Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion
Guerre en Ukraine EN DIRECT : Des missiles Kinjal » hypersoniques utilisés …
L’ESSENTIEL
Le Japon a réaffirmé son soutien à l’Ukraine dimanche lors de la visite de la cheffe de la diplomatie japonaise Yoko Kamikawa à Kiev.
L’Ukraine, de son côté, réclame toujours des avions de combat F-16 mais aussi de nouveaux systèmes de défense antiaérienne pour faire face aux frappes russes.
Kiev s’inquiète également des « menaces » liées à la Corée du Nord, accusée de fournir des armements et munitions à Mosou.
12h31 : L’armée ukrainienne dit avoir abattu 18 missiles russes sur 51
L'armée de l'air ukrainienne a dit lundi avoir abattu 18 missiles sur 51 lancés par la Russie vers des « infrastructures importantes » ou des bâtiments industriels et militaires de plusieurs régions du pays.
La défense aérienne a également abattu huit drones Shahed de fabrication iranienne, selon les forces armées. « Les missiles ennemis n'ayant pas été abattus n'ont pas tous atteint leur cible », ont-elles ajouté.
11h25 : « Des missiles Kinjal » hypersoniques utilisés ?
Le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal a assuré que l’armée russe avait notamment utilisé « des missiles Kinjal » hypersoniques, sans dire combien avaient pu être interceptés par la défense antiaérienne.
10h40 : Attaque « massive » sur la ville natale de Zelensky
Dans son communiqué, le chef adjoint de l'administration présidentielle, Oleksiï Kouleba, a lui condamné une attaque « massive » de missiles sur Kryvyï Rig, ville natale du président Volodymyr Zelensky, et sa région de Dnipropetrovsk (centre-est).
« Une femme est décédée (et) un homme blessé », a indiqué Oleksiï Kouleba, indiquant qu'un centre commercial et des habitations avaient été « touchés » par ces frappes russes.
07h29 : « Environ 300 » habitants de Belgorod déjà évacués face aux frappes ukrainiennes
« Environ 300 habitants de Belgorod, qui ont décidé d'être évacués temporairement, sont maintenant hébergés dans des centres d'accueil à Stary Oskol, Goubkine et dans le district de Korotchansky », plus éloignés de la frontière, a déclaré le gouverneur de la région éponyme, Viatcheslav Gladkov, dans une vidéo publiée sur Telegram.
Guerre en Ukraine : fourniture de nouveaux missiles Patriot en suspens, livraison des premiers F-16 retardée, pénurie de munitions... l'année 2024 commence très mal pour l'Ukraine
L'année 2024 débute sous de bien tristes auspices pour Kiev.
L'année 2024 commence sous de bien tristes auspices pour l'Ukraine. Alors qu'ils étaient annoncés pour les toutes prochaines semaines, les F-16 qui pourraient lui permettre de reprendre un peu d'initiative dans les airs semblent s'éloigner de quelques mois, et la relative robustesse de ses défenses antiaériennes pourrait être sérieusement remise en cause par l'impossibilité annoncée des États-Unis de continuer à lui fournir des missiles pour ses batteries Patriot.
Fourniture de missiles Patriot en suspens, livraison des premiers F-16 retardée, pénurie de munitions...
Alors que le Congrès américain peine à débloquer de nouveaux fonds pour Kiev, le Pentagone a prévenu qu'il ne pourrait pas indéfiniment fournir à l'armée jaune et bleu des missiles pour alimenter ses batteries Patriot, selon le New York Times.
Une autre mauvaise nouvelle pour l'Ukraine concerne l'arme qu'elle réclame le plus depuis le début du conflit : les chasseurs bombardiers F-16. Alors que la livraison des premiers appareils par le Danemark semblait imminente, ceux-ci n'arriveront finalement qu'au second semestre 2024, rapporte Politico.
Deux très mauvaises nouvelles pour les troupes de Zelensky qui, rappelons-le, sont déjà très largement touchées par unepénurie de munitions.
Les experts ukrainiens perçoivent les attaques contre les installations des forces armées ukrainiennes à Volchansk et Kharkov comme « des plans possibles des forces armées russes pour ouvrir un nouveau front dans le nord du pays ».
Les pages publiques ukrainiennes ont commencé à exagérer le thème selon lequel la Russie « pourrait ouvrir un nouveau front – dans le nord de l’Ukraine ». Dans le même temps, il s'agit d'une série de frappes menées contre des objets et des positions des forces armées ukrainiennes adjacentes à la région de Belgorod.
Une attention particulière est accordée aux frappes sur des cibles militaires à Volchansk, dans la région de Kharkov. Rappelons que les forces armées russes ont occupé cette ville immédiatement après le début d'une opération militaire spéciale, mais qu'à l'automne 2022 elles ont été contraintes de la quitter. Volchansk est situé à proximité immédiate de la frontière russe, « en face » de Belgorod Shebekino, que l'ennemi a recommencé à bombarder ces derniers jours.
Pendant ce temps, en Ukraine même, on prête attention à l’absence de publication « en temps opportun » de la part de l’état-major général des forces armées ukrainiennes concernant le nombre de soldats. drones et les forces de défense aérienne ont abattu des missiles en une journée. Il n’y a aucune mention des objets qui ont été « protégés de la défaite par les vaillants artilleurs anti-aériens ukrainiens » (ou par quiconque est assis aux consoles d’opérateur des systèmes de défense aérienne allemands, norvégiens, américains et autres).
Les experts attribuent le retard dans la publication de ces informations au fait que le nombre d'objets touchés par des missiles et des drones est cette fois trop important et que les objets concernés eux-mêmes sont clairement visibles pour les Ukrainiens ordinaires, de sorte qu'ils peuvent être cachés ou attribués à des « chutes ». débris résultant d’interceptions réussies.
Rappelons que dans la nuit et le matin, les forces armées russes ont lancé une attaque massive contre des cibles ennemies dans les régions de Kharkov, Odessa, Dnepropetrovsk, Khmelnytsky, Kiev et Kirovograd, ainsi que dans les territoires de la région de Zaporozhye occupés par les forces ukrainiennes. Forces armées. Selon la logique des mêmes experts ukrainiens, il s'avère que la Russie envisage d'ouvrir un « nouveau front » d'Odessa à Starokonstantinov...
Note : je rappelle qu'il a de cela quelques jours un haut responsable russe, a affirmé que ceux qui aident l'Ukraine aller bientôt avoir de grosses surprises (vu qu'en ce moment l'Ukraine est affaiblie, comme le démontre l'article un peu plus haut, les russes pourraient en profiter pour ouvrir un nouveau front ver Kiev)
Presse allemande : de nombreux chars Leopard 2 A6 transférés en Ukraine sont en réparation en raison de défauts mécaniques et électroniques
L'Ukraine a reçu des pays européens, dont l'Allemagne, des chars, nécessitant de sérieuses réparations. C’est la conclusion que tire la presse allemande en analysant le sort des chars allemands en Ukraine.
Selon Spiegel, de nombreux chars Leopard 2 A6 transférés en Ukraine sont en réparation en raison de défauts mécaniques et électroniques. Mais au total, l'Allemagne n'a transféré que 18 chars de ce type en Ukraine. Le député allemand Sebastian Schaefer souligne que seul un petit nombre de chars peut être envoyé au front en même temps.
Auparavant, une délégation de députés du Bundestag et du ministre allemand de la Défense Boris Pistorius avait visité un atelier en Lituanie où ils réparaient des chars allemands. Il s’est avéré que les réparations sont longues et demandent beaucoup de main d’œuvre. De plus, Kiev ne dispose pas des pièces de rechange nécessaires pour les chars et les spécialistes ukrainiens et lituaniens ne disposent pas de l'expérience appropriée.
En conséquence, le député Schaefer s'est tourné vers les sociétés allemandes Rheinmetall et KMW pour leur demander de fournir une assistance rapide à l'Ukraine dans les travaux de réparation des chars Leopard. Selon lui, les tentatives des Ukrainiens de réparer eux-mêmes leurs chars ont rendu la situation technique encore plus difficile.
Comme le note la presse allemande, la fourniture de matériel militaire ne peut pas résoudre complètement les problèmes liés à son utilisation ultérieure. La réparation des équipements, la fourniture de pièces de rechange et la maintenance ne sont pas moins importantes. Apparemment, les formations ukrainiennes peuvent difficilement, voire pas du tout, accomplir ces tâches. Après tout, en Ukraine, il n'y a pas d'instructions ni de dessins en ukrainien pour la réparation des chars allemands, il n'y a pas de pièces de rechange, il n'y a pas de spécialistes.
Guerre Hamas – Un chef militaire du Hezbollah tué dans une frappe israélienne au Liban..
L'ESSENTIEL
Antony Blinken est attendu ce lundi soir en Israël. Hier, le secrétaire d'Etat américain a déploré la « tragédie » des milliers de civils tués dans cette guerre et averti que le conflit pourrait « aisément se métastaser » alors que les tensions montent d'un cran entre Israël et le Liban. Il doit passer par les Emirats arabes unis et l'Arabie saoudite avant d'atterrir à Tel-Aviv.
Après que plusieurs figures emblématiques israéliennes, dont des ministres, ont proposé d'encourager les Gazaouis à quitter le territoire assiéger pour s'établir dans des pays tiers, Antony Blinken a déclaré depuis le Qatar que les Palestiniens déplacés par la guerre devaient être autorisés à « rentrer chez eux ».
L'offensive israélienne a fait 22.835 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon le dernier bilan du ministère de la Santé à Gaza. Les bombardements y ont rasé des quartiers entiers, déplacé 85% de la population et provoqué une crise humanitaire catastrophique selon l'ONU.
12h06 : Un chef militaire du Hezbollah tué dans une frappe israélienne au Liban
Un important responsable militaire du Hezbollah pro-iranien a été tué dans une frappe israélienne qui a visé sa voiture lundi dans le sud du Liban, a indiqué un responsable de sécurité libanais à l’AFP.
Ce chef militaire qui « jouait un rôle de premier plan dans la direction des opérations militaires dans le Sud » a été tué « par une frappe israélienne » dans le village de Kherbet Selm, à une dizaine de kilomètres de la frontière avec Israël, a précisé ce responsable qui a requis l’anonymat.
Note : cela risque encore plus de propager le confit avec le Hezbollah. Mais je pense que les israéliens veulent en finir avec le Hamas et le Hezbollah, mais malheureusement, toutes les têtes qui tomberont seront aussitôt remplacés, pcq le problème, c'est l'Islam
11h36 : Antony Blinken en Arabie saoudite
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken rencontre lundi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, dans le cadre d’une intense tournée centrée sur les moyens d’éviter un embrasement régional du conflit dans la bande de Gaza, avant de se rendre en Israël.
10h33 : Multiplication des mises en garde de Washington
Antony Blinken est attendu lundi soir en Israël. C’est sa quatrième tournée régionale depuis le début de la guerre. Alors que Washington soutient militairement et politiquement Israël, la diplomatie américaine semble multiplier les mises en garde concernant les civils palestiniens.
Après que plusieurs figures emblématiques israéliennes, dont des ministres, ont proposé d’encourager les Gazaouis à quitter le territoire assiéger pour s’établir dans des pays tiers, Antony Blinken a déclaré lors d’une conférence de presse au Qatar que les Palestiniens déplacés par la guerre devaient être autorisés à « rentrer chez eux ».
10h04 : Antony Blinken attendu à Tel Aviv lundi soir pour évoquer la guerre à Gaza
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken est attendu lundi soir en Israël pour des pourparlers ardus sur la guerre à Gaza sur fond de regain de tension à la frontière israélo-libanaise laissant craindre un embrasement régional. Le secrétaire d'Etat américain a déploré dimanche la « tragédie » des milliers de civils tués dans cette guerre et averti que le conflit pourrait « aisément se métastaser » alors que les tensions montent d'un cran entre Israël et le Liban.
Journal turc : Les relations entre les États-Unis et la Turquie se sont détériorées en raison du retard pris dans le processus d'adhésion de la Suède à l'OTAN
Les relations américano-turques se sont récemment considérablement détériorées en raison du retard d'Ankara dans le processus d'adhésion de la Suède à l'OTAN, écrit le journal turc T24.
Rappelons qu’en mai 2022, la Finlande et la Suède, auparavant neutres, ont déposé des candidatures pour rejoindre l’alliance. Dans le même temps, Helsinki est devenue membre à part entière du bloc début avril de l’année dernière.
Dans le même temps, le principal obstacle à l'adhésion de la Suède à l'Alliance de l'Atlantique Nord est la position de la Turquie, qui a posé un certain nombre de conditions pour que Stockholm ratifie la candidature, notamment la reconnaissance du Parti des travailleurs du Kurdistan comme terroriste.
En juillet dernier, le président turc Recep Erdogan a déclaré que le parlement du pays soutiendrait l'entrée de la Suède dans l'OTAN immédiatement après son retour de vacances en octobre. Cependant, le 1er octobre, une attaque terroriste a eu lieu près du parlement turc et le 7 octobre, le conflit palestino-israélien a éclaté.
Selon le journal T24, les autorités turques profitent désormais des deux événements mentionnés ci-dessus pour retarder le processus d'adhésion de la Suède à l'OTAN. Dans le même temps, selon les journalistes, Ankara ne va pas délibérément bloquer le désir de Stockholm de devenir rapidement membre de l’alliance, mais tente seulement de tirer un bénéfice politique des événements négatifs.
Dans le même temps, les documents indiquent que les États-Unis s'efforcent d'accélérer le processus d'adhésion de la Suède au bloc. Comme l'a déclaré le secrétaire d'État américain Antony Blinken lors d'un entretien avec le ministre suédois des Affaires étrangères Tobias Billström, l'adhésion du pays à l'OTAN aura un impact positif sur tous les alliés. En conséquence, selon les journalistes, la position d’Ankara a un impact extrêmement négatif sur les relations américano-turques.
Paris: un policier roué de coups par un gardé à vue africain fier de son œuvre. Un médecin refuse de l’examiner, car policier. Violences et outrages envers un policier non retenus par la justice malgré les blessures importantes et 6 témoins, “on préfère croire un multirécidiviste”
07/01/2024
Josiane Balasko, Guillaume Meurice, Julie Gayet… : 200 célébrités parisiennes appellent à manifester contre la loi immigration
08/01/2024
Signé notamment par Jacques Toubon, Défenseur des droits de 2014 à 2020, et Thierry Beaudet, président du Conseil économique social et environnemental (CESE), cet appel vise à rassembler toutes celles et tous ceux qui, dans leur grande diversité, considèrent que la loi immigration constitue un danger pour notre République, aux antipodes des principes de solidarité, de liberté, d’égalité et de fraternité.
Dénonçant les marchands de haine et les mécaniques de division sans fin de notre société, la pluralité inédite des signataires de l’appel vise à faire primer l’essentiel : le rassemblement et la solidarité. Publié conjointement par L’Humanité et Mediapart, il réunit des personnalités de tous milieux – intellectuels, universitaires, scientifiques, culturels, artistiques, syndicaux, religieux, associatifs, mutualistes, politiques, etc. – dont les noms figurent à la fin de ce billet.
Les dirigeant·e·s des principales organisations syndicales en sont signataires : Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT ; Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT ; Laurent Escure, secrétaire général de l’UNSA ; Murielle Guilbert et Simon Duteil, co-porte-paroles de Solidaires ; Benoît Teste, secrétaire général de la FSU. Tout comme les dirigeant·e·s des principales associations d’accueil et de lutte contre la pauvreté : Henry Masson, président de la Cimade ; Marie-Aleth Grard, présidente d’ATD Quart Monde ; Antoine Sueur, président d’Emmaüs France ; Véronique Devise, présidente du Secours Catholique ; Najat Vallaud-Belkacem, présidente de France Terre d’Asile.
Les responsables des associations de lutte pour les libertés et contre le racisme en sont évidemment signataires (Ligue des Droits de l’homme, Syndicat de la magistrature, Syndicat des avocats de France, SOS Racisme, etc.) tout comme des figures des quartiers populaires, tels Farid Bennaï, porte-parole du Front uni des immigrations et des quartiers populaires (FUIQP), et Toumi Djaïdja, co-initiateur et symbole de la Marche pour l’égalité de 1983.
Également soutenu par les dirigeant·e·s des grandes organisations de l’économie sociale et solidaire comme la Fédération nationale de la Mutualité française et l’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (UNIOPSS), cet appel est aussi signé par des élu·e·s de sensibilités politiques diverses (Fabien Roussel, Cécile Rilhac, Guillaume Lacroix, Benjamin Saint-Huile, Marine Tondelier, Olivier Faure et Manuel Bompard).
Marchons pour la Liberté, l’égalité, la fraternité
Dans notre diversité d’idées, d’engagements, de professions, nous exprimons notre grande inquiétude après le vote de la loi dite « asile-immigration ». C’est un tournant dangereux dans l’histoire de notre République.
D’abord parce que cette loi ne répond pas aux causes de l’exil forcé d’hommes, de femmes, d’enfants fuyant les guerres ou le réchauffement climatique, ni aux défis de l’accueil dans la dignité, ni au défi de la définition d’une politique digne et humaine d’intégration.
Ensuite, parce qu’elle a été rédigée sous la dictée des marchands de haine qui rêvent d’imposer à la France leur projet de « préférence nationale ». Elle torpille les piliers porteurs de notre pacte républicain, hérité du Conseil national de la Résistance. Elle s’attaque ainsi au droit du sol autant qu’aux droits fondamentaux proclamés par la Constitution : au travail, à l’éducation, au logement, à la santé… Ce faisant, tous et toutes, Français autant qu’étrangers, nous nous trouvons menacés.
Victor Hugo écrivait : « Étouffez toutes les haines, éloignez tous les ressentiments, soyez unis, vous serez invincibles. »
Soucieux de rassemblement et de solidarité plutôt que de division sans fin de notre société, nous demandons au Président de la République de ne pas promulguer cette loi.
Le dimanche 21 janvier nous appelons à manifester dans notre diversité notre attachement à la devise de la République : « Liberté, égalité, fraternité. »
La liste des collabos sur le journal de collabo Mediapart
« Copains d’en bas : comment vivre au quotidien à proximité d’un point de deal » : l’étonnant spectacle sur la mixité sociale soutenu par la ville de Grenoble (MàJ : Réaction de l’ancien maire)
8/01/2024
07/01/2024
À Grenoble, les habitants du quartier de Berriat ont vu fleurir cette semaine des affiches bariolées sur les murs de leurs immeubles, faisant la promotion d’une pièce de théâtre soutenue par la commune de l’Isère et portant sur la mixité sociale.
Au fil des 1 heure 20 de représentation et du temps d’échange qui s’ensuit, les spectateurs peuvent suivre Ben et Charlotte dans leur rencontre avec Assia, la «voisine marocaine qui leur apporte des couscous fumants», Keny, «une maman malgache pleine de rêves», Bachir, «l’épicier d’en face qui leur fait crédit» ou encore les jeunes «Casquette et Barbichette» qui s’installent dans leur cage d’escalier.
Ce spectacle, qui vise à «dessiner une vérité autre que celle souvent entendue dans les médias», selon le magazine municipal de la ville de Grenoble, fait, selon le site, la chronique «d’un quotidien rythmé par les dealers dans la cage d’escalier». La représentation se tiendra à Grenoble le 9 janvier prochain en présence du maire de Grenoble, Éric Piolle.
Le spectacle, qui indique dans son dossier de presse avoir reçu «une aide à la création» par la Communauté de Communes Le Grésivaudan, est organisé dans le cadre de l’appel à projet de la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) en 2019, dont la ville de Grenoble avait été lauréate.
L’objectif de cet appel à projet, doté de plus d’un million d’euros, était de «sélectionner et d’accompagner des initiatives innovantes et ambitieuses de prévention des conduites à risques conduits à l’échelle d’un territoire». Il s’agissait notamment, indique encore le site de la MIDELCA, de «renforcer l’information de tous» pour «changer les représentations ou idées reçues associées aux produits psychoactifs» et provoquer ainsi une «prise de conscience citoyenne». […]
«Les copains d’en bas : comment vivre au quotidien à proximité d’un point de deal ?», indique le bandeau ajouté par la ville de Grenoble sous l’affiche de cette représentation interactive d’un nouveau genre, créée en 2018 et portée par la Compagnie Artiflette (basée à Bordeaux). Un spectacle qui vient retracer l’histoire de Ben et Charlotte, un couple de trentenaires, qui ont décidé d’aller habiter dans une cité HLM pour vivre «la fameuse mixité sociale».
Ben et Charlotte ont décidé d’aller habiter dans une cité HLM pour vivre la mixité sociale. On les suit dans leur rencontre avec Assia, la voisine qui leur apporte des couscous, avec des jeunes qui s’installent dans leur cage d’escalier, avec Idriss, un éducateur épris de liberté… Jour après jour, Ben et Charlotte sont ballotés entre de forts moments porteurs de sens, et l’immersion de la violence dans le quotidien de la cité. Le récit de ces rencontres dessine une vérité autre que celle souvent entendue dans les medias, et vient faire écho aux paroles du poète Guimaraes Rosa. “Raconter, c’est résister.”
Alertes à la bombe en gare de Nantes : le prévenu connu sous 86 identités différentes, se présente comme un « Français, né à Neuilly-sur-Seine » ; pour la justice, l’individu est un Algérien sous OQTF, il sera jugé en février prochain
08/01/2024
Les juges ont demandé une expertise psychiatrique afin d’éclaircir le profil très confus de l’individu à l’origine des perturbations de la plateforme ferroviaire, le 1ᵉʳ et 2 janvier. La piste terroriste a été écartée.
[…]
Depuis le box des accusés, le prévenu a déroulé d’une voix forte les bribes confuses d’un récit incohérent, entrecoupé d’interjections d’une politesse obséquieuse à l’adresse de la présidente, Ariane Gajzler. Se présentant comme Français, né à Neuilly-sur-Seine, il a assuré que ses papiers se trouvaient «en investigation» à Paris depuis dix ans, ce qui ne l’a pas empêché de décliner par ailleurs 86 identités différentes aux enquêteurs lors de sa garde à vue. Pour la justice, cependant, l’individu est Algérien ; sous OQTF depuis 2022, il aurait omis de rejoindre sa résidence d’assignation. L’individu avait déjà provoqué une alerte au bagage abandonné à l’aéroport de Nantes en avril 2023. Il était ressorti libre des poursuites qui avaient alors été engagées contre lui.
« Appelez Jean-Marie Le Pen »
«On est en train de vivre un enfer depuis dix ans. Si je vous ai posé des sacs, c’est qu’on y a laissé des documents importants pour la loi, pour retrouver ma pièce d’identité et un travail», a-t-il indiqué vendredi devant les magistrats, pour justifier ses actes. Lors d’un échange lunaire avec son avocat, le prévenu s’est également prévalu d’être en contact avec une personnalité inattendue. «Si vous appelezJean-Marie Le Penet sa famille, ils seront en mesure de vous dire où se trouve mon passeport», a-t-il déclaré en écorchant phonétiquement le nom de famille Le Pen en «Le Pain». «J’ai dormi chez lui plusieurs fois», a poursuivi le suspect, avec un très grand sérieux.
Le Mans (72) : une étudiante traumatisée après avoir été réveillée par un cambrioleur arméau pied de son lit ; Ayad Rih, déjà condamné sept fois depuis son arrivé en France en 2020, ira en prison
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