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troisiemeguerremondiale.net

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Affirmer que l'Islam est une religion de paix, c'est admettre que la charia et le djihad sont des préceptes humanistes. Ce blog a pour but de démontrer que nous nous dirigeons droits vers une guerre de religion

Publié le par 3guerremondiale
Publié dans : #Les infos les plus cruciales

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Les Infos du 7 janvier

 

 

 

 

Guerre en Ukraine EN DIRECT : Poutine reçoit des familles de soldats russes morts au front…

 

L’ESSENTIEL

  • La cheffe de la diplomatie japonaise Yoko Kamikawa est ce dimanche en Ukraine pour y rencontrer son homologue Dmytro Kuleba et l’assurer du soutien continu de Tokyo.
  • Les frappes au bilan particulièrement lourd se sont multipliées depuis fin décembre en Ukraine et en Russie, signe d’une montée de la violence alors que le conflit dure depuis deux ans, avec un front globalement figé.
  • Des femmes de Russes mobilisés pour combattre en Ukraine en septembre 2022 sur ordre de Vladimir Poutine ont mené une action symbolique de protestation au pied des murs du Kremlin samedi en déposant des fleurs sur la flamme du soldat inconnu.

 

 

13h07 : Le Japon débloque 37 millions de dollars pour un système de détection de drones

Lors de l’entrevue entre les chefs de la diplomatie japonaise et ukrainienne, Yoko Kamikawa a indiqué que Tokyo avait débloqué 37 millions de dollars (environ 33,8 millions d’euros) pour fournir un système de détection des drones à l’Ukraine.

Dmytro Kouleba a lui affirmé avoir dit à son homologue que l’Ukraine avait besoin non seulement d’avions de combat F-16 mais aussi de nouveaux systèmes de défense antiaérienne pour faire face aux frappes russes.

Durant son séjour en Ukraine, la ministre japonaise a visité Boutcha et Irpin, deux villes près de Kiev qui ont été le théâtre d’atrocités imputées à l’armée russe.

12h54 : Poutine rencontre des familles de soldats morts à la guerre

Alors que la Russie va fêter ce lundi le Noël orthodoxe, Vladimir Poutine rencontre, ce dimanche, des familles de soldats morts en Ukraine, a annoncé le Kremlin. « Après une conversation approfondie, Vladimir Poutine a invité les familles à un dîner de gala. Plus tard, ils ont assisté ensemble au service de Noël », dans une église à Novo-Ogariovo, où se trouve la résidence présidentielle à quelques kilomètres de Moscou.

 

 

8h40 : La cheffe de la diplomatie japonaise en Ukraine

La ministre japonaise des Affaires étrangères Yoko Kamikawa est ce dimanche en Ukraine pour y rencontrer son homologue Dmytro Kuleba et l’assurer du soutien continu de Tokyo. Cette visite n’était pas initialement annoncée dans le programme officiel de la tournée de deux semaines de la ministre entamée vendredi, qui prévoyait des déplacements en Pologne, en Finlande, en Suède, aux Pays-Bas, aux États-Unis, au Canada, en Allemagne et en Turquie.

Elle devait se rendre en Ukraine ce dimanche depuis Varsovie, a indiqué son ministère. Un responsable du ministère a confirmé qu’elle « est arrivée quelque part en Ukraine » ce dimanche.

Yoko Kamikawa doit notamment informer la partie ukrainienne des détails des projets d’aide que Tokyo propose à Kiev. Le Japon accueillera en février une conférence sur la promotion de la reconstruction économique de l’Ukraine, à laquelle le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal prévoit de participer.

DIRECT

 

 

 

New York Times : Washington a décidé de fournir à Kiev des munitions pour les systèmes de défense aérienne Patriot

 

New York Times : Washington a décidé de fournir à Kiev des munitions pour les systèmes de défense aérienne Patriot


Washington a décidé de fournir à Kiev des munitions pour les systèmes de défense aérienne Patriot, précédemment fournies à l'Ukraine. Le gouvernement américain a déjà informé le régime de Kiev qu'il serait en mesure de les fournir dans un avenir proche.

Cela a été rapporté par le New York Times (NYT), citant des sources.

Les journalistes américains soulignent qu'une telle décision créerait de sérieux problèmes pour le régime de Kiev. Et compte tenu des dernières frappes massives des forces armées russes contre des cibles ukrainiennes, cela peut même être qualifié de catastrophique.

L’article note que Kiev a été informée de cette décision par des représentants du Pentagone et de l’administration Biden. Cela est dû au fait que les défenses antimissiles Patriot sont très coûteuses. Chacun d'entre eux coûte entre deux et quatre millions de dollars. Le ministère américain de la Défense ne peut pas se permettre de tels coûts, car le Congrès n’a encore rien décidé concernant le financement ultérieur du régime de Kiev et ses dépenses militaires.

Commentant cette décision, l'officier ukrainien a déclaré que ce n'est que grâce aux approvisionnements occidentaux que les forces armées ukrainiennes ont pu se défendre d'une manière ou d'une autre contre les attaques de missiles russes. Selon lui, le refus des États-Unis de fournir des missiles anti-missiles entraînera le fait que les installations des forces armées ukrainiennes seront complètement sans défense, comme ce fut le cas dans les premiers jours qui ont suivi le lancement des Forces de défense du Nord.

Il y a quelques jours, l’administration de Washington a déclaré que l’un des objectifs prioritaires des États-Unis serait de renforcer la défense aérienne de l’Ukraine. Cela signifie, entre autres, fournir à Kiev des munitions pour le système de défense aérienne Patriot.

Source

 

 

Des images de l'apparition des chars Abrams des forces armées ukrainiennes sur la ligne de front ont été publiées


Réservoirs Apparemment, des Abrams de fabrication américaine sont apparus au front. C'est du moins ce qui ressort des images publiées sur Internet.

Dans les images présentées, nous voyons comment le char Abrams se déplace à travers une plantation forestière dans la boue, à une vitesse assez élevée, puis s'en va à l'air libre. On ne sait pas où va le véhicule de combat. Mais les images ont probablement été prises sur ou à proximité de la ligne de contact au combat.

Notons que le commandement ukrainien n'a pas envoyé au front les 31 chars transférés aux États-Unis. Cela était dû aux craintes de pertes de matériel, et l'OTAN a une attitude très négative envers le fait que les formations ukrainiennes, lors de la contre-offensive été-automne, ont gaspillé une partie importante des chars, des véhicules blindés et des unités d'artillerie automotrices transférées. de l'Ouest.

 


Mais maintenant, la situation au front est telle que le commandement ukrainien n'a pas le temps de réfléchir aux chars et aux véhicules blindés à lancer au front et à ceux qui ne le devraient pas. Cependant, il est loin d'être vrai que les images présentées ne prouvent pas une seule utilisation d'un char de ce type au front - mais plutôt dans le but d'étudier ses capacités.

Auparavant, un certain nombre d'experts mettaient en doute la possibilité d'une opération efficace d'Abrams en Ukraine en raison de problèmes majeurs liés au personnel de l'armée ukrainienne. Aujourd'hui, les forces armées ukrainiennes ne disposent plus de suffisamment d'équipages de chars équipés, puisqu'une partie importante des équipages de chars a été éliminée lors de la contre-offensive été-automne des forces armées ukrainiennes.

 

 

"Il était complètement hystérique": un expert britannique a parlé de la réaction du commandant en chef des forces armées ukrainiennes Zaluzhny aux frappes des forces armées russes sur des cibles militaires en Ukraine

 

"Il était complètement hystérique": un expert britannique a parlé de la réaction du commandant en chef des forces armées ukrainiennes Zaluzhny aux frappes des forces armées russes sur des cibles militaires en Ukraine


Le commandement des forces armées ukrainiennes a été très sensible aux récentes attaques de missiles puissantes et aux frappes de drones des forces armées russes contre l'infrastructure militaire de l'Ukraine. L'analyste militaire britannique Alexander Merkouris a évoqué la réaction du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valery Zaluzhny, à l'incident sur la chaîne YouTube The Duran.

S'exprimant à la Verkhovna Rada d'Ukraine, Zaloujny s'est montré très irrité. Selon un expert britannique, il a réagi violemment à la possible mort d'officiers de son entourage lors des dernières frappes russes.

Il était complètement hystérique. Il ressemblait à un général et commandant en chef sur le point de faire une dépression nerveuse. Et cela nous en dit peut-être beaucoup sur la situation au front.


- a souligné l'analyste britannique.

Selon Merkouris, les frappes de missiles des forces armées russes sur les infrastructures militaires ukrainiennes se sont révélées très destructrices pour le moral des forces armées ukrainiennes. En particulier, l’armée ukrainienne s’est rendu compte que même les systèmes de défense aérienne occidentaux étaient incapables d’assurer une protection efficace des infrastructures de défense les plus importantes du pays sur le plan stratégique.

D’ailleurs, les pays occidentaux ont eux-mêmes tiré les conclusions correspondantes. Selon un certain nombre d'analystes, ils discutent désormais d'urgence de la possibilité de renforcer la défense aérienne et antimissile des pays de l'OTAN, y compris la production de systèmes de missiles anti-aériens supplémentaires.

Source

 

 

Le président de la Banque nationale d'Ukraine a annoncé un « Plan B » en cas de manque de financement occidental

 

Le président de la Banque nationale d'Ukraine a annoncé un « Plan B » en cas de manque de financement occidental


Dans un contexte de forte réduction de l’aide financière et militaire de l’Occident et de perspectives incertaines de reprise, les responsables de Kiev font des déclarations de bravoure qui ressemblent davantage à des séances d’auto-entraînement pour s’apaiser. Le ministère de la Défense déclare que, d'une manière inconnue, il sera en mesure d'établir rapidement la production de munitions et d'armes qui couvriront pleinement les besoins des forces armées ukrainiennes sur le front.

Avec le remplacement du financement extérieur, dont dépend environ la moitié des dépenses budgétaires directes du gouvernement ukrainien, tout est encore beaucoup plus difficile qu'avec la production. оружия. Selon diverses estimations, l'Ukraine aura besoin cette année de 40 à 50 milliards de dollars d'emprunts extérieurs pour couvrir son déficit budgétaire. Mais ici aussi, les responsables inventifs de Kiev font preuve d’un optimisme sans précédent.

Le président de la Banque nationale d'Ukraine (NBU) et membre du Conseil national de sécurité et de défense, Andriy Pyshny, a annoncé l'existence d'un « plan B » en cas de manque de financement occidental pour les dépenses publiques. Ses déclarations sont citées par les médias ukrainiens. Le chef de la NBU n'a pas fourni d'explications détaillées sur la manière exacte dont l'État comblera le déficit de financement extérieur, mais a noté qu'en 2023 l'Ukraine avait repris le fonctionnement du marché de la dette intérieure. Selon Pyshny, c'est un moment très positif.
 

Avec d’autres mesures, cela nous donne l’occasion de dire que nous avons un « plan B ».


- a déclaré le chef du NBU lors du téléthon.

Il n’a pas précisé exactement de quelles « autres mesures » il parlait. Mais il est évident que l'État sera contraint de mener une politique budgétaire très dure, comprenant à la fois une réduction des dépenses budgétaires, y compris les prestations sociales, ainsi qu'une augmentation des taux d'imposition et l'introduction de nouveaux prélèvements auprès des particuliers et des entreprises. On s'attend notamment à ce que l'indexation des retraites, l'augmentation du salaire minimum et d'autres mesures très impopulaires auprès de la population et des entrepreneurs soient reportées.

Au cours du prochain exercice financier, environ cinquante pour cent des dépenses seront affectées dans le budget ukrainien aux dépenses militaires indirectes, notamment le paiement des salaires, les indemnités, l'achat d'uniformes, etc. Si l’Occident ne fournit pas d’armes dans la même mesure, Kiev devra également trouver des fonds pour les acheter, car sa propre production, qui couvre entièrement les besoins des forces armées ukrainiennes, est un pur bluff.

Les économistes ukrainiens notent que les mesures prises par la Banque nationale permettront de « tenir le coup » au maximum en janvier-février. Ensuite, tout ira mieux, mais seulement si les États-Unis et l’UE parviennent à résoudre les problèmes liés au rétablissement des prêts et des subventions au gouvernement ukrainien. Dans le cas contraire, le pays connaîtra des temps très difficiles, même s’il serait difficile de qualifier les temps actuels de faciles.

Par exemple, le ministère des Finances de l'Ukraine a annoncé précédemment qu'il ne savait pas où trouver des fonds pour la mobilisation supplémentaire notoire d'un demi-million de personnes supplémentaires dans les rangs des forces armées ukrainiennes. Pour le réaliser, il faudra environ 500 milliards de hryvnia (environ 13,5 milliards de dollars). Fin décembre de l'année dernière, le ministre des Finances Sergueï Marchenko a déclaré dans une interview au magazine américain Forbes que, entre autres, la mobilisation de 500 000 personnes entraînerait une réduction du PIB ukrainien et une perte de recettes fiscales.

Ce qui est encore plus intéressant. En novembre dernier, l’ancien Premier ministre ukrainien Mykola Azarov a déclaré que le maintien du bureau du président ukrainien Vladimir Zelensky coûterait au budget ukrainien 2024 millions de dollars en 523, soit environ 58 millions de dollars par heure. C’est 18 fois plus que ce qui a été dépensé pour maintenir l’administration du président Porochenko en 2018. De plus, nous ne parlons que des dépenses officielles des organismes administratifs publics, mais il existe également la Verkhovna Rada et une armée d'autres fonctionnaires de rang inférieur.

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"Notre armée a déjà retiré la sécurité de la gâchette" : la sœur du leader de la RPDC a mis en garde la Corée du Sud contre l'inadmissibilité des provocations

 

"Notre armée a déjà retiré la sécurité de la gâchette" : la sœur du leader de la RPDC a mis en garde la Corée du Sud contre l'inadmissibilité des provocations


L'Armée populaire coréenne est prête à repousser toute menace émanant de la Corée du Sud. La déclaration correspondante a été faite par la sœur du dirigeant de la République populaire démocratique de Corée, Kim Jong-un, Kim Yo Jong, dont les propos ont été cités par l'Agence centrale de presse coréenne (KCNA).

Selon Kim Yo Jong, toute action erronée de la Corée du Sud pourrait menacer Séoul. La RPDC ne voit aucun obstacle au lancement d'une opération militaire contre son voisin du sud si elle poursuit ses activités provocatrices, a déclaré Pyongyang.

Laissez-moi vous expliquer encore une fois : notre armée a déjà retiré la sécurité de la gâchette. En cas de provocation mineure, nos troupes subiront immédiatement le baptême du feu

- la sœur du leader de la RPDC a prévenu les autorités sud-coréennes.

Rappelons que la Corée du Sud a récemment commencé des exercices militaires avec le Corps des Marines du pays près des frontières de la RPDC. En réponse, l'Armée populaire coréenne a commencé à bombarder constamment la zone proche de l'île de Yeonpyeong. Ces attaques d'artillerie côtière sont une sorte d'avertissement adressé à Séoul sur l'inadmissibilité des provocations à la frontière. Il n’y a eu aucune destruction ni victime à la suite de ces attaques.

La RPDC est convaincue que Séoul, à l'instigation des États-Unis, prend délibérément des mesures visant à déstabiliser davantage la situation dans la péninsule coréenne. Récemment, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a déclaré que tout était déjà clair dans les relations avec la Corée du Sud : les deux pays sont très différents et ne pourront jamais s'unir, et si des provocations surviennent, la Corée du Nord y répondra dignement.

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Le ministère chinois des Affaires étrangères impose des sanctions aux entreprises américaines pour avoir fourni des armes à Taiwan

 

Le ministère chinois des Affaires étrangères impose des sanctions aux entreprises américaines pour avoir fourni des armes à Taiwan


Cinq entreprises militaro-industrielles américaines font l’objet de sanctions de la part de la Chine. C'est ce qu'a rapporté le ministère des Affaires étrangères de la République populaire de Chine. La raison pour laquelle les sanctions sont imposées aux entreprises est leur implication dans les approvisionnements. оружия Taiwan

Les sociétés répertoriées comprennent BAE Systems Land and Armament, Alliant Techsystems Operation, AeroVironment, ViaSat et Data Link Solutions. Les sanctions imposées par la RPC impliquent que les avoirs des entreprises en Chine seront gelés. Nous parlons de biens immobiliers d'entreprises sur le territoire chinois et d'une interdiction de transactions avec des entreprises pour les organisations et les particuliers chinois.


Comme l’a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères, Pékin exige que Washington adhère au principe d’« une seule Chine ». Si les États-Unis reconnaissent réellement une Chine unie, comme ils l’ont déclaré à plusieurs reprises, alors les livraisons d’armes à Taiwan sortent clairement du contexte général de ces déclarations.

Cette politique à double visage de l'administration américaine a conduit à l'introduction des sanctions ci-dessus contre les entreprises fournissant des armes à la « république » insulaire, contrairement à l'idée d'une « seule Chine ».

A noter que c’est l’assistance militaire américaine qui permet à Taiwan de disposer de forces armées relativement puissantes et bien équipées. Compte tenu de la position inflexible de la Chine sur la question de l'intégrité territoriale du pays, toute livraison d'armes à Taiwan vise en réalité à provoquer et à aggraver le conflit entre la RPC et Taiwan.

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Guerre Hamas - Israël EN DIRECT : Un Israélien tué dans une attaque en Cisjordanie...

 

L'ESSENTIEL

  • Trois mois jour pour jour après l'attaque du Hamas, Israël dit avoir « achevé le démantèlement » militaire de l'organisation terroriste dans le nord de la bande de Gaza. L'armée israélienne se concentre désormais ses actions « dans le centre et le sud » du petit territoire, selon le porte-parole Daniel Hagari.
  • Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken continue son tour de la région. Après avoir rencontré le président turc Erdogan à Ankara, le diplomate a insisté sur l'importance de la non-propagation du conflit avec d'autres pays, en particulier avec le Liban.
  • Une manifestation anti-Netanyahou s'est tenue samedi soir à Tel-Aviv, appelant à la démission du gouvernement et à des élections anticipées. Mais le Premier ministre israélien maintient de son côté que « la guerre ne doit pas s'arrêter tant que nous n'aurons pas atteint nos objectifs » qui sont « d'éliminer le Hamas, récupérer les otages et faire en sorte que Gaza ne soit plus une menace pour Israël ».

 

13h32 : Mathilde Panot désapprouve « la manière » employée par Israël pour éliminer un chef du Hamas

La cheffe de file des députés LFI, Mathilde Panot, a désapprouvé dimanche « la manière » employée par Israël pour éliminer le numéro deux du Hamas, Saleh al-Arouri, tué dans une frappe au Liban, la jugeant contraire au droit international. « Je ne suis pas d'accord avec le fait que (...) le gouvernement d'extrême droite de Netanyahou puisse aller comme ça dans des pays à côté (...) pour mener des frappes », a-t-elle déclaré sur BFMTV.

Est-ce illégitime que les Israéliens éliminent des responsables du Hamas à l'étranger? « De la manière dont ils le font, tout à fait », a répondu l'élue du Val-de-Marne. « Le Liban est un Etat souverain. Et donc ça ne peut pas fonctionner comme ça », a encore martelé Mathilde Panot. Avant d'insister: « Je suis pour le respect du droit international (qui) ne donne pas la possibilité d'aller frapper dans un pays voisin ». « Si, par exemple, un criminel de guerre belge ou quelqu'un qui aurait commis un acte de terrorisme belge allait se cacher en plein Paris, je ne serais pas très enthousiaste que la Belgique aille avec des drones pour tuer en plein Paris cette personne là », a-t-elle encore illustré.

 

Note ; et comme d'ab LFI au secours des islamistes

 

10h49 : Des rassemblements en soutien au peuple palestinien à Paris et en régions

Plusieurs rassemblements ont eu lieu samedi à Paris et dans des villes de province, en soutien à la population palestinienne de Gaza, atteinte par les bombardements israéliens visant à éliminer le Hamas, après l'attaque de ce dernier contre Israël il y a près de quatre mois. A Paris, « 1.500 participants » ont défilé entre la place de la Bastille et la place de la Nation à l'appel de l'association CAPJPO-EuroPalestine, selon la préfecture de police. « Cessez-le-feu immédiat », a scandé la foule en marchant vers la Nation où l'attendait un rassemblement de soutien au peuple palestinien organisé par Urgence Palestine.

« De Paris à Gaza, résistance », « Vive la résistance du peuple palestinien », « Free Palestine, Stop genocide » proclamaient les banderoles et les pancartes, aux côtés de drapeaux palestiniens de toutes tailles, selon une journaliste de l'AFP. Une partie des manifestants portaient un keffieh, le foulard de coton traditionnel noir et blanc des Palestiniens. « Le maître mot, c'est le cessez-le-feu », a indiqué à l'AFP la présidente de Europalestine Olivia Zémor, qui a appelé « à ne pas laisser Israël poursuivre ses massacres » dans la bande de Gaza.

 

10h35 : Un Israélien tué dans une attaque en Cisjordanie

Un civil israélien a été tué par balle dimanche en Cisjordanie, a indiqué l'armée israélienne, alors que ce territoire occupé est le théâtre de violences meurtrières qui se sont intensifiées ces derniers mois. L'Israélien a été « tué à proximité du Carrefour de la police britannique » au nord de Ramallah, a précisé l'armée, ajoutant que la police était à la recherche de l'assaillant.

 

10h26 : La Jordanie pointe « la nécessité de mettre immédiatement fin à l’agression » israélienne

Antony Blinken, arrivé à Amman samedi soir, doit avoir des entretiens avec le roi de Jordanie Abdallah II notamment et visiter un centre du Programme alimentaire mondial, selon un haut responsable américain dans son entourage.

Dimanche, il a rencontré le ministre jordanien des Affaires étrangères Aymane Safadi qui a souligné « la nécessité de mettre immédiatement fin à l’agression israélienne, de protéger les civils dans la bande de Gaza et d’assurer un accès adéquat et durable à l’aide humanitaire et médicale à toutes les zones » du territoire palestinien, selon l’agence de presse officielle jordanienne Petra. Il a également souligné « la nécessité de mettre un terme aux mesures israéliennes illégales en Cisjordanie et à Jérusalem. »

 

HIER

20h54 : L'armée israélienne dit avoir « achevé le démantèlement » des capacités militaires du Hamas dans le nord de Gaza

L'armée israélienne a annoncé samedi soir avoir « achevé le démantèlement de la structure militaire du Hamas dans le nord de la bande de Gaza » et se concentrer désormais sur le démantèlement du mouvement islamiste palestinien « dans le centre et le sud de ce territoire ».

« Nous allons faire ça autrement [...] cela prend du temps, il n'y a pas de raccourcis dans la lutte contre le terrorisme », a déclaré le général Daniel Hagari, porte-parole de l'armée israélienne dans une conférence de presse alors que la guerre entre dimanche dans son quatrième mois.

DIRECT

 

 

 

Des images ont été diffusées après une attaque de drone inconnue contre un convoi de milice pro-iranienne en Syrie

 


Aujourd'hui, un véhicule aérien sans pilote inconnu a attaqué un convoi de voitures d'une milice pro-iranienne en Syrie. Des sources locales et israéliennes le rapportent, publiant des images des conséquences de la frappe. drone.

Comme on l'a appris, l'incident a eu lieu dans la zone du poste frontière d'Al-Bukemal-Al-Qaim, dans la province de Deir ez-Zor, en Syrie. Des formations de mouvements chiites radicaux associés à l’Iran opèrent ici.
 

Dans les images publiées, nous voyons des colonnes de flammes et de fumée s’élever au-dessus de l’endroit où le convoi de voitures a été attaqué. Selon nos sources, le convoi comptait cinq voitures. Le nombre de personnes qui s'y sont déplacées et quelles ont été les pertes de la formation pro-iranienne n'ont pas été précisés.
 

On ne sait pas encore qui a exactement attaqué le convoi : les armées américaine ou israélienne. Les Américains et les Israéliens utilisent activement des drones Aviation pour des attaques contre des formations pro-iraniennes en Syrie. Il est probable que cela pourrait être la réponse de l’armée américaine aux attaques régulières dont sont victimes les bases militaires des forces armées américaines en Syrie et en Irak.
Mais la version israélienne ne doit pas être exclue, étant donné qu'Israël, après le déclenchement du conflit dans la bande de Gaza, pourrait chercher à lancer des frappes préventives contre toute formation radicale associée à l'Iran et sympathisant avec le mouvement Hamas, contre lequel l'armée israélienne se bat dans l’enclave palestinienne.

Source

 

 

 

L’Iran fait face à une « bataille totale contre l’ennemi », déclare le chef militaire

 

 

Vers une guerre de religion, infos du 7 janvier 2024

Le chef des forces armées iraniennes est connu pour sa rhétorique enflammée à l’égard d’Israël, des États-Unis et de l’Arabie saoudite.

Le commandant en chef du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a émis une note de défi dans un discours samedi, avertissant les pays ennemis de « rester à l'écart de cette zone ».

"Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une bataille totale avec l'ennemi", a déclaré le général Hossein Salami lors d'une cérémonie marquant le lancement d'un nouveau navire et de lanceurs de missiles.

Cette remarque intervient alors que la guerre menace d'éclater dans la mer Rouge, où des militants Houthis au Yémen ont attaqué des navires associés à Israël en représailles à l'incursion du pays à Gaza. Le bilan des morts a récemment atteint 22 438 dans l'enclave assiégée selon les autorités locales.

"Nous devons défendre nos intérêts nationaux partout où ils s'étendent", a déclaré le général dans un discours diffusé à la télévision iranienne. "Il serait nuisible pour l'ennemi de se trouver à proximité ou à demi-distance."

Les États-Unis ont récemment annoncé qu'une coalition de pays travaillerait ensemble pour contrer les attaques des Houthis , mais l'administration Biden a eu du mal à obtenir des engagements substantiels. L'Espagne était initialement censée faire partie de la coalition, mais son ministre de la Défense a précisé qu'elle n'agirait qu'avec l'OTAN ou l'UE. La France a insisté sur le fait que ses navires n'opéreraient que sous son propre commandement.

Entre-temps, plusieurs pays de navigation ont commencé à emprunter des itinéraires plus longs autour de l'Afrique afin d'éviter cette zone.

L’Iran a envoyé un navire de guerre en mer Rouge au début du mois pour y protéger ses propres intérêts commerciaux. Certains analystes ont suggéré que le président israélien Benjamin Netanyahu souhaite une guerre plus large entre les États-Unis et l'Iran, l'ennemi juré d'Israël. Netanyahu a fréquemment recours à une rhétorique menaçante contre le pays.

Le président israélien a récemment annoncé que les opérations militaires se poursuivraient à Gaza pendant encore plusieurs mois, mais la condamnation internationale de la conduite du pays dans cette région se fait de plus en plus forte. Récemment, l’Afrique du Sud a porté plainte contre Israël devant la Cour internationale de Justice, accusant le pays d’être l’auteur d’un génocide. Israël devrait répondre aux accusations la semaine prochaine à La Haye.

Spoutnik

 

 

 

Nigéria : environ 200 morts et 500 blessés après des attaques djihadistes coordonnées sur plusieurs villages pendant la période de Noël (MàJ : un nouvel attentat fait six morts, dont deux prêtres catholiques)

05/01/2024

Une nouvelle attaque djihadiste a coûté la vie à six personnes, dont deux prêtres catholiques, dans le nord du Nigeria. Les assaillants ont également mis le feu à plusieurs maisons et véhicules. L’un des terroristes a été tué. (…)

Ouest France


27/12/2023

(…) Le président du conseil du gouvernement de Bokkos, Monday Kassah, a déclaré avoir dénombré « 148 villageois de Bokkos massacrés de sang-froid » lors de sa rencontre avec le vice-président du Nigeria, Kashim Shittema, auxquels s’ajoutent « au moins 50 personnes tuées » dans quatre villages de la circonscription voisine de Barkin Ladi, selon Dickson Chollom, un élu de l’assemblée locale, mercredi.

Le précédent bilan faisait état de 163 morts. (…)

Il y a pour l’heure, « 500 blessés et des milliers de déplacés », a-t-il déclaré. (…)

Ouest France

 

 

 

Royaume-Uni : le chef des commissaires britanniques affirme que la police est « institutionnellement raciste »

Dans une interview au quotidien “The Guardian”, le chef du Conseil britannique des commissaires de police estime que les forces de l’ordre sont “institutionnellement racistes”. Il devient le plus haut responsable de la police du Royaume-Uni à formuler une telle critique.

Une lourde accusation. Les forces de l’ordre du Royaume-Uni sont “institutionnellement racistes”, a affirmé Gavin Stephens, à la tête du Conseil représentatif des commissaires de police britannique (NPCC), dans une interview publiée ce samedi dans le quotidien The Guardian. Il devient ainsi le plus haut responsable d’une organisation policière à formuler une telle autocritique, alors que le débat sur le racisme de la police a cours depuis plusieurs décennies dans le pays.

Le “mythe” des “jeunes hommes noirs dangereux”

“Les personnes noires sont sept fois plus susceptibles d’être arrêtées et fouillées que les Blancs et cinq fois plus susceptibles de faire l’objet d’un recours à la force… 10 % des fouilles enregistrées, 27 % des incidents liés au recours à la force et 35 % des incidents liés au Taser concernent des personnes noires”, a notamment listé Gavin Stephens afin de matérialiser ces discriminations, avant de rappeler que “les dernières estimations suggèrent que seulement 3,5 % de la population [britannique] est noire”.

Il a expliqué la surreprésentation des personnes noires parmi les personnes visées par des actions de police par un “mythe qui existe parfois dans la culture populaire selon lequel les jeunes hommes noirs sont dangereux. C’est un mythe”.

(…) BFMTV

 

INFO FDS – La Commission 🇪🇺 continue de financer l’ONG frériste Islamic Relief alors qu’elle affirmait le contraire (MàJ – Marie Dauchy (RN/ID) : “La Commission finance l’islamisme avec l’argent du peuple et ment à ses représentants !”)

05/01/2024

 


11/12/2023

MàJ : suite à nos révélations la Commission ouvre une enquête

(…)

En 2017 déjà, le gouvernement fédéral avait indiqué, en réponse à une question de Volker Beck, alors député des Verts, qu’Islamic Relief Deutschland avait été en 2015 le principal sponsor de la réunion annuelle de “l’organisation la plus importante et la plus centrale des partisans des Frères musulmans en Allemagne”, ainsi que le sponsor d’autres événements de ce spectre.

Fin novembre de cette année, le politicien de l’intérieur de la CDU Christoph de Vries a finalement demandé quel montant de fonds fédéraux l’association avait reçu depuis 2022 – et a reçu une réponse claire du ministère des Affaires étrangères : “Islamic Relief Deutschland n’a pas reçu de fonds fédéraux au sens de la question posée”.

Mais indirectement, des fonds fédéraux ont bien été versés à l’association controversée.

(…)

De tous les États membres, c’est l’Allemagne qui apporte la contribution nationale la plus élevée au budget de l’UE et qui est le plus grand contributeur net de l’UE.

Le projet fonctionne par l’intermédiaire de l’Institut fédéral pour la formation professionnelle, un établissement de droit public financé par le budget fédéral et placé sous la surveillance juridique du ministère fédéral de l’Éducation et de la Recherche.

Le projet devrait profiter au travail de la ligne d’assistance spirituelle musulmane Mutes, qui se trouve sous la responsabilité exclusive d’Islamic Relief. En collaboration avec des institutions protestantes et catholiques, leurs lignes d’assistance téléphonique doivent également être renforcées. Le directeur général de Mutes est Mohammad Imran Sagir. Sagir est un membre fondateur de l’association berlinoise Inssan, dont il a été membre du conseil d’administration de 2007 à 2012. Dans le rapport de la protection de la constitution berlinoise pour l’année 2008, Inssan est également associée aux partisans des Frères musulmans dans le domaine des “islamistes légalistes”.

(…)

La présidente de la commission du contrôle budgétaire du Parlement européen, Monika Hohlmeier (CSU), a déclaré au WELT : “Sous le couvert de l’inclusion et de la lutte contre la discrimination, on encourage ici les pires ennemis de la démocratie. Cela doit cesser immédiatement“. La Commission européenne doit enfin “introduire une comparaison numérique avec les organisations dangereuses”, a poursuivi Hohlmeier. “Nous critiquerons à nouveau vivement cette affaire dans le cadre de la décharge budgétaire et demanderons à la Commission de prendre enfin les mesures appropriées“.

Une porte-parole de la Commission européenne a fait savoir que celle-ci était légalement tenue, dans le cadre des règles financières en vigueur, de “s’assurer que les bénéficiaires qui utilisent des fonds de l’UE ne soutiennent pas, directement ou indirectement, le terrorisme”. La Commission y attache “la plus grande importance”. “Après avoir été informés du problème, nous avons demandé à l’Agence nationale pour l’éducation en Europe de l’Institut fédéral pour la formation professionnelle d’enquêter sur les allégations“, a ajouté la porte-parole. Une porte-parole de l‘Institut fédéral de la formation professionnelle a déclaré que l’Agence nationale pour l’éducation en Europe de l’Institut fédéral de la formation professionnelle allait “enquêter sur les informations“.

Les accusations portées contre Islamic Relief Deutschland ne sont toutefois pas nouvelles et peuvent être trouvées par une simple recherche sur Internet, par exemple dans l’article Wikipedia de l’association. La Commission européenne a déjà été confrontée à ces accusations en 2021. (…)

Die Welt

 

Vol Oran-Paris : un passager "franco"-algérien menace de mort l’équipage, l’avion dérouté vers Toulouse

Un vol Transavia assurant la liaison Oran-Paris a été dérouté en urgence vers l’aéroport de Toulouse-Blagnac, en Haute-Garonne, ce mardi 2 décembre, à la suite de plusieurs incidents survenus à bord, impliquant notamment un passager perturbateur, selon nos informations.

(…) Fares C., Franco-Algérien de 24 ans, serait en revanche déjà connu au Traitement d’antécédents judiciaires (TAJ), dans plus d’une dizaine d’affaires (violences volontaires, trafic de stupéfiants, proxénétisme…). « C’est visiblement un individu très défavorablement connu dans sa ville de Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis », confie une source policière.

Au cours de sa garde à vue, le mis en cause a été examiné par un médecin, avant d’être admis aux urgences psychiatriques de l’hôpital Purpan, puis hospitalité d’office. Sa mère a aussi débarqué à Toulouse, de son plein gré, car n’étant pas partie prenante dans l’incident à bord du Boeing 737.

Aucun blessé n’est à déplorer parmi les passagers et le personnel navigant. L’avion en provenance d’Algérie a par la suite pu repartir pour sa destination finale, l’aéroport d’Orly, à Paris. Contacté par Valeurs actuelles, le parquet de Toulouse confirme les deux incidents, précisant que le déroutement était « déjà prévu » avant que l’individu n’agresse l’équipage.

« Une personne a rencontré des problèmes médicaux, ce qui a conduit l’avion à être dérouté », ajoute le parquet. Selon nos informations, c’est pourtant bien en raison du comportement du passager perturbateur et sa volonté de le débarquer que le commandant de bord a décidé de dérouter l’appareil, comme confirmé dans un écrit remis à la police. Lui et son personnel devaient déposer plainte à leur arrivée à Paris.

Valeurs

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