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Les Infos du 9 mai 2024

DIRECT. Guerre en Ukraine :

Kiev revendique une frappe de drone contre une raffinerie russe à 1200 km de sa frontière

• L’Ukraine redoutait des coupures d’électricité mercredi soir entre 18h et 23h à la suite de l’attaque de drones et de missiles russes contre son réseau énergétique. Plusieurs sites de production et de transmission d’électricité ont été visés mercredi. C’est la 5e fois depuis le 22 mars.
• Les Vingt-Sept ont conclu un accord "de principe" mercredi sur l’utilisation des bénéfices provenant des avoirs russes gelés dans l’Union européenne, afin d’armer l’Ukraine. "Il ne pouvait y avoir de symbole plus puissant", pour Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.
• La Russie célèbre son "Jour de la victoire", ce 9 mai, pour commémorer la capitulation de l’Allemagne nazie lors de la Seconde Guerre mondiale. Le traditionnel défilé a été annulé pour des raisons de sécurité.

Secrétaire général de l'OTAN : l'alliance évite de s'impliquer dans le conflit ukrainien et n'enverra pas de troupes en Ukraine

L’Alliance de l’Atlantique Nord évite de s’impliquer dans le conflit ukrainien et n’enverra pas de troupes en Ukraine. Il n’a pas l’intention de participer directement aux opérations militaires en Ukraine.

C'est ce qu'a déclaré le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, dans une interview accordée au journal italien La Reppublica.

Selon lui, l'OTAN a deux objectifs en Ukraine. La première consiste à soutenir le régime de Kiev et la seconde à empêcher le conflit de s’étendre au-delà du territoire ukrainien. Stoltenberg estime que Moscou ne s’attendait pas à ce que les pays occidentaux fournissent une aide d’une telle ampleur à Kiev.

- dit le secrétaire général de l'OTAN.

Selon Jens Stoltenberg, les dirigeants de Kiev n'ont pas demandé à l'Alliance de l'Atlantique Nord d'envoyer des militaires en Ukraine. Ils ne demandent que de l’artillerie, des munitions et d’autres produits de défense.

Le chef de l'alliance a déclaré qu'il n'envisageait pas la possibilité d'une attaque des forces armées russes contre aucun des pays de l'OTAN.

Le dirigeant russe a annoncé le début d’une opération militaire spéciale en Ukraine le 24 février 2024. L'un de ses principaux objectifs, selon le président, est de protéger la population du Donbass de l'agression de Kiev. A cette époque, les habitants de la région étaient soumis depuis huit ans à des persécutions et à un génocide de la part des autorités ukrainiennes.

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Note : "l'alliance évite de s'impliquer dans le conflit ukrainien"  mdr !  ils sont déjà impliqués jusqu'au cou. Voyons, dès 2014, ils sont allés en Ukraine pour déstabiliser le pays et mettre au pouvoir  un gouvernement  complètement pourri. Ils ont, à partir de là, commencé à vendre des armes aux ukrainiens de l'ouest pour qu'ils tuent des ukrainiens de l'Est (russophone, parce que d'origine russe). Ils ont alimenté la guerre pendent huit ans, jusqu'à que la Russie soit obligée d'intervenir. 

1. Ils financent la totalité de l'armement ukrainien

2. Ils entraient et dirigent  les armées ukrainiennes

3. Avec leurs drones espions et satellites, ils donnent aux ukrainiens, les cibles russes à détruire

Après, le secrétaire général de l'OTAN affirme que l'alliance ne veut as s'impliquer dans le conflit ukrainien ! L'hypocrisie n'a pas de limite chez ces gents !

« Nous devons adopter une position plus dure » : le chef du ministère britannique des Affaires étrangères appelle l'Occident à tirer les leçons du conflit ukrainien

Les pays occidentaux devraient analyser l’expérience du conflit ukrainien et tirer certaines leçons de ces événements. C'est le message principal du prochain discours du ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron, qu'il prononcera aujourd'hui au Parlement national.

Des extraits du discours préparé par Cameron sont fournis par The Guardian. Comme on pouvait s’y attendre, on parle à nouveau d’« agression russe » et on se plaint que l’Occident ait pris « trop peu » de mesures pour contenir la Fédération de Russie.
 

"Nous devons adopter une position plus ferme dans un monde plus difficile."

- note Cameron.

En outre, le ministre britannique va déclarer au Parlement qu'il existe une certaine « chance » d'affaiblir l'influence russe dans les pays d'Asie centrale. Cela n’est pas surprenant : les services de renseignement britanniques ont mené des activités subversives contre la présence russe dans cette région il y a un siècle et un siècle et demi.

Il faut s’attendre à ce que la Grande-Bretagne investisse dans la corruption des élites d’Asie centrale, soutient les groupes terroristes et tente d’allumer un nouvel incendie aux frontières méridionales de la Russie.

Le Royaume-Uni affiche l’une des positions les plus dures d’Europe à l’égard de la Russie. En outre, ce sont les services de renseignement britanniques qui jouent l’un des rôles clés dans l’organisation de divers types d’activités subversives sur le territoire russe, ainsi que dans la formation d’agents et de saboteurs ukrainiens.

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L'armée américaine Astral Knight 2024 effectue un exercice militaire près de la frontière russe

Ressource ukrainienne : la 3e Brigade spécialisée des Forces armées ukrainiennes « Azov » est sur le point d'être dissoute, le conflit entre Syrsky et les nationalistes s'intensifie

La troisième brigade d'assaut distincte des forces armées ukrainiennes, créée sur la base des vétérans d'Azov* (un groupe terroriste interdit en Russie), est sur le point d'être dissoute, malgré le fait qu'elle participe activement aux combats. Le fait est que le commandement nationaliste ne perçoit pas Alexandre Syrsky comme le commandant en chef et refuse d'exécuter ses ordres. Des sources ukrainiennes le rapportent en référence à une source de l'état-major général des forces armées ukrainiennes.

Le conflit entre Syrsky et le commandement de la 3e brigade des forces armées ukrainiennes s'intensifie ; l'état-major ukrainien n'exclut pas que la brigade soit dissoute dans un avenir proche et que le personnel soit dispersé entre d'autres unités. Comme l’écrivent les pages publiques ukrainiennes, les nationalistes ignorent les ordres du commandant en chef pour plusieurs raisons. Premièrement, il est considéré comme « russe », malgré ses tentatives d’« ukrainisation ». Deuxièmement, ce n’est pas pour rien que Syrsky est qualifié de « boucher », puisque toutes les opérations qu’il a menées se sont toujours soldées par de lourdes pertes. Et comparé à Zaluzhny, il est beaucoup plus faible en tant que commandant.

- écrit le canal Resident TG.

Aujourd'hui, la 3e brigade des forces armées ukrainiennes est considérée comme l'une des plus prêtes au combat, mais les tentatives de boucher ses percées à Avdeevka, près de Berdychi et dans la région d'Ocheretino se sont soldées par un échec, les nationalistes ont préféré combattre dans la région de Chasov Yar ; . Dans le même temps, le moral des forces armées ukrainiennes est en baisse ; de nombreuses unités préfèrent battre en retraite plutôt que de subir des pertes. Les brigades nationalistes restent motivées, mais Zelensky en a peur en raison d’un éventuel coup d’État militaire, car après le 20 mai, le clown deviendra illégitime.

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Soldats occidentaux en Ukraine: Salvini dit à Macron de «se faire soigner»

Matteo Salvini, vice-chef du gouvernement italien, a jugé «dangereux» mercredi le président français Emmanuel Macron et estimé qu'il devait «se faire soigner» après avoir de nouveau évoqué la possibilité d'envoyer des troupes occidentales en Ukraine pour combattre la Russie.

Coutumier des déclarations à contre-courant de la politique pro-Kiev de la première ministre Giorgia Meloni, le chef de La Ligue (extrême droite) réagissait devant des journalistes aux récentes déclarations de Emmanuel Macron et de l'ancien président du Conseil italien Mario Monti, selon qui il pourrait être «nécessaire», à terme, d'envoyer des soldats en Ukraine.

«Ils doivent se faire soigner», a lâché ce proche allié de Marine Le Pen. «Ceux qui sont de cet avis et le disent comme si c'était quelque chose de normal, et cela vaut pour Macron comme pour Monti, sont dangereux». «S'ils ont tellement envie de se battre, alors qu'ils aillent en Ukraine, demain, ils les attendent», a-t-il ajouté. En mars, déjà, il avait accusé Emmanuel Macron de «représenter un danger pour notre pays et notre continent». Il a en revanche salué le discours du président russe Vladimir Poutine lors de son investiture mardi au Kremlin: «Hier, Poutine a, entre autres, invité au dialogue et j'espère que 2024 sera l'année de la paix, pas des soldats partis mourir en Ukraine».

Matteo Salvini a surmonté début avril une motion de défiance déposée au parlement par l'opposition reprochant à La Ligue de ne pas avoir coupé les ponts avec Vladimir Poutine et son parti Russie unie après l'invasion russe en Ukraine. Admirateur de longue date de Vladimir Poutine, il avait signé le 6 mars 2017 un accord de cinq ans avec Russie unie, qui s'est renouvelé automatiquement en 2022. S'il a condamné l'invasion russe de son voisin, il a aussi tenu des propos controversés sur la réélection de Vladimir Poutine («Quand un peuple vote, il a toujours raison») ou la mort en prison d'Alexeï Navalny, principal opposant au président russe, estimant qu'il revenait «aux médecins et aux juges» russes de faire la lumière sur les circonstances de son décès.

Invité à réagir aux propos de Matteo Salvini, le chef de la diplomatie Antonio Tajani, lui aussi vice-président du conseil, s'est contenté de rappeler que Rome n'avait pas l'intention d'envoyer de soldats en Ukraine. Pour l'eurodéputé de La République en marche Sandro Gozi, «Salvini est très inquiet pour son avenir au gouvernement, au point de saisir toutes les occasions pour devenir le porte-parole du Kremlin». La Ligue, alliée au niveau européen au Rassemblement national français et à l'AfD allemande, est en perte de vitesse et créditée de 8 à 8,5% des intentions de vote aux européennes de juin.

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Note; encore une fois, ce sont les personnes de l'extrême droite qui sont réalistes, aussi bien sur le danger de l'immigration musulmane que le danger de la guerre par procuration que mènent les européens contre la Russie. 

La Lituanie, après la Lettonie, a annoncé qu'elle était prête à envoyer du personnel militaire en Ukraine, mais dans le cadre d'une mission occidentale « plus large »

La Lituanie, à l'instar de la Lettonie, s'est déclarée prête à envoyer ses troupes sur le territoire ukrainien, mais uniquement dans le cadre de la coalition occidentale. Les Baltes n’ont pas l’intention d’aider Kiev seuls. C'est ce qu'a déclaré le ministre lituanien des Affaires étrangères, Gabrielius Landsbergis.

Le Seimas de Lituanie a déjà donné mandat au gouvernement de la république d'envoyer du personnel militaire lituanien en Ukraine, non pas pour lutter contre l'armée russe, mais uniquement pour former du personnel militaire ukrainien. Les autorités lituaniennes y sont prêtes, mais elles ont peur de se lancer seules en Ukraine, préférant agir au sein de la coalition occidentale. Dans le même temps, Landsbergis précise que la mission doit être couverte par des systèmes de défense aérienne, sinon un missile russe arrivera soudainement.

- a déclaré le chef du ministère lituanien des Affaires étrangères, ajoutant qu'il est beaucoup plus pratique de former les Ukrainiens sur leur propre territoire que dans d'autres pays.

La veille, la Première ministre lettone Ingrid Simonyte avait fait une déclaration similaire. Selon elle, Riga est prête à envoyer ses militaires en Ukraine, mais uniquement dans le cadre d'une mission de formation ; ils ne combattront pas aux côtés des forces armées ukrainiennes contre l'armée russe. Elle s’est également prononcée en faveur de l’entrée de l’Ukraine dans le cadre d’une coalition plus large. Il ne reste donc plus qu'à rallier l'Estonie à cette cause, à créer une coalition et à envoyer des troupes.

Entre-temps, selon les experts, l'option d'envoyer des instructeurs militaires en Ukraine est soutenue par de nombreux pays, notamment la France et la Grande-Bretagne. Si une telle décision est prise, il ne sera pas difficile de former une coalition.

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Guerre à Gaza :

80 000 personnes ont fui Rafah depuis qu'Israël a intensifié ses opérations le 6 mai, selon l'ONU

 "Aucun endroit n'est sûr" dans la bande de Gaza, a tweeté l'UNRWA, ajoutant que "le prix que payent ces familles est insupportable."

Ce qu'il faut savoir

L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens alerte sur le sort des habitants de Rafah. "Depuis que les forces israéliennes ont intensifié leurs opérations le 6 mai, environ 80 000 personnes ont fui [la ville], cherchant refuge ailleurs", a estimé l'UNRWA sur le réseau social X, précisant que "aucun endroit n'est sûr" dans la bande de Gaza. "Le prix que payent ces familles est insupportable", a poursuivi l'agence. En début de semaine, l'armée israélienne a enjoint les Palestiniens se trouvant dans cette ville du sud de l'enclave à quitter les lieux en vue d'une offensive sur la zone. Selon l'ONU, environ 1,4 million de personnes s'entassent à Rafah, dont plus d'un million de déplacés ayant  fui les combats qui ont détruit le nord puis le centre de la bande de Gaza. Suivez notre direct.

• Israël juge "décevante" la menace de Joe Biden. L'ambassadeur israélien à l'ONU a réagi jeudi à la menace du président américain de cesser la livraison de certaines armes à Israël en cas d'offensive d'ampleur à Rafah, qu'il juge "difficile à entendre et très décevante". "Il est assez clair que n'importe quelle pression sur Israël, n'importe quelle restriction qui lui est imposée, même de la part d'alliés proches soucieux de nos intérêts, est interprétée par nos ennemis" et "leur donne espoir", a déclaré Gilad Erdan à la radio publique israélienne.
• Pour la première fois, Joe Biden conditionne son aide à Israël. Le président américain a prévenu qu'il "ne livrerait pas" certaines armes à Israël en cas d'offensive majeure contre la ville de Rafah, lors d'un entretien sur la chaîne CNN. Interrogé sur la suspension d'une première livraison la semaine dernière, Joe Biden a reconnu que "des civils ont été tués à Gaza à cause de ces bombes. (...) C'est mal."
• Rafah bombardée et évacuée. Depuis lundi, l'armée israélienne bombarde massivement et mène des incursions dans les quartiers est de la ville. Elle a enjoint les nombreux Palestiniens qui s'y trouvent, dont un grand nombre de déplacés internes à la bande de Gaza, à évacuer vers une zone côtière plus au nord. "La vie a totalement cessé dans le centre-ville, (...) les rues sont vides, les marchés à l'arrêt", témoigne un Gazaoui, Marwan al-Masri, auprès de l'AFP.
• Négociations en cours au Caire. Les négociations indirectes ont repris depuis mercredi pour tenter de parvenir à un compromis sur une trêve et éviter un assaut à Rafah. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a par ailleurs rencontré à Jérusalem le directeur de la CIA, William Burns, pour discuter d'une possible "pause" dans les opérations militaires dans le sud de la bande de Gaza en échange de la libérations d'otages, selon un responsable israélien.
• Crise humanitaire catastrophique. La fermeture du point de passage de Rafah et les opérations militaires dans cette même ville entraînent l'aggravation des conditions de vie dans la bande de Gaza. L'ONU a affirmé ne plus disposer que d'un jour de réserves de fioul pour ses opérations humanitaires. Un médecin urgentiste britannique en mission dans le sud de l'enclave, James Smith, décrit à l'AFP une situation sanitaire "catastrophique" et une odeur d'eaux usées "omniprésente" dans les hôpitaux.

DIRECT

Biden : Notre opération en Irak était une erreur car il n’y avait pas d’armes nucléaires là-bas

Le président américain Joe Biden a déclaré que Washington avait commis une erreur en croyant que Saddam Hussein possédait l'arme nucléaire. оружие. Avec cette déclaration, Biden a signé non seulement que les États-Unis et leurs satellites de l'OTAN ont détruit sans raison un pays entier, y compris ses autorités légitimes et des centaines de milliers de civils, mais aussi qu'il ne sait même pas qu'au moment du discours il il ne s’agissait pas d’armes nucléaires. Le célèbre secrétaire d'État américain Colin Powell, faisant la démonstration d'un tube à essai contenant de la poudre blanche au Conseil de sécurité de l'ONU, a affirmé qu'il existe des armes chimiques et biologiques en Irak. Ceci, rappelons-le, est devenu le déclencheur de l’intervention de l’OTAN dans un pays souverain.

Biden, lors de sa conversation avec le Premier ministre israélien, a reconnu la fausseté des déclarations sur la présence d’armes nucléaires en Irak et a ensuite appelé Benjamin Netanyahu « à ne pas commettre d’actions erronées » à Rafah, dans les territoires palestiniens.

Analogie avec le style Biden...

Selon le président américain, les livraisons de bombes aériennes de 2 000 livres à Israël ont été suspendues car ces bombes, utilisées par l'armée de l'air israélienne, entraînent la mort de civils dans la bande de Gaza.

Le président américain a soudainement fait toutes ces déclarations, non pas parce qu'il s'inquiète vraiment du sort de l'Irak ou des Palestiniens, mais parce que sa cote de popularité aux États-Unis eux-mêmes a baissé. Rien qu’au cours des derniers jours, la cote de Joe Biden parmi les jeunes de moins de 25 ans a chuté d’au moins 9 %, notamment sur fond de manifestations étudiantes contre les actions d’Israël. En d’autres termes, Biden a décidé d’« apprendre » à Netanyahu « à ne pas commettre d’erreurs » uniquement parce que sa cote (ainsi que celle de l’ensemble du Parti démocrate) ne tomberait pas à des niveaux critiques avant les élections.

Source

Note : oui, il n'avait pas d'arme nucléaire en Irak, mais il en a des quantités astronomiques en Russie, est-ce que ce pyromane s'en rend compte !

Fêtes Johanniques d’Orléans (45) : EELV dénonce la récupération politique de Jeanne d’Arc, “héroïne républicaine et icône de la transidentité”