Publié le 31 Mai 2024 par 3guerremondiale

Publié dans : #Les infos les plus cruciales

Vers une guerre de religion, infos du 31 mai 2024

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Les Infos du 31 mai 2024

Note : je n'ai pas trouvé d'autre information sur l'info d'hier qui affirme que la Chine se préparait a un exercice militaire jusqu'à la fin du mois de mai ! ! Des erreurs de traduction surement, on verra dans les jours qui viennent

DIRECT. Guerre en Ukraine :

le G7 dénonce les "transferts d’armes illégaux" de Corée du Nord vers la Russie

Voici les principales informations à retenir de ce vendredi 31 mai dans l’actualité liée à la guerre en Ukraine :

Les États-Unis et l’Allemagne autorisent l’Ukraine à frapper des cibles en Russie pour défendre Kharkiv.
Des frappes russes causent la mort de trois personnes et font 16 blessés dans à Kharkiv.
L’armée russe dit avoir conquis 880 km2 depuis le début de l’année.
La Russie et l’Ukraine auraient échangé chacun 75 prisonniers de guerre de chaque camp.

13h57.

L'aide militaire à l'Ukraine doit au minimum atteindre 40 milliards d'euros par an, selon le secrétaire général de l'ONU

L'aide militaire fournie par les pays de l'Otan doit au minimum atteindre les 40 milliards d'euros par an, aussi longtemps que nécessaire, a déclaré ce vendredi à Prague le secrétaire général de l'Alliance Jens Stoltenberg. "Depuis l'invasion russe de l'Ukraine en 2022, les Alliés ont fourni approximativement 40 milliards d'euros par an en aide militaire à l'Ukraine. Nous devons maintenir au minimum ce niveau de soutien chaque année , aussi longtemps que nécessaire", a-t-il souligné devant la presse, à l'issue d'une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l'Otan.

13h47.

Le G7 dénonce les "transferts d'armes illégaux" de Corée du Nord vers la Russie

Les pays du G7 et leurs alliés ont exprimé ce vendredi leur "vive inquiétude" face à la coopération militaire croissante entre la Corée du Nord et Moscou , et appelé Pyongyang à cesser ses "transferts d'armes illégaux" vers la Russie pour conduire sa guerre contre l'Ukraine.

"Nous sommes profondément inquiets de l'approfondissement de la coopération entre la RPDC [République populaire et démocratique de Corée] et la Russie en violation flagrante des multiples résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU", affirment-ils dans un communiqué publié par l'Italie, qui préside le G7 cette année. " Nous appelons la RPDC et la Russie à cesser leurs transferts d'armes illégaux ", poursuit le communiqué, également signé par l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud et l'Union européenne.

11h12.

Berlin autorise l'Ukraine à utiliser des armes allemandes contre des cibles en Russie

L'Allemagne autorise l'Ukraine à utiliser des armes allemandes contre des cibles militaires en Russie pour se défendre des attaques lancées par Moscou notamment dans la région de Kharkiv, a annoncé vendredi le porte-parole du chancelier Olaf Scholz.

"L'Ukraine a le droit, garanti par la législation internationale, de se défendre contre ces attaques. Pour ce faire, elle peut également utiliser les armes fournies à cet effet", "y compris celles que nous avons livrées", a déclaré Steffen Hebestreit dans un communiqué.

L'Allemagne, comme d'autres pays alliés, avait jusqu'ici exclu l'usage des armements qu'elle fournit à Kiev sur le territoire russe, par crainte d'une escalade, avec en filigrane la menace de l'utilisation de l'arme nucléaire par le président russe Vladimir Poutine.

Mais plusieurs pays ont désormais fait évoluer leur position, dont la France et depuis jeudi les États-Unis, mettant le chancelier sous pression.

Note : ils ne voulaient pas envoyer de missile a longue porté, ils ont fini par céder, ils ne voulaient pas envoyer de chars, ils ont fini par céder, ils ne voulaient pas bombarder la Russie avec leurs missiles, ils ont fini par céder ! Les américains les tiennent par le bout du nez (pour rester polie).

11h09.

En visite en Suède, Zelensky demande plus d'armement aux pays nordiques

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi qu'il était en Suède pour demander plus d'armement à ses cinq alliés des pays nordiques pour faire face à l'offensive russe. "Nos principales priorités consistent à garantir davantage de systèmes de défense antiaérienne pour l'Ukraine, des projets conjoints dans le domaine de l'industrie de la défense et des armes pour nos guerriers, ainsi que des efforts au niveau mondial pour forcer la Russie à faire la paix", a dit le président sur les réseaux sociaux.

Volodymyr Zelensky va rencontrer les chefs d'Etat ou de gouvernement de Suède, Danemark, Norvège, Finlande, et Islande et signer trois accords de sécurité, à l'occasion du troisième sommet Ukraine-Europe du nord, a-t-il précisé.

11h07.

La Chine ne fournit d'armes à aucune partie dans le conflit en Ukraine, assure le ministre de la Défense

"Nous avons respecté notre engagement de ne fournir d'armes à aucune des parties au conflit", a déclaré cette source, assurant que Pékin avait "appliqué un strict contrôle sur les exportations d'articles militaires". La rencontre entre les deux ministres est la première depuis 2022.

10h07.

Pékin juge "difficile de participer" au Sommet sur l'Ukraine en Suisse dans les conditions actuelles

La Chine a estimé vendredi qu'il lui serait "difficile", dans les conditions actuelles, de participer au Sommet pour la paix en Ukraine prévu en juin en Suisse. "Il existe un décalage évident entre d'un côté l es dispositions prises pour la conférence et de l'autre les demandes de la Chine et les attentes générales de la communauté internationale , ce qui rend difficile la participation de la Chine", a déclaré Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

La Chine se dit officiellement neutre dans ce conflit mais n'a jamais condamné l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022 et a accueilli le président russe Vladimir Poutine sur son sol à plusieurs reprises depuis le début de la guerre. Pékin appelle régulièrement au respect de l'intégrité territoriale de tous les pays (sous-entendu Ukraine comprise) mais exhorte aussi à prendre en considération les préoccupations de sécurité de la Russie.

"La Chine a toujours insisté sur le fait que la Conférence internationale de paix devait être reconnue à la fois par la Russie et par l'Ukraine, permettre la participation égale de toutes les parties et une discussion juste de tous les plans de paix", a indiqué Mao Ning vendredi lors d'un briefing de presse régulier.

"Sinon, la conférence pourra difficilement jouer un rôle substantiel dans le retour de la paix", a-t-elle ajout

09h47.

La Russie annonce avoir conquis 880 km2 depuis le début de l'année

Le ministre russe de la Défense, Andreï Belooussov, a affirmé vendredi que ses soldats avaient conquis "880 km2" depuis le début de l'année en Ukraine, où son armée revendique régulièrement des avancées sans néanmoins réussir à ce stade de véritable percée.

"Des progrès se font dans toutes les directions tactiques", a assuré le ministre. L'armée ukrainienne, en manque de munitions et d'hommes, est à la peine depuis plusieurs mois, la Russie ayant, elle, lancé une nouvelle offensive début mai aux abords de Kharkiv, deuxième ville d'Ukraine.

07h43.

L'Ukraine à l'honneur au 80e anniversaire du Débarquement, la Russie grande absente

La Russie n'a finalement pas été invitée aux célébrations du 80e anniversaire du Débarquement en Normandie, le 6 juin, en raison de sa "guerre d'agression" contre l'Ukraine, a annoncé jeudi l'Elysée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a en revanche été convié, de même qu'une vingtaine de chefs d'Etat et de gouvernement de pays alliés d'hier et d'aujourd'hui, de Joe Biden au chancelier allemand Olaf Scholz.

"Il n'y aura pas de délégation russe. Les conditions ne sont pas réunies compte tenu de la guerre d'agression que mène la Russie contre l'Ukraine et qui s'est encore intensifiée ces dernières semaines", a indiqué la présidence française.

En avril, le président russe Vladimir Poutine avait déjà été déclaré persona non grata mais Paris avait alors indiqué que la Russie serait conviée, à un niveau inférieur, au nom de la contribution de l'Union soviétique, sur le font Est, à la victoire contre l'Allemagne.

07h39.

Les États-Unis autorisent l'Ukraine à frapper des cibles en Russie pour défendre Kharkiv

Joe Biden, qui s'y refusait jusqu'ici, a donné son feu vert pour que l'Ukraine frappe sous certaines conditions des cibles sur le sol russe, dans la région de Kharkiv, a indiqué un responsable américain.

"Le président a donné pour mission à son équipe de faire en sorte que l'Ukraine puisse utiliser des armes américaines afin de contre-attaquer dans la région de Kharkiv, de manière à riposter lorsque les forces russes les attaquent ou se préparent à les attaquer ", a dit cette source. Ce responsable, qui a requis l'anonymat, a toutefois ajouté que les Etats-Unis continuaient à s'opposer à des frappes ukrainiennes en profondeur sur le territoire russe.

Note; eux aussi, après 15 jours où ils n'ont pas cessé de répéter qu'ils ne voulaient pas que leurs armes servent à attaquer la Russie, le diable de Biden a tranché, ils peuvent ! (que pour cibler les armes Russes qui visent la région de Kharkov, mais les américains finiront par faire la guerre au reste de la Russie, et la Russie répondra sur l'Otan, ce qui nous conduira dans une 3GM)

DIRECT

Guerre en Ukraine: La Hongrie est "entraînée dans la guerre" comme par "Hitler à l'époque", Viktor Orban ne décolère pas contre l'Otan et ses alliés

Vers une guerre de religion, infos du 31 mai 2024

Le Premier ministre hongrois estime que l'Otan "entraîne" son pays "dans une conflagration mondiale".

Viktor Orban a accusé ce vendredi ses alliés occidentaux de vouloir entraîner la Hongrie dans un conflit armé, comme elle l'avait été pendant les Première et Deuxième Guerres mondiales, allant jusqu'à les comparer à Adolf Hitler.

"J'ai réexaminé" au regard de l'invasion russe de l'Ukraine "les documents relatifs aux négociations entre Hitler" et le dirigeant hongrois Miklos Horthy, a déclaré le Premier ministre nationaliste à la radio.

"La Hongrie subissait" alors d'"énormes pressions pour envoyer le plus rapidement possible davantage de soldats sur le front et déporter davantage de Juifs" vers les camps de la mort, a-t-il ajouté.

"Je ne dis pas que ce nous vivons actuellement a atteint le même niveau mais on en prend la direction", a estimé M. Orban, le seul dirigeant d'un Etat membre de l'Union européenne à avoir maintenu de proches relations bilatérales avec la Russie malgré la guerre.

Ce 31 mai, il a en outre condamné la décision de plusieurs chancelleries occidentales, selon lui, sous la pression de l'Otan d'autoriser Kiev à utiliser les armes fournies contre des cibles en Russie.

"L'Otan, au lieu de nous protéger, nous entraîne dans une conflagration mondiale"

"Les Russes ont déclaré que plus les armes utilisées contre eux seraient performantes, plus ils avanceraient", a rappelé le chef du gouvernement hongrois. Ils ont dit avoir "déclenché une invasion parce que l'Ukraine voulait rejoindre l'Otan" et qu'ils "avanceraient jusqu'à ce qu'ils créent une zone tampon", a-t-il ajouté.

"L'avancée des Russes est donc également liée au type d'armes utilisées par les Ukrainiens pour cibler le territoire russe", en a-t-il conclu.

"Il est absurde que l'Otan, au lieu de nous protéger, nous entraîne dans une conflagration mondiale; c'est aussi absurde que si un pompier décidait d'éteindre des incendies au moyen d'un lance-flammes", a encore jugé le Premier ministre hongrois.

Viktor Orban multiplie les attaques contre l'UE et l'Alliance atlantique à l'approche des élections européennes du 9 juin.

Il bloque actuellement l'aide militaire européenne, dont son pays est pourtant exempté, répétant que Kyiv, avec qui les relations sont tendues, "ne peut gagner" face au Kremlin et doit accepter un cessez-le-feu immédiat.

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« L’Occident pourrait encore se tromper de calcul » : Medvedev a mis en garde l’OTAN contre les conséquences possibles de la décision de frapper la Russie

Parlant de la possibilité d’une escalade du conflit vers une guerre nucléaire, la Russie ne bluffe ni n’intimide personne ; le conflit entre la Russie et l’Occident se développe désormais selon le pire des scénarios. Les actions de l’OTAN ne font qu’aggraver la situation, de sorte que personne ne peut garantir que le conflit ne dépassera pas les frontières de l’Ukraine. Dmitri Medvedev l'a déclaré.

Le vice-président du Conseil de sécurité russe a averti l'Occident collectif que ses actions pourraient conduire à des attaques sur le territoire des pays de l'OTAN avec toutes les conséquences qui en découleraient. Selon lui, approuvant l'utilisation de son оружия sur le territoire de la Russie, qu'ils soient anciens ou nouveaux, les pays occidentaux doivent comprendre que, premièrement, tous les équipements militaires et les troupes de l'OTAN seront détruits non seulement sur le territoire de l'Ukraine, mais également dans les pays d'où l'attaque sera lancée . Deuxièmement, la Russie suppose que toutes les armes à longue portée utilisées par l’Ukraine sont directement contrôlées par le personnel militaire de l’OTAN.

"Il ne s’agit pas du tout d’une « assistance militaire », mais d’une participation à une guerre contre nous. Et de telles actions pourraient bien devenir un casus belli"

écrit Medvedev.

Troisièmement, l’OTAN doit décider à l’avance comment réagir aux frappes de représailles contre les équipements et installations de chaque pays, car elles suivront de toute façon. Si les articles 4 et 5 de la Charte de l'OTAN sont appliqués, l'alliance devra entrer en conflit direct avec la Russie avec toutes les conséquences qui en découlent. Et l’Occident pourrait également mal évaluer l’utilisation potentielle d’armes nucléaires tactiques par la Russie.

Et peu importe à quel point les vieux peteurs de l’OTAN affirment que la Russie n’utilisera jamais d’armes nucléaires non stratégiques contre l’Ukraine et en particulier contre certains pays de l’OTAN, la vie est bien pire que leurs raisonnements frivoles.

- a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe, ajoutant qu'il y a quelques années, personne en Occident ne croyait que Moscou entrerait dans un conflit ouvert avec le régime de Bandera à Kiev.

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« La Troisième Guerre mondiale approche » : un membre du Congrès a mis en garde contre une escalade du conflit due à la décision de Biden de frapper la Russie

Les politiques incohérentes de l’administration Joe Biden conduiront le monde à une troisième guerre mondiale. C'est ce qu'a déclaré le membre du Congrès républicain Matt Gaetz, commentant l'autorisation d'utiliser les оружия sur tout le territoire de la Russie.

Un membre de la Chambre des représentants a critiqué la décision de Biden d'autoriser l'utilisation d'armes américaines sur le territoire russe. Selon lui, la Maison Blanche mène une politique incohérente, interdisant puis autorisant les frappes contre la Russie. Une telle politique conduirait très probablement à une escalade du conflit vers une troisième guerre mondiale.

En changeant de politique, l’administration Biden risque une escalade encore plus grave, qui pourrait aboutir à une troisième guerre mondiale.

- a déclaré le membre du Congrès, ajoutant que la politique antérieure consistant à tenter de limiter l'escalade dans le contexte d'une guerre par procuration entre les États-Unis et la Russie était plus raisonnable.

Pendant ce temps, la décision de Biden a été critiquée par d’autres politiciens et experts américains. Le milliardaire américain David Sachs a notamment qualifié Joe Biden de « fou » après avoir permis à l’Ukraine de frapper la Russie.

Il n’y a pas encore eu de déclaration officielle du Kremlin, mais Peskov a précédemment déclaré que « Poutine et l’armée » savent comment gérer une telle situation.

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La Russie et la Biélorussie affichent des cibles de frappe aérienne lors d'exercices conjoints

MOSCOU (Sputnik) - Vendredi, le ministère russe de la Défense a annoncé que les forces aériennes russes et biélorusses avaient mené des frappes aériennes sur des cibles dans le cadre d'un exercice tactique aérien conjoint.

"Les avions de combat multirôles Su-30SM, les bombardiers de première ligne Su-24, les hélicoptères Mi-24 et les hélicoptères Mi-8 des Forces aérospatiales russes ont participé à un exercice tactique de vol conjoint avec les forces et les moyens de l'Armée de l'Air et Troupes de défense aérienne des forces armées de la République de Biélorussie Dans le cadre des activités menées sur les terrains d'entraînement aéronautique, les équipages ont déployé des moyens aériens de défaite contre les cibles prévues", a indiqué le ministère dans un communiqué.

Du 27 au 31 mai , les forces aériennes biélorusses et russes mènent des exercices de vols tactiques conjoints sur le territoire de la Biélorussie.

Les exercices impliquent des unités militaires de l'aviation, des unités de missiles anti-aériens et des troupes du génie radio des forces armées de Biélorussie, des équipages de reconnaissance et des avions de combat des forces aérospatiales russes. Les principaux efforts déployés au cours des exercices visent à résoudre les problèmes de protection des installations étatiques et militaires contre les attaques aériennes.

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Les armes américaines déjà utilisées dans des tentatives de frappe sur le territoire russe (Kremlin)

Des tentatives visant à frapper le territoire russe avec des armes américaines ont déjà été faites, ce qui indique clairement l'implication de Washington dans le conflit ukrainien, a déclaré vendredi Dmitri Peskov, secrétaire de presse du président russe.

"Nous sommes conscients que des tentatives visant à frapper le territoire russe avec des armes de fabrication américaine ont déjà été faites. Cela nous suffit et cela démontre clairement l'ampleur de l'implication des États-Unis dans ce conflit", a-t-il déclaré aux journalistes.

Un peu plus tôt, un représentant du Département d'État américain avait déclaré à Sputnik que le président Joe Biden avait autorisé l'Ukraine à utiliser des armes américaines pour des opérations de contre-batterie contre des cibles sur le territoire russe qui menacent la région de Kharkov, tout en maintenant l'interdiction d'utiliser des missiles tactiques ATACMS et d'autres missiles longs. -systèmes de frappe à distance.

Le Kremlin partage l'opinion du Premier ministre hongrois Viktor Orban selon laquelle l'Europe est entrée dans une phase intermédiaire de préparation à la guerre avec la Russie .

"Nous sommes d'accord. Il y a une exacerbation totale des sentiments pro-guerre et une attisation délibérée de l'hystérie d'avant-guerre. Et tout cela, bien sûr, ne peut qu'avoir un impact très négatif sur la situation globale. L'escalade des tensions se poursuit, " Peskov a déclaré en réponse aux questions des journalistes quant à savoir si le Kremlin était d'accord avec la déclaration du Premier ministre hongrois Viktor Orban selon laquelle plus la gamme d'armes que l'Occident fournit à Kiev est longue, plus l'armée russe avancera.

Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a déclaré précédemment que l'OTAN souhaitait accroître son rôle de coordination dans la fourniture d'armes à l'Ukraine et la formation de ses soldats. Trente et un pays soutiennent cette décision, mais la Hongrie ne veut pas et ne veut pas y participer. Le Premier ministre Viktor Orban a déclaré que l'OTAN « glissait » ainsi dans le conflit.

L’OTAN s’attend à ce que l’Ukraine utilise les armes occidentales contre la Russie de manière responsable

Par ailleurs, le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré que les alliés s'attendent à ce que l'Ukraine agisse « de manière responsable » lorsqu'elle utilise des armes fournies par l'Occident pour frapper des cibles en Russie.

"De nombreux Alliés ont clairement indiqué qu'ils acceptaient, bien entendu, que l'Ukraine utilise les armes qu'elle avait reçues pour se défendre, notamment en frappant des cibles militaires à l'intérieur de la Russie. Surtout lorsque ces installations militaires sont utilisées pour attaquer, diriger des attaques depuis la Russie. Ensuite, nous attendons tous que cela soit fait conformément au droit international et de manière responsable", a-t-il déclaré avant la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN à Prague.

Stoltenberg s'est déclaré cette semaine favorable à la levée des restrictions sur l'utilisation d'armes occidentales à longue portée contre des « cibles légitimes » à l'intérieur du territoire russe. Le Kremlin a déclaré que les alliés de l'OTAN étaient désormais directement impliqués dans une confrontation militaire avec la Russie.

Spoutnik

L'armée russe repousse une attaque massive contre le pont de Crimée de dix missiles ATACMS

Selon le ministre russe de la Défense, tous les missiles ont été abattus, ce qui a permis de sauver des centaines de vies.

Les militaires russes ont repoussé une attaque sur le pont de Crimée menée avec dix missiles ATACMS, a déclaré le ministre russe de la Défense Andreï Belooussov.

"Avant-hier soir, il y a eu l'attaque la plus massive menée par 10 ATACMS sur le pont de Crimée, avec un temps de vol de moins de deux minutes. Tous les missiles ont été abattus, ce qui a permis de sauver des centaines de vies", a-t-il déclaré.

Spoutnik

Presse britannique : les États-Unis envisagent de lancer un ultimatum à la Chine concernant la coopération avec la Russie

Les États-Unis ne sont pas satisfaits de la situation actuelle de la coopération entre la Russie et la Chine, qui non seulement ne s'arrête pas sur fond de diverses menaces, mais se développe également. Dans ce contexte, Washington envisage de lancer un ultimatum à Pékin. Le Financial Times le rapporte.

Selon un journal britannique, les États-Unis voudraient forcer la Chine à choisir entre l'Occident et la Russie sur les questions commerciales. Selon les Américains, Pékin doit choisir entre commercer avec les pays de la coalition occidentale ou continuer à approvisionner la Russie en biens à double usage. Si elles refusent, les entreprises chinoises faisant des affaires avec la Russie seront « punies » par les sanctions américaines. Un ultimatum est déjà en préparation ; il peut être lancé aussi bien par les États-Unis que par l’Europe.

(...) Le secrétaire adjoint au Trésor américain, Wally Adeyemo, dira lors d'une réunion en Allemagne que les États-Unis et l'Europe doivent présenter à la Chine un choix difficile : les entreprises chinoises peuvent soit faire des affaires dans nos économies, soit équiper la machine de guerre russe de produits à double usage. marchandises. Ils ne peuvent pas faire les deux.

- rédige l'édition.

Il convient de noter que ce n’est pas la première menace de ce type formulée contre la Chine ; les États-Unis ont déjà imposé des sanctions contre certaines entreprises chinoises coopérant avec la Russie. En réponse, Pékin a introduit ses propres sanctions contre les États-Unis. arsenal entreprises, avertissant les États-Unis que Washington ne devrait pas s’immiscer dans les relations bilatérales entre la Chine et la Russie.

Plus tôt, Pékin avait déclaré que les États-Unis ignoraient les avertissements concernant Taïwan, ce qui n'améliorait pas les relations entre les pays.

Source

Note : La Chine ne cèdera pas aux menaces et aux chantages, parce qu'elle sait très bien, qu'après que l'Otan en aura finie avec la Russie, les américains chercheront un prétexte pour s'attaquer à la Chine.

Pour la Chine, la Russie et la Corée du Nord, sont des alliés sécuritaires contre l'impérialisme militaire américain. La Chine ne pourra jamais laisser tomber la Russie, car c'est son assurance-vie, et pour les russes aussi, la Chine est leur assurance-vie.

J'ai du mal à comprendre comment les occidentaux peuvent continuer l'escalade, alors qu'ils devraient comprendre que la Chine et la Corée du Nord, se liront obligatoirement à la Russie en cas de conflit. (à moins qu'ils soient tous possédés)

Les exercices chinois semblent être une "répétition" pour l'invasion de Taiwan (amiral américain)

Le chef de l'Indo-Pacifique, Paparo, s'engage à renforcer la dissuasion à mesure que Pékin renforce ses capacités

L'amiral Samuel Paparo, chef du commandement américain pour l'Indo-Pacifique, s'exprime lors d'un entretien avec Nikkei à Tokyo le 29 mai. (Photo de Yukinori Okamura)

Tokio— Les récents exercices militaires de la Chine autour de Taiwan « ressemblent à une répétition » d'une invasion, a déclaré mercredi à Nikkei le commandant américain pour la région Indo-Pacifique Samuel Paparo, soulignant l'importance de la solidarité entre les États-Unis, le Japon et leurs partenaires pour renforcer la dissuasion contre Pékin.

L'amiral Paparo est devenu le plus haut responsable militaire du commandement indo-pacifique début mai et supervise les opérations quotidiennes des forces conjointes américaines dans la région.

Paparo a déclaré que le commandement américain pour l'Indo-Pacifique avait surveillé et analysé les exercices chinois jeudi et vendredi . "Nous l'avons observé. Nous en avons pris note. Nous en avons tiré des leçons", a-t-il déclaré. "Et ils nous ont aidés à préparer l'avenir."

Les exercices à grande échelle ont eu lieu juste après l'entrée en fonction du nouveau président taïwanais Lai Ching-te . Ces exercices font partie de la campagne de pression menée par la Chine pour ramener l'île sous son contrôle, Pékin considérant Lai comme un fauteur de troubles.

Interrogé sur la possibilité d'une invasion chinoise de Taïwan, Paparo a souligné que « ce qui compte, ce sont les propres évaluations [de la Chine] », avertissant que Pékin continue de « renforcer ses capacités à un rythme alarmant ».

"Le gouvernement américain me charge d'être prêt aujourd'hui, demain, le mois prochain et l'année prochaine, conformément au Taiwan Relations Act", a déclaré Paparo, citant la loi américaine de 1979, qui stipule que Washington aidera l'île à renforcer son auto-défense. capacités.

Si des tirs éclataient dans la région, Paparo s'est dit confiant que les États-Unis et leurs alliés et partenaires « prévaudraient dans un conflit ».

Les États-Unis promeuvent une « dissuasion intégrée » avec ces alliés et partenaires. Qualifiant l'alliance américano-japonaise de "l'alliance la plus importante de la planète", Paparo a vanté la capacité opérationnelle conjointe des deux pays. « Les unités japonaises font partie de la formation et sont presque impossibles à distinguer dans la façon dont nous partageons, suivons et [dans] notre capacité à opérer tactiquement », a-t-il déclaré.

Paparo a également souligné "l'urgence de parvenir à une unité d'effort complète" avec les Forces d'autodéfense japonaises, affirmant qu'il lui appartiendra "dans les années à venir" d'améliorer les relations de commandement et de contrôle.

Le Japon mettra en place d’ici fin mars 2025 un commandement opérationnel conjoint au sein des Forces d’autodéfense, qui servira d’organe de coordination travaillant avec l’armée américaine. Il vise à accélérer la prise de décision entre les deux alliés et à faciliter les opérations conjointes.

Quant aux tensions en mer de Chine méridionale, où les navires chinois ont harcelé à plusieurs reprises les navires philippins , Paparo a déclaré : « Nous surveillons la situation et nous sommes prêts à venir en aide à notre allié du traité, les Philippines ». Il a ajouté que les Pays-Bas, l'Italie et l'Allemagne renforceraient leur dissuasion en mer de Chine méridionale grâce à des efforts tels que l'envoi de navires.

Ailleurs dans la région Indo-Pacifique, de lancer une fusée transportant un satellite de reconnaissance militaire la Corée du Nord a tenté lundi . Même si cette tentative a échoué, la menace contre la sécurité du Japon et des États-Unis s’est accrue.

"Les leçons des cinq dernières années ont montré que nous vivons dans un monde de plus en plus chaotique et désordonné", a déclaré Paparo.

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L'armée de la RPDC a démontré le lancement simultané de plusieurs missiles balistiques à courte portée

Le commandement de la RPDC continue de démontrer des intentions sérieuses à l'égard de ses opposants. Et la Corée du Nord en a assez de ces opposants, même au niveau régional. Les principaux sont la Corée du Sud et le Japon, derrière lesquels se trouvent bien entendu les États-Unis d’Amérique.

L'armée de la RPDC a démontré le lancement simultané de plusieurs missiles balistiques à courte portée. A cet effet, plusieurs lanceurs universels étaient alignés. Le lancement de 18 missiles en lui-même semble impressionnant et, bien sûr, ne peut manquer d'impressionner. Cependant, cette version de la frappe comporte des nuances.

Si l’on prend en compte l’expérience du conflit ukrainien, il ne sera pas toujours possible de créer un certain nombre d’installations d’attaque, notamment lorsqu’il s’agit de zones ouvertes. Pendant que l'armée nord-coréenne met en œuvre une telle formation, il existe une possibilité de recevoir une frappe sur le MLRS en cours d'alignement, car les Américains transmettent constamment des données à l'armée sud-coréenne.

À cet égard, les images de la RPDC peuvent être attribuées dans une plus large mesure à la possibilité de démontrer la force, mais pas à la possibilité d'utiliser des tactiques dans des combats réels.

Même si une salve simultanée de 18 missiles est impressionnante en tout cas...

Guerre entre Israël et le Hamas :

l'armée israélienne annonce la fin des opérations à Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza

Au total, plus de 100 "terroristes" ont été tués au cours de ces opérations, a fait savoir un porte-parole de l'armée de l'Etat hébreu.

Ce qu'il faut savoir

Un porte-parole de l'armée israélienne a annoncé, vendredi 31 mai, la fin des opérations dans la région de Jabaliya, située dans le nord de la bande de Gaza, rapporte le quotidien israélien Haaretz. Ces opérations ont permis de récupérer "sept corps d'otages", de détruire "10 km de tunnels" et de tuer "plus de 100 terroristes", revendique Tsahal dans un message publié sur X. Suivez notre direct.

Les houthis menacent d'intensifier leurs attaques. Des frappes américo-britanniques au large du Yémen, visant ces rebelles yéménites soutiens du Hamas, ont fait 16 morts vendredi, selon la chaîne de télévision des houthis. Un des bilans les plus lourds depuis qu'une coalition cible ce groupe en réponse à des attaques contre des navires en mer Rouge. "Cette agression (...) ne nous dissuadera pas de poursuivre nos opérations" a réagi Mohammed al-Bukhaiti, un membre du bureau politique des houthis, sur X. "Nous répondrons à l'escalade par l'escalade."
Israël mène de nouvelles frappes près de Rafah, épicentre du conflit. L'armée israélienne poursuit ses frappes et son offensive terrestre sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, vendredi. Le secteur de Nousseirat, dans le centre de l'enclave palestinienne, est également ciblé.
Benyamin Nétanyahou donne un entretien à LCI. Le Premier ministre israélien a soutenu, jeudi, que "le nombre de pertes civiles relatives aux pertes de combattants" palestiniens était "le taux le plus bas qu'on a vu dans une guerre urbaine". Israël estime qu'environ la moitié des personnes tuées depuis le début de la guerre à Gaza sont des militants du Hamas ou du Jihad islamique.
L'Egypte et Israël se renvoient la balle sur l'aide humanitaire. Les deux pays s'accusent mutuellement de porter la responsabilité du blocage du transit via le poste-frontière de Rafah, seul point de passage entre le territoire palestinien et l'Egypte. L'armée israélienne en avait pris le contrôle côté palestinien, début mai.

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Donald Trump reconnu coupable : ce qu'il va se passer pour l'ancien président américain

Devenu jeudi le premier ex-président américain condamné au pénal, Donald Trump, qui vise un second mandat en novembre face à Joe Biden, risque désormais une peine d'emprisonnement ou une mise à l'épreuve. Quelles sont les prochaines étapes pour le milliardaire ? Quelles conséquences pour sa campagne dans la course à la présidentielle ? Éléments de réponse.

La condamnation de Donald Trump jeudi 30 mai pour 34 chefs d'accusation de falsification de documents comptables, destinées à cacher un paiement à l'actrice de films X Stormy Daniels, a ouvert une nouvelle phase dans les ennuis judiciaires du milliardaire et plongé la politique américaine en territoire inconnu.

Donald Trump risque désormais une peine de prison ou une mise à l'épreuve. Le prononcé de sa peine est actuellement prévu le 11 juillet mais l'ancien locataire de la Maison Blanche fera appel de ce jugement, ce qui pourrait considérablement ralentir la suite des événements. Voici les questions qui se posent après cette décision historique.

Donald Trump peut-il aller en prison ?

En théorie, oui. Le juge Juan Merchan a fixé l'annonce de la sentence de Donald Trump au 11 juillet. Il pourrait condamner l'ancien président à une peine de prison d'État pouvant aller jusqu'à quatre ans pour chaque chef d'accusation, avec un maximum de 20 ans.

Cependant, il est plus probable que le milliardaire de 78 ans n'écope que d'une peine de prison avec sursis, voire de travaux d'intérêt général car il n'a pas de casier judiciaire et qu'il s'agit d'un délit non-violent.

Pour l'instant, le milliardaire reste libre et n'a pas eu à verser de caution.

Donald Trump va-t-il faire appel ?

Donald Trump a systématiquement fait appel des décisions de justice rendues à son encontre pour retarder les procédures ou amener son affaire devant un tribunal susceptible de lui être plus favorable. L'affaire de New York n'échappera pas à la règle.

En cas de condamnation, l'un des avocats de Donald Trump a déjà annoncé qu'il ferait appel "dès que possible".

"La procédure peut alors prendre des mois, voire une année. Elle peut éventuellement être accélérée dans des circonstances exceptionnelles mais il est improbable que cela soit terminé avant l’élection présidentielle de novembre", précise sur l'antenne de France 24 Eric Lisann, expert juridique et ancien procureur fédéral.

Peut-il toujours se présenter à l'élection présidentielle ?

Si le verdict de culpabilité de Donald Trump est historique, cela ne l'empêche pas de concourir pour l'élection présidentielle. Comme le rappelle le professeur de droit public Richard L. Hasen sur son blog, "rien ne change légalement pour le candidat Trump".

"La Constitution ne prévoit que des conditions limitées pour se présenter à une élection (avoir au moins 35 ans, être né citoyen et résider aux États-Unis depuis au moins 14 ans)", explique le juriste.

Attentat islamiste Mannheim (Allemagne) : des activistes anti-islamisation et un policier poignardés ; le politique Michael Stürzenberger parmi les blessés (MàJ)

31/05/2024

Scènes incroyables de Mannheim : Un homme encore inconnu poignarde le critique islamique Michael Stürzenberger devant les caméras. Lorsqu’un policier intervient, il est également poignardé.

Avec vidéo.

Junegefreiheit

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