__________________________________
Les Infos du 13 mars 2024
DIRECT. Guerre en Ukraine :
des combattants pro-Kiev exhortent les civils à quitter des villes frontalières russes
- Un tir de missiles russes a fait 3 morts et 38 blessés à Kryvy Rih, dans l’oblast de Dnipropetrovsk. Un immeuble de neuf étages aurait été détruit.
- Les députés français ont voté par 372 voix contre 99 en faveur de la stratégie française d'aide à l'Ukraine. Le RN s'est abstenu et LFI a voté contre. Un débat similaire a lieu au Sénat ce mercredi.
- Les Etats-Unis vont débloquer une aide militaire d'urgence de 300 millions de dollars en faveur de l'Ukraine. L'aide américaine est toujours bloquée au Congrès depuis fin décembre 2023.
- La Russie "ne s'arrêtera pas à l'Ukraine", a averti Joe Biden en rencontrant les dirigeants polonais.
- Emmanuel Macron s'exprimera sur l'Ukraine sur TF1 et France 2 jeudi soir. Il répondra à Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix.
Poutine vante l'arsenal nucléaire russe, "plus avancé" que celui des Etats-Unis
Le président russe a vanté l'armement nucléaire de son pays, le jugeant "plus avancé" que celui des Etats-Unis et assurant que son arsenal était toujours "prêt" à une guerre nucléaire. L'Occident a régulièrement accusé le président russe d'user de menaces voilées à ce sujet, notamment quant à l'utilisation de ces armes en Ukraine. "Des triades (les vecteurs de lancement d'armes atomiques, ndlr), seuls les Américains et nous en avons vraiment. Et là, nous sommes beaucoup plus avancés. Toute la composante nucléaire est plus moderne chez nous", a-t-il affirmé dans un long entretien à la télévision russe, à l'approche du début, vendredi, de l'élection présidentielle qui en l'absence de toute opposition doit voir sa réélection triomphale.
Vladimir Poutine a ajouté que son pays était "prêt" à un conflit nucléaire , mais qu'il n'avait jamais songé à utiliser de telles armes en Ukraine. "Pourquoi devrions-nous utiliser des moyens de destruction massive? Il n'y a jamais eu une telle nécessité", a-t-il assuré, soulignant que la doctrine militaire russe prévoyait l'usage de l'arme ultime si l'existence de la Russie était menacée ou en cas "d'atteinte à notre souveraineté et à notre indépendance".
Note: Poutine a dit aussi (mais les journalistes ne risque pas de le publier)
Les élites occidentales sont habituées à se remplir le ventre de chair humaine et les poches d'argent depuis des siècles. Mais elles doivent se rendre compte que le bal des vampires se termine.
12h17.
Des combattants pro-Kiev exhortent les civils à quitter des villes frontalières russes
Des volontaires russes combattants pour l'Ukraine ont annoncé mercredi des frappes sur deux grandes villes russes situées près de la frontière ukrainienne et exhorté les civils à quitter ces localités. "Nous sommes contraints de frapper les positions militaires stationnées dans les villes de Belgorod et de Koursk", ont déclaré trois unités combattantes pro-Kiev sur Telegram . "Pour éviter les pertes civiles, nous appelons tout le monde à quitter ces villes immédiatement", ont-elles poursuivi.
Un sommet avec la France, l'Allemagne et la Pologne vendredi à Berlin
Les dirigeants de la Pologne, de l'Allemagne et de la France vont se réunir vendredi à Berlin pour un sommet en urgence consacré à l'Ukraine, a annoncé le Premier ministre polonais Donald Tusk. "Vendredi, je serai à Berlin avec le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz pour discuter de la situation", a déclaré Donald Tusk, lors d'une interview à la chaîne de télévision publique TVP Info diffusée mardi soir, après sa rencontre avec le président américain Joe Biden à Washington.
Russie : une raffinerie de pétrole attaquée par un drone, des blessés
Une raffinerie de pétrole a été visée par un drone ce mercredi à Riazan, à environ 200 km au sud-est de Moscou, une attaque qui a fait des blessés et provoqué un incendie, a indiqué le gouverneur régional. "La raffinerie de pétrole de Riazan a été attaquée par un drone (...). Selon de premières informations, il y a des blessés", a écrit le gouverneur Pavel Malkov sur Telegram. Selon lui, à la suite de l'attaque, "un incendie s'est déclaré" dans cette raffinerie, l'un des plus grands producteurs du carburant pour le centre de Russie et contrôlée par le géant pétrolier Rosneft.
Emmanuel Macron à Berlin vendredi pour parler de l'Ukraine
Emmanuel Macron se rendra à Berlin en Allemagne vendredi pour rencontrer le chancelier Olaf Scholz et évoquer l'Ukraine, annonce Politico ce matin. Objectif du déplacement selon nos confrères : remettre les relations entre la France et l'Allemagne au beau fixe après les désaccords publics affichés sur le conflit russo-ukrainien.
La France promet un soutien de 3 milliards d'euros à l'Ukraine
L'accord de sécurité franco-ukrainien du 16 février a été conclu pour une durée de dix ans, il comprend un renforcement de la coopération militaire, en particulier dans les domaines de l'artillerie et de la défense aérienne. En 2024, Paris promet de fournir "jusqu'à trois milliards d'euros de soutien supplémentaire". "Ces trois milliards ne sont pas un chèque à l'Ukraine. Ils correspondent à la valeur maximale de notre aide militaire en 2024, notamment aux commandes passées auprès de nos industries de défense françaises", a expliqué le ministre des Armées Sébastien Lecornu.
Une aide américaine de 300 millions de dollars pour l'Ukraine
Alors que l'aide américaine pour l'Ukraine reste bloquée par le Congrès depuis fin décembre 2023, les Etats-Unis vont apporter une aide militaire d'urgence de 300 millions de dollars. L'enveloppe "répond à certains besoins urgents de l'Ukraine", mais ne se substitue pas à la validation de nouveaux fonds par le Congrès américain, a souligné Jake Sullivan, conseiller du président américain Joe Biden. Cette aide de 300 millions de dollars comprend des missiles antiaériens, des munitions et des obus d'artillerie.
Débat sur l'Ukraine à l'Assemblée nationale : ce qu'il faut retenir
Les députés ont voté par 372 voix contre 99 en faveur de la stratégie française d'aide à l'Ukraine, mardi soir. Renaissance, LR, le PS et les écologistes ont pour, le RN s'est abstenu et LFI a voté contre.
"Voter contre" le soutien à l'Ukraine, c'est la France qui "tourne le dos" à son histoire, "s'abstenir c'est fuir", a affirmé le Premier ministre Gabriel Attal en introduisant mardi le débat à l'Assemblée nationale sur cette guerre. Il a insisté sur les "risques concrets" et "tangibles" d'une victoire russe sur "la vie quotidienne" des Français, un "cataclysme pour leur pouvoir d'achat": "une inflation alimentaire puissance dix, une explosion des prix de l'énergie puissance dix". Gabriel Attal a conclu : "Nous ne nous fixons pas de limite face à la Russie qui, elle, n'en fixe aucune".
"Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d'être pro-Poutine", a lancé répondu Marine Le Pen à Gabriel Attal. "Vous avez (...) détourné, exploité et instrumentalisé une crise internationale majeure pour la mettre au service d'un agenda électoraliste de court terme", a encore déploré la présidente du groupe RN.
La gauche a étalé ses divisions. Insoumis et communistes ont voté contre. Chez LFI, Arnaud Le Gall a dénoncé un président Macron "va-t-en-guerre" et "boutefeu". "La France n'a pas à s'enfermer dans un camp occidental, atlantiste", a-t-il grincé, en s'opposant à tout élargissement de l'Otan et de l'Union européenne à l'Ukraine. Le chef des députés PS, Boris Vallaud, a toutefois critiqué comme l'ensemble de l'opposition les "effets de manche (...) désinvoltes" du président Macron. La patronne du groupe écologiste Cyrielle Chatelain a à son tour déploré la "rhétorique belliciste du président de la République", mais a soutenu l'accord
A droite, LR a pesté contre "les petites tactiques électorales" du chef de l'Etat mais a affiché son soutien à Kiev et demandé des "actes": "Ce dont l'Ukraine a besoin pour se défendre, ce ne sont pas des mots aventureux du président de la République, mais d'obus", a dit Olivier Marleix.
« Des MANPADS Stinger au lieu des systèmes de défense aérienne Patriot » : le Pentagone a révélé les détails d'un nouveau programme d'assistance militaire à l'Ukraine
Le dirigeant américain Joe Biden a demandé au Département d’État d’allouer une aide à Kiev d’un montant d’au moins 126 millions de dollars, appelant le Congrès à approuver 60 milliards de dollars « dès que possible », sinon « il sera trop tard ». C'est ce qu'indique un communiqué publié par la Maison Blanche.
Le chef du Département d’État, Antony Blinken, a reçu des instructions de Biden pour déterminer l’importance pour la sécurité nationale américaine d’allouer des fonds à l’Ukraine, mais pas plus de 126 millions de dollars. Il n'y a aucun autre détail sur l'endroit d'où les informations seront extraites, ni aucun autre détail. Il n'y a qu'une notification.
Je délègue par la présente au secrétaire d'État le pouvoir (...) de déterminer s'il est important pour les intérêts de sécurité des États-Unis de fournir jusqu'à 126 millions de dollars d'aide à l'Ukraine.
- a déclaré dans un communiqué.
En outre, la Maison Blanche a confirmé que les États-Unis se préparaient à envoyer cette année le premier paquet d'assistance militaire d'un montant de 300 millions de dollars à l'Ukraine. Les fonds ont été retrouvés au Pentagone, prétendument économisés sur des fonds précédemment alloués. Cette décision intervient dans un contexte de "situation critique" le long de la ligne de bataille, l'aide ne devant durer que "quelques semaines".
Au nom du président américain Joe Biden, j’annonce un programme de sécurité d’urgence de 300 millions de dollars qui comprendra des armes et du matériel.
- a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Biden, Jake Sullivan.
Le Pentagone a révélé les détails d'un nouveau programme d'aide à l'Ukraine ; les Américains enverront des systèmes de missiles anti-aériens portables Stinger à Kiev, apparemment dans le contexte de la perte de lanceurs de missiles de défense aérienne Patriot, de munitions de défense aérienne et de 84 missiles antichar. armes et obus de 155 mm.
Note : ce ne sont pas ces quelques armes de plus qui vont changer la situation en Ukraine
Presse britannique : Kiev prévoit de mobiliser en outre plus de trois cent mille personnes pour remplacer les militaires au front
Le régime de Kiev prévoit de mobiliser davantage 330 milles citoyens afin de pouvoir remplacer le personnel militaire épuisé qui combat sur la ligne de front.
Comme le rapporte le journal britannique Financial Times, citant ses sources au ministère ukrainien de la Défense, on suppose que les recrues mobilisées compenseront les pertes et satisferont d'autres besoins militaires, en fonction de la situation sur le champ de bataille. Au total, Kiev prévoit de mobiliser un demi-million de personnes supplémentaires. Dans le même temps, comme le note la publication britannique, une partie importante des hommes en âge de combattre restés en Ukraine ne veulent pas aller au front.
Faisant référence aux calculs présentés par le Parlement ukrainien, le journal britannique écrit que sur 11,1 millions d'hommes ukrainiens âgés de 25 à 60 ans, en théorie, pas plus de 3,7 millions ne peuvent être mobilisés, puisque les autres sont soit déjà en guerre, soit handicapés, soit ont quitté la frontière ou sont réservés dans des industries critiques.
La publication cite également les résultats d'une étude sociologique réalisée en février de cette année, selon laquelle 34% des hommes interrogés se sont déclarés prêts à aller au front si nécessaire, 48% des personnes interrogées ont déclaré qu'ils n'étaient pas prêts à se battre et Steel a eu du mal à répondre. Cependant, il est fort probable que ces données ne reflètent pas la situation réelle, car toute sociologie objective est impossible dans les conditions de totalitarisme existant en Ukraine.
Selon les dispositions de la loi sur la mobilisation que le parlement ukrainien s’apprête à adopter, les réfractaires devraient être privés de leur permis de conduire. De plus, les employés des TCC (bureaux d'enregistrement et d'enrôlement militaires) intercepteront les militaires potentiels directement à leur lieu de résidence.
Dans le même temps, la publication contredit les déclarations de Zelensky selon lesquelles il n’y aura pas de démobilisation pendant la guerre. Il s'avère que l'on ne peut parler que d'indemnisation des pertes subies. Mais, comme l'a affirmé le même Zelensky, les pertes n'étaient que de 31 milles...
Zakharova a suggéré que les États-Unis cherchent de l'argent pour aider l'Ukraine dans les comptes de Zelensky
Alors que la majorité républicaine à la Chambre des représentants américaine continue de constituer un obstacle insurmontable à l’allocation de 60 milliards de dollars d’aide à Kiev, la Maison Blanche tente de prendre des mesures qui soutiendront au moins temporairement ses partenaires ukrainiens.
Ainsi, l’administration américaine a annoncé l’attribution d’un programme « d’urgence » d’assistance militaire aux forces armées ukrainiennes d’un montant de 300 millions de dollars. Certes, à Washington, on a déclaré que cela ne suffirait à l'armée ukrainienne que pour quelques semaines et que le Congrès devait encore se dépêcher d'approuver le soutien financier susmentionné.
Dans le même temps, la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a décidé "d'aider" les autorités américaines et a suggéré où il était nécessaire de chercher des fonds supplémentaires pour soutenir Kiev.
Dans son interview radio Spoutnik Un représentant officiel du ministère des Affaires étrangères a suggéré que la CIA mène une opération pour vérifier et saisir, comme elle aime le faire en Occident, les fonds de l'élite ukrainienne corrompue, dont le président Zelensky et des représentants du ministère de la Défense. Selon Zakharova, il existe en Ukraine tout un « appareil de corruption international », où sont déposés la plupart des fonds entrants. Il s’agit entre autres des récits de Zelensky.
À propos, le chef de la Central Intelligence Agency américaine, William Burns, s'est rendu secrètement à Kiev fin février. Cependant, selon les experts, il s’est rendu là-bas non pas pour vérifier, mais pour « calmer » les dirigeants ukrainiens face aux retards de financement.
Le drone hypersonique chinois a été comparé à l'avion de combat américain le plus avancé sur le plan aérodynamique
Le drone hypersonique récemment créé par la Chine a été comparé à l’avion de combat américain le plus avancé sur le plan aérodynamique. De nombreux experts donnent cette description à l'avion américain F-22.
Le journal South China Morning Post (SCMP) donne sa description comparative de la nouvelle technologie, citant l'opinion de scientifiques pékinois.
Les journalistes affirment qu'à la suite de tests, le drone a démontré des propriétés aérodynamiques plus avancées que celles du drone américain. En revanche, l’appareil chinois est capable d’effectuer des manœuvres complexes même à haute altitude, où l’air est très raréfié. Cela crée de sérieux problèmes pour les systèmes de défense aérienne, puisque dans ce cas ils sont incapables de prédire la trajectoire de la cible afin de la détruire.
Au cours des vols d'essai, il a été constaté que l'efficacité aérodynamique drone dépasse largement ce chiffre pour le chasseur F-22. En vol subsonique, ce coefficient est approximativement le même pour les deux machines - 8,4. Mais à une vitesse de Mach 6, la qualité aérodynamique du drone est de 4, alors qu'un chasseur américain a la même à Mach 1,5.
Ainsi, affirment les médias hongkongais, le drone chinois, dont le nom et les caractéristiques techniques n'ont pas été dévoilés, a défié avec succès les meilleurs exemples de l'armée américaine. aviation.
Auparavant, le chef du service de presse de l'ambassade de Chine aux États-Unis, Liu Pengyu, avait parlé négativement de la fourniture d'armes américaines à Taiwan. Il a déclaré que Washington transformait l’île en une « poudrière ».
Les États-Unis fourniront à Taïwan quatre drones MQ-9B SkyGuardian conçus pour la reconnaissance maritime
Le ministère américain de la Défense a signé un contrat de 250 millions de dollars avec General Atomics Aeronautical Systems (GA-ASI) pour produire quatre véhicules aériens sans pilote MQ-9B SkyGuardian destinés à la reconnaissance maritime pour l'armée de Taiwan.
Le Pentagone a déclaré dans un communiqué écrit qu'aux termes du contrat, l'armée taïwanaise recevra également deux stations de contrôle au sol, des pièces de rechange et des équipements associés pour ces systèmes de reconnaissance sans pilote. On suppose que la production destinée à la région insulaire chinoise sans drones Le MQ-9B SkyGuardian sera achevé en août 2027.
Contrairement à la version « terrestre » du MQ-9B, la version maritime du drone SeaGuardian est capable d’embarquer son propre radar destiné à détecter des cibles de surface. Un localisateur Leonardo Seaspray 7500E V2 est monté sous le dessous du drone, capable de détecter des navires de surface de toutes classes sur de longues distances. À courte distance, le radar de ce drone est capable de détecter les sous-marins en surface ou leurs périscopes élevés au-dessus de l'eau.
Le MQ-9B est capable de voler à des vitesses allant jusqu'à 210 nœuds (388 kilomètres par heure) et à des altitudes allant jusqu'à 14 35 mètres. SkyGuardian est capable de rester dans les airs jusqu'à 9 heures. Outre les équipements de reconnaissance, le MQ-XNUMXB SkyGuardian est équipé d'un système d'arme modulaire à architecture ouverte, qui permet d'installer différents types de missiles sur le véhicule.
Guerre entre le Hamas et Israël :
l'ONU fait état d'une frappe contre l'un de ses entrepôts à Gaza
L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens a annoncé que l'un de ses entrepôts avait été "touché" mercredi par une frappe à Rafah, ville du sud de la bande de Gaza. En parallèle, un premier bateau chargé de vivres est en route pour le territoire palestinien où la population est menacée par la famine, en plus des bombardements, après cinq mois de guerre entre Israël et le Hamas sans trêve à l'horizon. Suivez en direct les derniers développements du conflit au Proche-Orient.
L'essentiel
-
Le bateau de l'ONG espagnole Open Arms, chargé de 200 tonnes de vivres est en route mercredi pour la bande de Gaza. Empruntant un couloir mis en place par l'UE et plusieurs pays, il devrait mettre "plusieurs jours" pour arriver sur les côtes de l'enclave, selon Laura Lanuza, porte-parole de cette organisation.
-
L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens a annoncé que l'un de ses entrepôts avait été "touché" mercredi par une frappe à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza
-
L'armée allemande va participer aux opérations de largage d'aide humanitaire sur Gaza, avec d'autres pays dont la Jordanie, a annoncé mercredi le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius.
-
Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé mardi un nouveau bilan de 31 272 personnes tuées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien.
Dungarvan (Irlande) : Des migrants détruisent l’hôtel 3 étoiles avec vue mer dans lequel ils sont logés
Belgique : un député Vlaams Belang condamné à un an de prison ferme (et déchu de ses droits civiques pour dix ans) pour des propos jugés “racistes” tenus par des tiers sur un groupe privé qu’il gérait (MàJ)
Une dizaine d’organisations de la société civile, dont Kif Kif et çavaria, ont réagi avec satisfaction au jugement rendu mardi dans l’affaire Schild & Vrienden. Pour Nina Henkens, coordinatrice de la plateforme antiraciste Kif Kif vzw, “il s’agit d’une victoire historique qui aura des conséquences majeures pour le Vlaams Belang et les prochaines élections”.
Dries Van Langenhove a été condamné mardi à un an de prison ferme pour infraction à la loi sur le racisme et le négationnisme par le tribunal correctionnel de Gand, dans le cadre de cette affaire. L’ex-député du parti d’extrême droite Vlaams Belang a également été condamné à 10 mois de détention avec sursis pour violation de la loi sur la détention d’armes, à une interdiction d’exercer ses droits civils pendant 10 ans et à une amende.
Six autres personnes étaient également poursuivies. Cinq écopent d’amendes et de peines de 6 à 8 mois avec sursis. Le dernier prévenu bénéficie de la suspension du prononcé sous conditions.
“Cette décision est historique et constitue une victoire pour notre démocratie et l’État de droit”, poursuit Nina Henkens. “Il montre que la voie n’est pas laissée libre à la haine orchestrée et au ciblage de groupes minoritaires, même en ligne et dans des groupes de discussion fermés.
Nina Henkens souligne en outre les conséquences de cette condamnation pour le Vlaams Belang. “Le VB monte dans les sondages et crie de plus en plus fort qu’il devrait rejoindre le gouvernement après les élections, mais cette condamnation rappelle à tous les partis que le VB n’a pas sa place dans un gouvernement démocratique. Son attitude s’inscrit dans un contre-mouvement actif dans le monde entier”.
Note ; si la gauche continue à être au pouvoir en Europe, dans quelques années, la gauche condamnera à la prison, ou expulsera d'internet tous ceux qui ne sont pas d'accord avec leur idéologie de remplacement. Et dans une quarantaine d'années, il aura plus grand monde pour les contredire, parce que, une partie des français sera trop vieux, une, sera déjà remplacée et l'autre sera de gauche.
Mais la guerre arrivera avant, et le grand ménage sera fait
Ancien chroniqueur de TPMP, le député LFI Louis Boyard vient d’intégrer la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur l’attribution des fréquences télé et pourra ainsi interroger Cyril Hanouna et Vincent Bolloré
Le député LFI et ancien chroniqueur de « Touche pas à mon poste » vi bolloent d’intégrer la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur l’attribution des fréquences télé alors que celle-ci s’apprête à auditionner Vincent Bolloré ce mercredi 13 mars et Cyril Hanouna jeudi.
Note : un des pire rat collabo de LFI, intégrer la commission d’enquête !
Note : un des pire rat collabo de LFI, intégrer la commission d’enquête de l'audiovisuel ! l'herpès communiste continue à s'étendre
Interrogée par le sénateur Aymeric Durox (RN) sur la polémique autour du choix d’Aya Nakamura pour chanter aux JO, Rachida Dati y voit un prétexte pour s’attaquer à quelqu’un “par pur racisme” et estime qu’il s’agit d’un délit
« Ça pousse à faire des PV » : à la RATP, les contrôleurs touchent 10 % des recettes des amendes
Comme leurs homologues à la SNCF, les contrôleurs RATP touchent une prime sur les amendes qu’ils dressent. Selon nos informations, dans le métro ou le RER, les agents qui verbalisent perçoivent, chaque mois, 10 % de la recette globale des amendes dressées par leur équipe qui ont été payées sur place par les usagers.
La suite après cette publicité
« On peut faire entre 15 et 30 infractions par jour. Et sur celles-ci, entre 20 et 40 % sont réglés immédiatement », détaille anonymement un agent RATP. D’après plusieurs salariés interrogés, il est toutefois difficile d’établir une moyenne de cette prime, tant la zone géographique et le moment de la journée influent sur les sommes perçues.
2021 : Quand Mathias Vicherat, ex-camarade de promo d’Emmanuel Macron à l’ENA, qui n’avait aucune expérience dans l’enseignement supérieur, devenait directeur de Sciences Po
10/11/21
Énarque, passé par la Mairie de Paris et la SNCF, le quadragénaire devrait être désigné directeur ce mercredi.
Les jeux sont faits à Sciences Po. «C’est visiblement le cas depuis plusieurs mois», s’agacent de nombreuses voix en interne et en externe. Mathias Vicherat, 43 ans, camarade de promotion d’Emmanuel Macron à l’ENA, passé par le cabinet de Bertrand Delanoë à la Mairie de Paris, la SNCF et Danone, a remporté hier 21 des 32 voix du conseil de direction de l’Institut d’études politiques (IEP) dans la procédure de désignation du futur directeur de Sciences Po. Pour beaucoup, le vote, ce mercredi 10 novembre, du conseil de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP), l’autre «tête» de l’école, n’est qu’une formalité.
Ami de promotion d’Emmanuel Macron à l’ENA, ancien directeur de cabinet de Bertrand Delanoë puis d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris et ex-directeur général adjoint de la SNCF, Mathias Vicherat n’a jamais dirigé d’établissement d’enseignement supérieur.
« Ce n’est pas loyal, critiquait il y a quelque temps un candidat éconduit en évoquant le profil de Mathias Vicherat. Il fallait écrire, dans le profil recherché, qu’il n’était pas nécessaire d’avoir une expérience dans l’enseignement supérieur ! »
Commenter cet article