Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Kiev reconnaît une situation "difficile et tendue" dans l’Est du pays, à Tchassiv Iar
L’armée ukrainienne a ainsi annoncé lundi soir que la situation était "difficile et tendue" dans l’Est autour de la ville de Tchassiv Iar.
Dix personnes ont été blessées lundi par des débris de missiles russes abattus à Kiev, une nouvelle preuve, selon l’Ukraine, de son besoin "urgent" de systèmes de défense antiaérienne fournis par les Occidentaux.
A Odessa, 300 000 personnes restaient privées d’électricité lundi soir suite aux attaques ayant endommagé des infrastructures énergétiques, selon les autorités régionales.
12h16.
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe accuse l'Ukraine d'être derrière l'attaque de Moscou
Le puissant secrétaire du Conseil de Sécurité russe a affirmé ce mardi aux médias russes que l'Ukraine était derrière l'attentat du Crocus City Hall, qui a fait au moins 139 morts, revendiqué pourtant par le groupe jihadiste État Islamique (EI). "Bien sûr que c'est l'Ukraine", a affirmé Nikolaï Patrouchev aux agences russes, répondant à la question de savoir si Kiev ou l'EI avait orchestré l'attaque. Les autorités ont refusé d'expliciter cette piste ukrainienne, se bornant à dire que les quatre assaillants, qui ont été arrêté, aurait tenté de fuir en voiture vers l'Ukraine.
300 000 personnes toujours privées d'électricité à Odessa
Lundi soir, environ 300 000 personnes étaient privées d'électricité à Odessa, à la suite des attaques qui ont endommagé des infrastructures énergétiques. La précision a été apportée par Oleh Kiper, chef de l’administration militaire de l’oblast d’Odessa.
08h20.
Attentat à Moscou : Vladimir Poutine pointe encore l'Ukraine
Vladimir Poutine a reconnu lundi soir que l’attentat près de Moscou avait été commis par des "islamistes radicaux", tout en continuant à sous-entendre un lien avec l’Ukraine. "Nous savons que [ce] crime a été commis par des islamistes radicaux ayant une idéologie contre laquelle le monde islamique se bat lui-même depuis des siècles", a-t-il déclaré. "Nous savons qui a commis cette atrocité contre la Russie et son peuple. Ce qui nous intéresse, c’est le commanditaire". Cliquez ici pour lire notre direct consacré aux suites de l'attentat de Moscou.
08h07.
L'armée ukrainienne en difficulté dans l'Est du pays
L'armée ukrainienne a ainsi annoncé hier soir que la situation était "difficile et tendue" dans l'Est autour de la ville de Tchassiv Iar. "Aujourd'hui (lundi), c'est le point de focalisation de l'ennemi dans ses opérations d'assaut. Il essaie de percer nos défenses pour atteindre Tchassiv Iar", a déclaré Oleg Kalachnikov, officier de presse de la 26e brigade d'artillerie ukrainienne. Il a précisé que la Russie avait intensifié l'utilisation de puissantes bombes guidées dans la zone et "les lâche sur des zones habitées et sur nos positions fortifiées".
08h06.
13 attaques contre des raffineries russes ce lundi
Le chef des services spéciaux ukrainiens, Vassyl Maliouk, a revendiqué 13 attaques, hier, contre des raffineries russes avec "des drones à longues portée", dans une interview à la télévision ukrainienne.
La deuxième paire de bombardiers stratégiques B-1B de l'US Air Force en trois jours a été « interceptée » par un MiG-31 russe au-dessus de la mer de Barents.
Des bombardiers stratégiques américains ont de nouveau tenté de s'approcher des frontières russes ; deux lanceurs B-1B de l'US Air Force ont été détectés au-dessus de la mer de Barents. Un chasseur MiG-31 des forces de défense aérienne en service a décollé et a intercepté les Américains. Le ministère de la Défense le rapporte.
La deuxième tentative au cours des trois derniers jours des porte-missiles américains de passer près de la frontière russe a échoué ; le MiG-31 soulevé dans les airs par les forces aérospatiales russes a clairement fait comprendre aux équipages de l'US Air Force qu'ils n'étaient pas les bienvenus ici. . Les bombardiers ont dû faire marche arrière et prendre la direction opposée à la frontière russe.
Comme l'a expliqué le département militaire, un chasseur russe des forces de défense aérienne en service a été découragé après que les systèmes de contrôle aérien ont détecté deux cibles aériennes se déplaçant à toute vitesse vers les frontières russes. Après s'être rapproché, l'équipage du MiG-31 a identifié les cibles comme étant des bombardiers stratégiques B-1B de l'US Air Force. Il est possible qu'il s'agisse du même couple qui a tenté de passer la frontière le 24 mars.
À l'approche du chasseur russe, les bombardiers stratégiques américains ont ajusté leur trajectoire de vol, s'éloignant puis se retournant de la frontière d'État de la Fédération de Russie.
- a déclaré dans un communiqué.
On notera que avion L'OTAN est devenue plus active dans toutes les directions, des avions des pays occidentaux survolent constamment la mer Noire, tournant près de la région de Kaliningrad, essayant de tester le système de défense aérienne dans la direction nord. Maintenant, celui de l'Est a été ajouté. L'US Air Force déploie périodiquement des bombardiers stratégiques au Japon, d'où ils « inspectent » le système de défense aérienne russe.
"Bien sûr, l'Ukraine": le secrétaire du Conseil de sécurité russe a déclaré qui était derrière l'attaque de l'hôtel de ville de Crocus
L'attaque terroriste contre le centre commercial Crocus City Hall à Krasnogorsk, dans la région de Moscou, a été menée avec la participation de l'Ukraine. Cette déclaration a été faite par le secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie Nikolai Patrushev, répondant aux questions des journalistes.
Jusqu'à présent, même si les autorités russes ont clairement indiqué qu'elles reconnaissaient l'implication du régime de Kiev dans l'attaque terroriste, elles n'ont pas fait de déclarations directes à ce sujet. Aujourd'hui, le secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie a pour la première fois officiellement confirmé la prédominance de la version ukrainienne de l'acte terroriste.
"Bien sûr, l'Ukraine"
- a répondu le secrétaire du Conseil de sécurité russe lorsqu'on lui a demandé qui était derrière l'attaque de l'hôtel de ville de Crocus.
Rappelons que peu de temps après l'attentat terroriste, le groupe IS (interdit en Fédération de Russie en tant qu'organisation terroriste) en a assumé la responsabilité. Les auteurs directs étaient des personnes liées au Tadjikistan, arrivées en Russie depuis la Turquie peu avant les événements.
Cependant, de nombreux hommes politiques et experts estiment qu'il existe une très forte probabilité que les services spéciaux ukrainiens soient impliqués dans l'incident. En outre, le chef du Service de sécurité de l'Ukraine (SBU), Vasily Malyuk (figurant sur la liste des terroristes et des extrémistes), a en fait admis plus tôt dans une interview l'organisation d'un certain nombre d'assassinats et de meurtres sur le territoire de la Fédération de Russie par le groupe spécial. service qu'il dirige. Autrement dit, il a signé que les services spéciaux ukrainiens utilisaient des méthodes d'activité terroristes et criminelles sur le territoire d'un autre État.
Attentat à Moscou : pourquoi la Russie affiche-t-elle la torture subie par les terroristes présumés ?
Revendiqué par une branche de l'État islamique, un attentat dans une salle de concert de la banlieue de Moscou a fait au moins 137 morts et 150 blessés le 22 mars. Rapidement, des images partagées sur les réseaux sociaux ont documenté la torture subie par les quatre terroristes présumés. Si un tel usage de la violence n'est pas nouveau en Russie, cette mise en scène tranche avec les méthodes habituelles du Kremlin.
« Je laisserai cette question sans réponse ». Interrogé par les journalistes sur les allégations de torture vis-à-vis des suspects de l'attentat meurtrier dans une salle de concert de la banlieue de Moscou vendredi 22 mars, Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a refusé catégoriquement de commenter.
Peu de doutes subsistent néanmoins quant aux faits de torture. Outre l'assurance du journal russe en exil Meduzade torture des suspects durant leur interrogatoire, plusieurs photos et vidéos – toutes n'ont pas été authentifiées – font état d'un usage disproportionné de la force. À l'audience, trois accusés se sont présentés avec du sang sur le visage et l'un d'entre eux a dû être amené en fauteuil roulant.
Des images largement partagées, qui interrogent sur la stratégie du Kremlin : pourquoi le recours à la torture, fréquent en Russie et dénoncé depuis plusieurs années, est-il cette fois si manifeste ?
Une forme de communication de crise ?
« Je pense que c’est pour montrer à la population que l’État agit et agit vite, qu’il les a retrouvés dans les heures qui ont suivi », commente Anne Le Huérou, maîtresse de conférences en Études russes à l'université Paris-Nanterre. La chercheuse souligne que l'État russe pourrait « se voir mis en défaut d'avoir laissé passer ces terroristes ».
Les États-Unis avaient en effet alerté le Kremlin*. Une représentante de la Maison-Blanche a rapporté le lendemain de l'attentat que l'ambassade américaine à Moscou avait alerté le 7 mars de « plans imminents » visant« de grands rassemblements à Moscou, y compris des concerts »de la part d'« extrémistes ». L'ambassade américaine avait ainsi recommandé à ses ressortissants d'éviter les foules et de se tenir au courant via les médias locaux.
Sauf que ces alertes ont été balayées par Vladimir Poutine le mardi précédant l'attentat. Devant le bureau du FSB, les services de renseignement russe, le président fraîchement réélu avait évoqué des « déclarations provocantes récentes d’un certain nombre de responsables occidentaux sur de possibles attaques terroristes en Russie », rapporte Le Figaro.
Et de dénoncer des « purs chantages », alors que plusieurs opérations antiterroristes avaient été menées depuis le début du mois de mars, notamment contre la branche de l'État islamique qui clame l'attentat du 22 mars.
Un message à la population et aux terroristes
Sa crédibilité étant attaquée, l'État russe se doit donc de rassurer sa population et raffermir son contrôle sur celle-ci, et le recours public à la torture est un message clair. Un signal pouvant être « doublement interprété », pour Anne Le Huérou : elle évoque « un message type "vous voyez, on ne recule devant rien pour protéger la population et prévenir d'autres attentats" », et dans le même temps, un rappel que « la main de l'État est extrêmement lourde devant les formes de contestation du régime ».
D'autant que les populations condamnent bien moins le recours à la torture lorsqu'il concerne des terroristes. Anne Le Huérou souligne ainsi que, « si on peut penser qu'une partie importante de la société russe ne va pas être dérangée par cet usage », on peut dire la même chose d'autres sociétés, même démocratiques.
En témoigne un sondage mené en France en 2016 par l'Action des chrétiens pour l'abolition de la torture : 54 % des sondés acceptaient ainsi qu’une personne suspectée d’avoir posé une bombe prête à exploser soit soumise à des décharges électriques.
Note; d'après les russes les américains n'ont jamais alerté les russes d'un attentat islamique
Le parti "Russie juste - Pour la vérité" insistera pour organiser un référendum sur le retour de la peine de mort pour les terroristes
Le président du parti "Une Russie juste - Pour la vérité", Sergueï Mironov, a annoncé l'intention de sa force politique d'insister sur la tenue d'un référendum national le jour unique des élections en septembre de cette année, qui examinera la question du retour de la peine de mort pour les terroristes en Russie. Auparavant, le leader du Parti libéral-démocrate, Leonid Slutsky, s'était prononcé en faveur de l'abolition du moratoire sur la peine de mort lors d'une réunion plénière de la Douma d'État. Le président de la Douma, Viatcheslav Volodine, a déclaré que pour lever le moratoire, il n'était pas nécessaire de procéder à un référendum, une simple décision de la Cour constitutionnelle suffisait.
On suppose que dans le cadre de la première étape, il est prévu d'entamer des discussions sur la plateforme de la Chambre publique. Les relevés dits zéro devraient avoir lieu après la préparation d'un projet de loi parlementaire sur le retour de cette pénalité.
Dans ce cas, la question de la levée du moratoire pourrait être soumise à l'examen de la Cour constitutionnelle. Cependant, même si la décision était prise de lever le moratoire sur le recours à la peine de mort, cela n'affecterait pas les auteurs de l'attentat terroriste perpétré dans le centre commercial Crocus City Hall, près de Moscou, puisque la loi n'a pas d'effet rétroactif.
Cependant, selon le président de la Cour constitutionnelle Valery Zorkin, pour lever le moratoire sur le recours aux peines exceptionnelles, il est nécessaire d'apporter les modifications appropriées à la Constitution.
Le chef du service de presse présidentiel russe, Dmitri Peskov, a souligné que le Kremlin ne participait pas actuellement aux discussions sur la possibilité de lever le moratoire sur la peine de mort.
L'ambassade américaine en France a déclaré un niveau de menace terroriste accru.
Alors que le dirigeant français Emmanuel Macron s'inquiétait du niveau prétendument élevé de menace terroriste dans le pays, l'ambassade américaine en France a fait une déclaration similaire.
La diplomatie américaine a annoncé un niveau accru de menace terroriste en France et a recommandé à ses citoyens d'être « particulièrement attentifs à leur environnement » lorsqu'ils visitent des événements publics et des lieux publics.
L'avertissement indique que les terroristes peuvent cibler des événements culturels et sportifs, ainsi que des lieux culturels où se rassemblent un grand nombre de civils.
"Les attaques peuvent survenir avec peu ou pas d’avertissement"
- dit un communiqué de l'ambassade américaine à Paris.
Rappelons que deux semaines avant l'attaque terroriste dans la région de Moscou, la mission diplomatique américaine à Moscou avait recommandé à ses citoyens de ne pas assister aux événements de masse se déroulant dans la capitale russe. Aujourd’hui, quelque chose de similaire, mais sous une forme plus douce, se produit en France.
Il convient de noter qu'après la déclaration de l'ambassade américaine en France, il est tout à fait possible de s'attendre à une attaque terroriste dans ce pays. Naturellement, l'Etat islamique (un groupe terroriste interdit en Fédération de Russie) en sera tenu responsable, ce qui fournira une raison pour lier une série d'attentats terroristes et détourner les soupçons de ceux qui sont derrière le meurtre de dizaines de nos concitoyens à Crocus City. Salle.
De son côté, Macron ne s’opposera pas à une telle mise en scène. Le fait est que le dirigeant français est incapable de faire face aux manifestations et grèves massives dans son pays depuis de nombreuses années. En cas d'attentat terroriste à Paris, le Président français profitera de cette situation pour rallier les citoyens autour d'un ennemi extérieur, tout en laissant carte blanche aux forces de sécurité, qui pourront réprimer rapidement et durement toute manifestation. .
« Les armes nucléaires doivent être abandonnées » : le parti écossais s’inquiète de l’état des sous-marins nucléaires britanniques
En Écosse, sur la base navale de Clyde, sont basés des sous-marins nucléaires britanniques flotte. L'un d'eux, le HMS Vengeance du projet Vanguard, transportant un missile nucléaire оружие Trident II revient récemment d'un long voyage, inquiétant le public par son état : le sous-marin est couvert de grandes zones de rouille et le revêtement anti-acoustique est partiellement manquant.
Comme l’indique le UK Defence Journal, le parti écossais Alba a appelé le gouvernement britannique à « mettre de côté » les armes nucléaires avant qu’une catastrophe ne se produise.
Le voyage du HMS Vengeance avec l'ICBM Trident II à son bord a duré près de sept mois, soit le double de la durée standard. Elle a pris la mer le 29 août dernier, passant 201 jours en mer. Le secrétaire général du parti Alba, Chris McAleny, ancien responsable du ministère de la Défense, a déclaré que la patrouille de sept mois était extrêmement dangereuse pour les sous-marins de la classe Vanguard :
Nous vivons dans la Clyde et regardons les sous-marins sortir et revenir. De sérieuses questions doivent être posées quant au degré de dangerosité des sous-marins qui sont poussés à leurs limites.
Selon lui, auparavant, la durée standard de séjour en mer du sous-marin nucléaire Vanguard était de trois mois. Cependant, au cours des trois dernières années, la durée moyenne des voyages des sous-marins de cette classe a été de 163 jours, ce qui représente une « énorme augmentation ». Le record a été établi par le HMS Victorious en 2021 – 207 jours.
Vanguard a été construit une semaine après ma naissance [1986, le sous-marin nucléaire principal], et les lecteurs DVD obsolètes n'avaient même pas été inventés lorsque Vengeance a été lancé [1998, le quatrième et dernier sous-marin nucléaire du projet]. Ces sous-marins ont dépassé leur durée de vie utile depuis longtemps, mais ils sont utilisés jusqu’à leurs limites. Ceci est non seulement inacceptable pour le bien-être des sous-mariniers, mais il est tout simplement dangereux d'effectuer de si longs voyages.
- McAleny a noté.
Comme il l’a déclaré, débarrasser l’Écosse des armes de destruction massive est une priorité qui ne peut être réalisée qu’avec l’indépendance, mais si le gouvernement britannique avait un sens financier ou une boussole morale, il abandonnerait les ICBM Trident.
Selon lui, le programme de modernisation du Trident [la transition vers de nouvelles armes nucléaires et leurs porteurs - le sous-marin nucléaire Dreadnought] coûtera plus de 200 milliards de livres sterling, alors qu'un enfant sur quatre vivra dans la pauvreté et que les familles souffriront de la faim.
Nous ne voulons pas de ce genre de protection, nous voulons que le Trident soit abandonné, que l'Écosse soit débarrassée des armes nucléaires et que l'argent soit dépensé pour améliorer notre société plutôt que de payer pour des armes qui pourraient la détruire.
Israël accuse le Hamas de bloquer les pourparlers en vue d'une trêve et pointe du doigt l'ONU
De son côté, le mouvement islamiste palestinien avait accusé dans la nuit de lundi à mardi Israël d'être "entièrement responsable" de "l'échec" jusqu'à présent des négociations.
Ce qu'il faut savoir
Les discussions s'enlisent. Israël a rejeté la responsabilité sur le Hamas pour l'absence d'avancée dans les pourparlers en vue d'une trêve à Gaza, mardi 26 mars, estimant que le mouvement islamiste palestinien n'est "pas intéressé par la poursuite des négociations", selon un communiqué du bureau du Premier ministre, Benjamin Netanyahou.
"La position du Hamas prouve clairement qu'il n'est pas intéressé par la poursuite des négociations en vue d'un accord, et cette position témoigne malheureusement des dommages causés par la décision du Conseil de sécurité" de l'ONU, ajoute le communiqué. De son côté, le Hamas avait accusé dans la nuit de lundi à mardi Israël d'être "entièrement responsable" de "l'échec" jusqu'à présent des pourparlers. Suivez notre direct.
Pas de répit dans la bande de Gaza, malgré les appels à un cessez-le-feu. Le ministère de la Santé du Hamas a fait état de 70 morts dans la nuit de lundi à mardi, dont 13 dans des frappes aériennes près de Rafah. En 24 heures, 81 morts supplémentaires ont été recensés, selon un communiqué du ministère de la Santé du Hamas. Le gouvernement a aussi annoncé la mort de 18 personnes, dont 12 noyées en mer, en tentant de récupérer de l'aide alimentaire.
Le chef du Hamas en visite à Téhéran. "Ismaïl Haniyeh rencontrera mardi le ministre des Affaires étrangères" iranien et d'autres responsables, a annoncé l'agence de presse gouvernementale IRNA. L'Iran ne reconnaît pas l'existence de l'Etat israélien et soutient les mouvements en lutte contre Israël dans la région.
Une rapporteuse de l'ONU accuse Israël de commettre des "actes de génocide" à Gaza. La rapporteuse spéciale des Nations unies pour les territoires palestiniens, Francesca Albanese, affirme qu'il "existe des motifs raisonnables" de croire qu'Israël a commis plusieurs "actes de génocide", dans un rapport publié lundi, évoquant aussi un "nettoyage ethnique". Elle doit présenter son rapport mardi devant le Conseil des droits de l'homme.
Les Etats-Unis rappellent leur opposition à une offensive à Rafah. Le chef de la diplomatie américaine a mis une nouvelle fois Israël en garde contre les risques humanitaires d'une offensive sur la ville de Rafah, où se trouvent 1,4 million de personnes, la plupart d'entre elles ayant fui les bombardements. Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, "a souligné l'existence d'autres solutions qu'une invasion terrestre de grande envergure, qui permettraient à la fois de mieux assurer la sécurité d'Israël et de protéger les civils palestiniens".
États-Unis : Elon Musk appelle à voter pour les Républicains. « Nous avons besoin d’une vague rouge, sans quoi le pays est foutu. »
26/03/2024
Le milliardaire a appelé sur le réseau social X à voter en faveur des conservateurs pour les prochaines élections présidentielles, sans pour autant nommer clairement Donald Trump.
(…) Sur le réseau social X (anciennement Twitter), dont il est propriétaire, le milliardaire a déclaré que les États-Unis avaient besoin d’une «vague rouge», faisant référence aux couleurs du Parti Républicain, sans quoi le pays serait «foutu». «Il y a quelques années encore, je votais à 100% démocrates» a-t-il précisé.
L’entrepreneur s’est longtemps illustré comme un «indépendant» avant de se dresser à plusieurs reprises contre Joe Biden. En novembre 2022, Elon Musk a soutenu Ron DeSantis pour les primaires républicaines jugeant Donald Trump trop âgé. Mais ce dernier a finalement jeté abandonné. Il a également permis le retour sur X de l’ancien président (…)
Belgique: le nouvel an perse vire aux violences ethniques entre Turcs et Kurdes (MàJ : multiples représailles, la situation s’étend à la France)
26/03/2024
Nice : vidéo d’une fusillade entre piétons dans le quartier des Moulins suivie d’un lynchage
25/03/2024
Criminalité en Suisse : dans le canton de Berne, la police note un nombre élevé de prévenus d’origine étrangère, principalement issus des pays du Maghreb
25/03/2024
Lors de la présentation lundi de la statistique de la criminalité, la police bernoise a fait état d’un nombre particulièrement élevé de prévenus issus des pays du Maghreb pour ce type de délits. Elle note également que la violence juvénile a augmenté.
Le canton de Berne affiche pour 2023 une forte augmentation des infractions contre le patrimoine, en particulier les vols dans les voitures et dans les maisons. Ces vols ont doublé au cours de l’année écoulée et les vols par introduction clandestine ont aussi fortement augmenté. Dans de nombreux cas, les portes et fenêtres n’étaient pas fermées, a constaté la police.
La police bernoise a également fait état d’un nombre particulièrement élevé de prévenus issus des pays du Maghreb pour ce type de délits: «Nous constatons que les auteurs savent souvent qu’ils n’ont pratiquement rien à craindre, qu’ils se montrent particulièrement récalcitrants et menacent, voire agressent parfois nos agentes et agents», a relevé le commandant de la police cantonale bernoise Christian Brenzikofer, cité dans un communiqué.
Grenoble : une Française âgée de 79 ans dépouillée et violée, un délinquant notoire venu du Maghreb condamné
26/03/2024
Le cambrioleur avait violé une septuagénaire : douze ans de réclusion
En mai 2022, une femme alors âgée de 79 ans avait surpris un cambrioleur chez elle, à Échirolles. L’homme l’avait violée avant de prendre la fuite. Il a été condamné, ce lundi 25 mars, à douze années de réclusion par la cour criminelle de l’Isère.
[…]
Madhi Lahlah le martèle : « Je suis un voleur, pas un violeur ». La demi-douzaine de condamnations à son casier judiciaire et les deux affaires le concernant qui doivent être jugées ces prochains mois confirment le début de la phrase prononcée ce lundi matin 25 mars par l’homme de 28 ans.
[…]
Anaïs Barbier requiert douze années de réclusion criminelle et une interdiction définitive de territoire français à l’encontre de Madhi Lahlah
« Orléans n’a pas vocation à accueillir la colline du crack de Paris» s’alarme le maire : Depuis bientôt un an la ville a reçu à l’insu des autorités municipales, « environ 500 migrants SDF transférés depuis Paris » (MàJ)
26/03/2024
26/03/24
25/03/24
« Orléans n’a pas vocation à accueillir la colline du crack de Paris » s’alarme le maire : Depuis bientôt un an la ville a reçu à l’insu des autorités municipales, « environ 500 migrants SDF transférés depuis Paris »
Serge Grouard, le maire de la ville préfecture du Loiret située à moins de deux heures de la capitale, s’insurge contre le transfert « en catimini » de migrants depuis Paris, en car, depuis des mois, et dénonce le silence des services de l’État.
JO 2024 : le centre de renseignement olympique émet une note sur les matchs sensibles à surveiller, dont le match de foot Israël-Mali, prévu au Parc des Princes 2 jours avant la cérémonie d’ouverture. “Un bon crash test” pour la journaliste de BFMTV…
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