment peut-on l’analyser ?
Il faudrait, me semble-t-il, regarder cette abstention au prisme du contexte général. L’efficacité du geste électoral est de plus en plus mise en doute. Même en votant, beaucoup pensent que cela n’a aucune conséquence directe – et cela indépendamment de toute appartenance religieuse. Dans cette perspective, le geste électoral n’induirait pas de changement social, propre à avoir une incidence sur sa vie personnelle.
(…)
11/06/2024
Selon une étude Ifop pour La Croix, les musulmans ont voté à 62 % pour la liste de La France insoumise aux élections européennes, dimanche 9 juin. Des résultats dans la continuité de l’élection présidentielle de 2022, au cours de laquelle 69 % des musulmans avaient choisi Jean-Luc Mélenchon.
Un vote toujours ancré à gauche. Aux élections européennes, 62 % des citoyens musulmans qui se sont déplacés aux urnes ont voté pour La France insoumise, selon un sondage Ifop pour La Croix daté du 9 juin. Des résultats similaires à ceux du premier tour de l’élection présidentielle de 2022, qui avait vu 69 % des électeurs musulmans choisir Jean-Luc Mélenchon. Ce score aux européennes est toutefois à interpréter au regard d’une forte abstention, qui s’élève à 59 % dans l’électorat musulman, soit 10 % de plus que parmi l’ensemble des inscrits.
(…)
Un vote notamment motivé par la guerre à Gaza
Parmi les enjeux déterminants de leur vote pour ce scrutin européen, 83 % des électeurs musulmans ont cité le conflit israélo-palestinien, contre seulement 25 % de l’ensemble de la population. L’importance donnée à la guerre à Gaza peut être l’une des explications de leur choix majoritaire pour LFI, qui a mis l’accent sur ce sujet pendant la campagne, notamment en plaçant la militante franco-palestinienne Rima Hassan en septième position sur sa liste conduite par Manon Aubry.
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