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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 17 février

 

 

 

 

DIRECT. Guerre en Ukraine :

le retrait d'Avdiïvka est une décision "juste" pour Zelensky, arrestations de russes pro-Navalny à Moscou

 

 

  • L'armée ukrainienne a été contrainte d'abandonner la ville d'Avdiïvka dans l'est du pays, au coeur de combats intenses depuis plusieurs mois. Des soldats ukrainiens auraient par ailleurs été capturés
  • Une victoire symbolique importante pour Moscou après l'échec de la contre-offensive lancée par Kiev l'été dernier.
  • Volodomyr Zelensky doit retourner aujourd'hui en Allemagne pour s'adresser aux dirigeants occidentaux et s'assurer d'une large mobilisation en faveur de son pays
  • Le président ukrainien, qui vient d'obtenir des garanties de Paris et Berlin, tiendra un discours dans la matinée à la Conférence sur la sécurité de Munich. Il doit par ailleurs s'entretenir avec la vice-présidente américaine Kamala Harris, et avoir un nouveau tête-à-tête avec le chancelier Olaf Scholz.
  • Après la mort de l'opposant russe Alexeï Navalny, le gouvernement britannique a convoqué les diplomates de l'ambassade de Russie hier pour leur faire savoir que les autorités russes sont tenues "pleinement responsables" de sa mort

 

Pékin refuse de commenter la mort de Navalny

Le ministère chinois des Affaires étrangères n'a pas souhaité commenter la mort en prison de l'opposant politique russe. "C'est une affaire interne à la Russie. Je ne la commenterai pas", a affirmé un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, en réponse à une question d'un journaliste de l'AFP.

 

Mort de Navalny : de nouvelles arrestations à Moscou

Une quinzaine de personnes ont été arrêtées à la mi-journée par la police russe lors d'un rassemblement à Moscou à la mémoire de l'opposant Alexeï Navalny, aannoncé le média indépendant russe Sota. Selon des vidéos diffusées sur le compte Telegram de ce média, les policiers, masqués, ont interpellé sans ménagement "plus de 15 personnes" venues déposer des fleurs sur un monument à la mémoire de victimes des répressions politiques soviétiques dans le centre de la capitale russe. Peu après, des journalistes de l'AFP ont été témoin d'une nouvelle arrestation.

La place où se trouve le monument était encerclée à la mi-journée par les forces de l'ordre afin de ne pas laisser les badauds approcher. Des fleurs étaient posées en revanche dans la neige sur un trottoir des alentours. Plus tôt, un journaliste de l'AFP avait vu des dizaines de Moscovites déposer des fleurs, dans le calme et le silence, au pied de l'ouvrage, appelé "le mur de deuil" près de l'avenue Sakharov, traditionnel lieu de rassemblements de l'opposition et artère portant le nom d'un célèbre dissident soviétique. Des dizaines de policiers avaient été déployés, ainsi que des fourgons cellulaires.

 

Moscou juge les accusations concernant Navalny "absolument inacceptables"

Le Kremlin a jugé vendredi "absolument inacceptables", les accusations autour de la mort d'Alexeï Navalny, Vladimir Poutine restant silencieux bien qu'informé. "Il n'y a pas encore eu d'examen médico-légal mais l'Occident a déjà tiré des conclusions", a noté la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova d'après l'agence de presse officielle russe TASS.

 

Macron se rendra en Ukraine en mars

Emmanuel Macron a confirmé hier qu'il se rendrait en Ukraine "avant la mi-mars", lors d'une conférence de presse à Paris avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky. Le chef de l'Etat avait initialement prévu un déplacement en Ukraine ce mois-ci. C'est finalement son homologue ukrainien qui s'est rendu en Allemagne et en France pour signer des accords bilatéraux de sécurité.

 

Accords de Kiev avec Berlin et Paris pour de nouvelles aides

Le président ukrainien a signé deux accords de sécurité, d'abord avec Berlin, puis avec Paris, destinés à garantir à son pays un soutien durable dans sa lutte contre les forces russes. Concrètement, la France s'engage à fournir "jusqu'à trois milliards d'euros" d'aides supplémentaires à l'Ukraine pour 2024. Cet accord "conclu pour une durée de dix ans" évoque, entre autres, un renforcement de la "coopération dans le domaine de l'artillerie".

Ces sommes s'ajouteront aux quelque sept milliards annoncés par Berlin. Le texte signé avec l'Allemagne prévoit également de soutenir l'Ukraine après la guerre pour qu'elle se dote d'une armée moderne capable de repousser d'autres éventuelles attaques de la Russie à l'avenir.

Ces accords bilatéraux ne sont pas une solution "alternative" au soutien de Washington, a souligné à Paris le dirigeant ukrainien. Mais il a dit espérer que cela allait "donner une impulsion aux Etats-Unis" pour débloquer l'aide attendue. "Deux ans après le début de cette guerre épouvantable, nous envoyons aujourd'hui un message très clair au président russe (Vladimir Poutine) : nous ne relâcherons pas notre soutien à l'Ukraine", avait averti Olaf Scholz au cours d'une conférence de presse aux côtés de Volodymyr Zelensky.

 

Note ; Macron va continuer à vider les stocks d'arme français, jusqu'à que les allées donnent à l'Ukraine des armes trop puissante, qui obligeront la Russie à riposter sur l'Otan

 

Zelensky de retour à Berlin pour un discours devant les dirigeants occidentaux

Après avoir obtenu de Berlin et de Paris des garanties de sécurité pour l'Ukraine, Volodomyr Zelensky retourne aujourd'hui en Allemagne pour s'adresser aux dirigeants occidentaux et s'assurer d'une large mobilisation en faveur de son pays. A la Conférence sur la sécurité de Munich, son discours devant le gotha de la géopolitique et de la défense, prévu pour vers 9h30, intervient à un moment critique pour l'Ukraine qui vient de se retirer d'Avdiïvka.

Le président ukrainien va multiplier les entretiens diplomatiques tout au long de la journée, tandis que l'invasion déclenchée par le Kremlin va bientôt entamer sa troisième année. Outre la vice-présidente américaine Kamala Harris, il devrait avoir un nouveau tête-à-tête avec le chancelier Olaf Scholz.

L'Ukraine est confrontée à de multiples défis : les soldats russes sont à l'offensive, l'aide militaire américaine est toujours dans les limbes et l'armée ukrainienne manque d'hommes, d'armes et de munitions. Kiev espère depuis des mois le vote d'une aide cruciale de quelque 60 milliards de dollars décidée par le gouvernement de Joe Biden, en campagne pour un deuxième mandat, mais entravée par une opposition républicaine sous influence de Donald Trump.

DIRECT

 

 

 

Guerre en Ukraine : la plus grande victoire de Moscou depuis le début du conflit, la ville stratégique d'Avdiivka est tombée aux mains des Russes

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 février 2024

 

Les troupes ukrainiennes se sont retirées de la ville dévastée d'Avdiivka, dans l'est du pays, a déclaré le nouveau chef d'Etat-major de l'armée ukrainienne aux premières heures samedi, ouvrant la voie à la plus grande avancée de la Russie depuis mai 2023, quand elle s'est emparée de la ville de Bakhmout.

Ce retrait, annoncé alors que l'Ukraine est confrontée à une grave pénurie de munitions et que l'aide militaire américaine est retardée depuis des mois par le Congrès, vise à éviter aux troupes d'être totalement encerclées par les forces russes après des mois de combats acharnés.

Le général Oleksandr Syrsky, qui a pris la tête de l'armée ukrainienne lors d'un remaniement majeur la semaine dernière, a déclaré que les forces ukrainiennes s'étaient repliées sur des positions plus sûres à l'extérieur de la ville, qui comptait 32.000 habitants avant la guerre. "J'ai décidé de retirer nos unités de la ville et de passer à la défense à partir de lignes plus favorables afin d'éviter l'encerclement et de préserver la vie et la santé des soldats", a-t-il déclaré dans un communiqué. La perte de la ville, près de deux ans après le lancement de l'invasion russe, pourrait renforcer les arguments du président Volodimir Zelensky pour une aide militaire urgente durant la conférence de Munich sur la sécurité, samedi matin.

La prise d'Avdiivka est essentielle pour la Russie qui cherche à s'assurer le contrôle total des deux provinces de la région industrielle du Donbass, et offrir ainsi au président Vladimir Poutine une victoire sur le champ de bataille alors qu'il cherche à se faire réélire le mois prochain. Avdiivka a subi de plein fouet la pression offensive croissante des forces russes dans l'est. "Nous prenons des mesures pour stabiliser la situation et maintenir nos positions", a déclaré Oleksandr Syrsky. Le ministère russe de la Défense, Volodimir Zelensky et le ministre ukrainien de la Défense n'ont pas commenté le retrait dans l'immédiat.

Plus armés et plus nombreux

La Russie a intensifié son offensive sur Avdiivka en octobre et les positions de l'Ukraine semblaient de plus en plus fragiles depuis des semaines. La troisième brigade d'assaut, une importante unité d'infanterie ukrainienne, a été envoyée en urgence dans la ville pour aider à renforcer les troupes cette semaine, alors que d'autres forces ukrainiennes se retiraient du sud-est de la ville. Les combats sur place sont un "enfer", a déclaré la brigade, précisant sur les réseaux sociaux que les forces ukrainiennes ont été surpassées en nombre par les soldats russes dans une proportion d'environ six contre cent à certains endroits.

La Russie n'a pas donné de détails sur ses pertes dans les combats pour Avdiivka, mais les responsables ukrainiens et les analystes militaires occidentaux affirment que ses avancées se sont faites au détriment d'un grand nombre de soldats et de véhicules blindés. La ville, où il reste moins de 1 000 habitants, se trouve juste au nord du bastion russe de Donetsk, dont l'Ukraine a perdu le contrôle en 2014.

Source

 

 

 

Stoltenberg admet que l'OTAN a des problèmes de munitions, mais affirme que l'alliance est plus forte que la Russie

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 17 février 2024

MOSCOU (Sputnik) - Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a reconnu samedi les problèmes de l'alliance en matière de stocks militaires, mais a néanmoins affirmé que l'OTAN était plus forte que la Russie, annonçant son intention d'"accélérer" la production militaire.

"Militairement, nous sommes plus forts que la Russie. Mais en même temps, je pense que la guerre en Ukraine a démontré qu'il existe de sérieuses lacunes. Par exemple, en ce qui concerne le maintien en puissance, je pense que nous disposons de tous les systèmes d'armes avancés, mais ils ont besoin de pièces de rechange, ils ont besoin d'entretien et ils ont aussi besoin de munitions. Et au début de la guerre en Ukraine, nous avons épuisé nos stocks, mais maintenant ils s'épuisent assez. Donc, maintenant, nous nous concentrons extrêmement sur la façon d'accélérer production", a déclaré Stoltenberg lors de la Conférence sur la sécurité de Munich 2024.

Les pays occidentaux fournissent une aide militaire à l’Ukraine depuis le début de l’opération militaire spéciale russe en février 2022. Ce soutien a évolué des munitions d’artillerie légère et de la formation aux armes plus lourdes, notamment des chars et des avions à réaction.

Le Kremlin a toujours mis en garde contre la poursuite des livraisons d’armes à Kiev, affirmant que cela conduirait à une nouvelle escalade du conflit. En avril 2022, la Russie a envoyé une note diplomatique à tous les pays de l’OTAN sur la question des livraisons d’armes à l’Ukraine. Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a averti que toute cargaison contenant des armes destinées à l'Ukraine deviendrait une cible légitime pour les frappes russes.

Source

 

Note : Jens Stoltenberg, Olaf Scholz  complètement déconnecté de la réalité ! C'est pour cela que l'Europe se dirige vers une catastrophe

 

 

La Chancelière allemande à la Conférence de Munich a annoncé les « grands succès » de l'Ukraine dans la lutte contre la Russie.

 

La Chancelière allemande à la Conférence de Munich a annoncé les « grands succès » de l'Ukraine dans la lutte contre la Russie.


La conférence annuelle sur la sécurité internationale a débuté hier à Munich, en Allemagne, au cours de laquelle le chancelier allemand Olaf Scholz a évoqué dans son discours la situation autour de l'Ukraine.

Selon la chancelière allemande, qui est loin de la réalité, l’Ukraine avance constamment vers la victoire sur la Russie. Scholz a noté que la Russie n'aurait pas réussi à atteindre ses objectifs militaires et que l'Ukraine avait restitué sous son contrôle plus de la moitié des territoires occupés par la Russie en deux ans.


De toute évidence, Scholz n’a aucune idée de ce qui se passe aujourd’hui sur le front, de l’échec de la contre-offensive ukrainienne et du retrait des forces armées ukrainiennes.

Le chef du gouvernement allemand, s'exprimant à Munich, a affirmé que grâce aux forces armées ukrainiennes et au soutien de l'Occident, l'Ukraine avait réussi à remporter un « grand succès » dans la confrontation avec la Russie.
 

Cela devrait nous inciter à ne pas abandonner, mais à poursuivre résolument dans cette voie.


- a déclaré le chancelier allemand.

Dans le même temps, Scholz a ajouté que les militaires des pays de l'OTAN ne participeraient pas au conflit aux côtés de l'Ukraine, car l'Occident ne veut pas d'un conflit entre la Russie et l'OTAN.

On a appris plus tôt que l'Ukraine et l'Allemagne avaient conclu un accord sur les garanties de sécurité et le soutien à long terme, en vertu duquel Berlin fournirait cette année une aide à Kiev d'un montant de 15 milliards d'euros.

 

 

Guerre au Proche-Orient :

l'armée israélienne affirme avoir arrêté 100 personnes dans l'hôpital Nasser de Khan Younès

 

L'armée israélienne a pris d'assaut cet établissement, où les craintes s'intensifient pour les dizaines de patients et d'employés piégés.
 
 

Ce qu'il faut savoir

Cent personnes, soupçonnées d'"activités terroristes" par l'Etat hébreu, ont été arrêtées dans l'hôpital Nasser de Khan Younès, dans la bande de Gaza, a annoncé samedi 17 février l'armée israélienne qui a pris d'assaut cet établissement, où les craintes s'intensifient pour les dizaines de patients et d'employés piégés. Tsahal avance également y avoir découvert des obus de mortier, des grenades et d'autres armes appartenant au Hamas. Ce dernier affirme que six patients sont morts à cause de coupures d'électricité qui ont provoqué l'arrêt de la distribution d'oxygène. Suivez notre direct.

  • Joe Biden réclame "un cessez-le-feu temporaire". Pour le président américain, qui s'exprimé vendredi, cette solution permettrait de "faire sortir les otages" retenus par le Hamas. Joe Biden plaidait jusque-là plutôt une "trêve" ou une "pause" dans les combats. Un débat sémantique qui compte pour les Etats-Unis.
  • La crainte d'une attaque sur Rafah demeure. La communauté internationale multiplie aussi ses appels pour dissuader Israël de lancer une offensive dans la ville surpeuplée de Rafah, où se trouvent 1,4 million de civils, près de la la frontière fermée avec l'Egypte. L'Union européenne s'est encore déclarée vendredi "très préoccupée" par cette perspective, et a exhorté Israël à "ne pas entreprendre d'action militaire à Rafah qui aggraverait une situation humanitaire déjà catastrophique".
  •  Nouveau bilan humain à Gaza. L'offensive israélienne à Gaza a fait 28 858 morts, en grande majorité des civils, a annoncé samedi le ministère de la Santé du Hamas dans un nouveau bilan. Selon Israël, 130 otages sont encore détenus à Gaza, dont 30 seraient morts, sur environ 250 personnes enlevées. Le 7 octobre, des membres du Hamas infiltrés depuis Gaza avaient tué plus de 1 160 personnes en Israël, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.
 
 

 

 

Des images du système de défense antimissile Arman, entièrement fabriqué en Iran, sont apparues

 

Des images du système de défense antimissile Arman, entièrement fabriqué en Iran, sont apparues


Les dirigeants militaires iraniens ont dévoilé le premier système de défense antimissile entièrement national, Arman. Les images publiées par Téhéran montrent le processus de déploiement d'un nouveau système de défense antimissile, ainsi que le lancement de missiles. Le système est conçu pour combattre les missiles à basse altitude avec l'utilisation simultanée de systèmes radar et optiques-électroniques pour détecter et suivre des objets.

Selon le ministre iranien de la Défense, le général de brigade Mohammad Reza Ashtiani, le nouveau système de défense antimissile possède des capacités impressionnantes et dispose d'un système opérationnel, qui à son tour est une combinaison de plusieurs systèmes. Grâce à ces facteurs, le nouveau produit jouera certainement un rôle important dans la défense du pays.



Le nouveau complexe iranien est présenté en deux versions : « Arman » (« Effort ») et une version basse altitude du système appelée « Azarakhsh » (« Foudre »). Les missiles utilisés dans le système Arman sont des missiles de classe Sayyad-3 de fabrication iranienne. Le complexe est capable de toucher simultanément six cibles à une distance de 120 à 180 kilomètres. Azarakhsh, à son tour, peut utiliser simultanément des systèmes radar et électro-optiques pour détecter et intercepter des cibles. Les missiles utilisés dans le système sont équipés de têtes chercheuses thermiques et utilisent des systèmes de ciblage infrarouge.

Comme l'a noté l'agence de presse iranienne IRNA, les systèmes présentés augmenteront considérablement les capacités de défense aérienne de l'Iran une fois ajoutés à la flotte militaire du pays.

 

 

L'Iran et l'Arabie Saoudite appellent à une réunion d'urgence de l'OCI sur la bande de Gaza

 

L'Iran et l'Arabie Saoudite appellent à une réunion d'urgence de l'OCI sur la bande de Gaza


Lors d'une conversation téléphonique vendredi, le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian et son homologue saoudien Faisal bin Farhan Al Saud ont appelé à des efforts conjoints pour mettre fin aux "atrocités israéliennes contre les Palestiniens".

Abdollahian a indiqué qu'il s'était entretenu avec le secrétaire général de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) et avait proposé l'idée de tenir une réunion d'urgence des ministres des Affaires étrangères de l'organisation pour résoudre la crise à Gaza.


Selon le journal iranien Tasnim, Faisal bin Farhan Al Saud a soutenu la proposition de son collègue iranien de tenir une réunion d'urgence de l'OCI sur la question palestinienne.

Les deux parties ont convenu de tenir de nouvelles consultations avec d'autres ministres des Affaires étrangères des pays membres de l'OCI sur cette question.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a critiqué les États-Unis pour avoir parrainé les actions d'Israël dans la bande de Gaza et pour avoir donné à Israël le feu vert pour frapper Rafah.

Si une solution politique n’est pas trouvée immédiatement, les conséquences négatives des actes de génocide continus du régime israélien sur la sécurité et la stabilité régionales seront inévitables.


- Abdollahian a prévenu.

De son côté, Farhan Al Saud a condamné l'ignorance du Premier ministre israélien face aux appels internationaux en faveur d'un cessez-le-feu.

Source

 

 

Paris : un Soudanais armé d’un hachoir abattu par la police

Cet homme âgé d’une quarantaine d’années a foncé sur les policiers avant d’être abattu. Ils avaient d’abord sans résultat tenté d’utiliser leur pistolet à impulsion électrique.

Un Soudanais, âgé d’une quarantaine d’années et armé d’un hachoir, a été abattu par la police. C’est vers 3h05 sur le boulevard d’Indochine devant la station de tramway « Butte du chapeau rouge », qu’un homme demande du feu à un autre. Le quadragénaire se montre très virulent, crache sur son interlocuteur. Il sort une feuille de boucher de sa veste et semble vouloir le frapper. La victime se recule et demande de l’aide à un agent RATP qui passe par là. Les deux hommes se reculent et préviennent la police.

Les fonctionnaires de la brigade anticriminalité arrivent rapidement. Ils ordonnent, en français et en anglais, à cet inquiétant personnage de lâcher son arme. Sans résultat, l’homme ne comprend pas. L’homme brandit un livre coranique et les menace avec sa lame. Deux policiers font usage à trois reprises de leurs armes électriques pour le neutraliser. « Les ardillons se sont plantés mais n’ont eu aucun effet. L’homme a continué de leur foncer dessus en courant avec son hachoir à la main ». Quatre des sept fonctionnaires sur place ouvrent le feu et tirent vingt-deux cartouches et sept balles touchent l’agresseur.

Le Parisien

 

Mort de Thomas à Crepol : “On se croirait dans un abattoir. C’est une scène de chaos. Ils sont arrivés pour faire quoi à cette soirée ?”, un vigile témoigne de l’extrême violence de l’attaque

 

 

 

« Lectures salafistes, peine de mort pour apostasie » : Le lycée musulman Averroès perd son contrat avec l’État ; des députés LFI et le patron de Sciences-po Lille s’indignent (MàJ : manifestation en soutien à l’établissement)

 

Bondy (93) : en un an sur le territoire français, un migrant clandestin marocain viole une femme chez elle et “éclate le crâne” d’une dame de 86 ans dont le viol n’a pas pu être établi. Il vient d’écoper de 15 ans de prison

Il était jugé pour le viol d’une femme de 62 ans en avril 2020 et pour une tentative de viol sur une autre âgée de 86 ans en décembre de la même année, à Bondy. (…)

Illettré, cet homme d’origine marocaine est arrivé clandestinement en France en décembre 2019, après une longue errance à travers la Turquie, la Pologne, la Slovaquie et, peut-être, l’Ukraine. (…)

Le 13 avril 2020, Ramzan R. et un complice s’étaient introduits vers 2 heures du matin dans le pavillon d’une femme de 62 ans. Médecin de profession, la victime avait été tirée de son sommeil puis agressée. Plus tard, à 7 heures du matin, l’un de ses assaillants « à petite moustache » était revenu sur place et l’avait violée.

Huit mois plus tard, dans la nuit du 29 au 30 décembre, toujours à Bondy, un homme tirait de son sommeil une femme de 86 ans et se livrait à un déchaînement de violence. « Il lui a éclaté le crâne sur le mur, détaille l’avocate de l’octogénaire, Me Anne Rossi. Elle avait des bleus sur tout le corps. »

L’intervention d’un voisin, qui a aperçu l’intrus remonter son pantalon, a mis fin au calvaire de la victime.  (…)

Dans ce deuxième cas, le viol n’a pas pu être établi car il n’avait pas été possible de pratiquer d’examen gynécologique chez cette victime trop âgée. L’octogénaire est décédée en 2023. « Tout le monde est convaincu qu’elle a été violée, affirme Me Anne Rossi. Si elle est morte trois ans plus tard c’est aussi à cause de ce viol. Une partie d’elle était morte ce soir-là. Le viol, c’est comme une petite mort. » (…)

Dans le box, Ramzan R. avait indiqué qu’il n’était « pas conscient s’il l’avait agressée » (sic). « Je suis dégoûté de moi-même, je voudrais me couper la tête », avait-il ajouté, les yeux toujours rivés au sol.

Le Parisien

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