Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Vladimir Poutine pose deux conditions pour négocier la paix avec l'Ukraine…
L’ESSENTIEL
Les dirigeants du G7 sont réunis depuis jeudi en Italie pour, notamment, tenter de s’accorder sur les mécanismes permettant d’aider l’Ukraine à se défendre face à l’agression russe mais aussi à se reconstruire.
Le président ukrainien, dont les troupes sont en difficultés sur le terrain, a obtenu un prêt de 50.000 de dollars des dirigeants du G7. A l’initiative des Etats-Unis, ils ont acté le principe de cette énorme enveloppe pour Kiev, garantie par les futurs intérêts produits par les actifs russes immobilisés.
L’Otan peut désormais compter sur au moins 300.000 hommes qui sont mobilisables rapidement par ses membres. C’est du moins ce qu’a affirmé ce jeudi un haut responsable de l’Alliance.
14h47
L’Otan doute de la bonne foi des propositions de paix de Poutine
La réponse de l’Otan n’a pas tardé après que ce vendredi Vladimir Poutine a appelé l’Ukraine à retirer ses troupes des régions que la Russie revendique pour parvenir à une solution pacifique.
« Ce n’est pas une proposition faite de bonne foi », a rétorqué depuis Bruxelles le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg.
14h44
Le G7 appelle la Chine à cesser de fournir la Russie en composants d’armes
Toujours dans le communiqué final du sommet du G7 en Italie, les chefs d’Etat et de gouvernement appellent la Chine à « cesser de transférer (…) des composants d’armes et des équipements qui alimentent le secteur de la défense russe ».
14h42
Zelensky a rencontré le pape François et a parlé de paix avec lui
Volodymyr Zelensky a indiqué vendredi s’être entretenu avec le pape François en marge du G7 en Italie et avoir discuté avec lui du sommet sur la paix prévu en Suisse, sans la Russie.
« Nous avons discuté des conséquences de l’agression russe contre l’Ukraine, du terrorisme aérien russe et de la situation difficile dans le secteur de l’énergie (…) et des attentes du sommet mondial pour la paix », a affirmé le président ukrainien sur Telegram.
14h36
Les pays du G7 soutiendront l’Ukraine « aussi longtemps que nécessaire »
Le G7 promet de « soutenir » l’Ukraine « aussi longtemps que nécessaire », selon le projet de déclaration finale consulté par l’AFP, qui réaffirme aussi ses « efforts collectifs pour désarmer et assécher les financements du complexe militaro-industriel russe ».
« Nous sommes solidaires pour soutenir le combat de l’Ukraine pour sa liberté et sa reconstruction aussi longtemps que nécessaire », affirment les chefs d’Etat et de gouvernement, réunis en Italie.
13h02
Poutine dénonce dans la Conférence sur la paix un « stratagème pour détourner l'attention de tout le monde »
Il a aussi dénigré le sommet pour la paix, dont la Russie a été exclu, prévu en Suisse les 15 et 16 juin à l'initiative de l'Ukraine, y voyant un « stratagème pour détourner l'attention de tout le monde » des vrais responsables du conflit qui sont, selon lui, les Occidentaux et les autorités de Kiev.
« A cet égard, je veux souligner que sans la participation de la Russie et sans un dialogue honnête et responsable avec nous, il est impossible de parvenir à une solution pacifique en Ukraine et à la sécurité de l'Europe en général », a insisté le président russe.
12h55
Retrait dans quatre régions et renoncement à l'Otan: Poutine pose deux conditions pour négocier une paix avec l'Ukraine
Vladimir Poutine a déclaré ce vendredi qu'il négociera avec l'Ukraine en cas de retrait des forces ukrainiennes des quatre régions qu'il revendique et lorsque Kiev aura renoncé à rejoindre l'Otan, balayant le sommet pour la paix organisé en Suisse et auquel Moscou n'a pas été invité.
« Dès que Kiev (...) commencera le retrait effectif des troupes (des régions de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia), et qu'elle notifiera l'abandon de son projet d'adhésion à l'Otan, nous donnerons immédiatement, à la minute même, l'ordre de cesser le feu et d'entamer des négociations », a dit Vladimiri Poutine face aux cadres du ministère russe des Affaires étrangères.
Ces revendications constituent de facto une demande de reddition de l'Ukraine, dont l'objectif est de maintenir son intégrité territoire et sa souveraineté.
11h56
Pour Poutine, le gel des actifs russes au profit de l'Ukraine est un « vol »
Le président russe Vladimir Poutine a qualifié vendredi de « vol » le gel des actifs russes en Occident et leur utilisation pour aider l'Ukraine à résister à la Russie, et a promis d'y répliquer, après un accord en ce sens trouvé la veille au G7.
« Même si on enjolive les choses, le vol ça reste du vol et ça ne restera pas impuni », a-t-il déclaré devant les cadres du ministère russe des Affaires étrangères.
10h55
Pour Moscou, l'accord de sécurité signé entre l'Ukraine et les Etats-Unis n'est qu'un simple « bout de papier »
La Russie a estimé vendredi que l'accord de sécurité signé la veille entre les Etats-Unis et l'Ukraine était un simple « bout de papier » sans valeur.
« Le fait est que (ces accords) ne sont que des bouts de papier (...) Ces accords ne sont rien, ils n'ont aucune valeur juridique », a déclaré la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, citée par les agences de presse russes.
07h02
Au G7, un prêt de 50 milliards de dollars débloqué au profit de l'Ukraine
Le président ukrainien, dont les troupes sont en difficultés sur le terrain, a obtenu un prêt de 50 milliards de dollars (sur les 300 milliards gelés) des dirigeants du G7. A l’initiative des Etats-Unis, ils ont acté le principe de cette énorme enveloppe pour Kiev, garantie par les futurs intérêts produits par les actifs russes immobilisés.
Les sanctions de l’UE imposées à la Russie, y compris l’immobilisation des actifs russes, doivent être renouvelées tous les six mois par un vote unanime du Conseil.
Un éventuel veto du Premier ministre nationaliste Viktor Orban, resté proche du Kremlin, pourrait donc bloquer le mécanisme, d’autant que la Hongrie assumera au 1er juillet la présidence de l’Union européenne.
(...)
Certains s’inquiètent aussi d’un impact sur les investissements de pays tiers, comme la Chine, qui pourraient réduire leurs actifs dans les pays occidentaux par crainte qu’ils soient saisis.
Poutine nomme des conditions pour le règlement du conflit en Ukraine
La Russie cessera le feu et sera prête à négocier dès que Kiev entamera le retrait de ses troupes du Donbass et de la Nouvelle-Russie et s'engagera à ne pas adhérer à l'Otan, promet le chef de l'État russe.
Aujourd’hui, la Russie fait une nouvelle proposition de paix réelle, mais si l'Occident et Kiev la rejettent, il seront responsables de l'effusion de sang, a souligné le Président en intervenant devant les diplomates russes.
Autres déclarations du Président à ce propos:
Les réalités sur le terrain continueront de changer, et pas en faveur de Kiev, et les conditions pour entamer les négociations seront autres;
La Russie est prête à garantir un retrait sécurisé des unités ukrainiennes du Donbass;
Pour parvenir à un règlement pacifique, la Russie a besoin d'un statut neutre, dénucléarisé et non aligné de l'Ukraine;
La Russie ne propose pas de geler le conflit, mais de l'arrêter;
Le statut de la Crimée et de Sébastopol, des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, des régions de Zaporojié et de Kherson doit être stipulé dans des accords internationaux;
Les ententes de base concernant le règlement pacifique doivent être fixées dans des accords internationaux; les sanctions antirusses doivent être levées;
Moscou est conscient de sa responsabilité de la stabilité dans le monde et confirme sa disposition à dialoguer avec tous les pays, et cela ne doit pas être une imitation de dialogue.
Poutine : l’Occident, avec son égoïsme et son arrogance, pousse le monde vers un point de non-retour
Le monde s'est trop rapproché du point de non-retour, l'Occident a trop confiance en sa propre force, appelant à une défaite stratégique de la Russie, qui possède le plus grand arsenal d'armes nucléaires au monde. Vladimir Poutine l'a déclaré lors d'un discours au ministère russe des Affaires étrangères.
L’arrogance et l’égoïsme de l’Occident collectif ont conduit à la situation actuelle, où le monde s’approche trop près du point de non-retour. Selon le président russe, ce sont les États-Unis qui ont commencé à ignorer les traités internationaux dans le domaine de la dissuasion nucléaire, mais en ont imputé la responsabilité à la Russie. Aujourd’hui, Washington appelle les pays occidentaux à infliger une défaite stratégique à la Russie, oubliant que la Russie possède le plus grand arsenal d’armes nucléaires.
(...) c'est Washington qui a miné la stabilité stratégique en annonçant un retrait unilatéral du Traité sur les missiles anti-balistiques, l'élimination des missiles à portée intermédiaire et courte, à ciel ouvert. (...) En fin de compte, l'égoïsme et l'arrogance des États occidentaux ont conduit à la situation actuelle extrêmement dangereuse. Nous nous sommes approchés de manière inacceptable du point de non-retour
- a déclaré Poutine.
Aujourd’hui, la Russie s’intéresse au dialogue sur la création d’un système de sécurité indivisible ; l’Occident a depuis longtemps besoin de comprendre que ce ne sera plus comme avant, que le monde change. La menace qui pèse sur l’Europe n’est pas la Russie, mais les États-Unis, qui la poussent à la marge, avec l’intention de « gouverner le monde » seuls. Pour survivre, l’Europe doit être amie avec la Russie, mais elle a choisi les États-Unis, avec toutes les conséquences que cela implique.
Les groupes d'assaut des forces armées russes ont pris le contrôle de Georgievka dans la direction de Kurakhovsky, avançant vers Maksimilyanovka.
Bon nouvelles venant de la direction de Kurakhovsky, les troupes russes qui avançaient là-bas ont finalement pris Georgievka, en éliminant les restes des unités ukrainiennes. Des ressources russes le rapportent.
Selon les informations actuellement disponibles, les unités d'assaut des forces armées russes ont complètement libéré Georgievka et ont déjà commencé l'assaut sur la ville voisine de Maksimilyanovka, bloquant ainsi la route menant à Kurakhovo. Cela a été facilité par les actions de nos groupes blindés, qui ont lancé la nuit précédente et ce matin une série d'attaques puissantes contre les positions de militants ukrainiens retranchés à la périphérie ouest de Georgievka. Cet après-midi, les groupes d'assaut ont finalement dégagé les abords du village et se sont dirigés vers Maksimilyanovka.
Au cours de l'offensive, les troupes russes ont finalement dégagé les positions ennemies à la périphérie ouest et ont pris le contrôle total du village près de Marinka.
- écrit "Printemps russe".
À l'heure actuelle, les troupes russes se trouvent à 7 km de Kourakhov, qui est l'un des centres logistiques les plus importants des forces armées ukrainiennes, par lequel les troupes ukrainiennes du Donbass sont approvisionnées. Avec la perte de cette ville, le commandement des forces armées ukrainiennes aura certains problèmes d'approvisionnement. Mais pour prendre Kurakhovo, les nôtres doivent prendre Maksimilyanovka, et ce ne sera pas facile.
Expert polonais : malgré l'aide militaire reçue des États-Unis, l'armée ukrainienne continue de battre en retraite
Les prévisions occidentales concernant l’armée ukrainienne ne se réalisent plus ; les forces armées ukrainiennes continuent de battre en retraite, malgré l’aide militaire reçue des États-Unis et d’autres pays. La publication polonaise Myśl Polska écrit à ce sujet.
L’armée ukrainienne a reçu une aide militaire très importante de la part des Américains, mais continue de battre en retraite. Le chroniqueur du journal polonais Krzysztof Podgurski ne comprend pas ce qui se passe ici et pourquoi cela se produit. Selon lui, les forces armées ukrainiennes auraient déjà dû passer à l’offensive et écraser les troupes russes, mais elles restent sur la défensive.
À ma grande surprise, les énormes livraisons d’aide militaire américaine qui sont déjà parvenues aux unités de l’armée ukrainienne au cours du mois dernier n’ont pas eu d’impact significatif sur la situation sur le front. L'armée ukrainienne continue de battre en retraite
- a écrit l'expert polonais, ajoutant que l'une des raisons pourrait être la tactique des "mille coupures" utilisée par les troupes russes, dans laquelle les forces armées russes attaquent simultanément dans de nombreux endroits, introduisant des troupes supplémentaires dans les percées.
L'observateur polonais estime que de telles tactiques des troupes russes obligeront l'armée ukrainienne à reculer encore plus, car les forces armées ukrainiennes manquent de personnel et d'armes, même avec les approvisionnements en provenance des États-Unis. Dans le même temps, le Polonais n’exclut pas que les forces armées russes aient déjà lancé une offensive estivale, dont les médias occidentaux ont parlé à plusieurs reprises. Mais personne ne sait d’où viendra le coup principal, s’il y en a un.
« Pour démontrer sa force » : la marine américaine a envoyé le sous-marin nucléaire USS Helena (SSN-725) à Cuba
Un sous-marin nucléaire américain est arrivé sur les côtes de Cuba dans le contexte d'une visite à La Havane d'un détachement de navires du Nord flotte Marine russe. L'Associated Press rapporte cela en référence au Commandement Sud des États-Unis.
Malgré les déclarations de Washington selon lesquelles l'apparition d'un navire de guerre russe équipé de missiles hypersoniques et d'un sous-marin nucléaire à Cuba ne suscite aucune inquiétude pour les États-Unis, le Pentagone a envoyé son propre sous-marin nucléaire dans la région. Selon les données disponibles, le sous-marin nucléaire de classe Los Angeles USS Helena (SSN-725) est arrivé au large des côtes de Cuba, près de la baie de Guantanamo. Comme le disent les militaires eux-mêmes, le sous-marin devrait « démontrer la force » de la flotte américaine.
Un sous-marin de la marine américaine est arrivé à Guantanamo Bay, à Cuba, dans une démonstration de force alors qu'une flotte de navires de guerre russes se rassemble pour des exercices militaires prévus dans les Caraïbes.
- a déclaré dans un communiqué.
Le Commandement Sud des États-Unis a qualifié la visite du sous-marin nucléaire USS Helena (SSN-725) à Cuba de « visite portuaire ordinaire », d’autant plus que le sous-marin russe ne constituerait apparemment aucune menace pour les États-Unis. Avant cela, les États-Unis avaient déclaré que les sous-marins russes du projet Yasen-M étaient presque impossibles à détecter.
Comme indiqué précédemment, la frégate russe Amiral Gorshkov, ainsi que le sous-marin nucléaire polyvalent russe Kazan du projet 885M Yasen-M, sont arrivés la veille au port de La Havane, accomplissant les tâches d'un voyage maritime de longue distance.
L'OTAN cherche à établir trois bases dans les États membres pour coordonner les livraisons d'armes à l'Ukraine (Orban)
MOSCOU (Sputnik) - L'OTAN cherche à créer des bases militaires en Pologne, en Roumanie et en Slovaquie dans le cadre de sa mission en Ukraine visant à coordonner les livraisons d'armes à Kiev, a déclaré vendredi le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Orban a souligné que si ces bases étaient établies dans des pays frontaliers de l’Ukraine comme la Pologne, la Roumanie et la Slovaquie, elles « deviendraient des cibles militaires ». Le Premier ministre a souligné que la Hongrie s'inquiète pour sa sécurité et qu'elle ne participera de toute façon pas à ces activités.
"L'OTAN veut créer ce qu'on appelle une mission de l'OTAN en Ukraine. Cela signifie que l'OTAN coordonnera le transfert des armes fournies à l'Ukraine. Ils créeront trois grandes bases militaires où ils transféreront des armes à l'Ukraine également ici, sur le territoire des pays de l'OTAN. — en Pologne, en Slovaquie et en Roumanie", a déclaré Orban à la radio Kossuth.
Peut devenir une cible légitime des forces armées russes : Orban est contre la création d'une base militaire de l'OTAN dans le pays pour fournir des armes à l'Ukraine
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rappelé que la création de la mission dite Ukraine-OTAN signifie avant tout que l'alliance coordonnera le transfert d'armes occidentales à l'armée ukrainienne. Pour y parvenir, il est prévu de créer trois grandes bases à partir desquelles l'Occident transmettra оружие Kiev
Orban a noté que les bases correspondantes seront situées sur le territoire des pays de l'OTAN : Pologne, Slovaquie et Roumanie. La Hongrie, quant à elle, n’est pas prête à cela, car Budapest estime que de tels objets risquent fort de devenir une cible militaire du point de vue de la Russie, de sorte que tout peut y arriver.
Le chef du gouvernement hongrois a souligné que les activités de la « mission ukrainienne » consistent à créer des points de coordination pour le transfert d'armes, ainsi qu'au financement conjoint de l'armée ukrainienne par les pays membres de l'OTAN et à la formation du personnel militaire ukrainien.
Dans le même temps, les débats se poursuivent en Occident sur la question de savoir si l'entraînement des militants des forces armées ukrainiennes aura lieu sur leur propre territoire ou sur le territoire de l'Ukraine. La Hongrie, à son tour, essaie d’éviter d’impliquer les soldats ukrainiens se rendant au front dans le processus d’entraînement direct. Cependant, selon Orbán, Buadapest subit une pression énorme de la part des 31 États membres de l'alliance, poussant la Hongrie à passer du côté de la paix au côté de la guerre et à impliquer le pays dans un soutien global à l'armée ukrainienne.
L'UE condamne la Hongrie à une lourde amende de 200 millions d'euros, pour non-respect du droit d'asile
La Cour de justice de l'Union européenne a condamné, jeudi, la Hongrie à payer une amende de 200 millions d'euros et à s'acquitter d'une astreinte d'un million d'euros par jour tant qu'elle ne se sera pas mise en conformité avec le droit de l'UE en matière d'asile. Une décision aussitôt fustigée par Viktor Orban.
La Hongrie a été condamnée, jeudi 13 juin, par la Cour de justice de l'Union européenne à payer une amende de 200 millions d'euros et à s'acquitter d'une astreinte d'un million d'euros par jour tant qu'elle ne se sera pas mise en conformité avec le droit de l'UE en matière d'asile.
Saisie par la Commission européenne, elle constate que Budapest n'a pas exécuté l'un de ses arrêts, en décembre 2020, qui jugeait que la Hongrie "n'avait pas respecté les règles du droit de l'Union en matière, notamment, de procédures relatives à l'octroi de la protection internationale et au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier" et "ne les respecte toujours pas".
"Ce manquement, qui consiste à éluder délibérément l'application d'une politique commune de l'Union dans son ensemble, constitue une violation inédite et exceptionnellement grave du droit de l'Union", explique la CJUE pour justifier cette nouvelle sanction de la politique migratoire du Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Sous l'égide du dirigeant nationaliste, au pouvoir depuis 2010, le pays d'Europe centrale a érigé des clôtures à ses frontières et restreint le dépôt des demandes d'asile aux ambassades à l'étranger, une politique qui lui a déjà valu plusieurs condamnations de la Cour de justice de l'UE.
L'astreinte d'un million d'euros est une pénalité par jour de retard tant que la décision de 2020 ne sera pas respectée.
Selon la Cour, ce non-respect par la Hongrie "a pour effet de transférer aux autres États membres la responsabilité" d'assurer "l'accueil des demandeurs de protection internationale, le traitement de leurs demandes et le retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier" et "porte une atteinte grave au principe de solidarité et de partage équitable de responsabilités entre les États membres".
"Une décision scandaleuse et inacceptable", estime Orban
Viktor Orban a aussitôt fustigé cette décision. "L'amende de 200 millions d'euros plus 1 million d'euros par jour (!!!) pour avoir défendu les frontières de l'UE est scandaleuse et inacceptable", a-t-il réagi sur le réseau social X, ajoutant que "les migrants illégaux semblaient plus importants pour les bureaucrates de Bruxelles que leurs propres citoyens européens".
La Hongrie, hostile à l'accueil de demandeurs d'asile, a déjà été condamnée par la justice de l'UE – comme la Pologne et la République tchèque –, pour avoir refusé un quota d'accueil de réfugiés décidé dans le cadre du programme européen lancé au moment de la crise de l'accueil des migrants en 2015.
Ce pays s'est aussi opposé au Pacte européen sur la migration et l'asile, une grande réforme adoptée mi-mai par l'UE prévoyant notamment un mécanisme de solidarité obligatoire envers les Etats membres confrontés à une pression migratoire. Cette solidarité peut se traduire par l'accueil de demandeurs d'asile ou par une contribution qui peut notamment être financière.
La Pologne a aussi écopé de sanctions financières pour une affaire sur la fermeture de la mine de Turow, depuis réglée à l'amiable avec Prague, et pour des réformes accusées de saper l'indépendance des juges. Dans ce second dossier, la somme globale des astreintes accumulées a dépassé les 500 millions d'euros.
Face au refus de Varsovie de payer, la Commission a déduis le montant de l'amende aux fonds européens versés à la Pologne.
Note : encore une preuve que l'UE est devenue (encore une fois) une dictature socialiste.
Guerre entre Israël et le Hamas :
les tensions s'accroissent à la frontière entre le Liban et l'Etat hébreu
L'Agence de presse nationale libanaise fait état de la mort d'une civile et de nombreux blessés dans une frappe israélienne dans le sud du Liban.
Ce qu'il faut savoir
Au Liban, l'Agence de presse nationale fait état, vendredi 14 juin, de la mort d'une civile et de nombreux blessés dans une frappe israélienne près de Tyr, dans le sud du pays, après des tirs du Hezbollah la veille dans le nord Israël. Le mouvement libanais, allié du Hamas, dit mener des bombardements ces derniers jours en représailles à la mort d'un de ses hauts commandants dans une frappe israélienne. Suivez notre direct.
La France veut contenir les tensions à frontière israélo-libanaise. Emmanuel Macron a annoncé jeudi au sommet du G7 que la France, les Etats-Unis et Israël allaient travailler en format "trilatéral" sur une feuille de route pour contenir les tensions à la frontière israélo-libanaise. "Nous avons tous partagé une préoccupation sur la situation à la frontière avec le Liban et en particulier avec les Etats-Unis d'Amérique", a déclaré le président français à la presse.
La bande de Gaza toujours bombardée.L'armée israélienne mène vendredi des bombardements dans l'enclave palestinienne. Aux premières heures de la journée, des témoins ont fait état de frappes israéliennes dans différents secteurs de la bande de Gaza, notamment dans le centre.
Joe Biden accuse le Hamas d'être le "principal obstacle" à un accord."J'ai soumis une proposition approuvée par le Conseil de sécurité, par le G7, par les Israéliens, et le principal obstacle à ce stade est le Hamas qui refuse de signer, même s'ils ont proposé quelque chose de similaire", a déclaré jeudi le président américain au sujet du plan de trêve à Gaza qu'il a proposé fin mai.
Les partis de gauche annoncent un accord autour du Nouveau Front Populaire avec un programme politique commun et des candidatures uniques pour chaque circonscription
13/06/2024
Note, : qui se ressemble s'assemblent ! LFI, PCF, les écolos etc, je l'ai deja dit se sont tous des socialistes, pro migrants, collabos et antifrançais
Le président de la fédération LR des Hauts-de-Seine, Philippe Juvin, acte d’un accord avec la majorité présidentielle, Ensemble
14/06/2024
Note; des traitres !
Les 4 vérités - Éric Ciotti
Le 13 juin 2024
Les principales obédiences maçonniques françaises disent «non» à l’«idéologie de haine de l’extrême droite». Elles ne peuvent rester muettes « face au retour du bruit des bottes »
13/06/2024
Réunis au siège du Grand Orient de France, les Grand maîtres de ces obédiences «lancent un appel solennel à la mobilisation de tous les Francs-maçons, frères et sœurs» en affirmant que «l’extrême droite est une impasse».
Les principales obédiences maçonniques françaises lancent un appel commun pour dire «non à l’inéluctabilité de la victoire de l’extrême droite» et de «son idéologie de la haine», dans un communiqué publié jeudi. «Les francs-maçons , résistants de tout temps à l’hydre haineuse de l’extrême droite, fidèles aux idéaux de liberté, d’égalité, de fraternité, de laïcité, se lèvent, déterminés à prendre part dans la reconstruction d’un espoir républicain pour tous», affirme cet appel commun.
Car à l’occasion des législatives des 30 juin et 7 juillet, «le risque de voir la France rejoindre le rang de la sombre cohorte des gouvernements populistes et nationalistes d’extrême droite n’aura jamais été aussi élevé», ajoute le texte signé de Guillaume Trichard (Grand Orient de France), Sylvain Zeghni (Droit Humain), Bernard Dekoker-Suarez (Grande Loge mixte universelle), Christiane Vienne (Grande Loge mixte de France) et Jean-Jacques Moumdjian (Grande Loge mixte de Memphis-Misraïm).
«Dans cette année où nous commémorons la mémoire de ceux qui sont tombés pour notre liberté face au joug nazi et au régime collaborationniste, les francs-maçons et les franc-maçonnes ne peuvent rester muets face au retour du bruit des bottes», ajoute le communiqué. Alors que «les forces les plus réactionnaires cherchent à s’entendre, avec comme seule ambition de remettre en cause tous les fondamentaux de la philosophie des Lumières», les signataires soulignent qu’«il ne faut plus seulement sonner l’alerte, mais agir» et exhortent à se rassembler «le 18 juin à 18h00 à Paris et dans tous les Orients de France».
Législatives : Le leader antifa ultra-violent Raphaël Arnault (Jeune Garde) parachuté à Avignon par LFI. Les socialistes locaux déposent un recours.
14/06/2024
Mais Raphaël Arnault a dû se résoudre à faire une croix sur la capitale des Gaules, et même sur le Rhône.
Nouveau protégé de Jean-Luc Mélenchon, le porte-parole de la Jeune Garde n’a toutefois pas été oublié.
Et LFI a décidé de le parachuter sur un territoire favorable : la circonscription d’Avignon dans le Vaucluse.
Sauf que les forces de gauche présentes sur place ne sont guère emballées par l’arrivée tonitruante du leader antifa, qui veut lutter pour empêcher le Rassemblement national de faire le grand chelem dans le département du sud de la France.
Selon la Provence, un recours a même été déposé par le Parti socialiste qui veut absolument récupérer la circonscription et renvoyer Raphaël Arnault à Lyon.
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