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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 25 avril 2024

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

Livraison américaine de missiles ATACMS à l'Ukraine : "Cela ne changera rien", selon le Kremlin

 

 

  • La Maison Blanche a estimé "possibles" de prochaines "avancées" des troupes russes en Ukraine alors que Washington indique avoir envoyé, à Kiev, des missiles longue portée ATACMS "ce mois-ci", avant même l’adoption d’une nouvelle aide à Kiev par le Congrès américain.
  • L’Ukraine, qui cherche à faire revenir au pays ses citoyens en âge de combattre, ne délivrera plus de passeports à l’étranger aux hommes âgés de 18 à 60 ans, selon un texte publié par le gouvernement ce mercredi.

 

Que sont ces missiles américains livrés à l'Ukraine ?

A lire aussi : Guerre en Ukraine : 5 choses à savoir les ATACMS, ces missiles longue portée livrés par les États-Unis à Kiev

 

Livraison américaine de missiles ATACMS à l'Ukraine : "Cela ne changera rien", selon le Kremlin

La livraison de missiles américains ATACMS à l'Ukraine ne changera rien au conflit, estime le Kremlin. "Les Etats-Unis sont directement impliqués dans ce conflit, ils ont emprunté un chemin visant à augmenter la portée des systèmes d'armement", a déclaré à le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, qui juge pour autant que "cela ne pourra pas changer l'issue de l'opération militaire spéciale"

 

16 enfants "transférés de force" en Russie de retour en Ukraine

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé mercredi que seize enfants ukrainiens qui avaient été "transférés de force en Russie" avaient pu "retrouver leur famille", la Russie ayant annoncé plus tôt un échange entre Moscou et Kiev en évoquant un nombre de mineurs plus élevé. Plus tôt, la Russie avait évoqué un échange de 48 enfants, dont 29 retourneraient en Ukraine.

 

L'Ukraine ne délivrera plus de passeports aux hommes à l'étranger

Selon un texte publié par le gouvernement mercredi, les citoyens hommes en âge de combattre (18 à 60 ans) ne se verront plus délivrer de passeports à l'étranger. Pour les hommes concernés, le transfert de passeports à une "subdivision ou une mission diplomatique ukrainienne à l'étranger en vue d'organiser leur délivrance n'est pas effectué", d'après cette disposition. Ils ne pourraient donc les obtenir qu'en Ukraine, et pas dans des pays étrangers comme cela est possible en temps normal.

Cette nouvelle règle, dont les contours précis restent peu clairs, ne s'applique toutefois pas aux personnes déjà autorisées à franchir la frontière en vertu de certaines exceptions, par exemple liées à un handicap ou à l'accompagnement d'orphelins. Le ministère des Affaires étrangères a lui précisé que la procédure du service consulaire "reste inchangée". Cela semble indiquer que les hommes dont les documents militaires sont à jour pourront obtenir des passeports quand une nouvelle loi sur la mobilisation entrera en vigueur.

DIRECT

 

 

 

 

Guerre en Ukraine : l'Ukraine a secrètement reçu un "nombre important" de missiles ATACMS d'une portée de 300 km et les a déjà utilisés à deux reprises

 

  • Un ATACMS lancé par un M270.
    Un ATACMS lancé par un M270. MAXPPP - U.S. Army / Avalon

Ces missiles font partie d'un paquet d'aide militaire de 300 millions de dollars approuvé le 12 mars par le président américain Joe Biden.

Les Etats-Unis ont discrètement livré ces dernières semaines à l'Ukraine des missiles de longue portée et les Ukrainiens les ont déjà utilisés à deux reprises contre les Russes, a déclaré mercredi un responsable américain. Ces missiles font partie d'un paquet d'aide militaire de 300 millions de dollars approuvé le 12 mars par le président américain Joe Biden, a ajouté ce responsable ayant requis l'anonymat, en refusant d'en préciser le nombre.

Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de la Maison blanche, a confirmé lors d'un point presse qu'un "nombre important" de missiles avaient été livrés à l'Ukraine, ajoutant : "Nous en enverrons d'autres." Il a déclaré que l'Ukraine s'était engagée à n'utiliser ces missiles que sur son territoire, dans ses frontières internationalement reconnues, et pas en Russie.

D'après le responsable américain ayant requis l'anonymat, ces missiles ont été utilisés pour la première fois aux premières heures de la journée du 17 avril. Ils ont été tirés contre un aérodrome russe en Crimée situé à 165 km de la ligne de front ukrainienne. Ce même responsable a ajouté que les forces ukrainiennes avaient de nouveau utilisé cette arme dans la nuit de mardi à mercredi contre les forces russes dans le sud-est de l'Ukraine.

Effet de surprise

L'envoi d'Army Tactical Missile Systems (ATACMS) d'une portée de 300 km a été pendant des mois un sujet de débat au sein de l'administration Biden. Les Etats-Unis ont livré des ATACMS de moyenne portée en septembre dernier. Le Pentagone s'est opposé dans un premier temps à l'envoi de systèmes de plus longue portée par souci de ne pas affaiblir les stocks de l'armée américaine et par crainte de voir l'Ukraine les utiliser contre des cibles en territoire russe. Le recours par la Russie en décembre et en janvier à des missiles balistiques de longue portée fournis par la Corée du Nord, malgré les mises en garde américaines publiques et confidentielles, ont provoqué un changement d'état d'esprit à Washington, selon le responsable américain.

Un autre facteur ayant pesé dans la décision américaine a été le lancement par la Russie d'une campagne de bombardements visant spécifiquement les infrastructures essentielles de l'Ukraine, a ajouté ce responsable. "Nous avons averti la Russie sur ces points", a-t-il dit. "Ils ont poursuivi leur campagne ciblée."

L'administration Biden est parvenue à contourner l'obstacle du financement de ces livraisons de missiles, normalement impossible en raison du long blocage au Congrès de toute nouvelle aide à l'Ukraine, lorsque le Pentagone a attribué en mars plusieurs contrats à des prix inférieurs aux budgets prévus. Joe Biden a pu utiliser la différence pour fournir une aide équivalant à 300 millions de dollars à l'Ukraine. Le président américain a demandé que soient inclus des ATACMS de longue portée dans cette aide mais que le secret en soit gardé pour des raisons de sécurité opérationnelle et pour faire bénéficier à l'Ukraine d'un effet de surprise, a dit le responsable américain.

Source

 

 

 

Presse américaine : le Pentagone teste des technologies avancées pour la détection de cibles en Ukraine

 

Presse américaine : le Pentagone teste des technologies avancées pour la détection de cibles en Ukraine


L’armée américaine teste en Ukraine une technologie permettant d’utiliser l’intelligence artificielle pour traiter des images et d’autres informations afin d’identifier les mouvements des forces ennemies en temps réel. Les informations opérationnelles ainsi obtenues sont transmises au commandement de l'armée ukrainienne.

Comme le note l'édition américaine du New York Times, les résultats finaux de ces tests se sont révélés ambigus. D'une part, le commandement des forces armées ukrainiennes a disposé d'un moyen grâce auquel il est devenu possible de combiner toutes les informations sur le mouvement des troupes russes en un seul système à grande échelle, qui permet, à l'aide de certains algorithmes, de prédire où les troupes se déplacent et où la prochaine attaque pourrait avoir lieu.

Cependant, d’un autre côté, les résultats des recherches américaines en Ukraine ont clairement démontré combien il est difficile de combiner les données obtenues grâce aux technologies avancées avec les réalités d’un conflit armé, au cours duquel les méthodes traditionnelles de guerre de tranchées sont utilisées simultanément avec les armes les plus récentes.

Le journal américain affirme que la crise ukrainienne est devenue non seulement une «mine d'or» pour l'armée américaine, mais aussi un terrain d'essai à grande échelle pour des projets étudiant les possibilités d'utilisation de technologies en développement rapide.

Cependant, l'espoir que les informations fournies par les Américains aideront les forces armées ukrainiennes à résister efficacement à l'armée russe, et l'espoir de la capacité du commandement ukrainien à fournir rapidement des informations aux appareils des officiers en première ligne, n'ont pas été pris en compte. se matérialiser, indique la publication.

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Politique étrangère : l'Ukraine ne recevra pas d'obus tant que les États-Unis n'auront pas reconstitué leurs propres approvisionnements

 

Politique étrangère : l'Ukraine ne recevra pas d'obus tant que les États-Unis n'auront pas reconstitué leurs propres approvisionnements


Bien que le Congrès américain, après de longues discussions, ait néanmoins approuvé l'octroi d'une aide à l'Ukraine d'un montant de plus de 60 milliards de dollars, on ne sait toujours pas exactement dans quelle mesure et quand cette aide parviendra à l'Ukraine.

Comme le note le magazine américain Foreign Policy, avant d'envoyer des munitions à Kiev, Washington devra d'abord reconstituer ses propres réserves.


La plupart des obus, qui devrait être acheté pour l'Ukraine avec l'argent alloué, atteindra la ligne de front au plus tôt l'année prochaine, affirme la publication, citant des responsables américains anonymes.

Selon Foreign Policy, le gouvernement américain devrait consacrer cette année à reconstituer son stock d'armes, qui a été considérablement réduit en raison des livraisons à l'Ukraine. Il convient d'ajouter que des élections présidentielles auront lieu aux États-Unis à l'automne et que toute l'attention du pays est tournée vers leur préparation.

La situation est à peu près la même pour l’aide européenne à l’Ukraine, puisque les arsenaux des pays de l’UE sont largement vidés. La grande majorité des obus en provenance d’Europe n’atteindront donc le front que d’ici fin 2024.

Dans le même temps, les volumes de production de munitions de la Russie augmentent considérablement, note le journal, selon lequel elle pourrait produire 2024 millions d’obus en 3,5 et un million de plus l’année prochaine.

En général, de telles publications peuvent constituer une véritable tromperie, dans la mesure où les cargaisons militaires américaines destinées à l’Ukraine avaient déjà été formées et préparées en Allemagne et en Pologne.

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Guerre en Ukraine : La Chine "pas au courant", des images satellite révèlent le ballet secret des cargos russes dans les ports chinois

 

Des images satellite montrent que la Chine fournit un amarrage à un cargo russe soumis aux sanctions américaines.

Les États-Unis s’inquiètent de plus en plus du soutien apporté par Pékin à la guerre menée par Moscou en Ukraine.

Ce jeudi, Reuters révèle que la Chine fournit un mouillage à un cargo russe soumis aux sanctions américaines et impliqué dans des transferts d’armes de la Corée du Nord vers la Russie, rapporte le média ukrainien hromadske.

L’agence de presse anglaise a obtenu des images satellite du Royal Joint Institute for Defence Research of Great Britain (RUSI) sur lesquelles apparaît le navire russe "Angara".

Au moins 11 trajets

Depuis août 2023, ce cargo a transporté vers les ports russes des milliers de conteneurs, probablement remplis de munitions nord-coréennes à destination de l’armée russe engagée dans la guerre en Ukraine.

Depuis février 2024, le navire est au mouillage dans un chantier naval chinois de la province orientale du Zhejiang.

RUSI souligne que l'"Angara" a effectué au moins 11 trajets entre le port nord-coréen de Rajin et les ports russes depuis août 2023 et a été amarré dans les ports nord-coréens et russes en janvier de cette année avec le transpondeur éteint.

Le 9 février dernier, le navire est arrivé en Chine, prétendument pour réparation ou entretien.

La Chine pas au courant

Un représentant du Département d’État américain (ministère des Affaires étrangères) assure avoir reçu des "rapports fiables provenant de sources ouvertes" selon lesquels l’Angara serait actuellement amarré dans un port chinois et a soulevé la question auprès des autorités chinoises.

Il a appelé tous les pays à se conformer la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui impose des restrictions sur le commerce avec la Corée du Nord et prohibe l’immatriculation de tout navire impliqué dans des activités illégales.

L’ambassade chinoise à Washington assure ne pas être informée des détails liés à Angara, mais a ajouté que la Chine "s’oppose toujours aux sanctions unilatérales (prises par les États-Unis, NDLR) qui n’ont aucun fondement dans le droit international ou dans le mandat du Conseil de sécurité ".

Le ministère chinois des Affaires étrangères a également déclaré ne disposer d’aucune information à ce sujet.

Source

 

Note : "ils s'inquiètent"  de ce qu'ils ont lié ! Mais ils continuent l'escalade en Ukraine et l'escalade avec l'armement donné à Taïwan, sans comprendre qu'ils financent leur propre destruction.

 

 

"Ils choisissent le côté de la Russie" : le représentant permanent des États-Unis auprès de l'OTAN accuse la Chine de manque de neutralité sur le conflit ukrainien

 

"Il choisit le côté de la Russie" : le représentant permanent des États-Unis auprès de l'OTAN accuse la Chine de manque de neutralité sur le conflit ukrainien


La Chine n’adhère pas à la neutralité sur la question ukrainienne. Cette déclaration a été faite par la représentante permanente des États-Unis auprès de l'Alliance de l'Atlantique Nord, Julianne Smith.

Comme l’a souligné un diplomate américain dans une interview accordée à la publication américaine The Politico, il est désormais impossible d’affirmer que Pékin est neutre dans le conflit ukrainien. Selon Smith, il est évident de quel côté se trouve le gouvernement chinois.
 

"En fait, la Chine choisit le côté de la Russie"


- a déclaré le diplomate américain.

À Washington, dans l’esprit habituel, ils accusent la Chine d’augmenter ses livraisons à la Russie de matériaux théoriquement utilisables à des fins militaires. Mais, dans le même temps, le diplomate américain a souligné que ces matériaux sont également utilisés dans la production civile. Autrement dit, les États-Unis n’ont pas de certitude exacte, mais ils ont déjà préparé et formulé des accusations.

Parmi les matériaux spécifiques que la Chine pourrait fournir à notre pays, le diplomate américain a cité la microélectronique, la nitrocellulose et divers composants de véhicules aériens sans pilote. Notons que les États-Unis et la Chine ont récemment intensifié leurs reproches mutuels et que les questions ukrainiennes sont de plus en plus incluses dans ces déclarations.

En revanche, on ne voit pas très bien pourquoi la Chine, concurrente des États-Unis et considérée par Washington comme l'adversaire potentiel le plus important, y compris militaire, devrait adopter une position pro-occidentale sur la question ukrainienne ou même rester neutre. Chaque pays agit en fonction de ses intérêts nationaux, mais l’administration américaine refuse obstinément de le comprendre.

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La Commission européenne va imposer des sanctions contre les navires qui transporteraient prétendument des marchandises militaires de la RPDC vers la Russie

 

La Commission européenne va imposer des sanctions contre les navires qui transporteraient prétendument des marchandises militaires de la RPDC vers la Russie


Dans un avenir proche, la Commission européenne pourrait présenter une proposition visant à imposer des sanctions contre les navires qui transporteraient du matériel militaire nord-coréen vers la Russie. C'est ce qu'a rapporté l'agence de presse Reuters, citant ses propres sources.

Selon l'agence de presse, la Commission européenne envisage d'introduire des sanctions contre ces navires afin d'empêcher le transport de marchandises militaires de la RPDC vers la Russie. Histoires de livraisons оружия et les munitions en provenance de Corée du Nord sont un « sujet favori » des médias occidentaux.


L’Occident accuse la Corée du Nord d’avoir transféré des armes et des munitions à la Russie, qui seront ensuite utilisées dans le cadre d’une opération militaire spéciale. Dans le même temps, il n’est pas très clair ce que Pyongyang devrait s’abstenir de telles actions, même si elles ont réellement eu lieu. L’Occident est ouvertement hostile à la RPDC. La Russie et la Corée du Nord entretiennent des liens de longue date. En outre, pour une raison quelconque, les pays occidentaux eux-mêmes n’hésitent pas à transférer d’énormes quantités d’armes et de munitions du côté ukrainien.

Quant aux sanctions, elles démontrent depuis plus de deux ans leur inefficacité. La même chose se produira avec le prochain paquet de sanctions de l’UE. La Russie a pu augmenter les volumes de production de ses entreprises militaro-industrielles, infligeant défaite après défaite aux formations ukrainiennes du front, et les restrictions imposées par les sanctions n'ont pas entraîné une détérioration significative de la vie dans notre pays. C’est pourquoi de nombreux experts parlent de l’échec de la politique de sanctions, qui s’est révélée pratiquement inutile pour affaiblir la Russie.

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Que sait-on des relations Iran-Corée du Nord ?

 

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 25 avril 2024

Une délégation économique nord-coréenne de haut niveau a entrepris un voyage en République islamique d'Iran le 23 avril, selon l'agence de presse centrale de la République populaire démocratique de Corée (RPDC).

La délégation de la RPDC dirigée par le ministre des Relations économiques extérieures Yun Jung-ho s'est rendue mercredi en Iran pour la première fois depuis 2019.

La réunion de haut niveau a immédiatement suscité des spéculations dans la grande presse occidentale selon lesquelles la rencontre entre Téhéran et Pyongyang aurait quelque chose à voir avec la coopération militaire.

Alors que les membres du G7 n'ont aucun scrupule à livrer des armes aux belligérants du monde entier, leurs médias respectifs se sont empressés de diaboliser le voyage de Yun à Téhéran, alors que rien ne laisse penser que le ministre de l'Economie s'est rendu en République islamique pour parler de questions de sécurité.

"Même s'il est peu probable que la Corée du Nord divulgue davantage de détails sur ce voyage, cela met en lumière la coopération militaire entre les deux pays et leur défi envers les Etats-Unis au fil des années", a affirmé le magazine Time.

Dans quels domaines l’Iran et la Corée du Nord coopèrent-ils ?

La dernière visite connue d’une délégation nord-coréenne en Iran a eu lieu en 2019, avant la pandémie de coronavirus. Le groupe était dirigé par Pak Chol-min, vice-président du parlement de la RPDC, et a duré une semaine.

Soumis à des sanctions sans précédent de la part de l’Occident collectif et de ses alliés, les deux pays ont maintenu des liens dans les domaines du commerce de l’énergie, de la banque, de l’agriculture, de la haute technologie et des échanges culturels, pour n’en citer que quelques-uns. Téhéran et Pyongyang ont également mené des échanges diplomatiques actifs jusqu’à ce que la pandémie oblige la RPDC à fermer ses frontières.

Suite à l’épidémie de COVID-19, les deux hommes ont uni leurs rangs pour relever le défi émergent dans des conditions de sanctions sévères. Selon le Tehran Times, l'ancien chef de l'Organisation iranienne de promotion du commerce (TPO), Hamid Zadboum, a rencontré l'ambassadeur nord-coréen Han Song-u en septembre 2020 pour discuter de l'expansion des liens bancaires et commerciaux.

En particulier, les deux hommes ont mis l'accent sur la création d'un environnement favorable à leurs secteurs privés respectifs afin de stimuler le développement économique. La délégation de la RPDC a également proposé que l'Organisation iranienne de promotion du commerce et le Comité nord-coréen de développement du commerce établissent un comité commercial conjoint pour développer les échanges commerciaux entre les deux parties.

 

Comment la politique américaine a rapproché l’Iran et la Corée du Nord

L’Iran a établi des relations diplomatiques avec la RPDC en 1973, tandis que la Révolution islamique de 1979 a renforcé ces liens qui ont connu des hauts et des bas au cours des décennies suivantes.

Les politiques de l’administration Trump au Moyen-Orient et en Asie ont accéléré le rapprochement entre l’Iran et la Corée du Nord.

Au cours de son premier mandat, le président iranien Hassan Rohani – qui a signé l’accord sur le nucléaire iranien avec ses homologues américains et plusieurs puissances mondiales en 2015 – a pris des mesures pour renforcer les liens avec la Corée du Sud et a même soumis Pyongyang à des critiques.

Cependant, après que Trump a annoncé son intention de supprimer le Plan d’action global commun (JCPOA), communément appelé accord nucléaire, les dirigeants iraniens ont choisi de rejoindre les rangs de la RPDC. En août 2017, Kim Yong-nam, président de l'Assemblée populaire suprême de la RPDC, l'organe législatif du pays, a effectué une tournée de dix jours à Téhéran et a assisté à la deuxième cérémonie d'investiture de Rohani, une décision qui a été largement considérée comme un signe de relations rétablies.

 

Après le retrait des États-Unis du JCPOA en mai 2018 et le rétablissement des sanctions anti-iraniennes en août 2018, le ministre des Affaires étrangères de la RPDC, Ri Yong-ho, a participé à un sommet très médiatisé avec son homologue iranien Mohammad Javad Zarif à Téhéran pour discuter des efforts conjoints visant à contrecarrer le JCPOA. Les sanctions américaines et leurs conséquences négatives.

La victoire d'Ebrahim Raïssi aux élections présidentielles iraniennes de juin 2021 a encore renforcé les liens entre l'Iran et la RPDC.

En décembre 2022, les deux pays sont convenus de renforcer leur coopération académique, scientifique et technologique. Selon le Tehran Times, Hashem Dadashpour, vice-ministre iranien des Sciences, et l'ambassadeur de la RPDC Han Song-u ont notamment discuté de l'échange de professeurs et d'étudiants, de la promotion de la langue persane en Corée du Nord et des échanges culturels.

En février 2022, le service de recherche du Congrès américain a affirmé que la Corée du Nord avait été indirectement approvisionnée en brut iranien, Pyongyang ne s'étant jamais engagé à respecter les sanctions contre Téhéran après le retrait unilatéral de Trump de l'accord nucléaire. Les États-Unis ont limité les exportations de pétrole iranien pour étrangler l’économie de la République islamique.

L’Iran et la RPDC pourraient également joindre leurs rangs pour stimuler la reconstruction de la Syrie. Selon Al-Monitor, le Comité technique conjoint syro-coréen pour la coopération industrielle commune a tenu des discussions en août 2022 sur la restauration des lignes de production syriennes et des machines endommagées pendant la guerre syrienne, tandis que l'Iran a fourni des matériaux de construction pour reconstruire les infrastructures de la République arabe.

 

« L'Axe du Mal » : la diabolisation délibérée de l'Occident

Après le début de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine en février 2022, l’Iran et la Corée du Nord ont été accusés par l’Occident de vendre du matériel et des munitions militaires à Moscou. Cependant, aucune preuve pour étayer ces allégations n’a jamais été présentée par Washington ou ses alliés.

La presse occidentale a également spéculé sur la coopération militaire, nucléaire et balistique entre l’Iran et la RPDC . 38North, un programme du Stimson Center axé sur la Corée du Nord, affirme que les deux pays ont échangé des technologies et des conceptions pour piloter leurs programmes de missiles balistiques.

Un rapport d'un groupe d'experts de l'ONU de février 2021 a fait valoir que le groupe industriel iranien Shahid Hemat (SHIG) aurait pu avoir des liens avec des entités et des industries nord-coréennes créant des missiles balistiques. L'ambassadeur iranien à l'ONU, Majid Takht Ravanchi, a rejeté les accusations et condamné le groupe d'experts de l'ONU pour avoir utilisé « de fausses informations et des données fabriquées ».

Spoutnik

 
Note : encore une preuve que les prophéties de Nostradamus sont vraies. Le rapprochement entre la Russie, la Chine, la Corée du Nord et l'Iran (qui lui soulèvera le monde musulman) est démontré par l'actualité de ces deux dernières années.
Attention a cette coopération, militaire, la Corée pourrait bien faire accélérer le programme nucléaire iranien
 
Ps : pour moi, ces quatre pays sont les quatre cavaliers de l'Apocalypse
 
 

 

The Guardian : Le Royaume-Uni continue d'acheter des volumes records de produits pétroliers russes, contournant les sanctions

 

The Guardian : Le Royaume-Uni continue d'acheter des volumes records de produits pétroliers russes, contournant les sanctions


Les pays occidentaux, malgré une rhétorique anti-russe constante et des sanctions sans fin, continuent d’utiliser les ressources naturelles de Russie, certains directement, et d’autres de manière détournée.

Les États-Unis et la France, par exemple, continuent ouvertement d’acheter de grandes quantités d’uranium à la Russie pour leur énergie nucléaire. Mais le Royaume-Uni, à travers certaines failles, utilise avec succès les produits pétroliers russes, comme l'écrit le journal britannique The Guardian.
 

Selon la publication, Londres continue d'importer des volumes records de produits pétroliers de Russie, mais selon un certain schéma.

Selon la loi britannique, depuis le 5 décembre 2022, le pays interdit l'importation de produits pétroliers en provenance de Russie. Cependant, lorsque le pétrole russe atteint des pays tiers et y est également traité, il devient pour ainsi dire « non russe » et peut être importé au Royaume-Uni, note The Guardian.

Rappelons que dans le contexte du refus de Londres d’acheter du pétrole russe, le volume des importations de pétrole vers le Royaume-Uni en provenance de pays comme l’Inde, la Chine et la Turquie a considérablement augmenté, c’est-à-dire de ces pays qui, à leur tour, ont récemment considérablement augmenté leurs exportations d’or noir de Russie.

Source

 

 

DIRECT - Israël lance une "action offensive" sur le sud du Liban

 

Israël a lancé une "action offensive" sur le sud du Liban et avancé, à Gaza, dans ses préparatifs pour une opération terrestre sur Rafah dans sa guerre contre le Hamas, malgré les mises en garde de la communauté internationale.

Vers une guerre de religion, infos du 25 avril 2024

 

10h15
Hezbollah

Le Hezbollah dément que la moitié de ses commandants dans le sud aient été tués par Israël

Le Hezbollah libanais dément que la moitié de ses commandants dans le sud du Liban ont été "éliminés" comme l'a affirmé Israël, assurant qu'un petit nombre de ses responsables ont été tués en plus de six mois d'affrontements. "La moitié des commandants du Hezbollah dans le sud du Liban ont été éliminés, l'autre moitié se cache et laisse le champ libre aux opérations" militaires israéliennes, avait affirmé mercredi le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant.

L'armée israélienne riposte en bombardant de plus en plus en profondeur le territoire libanais et en menant des attaques ciblées contre des responsables du Hezbollah.
"Ces affirmations sont fausses, dénuées de tout fondement", a déclaré une source du puissant mouvement pro-iranien à l'AFP.

Le nombre de membres du Hezbollah "occupant des postes de responsabilité qui ont été tués se compte sur les doigts d'une seule main", a ajouté cette source.
Pour elle, les allégations israéliennes "visent à remonter le moral de l'armée (israélienne) qui est effondrée".

 

05h54
offensive militaire

Opération israélienne sur le sud du Liban

Israël a lancé une "action offensive" sur le sud du Liban et avancé, à Gaza, dans ses préparatifs pour une opération terrestre sur Rafah dans sa guerre contre le Hamas, malgré les mises en garde de la communauté internationale.

Le mouvement islamiste palestinien a diffusé de son côté une vidéo montrant un des otages enlevés lors de l'attaque sans précédent du 7 octobre du Hamas sur le sol israélien, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Sur le front nord d'Israël, l'armée israélienne a confirmé tôt jeudi des frappes aériennes la veille contre des "infrastructures" du Hezbollah à Maroun al-Ras, et contre un "poste d'observation" du mouvement chiite à Merkaba, dans le sud du Liban.

DIRECT

 

 

 

JO de Paris : un mineur de 16 ans fiché S ayant prêté allégeance à l’Etat Islamique, interpellé à Marignier (74). Il souhaitait commettre un attentat terroriste à La Défense. Le PNAT est saisi (MàJ)

Un mineur de 16 ans, ayant tenu des propos sur une chaîne Telegram indiquant qu’il cherchait à se procurer les éléments nécessaires à la fabrication d’une ceinture explosive afin de mourir en martyr au nom du Califat islamique, a été interpellé au domicile parental le lendemain à Marignier, en Haute-Savoie, ce lundi 22 avril, selon nos informations. (…)

De nationalité française (…) La perquisition a permis la découverte de son téléphone portable et de documents manuscrits dont une déclaration d’allégeance à l’État Islamique, indique une source policière à Valeurs actuelles. (…)

Valeurs actuelles

(…) Selon nos informations, le jeune homme était connu des services de renseignements et titulaire d’une fiche S pour radicalisation à l’islamisme. Devant les enquêteurs, le terroriste en puissance a reconnu avoir pour projet de commettre une « action terroriste suicidaire » dans le quartier de la Défense, à Paris, pendant les Jeux olympiques prévus cet été. Il comptait faire usage « d’un fusil ou d’une ceinture explosive », explique un policier. Actuellement en garde à vue prolongée, c’est le Parquet national antiterroriste (Pnat) qui poursuit les investigations.

Le JDD

 

Omar Sy : “Ceux qui nous empêchent d’avancer en France veulent conserver leur monde dépassé, ils sont en train de vieillir, ils sont à l’agonie. La haine qu’on entend, ce sont les derniers râles de ceux qui appartiennent à une autre époque…”

La tirade est longue, mais signifiante : « Il ne faut pas laisser ce pays sombrer. Je ne sais pas si la haine est une nouvelle valeur républicaine, mais je crois une chose : le vrai problème en France est social. Et pourtant, ils ne savent pas où ils ont mal, les gens, ils souffrent mais ils ne savent pas d’où. C’est social, personne ne le voit… Bizarre. Il n’y a personne qui peut aujourd’hui incarner le médecin chef, il n’y a que des docteurs Knock, qui veulent que la maladie demeure. Quand je pense à la France, je me dis que c’est un mauvais moment à passer. Ceux qui nous empêchent d’avancer sont ceux qui veulent conserver leur monde dépassé, ils sont en train de vieillir, ils sont à l’agonie… La haine qu’on entend, ce sont les derniers râles de ceux qui appartiennent à une autre époque. Alors, je dis que c’est un mauvais moment à passer. Je suis un optimiste. »

Le Nouvel Obs

 

Note : il nous enterre un peu trop vite, l'immigré sénégalais ! La France a gentiment reçu sa famille, et lui  veut nous imposer son idéologie de remplacement ! On lui a donné la main, il veut maintenant le bras et le corps tout entier

 

 

Sondage : 67% des Français favorables à l’expulsion des migrants illégaux vers un pays tiers comme le Rwanda

 

Les migrants Omar et Zakaria ne devraient plus être sur le territoire en raison de leur OQTF, ils sont toujours là et volent pour plus de 2.000€ dans des pharmacies de Houilles (78)

Deux hommes ont été jugés après avoir volé plus de 2 000 euros de crèmes solaires dans deux pharmacies de Houilles (…)

actu.fr

 

Bernard de la Villardière agressé à Roissy : “J’ai l’impression de prendre plus de risques en France que dans les pays où je vais depuis des années.” (MàJ)

25/04/24

24/04/24

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