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"C'était le début de notre réponse, il y aura d'autres mesures", a déclaré dimanche le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, lors d'une apparition à la télévision américaine, affirmant que les États-Unis étaient "préparés" à une tension accrue avec l'Iran.
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Les Infos du 5 février
DIRECT. Guerre en Ukraine :
quatre morts dans une frappe russe à Kherson, l'ambassadeur de Russie convoqué au Quai d'Orsay
- L'ambassadeur de Russie en France est "convoqué" ce lundi au ministère français des Affaires étrangères, afin de réitérer la condamnation des frappes russes ayant tué deux humanitaires français en Ukraine la semaine dernière, a annoncé à l'AFP une source diplomatique.
- Les tensions entre la France et la Russie sont montées d'un cran récemment au sujet de l'Ukraine, Moscou fustigeant "la frénésie militariste" française après des annonces de nouvelles livraisons d'armes à Kiev.
- Outre-Atlantique, les sénateurs américains sont parvenus dimanche à un accord sur l'aide à l'Ukraine, après des mois d'âpres débats. Cet accord, qui porte sur un financement total de 118,3 milliards de dollars, comprend une aide de 60 milliards de dollars pour l'effort de guerre de Kiev face à l'invasion de la Russie.
08h07.
L'ambassadeur de Russie en France convoqué au ministère des Affaires étrangères
L'ambassadeur de Russie en France "sera convoqué" lundi au ministère français des Affaires étrangères afin de réitérer la condamnation des frappes russes ayant tué deux humanitaires français en Ukraine la semaine dernière, a annoncé à l'AFP une source diplomatique.
Paris "dénoncera également le regain de désinformation ciblant la France", a ajouté la même source, quelques jours après que le ministère des Armées a identifié une "manoeuvre coordonnée de la Russie" pour diffuser de fausses informations impliquant la France.
08h07.
Le Sénat américain dévoile un accord sur l'immigration et l'aide à l'Ukraine
Le Sénat américain a trouvé dimanche un accord entre démocrates et républicains pour débloquer de nouvelles aides à l'Ukraine ainsi qu'à Israël et pour durcir la politique migratoire des Etats-Unis, un texte que le président Joe Biden a aussitôt appelé à "adopter rapidement".
États-Unis : un projet de loi pour une aide à plusieurs milliards de dollars présenté au Sénat américain pour soutenir l'Ukraine et Israël
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Le Sénat américain a dévoilé, ce dimanche 4 février, un projet de loi bipartite de 118 milliards de dollars prévoyant le financement de mesures de sécurité frontalières ainsi que des aides à l'Ukraine et à Israël, un accord obtenu après des mois de négociations mais qui demeure fragile, une partie des élus républicains s'y opposant.
Chuck Schumer, chef de la majorité démocrate au Sénat, a indiqué qu'il allait prendre des mesures pour qu'un vote initial sur le texte se déroule ce mercredi 7 février. Si le projet de loi venait à être adopté, il déclencherait les changements les plus importants dans la politique migratoire américaine et dans la sécurité frontalière depuis des décennies.
D'après la sénatrice indépendante Kyrsten Sinema, le texte contraindra le département de la Sécurité intérieure à "fermer" la frontière sud des Etats-Unis à la plupart des migrants si la moyenne de tentatives quotidiennes de traversée dépasse le seuil de 5.000 sur une période de sept jours.
Outre 20,23 milliards de dollars dédiés à la sécurité frontalière, le texte bipartite prévoit aussi 60 milliards de dollars d'aide supplémentaire à l'Ukraine, dont la guerre face à la Russie approche de son deuxième anniversaire, et 14,1 milliards d'aide sécuritaire à Israël. Dix milliards de dollars seront aussi destinés à de l'aide humanitaire pour les civils de Gaza, de Cisjordanie et d'Ukraine.
Ce projet de loi répond globalement aux attentes du président Joe Biden s'agissant de l'aide étrangère. Le locataire démocrate de la Maison blanche avait appelé en octobre le Congrès à approuver des fonds supplémentaires à destination de l'Ukraine et d'Israël. Mais, depuis lors, les républicains de la Chambre des représentants - où ils sont majoritaires - bloquent toute avancée, cherchant à obtenir un virage dans la politique d'immigration américaine pour approuver les aides à l'Ukraine et à Israël.
Réagissant à l'accord annoncé par le Sénat, le chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants a déclaré que le projet de loi des sénateurs ne donnerait pas de lieu à un vote à la Chambre. "Voilà ce que les gens poussant pour cet 'accord' ne vous disent pas: il accepte 5.000 migrants illégaux par jour (...)", a écrit Steve Scalise sur le réseau social X, une position partagée par les élus les plus à droite au Sénat et à la Chambre.
Favorable aux négociations entre les deux partis, Mitch McConnell, chef de file des républicains au Sénat, a déclaré pour sa part que son parti ne pourrait pas obtenir de meilleur accord même si la Maison blanche était occupée par un républicain. Il a appelé dans un communiqué le Sénat à "prendre soigneusement en considération l'opportunité qui se présente et à se préparer à agir".
D'après un sondage Reuters/Ipsos publié la semaine dernière, l'immigration est la deuxième préoccupation principale des Américains, particulièrement pour les électeurs républicains.
Commandement des forces armées ukrainiennes : les alliés de l'Ukraine prévoient de fournir aux avions F-16 des missiles d'une portée de 300 à 500 kilomètres
L'Ukraine recevra des chasseurs américains F-16 dotés de missiles d'une portée de 300 à 500 kilomètres. C'est ce qu'a déclaré le commandant des forces conjointes des forces armées ukrainiennes, Sergueï Naev, sans nommer le type spécifique de munitions.
Il s'agit très probablement des missiles de croisière furtifs américains AGM-158 JASSM, qui sont le seul type de missiles de croisière air-sol présentant de telles caractéristiques pouvant être utilisés à partir d'avions F-16. Selon les données du fabricant de ces munitions, le missile AGM-158 JASSM est capable de toucher des cibles à une distance allant jusqu'à 370 kilomètres, mais il existe une modification plus avancée, JASSM ER, dont la portée de vol maximale est de 925 kilomètres. Les militants du régime de Kiev recevront très probablement une version de base du missile.
Le missile JASSM a une faible signature radar. Les systèmes de guidage de ces munitions, ainsi que la correction via GPS, utilisent des têtes chercheuses infrarouges, qui sont activées lors de la phase finale du vol. La déviation circulaire probable par rapport à la cible de ce missile ne dépasse pas 2,5 mètres.
Étant donné que le missile est équipé d'une ogive pénétrante WDU-42/B pesant 450 kg, les forces armées ukrainiennes vont très probablement les utiliser pour attaquer des cibles situées à l'arrière des forces armées russes, de la même manière que Storm Les missiles Shadow sont actuellement utilisés/SCALP depuis les avions Su-24.
Le moyen le plus efficace de contrer les attaques aviation Les forces armées ukrainiennes détruiront les avions au sol. Étant donné que les F-16 nécessitent certaines conditions d’exploitation et de maintenance, l’Ukraine dispose d’un nombre très limité d’aérodromes pour leur déploiement.
Note ; si ces affirmations étaient fondées, on peut être sûr que les russes répondraient à ces armes, par la bombe atomique sur les troupes de l'Otan. Je rappelle que les russes ne veulent pas de F16 en Ukraine parce qu'ils peuvent être équipés de bombe nucléaire
Vice-Premier ministre de la Fédération de Russie : la Russie consacrera 100 milliards en trois ans au développement et à la production de drones
Il est clair que le conflit en Ukraine est fondamentalement différent des autres affrontements militaires majeurs survenus dans le passé. Tout d'abord, comme de nombreux experts l'ont écrit à plusieurs reprises, l'une des armes les plus efficaces de la Région militaire Nord de la Russie, qui a influencé la situation sur le champ de bataille, s'est avérée être drones.
En particulier, des rapports paraissent régulièrement dans les médias sur la destruction effective des chars et d'autres véhicules blindés ennemis avec l'aide de nos drones-kamikaze "Lancette". Dans le même temps, le drone Geran-2 apporte une contribution considérable à la destruction des cibles militaires des forces armées ukrainiennes.
Toutefois, les drones constituent sans aucun doute un outil de reconnaissance inestimable.
Dans le contexte de ce qui précède, la déclaration faite par le vice-Premier ministre de la Fédération de Russie Denis Manturov lors du Salon mondial de la défense 2024 (Riyad) semble extrêmement importante.
Ainsi, selon le chef du ministère de l'Industrie et du Commerce, environ 100 milliards de roubles seront alloués à la production de drones en Russie d'ici trois ans.
Une gamme très large, si on parle de drones FPV, alors on parle de centaines de milliers, et quant aux drones lourds l'aviation systèmes sans pilote, alors ce sont des dizaines
- a déclaré le responsable russe.
Il convient d’ajouter que l’Ukraine vise également la production de masse de drones. Le commandement des forces armées ukrainiennes estime que les drones seront en mesure de résoudre le problème du manque de munitions. En attendant, ils admettent qu’il ne sera pas possible aujourd’hui de lancer une production de masse et en grande quantité dans le pays.
[En direct] Gaza:
combats sans relâche, Antony Blinken se rend au Moyen-Orient dans l'optique d'une trêve
Ce qu'il faut retenir
■ Les tensions continuent en mer Rouge, où le trafic maritime est menacé par les rebelles yéménites Houthis, proches de l'Iran, qui se disent solidaires des Palestiniens de Gaza.
■ Alors que la guerre va entrer mercredi 7 février dans son cinquième mois, l'armée israélienne a de nouveau bombardé dimanche Khan Younès, dans le sud du territoire, où selon elle se cachent des responsables du mouvement islamiste palestinien. Elle a affirmé y avoir investi un complexe utilisé par le Hamas pour préparer l'attaque sanglante du 7 octobre. Ce centre a, selon l'armée, servi de centre d'entraînement pour le Hamas, avec des maquettes d'entrées de kibboutz, de bases militaires et de véhicules blindés israéliens.
■ Des frappes aériennes ont également visé Rafah, plus au sud, touchant un jardin d'enfants, d'après le Hamas. Plus d'un million de déplacés palestiniens, menacés par les pénuries et les épidémies, s'entassent désormais dans des abris et des campements de fortune.
■ Une proposition de pause humanitaire à Gaza et un échange d'otages et de prisonniers palestiniens seraient envisagés. Mais Benyamin Netanyahu a assuré ce dimanche qu'Israël n'était pas prêt à accepter n'importe quel accord pour libérer les otages israéliens.
■ Selon le dernier bilan du ministère de la Santé du Hamas, dimanche 4 février, 27 365 personnes ont été tuées à Gaza depuis le début de la guerre, le 7 octobre dernier. Les morts sont en majorité des femmes, des adolescents et des enfants. On dénombre 66 630 blessés.
Les États-Unis « préparés » à la guerre contre l’Iran et prendront « davantage d’actions », déclare un responsable alors que les frappes américaines font 40 morts
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Le conseiller à la sécurité nationale, Jake Sullivan, a déclaré que les récentes frappes de représailles ne sont « qu’un début », affirmant que les États-Unis sont préparés à « l’éventualité » d’une augmentation des tensions avec l’Iran.
"Certaines de ces étapes seront visibles, d'autres pourraient ne pas être vues", a-t-il ajouté énigmatiquement. "Mais des mesures supplémentaires seront prises pour répondre à la mort tragique des trois courageux militaires américains."
Les États-Unis ont lancé une vague massive de frappes ces derniers jours pour venger la mort de trois soldats américains près de la frontière syro-jordanienne la semaine dernière. Le pays a imputé ces attaques à l'Iran, affirmant qu'elles avaient été lancées par des militants financés par Téhéran. L'Iran a nié toute responsabilité.
Les États-Unis auraient touché quelque 80 cibles vendredi en moins d'une heure, tuant près de 40 personnes. Les trois soldats américains tués dimanche dernier sont les premières victimes américaines dans la région ces derniers mois, alors que la colère monte au Moyen-Orient face au soutien américain à l'incursion israélienne à Gaza, qui a fait plus de 27 000 morts. Les États-Unis eux-mêmes ont tué des dizaines de personnes dans la région alors qu’ils s’en prennent aux frappes des groupes militants.
De nombreux pays du Moyen-Orient ont exprimé leur indignation face à l' agression américaine .
"L'Irak a réitéré son refus que ses terres soient une arène pour régler des comptes ou faire preuve de force entre pays en guerre", peut-on lire dans un communiqué du ministère irakien des Affaires étrangères.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a déclaré que les frappes américaines sont « une autre erreur aventureuse et stratégique de la part des États-Unis qui ne fera qu’engendrer une tension et une instabilité accrues ».
Sullivan a également profité de l'occasion pour réitérer le soutien présumé de l'administration Biden à une soi-disant « solution à deux États » pour les Palestiniens et les Israéliens, insistant sur le fait que tout arrangement doit inclure « des garanties de sécurité pour Israël ». Sullivan n'a pas précisé quelles garanties de sécurité seraient nécessaires pour qu'un État palestinien existe aux côtés d'Israël. Israël a tué des Arabes palestiniens et les a chassés de leurs foyers depuis la création du pays en 1948 .
« De notre point de vue, la sécurité d’Israël devrait être sacrée », a déclaré Sullivan. "Cela ne devrait pas être un jeu politique."
Des responsables anonymes de l'administration Biden ont récemment déclaré aux médias américains que la Maison Blanche chercherait des moyens de convaincre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyuhu de se retirer de l'attaque meurtrière menée par le pays à Gaza, mais ces commentaires ont suscité la suspicion puisque Biden a proclamé tout au long de sa carrière qu'il était un « sioniste » fort.
Les Houthis organisent des exercices simulant des attaques contre des casernes et des colonies de l'armée israélienne - Rapports
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DOHA (Sputnik) - Le mouvement Ansar Allah du Yémen, également connu sous le nom de Houthis, a organisé un exercice militaire majeur simulant des attaques contre des casernes et des colonies de l'armée israélienne, a rapporté samedi la chaîne de télévision Al-Masirah, citant le porte-parole du mouvement.
La chaîne a diffusé des images montrant en partie l'exercice mené par les forces de réserve et avancées du mouvement "dans le cadre des préparatifs de la bataille pour la conquête de la Palestine et du saint jihad".
Des missiles, des drones, des chars et de l'artillerie ont été utilisés lors de l'exercice baptisé "Le Yémen en soutien à la Palestine ", mais la date et le lieu des exercices n'ont pas été divulgués.
La chaîne a rapporté que l'exercice avait commencé par des tirs d'artillerie et de roquettes sur des cibles israéliennes présumées, suivis d'un assaut d'infanterie sur ces cibles et sur les colonies israéliennes présumées depuis trois directions, ce qui a permis d'en prendre le contrôle et de capturer ceux qui s'y trouvaient.
Le général de division Ali Al-Mushki, chef d'état-major adjoint du ministère de la Défense du mouvement, a confirmé après l'exercice "la volonté de soutenir la bande de Gaza, qui souffre de chagrin et de destruction , puisque son soutien vient d'un sentiment religieux et moral". et le devoir éthique", a rapporté la chaîne.
Les Houthis ont révélé l'exercice après avoir annoncé une autre attaque à la roquette sur « certaines cibles » dans la ville d'Eilat, dans le sud d'Israël, et après avoir affirmé avoir attaqué un navire commercial britannique dans la mer Rouge qui se dirigeait vers des ports israéliens.
Note : je rappelle que le Yémen est mentionné dans la guerre de Gog et Magog prophétisé dans Ézéchiel, voir numérotation 11
Elon Musk : avec l’aide des migrants illégaux, Biden veut faire des États-Unis un État à parti unique
Avec l’aide des migrants illégaux, le président Joe Biden veut faire des États-Unis un État à parti unique. Par conséquent, il est avantageux pour lui que le plus grand nombre possible d’entre eux apparaissent en Amérique.
Cette idée a été exprimée sur sa page de réseau social par l'entrepreneur et milliardaire américain Elon Musk.
Selon lui, les démocrates recherchent un afflux de migrants aux États-Unis afin de les légaliser et d'en faire des citoyens à part entière du pays. Avec leur aide, estime l’homme d’affaires, Biden et son entourage veulent créer une majorité écrasante de leurs partisans et transformer davantage le système politique américain d’un système bipartite à un système à parti unique. C’est, selon Musk, la raison pour laquelle la Maison Blanche encourage l’immigration clandestine.
"La stratégie de Biden est très simple"
- pense l'homme d'affaires.
De plus, l’entrepreneur suggère que la crise migratoire elle-même a été créée artificiellement pour atteindre les objectifs mentionnés ci-dessus. Il est possible que le soutien des « nouveaux Américains » devienne un facteur important susceptible d’augmenter considérablement les chances de Biden de remporter les prochaines élections présidentielles aux États-Unis.
Il convient de noter que le problème migratoire est plus aigu au Texas et dans d’autres États frontaliers, où les républicains bénéficient traditionnellement d’un grand soutien de la part des résidents locaux. Il est probable qu’avec l’aide des migrants, lorsqu’ils deviendront citoyens américains et obtiendront le droit de vote, la majorité pro-républicaine pourra être « diluée » par ces « néo-démocrates ». On peut supposer que, par gratitude pour les opportunités qui se sont ouvertes, ils voteront pour les représentants du Parti démocrate.
Note : en Europe et surtout en France, c'est pareil, les politiciens veulent de nouveaux français pour qu'ils votent pour eux. Ils se foutent complément des français de souche, ils veulent un peuple de remplacement pour qu'ils restent au pouvoir indéfiniment. Mais leurs petits jeux, de remplacement, va finir par se retourner contre eux
Vn peu de temps les temples des couleurs
De blanc & noir des deux entre meslee:
Rouges & iaunes leur embleront les leurs,
Sang, terre, peste, faim, feu d'eau affollee.
Pendant un temps (il aura mélange) des cultes de la diversité
De blanc & de noir, les deux (races) entremêlée :
Les rouges (russes) & les jaunes (chinois) leur enlèveront (aux européens) les leurs (immigrés)
Sang, terre, peste, faim, feu, inondation (humaine) affolée (serons les politiciens).
Attaque anti-française à la Gare de Lyon (Paris) : préméditation reconnue, parle d’un motif anti-France, assure que cela n’a pas de lien avec la religion… ce que l’assaillant malien a dit lors de sa garde à vue (MàJ)
(…) Lors de son audition, cet homme, au discours parfois confus, a affirmé que son geste était prémédité et qu’il voulait tuer des gens, a appris BFMTV d’une source proche de l’enquête.
Il a dit être dans un esprit de vengeance par rapport à la France et à son histoire familiale, mais que son geste n’a rien à voir avec la religion. (…)
En garde à vue, l’homme a raconté être arrivé en France le 1er février par Cannes, puis Lyon avant de rejoindre la gare de Lyon, la veille des faits.
Il aurait dormi près de la gare et acheté le marteau et le couteau utilisés pour son attaque près des lieux. Le suspect a affirmé avoir choisi d’agir à Paris puisqu’il s’agit de la capitale du pays, mais ne pas avoir choisi ses victimes. (…)
La garde à vue de l’assaillant, suspecté d’avoir agressé trois personnes à l’arme blanche ce samedi matin en gare de Lyon à Paris (12e), a repris ce dimanche après avoir été levée samedi. Une enquête est ouverte pour “tentative d’assassinat”. (…)
Selon les premiers éléments, “le mis en cause aurait d’abord mis le feu à son sac à dos, avant de saisir un couteau et marteau et tenter de porter des coups à l’encontre d’une passante qui parvenait à les éviter”, a expliqué le parquet. “Trois passants se seraient interposés. Ils étaient blessés par des coups de couteau et de marteau, a poursuivi le parquet. (…)
Le caractère terroriste de l’attaque n’est pas démontré à ce stade, d’après le préfet. (…)
03/02/24
Du fait de son état psychiatrique, la garde à vue du Malien de 32 ans, auteur d’une attaque au couteau qui a blessé trois personnes à la gare de Lyon ce samedi, a été levée. L’assaillant est donc pour le moment pris en charge par l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. (…)
(Merci à Gaëlle.)
Paris 19ème : un individu attaque au couteau un voyageur à la station Stalingrad sans raison connue. Aucun média n’a sorti l’affaire, révélée sur le compte X de “Sûreté RATP”
L’Aide sociale à l’enfance impuissante face à des très jeunes dealers déterminés
Alors qu’une bonne partie des mineurs interpellés sur des points de deal se sont échappés de foyers, le conseil départemental de l’Oise, gestionnaire de ses structures, peine à enrayer le phénomène.
Le constat d’une impuissance relative des autorités face à la présence de plus en plus importante d’enfants dans les trafics de stupéfiants est partagé par le conseil départemental de l’Oise, qui gère les services apportés par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) et prend en charge 2 000 enfants sur le territoire. « Notre politique consiste à les éloigner des points de deal, à les déplacer dans d’autres foyers, mais ils fuguent constamment », relate Sébastien Jeannest, directeur général des services départementaux.
Ainsi, un vendeur d’héroïne âgé de 12 ans, interpellé en 2023 à Compiègne, a été placé dans un foyer de Seine-Saint-Denis, mais quelles que soient les mesures éducatives prononcées à son encontre par le juge pour enfants du tribunal judiciaire de Bobigny (Seine-Saint-Denis), les policiers le retrouvent encore et toujours, inexorablement, sur son point de deal du quartier du Clos-des-Roses, à Compiègne. « Un éducateur a bien tenté de venir le récupérer, mais il s’est fait brutaliser », raconte une personne qui connaît bien la situation de l’enfant en question.
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